Merci de nous lire aujourd’hui.
J’habite a Pézenas et je m’oppose au projet Saint Christol.
Je tiens, comme beaucoup, aux vieux chemins de promenades piscénois. Ce projet va les raser et les rénover.
Je tiens à voir les terres nues l’hiver, fleuries de coquelicots au printemps, craquantes l’été, humides l’automne. Ce projet va les enduire d’une coulée verte et d’espaces pédagogiques.
La tranquillité de notre ville est déjà un lointain souvenir quand vient la saison estivale ; tous les espaces libres deviennent des parkings. La promenade du Pré où les anciens venaient marcher est devenue une mer de voiture, le fronton est devenu un parking, l’ancien terrain de tambourin est devenu un parking !! Tous les lieux jadis dédiés a la rencontre et au plaisir des habitants sont transformés en parking... Alors Saint Christol va devenir un parking ? 1500 habitants supplémentaires pourront se garer du mieux qu’ils peuvent sur les places de parking installées sur ce nouveau quartier écologique fraîchement livré, sur les terres fertiles qui sont enduites jusqu’à la fin des temps.
Il semble que pour qu’une mairie soit reconnue aujourd’hui il faille tout transformer, tout bétonner. Ce qui est là depuis toujours n’a qu’a bien se tenir. Alors on coupe les platanes, on transforme en rond points, on éventre les chaussées. Quelle vanité de vouloir tout remodeler à chaque mandat, comme si chaque équipe voulait laisser sa marque, souvent au détriment de notre patrimoine commun. Et quel héritage, quand on voit l’entrée de ville de Pezenas… une ôde aux métiers d’arts et aux artisans, qui dénote avec les Marie-Blachère, MacDonalds, Lidl, GrandFrais…
Nous, habitants, ne nous sentons plus consultés. Ce projet semble avancer sans tenir compte de notre avis ni de notre attachement à notre ville. J’espère que cette enquête publique sera prise en compte.
Les dérogations environnementales sont des permis de bétonner et artificialiser les sols. De raser toute niche écologique.
Il est du devoir de ceux qui décident pour nous de faire les bons choix et de pouvoir garantir la pérennité de la vie dans des conditions décentes, pour les générations présentes et a venir. Le futur s’annonce rempli de défis, sommes nous en mesure de les relever ?
Ce projet, bien que présenté comme un modèle de technologie verte, pourrait devenir obsolète face aux défis environnementaux et sociaux de demain. Il risque de créer plus de problèmes qu’il n’en résoudra.
Ce projet peut être et doit etre le fruit d’une collaboration des habitants, voilà comment inverser la tendance. Impliquons la population dans des projets porteurs qui les rendent fiers et concernés.
Pour toutes ces raisons et bien d’autres encore je m’oppose fermement a ce dossier et j’espère que la riche argumentation de l’opposition sera étudiée et sera prise en compte.
N° 1346 : 25 septembre 2024 - 16:56
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Monsieur le Commissaire enquêteur
Je ne suis probablement pas suffisamment expert pour donner mon avis sur la véracité d'un tel projet et la motivation de sa promotion.
En outre j'ai de très grandes réserves entre autres concernant l'aspect environnemental la ressource en eau et les évacuations des eaux usées lié à la mise en œuvre du « nouveau quartier saint Christol »
Ce projet n’est indéniablement pas à la faveur de l’économie de consommation des espaces naturels et ni à la modération de la bétonisation des sols comme le préconise à juste titre la loi « Climat et résilience » du 22 août 2021, en faveur pour cette derniere de la lutte contre le réchauffement climatique, avec pour rappel, la diminution drastique de l’artificialisation des sols.
À cela s'ajoute la gestion des flux routiers et l'impact sur les structures en places.
Le risque d’inondation dans un secteur sensible comme celui de la commune de Pézenas se doit d’être un facteur et un enjeu prioritaire, ainsi la bétonisation des sols liés à ce projet éveille une grande inquiétude, tant pour les secteurs en amont de l’ouvrage que pour les secteurs en aval.
D’autre part à l’heure ou la sensibilisation à l’environnement et ses intérêts vitaux sont devenu un phénomène sociétal, comment expliquer à nos enfants qu’ici à Pézenas au sein de nos campagnes nous n’avons de cesse qu’à réfléchir à bétonner le sol au détriment du naturel et de ces espaces et espèces protégés ?
Conscient bien sûr de l’intérêt financier d’un tel projet pour venir amender les besoins de financements légitime de la ville ; en outre, n'aurait-il pas été plus probant de motiver la relance économique de nos villages et notamment celui de Pézenas en favorisant l'implantation d'industries et de zones dédiés à l'activité professionnelle de tous champs de compétences vertueux et sensible au respect de l’environnement, ce qui n’est pas antinomique avec une activité industrielle.
Offrir une possibilité d'emploi me paraît être le préambule nécessaire à l'installation de futurs résidents impliqués dans l'activité économique au sens large de la ville.
En revanche, ne sera-t-il pas plus efficient pour loger tous ces citoyens portés par la relance industrielle de renforcer la densité du bâtit et son habitabilité plutôt que de proposer un projet en discontinuité avec l’existant et à la faveur d’un étalement urbain sans intérêt.
L'expérience devrait nous faire prendre conscience de l'hérésie de construction de lotissements périphériques aux villages qui ne sont que trop souvent des zones dortoirs pour une population urbaine en manque de campagne ou malheureusement contrainte de déplacer, par intérêt économique, leur désirs de propriété sans affection particulière pour le lieu d’habitation.
Est-ce la vertu du projet du « futur quartier saint Christol » ?
Le travail mené et l’argent dépensé autour de chacune des études de ce projet n’est pas la caution d’une obligation de réalisation, mais les fondations d’une réflexion qui doit conduire nos enfants vers un avenir durable, agréable et respectueux d’un environnement que nous avons le devoir de leur préserver.
Aussi, en l'état je ne peux être totalement favorable à ce projet.
Bien respectueusement.
N° 1345 : 25 septembre 2024 - 16:56
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Manque de logements
N° 1344 : 25 septembre 2024 - 16:55
Auteur : Raphaele Marchetti
Son avis : Défavorable
- Pas d'arbres ---> pas d'oxygène
- Béton ---> Inondations
- Ecosystèmes détruits ---> Danger pour l'humanité
- Pollution---> maladies
CELA SUFFIT !
N° 1343 : 25 septembre 2024 - 16:55
Auteur : Christian Crestani
Son avis : Défavorable
Les travaux d'aménagement du quartier St Christol sont prévus sur une période allant de 10 à 15 ans, rendant le projet vulnérable a des impondérables climatiques, réglementaires, économiques, politiques, susceptibles de ralentir sa progression.
Nous seront contraints de vivre dans un chantier des décennies durant, sans réelle garantie que le projet aura les effets escomptés et les bénéfices attendus.
Sans parler du trafic routier grandement perturbé et de la gestion présente et future de l'eau.
Je suis défavorable à ce projet.
N° 1342 : 25 septembre 2024 - 16:55
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Il y a besoin de logements
N° 1341 : 25 septembre 2024 - 16:55
Cette observation a été classée comme doublon par le commissaire enquêteur.
N° 1340 : 25 septembre 2024 - 16:53
Auteur : Jean-François Marcheguet
Organisation : Strat
Son avis : Défavorable
Le projet est à contre courant des priorités environnementales
Il n’est pas cohérent avec une approche responsable et respectueuse indispensable à notre époque, les temps ont changés
Il dévalorise la petite ville de Pézenas
N° 1339 : 25 septembre 2024 - 16:51
Auteur : anonyme
Son avis : Ne se prononce pas
Favorable ou défavorable. le manque de clarté de la municipalité sur ce dossier est criant.
certain piscénois pensent encore cet après midi qu'avec la municipalité Rivière, comme promis aux élections, le projet ne se fera pas.
Ce manque de courage de s'adresser aux piscénois et d'en demander leur avis aura permis une seule chose de DIVISER la ville en deux.
Ni les uns ni les autres ne sortiront grandis de cette situation.
Nous invitons nos parlementaires ''au compromis'' alors que nous ne sommes pas capables dans un ''VILLAGE'' de 7800 habitants d'instaurer un débat sain et transparent.
Après tout si la majorité est pour se projet il faut le faire mais si elle est contre avec les sommes déjà engagées il faudra aller au compromis...mais en avons nous la capacité.
J'en doute.
je suis en colère contre nos élus, je râle de n'avoir pu écouter des experts, de n'avoir pu dans un climat détendu, écouter les arguments des favorables et défavorables.
Aigreur et rancoeur ne favorisent pas l'élan citoyen. Soyez fiers de vos contributions, elles mèneront tout droit pour les perdants (que je devine déjà) vers une abstention future ou pire.....
Du coup, je ne me prononce pas.
N° 1338 : 25 septembre 2024 - 16:51
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Mère de 3 enfants désormais jeunes adultes, j espère qu'ils pourront vivre dans la ville de Pezenas que se soit dans le centre , les quartiers existants ou ce futur quartier.
Quand une équipe municipale arrive aux responsabilités, elle doit composer avec les engagements pris par la majorité précédente
A Pezenas, quand l équipe actuelle est arrivée en juin 2020, la municipalité Vogel avait juridiquement fermé les contrats passés avec les promoteurs pour le projet St Christol...la dette de la mairie était alors d environ 5 millions d €.
Arrivée aux manettes, l équipe Riviere à dû renégocier les contrats pour modifier en profondeur le projet afin d en faire quelque chose issu d ine véritable réflexion publique écologie, habitat à coûts modérés...
Pour autant , elle ne pouvait purement abandonner le projet car elle n avait pas en trésorerie les 5 Millions d€. Les promoteurs contractualiser par l équipe Vogel, étaient vigilants quant à leurs affaires financières.
N° 1337 : 25 septembre 2024 - 16:50
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Ce projet est une honte! Céder le patrimoine public en partie à des investisseurs privés pour détruire des espaces naturels est une aberration. Je suis profondément attaché à la commune de Pézenas et cela risque de dénaturer complétement l'esprit même de la ville et tout ce qui fait son charme et son unicité . Sans parler de l'artificialisation des sols qui va contre le bon sens des enjeux climatiques. Non au capitalisme sauvage!
Je suis définitivement défavorable à ce projet.
N° 1336 : 25 septembre 2024 - 16:50
Auteur : Catherine Labrousse
Son avis : Favorable
Bonjour Monsieur le Commissaire Enquêteur,
Je travaille depuis plus de 5ans sur des projets environnementaux. J'observe que le projet St Christol est l'illustration ce que pourrait être un quartier dans les futures années, voire un quartier de demain.
Nous le savons, noter département (lHérault) accueille plus de 1000 habitâtes par mois. Il s'agit donc de trouver, en responsabilité, des solutions de logements. La particularité de St Christol n'est pas de trouver des logements tels que l'on peut en voir dans la Métropole Montpelliéraine, ce sont 24 hectares, dont plus de 13 hectares sont dédiés à l'espace verts. Dans ces 132 000m2, un espace écologique pédagogique de 23 516 m2 est prévu, un espace sanctuarisé de plus de 10000m2 ainsi qu'entre autres une place végétale de 1625 m2.
L'esprit de St Christol de "la campagne à la ville" est ainsi préservé.
Je souhaite ajouter que ce projet est concu en concertation avec des écologiques qui par leur professionnalisme ont contribué à travailler sur le vivant. La "Lumière Rouge", dispositif unique en France contribuera ainsi au calme et à la quiétude du lieu. D'ailleurs, la Caisse Des Dépôt et Consignations (dans sa filiale Biodiversité) indique, que le projet porte une ambition écologique à la fois dans l’évitement et dans la réduction des impacts lors de la construction mais aussi dans l’aménagement et les usages prévus sur ce site qui laissent une place prépondérante à l’accueil de la faune et la prise en compte de la biodiversité de manière générale, en exploitant les caractéristiques naturelles du site, le projet porte des objectifs de durabilité de la conception à l’usage.
A titre d'exemple, la zone de quiétude, une parcelle de près d’1 hectare et demi a été mise en place en défens et sera inaccessible au public afin de préserver un habitat pour la biodiversité exempt des dérangements liés à l’homme. Cette zone sera complétée par l’aménagement d’une mare temporaire qui permettra d’enrichir l’écosystème local avec une zone humide.
La préservation de la trame noire : un système d’éclairage à la lumière rouge unique en France a été installé avec des restrictions d’usage aux heures les moins fréquentées, afin de minimiser la pollution lumineuse et l’impact sur les espèces sensibles à cet effet.
Enfin, il a été rédigé un plan de gestion écologique et un cahier des prescriptions écologiques à destination des futurs constructeurs/acquéreurs/habitants de St Christol. Ces documents présentent dans un 1er temps les prescriptions écologiques des travaux de terrassement et dans un second temps les impératifs à mettre en œuvre pour l’espace pédagogique et la zone de quiétude comme défini dans le dossier unique du projet de ZAC validé par la DREAL Occitanie. Ces documents traitent également des prescriptions écologiques pour les lots privatifs de création de logements collectifs et individuels. Ils présentent les prescriptions générales sur les travaux végétaux et détaille la charte écologique à destination des futurs habitants de la ZAC.
Il y aurait tant de choses positives à dire sur ce projet : les liaisons douces, le vrai parcours résidentiel par exemple.
Je voudrai conclure, Monsieur le Commissaire Enquêteur, en vous réitérant mon vif intérêt sur ce projet tant sur la forme que sur le fond.
Recevez Monsieur le Commissaire Enquêteur, mes salutations les plus respectueuses
N° 1335 : 25 septembre 2024 - 16:50
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Plutôt que de créer un nouveau quartier prétendument éco-futuriste et d'étendre indéfiniment nos frontières au détriment de terre agricoles et de notre environnement, pourquoi ne pas utiliser cette expertise pour aménager le cœur de ville et guider Pézenas vers un impact carbone réduit, tout en allégeant le stress hydrique sur ses ressources ? Pourquoi ne pas embellir notre ville qui a déjà traversé les siècles, prendre soin de nos campagnes et nos coquelicots, consulter les habitants et porter des projets qui les rendent fiers, se démarquer au niveau régional par de réels projets soucieux de l'écologie et du bien être des habitants déjà présents, et ceux a venir ?
N° 1334 : 25 septembre 2024 - 16:49
Auteur : Marie-Alice MÜller-Nardin
Son avis : Défavorable
Bonjour.
je ne sais comment exprimer ma crainte voire ma peur suite au fait qu'une ville de béton voie encore le jour dans nos campagnes françaises.
Quels que soient les motivations de la mairie en place, ce projet est automatiquement destructeur, de vie , végétale, animale , et qui sait , humaine !
Conservez le peu de nature qu'il nous reste , c'est urgent.
La nature est indispensable à notre survie.
CONTRE !
N° 1333 : 25 septembre 2024 - 16:49
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Monsieur le commissaire enquêteur,
Une entrée de ville a déjà été définitivement défigurée par du béton .
La deuxième entrée de ville devrait être davantage soignée.
Plus particulièrement parce qu’elle se trouve face à un lieu historique comme la grange de Près.
Un délais nécessaire doit être demandé à l’établissement foncier afin que ce lieu garde son aspect bucolique et naturel … que la dette soit échelonnée pour la ville .
Une ceinture verte doit être impérativement conservée autour de Pézenas ! Les photos de toutes les différentes crues sont édifiantes .
J’espère que le Préfet stoppera net ce projet !
N° 1332 : 25 septembre 2024 - 16:49
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Comment envisager un projet tel saint Christol en 2024 quand la question environnementale est au centre des débats ? Bétonner ce lieu, en plus d’anéantir la biodiversité, favoriserait le ruissellement des eaux et donc les inondations.
N° 1331 : 25 septembre 2024 - 16:49
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
La pertinence technique du dossier n’est pas à remettre en question. Les études de terrain, les simulations, les fouilles et les cartographies sont quasi exhaustives et démontrent un travail de longue haleine. Cependant, il est indéniable que l’artificialisation du sol sera irréversible. De plus l’accroissement de 17 % du trafic dégradera la qualité de l’air tout en générant des nuisances supplémentaires (dégradation de la qualité de l'air, embouteillages, difficultés de stationnement). Il est également à noter qu’une part non négligeable du projet est dédiée à des places de parking, un symbole d'une vision encore très axée sur la voiture et peu sur une véritable transition écologique.
Les corridors écologiques, voies vertes et lumières rouges semblent être plus des alibis frisant le greenwashing qu'une réelle volonté de valoriser le vivant. La réalité est que l'habitat naturel des espèces présentes sur ces 24 hectares sera intégralement rasé, détruisant des écosystèmes entiers et perturbant durablement la biodiversité locale.
L'espèce humaine entre dans une ère inédite, qu'il n'est plus a démontrer qu'elle en a été l'acteur principal ; le climat se transforme de manière irréversible, chaque jour davantage. Les répercussions sur les phénomènes météorologiques se font déjà ressentir et les modélisations peinent a rendre compte du changement tant il est vif et soudain. La tempête Boris qui s'est récemment abattue sur l'Europe Centrale en est la preuve et le déroulement logique d'un scénario déjà annoncé. Sommes nous en mesure de faire face aux défis de demain ?
L'écologie n'est pas qu'une façade qui sert à rendre les projets d’urbanisation plus séduisants pour le grand public. C'est une réflexion profonde, prenant en compte l'interdépendance des formes de vie et les délicats équilibres qui les lient. C’est une réflexion concrète sur nos vies quotidiennes et futures.
Je suis profondément contre ce projet.
N° 1330 : 25 septembre 2024 - 16:48
Auteur : Armand RIVIERE
Organisation : Maire de Pézenas
Son avis : Favorable
Monsieur le Commissaire enquêteur,
J'ai souhaité contribuer à l'enquête publique dans ses derniers instants afin de ne pas influer, négativement ou positivement, sur son déroulé.
Vous trouverez ma contribution attachée à ce message.
J'aime ma ville, non une ville artificielle. Le quartier à de grands risques s'il est construit d'ouvrir les terrains aux promoteurs et rendre constructible d'autres terrain agricole. L'urbanisation ne devrait pas être aussi accessible.
N° 1328 : 25 septembre 2024 - 16:43
Auteur : Jean-Baptiste Crestiani
Son avis : Défavorable
Artisan dans la région, natif de Pézenas je suis contre la destruction patrimoine immatériel et naturel et le pied de nez au patrimoine architectural de la ville.
N° 1327 : 25 septembre 2024 - 16:42
Auteur : Hussein Bourgi
Organisation : Sénat
Son avis : Favorable
Je connais le projet dit Saint Christol depuis 7-8 ans.
La première fois que j’ai eu à en connaître c’est dans mes fonctions de conseiller régional d’Occitanie, représentant cette collectivité au conseil d’administration de l’Etablissement Public Foncier d’Occitanie.
L’ancien maire de Pézenas nous avait soumis ce projet structurant pour sa commune. Il sollicitait l’accompagnement via une convention de l’Etablissement Public Foncier.
Ce projet ambitieux avait retenu notre attention et justifiait pleinement l’accompagnement de l’Etablissement Public Foncier.
En juin 2020, un nouveau maire et une nouvelle équipe municipale étaient élus à Pézenas.
En septembre 2020, j’étais élu au Sénat. Et je démissionnais de mes fonctions au Conseil d’Administration car incompatibles avec un mandat parlementaire.
J’entamais des réunions de travail avec le nouveau maire de Pézenas qui m’informait de son souhait d’adapter le projet initial aux nouveaux enjeux et aux nouvelles contraintes légales.
Après de nombreuses réunions de travail et de concertation, il m’a fait part des nouvelles orientations retenues.
J’y souscris et je les soutiens pleinement.
Je vais illustrer par l’exemple de la gendarmerie à construire.
Au sénat je siège à la Commission des lois et j’ai suivi le projet de création des 200 nouvelles brigades de gendarmerie (j’ai réussi à en obtenir 3 pour l’Hérault : Pignan, Ganges et Vias).
Parallèlement à ces créations, j’ai milité et plaidé avec d’autres collègues pour la démolition-reconstruction de brigades existantes car devenus obsolètes et
exiguës pour offrir de bonnes conditions de travail à nos militaires. Sont concernées et doivent faire l’objet de ce plan complémentaire de création des 200 brigades, les brigades Héraultaises suivantes : Lunel (chantier démarré), Capestang, Pézenas, Saint-Chinian et Villeneuve les Maguelone.
La réhabilitation in situ n’est pas toujours envisageable car la population augmentant, les effectifs augmentent aussi.
Par ailleurs l’Etat a le souci de construire des logements de fonction et de réduire progressivement les logements loués à des bailleurs privés.
L’Etat a l’ardente obligation d’être parcimonieux et vertueux dans l’usage des deniers publics.
Les collectivités doivent les accompagner dans cet objectif.
C’est ce que le projet Saint Christol permettra de faire.
Comme toutes les communes, Pézenas est confrontée à deux défis : attractivité démographique et vieillissement de la population.
Aussi je vois particulièrement d’un bon œil la création d’une résidence autonomie.
Car je ne compte plus le nombre de saisines de personnes âgées et de familles qui me sollicitent pour le compte d’un parent concerné par cette situation.
Il n’y a pas de fatalité à ce que les anciens soient déracinés de leur ville de Pézenas pour aller dans une structure adaptée à Béziers, Montpellier ou Sète par exemple.
Ensuite en ma qualité d’élu, je mesure la crise que représente la désertification médicale. Aussi l’ouverture de maisons médicales permet de répondre à cette crise en permettant aux professionnels de se regrouper et de mutualiser outils et moyens (secrétariat par exemple).
C’est le cas à Lodève, à Fontès, à Aspiran. Toutes ces maisons médicales récemment ouvertes, ont prouvé leur utilité pour la population.
Ils répondent aussi aux demandes des médecins qui souhaitent rompre leur isolement.
Enfin en ma qualité de conseiller régional, membre de la commission développement durable et transition énergétique, je salue la volonté dans le nouveau projet Saint Christol : le recours à un réseau de chaleur et de froid pour rationaliser la production et la consommation d’énergies durables.
La préservation de 6 ha d’espaces verts permettra de créer un parc public pour toutes et tous.
Et la création d’un espace pédagogique et agricole de 4 ha me semble particulièrement bienvenu. Une structure similaire créé par la commune de Cazouls de Béziers rencontre un vrai succès chez les élèves et les enseignants.
Les productions en circuits courts sont accommodées, cuisinés et servis dans la cantine des écoles de la commune.
C’est une expérience inspirante et innovante que je retrouve dans la nouvelle mouture du projet Saint Christol de l’actuelle équipe municipale de Pézenas.
En conclusion et comme je l’ai indiqué dès le début de mon propos, je souscris à ce projet novateur et pragmatique.
J’ai l’intime conviction qu’il répond aux attentes et aux besoins des habitants de Pézenas d’aujourd’hui et de demain.
Hussein Bourgi
Sénateur de l’Hérault
Conseiller Régional d’Occitanie
N° 1326 : 25 septembre 2024 - 16:40
Auteur : Catherine Hadri
Son avis : Défavorable
La rénovation des appartements en centre ville ne relève que d'une question de volonté. La ville à la volonté d'étendre ses frontières plutôt que densifier le centre-ville (en déclin ceci dit). La construction de ce projet n'est motivé que par l'appât du gain, et la construction d'HLM est un prétexte car d'autre constructions telles qu'un centre thermo-ludique ou encore des halles n'ont rien à voir avec la demande de logements sociaux.
Contre.
N° 1325 : 25 septembre 2024 - 16:36
Cette observation a été classée comme doublon par le commissaire enquêteur.
N° 1324 : 25 septembre 2024 - 16:36
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Avis Favorable. Projet interessant.
N° 1323 : 25 septembre 2024 - 16:31
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Des arguments motivent mon avis sur le projet de la ZAC Saint-Christol à Pézenas :
- seulement 10 % du terrain sera dédié à la création d’une zone écologique pédagogique. Ce qui reste inférieur aux espaces non artificialisés existants à ce jour sur les terrains,
- le maintien de la biodiversité à l’aide de trame verte et bleue sur le territoire ne sont que des mesures compensatoires faire à la destruction d’habitation des espèces présente sur le territoire,
- la surface d’artificialisation des sols est contraire aux ambitions de la loi ZAN,
- le projet se répartira sur une surface de 24 hectares. Les dimensions de cette ZAC sont trop importantes face à la superficie de la ville. L’ampleur du projet est déraisonnée,
- une répartition de 655 logements avec des activités sont envisagés en îlots formant un quadrillage de la zone d’activité. Cet agencement artificiel dénote face l’authenticité et le caractère du centre-ville.
J’émets donc un avis défavorable à ce projet.
N° 1322 : 25 septembre 2024 - 16:31
Auteur : Célia Delmas
Son avis : Défavorable
Pourquoi ne pas envisager des construction non irréversibles tel que le bois plutôt que du béton ? et aussi pourquoi pas sur pilotis pour inaugurer la future petite venise piscénoise pendant les futurs épisodes Cévenols ?
N° 1321 : 25 septembre 2024 - 16:28
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
STOP AU BETON
N° 1320 : 25 septembre 2024 - 16:27
Auteur : Angélique Dersy
Son avis : Défavorable
Qu'estce qui nous attend après ? Après la zone industrielle qui s'agrandi d'année en année, le projet St Christol qui urbanise la dernière zone tranquille de Pézenas, quoi d'autre ? et après encore ? Quand l'urbanisation va t-elle se terminer si nous laissons ce projet se réaliser ?
N° 1319 : 25 septembre 2024 - 16:23
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Nuisances insoutenable pour les riverains durant les travaux, trafic densifié en ville et sur les chemins communaux. Je suis contre ce projet.
N° 1318 : 25 septembre 2024 - 16:23
Auteur : Annick SATGER
Organisation : Union Pour Pézenas
Son avis : Favorable
Il est nécessaire de compléter la contribution d'Alain Vogel Singer par un document qui n'a pu être joint à son observation n°1274
Il doit y être annexé, merci
Je suis surpris de voir à quel point certains semblent plus préoccupés par la protection de leurs petits intérêts personnels que par l’avenir de Pézenas et de ses habitants. Défendre un projet qui ne fait que répondre aux engagements passés, sans tenir compte des conséquences réelles pour la ville, c’est faire preuve d’un opportunisme qui n’a rien à voir avec le bien commun.
Quand on en arrive à justifier l’artificialisation de 24 hectares de terres sous prétexte de préserver une dette contractée par d’anciennes équipes, on se demande où sont passées les priorités. Ce n’est pas en bétonnant encore et encore que l’on va résoudre les problèmes économiques ou sociaux de la ville, ni en faisant des concessions pour contenter quelques intérêts particuliers au détriment du cadre de vie de tous les habitants.
Plutôt que de défendre un projet bancal qui ne profite qu’à quelques-uns, pourquoi ne pas se concentrer sur des solutions vraiment bénéfiques pour Pézenas ? Des solutions qui respectent notre patrimoine, notre environnement et notre qualité de vie. C’est ce que les habitants attendent, et non des justifications alambiquées pour préserver des arrangements financiers.
Il est temps de penser aux générations futures et de sortir de cette logique court-termiste qui n’apporte que des nuisances supplémentaires. Le rôle des élus est de servir l’intérêt général, pas de défendre des projets qui ne font qu’aggraver les difficultés de notre ville
Je suis contre ce projet.
N° 1316 : 25 septembre 2024 - 16:12
Auteur : Picot Julien
Son avis : Favorable
Le commentaire :
« le député de la 8éme circonscription intervient sur un sujet qui n’est pas dans son territoire. Il pourrait expliquer ce qu’il a fait depuis 2017 pour trouver les 5 millions d’euros qui aurait permis à la ville de se désengager? A-t-il déposé des amendements pour que les villes qui ont beaucoup de charges de centralité soient mieux aidées ?
N° 1315 : 25 septembre 2024 - 16:10
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Quand on est jeune , avec des enfants en bas âge et que l' ont souhaite habiter Pézenas ,on ne peut qu'être favorable au projet de St Christol.
il est extrêmement difficile de se loger, les gens qui pointe les logements vacants du centre ville se mettent le doigt dans l'oeil, ils n'ont pas vecu le confinement dans un appartement sans extérieur....Les gens pendant cette période sanitaire sombre ont beaucoup promené dans ce coin de verdure de Pézenas et tous le monde s' est aperçu que toute cette campagne n'est que des terrains en jachère . Personne n' a une activité agricole sur ces terrains et c' est bien pour une raison.
Les gens qui se cache derrière la volonté de faire de l'agriculture sur ces parcelles sont des gens avec de grandes idées mais qui n' ont jamais tenu une pioche de leur vie .
Les inondations vaste sujet , à l'heure ou la ressource en eau est une des causes mondiales de préoccupations , se dire que la municipalité va construire un quartier sans avoir pris conscience de ce problème relève de l'idiotie .
Expert qui sont sans doute un peu plus compètent en matière d' hydrologie et d'impact environnemental que le clampin du coin .
La jeune génération dont je fais partie béni ce genre de projet soucieuse de l'environnement , qui permettrait aux jeunes de vivre dans un quartier pensé de manière raisonnable , tous en bénéficiant es installations d' une ville de moyenne abondance .
alors oui , Je suis favorable a ce que Pézenas réalise ce projet qui prend en compte l' écologie , qui puisse permettre a des familles avec des enfants de venir vivre à Pézenas
N° 1314 : 25 septembre 2024 - 16:09
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Projet intéressant pour la commune. J'y suis favorable.
N° 1313 : 25 septembre 2024 - 16:04
Auteur : Morgan GENIEYS
Organisation : Domaine Le Fesq
Son avis : Défavorable
Je suis défavorable au projet de Saint Christol pour plusieurs raisons.
1) 24 hectares de terre agricole bétonné qui n'absorbera plus une partie des précipitations, accentuant grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus! Ce qui serait une perte immense pour nos nappes phréatiques.
2) L'eau. Compte tenu de la sécheresse croissante et d'une ressource en eau déjà en tension, pourrait on fournir de l'eau à l'ensemble de la population piscénoise ?
3) Le trafic routier. Comment pouvons nous absorbés 17% du trafic routier supplémentaire notamment sur le pont de Peyne?
4) La création d'une halle Gourmande de 2500 m2, comme il est prévu à Saint Christol, va porter un grand coup aux commerces du centre ville.
5) Logement. N'y a-t-il pas déjà 700 logements inoccupés dans le cœur de ville ? Alors que ce projet en prévoit 655 ? Ou est la logique ?
6) La station d'épuration pour traiter les eaux usées serait elle suffisante ? Et si elle ne l'était pas ?
7) Pourquoi l'avis négatif du CONSEIL CITOYEN de la TRANSITION ECOLOGIQUE de la ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 1312 : 25 septembre 2024 - 15:59
Auteur : Michel Iche
Son avis : Favorable
Très beau quartier bravo dans le plus grand respect de l'environnement et du patrimoine.
N° 1311 : 25 septembre 2024 - 15:55
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Le projet répond à un réel manque de logements sur le secteur et semble prendre en considération les enjeux environnementaux
N° 1310 : 25 septembre 2024 - 15:54
Auteur : Patrick DELBAC
Son avis : Défavorable
Monsieur le Commissaire enquêteur,
C’est d’abord un projet du siècle dernier, déjà contre-indiqué à l’époque. C’est un vieux projet du temps où certain·e·s pouvaient encore ignorer le bouleversement climatique en cours. L’ancien Maire, pendant 25 ans, Monsieur Alain Vogel Singer se proposait de transformer la campagne de Saint Christol en un « éco-quartier » (!) ; déjà, comment bétonner avec trois touches de cosmétiques. Annoncé et présenté plusieurs fois par lui. A chaque campagne électorale, il en était question puis, après l’élection le projet retournait à ses cartons. Pourquoi ? Un certain nombre de gens se sont mobilisés pour lutter contre les différentes versions de ce funeste projet : j’ai l’honneur d’en faire partie depuis 2007 ; les candidats de la liste « Osons Pézenas » conduite par M. Armand Rivière, malheureusement battue en 2014 ; l’opposition municipale à M. Vogel, conduite par Monsieur Armand Rivière durant la mandature qui s’est déroulée entre 2014 et 2020 ; dans les journaux de l’association « Osons Pézenas » dont M. Armand Rivière était Président ( et moi-même l’un des membres du Bureau ) distribués dans les boîtes aux lettres des habitant·e·s ; dans plusieurs interventions en Conseil Municipal de l’opposition, dont M. Armand Rivière leader du groupe ; la Société de Protection de la Nature ; plusieurs Partis politiques ; l’association « Pézenas la Plurielle » ; j’en oublie ; et nombre de citoyen·e·s… Pourquoi M. Vogel, annonçait-il l’artificialisation de la campagne de Saint Christol pour en faire un nouveau village et n’en faisait rien une fois élu ? A l’époque, il fût dit : donner l’impression qu’il avait une vision de Pézenas et peut-être seulement une pratique velléitaire. Mais on peut aussi se demander si, élection faite, il ne reculait pas devant les conséquences écologiques et surtout le risque pénal pour le Maire qui conduirait un tel projet pouvant entraîner des inondations inédites. La question reste ouverte, mais cela appartient à l’Histoire locale.
C’est un projet qui commence par tourner le dos à la Démocratie. Pourquoi et comment peut-on être radicalement défavorable à un projet quand on est dans l’opposition durant plus de six ans de façon argumentée et, soudainement élu·e·s, enfourcher ce projet décrié pour tenter de le réaliser ? Quand on sait que les citoyen·ne·s se plaignent que les élu·e·s font parfois l’inverse de ce qu’ils ou elles annoncent et que cela renforce l’abstention aux élections… La réponse n’est pas dans la satisfaction offerte à l’ancien Maire en Conseil municipal ( il ne s’en prive pas ) et dans ses tribunes. Je ne crois pas non plus à « Saul de Tarse sur le chemin de Damas » comme il me fut dit un jour dans un sourire par une Piscénoise. Personnellement, ayant suivi Armand Rivière depuis 2006, élu sur sa liste en 2020, j’ai d’abord essayé de convaincre puis, devant ce renversement confirmé, j’ai préféré démissionner du Conseil Municipal en m’expliquant. Avec regret et tristesse. Etre élu pour faire l’inverse de ce qu’on a dit dans l’opposition, pas ça, pas moi.
C’est un projet qui renie un engagement pourtant formel de campagne électorale. En plus de ce qui précède, rappelons qu’il était écrit dans le programme déposé dans toutes les boîtes aux lettres de Pézenas, sous l’une des rubriques « Dès les premiers mois », « Une étude de définition urbaine pour un développement durable et harmonieux de Pézenas ». On attend toujours après quatre ans de mandature. Sl l’engagement avait été tenu, cela aurait permis de ne pas foncer tête baissée dans les papiers de l’ancien Maire mais au contraire d’avoir une étude globale sérieuse du dossier et un partage démocratique avec la Population ( avantages/inconvéniens, budget de la poursuite/budget d’un autre projet qui soit respectueux des évolutions environnementales et favorable à l’autonomie alimentaire de Pézenas, partenariats possibles,… ).
C’est un projet qui ne booste pas la Démocratie. Le début de l’enquête publique n’a pas été précédé d’une réunion publique, comme c’est le cas quand on a le soucis de l’information des citoyen·ne·s, afin que le maximum de la population soit bien informée et se prononce en connaissance de cause. Les Elu·e·s auraient présenté l’état du projet à l’été 2024, c’est à dire au moment où les personnes intéressées sont amenées à donner leur avis, suivi d’un échange avec les présente·e·s : cela aurait favorisé l’information des picénois·e·s dont beaucoup encore - puisque la Mairie est d’une très grande discrétion sur le sujet - croient que cela ne se fera pas puisque l’ancienne opposition devenue majoritaire était contre. Du temps du Maire précédent et de l’actuel Maire, il y a eu jadis des réunions d’information, mais même sous le pont de Peyne il est passé beaucoup d’eau depuis la dernière version présentée et largement contestée ( 6 octobre 2022 si je ne me trompe ) Pourquoi cette discrétion à l’ouverture de l’enquête publique ? Trop risqué pour le projet ? On peut émettre l’hypothèse, non ?
C’est un projet qui limite la Démocratie. La durée de l’enquête ne peut être inférieure à trente jours ( cf. articles L. 123-9 et L. 123-17 et R. 123-6 du code de l’environnement ). Le choix a été : pas un jour de plus. La Démocratie réduite à minima, alors même qu’il s’agit d’un projet déterminant, structurant, fiscal pour Pézenas avec des conséquences sur plus d’un siècle.
C’est un projet qui nie la Démocratie qui était, avec l’écologie (!) l’un des quatre mots fétiches de la liste « Le Printemps de Pézenas » : « solidaire, écologique, créatif et citoyen ». La motion d’opposition au projet adoptée par 13 membres des Collèges Associations et Citoyens du Conseil de transition écologique de la ville de Pézenas en juillet 2022 a toujours été cachée. En a-t-on débatu en Conseil municipal ? Est-il sur le site de la Ville ? A-t-il été communiqué dans un journal de la Municipalité régulièrement distribué dans les boîtes aux lettres ? Est-il dans le dossier de l’enquête publique ? Que nenni : cet avis qui ne plait pas est systématiquement caché et toujours à la date de ce mercredi 25 septembre. La création d’une telle Commission mêlant élu·e·s, citoyen·ne·s et associations par la majorité actuelle pouvait être saluée positivement mais s’il s’agit de l’invisibiliser sytématiquement quand elle ne partage pas les vues de la majorité municipale… Quand on a peur d’informer, est-ce qu’on est fier et confiant en son projet ?
Des Elu.e.s de la majorité ont donné un avis… favorable ! Elles et ils en ont bien le droit mais on ne les imagine pas aller contre leurs votes et ce que cela emporte en exprimant une autre opinion, même celles et ceux qui ont combattu l’artificialisation de Saint Christol du temps de l’ancien Maire.
Des Maires de villages alentours qui ignorent la réalité piscénoise incitent Pézenas à construire un nouveau village de logements chez nous plutôt que chez eux dans des dépositions favorables au prix d’artificialisation d’une autre époque : le « not in my Backyard » bien connu. Quand ils s’aventurent sur le manque de logements ( parfois en se disant spécialiste du logement ), ignorent-ils le travail de l’INSEE qui comptabilise les logements et villas vides ( 930 à Pézenas au dernier recensement ) ? Au hasard, un Maire écrit ( c’est sa seule phrase ) « Les logements sociaux sont un véritable besoin pour nos concitoyens pour avoir des logements dignes ». D’abord, il ne semble pas qu’il n’y aura que des logements sociaux à Saint Christol ; à moins que ce Maire éloigné soit mieux informé que les citoyen·ne·s Piscénois·e·s ; mais cela ne semble pas le cas. Que ces Maires agissent dans leur village ! Ignorent-ils qu’avec les problèmes d’approvisionnement en eau, si Saint Christol se faisait, ils ne pourraient pas longtemps encore accorder des permis de construire dans leur village ? Il y a déjà eu des refus préfectoraux dans ce sens. Cherchent-ils un bon prétexte pour ne plus construire sur leur commune ? On s’interroge. « Not in my Backyard ». Les conseilleurs ne sont pas les payeurs : ce n’est pas eux qui assumeront l’essentiel des inconvénients du projet d’urbanisation de la campagne de Saint Christol, sauf peut-être les pénuries d’eau et pour les Maires en aval de l’Hérault les conséquences aggravées des inondations à Pézenas ( et encore plus fortes quand le marin soufflera )…
Mention spéciale au Conseiller général et ancien Premier Adjoint de M. Gilles D’Ettore. Les conseils du successeur de Monsieur Gilles D’Ettore pour notre ville, quand on sait ce qu’est devenu le centre ville d’Agde ferait rire si ce n’était tragique. Quand on sait ce qu’étaient, par exemple, la rue de l’Amour et la rue Jean Roger au coeur d’Agde, les conseils de l’ancien Premier adjoint d’Agde incitent à faire l’exact inverse de ce qu’il vient nous conseiller ! Monsieur l’Enquêteur public, si vous le pouvez, allez y faire un tour pour vous rendre compte par vous-même.
La supercherie des logements manquant, très largement utilisée. C’est souvent le seul vrai argument avancé. Cela fera plaisir à la Mairie et au Promoteur mais rappelons une fois encore que, selon le dernier recensement de l’INSEE, il y avait 930 logements et villas vides en 2021. Ils et elles ne se sont pas toutes et tous remplis depuis. Un nombre conséquent ( mais pas toutes et tous ) sont à rénover. Beaucoup de ses logements se situent en centre ville. Cela ne se fait pas en claquant des doigts, mais plus tard on s’y mettra… Et c’est moins fun : pas de ruban avec décorum à organiser. De plus, tout le temps, l’énergie et les impôts consacrés à Saint Christol ne pourront l’être en centre ville qui est fragile par ses habitations et ses commerces. Il ne suffit pas de glorifier Pézenas et son centre historique : sa beauté et sa vitalité dépendent largement du fait que des gens y habitent et y consomment. Si rénover prend du temps, construire Saint Christol en plusieurs tranches ne se ferait pas en moins de 10 ans… si tout se vendait au fur et à mesure, permettant de construire une tranche quand la précédente est presque totalement vendue : c’est une loi du commerce assez compréhensible. Des personnes espèrent des logements à Saint Christol : à quel prix, le savent-ils/elles ? Ce ne sera pas accessible à tout le monde, loin de là quand on connait la situation économique de Pézenas et de ses habitant·e·s. Alors, entre rénover le centre ville pour qu’il ne devienne pas celui de Florensac ou d’Agde ( sans parler de plus petits villages ) et créer ex nihilo un nouveau village à distance de Pézenas : un choix est nécessaire ( y compris budgétairement ). Comme beaucoup et comme « Le Printemps de Pézenas » conduit par Armand Rivière avant d’être élu, choisissons le centre ville. Et je ne dit pas cela que parce que j’y habite, mais parce que j’ai choisi Pézenas pour ce que l’histoire en a fait. Nous pouvons toutes et tous remercier celles et ceux qui nous ont précédés et ont fait ce qu’elle est : son centre ville et… ses utiles maraîchages qui vont redevenir encore plus utiles. A quoi bon, sacrifier Pézenas pour un nouveau village comme il y en a déjà autour de Pézenas et qui n’aura pas grand chose à voir avec elle ( j’y reviendrai plus bas ).
La fourberie ( nous sommes la Cité de Molière ! ) du village éloigné de Saint Christol qui renforcerait l’attractivité de Pézenas. La beauté, la centralité, l’attractivité du coeur historique de Pézenas sont parfois convoqués pour défendre Saint Christol. Mais en quoi un village éloigné de Pézenas relié par la nationale et séparé par une zone inondable, avec une Halle gourmande de 1 700 mètres carrés renforcerait-elle le coeur de Pézenas ? Moins qu’un habitant de Castelnau de Guers où il n’y a qu’une petite supérette, un coiffeur, un café et un tabac. Et on pourrait étendre la liste des villages qui ont commercialement plus besoin de Pézenas que ce potentiel nouveau village ; et même s’ils ont d’autres destinations possibles. Au contraire, cela affaiblirait le centre ville : peut-être un peu des habitants qui quitteraient le centre-ville pour ce village ( mais peu, vu ce que sont devenus les prix du foncier et de la construction ) ; surtout l’impossibilité financière dans laquelle se trouvera la Ville qui devra aménager tout ce qui devra relier la ville et le village ( eau, eaux usées, cheminement piétonnier et cycliste, puis Poste de Police municipale, puis Ecole, puis Mairie annexe avec son Bureau d’Aide Sociale ?,… ). Et tout cela, alors que les impôts de Pézenas ( cela ne date pas de 2020 ) sont plus élevés que dans les villages alentours. Saint Christol amoindrirait le centre ville, d’abord parce que la ville ne pourra plus y financer grand chose.
Un grand nombre d’appréciations sont anonymes. On peut comprendre ( regretter mais comprendre ) que certaines personnes qui émettent un avis défavorable au projet du Maire préfèrent rester anonymes : ne pas déplaire au Maire en place pour une raison ou une autre, que ce soit réel ou non ( il ne s’agit pas de faire le moindre procès d’intention, mais des gens ont le droit de le craindre, ici ou ailleurs ). Par contre, on peut s’interroger sur les personnes anonymes quand il s’agit de faire plaisir au Maire en déposant un avis favorable ! Une certaine suspicion peut effleurer l’esprit, Monsieur le Commissaire enquêteur… Mais gageons que vous effectuerez les vérifications nécessaires. Parfois cet avis favorable n’est étayé d’aucune phrase, plus souvent d’une petite suite de mots ( « Avis favorable au projet », « Pour la croissance économique », « Unique, répond au besoin, très beau, « projet intéressant et dynamisant pour la région ». Comme l’a chanté le regretté piscénois Boby Lapointe « Comprend qui peut ». Souvent - qu’ils/elles veuillent bien m’excuser - des phrases bateaux qui pourraient servir à n’importe quel projet : peut-être ne suis-je pas objectif, ce sera à vous de les apprécier. Parfois même pas un seul mot d’explication.
Qui habiterait au village de Saint Christol ? Nous ne sommes plus il y a 30-40 ans, voire plus. Entre velléités ou espoir et réalité, que de déconvenues potentielles. Qui ? Quelques Piscénois·e·s qui vont quitter le centre ville ou un Hlm ? S’ils en ont les moyens, ce qui n’est pas gagné ( impôts identiques, prix élevé des terrains viabilisés, hausse du crédit, hausse du prix de la construction, éloignement de l’activité professionnelle et conséquences financières sur les déplacements professionnels et familiaux ). Quelques retraité·e·s qui iront s’y enfermer, s’ils en ont les moyens. Plutôt des gens qui travaillent à Béziers où l’emploi n’est pas florissant ou à Montpellier qui est tout de même à 60 km ? Qui peut imaginer qu’ils iraient faire leur courses en centre-ville ? D’évidence près de leur lieu de travail ou entre celui-ci et ce nouveau village, le reste dans la Halle gourmande de 1 700 m2 ( ou dans une autre présentation « un ensemble de commerces » équivalent pour masquer la totalité de leur surface ). Un samedi au marché où ils/elles trouveront à se garer, quelques jours comptés sur les doigts d’une main en centre ville un autre jour. Dépeupler le centre ville, ne plus avoir d’argent pour s’occuper du centre ville : voilà le résultat de ce que serait la création du village de Saint Christol si cela se réalisait. Et quant on voit, de ses yeux vus, l’état des trottoirs et des rues trouvés en 2020, il y a pourtant tant à faire au centre ville.
Plus de construction = plus d’habitants. Est-ce si sûr ? Pas prouvé en tous cas. Depuis 11 ans, plus de 7,2 hectares ont été artificialisés pour construire de nouveaux logements à Pézenas. Cela représente plus de 300 logements. ( https://artificialisation.developpement-durable.gouv.fr/... ). Or, dans le même temps, la population de Pézenas n'a pas augmenté. Elle a même régressé légèrement et la densité de population a diminué… En construisant de nouveaux logements, on n'augmente pas forcément la population de Pézenas. Certains se déplaceraient, d’autres fuiraient avec l’évolution négative du centre ville. Par contre, en créant ce village éloigné, on augmenterait les coûts associés.
La réalité c’est que Pézenas ne manque pas tant d’habitations que d’emplois : la vrai bataille dont a besoin Pézenas, ce n’est pas d’artificialiser une campagne où il fait bon se promener. Nous l’avons appréciée particulièrement pendant les confinements récents, mais combien de générations ont arpenté ses chemins, hier pour le travail, aujourd’hui pour la détente et la santé. Depuis des générations. Comment se fait-il que ce soit un néo-piscénois ( dont une Grande Mère est cependant née à Alignan du vent il y a 130 ans dans quelques jours ) qui doive défendre l’âme et l’avenir de Pézenas parfois face à des natifs de vielles familles piscénoises ( pas tous heureusement ! ). Comme le Monde, Pézenas ne nous appartient pas, il appartient à celles et ceux qui y vivront dans 20, 50, 100 ans et plus. Comme le dit l’un des personnages du film « La ferme des Bertrand » programmé cette année dans le cadre du « Pézenas des Idées » organisé par la municipalité ( 23/09 ) : « Nous ne sommes pas là pour dégrader » et « il faut préserver le foncier agricole ». C’est bien de programmer des films édifiants : c’est mieux d’agir pour valoriser en les écoutant. Notre bassin d’emploi est très mauvais : il est bien plus urgent de travailler cette question : commençons par ne pas supprimer des terres agricoles. Même s’il n’y a pas que cela à faire…
Soulignons qu’il ne s’agit pas d’un projet mineur qui pourrait être compensé ou revu à l’expérience. Il s’agit d’un projet dont la nocivité s’étendrait sur un siècle à minima. Bien sûr, surtout si l’on est un peu avancé dans la vie, on peut se dire : faisons plaisir à ce jeune Maire que je connais et « après moi, les mouches ». Si ce projet va à son terme - 650 logements et une halle gourmande de 1 700 m2 - nous en verrons les méfaits mais plus encore les générations futures nées et à naître. N’avons-nous aucune responsabilité parce que nous n’aurons pas à faire face aux calamités engendrées ? Vous même, Monsieur l’Enquêteur public, il vous faut mesurer la responsabilité qui sera la vôtre quand vous rendrez votre avis. N’y voyez ni un procès d’intention, ni à fortiori une menace. Voyez-y simplement la lourdeur de votre tâche et sa responsabilité devant les plus de 7 700 habitant·e·s actuels et celles et ceux qui nous suivront dans les nombreuses dizaines d’années qui viendront.
Les zélateurs anciens et les nouveaux convertis du projet de Saint Christol ont-ils/elles entendu parler des risques sur la ressource en eau ? Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, comment fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise dans quelques années ? Comment éviter les coupures d’eau avec les sécheresses annoncées ? Il ne suffit pas de remettre en état des tuyaux pour qu’il y ait moins de fuites. C’est très bien, mais si l’eau n’arrive pas… Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 1 500 ou 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ? Des gens constatent déjà que leur puits est sec. Sur ce sujet évident mais technique, je vous renvoie, Monsieur l’Enquêteur public, au rapport que nous avons déposé au nom du Collectif Pour Un Autre Projet Saint Christol et à l’avis déposé par Monsieur Olivier Hébrard, Docteur en Sciences de l’eau, spécialiste reconnu de ces questions. C’est une des raisons majeures contre ce projet écocide. Comment est-on sûr que ce projet n'entraînera pas, dans peu d’années, des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ? Déjà des projets trop consommateurs d’eau, notamment dans l’Hérault ont été finalement abandonnés, interdits. Les Maires de villages voisins venus au secours du Maire de Pézenas, ou leurs successeurs, seront bien marris quand arriveront les restrictions d’eau dans leurs villages. Il sera un peu tard et inutile de se mordre les doigts. Et celui de Pézenas itou. Ce ne serait pas la faute à pas de chance mais à mauvaise décision et à mauvais conseil.
Le bétonnage de la campagne Saint Christol n’absorberait plus une partie des précipitations, ce qui manquerait à la la nappe phréatique et accentuerait le manque de ressource en eau. Je me permets, là aussi de vous renvoyer au texte de M. Olivier Hébrad, bien plus scientifiquement compétent que moi ( même s’il m’a beaucoup appris comme à quelques autres membres du Collectif ). Je vous renvoie aussi au texte du Collectif Pour Un Autre Projet Saint Christol. Cette eau qui ne s’infiltrera pas, ira à la Peyne et à l’Hérault avant de rejoindre la Méditerranée : autant de perdu en eau potable mais pas pour les autres orages à venir. Deux inconvénients majeurs que ne subiraient pas que les habitant·e·s de Saint Christol.
Lors des gros orages qui vont se multiplier et s’amplifier, l’artificialisation de la campagne Saint Christol augmenterait les inondations dans les quartiers bas de Pézenas : sur une surface plus grande et avec plus de hauteur : sur les zones déjà classées inondables et celles en bordure de celles-ci. Bien sûr, il y aurait aussi des inondations sur place à Saint Christol ( on l’a vu au passage à niveau en 2019 ), quelques bassins de rétention n’y suffiraient pas. Il est à craindre, si ce projet voyait le jour, que cela ne fasse pas des citoyen·e·s satisfait·e·s ( euphémisme ). Et si malheur arrivait, on préfère être à notre place qu’à celle du Maire ayant décidé d’un tel projet ( le lui ayant dit dans son bureau en septembre 2020, je peux l’écrire ici, ne le souhaitant pas plus aujourd’hui qu’alors ). Croisons donc les doigts pour que… le projet ne se fasse pas. Et qui dit inondations à Pézenas, dit inondations aussi en aval de l’Hérault. Certains Maires qui se mêlent des affaires de Pézenas risquent de le regretter : parfois, les conseilleurs deviennent les payeurs.
24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois. Aujourd’hui, en situation de blocage des transports, l’autonomie alimentaire de Pézenas n’est que de quelques jours, les doigts des deux mains n’étant pas nécessaires, vraisemblablement pas même entièrement une seule. Ne pas prendre en compte cet aspect est irresponsable. Pouvoir se nourrir à proximité - de plus en plus en bio - dans les cantines scolaires, chez soi, dans les hôpitaux et cliniques, les Ehpad,… cela ne compterait pas ? Monsieur l’Enquêteur public, il ne s’agit pas seulement de construire ou non : il s’agit de se nourrir et c’est indispensable à la Vie, indispensable ! Vous repartirez chez vous, là où vous habitez, mais nous, quelques 7 800 habitant·e·s nous resterons là ( du moins, on l’espère ! ) et nous voulons pouvoir manger avec des produits de proximité, de qualité connue… pour vivre. Vivre. Bien sûr, Pézenas ne retrouvera pas tous ses maraîchages qui ont fait une part importante de sa richesse : il est trop tard. Ils/elles ne savaient pas. Mais nous, aujourd’hui, nous savons, personne ne peut l’ignorer quelqu’il/elle soit. D’autre part, il nous faut réduire notre impact carbonne : qui peut encore en 2024 l’ignorer ? Des lois existent même qui nous y obligent. Artificialiser Saint Christol est une aberration en terme de sécurité alimentaire aussi. Et, semble-t-il illégal…
La station d’épuration pour traiter les eaux usées de 1 500 ou 2 000 personnes supplémentaires serait-elle suffisante ? Il ne suffit pas de dire : pas de problème. Et si elle ne l’est pas, de combien faudrait-il augmenter des impôts déjà si élevés ? Ce n’est pas un détail financier. Certains parlent beaucoup du coût des terrains, mais Saint Christol, c’est aussi des coûts et plus élevés ( j’y viens ci-dessous ). Ceux-ci restent masqués par les zélateurs du Projet et donc ignorés de l’essentiel de la population.
L’argument massue des promoteurs du projet est « Il faut réaliser le projet Saint Christol pour sauver les finances de la ville ! » Quelle contre-vérité. La ville a été engagée à hauteur de 5,6 M € pour l'acquisition des terres agricoles. Mais il ne faut pas cacher le reste ; et le reste, c’est l’éléphant dans la pièce. Construire Saint Christol nécessitera 3,6 M € de taxe de compensation agricole et environnementale ( ce qui en dit long sur ce projet parfois présenté comme écologique : novlangue, au secours George Orwell ) + 1 M € pour le fonctionnement et la communication de la SEMOP + 15 M € pour la construction… Le coût global du projet Saint Christol est estimé à 30 M €. ( https://pourunautreprojetsaintchristol.org/.../depenses.pdf ). Excusez du peu. De plus, rien n'est prévu pour les mobilité douces et autres..., la station d’épuration, le pont de Peyne à renforcer, l’éclairage, peut-être des transports en commun nécessaires… Le projet de réalisation de Saint Christol sera un budget lourd pour la ville engagée à 40 M € dans la SEMOP dont elle ne maîtrise que 40 % alors que l’aménageur 60 % ( voyez qui fait la loi ). Pour rappel, la piscine Ô Pézenas 12 M € ; les travaux de l’avenue de Verdun 8 M € ; la renaturation de la Peyne 10 M € ; tous investissements que la ville n’assume pas seule. Où trouver l’argent ? La Commune est déjà endettée et dans une situation difficile du fait des gestions précédentes.
Comment pourrait être absorbé 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne qu’il faudrait alors très vraisemblablement renforcer ? Les embouteillages ne favoriseraient pas l’attractivité de Pézenas, bien au contraire… Or, soit, aucune école primaire ne serait construite à Saint Christol et les parents devraient amener leurs enfants à Pézenas, soit il faudrait construire une Ecole primaire sur place à la charge de la Commune. Quoiqu’il en soit, le problème demeurerait pour le secondaire.
La création d’une Halle Gourmande à Saint Christol ( 1 700 m2 ) nuira au commerce du centre ville qui est déjà fragile. Saint Christol ne serait pas une partie de Pézenas mais un nouveau village éloigné. Je l’ai évoqué plus haut. Rappelons simplement que beaucoup de commerces du centre ville sont réellement en situation fragile et qu’il ne faudrait pas beaucoup de déperdition de population en centre ville pour faire basculer des commerces les uns après les autres, comme des dominos. Tout à l’inverse, il faut repeupler le centre ville pour renforcer ses commerces. Attention fragile : la descente est plus facile, plus rapide et plus pérenne que la remontée. Nous avons tant de réalités malheureuses sous les yeux dans tant de villes et villages, donc aucune excuse. La priorité doit revenir à ce qui a été dit : le centre ville. L’époque des villes nouvelles et des villages nouveaux ex nihilo appartient à un passé qui est maintenant bien éloigné car il a montré ses défauts dans un contexte économique et écologique qui ne sont plus déjà ceux d’aujourd’hui. Je précise que je ne suis pas commerçant, ni aucun·e membre de ma famille.
N’oubliez pas les conséquences sur les Piscénoises et Piscénois mais aussi sur des populations environnantes en terme d’approvisionnement en eau tout autour et d’inondations en aval. N’oubliez pas non plus les conséquences financières qui devront être portées par les Piscénoises et Piscénois, mais aussi sur les habitant·e·s des autres Communes de l’actuelle Communauté d’Agglomération Hérault Méditerranée. Et plus si elle s’élargit… et la seule Commune de Pézenas si l’échelon des regroupements de Communes venait à disparaître comme certains Partis politiques l’ont dans leur programme. Cet aspect n’est pas mineur car le projet d’urbanisation de la campagne de Saint Christol va nécessiter des investissements coûteux qui vous ont été bien dissimulés comme à la population piscénoise.
Vouloir une ville de 10 000 habitants, pourquoi ? Quelques subventions légèrement plus élevées… mais pour plus de 2 000 habitants de plus… Donc plus de dépenses dans tous les secteurs. Et de deux, ou plutôt trois choses l’une :
Ou les habitant·e·s de Saint Christol restent à Saint Christol car, en plus de tous les commerces, ils auraient à minima une Mairie annexe avec services sociaux, une antenne de Police municipale, une école primaire, une crèche,… Tout cela à financer par la Ville pour l’essentiel. Plus coûteux qu’avantageux.
Ou des habitant·e·s de Saint Christol se rendent de temps en temps « à la Ville de Pézenas » ; outre les incidences sur la circulation et le parking qui ne sont déjà pas si faciles, particulièrement en certaines périodes, combien d’infrastructures deviendraient obsolètes car trop petites et nécessiteraient de nouvelles constructions ( Ecole de musique, salles de réunion et salles d’activités diverses, Maison du Peuple, cinéma,… ). Encore de nouveaux investissements à faire mais avec quel argent ?
En réalité, si ce projet se réalisait, il y aurait un mix des deux dont on ne peut prévoir les proportions qui seront découvertes au fil de l’eau. Encore des dépenses dont il est évident que la Ville ne pourrait assumer avant longtemps, entraînant des déceptions pour les nouveaux/nouvelles habitant·e·s à moins qu’ils/elles ne viennent pas, ayant compris qu’ils n’habiteraient pas Pézenas mais une sorte de village nouveau ne présentant pas plus d’avantage que d’autres alentours. Aller au bout de ce projet de Saint Christol serait une fuite en avant sociale, politique et financière. Un naufrage inéluctable pour quelque rêve de grandeur. Et je ne dis rien si le projet était commencé, une première tranche de travaux effectuée mais pas suffisamment d’acheteurs pour continuer. Une campagne bousillée pour rien.
Vu les difficultés et l'impact économique sur l'avenue de Verdun en travaux pour 2 ans ( que je ne conteste pas, c’était indispensable de revoir cette avenue et le projet qui a été montré semble satisfaisant ), rajouter plus de 5 à 10 ans de travaux au nord de Pézenas sur le même axe dont les travaux d’aménagement doivent être prolongés de façon phasée sur tout l’axe traversant Pézenas, bon courage pour l’affronter vis à vis de nos concitoyen·ne·s ! Mais autant est utile à court/moyen/long terme la réfection de l’axe qui traverse Pézenas en l’adaptant à la vie actuelle et future ( moins de voitures, moins de vitesse, plus de circulation en vélo et à pied, plus d’ombre ), autant est contradictoire et néfaste la création d’un village en pleine campagne sur des terres agricoles.
Le SCoT du biterrois est-il écrit en encre sympathique ? Sauf erreur, il prévoit pour Pézenas 2 hectares d’artificialisation. Après l’urbanisation du terrain de la Distillerie, avec ce qui se construit en bordure de Pézenas ( quartier de la gendarmerie, quartier des pompiers, quartier de la cave coopérative,… ), on ne doit pas être loin des 2 hectares ( voire déjà un peu au delà ? ). Le projet de Saint Christol est donc en contradiction avec le Schéma de Cohérence Territoriale du Biterrois. On ne devrait même plus discuter du projet de village sur les terres agricoles de Pézenas et envoyer ce projet aux poubelles des projets heureusement abandonnés de Pézenas.
Il faut dire un mot du pauvre Lézard ocellé, espèce protégée. Il parait qu’on lui octroie ailleurs, un nouvel espace. A-t-on prévu de lui proposer d’y aller en bus, en charrette, par téléportation ? Ce monde est-il sérieux ?
On nous dit que le nouveau projet Saint Christol est un projet écologique. Le précédent Maire disait la même chose et l’on en riait jaune. Oh la belle novlangue : au secours Orwell. Si c'était vrai :
Le conseil National de la Protection de la Nature n'aurait pas émis un avis négatif sur le sujet : https://pourunautreprojetsaintchristol.org/.../DOCS/CNPN.pdf
Le Conseil Citoyen pour la Transition Ecologique de Pézenas n'aurait pas émis un avis négatif par des groupes Citoyens et Associations : https://pourunautreprojetsaintchristol.org/.../AVIS-CCTE.pdf
Le projet ne serait pas taxé à hauteur de 3,6 M € pour une compensation écologique de destruction de la biodiversité et de l’environnement : https://pourunautreprojetsaintchristol.org/.../depenses.pdf
Non, le projet Saint Christol n'est pas écologique, il est écocidaire : il détruirait des écosystèmes, des terres agricoles et des vestiges archéologiques.
En date du mercredi 25 septembre 2024 plus de 4 200 personnes ont signé la pétition contre ce projet d’urbanisation de la campagne de Saint Christol à Pézenas, certifié par GreenVoice ( https://agir.greenvoice.fr/petitions/stop-au-projet-de-betonnisation-saint-christol-de-pezenas ). Pour une ville qui ne compte pas 8 000 habitant·e·s, ce n’est pas rien !
Vous constaterez combien de contributions très argumentées s’opposent au projet écocidaire de Saint Christol ( celle du Collectif Pour Un Autre Projet Saint Christol, celle de Monsieur Olivier Hébrad et tant et tant d’autres ), faisant suite à une opposition de près de vingt ans, le projet actuel ne bénéficiant sur ses prédécesseurs qu’un peu d’habile cosmétique ( il faut savoir reconnaître les talents ). Qu’il me soit permis - sans être en rien désobligeant - une question : combien d’avis favorables - que je respecte évidemment - présentent de telles charpentes argumentées sur des faits ?
Sans avoir besoin d’en reprendre toutes les parties, je précise que j’approuve le texte du Collectif Pour Un Autre Projet Saint Christol dont je fais partie et qui est un document précis et technique.
Au vu des premières lectures, je me permets de faire remarquer que les avis 16, 51, 54, 59 à 61 sont notés "Favorable", alors que le contenu est très manifestement « Défavorable". De plus, l'avis 52, noté "Favorable", se résume en un mot : « test ». Peut-être y en a-t-il d’autres ensuite. Cela modifie le résultat final : 6 favorables en moins et 6 défavorables en plus, cela fait une différence de 12. Il y en a peut-être d’autres, n’ayant pas tout lu… Je ne doute pas que vous y veillez et y veillerai, Monsieur le Commissaire enquêteur. Il y a aussi de messages identiques publiés plusieurs fois par la même personne : cela ne doit pas être intentionnel, mais cela devrait, me semble-t-il être rectifié. Nous mesurons l’ampleur de votre tâche et son enjeu.
Une personne a posé plusieurs avis ( parfois identiques ) en se présentant comme LFI, se disant favorable et s’exprimant d’une façon inadéquate ( euphémisme ). Elle est peut-être membre d’une association dont les initiales sont celles-là mais, vérifications faites, aucunement membre de La France Insoumise. On peut s’interroger sur cette confusion qui est troublante et laisse pantois. D’ailleurs La France Insoumise de Pézenas a déposé un avis défavorable tout à fait circonstancié ( numéro 523 ). Vous trouverez aussi celui du Député de l’Hérault LFI-NFP Sylvain Carrière au numéro 815.
Terminons-en en revenant à la démocratie, car une enquête publique fait partie de notre environnement démocratique ( même quand elle arrive dans les circonstances vues plus haut ). En 2020, la liste « Le Printemps de Pézenas » conduite par M. Armand Rivière a fait 59,23 % des suffrages exprimés : c’est à lui qu’est revenu logiquement et sans contestation de quiconque la tâche et l’honneur de conduire la Ville jusqu’en 2026. Alors que la Commission d’enquête va s’achever dans quelques instants, les opinions défavorables déposées sur le site représentent les deux tiers des avis, précisément 65,63 % des opinions exprimées au moment où je termine mon avis. Qu’en conclure ?
Veuillez agréer, Monsieur l’Enquêteur public, mes respectueuses salutation.
Ce projet est aberrant compte tenu de la situation climatique que nous allons devoir traverser.
Je suis absolument contre.
Merci d'en tenir compte.
N° 1307 : 25 septembre 2024 - 15:47
Auteur : René VERDEIL
Organisation : Mairie
Son avis : Favorable
Pézenas, le 25 septembre 2024,
Monsieur le Commissaire enquêteur,
Je souhaite vous adresser cette contribution car il me semble que certaines interventions au cours de cette enquête publique s’adonnent à un mal devenu légion dans la vie publique : celui des faits alternatifs.
Nos engagements de campagne
Par exemple, certains messages font référence à la campagne municipale de mars et juin 2020 ainsi qu’à la période où l’actuel Maire siégeait dans la minorité municipale (2014-2020).
Ainsi peut-on lire dans un message « Dernier point et sans doute pas le moins important : lorsque cette équipe municipale avait fait campagne contre l’ancienne majorité qui portait ce projet, elle s’était engagée à y mettre fin. »
Or, le programme de la liste « Le Printemps de Pézenas » était clair : « Un projet Saint-Christol, tant que faire se peut, repensé : sport, bien être, santé, autonomie alimentaire, énergie positive… ». Si l’engagement politique a un sens c’est effectivement celui des responsabilités.
Chacun aura pu noter que dans la campagne électorale de 2020, Armand Rivière a précisé que la promesse ne pouvait pas être la même qu’en 2014 car les enjeux financiers et juridiques n’étaient plus les mêmes. En 2014, la liste « Osons Pézenas ! » conduite par Armand Rivière s’était inclinée de 120 voix.
Durant 6 années, au Conseil municipal, il n’aura eu de cesse de rappeler au Maire en place qu’il devait se soucier de la « dette » Saint-Christol qui grossissait et qui devait être honoré en 2019. Arrivée à cette échéance, la majorité d’alors a dû trouver une solution, celle de la SEMOP. D’ailleurs, lors de la création de celle-ci, au Conseil municipal du 31 juillet 2019, il indiquait, selon le procès-verbal, « Ce soir, on rentre dans un carcan qui coûtera cher à la Ville si elle veut sortir ». Midi Libre reprenait un extrait de son intervention selon lequel « au pied du mur, vous liez les pieds et les poings de la Ville ».
Personne ne peut donc légitiment écrire qu’il n’avait pas averti qu’il faudrait assumer cette responsabilité si une nouvelle équipe majoritaire arrivait aux responsabilités.
J’ajouterais que, pour ne pas arriver à ce point-là, nous avons, durant 6 années, régulièrement sollicité le contrôle de légalité et que, en ne donnant pas suite, il a, d’une certaine manière avalisé ce projet. De même, nous avions pris la décision de former un recours en justice contre la délibération du Conseil municipal de Pézenas du 10 décembre 2015 approuvant le plan local d’urbanisme de la commune et nous avons été débouté le 5 août 2019 par le Tribunal administratif de Montpellier.
La « fausse » lettre du Ministre de la transition écologique
Plusieurs contributions, dont celle du collectif « Pour un autre projet Saint-Christol », font référence à une prétendue lettre de Monsieur Christophe Béchu, Ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires. Or, cette lettre n’a jamais existé.
En effet, le 17 mai 2023, Monsieur le Maire a été destinataire d’une lettre, relativement brève, de la Cheffe de Cabinet du Ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires à laquelle il a répondu en date du 30 juin 2023. Cette lettre nous relaye un courrier d’un administré piscénois, Monsieur R. opposé au projet Saint-Christol.
Au cours du mois de juillet, Monsieur le Maire reçoit des premiers courriers de la part d’opposants au projet, ils font référence à une prise de position du Ministre de la Transition écologique et de la cohésion des territoires. Il s’aperçoit alors que la Cheffe de Cabinet du Ministre a adressé une réponse à Monsieur Rémy. Réponse qui est plus détaillée et qui ne lui a pas été adressée en copie.
Pour autant, cette réponse est généraliste et ne se prononce pas spécifiquement sur le projet Saint-Christol. Pourtant, c’est cette réponse que les opposants considèrent comme une position du Ministre sur le projet. Ils estiment également que le Ministre aurait demandé à la ville un examen attentif à ce sujet, ce qui n’est pas non plus le cas.
Monsieur le Maire fait alors le choix d’écrire au Ministre et au Préfet pour leur faire état de cette situation. En retour, des courriers rectificatifs du Ministère seront adressés précisant « que le rappel de la position de l’Etat sur le ZAN, en tant que politique publique d’aménagement, ne seurait préjuger d’une quelconque prise de position sur le projet particulier de Pézenas », que « chaque situation doit être appréciée en tenant compte des spécificités de chaque territoire et de chaque projet » et que « le gouvernement défend une approche pragmatique du sujet en lien étroit avec les collectivités locales. » Etrangement, les opposant n’ont pas fait état de cette clarification.
Cela dénote d’un arrangement avec la vérité que nous avons pu également observer lors d’une demande rendez-vous adressé aux services et que j’ai honorée avec Franck Reiff. Lors de ce rendez-vous, les opposants du collectif avaient appelé à un rassemblement devant la Mairie où ils étaient peu nombreux et ont, dans un article dans Midi Libre, expliqué que ce rendez-vous était à notre demande.
Plus scandaleux, les courriers reçus en Mairie ont donné lieu à des réponses de la part du Maire à chaque personne. Or, en retour, une personne est venue en Mairie signaler qu’elle ne nous avait jamais écrit, son courrier vous sera remis en main propre.
Plus scandaleux, encore, les échanges mails dont la ville a été destinataire par la suite d’un envoi malencontreux d’un membre du collectif pour élaborer leur stratégie d’envoi d’un courrier type. Dans un mail, ce membre du collectif, maladroit en informatique, indique « Vont-ils se sentir harcelés?.... C'est probable, mais c'est le jeu de la saturation.... Ils doivent "exploser" psychologiquement. » Un autre poursuit : « Harcelés ? Les pauvres ! ». Il s’agit de Messieurs Ravenet et Saldana qui ont contribué à cette enquête publique et semblent avoir une conception particulière du rôle des élus et du débat démocratique.
L’avis du Conseil citoyen de la Transition écologique
Probablement par dérive complotiste, par art du « copié-collé », ou par un peu des deux, un certain nombre de contributions pose cette question « Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a-t-il pas été pris en compte ? » ou font référence à cet avis.
Le Conseil citoyen de Transition écologique a été créé par cette équipe municipale en fin d’année 2021, au moment où nous ouvrions une période de concertation car nous avions fait le choix d’inscrire le projet Saint-Christol dans une procédure publique de ZAC. A la demande du Maire, nous avons présenté le travail réalisé depuis 18 mois sur ce projet et les perspectives à venir. Il n’y avait donc pas de saisine pour avis mais bien pour information.
Nous sommes revenus, chaque fois que de besoin, apporter les informations que le Conseil a souhaité. Il a été libre, pour deux de ses collèges, de rédiger un avis à l’attention du Préfet de Département et de le faire savoir, sans que cela ne constitue une pièce légale à fournir lors de l’enquête publique.
Par contre, nous pouvons regretter que lors de la réunion du 14 mars 2022, il n’y ait eu aucune proposition d’aménagements et aucune suite donnée, de la part des membres qui ont pris l’initiative d’un avis, à nos propositions de travail, en particulier sur le futur espace pédagogique.
A noter que l’avis ne comportait aucune proposition, dès-lors comment le suivre ? Et qu’il n’était pas signé, lors de son envoi au Préfet, de l’ensemble des membres de ces deux collèges du dit Conseil.
La transparence
Certaines contributions regrettent une absence de transparence. Rappelons que ce projet, qui a connu différentes superficies, démographies et densité, date des années 2000 et que les municipalités précédentes ont mené des réunions et ateliers dont il leur appartiendrait de défendre la teneur.
Durant ces mandats, les minorités municipales ont régulièrement écrit, communiqué et distribué sur le sujet pour information.
Durant ces mandats également, différentes délibérations et documents d’urbanisme ont été adoptés et incluaient Saint-Christol.
Depuis juillet 2020, nous avons ouvert une période de concertation pour inscrire ce projet dans une procédure de ZAC. Elle a notamment donné lieu à une réunion publique où différents techniciens ont pu répondre aux questions posées et que certains posent à nouveau durant cette enquête publique. Lors de cette concertation, Monsieur le Maire avait même souhaité, à la suite que la proposition ait été formulée en réunion publique, qu’une réunion sur site ait lieu.
Sur site aussi, une balade de quartier organisée par la ville a eu lieu à l’automne 2023. Dans différentes interventions et réunions (vœux, accueil des nouveaux arrivants, bilans de mandat, présentation du budget…) le sujet a été évoqué. Différents articles dans le journal municipal et dans Midi Libre ont été publiés. Dans Midi Libre, même les opposants se sont exprimés et ils ont aussi contribué à la publicité du projet en distribuant, en se réunissant et en manifestant. Le site internet de la commune inclut une partie Saint-Christol et la Ville a fait le choix d’afficher la tenue de cette enquête publique dans davantage d’endroits que ce qui pouvait être légalement souhaité.
La dette contractée auprès de l’Etablissement public foncier d’Occitanie (EPF)
Une personne contribuant à l’enquête publique écrit : « Est-on prêt à détruire des espaces naturels, riches de biodiversité, nécessaires à l'avenir de nos enfants, dans un contexte de dérèglement climatique majeur, pour rembourser des dettes à une autre collectivité territoriale, la Région Occitanie ????? ». Il s’agit là d’une bévue majeure pour une personne engagée en politique et candidate à différentes élections. La dette contractée par la Ville de Pézenas depuis 2011 l’est auprès de l’Etablissement public foncier d’Occitanie qui n’est en rien une collectivité territoriale, pas même celle de la Région Occitanie.
L’établissement public foncier d'Occitanie, est un établissement à caractère industriel et commercial (EPIC), dédié à une mission de service public et financé par des fonds publics, créé par le décret n°2008-670 du 2 juillet 2008. Créé par décret le 2 juillet 2008, il est administré par un conseil de 55 membres et un bureau de 12 membres rassemblant élus régionaux, départementaux, conseillers communautaires et représentants de l’État
Cette méprise fait probablement référence à l’argument plusieurs fois répété des opposants selon lequel la Communauté d’agglomération, le Département et la Région devaient aider Pézenas à payer cette dette. Sur quelle base légale ? Selon quel programme d’aides ? Sur quel projet ? Les collectivités ne sont pas exemptées de répondre aux lois et codes en vigueur.
Dans une optique proche, une personne écrit : « La mairie n’a qu’à convaincre l’Etat de rembourser les 5 millions d’euros du contribuable investis pour le démarrage du projet ». Peut-être l’Etat sera convaincu par sa demande ? Il faudra tout de même préciser que ces 5 millions d’euros étaient pour l’achat des terrains et qu’ils représentent davantage pour arriver au démarrage du projet.
Les mauvaises références géographiques ou de projet
Dans de nombreuses contributions les lieux sont cités de manière « mécanique » sans forcément qu’ils soient ceux employés à Pézenas ou même les noms réels : allée de Castelnau (pour avenue ?), campagne Saint-Christol (pour quartier ou pour domaine ?), route venant de Montagnac…
Ailleurs, une personne indique « La perte des champs alentours, utilisés pour servir de terrain à ces bâtiments qui dénatureront le charmant aspect de la campagne de Béziers », une autre « votre grand projet urbain dans la commune de Saint Christol » ou « Je suis contre cette usine ». Cela relève, au mieux, d’une certaine méconnaissance du dossier ou, au pire, d’un désintérêt pour Pézenas, son Histoire et son avenir.
Tout comme cette personne qui évoque la « bétonnisation des seuls espaces naturels encore disponibles sur le commune ». La superficie totale de Pézenas est de 2974 hectares, la superficie construite ou mobilisable doit avoisiner les 317 hectares (10,66% de la superficie totale), celle des surfaces agricoles les 2117 hectares et celle des zones naturelles les 500 hectares. Les 24 hectares du projet Saint-Christol, dont seulement 13 hectares constituent une perte réelle de foncier agricole tel que l’a établie l’Etude Préalable Agricole validée par la CDPENAF et le Préfet de l’Hérault, ne représentent donc pas les seuls espaces naturels ou agricoles de la commune. Preuve en est, la Ville a agi pour remettre 14 hectares en culture à l’Auribelle !
Les logements vacants
L’affirmation qui revient régulièrement dans les contributions défavorables est qu’il y aurait 700 logements vacants à Pézenas. Reste à savoir si la « vacance » au sens de l’INSEE ne serait pas une photographie avec des logements habitables mais vides au moment du recensement (logements saisonniers, en train d’être vendus ou loués, etc.) ?
L’observatoire fiscal de la Communauté d’agglomération a, en 2022, adressé un questionnaire à 797 797 logements (maisons et appartements) estimés vacants. In fine, seulement 232 étaient réellement vacants. Ce nombre était de 344 en 2020.
La vacance résulte donc aussi de la définition appliquée et de la finesse de l’expertise mise en œuvre. Il est à noter que la Communauté d’agglomération souhaite, dans le futur, travailler davantage ces sujets notamment avec des indications spatialisées.
Je veux aussi vous préciser que la majorité municipale actuelle a fait le choix d’instituer une taxation sur les logements vacants (taxe d’habitation sur les logements vacants – THLV) afin d’inciter les propriétaires à investir, à vendre ou à louer.
Les affirmations pour faire peur
Certaines contributions répètent le nombre de 2 000 habitants supplémentaires. Nous estimations portent aujourd’hui autour de 1200 habitants.
Certaines contributions évoquent une consommation de 150 000 m3 ou de 300 000 m3 d’eau potable. D’après nos calculs, avec une hypothèse haute et une consommation moyenne de 150 litres par habitant et par jour (moyenne française), le besoin de la zone sera de 82 000 m3/an (calculé sur la base de 1500 habitants). A noter, également, que le rendement du réseau de Pézenas a atteint les 75% en 2023 comme cela a été indiqué en Conseil communautaire le 23 septembre 2024.
De la même manière, une personne déclare : « Cet hiver, des camions citernes ont approvisionné 2'000 habitants à Pézenas ». Je suis élu à la Commission locale de l’eau et je peux vous indiquer que cela est totalement faux.
Certaines contributions affirment qu’une Halle Gourmande, des nouveaux supermarchés et un Centre commercial seront créés. Ce n’a jamais été notre intention. Monsieur le Maire ayant toujours spécifié qu’il ne voulait pas de concurrence avec le centre-ville et que le concept d’Halle Gourmande n’avait pas son approbation. Son souhait est d’intégrer des services, commerces, professions libérales et médicales dans le quartier et d’imaginer un tiers lieu afin que des flux entrants et sortants rythment tant la vie de ce quartier que celle du cœur de ville. L’intégration d’activités à ce quartier est l’assurance de ne pas en faire un simple lotissement.
Certains citent la surface de 3500 m2 pour un Centre commercial à Saint-Christol. Au regard de la répartition des différents espaces, qui ne sont pas uniquement dévolus à du commerce, cela est totalement impossible d’y imaginer un centre commercial. Surtout, si l’on prend les données de prévision du centre commercial en construction à La Capucière à Bessan, il y est évoqué 9 600 m2 de surface de vente, ce qui doit porter l’ensemble à bien plus avec notamment les espaces de stockage et de stationnement.
Certains prétendent que la commune devrait financer une grande part des investissements en réalité dévolus à la SEMOP. Une personne présente même un coût global à 30 millions d’euros avec l’achat des terrains, pour laquelle seule la Ville était à l’origine engagée, et la compensation environnementale qui est due par la SEMOP. Ces personnes ne prennent pas en compte la particularité d’une SEMOP, le fait que la commune n’en soit actionnaire qu’à 40% et que c’est la SEMOP qui aura à sa charge les principaux aménagements. Surtout, c’est bien la vente des lots et des terrains qui permettra de rendre ce projet excédentaire.
Une personne identifie les logements du futur quartier de Saint-Christol comme « réservés à des populations précaires ». Certes, il y aura du logement social, pour lequel plusieurs catégories existent qui, au final, font que 80% de la population héraultaise peut y prétendre, mais il y aura aussi, et surtout, tout un parcours résidentiel et une volonté de mixité sociale allant de l’habitat aidé au lot à bâtir.
Certains évoquent l’insécurité. En disant par, exemple, « l'insécurité gagne du terrain avec l'apport de population... » ou « Ne tombons pas dans le piège des villes moyennes avec plus de logements sociaux, sans travail pour ceux qui y vivent, s'ensuit le désœuvrement source de délinquance... ». Une personne explique que « l'urbanisation, en densifiant la population, peut favoriser la transmission de maladies ». Une autre, juste après avoir parlé des « logements réservés à des populations précaires » pose la question : « Saint Christol devra-t- il ressembler à un Zoo ?! ». Je m’interroge sur le modèle de société qui lie ces personnes. Il est effectivement éloigné d’un certain humanisme et de la volonté de construire du commun.
Cela n’est qu’un florilège de quelques remarques relevées, il serait trop long de toutes les détailler tant certaines sont arrivées en nombre et sont parfois identiques. Je sais qu’une réponse devra être apportée par le maître d’ouvrage et qu’il le fera de manière consciencieuse à l’instar d’une équipe municipale qui a souhaité assumer ses responsabilités pour ne pas bloquer Pézenas et continuer à porter des projets pour elle dont de nombreux sont en cours de réalisation en cœur de ville.
Cette déformation de la réalité, comme certaines menaces, me paraissent desservir la démocratie ainsi que l’œuvre démocratique que doit représenter une enquête publique.
Avant de conclure, je veux également regretter que certains anciens élus, déposant des contributions « défavorables » lors de cette enquête publique, oublient :
Qu’ils ont été élus majoritaires de 1983 à 1995 et qu’ils ont contribué à commencer à inscrire Saint-Christol dans les documents d’urbanisme,
Qu’elle a été élue majoritaire de 2014 à 2020 et ne s’est jamais opposée au projet,
Qu’il a été élu minoritaire de 2008 à 2017, qu’il aurait très bien pu saisir la justice lorsque la ville a passé sa convention avec l’Etablissement Public Foncier d’Occitanie en 2011 et l’avenant de 2014 et ne pas démissionner au moment où il aurait pu s’exprimer sur Saint-Christol et la SEMOP.
Cela confirme que notre équipe, comme toute équipe municipale, doit faire avec l’héritage, en bon comme en mauvais, pour toujours l’amener vers du mieux.
Vous remerciant de l’attention que vous accorderez à la présente, je vous prie de bien vouloir croire, Monsieur le Commissaire enquêteur, à l’expression de ma considération distinguée.
René Verdeil
Adjoint aux finances
Vice Président de la SEMOP
N° 1306 : 25 septembre 2024 - 15:46
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Pourquoi faire des logements et des commerces dans un des seule endroits de Pézenas qui reste encore en campagne. L’urbanisation est déjà trop importante et on voit les conséquences que cela peut avoir sur la terre. Assèchement des rivières et nappe phréatique. Inondation et non absorption en période de crue cévenole.
N° 1305 : 25 septembre 2024 - 15:43
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Les détracteurs de ce projet n’ont pas de problème pour ce loger!!!
Il y a 14 millions de personne mal logées en France, et notre région ne fait pas exception. Les bâtiments existants ne peuvent pas absorber le déficit en logt.
C’est pourquoi je suis pour.
Le sérieux des études et des services de l’état qui y on été associés ne me laisse aucun doute quand à la prise en compte de l’alimentation en eau et à la gestion des eaux pluviales.
Je suis donc favorable ce projet
N° 1304 : 25 septembre 2024 - 15:42
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Nous souhaitons préserver la sérénité de ce site d'autant que les infrastructures (routes) ne sont pas du tout adaptées.
N° 1303 : 25 septembre 2024 - 15:31
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Monsieur le Commissaire enquêteur,
Le projet de St Christol semble en totale inadéquation avec les enjeux actuels de société :
- une pression sur la ressource en eau dangereuse
- une imperméabilisation des sols dans un secteur à fort risque d'inondation
- la destruction de terres arables au détriment de la souveraineté alimentaire
- la perturbation d'un écosystème remarquable
- la destruction du patrimoine vernaculaire avec ses murets, ses arbres fruitiers, ses norias
- le non sens écologique de créer autant de logements ex nihilo, à distance du centre-ville et de ses équipements
- la place réduite et à la marge du projet des déplacements doux entre St Christol et Pézenas
- l'encouragement des déplacements en voiture (combien de véhicules personnels pour 700 logements ?)
- le manque d'urbanité du lieu, antenne dortoir, avec les problématiques que cela génère (cf crise des gilets jaunes)
- le non respect de l'objectif zéro artificialisation nette
- la charge supplémentaire qui pèsera pour l'entretien des voiries, réseaux
...Et j'en oublie probablement. Ce projet irréversible d'une autre époque, en poursuivant des objectifs discutables (engagement financier, augmentation du nombre de piscénois), nie les réalités sociales et environnementales du monde dans lequel nous entrons.
Quelle ville voulons-nous pour demain, pour nous et nos enfants ? Pas celle qui est proposée dans ce projet en ce qui me concerne. J'incite les porteurs de ce projet à lire et à s'inspirer, entre autre, du manifeste pour une frugalité heureuse et créative qui pose les jalons de la ville de demain économe, responsable et profondément humaine.
Dans l'espoir que cette nouvelle enquête publique servira, cette fois, à faire entendre les voix de la raison...
N° 1302 : 25 septembre 2024 - 15:30
Auteur : Christophe Laget
Son avis : Favorable
Dès sa création, ce projet ambitieux s'est attaché à l’harmonie et au respect du terroir local, la préservation de l'environnement et la protection de la biodiversité. Pour ne citer que quelques exemples, les murets de pierres et les bosquets seront mis en valeur, un espace écologique à vocation pédagogique constituera un lien naturel entre les différents îlots d’habitations.
Pourquoi ce projet est essentiel ?
1. Répondre à un besoin criant de logements : Notre région souffre d'un déficit de logements adaptés aux besoins des familles, des jeunes actifs et des personnes âgées. Ce projet vise à combler cette lacune et à offrir des solutions durables en matière d’habitat. Ce à quoi le centre ancien ne pourra pas répondre
2. Soutenir l’économie locale : Les retombées économiques de ce projet sont majeures, avec la création d’emplois directs et indirects dans le secteur du BTP et au-delà. En favorisant cet investissement, nous donnons un coup de pouce vital au tissu économique local.
3. Un projet exemplaire en matière de durabilité : Contrairement aux affirmations des détracteurs, ce projet respecte des normes environnementales strictes, est force de propositions en matière de préservation du vivant et a été conçu pour s’intégrer harmonieusement dans son environnement.
4. Préserver l’avenir de notre région : Sans ce projet, nous risquons de voir des fermetures d’entreprises locales, une stagnation économique et un affaiblissement de la cohésion sociale. Il est de notre responsabilité collective de soutenir les initiatives qui assurent un avenir prospère à Pézenas et ses alentours.
N° 1301 : 25 septembre 2024 - 15:30
Auteur : Christiane Bruns
Son avis : Défavorable
Je suis contre le projet St Christol qui ne répond en rien aux problématique environnementales et hydrique d'aujourd'hui. Je travaille dans le maraîchage et je connais la valeur d'une terre arable, bien qu'elle soit en jachère aujourd'hui, nous en auront besoin tot où tard. Seulement l'artificialisation de ces terre sera irréversible.
Stop a l'apétit des promoteurs.
N° 1300 : 25 septembre 2024 - 15:26
Auteur : Aline Hozenat
Organisation : Habitante
Son avis : Favorable
Trop d'attente et trop cher pour se loger et oui je suis favorable surtout que Pézenas est une ville attractive.
N° 1299 : 25 septembre 2024 - 15:19
Auteur : Marc PEPI
Son avis : Favorable
Observation en complément de celle écrite le 24 septembre relative au centre thermoludique
Les réseaux, accès, espaces verts etc. du futur centre thermoludique représentent un investissement non négligeable (de l’ordre de 800.000 à 1 million d’euros).
Le fait de les réaliser dans le cadre du projet Saint-Christol permettra d’économiser 40 % de ce coût global. Et donc autant d’économies pour la Ville de Pézenas, l’Agglo Hérault-Méditerranée etc.
Comme nous le disions précédemment, le choix de Saint-Christol pour l’implantation de ce centre de Bien-être, tombe sous le sens puisqu’il induira :
• la création d’emplois en CDI et la stabilisation des postes d’autres commerces et services du territoire.
• la mutualisation du financement des infrastructures en les réalisant concomitamment avec celles du quartier,
• la réorientation du site, engagée depuis 2020.
N° 1298 : 25 septembre 2024 - 15:18
Auteur : Audrey RAYSSAC
Son avis : Favorable
Le projet de Saint-Christol, constitue une réponse réfléchie aux multiples contraintes locales, élaborée en concertation avec les services de l’État, les riverains et des experts locaux et nationaux. Il répond à un besoin criant de logements dans notre région, qui souffre d’un déficit en habitats adaptés aux familles, jeunes actifs et personnes âgées. Ce projet vise à combler cette lacune, en proposant des solutions durables. Il permet également de dynamiser l’économie locale en générant des emplois directs et indirects dans le secteur du BTP et au-delà, apportant un soutien indispensable à notre tissu économique.
Outre ces aspects, ce projet se distingue par son approche avant-gardiste en matière de durabilité, intégrant des innovations environnementales inédites en France. Contrairement à ce que certains détracteurs avancent, il devance les normes environnementales strictes et propose des solutions concrètes et innovante pour la préservation du vivant, tout en s’intégrant harmonieusement à son environnement végétal et bâti. En apportant une extension contemporaine au bourg historique de Pézenas, il participe aussi à l’équilibre démographique de la ville.
Je ne peux que soutenir cette initiative, qui contribuera au bien-être de Pézenas et de ses habitants.
N° 1297 : 25 septembre 2024 - 15:17
Auteur : Guy RIVIÈRE
Organisation : SCI familiale
Son avis : Favorable
Oncle du maire, j'ai longtemps hésité avant de me décider à écrire.
Personnellement, je suis parti habiter à une douzaine de kms pour que mon épouse soit moins éloignée de sa famille et pour qu'elle n'ait pas de déplacement professionnel.
Je suis le gérant de la SCI familiale créée au sein de notre fratrie, puisque nous avons entrepris la réhabilitation de la maison familiale dans le secteur sauvegardé de Pézenas.
Son coût, dans l'acception la plus large du terme, est lourd, long, harassant.
Est-ce qu'une telle entreprise est supportable par tous ceux qui ont une maison ancienne en ville ? Je m'interroge.
Ancien DGS de mairie, aujourd'hui retraité, j'ai longuement étudié le projet de ZAC de Saint-Christol, pesant le pour et le contre, comparant le projet initial datant d'avant 2020 avec le projet actuel, ainsi que prenant en considération le point de vue des opposants.
Qu'il y ait des logements vacants en ville, c'est un constat. Mais qui en maîtrise le foncier ? Est-ce que chaque propriétaire est en mesure de se lancer dans une rénovation aux normes, vu son prix, sa lenteur, sa lourdeur, malgré les aides pécuniaires de l'ANAH et administratives de la CAHM ? J'en sais quelque chose pour le vivre au sein de la SCI familiale.
Le parc privé de logements inhabitables est tel que les finances communales ne peuvent s'y consacrer, d'abord en les achetant, ensuite en les réhabilitant. Il y faudrait le budget de plusieurs années au détriment des services publics municipaux et autres investissements.
Alors comment permettre aux piscénois de rester habiter là où bien souvent ils travaillent et ils vivent, c'est à dire où ils ont un lien social ? Comment poursuivre l'accueil de nouveaux arrivants qui, comme bon nombre de leurs prédécesseurs, sont tombés sous le charme de Pézenas ?
Le projet actuel St Christol est une réponse. Il se démarque grandement du précédent, en prenant conscience de l'aspect environnemental du site, en en divisant considérablement l'implantation, en en privilégiant la requalification écologique mais, surtout, en offrant des logements neufs, fonctionnels et construits en respect des normes environnementales actuelles.
Il n'y a pas de projet des opposants. Il y a des idées, des réflexions qui ont le mérite d'exister mais qui n'apportent pas de réponse ni au déficit d'habitats ni à la problématique de la dette pendante.
"Entre deux maux, on choisit le moindre" dit le proverbe.
N° 1296 : 25 septembre 2024 - 15:13
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Le projet proposé répond à des enjeux majeurs pour la région de Pézenas. D'une part, il vise à pallier le déficit en logements adaptés aux besoins variés des familles, jeunes actifs et personnes âgées. D'autre part, il contribue à dynamiser l'économie locale en générant des emplois, tant directs qu'indirects, renforçant ainsi le tissu économique régional. Ce projet se distingue également par son engagement en faveur de la durabilité, en respectant des normes environnementales rigoureuses et en s'intégrant harmonieusement dans son cadre naturel.
N° 1295 : 25 septembre 2024 - 15:04
Auteur : Matthis Eglin
Organisation : Civil
Son avis : Défavorable
Bonjour, je vous fait part de mon avis quant au projet de construction de saint christol.
Selon moi il peut être envisageable de construire un tel quartier si le but était de suivre la folie des grandeurs de nos communes voisines. Or nous avons à Pezenas une histoire bien particulière, un charme qui fait venir un tourisme venant de bien loin. Nous pourrions parler de son centre historique et ses artisans, son marché, ses nocturnes, sa vieille gare et tant d’autres choses que nous savons si bien. Un lotissement n’est pas l’âme de Pezenas. Il aggraverait les phénomènes météorologiques de part la bétonisation des sols et le réseau routier n’est pas adapté.
N° 1294 : 25 septembre 2024 - 14:59
Auteur : Gisele SAUDO
Son avis : Favorable
favorable pour l'avenir de PEZENAS.
N° 1293 : 25 septembre 2024 - 14:57
Auteur : André SAUDO
Son avis : Favorable
Favorable pour le futur de PEZENAS.
N° 1292 : 25 septembre 2024 - 14:55
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je suis favorable à ce projet d'aménagement qui doit continuer à faire grandir notre ville, c'est avant tout une nécessité pour nos générations futures qui désertent la ville au profit des petits villages qui deviennent grands mais pour qui Pézenas est essentiel. C'est le maintien d'une brigade de gendarmerie et l'assurance de maintenir aussi tous les services publiques dont bénéficient Pézenas avec ce rôle de centralité. L'autonomie alimentaire ?? Cela me paraît tellement démago d'y penser mais ne rien proposer. Il est également égoïste pour les
gens qui contestent ce projet de ne penser qu'à leur petit confort, effectivement ils ont leur "petite villa" bien confortable. Pourquoi ne vont il pas vivre en centre ville ? Bien sur que le futur doit nous permettre de réhabiliter le coeur de ville mais il faudra forcément avoir des solutions d'hébergement en compensation.
N° 1291 : 25 septembre 2024 - 14:54
Auteur : ALAIN GRENIER
Organisation : Monsieur
Son avis : Favorable
Le Projet de Saint Christol à Pézenas ressemble à une histoire sans fin !
Lancé en 1993, car déjà le développement de la ville à l’ouest commencait à saturer l’espace communal de ce côté-là, il avait comme inconvénient d’être de l’autre côté de la Peyne et d’une zone inondable, mais l’avantage de remettre le cœur de ville au centre de la cité . Autre inconvénient et non des moindres, poussé par la municipalité d’Alain Vogel, Il fallait que l’opposition d’alors l’empêche à tout prix, comme tous les autres projets de la ville, commerce, Thermalisme, et donc habitat. Cela a fonctionné puisque les projets commerciaux et de thermalisme ont disparus ( au profit d’autres communes comme Roujan ou Bessan).
Et Saint Christol a été tellement retardé que les piscénois résidents ou futurs, pour améliorer leur « parcours résidentiel » pendant les derniers vingt ans, sont allé bétonner les villages alentours et parcourent aujourd’hui plusieurs fois par jour les routes qui mènent à Pézenas. Que ceux qui parlent de préservation des terres agricoles et de bilan carbone y regardent à deux fois.
Donc, même si la municipalité actuelle n’a peut-être pas eu d’autre choix que de prendre à sa charge ce dossier, j’espère qu’elle va pouvoir le mener à bien dans l’intérêt majeur de la population de la ville de Pézenas.
N° 1290 : 25 septembre 2024 - 14:49
Auteur : Nathalie PAVILLON
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la multiplication des périodes de sécheresse sur nos territoires et d’une ressource en eau déjà en tension, est-il soutenable d'envisager l'installation de 2000 habitants supplémentaires sur la commune de Pézenas. Pour rappel, des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes. L'accès de tous à l'eau dans les années à venir n'est pas garanti. Il faut limiter tout projet ayant un impact sur l'accès à la ressource.
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, va contribuer à une augmentation de l'artificialisation des sols. Ce qui va à l'encontre de ce que préconisent les scientifiques pour faire face à l'évolution climatique (notamment des épisodes de précipitation extrêmes). Un tel projet peut exposer plus fortement certaines zones sensibles du la ville de Pézenas (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…) ; de plus, ce projet serait un obstacle au rechargement correct de la nappe phréatique.
Ce projet participerait à la destruction de 24 hectares de terres agricoles fertiles qui à plus ou moins long terme manqueront à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois.
D'autres questions se posent également: La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était pas ?
Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune ( notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au dessus de la Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
Comment pourrait être absorbé 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas reste-t-il caché à la population et n’est-il pas joint au dossier ?
Ces différents éléments semblent suffisamment importants à la citoyenne que je suis pour donner un avis défavorable à ce projet.
N° 1289 : 25 septembre 2024 - 14:49
Auteur : Marie-Frédérique De Regil
Son avis : Défavorable
Mais comment expliquer cette frénésie , cette course folle au bétonnage, à l'abattage d'arbres , de coupes rases , partout en France et plus précisément à Pézenas?
Comment nos dirigeants, à commencer par nos petits maires et bien entendu plus haut dans la hiérarchie, notre gouvernement, n'entendent-ils pas les hurlements des scientifiques et autres chercheurs quant à l'état de notre situation?
Il suffit d'observer l'avancement des dégrats, chaque année plus dévastateurs. Il faudrait être sourd ou aveugle ou fou pour ne pas en prendre conscience.
Qu'attendent-ils ? Des morts ? Le chao ?
Décroître ou périr. Tout est dit.
la décroissance n'est pas à l'ordre du jour de toute évidence. Hélas !
Commençons donc par protéger nos terres, alors. Cessons le massacre, maintenant, tout suite.
Ne construisez pas ST Christol !
Merci .
N° 1288 : 25 septembre 2024 - 14:48
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Madame Monsieur,
Voici quelques éléments à prendre en compte dans le cadre de ce projet :
1. **Problématique de l’eau dans un contexte de sécheresse croissante :**
Dans une région déjà touchée par des périodes de sécheresse de plus en plus longues et une gestion de l'eau en tension, il est légitime de se demander si les ressources en eau seront suffisantes pour alimenter un tel projet immobilier. Durant l’hiver dernier, plusieurs villages aux alentours ont dû être approvisionnés en eau par camions-citernes. L'ajout de 2 000 habitants supplémentaires à Pézenas risque d'aggraver cette situation. Où trouverons-nous l’eau nécessaire pour assurer les besoins de cette population croissante ?
2. **Impact environnemental sur l’hydrologie locale :**
La bétonisation de 24 hectares de terres agricoles à Saint Christol risque d’avoir un effet délétère sur le cycle de l’eau. En supprimant une zone d’absorption naturelle, le ruissellement des eaux pluviales vers les zones déjà sensibles de la ville pourrait s’intensifier, augmentant le risque d’inondations dans les secteurs vulnérables comme la rue Conti, l’avenue de Castelnau, ou encore les Calquières basses et hautes. De plus, la réduction des surfaces perméables ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique, ressource déjà sous pression.
3. **Perte de terres agricoles fertiles :**
La destruction de ces 24 hectares de terres agricoles, particulièrement fertiles, entraînerait une réduction significative de la production alimentaire locale, affaiblissant ainsi l’approvisionnement en produits agricoles du Piscénois. Alors que l’importance des circuits courts et de l’agriculture locale est de plus en plus reconnue, cette perte de terres arables serait dommageable pour la souveraineté alimentaire locale.
4. **Augmentation du trafic routier :**
L’ajout de 700 nouveaux logements entraînerait une augmentation de 17 % du trafic routier, un chiffre considérable dans une ville comme Pézenas. Comment le réseau routier, notamment le pont de la Peyne, pourrait-il absorber cet afflux sans entraîner des embouteillages, une augmentation de la pollution et des nuisances sonores pour les riverains ? Aucune solution viable n’est actuellement proposée pour gérer cet impact sur la mobilité urbaine.
5. **Équilibre commercial menacé :**
La création d’une Halle Gourmande de 700 m² à Saint Christol pourrait nuire au commerce local, notamment celui du centre-ville de Pézenas. En attirant une partie de la clientèle vers cette nouvelle zone, il y a un risque de désertification commerciale du centre historique, déjà en difficulté. Le projet de nouvelle Halle ne doit pas se faire au détriment des commerces existants.
6. **Capacité des infrastructures scolaires :**
Avec l’arrivée de nombreuses familles, il est nécessaire de se demander si les infrastructures scolaires, notamment les écoles primaires, seront capables d’accueillir tous ces nouveaux élèves. Les investissements scolaires dépendent de la commune, mais aucune garantie ni plan précis n’a été présenté pour la construction de nouvelles écoles ou l’agrandissement des infrastructures existantes. De plus, si des fonds importants sont alloués à ce nouveau quartier, cela pourrait compromettre les budgets destinés à d'autres secteurs, comme la rénovation du centre-ville.
7. **Capacité de la station d'épuration :**
La station d’épuration actuelle est-elle en mesure de traiter les eaux usées supplémentaires générées par ces 2 000 nouveaux habitants ? Si ce n’est pas le cas, des investissements conséquents devront être réalisés, ce qui représenterait un coût supplémentaire pour la commune. Une question cruciale reste sans réponse : comment la commune financera-t-elle ces infrastructures sans alourdir la fiscalité locale ?
8. **Investissements supplémentaires à la charge de la commune :**
La mise en place d’infrastructures supplémentaires, telles que des liaisons piétonnes et cyclables entre Saint Christol et Pézenas, ou la gestion des zones inondables et des routes environnantes (comme celle de Nizas), générera des coûts significatifs pour la commune. Ces dépenses n’ont pas été intégrées dans l’analyse du projet et risquent de grever le budget municipal.
9. **Manque de transparence dans la gestion du projet :**
Enfin, il est inquiétant de constater que l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n’a pas été rendu public ni joint au dossier. Ce manque de transparence nuit à la confiance des citoyens dans le processus de consultation publique et laisse planer des doutes sur les réelles motivations derrière ce projet.
**Conclusion :**
Le projet de création d’un quartier de 700 logements à Pézenas, bien que répondant à des besoins en termes de logements, pose de nombreuses questions quant à sa faisabilité, son impact environnemental et social, ainsi que les coûts pour la commune. Il est essentiel que ces préoccupations soient sérieusement prises en compte avant de poursuivre ce projet.
N° 1287 : 25 septembre 2024 - 14:40
Auteur : Bernard BETANT
Son avis : Défavorable
Venant régulièrement à Pézenas et y séjournant en lisière du projet, je formule un avis très défavorable pour ce projet qui va déséquilibrer manifestement l'organisation de Pézenas, nuire au centre ville, générer des flots de véhicules sur des voiries non adaptées et provoquer des nuisances durables pour les riverains.
N° 1286 : 25 septembre 2024 - 14:27
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Projet très abouti et argumenté
N° 1285 : 25 septembre 2024 - 14:23
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Investissement nécessaire au tissu économique de PEZENAS
N° 1284 : 25 septembre 2024 - 14:23
Auteur : Jean-MIchel Ballestero
Son avis : Défavorable
Je suis défavorable au projet de Saint Christol tel qu'il est présenté pour les raisons citées dans le courrier déposé en Mairie le lundi 23 septembre 2024.
N° 1283 : 25 septembre 2024 - 14:21
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Ce projet ressemble de près comme de loin à un écocide pur et simple; à peine dissimulé par les intérêts financiers qu'ils génèreraient au profit des promoteurs immobiliers qui attendent avec impatience de donner le premier coup de pelle. Le bétonnage massif de ces terres cultivables est un non-sens écologique, l'accroissement du stress hydrique de cette zone et de la ville de Pézenas en général est une aberration au vu des épisodes cévenols que nous essuyons. C'est une réelle mise en danger de notre patrimoine naturel, sacrifié sur l'autel du profit comme à l'accoutumé. L'argument du besoin de logement est lui aussi bien léger au vu du nombre de maisons et appartements fermés, à l'abandon dans le centre-ville et qui pourrissent à vue d'oeil. Commençons par réhabiliter l'existant plutôt que de construire des immeubles de pacotille qui ne feront qu'appauvrir nos ressources naturelles déjà bien fragiles.
N° 1282 : 25 septembre 2024 - 14:10
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Il est important de participer à la vie de sa région. C’est dans cette optique que j’ai pris connaissance du dossier présenté. Je suis favorable à la réalisation de ce projet. Il est nécessaire que la ville sorte de la logique « tout automobile ». L’apport d’un quartier conçu et développé avec une approche plus « circulation douce » est important pour une commune. Il faut dynamiser cette ville qui présente un grand potentiel sans lui faire perdre le charme qui la caractérise. Cette réalisation ne se fera pas au détriment de la ville mais lui apportera un souffle. Les études semblent avoir approfondies les recherches environnementales et apporter des réponses intéressantes.
N° 1281 : 25 septembre 2024 - 14:10
Auteur : Faroux Christian
Son avis : Favorable
Il me semble que ce projet a été développé de manière moderne en prenant en compte l'ensemble des impacts qu'il peut engendré et en respectant les séquences d'évitement, de réduction et de compensation. Par ailleurs, il permettra à Pézenas de répondre à une crise du logement locale et de l'Ouest Hérault, et de remplir une dent creuse que personne ne se donnera la peine de combler si le projet ne se fait pas. Économiquement nécessaire, écologiquement respectueux, bien pensé et bien conduit, cet aménagement semble plus que pertinent.
Christian Faroux
N° 1280 : 25 septembre 2024 - 14:03
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Projet indispensable avec des logements pour nos enfants et ainsi éviter l'évasion de la population vers des zones plus favorables. Relancer l'économie qui va se retrouver exangue après les travaux de verdun.
Pezenas est entrain de mourir les commerces du centre ville ferment. On voit les villes environnantes au contraire se développer la ville a raté le coche de son développement futur, mobilisons nous pour que la perspective d'accueillir de nouveaux habitants puisse deboucher sur de nouvelles activités sur un bassin d'emploi sinistré
Apport non négligeable d'une mane financière pour le budget de la ville. Projet qui met aussi en avant des mesures ecoresponsables en terme de bâti et de réseaux.
N° 1279 : 25 septembre 2024 - 13:56
Auteur : Lionel ANDRE
Son avis : Favorable
Je trouve ce projet bien fondé et d'utilité publique
N° 1278 : 25 septembre 2024 - 13:55
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Nous habitons depuis 50 ans dans ce quartier de St Christol, donc 5 personnes et depuis nous devons aller nous approvisionner en eau potable en grandes surfaces en bouteilles plastique, nous sommes bouleversés par tous ces déchets de plastique, nuisibles pour nous tous et la planète entière.
Nous étions au courant de cet inconvénient, mais trop optimistes pour envisager tous ces énormes dérangements aussi rapidement.
A présent cet objectif de création de lotissement dans ce secteur, nous laisse pantois, il y aurait donc la possibilité d'alimenter en eau autant de population ????
Nous sommes opposés à cette réalisation.
N° 1277 : 25 septembre 2024 - 13:55
Auteur : Cécile DOS SANTOS
Organisation : Conseillère Municipale - Ville Inclusive & petite enfance - Mairie Pezenas
Son avis : Favorable
Sensible à la situation des personnes en situation de handicap, je connais le besoin de logements adaptés aux personnes à mobilité réduite. Les logements sociaux les plus anciens ne sont pas forcément adaptés. De nouveaux logements permettront de répondre à ces besoins.
La résidence autonomie répondra quant à elle à certaines problématiques en lien avec l'âge et le vieillissement tout en assurant, tant que cela est possible, un maintien à domicile.
N° 1276 : 25 septembre 2024 - 13:52
Auteur : RANI NAILI
Son avis : Favorable
Je suis favorable au projet car il est important économiquement et nécessaire aux développement du territoire.
N° 1275 : 25 septembre 2024 - 13:49
Auteur : Erwann THIBAUD
Son avis : Favorable
Mr le commissaire enquêteur,
Ce projet en mon sens et un projet respectant les réglementations et normes établies par l'état Français.
Ce projet est tourné vers l’avenir tout en répondant au besoin des Piscenois.
Le manque de logement et l’attractivité du territoire notamment.
N° 1274 : 25 septembre 2024 - 13:43
Auteur : Alain Vogel Singer
Organisation : Union Pour Pézenas
Son avis : Favorable
Ce dossier est transmis par le Groupe minorité municipale Union Pour Pézenas:
Alain Vogel Singer, Valerie Forme, Kevin Verticcione, Annick Satger, Serge Ivorra
Le projet paraît séduisant aux premiers abords : il faut bien loger les gens, tout sera éco-conçu, on va préserver l’esprit du quartier et garder les murets existants (nous voilà rassurés), et puis y’aura des magasins, on veut de la croissance, toujours de la croissance,
Mais tout ce projet n’est que non sens : destruction de terres arables et de la biodiversité, bétonisation et artificialisation des sols, multiplication des parkings pour encourager encore l'usage de la voiture individuelle, des nuisances sonores pendant la construction, plus de trafic routier sur des axes déjà très fréquentés… Sans parler du stress hydrique déjà présent dans la région pour les habitants et les cultures ou des risques d’inondation comme en 2019, tout cela aggravé par l’artificialisation des sols.
Pour rappel, un consensus scientifique a permis d’établir les 9 limites planétaires, seuils au-delà desquels les équilibres naturels terrestres pourraient être déstabilisés et où les conditions de vie deviennent défavorables à l’humanité. Parmi ces 9 limites, 6 ont déjà été dépassées, dont notamment l’érosion de la biodiversité et le changement d’usage des sols.
“Ce ne sont que 24 hectares dans la petite ville de Pézenas, ça ne va pas changer la face du monde” ? Mais multiplié à l’échelle de toutes les communes de France, imaginez bien l'ampleur du problème.
C’est le quotidien de tous qui va changer. Et que restera-t-il ? Adieu les promenades dans les chemins et à travers les champs de coquelicots. Le quartier actuel est un havre de quiétude pour les habitants et famille de Pézenas.
Chaque année partout en France de nouveaux quartiers éclosent, empiétant encore et encore sur des lieux de repos, de promenade et de nature. Pourquoi continuer ainsi au lieu de réhabiliter les logements vacants ou vetustes du centre historique, plutôt que d'étendre indéfiniment la ville au détriment de notre environnement et de notre qualité de vie ?
Préservons ce qui fait l'âme de cette ville d’art et d’histoire et faisons des choix qui respectent nos traditions et nos paysages. Il est encore temps de reconsidérer ce projet et d'opter pour un développement plus harmonieux, en adéquation avec notre histoire et nos valeurs.
Merci de votre considération
N° 1272 : 25 septembre 2024 - 13:27
Auteur : Véronique VALÉRY
Son avis : Défavorable
L’envergure et les conséquences, quelles qu’elles soient, d’un tel projet sur la vie de la cité méritent une réflexion étendue et une consultation de toute la population piscénoise.
N° 1271 : 25 septembre 2024 - 13:24
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Un projet de grande qualité urbaine, écologique et architecturale qui va permettre à Pézenas de poursuivre son urbanisation raisonnée. Qui va permettre à Pézenas de maintenir une activité économique dans l'Occitanie.
Ce projet doit vivre
N° 1270 : 25 septembre 2024 - 13:23
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Je conteste la légitimité de ce projet. Qui va servir principalement les intérêts du secteur immobilier. Artificialisées des terres ar intérêts financiers a l'heure ou les inondations fulgurantes et autre conséquences climatiques se multient ne devrait pas être permis. Un tel projet ne doit pas voir le jour.
N° 1269 : 25 septembre 2024 - 13:08
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Délire écologique à stopper !!
N° 1268 : 25 septembre 2024 - 13:04
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Stop !!
N° 1267 : 25 septembre 2024 - 13:00
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Folie caractérisée !!stop !!
N° 1266 : 25 septembre 2024 - 12:58
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Trop de contraintes financières écologiques et finalement trop d incohérences je pense Qu il ne faut pas que ce projet occupe les discussions et qu il disparaisse tout simplement
N° 1265 : 25 septembre 2024 - 12:58
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Grands ensembles immobiliers et petit village font rarement la paire.
N° 1264 : 25 septembre 2024 - 12:56
Auteur : Sylvia Vidal
Organisation : Proteine
Son avis : Favorable
Je suis favorable au projet , aujourd’hui Pezenas à besoin de se developer , il est compliqué de répondre aux besoins des citoyens de la ville . St Christol va créer des logements , de l’emplois tout en ayant un regard novateur sur l’environnement.
Il faut le mener à bout si nous ne voulont pas que les Piscénois aillent vivre dans les communes des alentours .
N° 1263 : 25 septembre 2024 - 12:38
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Beaucoup de bêtise et d inconscience dans ce projet !!
N° 1262 : 25 septembre 2024 - 12:36
Auteur : Yoann Barré
Son avis : Favorable
Je souhaite que ce lieu reste naturel
N° 1261 : 25 septembre 2024 - 12:26
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Deficit de logements sociaux à réduire....
N° 1260 : 25 septembre 2024 - 12:25
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Très beau projet, bravo
N° 1259 : 25 septembre 2024 - 12:23
Auteur : anonyme
Son avis : Ne se prononce pas
Un peu plus ou un peu moins de béton sur Terre...
C'est la loi de l'univers, d'ici 2 milliards d'années, notre soleil, comme toutes les étoiles en fin de vie, sera devenu une "géante rouge".
Son diamètre enflera et englobera les planètes du système solaire.
Après 5 milliards d'années d'existence, notre planète sera, donc, finalement absorbée par le Soleil qui détruira toute trace de vie et dispersera molécules et atomes à travers l'espace.
C'est la loi de l'univers.
La fin de l'humanité, elle, devrait arriver bien avant la fin de la Terre elle-même; dans environ 500 millions d'années.
Alors, Un peu plus ou un peu moins de béton sur Terre...
Et, nous, bétonneurs, pollueurs en tous genres, sommes tout à fait capables d'écourter ce délai à quelques siècles, voire décennies, vu ce que nous faisons quotidiennement subir à notre planète.
Tu comprends, mon petit, mon enfant, ce qu'il t'attend ?..
N° 1258 : 25 septembre 2024 - 12:21
Auteur : Mireille Durand
Son avis : Favorable
Monsieur le Commissaire Enquêteur,
Le projet de ZAC de Saint-Christol apporte les garanties financières quant à la qualité environnementale de son aménagement.
Ce sont les deux crédos d'une bonne gestion municipale : urbanisme/aménagement induisent développement/financement.
Si "Un autre projet est possible", quid de son financement et je reste atterrée du vide sidéral à ce sujet.
Comment pouvoir imaginer que l'État et les collectivités partenaires vont couvrir les 5.000.000 € de dette sans aucune contrepartie ?
Par contre, le projet de la ZAC du quartier de St Christol couvre non seulement la dette à rembourser mais également les aménagements environnementaux.
N° 1257 : 25 septembre 2024 - 12:20
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Il faut protéger, pas de questions a se poser
N° 1256 : 25 septembre 2024 - 12:20
Auteur : Pierre Hardy
Organisation : militant LES ECOLOGISTES
Son avis : Défavorable
Je me prononce contre ce projet qui n'est pas du tout dans la réalité de l'évolution des contraintes en matière d'urbanisme.
Dès à présent et pour notre avenir et celui des générations futures il est fondamental et indispensable de prendre davantage en compte, de placer en première priorité :
Le respect de l'environnement, la prise en comptes de l'évolution climatique notamment dans nos territoires, la prise conscience de la nécessité d'améliorer la qualité de notre alimentation pour préserver notre santé.
Au delà des mots cela signifie concrètement :
Stopper l'artifilisation des sols dans le respect strict de la loi ZAN
Créer partout et surtout dans la ville et aux abords de la ville toutes les conditions les meilleures pour préserver le vivant , la bio diversité.
Favoriser la valorisation des terres agricoles par l'installation de paysans.es , de maraichers.es pour une meilleure alimentation des populations en circuit court.
Prévoir les ouvrages nécessaires pour se préserver des pluies d'orages centenaires, pour éviter les inondations en ville.
Etre vigilant dans ce territoire sur les conséquences de l'augmentation de la consommation d'eau potable alors que nous sommes depuis plusieurs années en vigilance sècheresse.
Par ailleurs l'augmentation significative de la population sans préparation des infrastructures collectives nécessaires - Ecoles et autres Equipements- engage la collectivité vers des difficultés croissantes.
Pour toutes ces raisons ce projet de nouveau quartier ne doit pas voir le jour
J'ajouterai que ce qui aura plus de sens c'est de faire encore davantage vivre la ville d'aujourd'hui , avec une vraie politique de réhabilitation des logements et en préservant le commerce local.
NON A CE PROJET DE QUARTIER SAINT CHRISTOL NON A L ABANDON DES TERRES AGRICOLES PROCHES DE LA VILLE
N° 1255 : 25 septembre 2024 - 12:17
Auteur : Nicolas Damange
Son avis : Défavorable
Désastre écologique. Paix pour les habitants de Pezenas en colère contre ce projet.
N° 1254 : 25 septembre 2024 - 12:06
Auteur : Marc AUPETITGENDRE
Son avis : Favorable
Le projet Saint Christol est en études depuis des années, prenant en compte l'ensemble des contraintes. Il a été pensé en collaboration avec l’ensemble des services de l’Etat, les riverains, des experts nationaux et locaux dès son origine. Il permettra de répondre en parti au déséquilibre démographique de Pézenas, en proposant un prolongement contemporain du bourg historique. Ce projet intègre des innovations environnementales inédites en France, marquant une démarche avant-gardiste en matière de développement durable et de gestion éco-responsable des ressources naturelles.
Ce projet me parait exemplaire dans sa conception. Il sera une réelle opportunité pour Pézenas et ses habitants et une réponse adaptée au besoin réels de notre territoire.
J'y suis favorable.
N° 1253 : 25 septembre 2024 - 11:39
Auteur : Philippe CHERPENTIER
Son avis : Défavorable
Outre les enjeux écologiques, environnementaux et patrimoniaux décrits entre autres par la SPN de Pézenas, et que je rejoins, je voudrais faire quelques remarques et vous faire part de mes questionnements en développant d'autres points.
1- Un des objectifs de ce nouveau quartier est d'augmenter la population municipale jusqu'à 10000 habitants. La démographie de Pézenas est à peu près constante depuis des dizaines d'années, autour de 8 000 habitants (pic à 9 100 à la fin des années 1960, creux à 6500 à la fin du 19ème siècle). cette population municipale est faible au regard des infrastructures nécessaire à la situation de Pézenas de ville-centre de l'aire urbaine.
La construction de nouveaux quartiers depuis les années 1960 (autour de la gare du Nord, Castelsec, route de Roujan, Butte Verte, ....) et l'étalement urbain n'ont pas amené de population supplémentaire. Des logements se sont vidés dans le centre ville pour remplir ces logements neufs, sans attirer de nouvelles personnes. Ces dernière années, les logements abandonnés du centre ville sont soit laissés à l'abandon, soit utilisés pour du locatif touristique. Le prix des logements à Pézenas (à l'achat ou à la location long terme), du fait de cet attrait touristique et des logements qui lui sont dédiés (lucratif pour les propriétaires), est significativement plus élevé qu'alentours.
Or, les villages proches de Pézenas, et de son aire d'attraction, ont, eux, vu leur population largement augmenter: par exemple, et pour les villages les plus proches, entre 1980 et 2021 Tourbes est passé de 800 à 1800 habitants, et Castelnau de Guers de 880 à 1200.
On peut donc légitimement se demander si la construction d'un nouveau quartier ne va pas amplifier le phénomène de désertification du centre ville historique de sa population à l'année, le laissant au tourisme plus lucratif. Cela aurait de grandes conséquences sur le commerce et les services de centre ville. Aujourd'hui, cela est encore diversifié: on peut se nourrier, se vétir, avoir des produits ménagers, les loisirs ou la culture, l'électro-ménager, se soigner... sans avoir à se déplacer quand on est en centre ville. Mais tout cela est fragile, et dépend justement des habitants à l'année de ce centre ville. Un nouveau quartier dont la plupart des habitants, pour des raisons de commodité, ne viendraient pas quotidiennement au centre ville, fragiliserait le commerce et les services de centre-ville.
2- déplacements, mobilité :
Jusqu'à maintenant, et ces dernières décennies, Pézenas s'est essentiellement développée (habitations et zones artisanales et commerciales) entre le sud-sud-ouest vers les routes de Béziers et Agde, et le nord-ouest vers Roujan. Tout sur la rive droite de la Peyne. Au niveau de la circulation automobile, une sorte de "ceinture périphérique" a vu le jour pour contourner et desservir la ville : avec la déviation puis autoroute A75 d'ne part ds la plaine (côté Castelnau Guers) et sur les "boulevards" depis les routes de Béziers et Agde (Rd-point de la Paix): De Gaulle, Rhin-Danube, Luther King - Mandella jusqu'aux la route de Roujan et Caux.
le quartier Saint Christol, aujourd'hui faiblement urbanisé, est à l'opposé géographique de ce développement (nord-nord-est). Il n'y a pas, à cette heure, de structures routières adaptées pour desservir le cœur de ville. Le service public prévu dans la ZAC St Christol est une gendarmerie.
Si l'on prend par exemple, l'école: Les familles qui s'installeraient dans ce quartier utiliseraient très certainement, pour des raison d'éloignement et de sécurité (voir plus bas), la voiture pour amener leurs enfants à l'école. C'est déjà le cas aujourd'hui, mais leur nombre est restreint. Outre l'afflux de véhicule à l'entrée de la ville (pont de Peyne) il y a la problématique de l'accès aux écoles, déjà sensible aujourd'hui certains jours ou certaines heures, alors que beaucoup d'enfants viennent à pied du centre ville particulièrement pour l'école Boby Lapointe.
Quels autres services publics sont prévus ?
Quels aménagement en terme de liaisons avec le centre ville sont réellement prévus ?
En effet, si les constructions d'habitation sont assez préccisément décrites dans le dossier concernant ce projet, c'est beaucoup moins précis sur ces sujets (services, déplacements...) qui sont certes mentionnés dans la notice explicative, mais très peu développés ensuite:
- on sait qu'il y aura création d'un carrefour et la mise en place de feux tricolores pour rejoindre la départementale 913, mais l'entrée en ville pour l'instant est donc prévue par le pont de Peyne.
- Quid des solutions de "mobilité douce", "l'existant" actuel (seul décrit concrètement dans les dossiers) passant au final par le pont de Peyne, et marginalement par le pont ferroviaire (vers la Gare du Nord)...
Il me semble que ce sujet serait à étudier beaucoup plus précisément en amont du lancement éventuel des travaux !
En l'état, et mes remarques s'ajoutant aux autres contributions, dont celle de la SPN, mon avis est défavorable à la réalisation de ce projet.
Pourquoi ne pas suivre la loi : La loi "Climat et résilience" du 22 août 2021 dont l objectif est zéro artificialisation nette (ZAN)
N° 1251 : 25 septembre 2024 - 11:30
Auteur : Martin Huraut
Son avis : Défavorable
Non aux promoteurs hargneux
N° 1250 : 25 septembre 2024 - 11:27
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Projet intelligent et rationnel
N° 1249 : 25 septembre 2024 - 11:24
Auteur : PHILIPPE GUINET
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau
N° 1248 : 25 septembre 2024 - 11:17
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Non au béton!!
N° 1247 : 25 septembre 2024 - 11:13
Auteur : Michele DAY
Son avis : Défavorable
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs.
N° 1246 : 25 septembre 2024 - 10:57
Auteur : Bénédicte Malandrin
Son avis : Défavorable
La disparition de terres agricoles, la bétonisation, entraîneraient une tension supplémentaire sur les ressources en eau et sur la biodiversité. Il serait plus profitable de rénover les logements du centre ville, plutôt que de construire un nouveau quartier, qui suppose aussi une augmentation du trafic routier.
N° 1245 : 25 septembre 2024 - 10:55
Auteur : Luc Foucat
Son avis : Favorable
Favorable
N° 1244 : 25 septembre 2024 - 10:45
Auteur : jerome folacci
Son avis : Défavorable
Défavorable
N° 1243 : 25 septembre 2024 - 10:33
Auteur : Jean Pierre CHIPEAUX
Son avis : Défavorable
NON A CE PROJET
N° 1242 : 25 septembre 2024 - 10:33
Auteur : jean rene laget
Son avis : Défavorable
Ce projet ne tient pas compte de risques d inondations dues notamment de Peyne et de Tartuguier.dans les années 1980, ma sœur qui habitait a proximité du stade Louis Trigit a été inondée environ 50cm d eau.
De plus avec la bétonisation les sols ne seront plus a même d'absorber les eaux de ruissellement et le risque d'inondation sera augmenté d'autant que les petits ruisseaux qui reçoivent ces eaux ne sont pas entretenus, ruisseau de "bombe cul", ruisseau d'Arnet, etc... et le parking d'entrée de Pézenas sera inaccessible de par la crue de l'Hérault et de Peyne.
j'espère que vous tiendrez compte de ma requête et qu'elle sera entendu pour nous éviter d''éventuelles inondations dans les quartiers bas ou j'habite depuis 70 ans.
N° 1241 : 25 septembre 2024 - 10:26
Auteur : MARIE-JO OLIVIER-MENDOLA
Son avis : Défavorable
Le projet "Saint Cristol" à Pézenas pose à notre avis plusieurs problèmes :
- la bétonisation d'une surface agricole de 24 hectares, d'un terrain voué au maraîchage, comme ce fut le cas pendant longtemps, permettant une autosuffisance alimentaire.
- les risques liés à l'eau : inondations (ce fut le cas, il y a quelques années), manque d'approvisionnement en eau potable en période de sècheresse, problème de l'évacuation des eaux usées en direction de la station d'épuration.
- les difficultés que ce projet va générer pour la ville. Ce quartier va devenir une autre ville hors la ville( risque qui peut entraîner "la mort" du centre-ville historique, qui ne sera plus qu'une ville musée). Un quartier isolé car un seul pont sur la Peyne permet d'accéder en ville en voiture, (risques d'engorgement à certaines heures) et pour les piétons et vélos, le pont sur voie ferrée doit être consolidé, voire refait.
- quelle population va intégrer ce quartier ? de quoi va vivre cette nouvelle population, quelles seront leurs possibilités d'emploi ?
Est-ce que cela va devenir un quartier pour retraités aisés ? une cité-dortoir pour des gens qui travaillent à Montpellier ? un quartier de bobos, sans mixité sociale ? un quartier de logements de vacances, airbnb ? (de logements achetés et mis en location par des gens fortunés)
- un surcoût non évalué ou sous-évalué à ce jour, concernant tous ces éléments que je viens de citer (épuration des eaux, réfection, agrandissement des ponts, etc... )
Peut-être vaut-il mieux réétudier le projet au vu de tous les problèmes qu'il génère.
N° 1240 : 25 septembre 2024 - 10:16
Auteur : HÉLÈNE RAVENET
Son avis : Défavorable
Bonjour.
Je suis défavorable au projet immobilier de Saint Christol, car il entraînera si il est réalisé des problèmes d'inondation au moment de forte pluie. Nous avons vu cet hiver de nombreuses communes de France touchées par des inondations, des maisons dévastées, des personnes détruites psychologiquement. L'eau n'a plus d'espace pour s'infiltrer. Arrêtons se massacre, donnons de l'espace à la bio diversité. Les terres agricoles de Saint Christol sont fertiles. " C'est la terre de nos enfants, préservons là"...
N° 1239 : 25 septembre 2024 - 10:13
Auteur : Françoise Aubry
Son avis : Défavorable
Avis défavorable sur le projet de 600 logements pour les raisons suivantes :
- destruction de 24 hectares de terres agricoles alors que se pose déjà le problème de l'approvisionnement alimentaire dans la région.
- risque accru d'inondation consécutif à l'artificialisation des sols à Pezenas et ses environs
- problème de l'approvisionnement en eau potable avec l'arrivée de 2000 habitants supplémentaires, alors que la ressource en eau diminue en raison de la sécheresse
croissante, ce qui oblige déjà à des restrictions de consommation dans la région
- accroissement du trafic routier et ses conséquences néfastes sur la santé des habitants
- infrastructures existantes insuffisantes d'où la question de la répartition du financement des nouvelles réalisations nécessaires
N° 1238 : 25 septembre 2024 - 10:07
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Le quartier Saint Christol de Pezenas est un endroit calme et paisible de la campagne qui serait ruiné par un tel projet. Nous nous y opposons.
N° 1237 : 25 septembre 2024 - 10:05
Auteur : Clau MERCIER
Son avis : Défavorable
Est entière déraison de continuer de bétonner des terres agricoles, des zones de biodiversité, d'augmenter le trafic routier, de gaspiller les vitales ressources en eau, etc..
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a-t-il pas été pris en compte ?
N° 1236 : 25 septembre 2024 - 10:02
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Ce dossier a fait l'objet d'une étude particulièrement attentive de la part de l'équipe municipale qui a travaillé afin de le réorienter.
N° 1235 : 25 septembre 2024 - 09:54
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
La cour des comptes a tout dit: « Le projet d’aménagement de cette zone est ancien. Un arrêté préfectoral du 20 septembre 2000 avait déjà constitué une zone d’aménagement différé (ZAD) dans ce secteur afin de créer une réserve foncière. Il devrait permettre de développer l’offre en logements de la commune, alors que le centre ancien présente des contraintes (architecturales notamment mais aussi d’adéquation aux attentes de la population, cf. supra) et qu’une partie du territoire communal est classé en zone rouge du plan de prévention du risque inondation (PPRI) approuvé le 30 juin 2010 et ne permet donc pas d’extension de l’urbanisation. » Les opposants d’aujourd’hui pouvaient arrêter le projet bien avant 2019, qu’ont-ils fait ? La difficulté d’agir en ville est réelle, ca sera long et cher. Saint-Christol est une solution sur 10, 15, 20 ans… qui laissera le temps d’agir sur d’autres coins de la ville.
N° 1234 : 25 septembre 2024 - 09:48
Auteur : Mireille Durand
Organisation : LFI
Son avis : Favorable
Monsieur le Commissaire Enquêteur,
Le développement de la ville de Pézenas est nécessaire à son rayonnement.
Le projet de St Christol va dans cette direction et j'y suis favorable.
Une ville se doit d'être vivante et comme tout être vivant, elle doit croître pour ne pas étouffer.
Toutefois, telle un arbre, ses ramifications doivent être reliées à son tronc. C'est le cœur de ville.
Les grosses artères irriguent l'ensemble, les vaisseaux sanguins les plus fins alimentent au plus près du terrain et dans un double sens.
Les modes doux de déplacement assurent la certitude d'échanges sereins, conservant un tout uni sans césure.
N° 1233 : 25 septembre 2024 - 09:42
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Jeune entrepreneur qui lance son entreprise, je vois un quartier moderne en projet et ça me réjouis. Pézenas en a besoin !
N° 1232 : 25 septembre 2024 - 09:36
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Aujourd’hui, on lit dans midi libre que 190 000 demandes de logement social ne sont pas satisfaites dans la région. Ce quartier est une réponse.
N° 1231 : 25 septembre 2024 - 09:33
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 1230 : 25 septembre 2024 - 09:32
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Piscénoise, je suis d'une génération qui a eu l'opportunité d'acheter une villa avec un peu de terrain et je devrais expliquer aux plus jeunes qu'ils voient aller habiter en centre ville dans des appartements qui n'ont pas de terrasse ou pas de luminosité ? Que ceux qui s'opposent au projet se l'appliquent pour leur résidence principale, leur résidence secondaire et leurs investissements immobiliers. Il faut rénover le centre ville, c'est un fait et la mairie s'y emploie. Rénover l'habitat de ville est plus complexe et nécessite aussi les propriétaires privés et les investisseurs privés. Saint-Christol est un première solution même si ce n'est pas la seule.
N° 1229 : 25 septembre 2024 - 09:32
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Je suis totalement contre ce projet de betonisation d’un espace de nature !
N° 1228 : 25 septembre 2024 - 09:21
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Le projet actuel ne me convient pas.
N° 1227 : 25 septembre 2024 - 09:19
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
1. **Problématique de l’eau dans un contexte de sécheresse croissante :**
Dans une région déjà touchée par des périodes de sécheresse de plus en plus longues et une gestion de l'eau en tension, il est légitime de se demander si les ressources en eau seront suffisantes pour alimenter un tel projet immobilier. Durant l’hiver dernier, plusieurs villages aux alentours ont dû être approvisionnés en eau par camions-citernes. L'ajout de 2 000 habitants supplémentaires à Pézenas risque d'aggraver cette situation. Où trouverons-nous l’eau nécessaire pour assurer les besoins de cette population croissante ?
2. **Impact environnemental sur l’hydrologie locale :**
La bétonisation de 24 hectares de terres agricoles à Saint Christol risque d’avoir un effet délétère sur le cycle de l’eau. En supprimant une zone d’absorption naturelle, le ruissellement des eaux pluviales vers les zones déjà sensibles de la ville pourrait s’intensifier, augmentant le risque d’inondations dans les secteurs vulnérables comme la rue Conti, l’avenue de Castelnau, ou encore les Calquières basses et hautes. De plus, la réduction des surfaces perméables ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique, ressource déjà sous pression.
3. **Perte de terres agricoles fertiles :**
La destruction de ces 24 hectares de terres agricoles, particulièrement fertiles, entraînerait une réduction significative de la production alimentaire locale, affaiblissant ainsi l’approvisionnement en produits agricoles du Piscénois. Alors que l’importance des circuits courts et de l’agriculture locale est de plus en plus reconnue, cette perte de terres arables serait dommageable pour la souveraineté alimentaire locale.
4. **Augmentation du trafic routier :**
L’ajout de 700 nouveaux logements entraînerait une augmentation de 17 % du trafic routier, un chiffre considérable dans une ville comme Pézenas. Comment le réseau routier, notamment le pont de la Peyne, pourrait-il absorber cet afflux sans entraîner des embouteillages, une augmentation de la pollution et des nuisances sonores pour les riverains ? Aucune solution viable n’est actuellement proposée pour gérer cet impact sur la mobilité urbaine.
5. **Équilibre commercial menacé :**
La création d’une Halle Gourmande de 700 m² à Saint Christol pourrait nuire au commerce local, notamment celui du centre-ville de Pézenas. En attirant une partie de la clientèle vers cette nouvelle zone, il y a un risque de désertification commerciale du centre historique, déjà en difficulté. Le projet de nouvelle Halle ne doit pas se faire au détriment des commerces existants.
6. **Capacité des infrastructures scolaires :**
Avec l’arrivée de nombreuses familles, il est nécessaire de se demander si les infrastructures scolaires, notamment les écoles primaires, seront capables d’accueillir tous ces nouveaux élèves. Les investissements scolaires dépendent de la commune, mais aucune garantie ni plan précis n’a été présenté pour la construction de nouvelles écoles ou l’agrandissement des infrastructures existantes. De plus, si des fonds importants sont alloués à ce nouveau quartier, cela pourrait compromettre les budgets destinés à d'autres secteurs, comme la rénovation du centre-ville.
7. **Capacité de la station d'épuration :**
La station d’épuration actuelle est-elle en mesure de traiter les eaux usées supplémentaires générées par ces 2 000 nouveaux habitants ? Si ce n’est pas le cas, des investissements conséquents devront être réalisés, ce qui représenterait un coût supplémentaire pour la commune. Une question cruciale reste sans réponse : comment la commune financera-t-elle ces infrastructures sans alourdir la fiscalité locale ?
8. **Investissements supplémentaires à la charge de la commune :**
La mise en place d’infrastructures supplémentaires, telles que des liaisons piétonnes et cyclables entre Saint Christol et Pézenas, ou la gestion des zones inondables et des routes environnantes (comme celle de Nizas), générera des coûts significatifs pour la commune. Ces dépenses n’ont pas été intégrées dans l’analyse du projet et risquent de grever le budget municipal.
9. **Manque de transparence dans la gestion du projet :**
Enfin, il est inquiétant de constater que l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n’a pas été rendu public ni joint au dossier. Ce manque de transparence nuit à la confiance des citoyens dans le processus de consultation publique et laisse planer des doutes sur les réelles motivations derrière ce projet.
**Conclusion :**
Le projet de création d’un quartier de 700 logements à Pézenas, bien que répondant à des besoins en termes de logements, pose de nombreuses questions quant à sa faisabilité, son impact environnemental et social, ainsi que les coûts pour la commune. Il est essentiel que ces préoccupations soient sérieusement prises en compte avant de poursuivre ce projet.
N° 1226 : 25 septembre 2024 - 09:06
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je pense que ce projet a un réél intérêt pour le territoire de Saint Christol tant il manque de logements.
N° 1225 : 25 septembre 2024 - 08:51
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
1. **Problématique de l’eau dans un contexte de sécheresse croissante :**
Dans une région déjà touchée par des périodes de sécheresse de plus en plus longues et une gestion de l'eau en tension, il est légitime de se demander si les ressources en eau seront suffisantes pour alimenter un tel projet immobilier. Durant l’hiver dernier, plusieurs villages aux alentours ont dû être approvisionnés en eau par camions-citernes. L'ajout de 2 000 habitants supplémentaires à Pézenas risque d'aggraver cette situation. Où trouverons-nous l’eau nécessaire pour assurer les besoins de cette population croissante ?
2. **Impact environnemental sur l’hydrologie locale :**
La bétonisation de 24 hectares de terres agricoles à Saint Christol risque d’avoir un effet délétère sur le cycle de l’eau. En supprimant une zone d’absorption naturelle, le ruissellement des eaux pluviales vers les zones déjà sensibles de la ville pourrait s’intensifier, augmentant le risque d’inondations dans les secteurs vulnérables comme la rue Conti, l’avenue de Castelnau, ou encore les Calquières basses et hautes. De plus, la réduction des surfaces perméables ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique, ressource déjà sous pression.
3. **Perte de terres agricoles fertiles :**
La destruction de ces 24 hectares de terres agricoles, particulièrement fertiles, entraînerait une réduction significative de la production alimentaire locale, affaiblissant ainsi l’approvisionnement en produits agricoles du Piscénois. Alors que l’importance des circuits courts et de l’agriculture locale est de plus en plus reconnue, cette perte de terres arables serait dommageable pour la souveraineté alimentaire locale.
4. **Augmentation du trafic routier :**
L’ajout de 700 nouveaux logements entraînerait une augmentation de 17 % du trafic routier, un chiffre considérable dans une ville comme Pézenas. Comment le réseau routier, notamment le pont de la Peyne, pourrait-il absorber cet afflux sans entraîner des embouteillages, une augmentation de la pollution et des nuisances sonores pour les riverains ? Aucune solution viable n’est actuellement proposée pour gérer cet impact sur la mobilité urbaine.
5. **Équilibre commercial menacé :**
La création d’une Halle Gourmande de 700 m² à Saint Christol pourrait nuire au commerce local, notamment celui du centre-ville de Pézenas. En attirant une partie de la clientèle vers cette nouvelle zone, il y a un risque de désertification commerciale du centre historique, déjà en difficulté. Le projet de nouvelle Halle ne doit pas se faire au détriment des commerces existants.
6. **Capacité des infrastructures scolaires :**
Avec l’arrivée de nombreuses familles, il est nécessaire de se demander si les infrastructures scolaires, notamment les écoles primaires, seront capables d’accueillir tous ces nouveaux élèves. Les investissements scolaires dépendent de la commune, mais aucune garantie ni plan précis n’a été présenté pour la construction de nouvelles écoles ou l’agrandissement des infrastructures existantes. De plus, si des fonds importants sont alloués à ce nouveau quartier, cela pourrait compromettre les budgets destinés à d'autres secteurs, comme la rénovation du centre-ville.
7. **Capacité de la station d'épuration :**
La station d’épuration actuelle est-elle en mesure de traiter les eaux usées supplémentaires générées par ces 2 000 nouveaux habitants ? Si ce n’est pas le cas, des investissements conséquents devront être réalisés, ce qui représenterait un coût supplémentaire pour la commune. Une question cruciale reste sans réponse : comment la commune financera-t-elle ces infrastructures sans alourdir la fiscalité locale ?
8. **Investissements supplémentaires à la charge de la commune :**
La mise en place d’infrastructures supplémentaires, telles que des liaisons piétonnes et cyclables entre Saint Christol et Pézenas, ou la gestion des zones inondables et des routes environnantes (comme celle de Nizas), générera des coûts significatifs pour la commune. Ces dépenses n’ont pas été intégrées dans l’analyse du projet et risquent de grever le budget municipal.
9. **Manque de transparence dans la gestion du projet :**
Enfin, il est inquiétant de constater que l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n’a pas été rendu public ni joint au dossier. Ce manque de transparence nuit à la confiance des citoyens dans le processus de consultation publique et laisse planer des doutes sur les réelles motivations derrière ce projet.
**Conclusion :**
Le projet de création d’un quartier de 700 logements à Pézenas, bien que répondant à des besoins en termes de logements, pose de nombreuses questions quant à sa faisabilité, son impact environnemental et social, ainsi que les coûts pour la commune. Il est essentiel que ces préoccupations soient sérieusement prises en compte avant de poursuivre ce projet.
N° 1224 : 25 septembre 2024 - 08:49
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Je m'interroge sur la viabilité économique de ce projet. Quels coûts "cachés" vont être engendrés par ce projet? Les piscénois devront sans aucun doute mettre la main au portefeuille avec des hausses d'impôts...
Je ne souhaite pas ce projet pour ma ville, je ne vois pas quelle plus value cela va apporter et je souhaite garder le dynamisme des petits commerces au centre ville.
N° 1223 : 25 septembre 2024 - 08:43
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Je demande de compléter l’étude environnementale par une étude sérieuse d’alternative à l’artificialisation de terres agricoles pour être conforme aux directives de la loi "Climat et Résilience"
N° 1222 : 25 septembre 2024 - 08:40
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
CONTRE
J'adore courir dans cette campagne... je ne veux pas que ce paysage soit défiguré et dénaturalisé par le trafic et les constructions!!
N° 1221 : 25 septembre 2024 - 08:39
Auteur : Sophie PETIET
Son avis : Défavorable
Considérant ce projet, le réchauffement climatique avec augmentation de la sècheresse va poser un grand problème de manque d'eau pour la population.
Le bétonnage de la campagne Saint Christol est, par conséquent, une hérésie.
L'augmentation du trafic routier ne va pas arranger le problème.
N° 1220 : 25 septembre 2024 - 08:38
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Ce projet est exemplaire concernant son approche globale.
Il est respectueux à la fois du contexte societal et environnemental.
Le futur quartier est de plus très novateur au regard de l’environnement.
N° 1219 : 25 septembre 2024 - 08:37
Auteur : Agnès Pumi
Son avis : Défavorable
Nos politiques et décideurs prennent quasiment systématiquement les décisions qui vont dans le mauvais sens , complètement dopés et aveuglés par l’argent, notre maitre- dieu! Hallucinant chaque fous de le constater
N° 1218 : 25 septembre 2024 - 08:37
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Avec ce projet, beaucoup de questions restent en suspens...
La ressource en eau, les infrastructures adaptées, l'indépendance alimentaire, la bétonnisation des sols et son impact sur l'environnement...
N° 1217 : 25 septembre 2024 - 08:37
Auteur : Eliott Bond
Son avis : Favorable
Par la présente, je me déclare favorable au projet.
N° 1216 : 25 septembre 2024 - 08:34
Auteur : Yves TARBOURIECH
Son avis : Défavorable
Une bétonisation des terres agricoles qui se fait sans prise en compte des habitants "historique" du quartier. Les réseaux eaux potables, eaux usées ne sont pas présents pour eux et il est fort dommage que l'on ne profite pas d'un tel projet pour intégrer ces habitants qui se sentent "ghettoisés". Pour preuve : l'ancienne voie d'intérêt local liaison douce ne bénéficie d'aucun entretien municipal...
N° 1215 : 25 septembre 2024 - 08:28
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Le projet possède une vision globale qui tranchera avec les nouveaux quartiers des villages avoisinants, où les maisons se construisent mais où les infrastructures ne suivent pas, notamment en terme de routes et de paysages. Ce sera aussi un moyen de générer des revenus fiscaux.
N° 1214 : 25 septembre 2024 - 08:23
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Une belle opportunité enfin pour PEZENAS à ne pas laisser passer pour que cette commune s'agrandisse et ne stagne plus . Je vais pouvoir enfin trouver un terrain me permettant de rester sur ma commune , ce que je n'espérai plus .
N° 1213 : 25 septembre 2024 - 08:21
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Un programme essentiel pour soutenir notre économie locale , un projet innovant pour accueillir nos concitoyens en manque criant de logements
N° 1212 : 25 septembre 2024 - 08:02
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Le projet de Saint Christo serait un atout pour la ville et les habitant de Pezenas en répondant au besoin de logement qui se fait actuellement ressentir. Et par ses innovations environnementales pourrait être un exemple pour le développement de projets durables.
Aimant profondément ma région je souhaiterais qu’elle se développe dans ce sens.
N° 1211 : 25 septembre 2024 - 07:49
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Cette réalisation n'amènera que des avantages pour le citoyen.
N° 1210 : 25 septembre 2024 - 07:48
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Défavorable
N° 1209 : 25 septembre 2024 - 07:46
Auteur : CHRISTIAN MICHEL
Son avis : Favorable
j'y suis favorable sinon cela grèverait les finances de la ville et alourdirait nos impôts.
N° 1208 : 25 septembre 2024 - 07:16
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je lis ici et là que ce projet empêcherait d'exploiter ces terres pour cultiver ... mais cultiver quoi ?
Quels projets a été proposé ? J'aimerai bien savoir ? Merci de m'éclairer car sincèrement garder des terres qui ne sont pas cultivable. D'autre part la mairie il me semble a mis des terres disponible poir les agriculteurs, quid du remplissage ? Par consequent sans un autre vrai projet concret, je suis pour cet aménagement qui viendra renforcer l'offre de logement. N'oublions pas que nous avons des gens qui dorment dehors, même à Pézenas, c'est une dizaine de personnes !!!
N° 1207 : 25 septembre 2024 - 06:52
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Favorable, il manque de logements
N° 1206 : 25 septembre 2024 - 06:46
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Il s'agit de la dernière opportunité de Pézenas pour se développer avant la politique ZAN, d'autant que le quartier comporte déjà beaucoup de constructions éparses. Le projet comporte un volet environnemental et paysager ambitieux.
N° 1205 : 25 septembre 2024 - 06:44
Auteur : Jean-François Marcheguet
Organisation : Strat
Son avis : Défavorable
Le projet est à contre courant des priorités environnementales
Il n’est pas cohérent avec une approche responsable et respectueuse indispensable à notre époque, les temps ont changés
Il dévalorise la petite ville de Pézenas
N° 1204 : 25 septembre 2024 - 06:41
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Ce projet,réfléchi et bien étudié,bien pensée.il y a une vraie adéquation par rapport au secteur ainsi qu a la ville de Pézenas.
N° 1203 : 25 septembre 2024 - 06:35
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Projet raisonnable alliant développement et respect de l'environnement
N° 1202 : 25 septembre 2024 - 06:32
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
C'est un projet qui réussit à a
N° 1201 : 25 septembre 2024 - 06:27
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Le projet tel que il est présenté aujourd'hui est cohérent d un point de vue écologique et environnementale. Pezenas manque cruellement de logements et il est inconcevable pour notre mairie et donc pour nous de devoir débourser 6 millions d euro pour une rupture de contrat.
N° 1200 : 25 septembre 2024 - 05:29
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Bonjour, j'ai toujours été favorable au projet de Saint Christol. Aujourd'hui en m'intéressant de plus près au projet j'ai vu tellement d'aberations concernant tout d'abord l'accès au quartier, un feu tricolore sur la départementale ! Où est le giratoire initial qui aurait permis de tempérer l'entrée de ville sans la bloquée? Le flux va être dévier directement par tout les petits chemins et en particulier sur la voie d' intérêt local.Une galerie commerciale de 3500 m2, cette équipe municipale n'a cessé d'apauvrir le centre ville en mettant en place des sens de circulation sans réfléchir à la survie de nos commerçants et va enfoncée le clou en faisant cette galerie commerciale. Quand je vois toute l'équipe municipale voter favorablement pour ce projet je me pose quelques questions quand on sait que par leur faute et leur égoïsme et leur soif avide de pouvoir il n'ont pas hésiter à bloquer ce projet pendant presque les deux derniers mandats de l'ancien Maire. Tant que l'accès et la problématique commerciale ne sera pas revu et corrigé je resterez opposer au projet. Merci pour votre lecture et l'intérêt que vous porterez à mon commentaire. Bien cordialement
N° 1199 : 25 septembre 2024 - 05:11
Cette observation a été classée comme doublon par le commissaire enquêteur.
N° 1198 : 25 septembre 2024 - 04:39
Auteur : Helena Faneca
Son avis : Défavorable
Un nouveau bétonnage abusif du seul espace vert à Pézenas, ville déjà minérale entraînerait beaucoup de désagrément pour l’environnement, la biodiversité et notre bien-être au quotidien. Pezenas étouffe déjà de trop de population et de circulation routière en certaines périodes de l’année.
N° 1197 : 25 septembre 2024 - 02:24
Cette observation a été classée comme doublon par le commissaire enquêteur.
N° 1196 : 25 septembre 2024 - 02:22
Auteur : Marina Jaffré
Son avis : Défavorable
suivants :
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 1195 : 25 septembre 2024 - 02:17
Auteur : Maryse Gallego
Son avis : Défavorable
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 1194 : 25 septembre 2024 - 01:41
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Projet trop énorme pour une ville de cette envergure
Risque de manque d’eau, imperméabilité des sols sur trop grande surface, enfin est-ce que Pezenas a la capacité d’accueillir une nouvelle population aussi importante
Et tant d’autres choses
N° 1193 : 24 septembre 2024 - 23:49
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Avis défavorable ,habitat .
energivore
N° 1192 : 24 septembre 2024 - 23:22
Auteur : Albin Joly
Son avis : Défavorable
En tant que résident régulier de Pézenas, je tiens à exprimer ma profonde inquiétude concernant le projet de ZAC « Saint-Christol ». Cette belle ville authentique, riche en architecture et connue pour son calme, sa proximité avec la nature et des vignobles, est en danger si ce projet voit le jour. En effet, il ne coïncide en rien avec le cadre de vie et l’essence même de ce que représente Pézenas. En plus d’être une offense à son patrimoine, ce projet conduira inéluctablement à :
- Un bouleversement du cadre de vie des habitants
La construction de 655 logements sur 24 hectares de terres principalement agricoles et naturelles défigurera le paysage et détruira des espaces naturels précieux. Ce n'est pas seulement une question de terres, mais aussi de la qualité de vie des habitants. Les démarcheurs ont-ils seulement pensé à l’impact visuel que ce projet va dégrader en remplaçant un espace naturel vert, concerné par un périmètre de monument historique ?
- Une altération de la faune et de la flore
Malgré les pseudos-mesures mises en place du projet, plusieurs espèces, notamment des reptiles méditerranéens, des chiroptères et certaines espèces d'oiseaux, vont subir des impacts résiduels significatifs nécessitant une compensation écologique, entraînant une perte ou une altération de 21,5 hectares d'habitat naturel. Rien ne pourra être prévu pour compenser cela. On ne préserve pas la biodiversité avec du bitume et du béton.
- Un manque de considération des valeurs des habitants
Nous sommes nombreux à tenir à l’authenticité de cette ville. Ce projet ne semble pas en prendre en compte. Il favorisera l’artificialisation des sols et encouragera l’usage de la voiture, alors que nous aspirons à un mode de vie plus durable, en harmonie avec notre environnement. La création d’un tel quartier, déconnecté du centre-ville, augmentera la circulation et la pollution, rendant notre ville encore plus dépendante de l’automobile.
- Des impacts sur notre tranquillité et notre santé
Je m’inquiète également des nuisances sonores et de la qualité de l’air que cela engendrera. L’augmentation du trafic de 4 130 véhicules par jour (dans les deux sens) sur la D 913 n'est pas juste un chiffre : c'est un bruit constant qui nuira à notre tranquillité et à la qualité de notre air.
Il est essentiel de réfléchir à un avenir qui respecte l’esprit de cette ville. Au lieu de cela, le projet semble ignorer notre histoire, notre environnement et notre bon sens écologique. Pour toutes ces raisons, je m’oppose fermement à la création de la ZAC « Saint-Christol ».
N° 1191 : 24 septembre 2024 - 23:13
Auteur : JULIA KOZLOWSKI
Son avis : Défavorable
Bonjour,
Habitante du centre ville historique de Pézenas, j'ai 28 ans et pratique la profession de menuisière, restauration de bâtit ancien.
Je souhaite simplement témoigner : au 21e siècle dans une ville à taille humaine de 8 000 habitants entourée de vignes, d'agriculture, de l'Hérault et de la Peyne, comment promouvoir un projet d'urbanisme plutôt qu'un projet écologique et social ? I y a déjà beaucoup d'infrastructure autour de Pézenas, une zone industrielle conséquente.. Le seul projet perein pour cette zonne innondable serait un projet agricole, même si le projet est bien pensé au niveau architectural ou social cela reste un projet d'urbanisme irréversible qui bétonne 24 hectares de terres arables non utilisées. Tandis que ces terres seraient une aubaine de biodiversité.
Oui nous sommes dans un bassin d'activité, mais comprenez que la zone industrielle de Pézenas est déjà surdimensionnée pour la taille de la ville, cela défigure déjà l'entrée dans la ville. Si l'autre partie de Pézenas est elle même urbanisée c'est irréversible et c'est un enjeu environnemental à anticiper. Quelle ville voulez vous demain, l'architecte du projet parle d'écologie, de logement. Pourquoi ne pas investir dans la réhabilitation des logements vacants de la ville qui sont déjà viabilsés. Ce projet n'est pas adapté au enjeux écologiques, un enième pavillon, c'est tout ce que c'est.
Je sais que la Mairie a déjà engagé des frais et investissements, néanmoins il est encore temps d'abandonner ce projet, pour des raisons écologiques évidentes et porter un projet plus contemporain qui répond mieux aux enjeux d'aujourd'hui. Nous ne sommes pas obligés de construire à tout va, nous pouvons valoriser l'éxistant. Accompagner les agriculteurs vers une sortie de pesticide en bordure d'Hérault, créer des emplois et une production maraîchères sur ces terres qui sont idéales pour celà.
Bien cordialement,
Julia Kozlowski
N° 1190 : 24 septembre 2024 - 22:58
Auteur : Philippe REUS
Son avis : Favorable
Évidemment, je suis pour ce projet né il y à presque 25 ans mais malheureusement n’est jamais sorti de terre. La ville n’a pas évolué depuis de nombreuses années au contraire des villages environnants et toutes les petites villes de L’Herault. Nous sommes enclavés par l’extension de Clermont, Meze, Agde…
Cette ville a d’énormes atouts mais ne permet pas à s’y installer d’où une inflation des prix des logements. Nous avons toutes les infrastructures pour accueillir de nouveaux habitants. Concernant le quartier en question, il est anormal de n’avoir aucun commerce de proximité (boulangerie, épicerie, …) sans être obligé de traverser Pézenas. De même pour tout ce qui touche la santé (médecin, pharmacie) les 4 supermarchés sont distants d’1km à l’opposé.
Je suis conscient que l’eau peut être un problème mais 1000 habitants de plus maximum ce chiffre me semble inférieur à la démographie croissante de notre département et région.
La mixité de logements proposés offre un équilibre nécessaire à une ville. L’important est que le projet repose sur un programme urbain maîtrisé en respectant les espaces verts et l’impact carbone. Au niveau de la bétonisation, ce quartier est sur un léger dénivelé permettant un écoulement naturel des eaux de pluie.
J’espère que de tout cœur ce projet voit le jour en espérant que la municipalité se battra auprès de la préfecture pour le défendre.
Je précise être piscenois de naissance et aimer cette ville.
Philippe REUS
N° 1189 : 24 septembre 2024 - 22:56
Auteur : Thierry Frasson-Gaillard
Son avis : Favorable
C’est un projet ambitieux tant pour le respect du terroir local, biodiversité, qu’innovations environnementales avant-gardistes en France.
N° 1188 : 24 septembre 2024 - 22:56
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
1. **Problématique de l’eau dans un contexte de sécheresse croissante :**
Dans une région déjà touchée par des périodes de sécheresse de plus en plus longues et une gestion de l'eau en tension, il est légitime de se demander si les ressources en eau seront suffisantes pour alimenter un tel projet immobilier. Durant l’hiver dernier, plusieurs villages aux alentours ont dû être approvisionnés en eau par camions-citernes. L'ajout de 2 000 habitants supplémentaires à Pézenas risque d'aggraver cette situation. Où trouverons-nous l’eau nécessaire pour assurer les besoins de cette population croissante ?
2. **Impact environnemental sur l’hydrologie locale :**
La bétonisation de 24 hectares de terres agricoles à Saint Christol risque d’avoir un effet délétère sur le cycle de l’eau. En supprimant une zone d’absorption naturelle, le ruissellement des eaux pluviales vers les zones déjà sensibles de la ville pourrait s’intensifier, augmentant le risque d’inondations dans les secteurs vulnérables comme la rue Conti, l’avenue de Castelnau, ou encore les Calquières basses et hautes. De plus, la réduction des surfaces perméables ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique, ressource déjà sous pression.
3. **Perte de terres agricoles fertiles :**
La destruction de ces 24 hectares de terres agricoles, particulièrement fertiles, entraînerait une réduction significative de la production alimentaire locale, affaiblissant ainsi l’approvisionnement en produits agricoles du Piscénois. Alors que l’importance des circuits courts et de l’agriculture locale est de plus en plus reconnue, cette perte de terres arables serait dommageable pour la souveraineté alimentaire locale.
4. **Augmentation du trafic routier :**
L’ajout de 700 nouveaux logements entraînerait une augmentation de 17 % du trafic routier, un chiffre considérable dans une ville comme Pézenas. Comment le réseau routier, notamment le pont de la Peyne, pourrait-il absorber cet afflux sans entraîner des embouteillages, une augmentation de la pollution et des nuisances sonores pour les riverains ? Aucune solution viable n’est actuellement proposée pour gérer cet impact sur la mobilité urbaine.
5. **Équilibre commercial menacé :**
La création d’une Halle Gourmande de 700 m² à Saint Christol pourrait nuire au commerce local, notamment celui du centre-ville de Pézenas. En attirant une partie de la clientèle vers cette nouvelle zone, il y a un risque de désertification commerciale du centre historique, déjà en difficulté. Le projet de nouvelle Halle ne doit pas se faire au détriment des commerces existants.
6. **Capacité des infrastructures scolaires :**
Avec l’arrivée de nombreuses familles, il est nécessaire de se demander si les infrastructures scolaires, notamment les écoles primaires, seront capables d’accueillir tous ces nouveaux élèves. Les investissements scolaires dépendent de la commune, mais aucune garantie ni plan précis n’a été présenté pour la construction de nouvelles écoles ou l’agrandissement des infrastructures existantes. De plus, si des fonds importants sont alloués à ce nouveau quartier, cela pourrait compromettre les budgets destinés à d'autres secteurs, comme la rénovation du centre-ville.
7. **Capacité de la station d'épuration :**
La station d’épuration actuelle est-elle en mesure de traiter les eaux usées supplémentaires générées par ces 2 000 nouveaux habitants ? Si ce n’est pas le cas, des investissements conséquents devront être réalisés, ce qui représenterait un coût supplémentaire pour la commune. Une question cruciale reste sans réponse : comment la commune financera-t-elle ces infrastructures sans alourdir la fiscalité locale ?
8. **Investissements supplémentaires à la charge de la commune :**
La mise en place d’infrastructures supplémentaires, telles que des liaisons piétonnes et cyclables entre Saint Christol et Pézenas, ou la gestion des zones inondables et des routes environnantes (comme celle de Nizas), générera des coûts significatifs pour la commune. Ces dépenses n’ont pas été intégrées dans l’analyse du projet et risquent de grever le budget municipal.
9. **Manque de transparence dans la gestion du projet :**
Enfin, il est inquiétant de constater que l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n’a pas été rendu public ni joint au dossier. Ce manque de transparence nuit à la confiance des citoyens dans le processus de consultation publique et laisse planer des doutes sur les réelles motivations derrière ce projet.
**Conclusion :**
Le projet de création d’un quartier de 700 logements à Pézenas, bien que répondant à des besoins en termes de logements, pose de nombreuses questions quant à sa faisabilité, son impact environnemental et social, ainsi que les coûts pour la commune. Il est essentiel que ces préoccupations soient sérieusement prises en compte avant de poursuivre ce projet.
N° 1187 : 24 septembre 2024 - 22:52
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Défavorables. Pézenas est une ville tranquille où il fait bon vivre. Si ce projet aboutit, c'en est fini !
N° 1186 : 24 septembre 2024 - 22:51
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
C’est un projet écocidaire qui est en total contradiction
avec le respect de l’environnement et de la biodiversité.
Les épisodes cévenols de 2019 ont démontré
que les terres à Saint-Christol sont inondables.
La Ville de Pézenas perd des habitants chaque année,
au lieu de créer un nouveau quartier dortoir,
il serait plus judicieux
de redynamiser le cœur de ville
et de renforcer l’attractivité de la commune.
Les difficultés de circulation et de stationnement
seront accrues avec 1500 personnes supplémentaires.
J’émets un avis défavorable.
N° 1185 : 24 septembre 2024 - 22:50
Auteur : Géraldine FRAISSE
Son avis : Favorable
Je suis pour le projet du futur quartier Saint Christol car j ai dû moi-même renoncer à l idée de vivre à Pezenas
Le manque de logements à louer ou acheter est criant.
Je le vois tous les jours dans le cadre de mon activité professionnelle, étant donné que je travaille en agence immobilière.
L idée du quartier « vivant » me parle et me semble très intéressante pour la ville.
N° 1184 : 24 septembre 2024 - 22:49
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
1. **Problématique de l’eau dans un contexte de sécheresse croissante :**
Dans une région déjà touchée par des périodes de sécheresse de plus en plus longues et une gestion de l'eau en tension, il est légitime de se demander si les ressources en eau seront suffisantes pour alimenter un tel projet immobilier. Durant l’hiver dernier, plusieurs villages aux alentours ont dû être approvisionnés en eau par camions-citernes. L'ajout de 2 000 habitants supplémentaires à Pézenas risque d'aggraver cette situation. Où trouverons-nous l’eau nécessaire pour assurer les besoins de cette population croissante ?
2. **Impact environnemental sur l’hydrologie locale :**
La bétonisation de 24 hectares de terres agricoles à Saint Christol risque d’avoir un effet délétère sur le cycle de l’eau. En supprimant une zone d’absorption naturelle, le ruissellement des eaux pluviales vers les zones déjà sensibles de la ville pourrait s’intensifier, augmentant le risque d’inondations dans les secteurs vulnérables comme la rue Conti, l’avenue de Castelnau, ou encore les Calquières basses et hautes. De plus, la réduction des surfaces perméables ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique, ressource déjà sous pression.
3. **Perte de terres agricoles fertiles :**
La destruction de ces 24 hectares de terres agricoles, particulièrement fertiles, entraînerait une réduction significative de la production alimentaire locale, affaiblissant ainsi l’approvisionnement en produits agricoles du Piscénois. Alors que l’importance des circuits courts et de l’agriculture locale est de plus en plus reconnue, cette perte de terres arables serait dommageable pour la souveraineté alimentaire locale.
4. **Augmentation du trafic routier :**
L’ajout de 700 nouveaux logements entraînerait une augmentation de 17 % du trafic routier, un chiffre considérable dans une ville comme Pézenas. Comment le réseau routier, notamment le pont de la Peyne, pourrait-il absorber cet afflux sans entraîner des embouteillages, une augmentation de la pollution et des nuisances sonores pour les riverains ? Aucune solution viable n’est actuellement proposée pour gérer cet impact sur la mobilité urbaine.
5. **Équilibre commercial menacé :**
La création d’une Halle Gourmande de 700 m² à Saint Christol pourrait nuire au commerce local, notamment celui du centre-ville de Pézenas. En attirant une partie de la clientèle vers cette nouvelle zone, il y a un risque de désertification commerciale du centre historique, déjà en difficulté. Le projet de nouvelle Halle ne doit pas se faire au détriment des commerces existants.
6. **Capacité des infrastructures scolaires :**
Avec l’arrivée de nombreuses familles, il est nécessaire de se demander si les infrastructures scolaires, notamment les écoles primaires, seront capables d’accueillir tous ces nouveaux élèves. Les investissements scolaires dépendent de la commune, mais aucune garantie ni plan précis n’a été présenté pour la construction de nouvelles écoles ou l’agrandissement des infrastructures existantes. De plus, si des fonds importants sont alloués à ce nouveau quartier, cela pourrait compromettre les budgets destinés à d'autres secteurs, comme la rénovation du centre-ville.
7. **Capacité de la station d'épuration :**
La station d’épuration actuelle est-elle en mesure de traiter les eaux usées supplémentaires générées par ces 2 000 nouveaux habitants ? Si ce n’est pas le cas, des investissements conséquents devront être réalisés, ce qui représenterait un coût supplémentaire pour la commune. Une question cruciale reste sans réponse : comment la commune financera-t-elle ces infrastructures sans alourdir la fiscalité locale ?
8. **Investissements supplémentaires à la charge de la commune :**
La mise en place d’infrastructures supplémentaires, telles que des liaisons piétonnes et cyclables entre Saint Christol et Pézenas, ou la gestion des zones inondables et des routes environnantes (comme celle de Nizas), générera des coûts significatifs pour la commune. Ces dépenses n’ont pas été intégrées dans l’analyse du projet et risquent de grever le budget municipal.
9. **Manque de transparence dans la gestion du projet :**
Enfin, il est inquiétant de constater que l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n’a pas été rendu public ni joint au dossier. Ce manque de transparence nuit à la confiance des citoyens dans le processus de consultation publique et laisse planer des doutes sur les réelles motivations derrière ce projet.
**Conclusion :**
Le projet de création d’un quartier de 700 logements à Pézenas, bien que répondant à des besoins en termes de logements, pose de nombreuses questions quant à sa faisabilité, son impact environnemental et social, ainsi que les coûts pour la commune. Il est essentiel que ces préoccupations soient sérieusement prises en compte avant de poursuivre ce projet.
N° 1183 : 24 septembre 2024 - 22:41
Auteur : Zaz Ray
Son avis : Favorable
Cet aménagement est important pour la ville de Pézénas, il augmentera l'offre de logements. Il n'appauvrira pas la ville centre mais sera une opportunité et lui apportera un nouveau souffle. Il participera à la relance économique locale et permettra la création d'emploi par sa réalisation, mais ultérieurement son exploitation. De plus, le dossier fourni détaille les normes environnementales respectées. Il me parait cohérent et sérieux. Je soutiens fermement cet aménagement.
N° 1182 : 24 septembre 2024 - 22:40
Auteur : Sharon Gilbertson
Son avis : Défavorable
Je suis contre
N° 1181 : 24 septembre 2024 - 22:38
Auteur : anonyme
Son avis : Ne se prononce pas
Petit problème de mathématiques: Une personne qui contribue à cette enquête publique et qui est originaire de Pézenas mais qui pour payer moins d’impôts et acheter un bien ou un terrain moins cher a fait le choix d’aller vivre dans un village voisin pollue-t-elle plus avec ses allers retours en voiture qu’un futur habitant de Saint-Christol qui se déplacera à pieds ou à vélo ?
Petite question de fiscalité: faire le choix d’habiter un village voisin (aux impots plus bas) alors qu’on a une situation confortable et que l’on a grandi à Pézenas et que l’on continue à utiliser les services de la ville centre est-ce de l’exil fiscal ?
Petite question de cohérence: posséder des appartements en ville, et le revendiquer dans un post, tout en revendiquant habiter un village voisin, n’est-ce pas de l’arrogance ou se moquer du monde ?
Petite question de suffisance (mais pas d’autosuffisance): habiter ailleurs (pour payer moins d’impôts et être propriétaire pour moins cher), utiliser les services et activités de Pézenas et expliquer aux Piscénois qu’ils devraient payer plus d’impôts, avoir moins de services et voir moins de projets se réaliser, pour payer la dette foncière et juridique de Saint Christol, n’est-ce pas avoir du culot ?
N° 1180 : 24 septembre 2024 - 22:33
Auteur : Milton Gilbertson
Son avis : Défavorable
Regardez Agde
N° 1179 : 24 septembre 2024 - 22:28
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Je vous écris au sujet de votre grand projet urbain dans la commune de Saint Christol, beaucoup de maisons historiques sont inhabitées ou deviennent des maisons secondaires. Ceci rend les lieux hantés, et ces maisons ne sont pas proprement restaurés, elles peuvent tomber en ruines, ne pensez-vous pas qu'il serait plus important de rénover ces maisons pour les vendre ou les louer afin de redonner vie aux quartiers anciens au cœur de votre commune ?
Aujourd'hui, avec les sécheresse que nous affrontons d'année en année, il est essentiel de préserver les terres fertiles. Et avec les intempéries, les nouveaux quartiers modernes ne sont pas efficaces pour l'irrigation des eaux de pluies, de ce fait des inondations peuvent se développer. Les terres deviennent trop imperméabilisée, ce qui provoque plusieurs choses : le réchauffement climatique, les inondations, affaiblissement de la verdure/insectes/animaux,...
La vie est un élément sacré, nous devons la protéger. Les terres fertiles sont une richesse sacrée à protéger.
N° 1178 : 24 septembre 2024 - 22:26
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Je suis défavorable, car des espaces de nature et de biodiversité doivent être préservés autant que faire se peut. Pour loger des humains, mieux vaut réhabiliter du vieux que créer du neuf sans arrêt.
N° 1177 : 24 septembre 2024 - 22:25
Auteur : Robert Rivière
Son avis : Favorable
Monsieur le Commissaire enquêteur,
Saint Christol est un serpent de mer qui agite Pézenas depuis plusieurs années. Le projet qui était porté par l'ancienne municipalité ne correspondait pas aux besoins de la ville. C'était un projet consommateur d'espace, un projet de lotissement comme il s'en est beaucoup réalisé dans les années 1970. Au départ, il était question de 1500 logements.
J'ai participé aux réunions de présentation de ce vieux projet pour en dénoncer les aberrations. J'ai notamment participé, avec environ 70 autres habitants, aux réunions dites de concertation mises en place lorsque l'ancienne équipe municipale a demandé au cabinet d'architecture montpelliérain François Fontès de faire évoluer son projet. Cela n'a débouché sur rien car le cabinet d'architecte a préféré jeter l'éponge. Peut-être parce qu'il a compris que ce que les anciens élus lui demandaient était déraisonnable.
Cela n'a pas empêché l'ancienne équipe municipale de continuer à faire acheter les terrains par l’Établissement Public Foncier Régional, de choisir un aménageur et de créer la SEMOP. Lors de la présentation à la population de cette Société, quelques semaines avant les élections municipales, j'ai personnellement indiqué au Maire sortant, M. Alain Vogel-Singer, que tout était ficelé et que si une nouvelle équipe municipale était élue, elle aurait les pieds et poings liés.
J'avais raison !
L'audit des finances de la commune pour la période 2014-2020 réalisé par Finindev (voir pièce jointe Midi Libre) à la demande de la nouvelle municipalité a démontré que la Ville était très endettée, et que dans cette dette entraient les sommes dues à l’Établissement Public Foncier. Fin 2020, le total de la dette atteignait 18,9 M€, soit 2 191 € par habitant (contre 828 pour la moyenne de strate). « L'objectif de la commune sera d'entamer une démarche de désendettement dès les prochains exercices. » a préconisé le cabinet.
La Chambre Régionale des Comptes d'Occitanie a confirmé les conclusions de cet audit. Sur le projet St Christol, elle a estimé que c'était : « Une opération d'aménagement dont le montage présente de multiples fragilités. » La dette de près de 5 M€ contractée auprès de l'EPF aurait du être honorée depuis avril 2019 et ne l'était toujours pas.
C'est à partir de ce constat que le projet a du être modifié. La Ville allait-elle s'endetter sur les marchés financiers pour l'honorer ? La nouvelle équipe municipale ne l'a pas voulu. L'échelonnement de la dette afin qu'elle puisse être remboursée par la SEMOP a été négocié auprès de l'EPF et c'est tant mieux pour les Piscénoises et les Piscénois.
Le projet tel qu'il a été repensé me convient parfaitement.
Dans le projet repensé, il ne s'agit plus d'un simple lotissement (type années 70). Il y aura de la mixité sociale avec des logements HLM. Au niveau national, les chiffres rendus publics voici deux semaines font état de 2 700 000 demandes de logement social en attente. Au niveau du Département de l'Hérault, le chiffre est de 45 000 demandes en attente. Et Pézenas ne fait pas exception puisque plus de 350 demandes sont en attente. Le besoin est donc grand ! Dans le même ordre d'idées, il est bien qu'une cinquantaine de terrains soient réservés à des primo-accédants. Différents types de logements seront ainsi à la disposition de toutes les catégories de population des plus aisées aux plus en difficulté, de la villa individuelle au logement social, avec également des possibilités d’accession sociale à la propriété.
Ce ne sera pas un quartier dortoir puisque des activités sont prévues : centre thermo-ludique, gendarmerie, maison médicale, résidence autonomie... J'ai personnellement beaucoup regretté que des médecins aient du quitter Pézenas, faute de terrains, pour aller construire une maison médicale à Tourbes. A mon âge (74 ans), il est rassurant de savoir que je pourrai, si besoin, bénéficier d'une résidence autonomie dans ma ville. J'apprécie que, désormais, 45% de la surface du quartier soient réservés à des équipements et des espaces publics, et qu'on puisse y retrouver des parcours de santé et des aires de jeu.
Le projet a été repensé en diminuant de 156 le nombre de logements prévus dans la dernière mouture du programme de l'ancienne équipe municipale. C'est une bonne chose. Sur les 24,90 hectares, il n'y aura que 70 930 mètres carrés de bâtis, soit à peine plus de 26% de l'emprise totale du projet. L'ensemble des espaces verts sera ainsi porté à 5 hectares.
Le projet est considérablement remodelé. C'était une nécessité.
Qui a connu les différentes versions depuis l’an 2000 et l’argent dépensé en études en 20 ans et qui voit le projet final ne peut qu'apprécier les changements.
Une action sur l'avenir se fait à mon sens en un équilibre avec la nuture, notre nature, non celle qui nous profite le mieux.
N° 1175 : 24 septembre 2024 - 22:21
Auteur : Lily Cooper
Son avis : Défavorable
Le quartier de Saint Christol est un coin d’espace et de verdure à Pézenas, riche en biodiversité et tranquité. En ayant vécu de nombreuses années à Nizas, je m’inquiète sur l’impact que ce nouveau projet aura sur la ville – un nouveau dévelopement qui (vu les autres dévelopements modernes récents dans le quartier) sera visuellement troublant; apportera encore plus de problèmes de parking dans une ville qui ne peut pas soutenir encore 1000+ habitants, à un prix écologique dans une ville qui sacrifie déjà des espaces verts pour une industralisation aux gains courts-termes. J’ai grandi en France mais habite maintenant en Angleterre, et me sens maintenant franchement honteuse de montrer la ville où j’ai grandi – une ville qui s’amoche d’année en année avec des nouvelles modernisations mal-réflechies et dont les ressources naturelles sont epuisées dans le processus.
N° 1174 : 24 septembre 2024 - 22:20
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Pas assez d'eau pour accueillir de nouvelles personnes.
Un lieu de nature qui va se bétonner = risque d'inondation, baisse du confort de vie, pollution,...
Risque d'augmentation de déchets dont des volants dans la nature.
N° 1173 : 24 septembre 2024 - 22:05
Auteur : Thierry Carbonell
Son avis : Défavorable
Mieux vaut restaurer les habitats existants du coeur de ville et conserver des zones naturelles.
N° 1172 : 24 septembre 2024 - 22:04
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
C'est scandaleux de construire pleins de lotissement moche dans un coin si tranquille. Vous pourriez penser à faire des ecoconstruction belle et pensé pour le futur.
N° 1171 : 24 septembre 2024 - 21:59
Auteur : Marie France BRUEL
Son avis : Favorable
OUI, trois fois oui au nouveau quartier Saint-Christol
Ce projet tel qu’il est conçu par le Conseil Municipal en place depuis 2020 répond au moins à trois nécessités :
• S’il n’était pas réalisé, il imposerait à la Ville (qui n’a pas de « trésor caché » et dont l’endettement laissé par l’ancienne équipe municipale est conséquent), de contracter un emprunt de plusieurs millions d’euros (pour le paiement des terrains acquis par l’ancienne équipe municipale par l’intermédiaire de la Société Foncière et des indemnités dues à la SEMOP).
La première difficulté résiderait dans le fait qu’aucune institution financière ou banque ne prêterait à la Commune une telle somme pour ... ne rien réaliser ! Quant à faire croire que l’Etat ou la Région pourraient se substituer à la Commune c’est tout simplement impossible. La deuxième difficulté tout aussi évidente, le remboursement de l’emprunt (s’il était, par miracle, obtenu) représenterait une charge supplémentaire de plusieurs centaines de milliers d’euros … par an !
• L’emprunt n’étant pas possible et même s’il l’était, il faudrait recourir à l’augmentation des impôts locaux en l’occurrence la Taxe Foncière et celles payées par les entreprises locales. Or, la taxe foncière est déjà très élevé grâce à l’héritage de l’ancienne Municipalité (l’audit financier réalisé en 2020-2021 prouve les assertions relatives à cet héritage) ; deuxième constat, le taux de chômage sur le bassin d’emploi de Pézenas-Agde est le plus élevé du pays : 14,2% ; enfin beaucoup d’entreprises ne pourraient l’assumer et quitteraient notre territoire.
• Pour éviter la ruine et la désertification de notre ville, le projet Saint-Christol doit être mené à son terme, d’autant qu’il a été travaillé et retravaillé (l’évolution du dossier présenté au cours de réunions publiques notamment, le prouve).
En résumé, plutôt que risquer une catastrophe économique et sociale en refusant obstinément de voir les progrès réalisés dans la mise au point de ce dossier, envisageons au contraire la transformation de cette difficulté en une nouvelle étape de la dynamique de cette ville comme le montrent les plans, les écrits (préservation d’espèces endémiques, limitation de l’artificialisation des sols …) de la dernière mouture du projet.
N° 1170 : 24 septembre 2024 - 21:55
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N° 1169 : 24 septembre 2024 - 21:46
Auteur : Odile Monchy
Son avis : Défavorable
Alors que les arbres prrmettent d absorber le Co2, procurent de la fraîcheur et sont nos ancétres vivants sur Terre, en abattre ne souffre aucun pretexte.
C est un acte ECOCIDAIRE qui dihne l ignorance qui preside au projet.
N° 1168 : 24 septembre 2024 - 21:44
Auteur : Julie Ciet
Son avis : Favorable
Julie,
Jeune Piscénoise, j’ai dû aller habiter dans un village voisin pour trouver un bien abordable. J’espère que d’autres pourront faire un autre choix avec ce quartier.
N° 1167 : 24 septembre 2024 - 21:38
Auteur : Jean Pierre PAGES
Son avis : Favorable
le lotissement St Christol est un projet qui date depuis bien longtemps. Sa réalisation permettra de combler le manque de logement qui est sensible sur le territoire français.
Par ailleurs, il favorisera l' équilibre de l ' implantation des construction sur la commune, vers l'est.
N° 1166 : 24 septembre 2024 - 21:38
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Pézenas bénéficie d'une opportunité par une extension de sa zone urbaine , ce que bon nombre de commune voisines ne peuvent faire faute d'espace . Le projet de Saint Christol en est un bel exemple , la réflexion sur sa possible réalisation est parfaitement étudiée, et les infrastructures sont bien adaptées pour accueillir cette nouvelle population . Pézenas , ville riche par son histoire , son patrimoine , ses commerces , ses entreprises aux multiples services en font un lieu de vie agréable à vivre .
Alors oui je soutien le projet de Saint Christol .
J B
N° 1165 : 24 septembre 2024 - 21:38
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Unique, repond au besoin, tres beau.
N° 1164 : 24 septembre 2024 - 21:36
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Commerçant à PEZENAS , je ne suis pas inquiet par ce projet
N° 1163 : 24 septembre 2024 - 21:36
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je suis pour ce lotissement sur la commune de pezenas
N° 1162 : 24 septembre 2024 - 21:28
Auteur : Pauline Mckenzie
Son avis : Défavorable
1. **Problématique de l’eau dans un contexte de sécheresse croissante :**
Dans une région déjà touchée par des périodes de sécheresse de plus en plus longues et une gestion de l'eau en tension, il est légitime de se demander si les ressources en eau seront suffisantes pour alimenter un tel projet immobilier. Durant l’hiver dernier, plusieurs villages aux alentours ont dû être approvisionnés en eau par camions-citernes. L'ajout de 2 000 habitants supplémentaires à Pézenas risque d'aggraver cette situation. Où trouverons-nous l’eau nécessaire pour assurer les besoins de cette population croissante ?
2. **Impact environnemental sur l’hydrologie locale :**
La bétonisation de 24 hectares de terres agricoles à Saint Christol risque d’avoir un effet délétère sur le cycle de l’eau. En supprimant une zone d’absorption naturelle, le ruissellement des eaux pluviales vers les zones déjà sensibles de la ville pourrait s’intensifier, augmentant le risque d’inondations dans les secteurs vulnérables comme la rue Conti, l’avenue de Castelnau, ou encore les Calquières basses et hautes. De plus, la réduction des surfaces perméables ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique, ressource déjà sous pression.
3. **Perte de terres agricoles fertiles :**
La destruction de ces 24 hectares de terres agricoles, particulièrement fertiles, entraînerait une réduction significative de la production alimentaire locale, affaiblissant ainsi l’approvisionnement en produits agricoles du Piscénois. Alors que l’importance des circuits courts et de l’agriculture locale est de plus en plus reconnue, cette perte de terres arables serait dommageable pour la souveraineté alimentaire locale.
4. **Augmentation du trafic routier :**
L’ajout de 700 nouveaux logements entraînerait une augmentation de 17 % du trafic routier, un chiffre considérable dans une ville comme Pézenas. Comment le réseau routier, notamment le pont de la Peyne, pourrait-il absorber cet afflux sans entraîner des embouteillages, une augmentation de la pollution et des nuisances sonores pour les riverains ? Aucune solution viable n’est actuellement proposée pour gérer cet impact sur la mobilité urbaine.
5. **Équilibre commercial menacé :**
La création d’une Halle Gourmande de 700 m² à Saint Christol pourrait nuire au commerce local, notamment celui du centre-ville de Pézenas. En attirant une partie de la clientèle vers cette nouvelle zone, il y a un risque de désertification commerciale du centre historique, déjà en difficulté. Le projet de nouvelle Halle ne doit pas se faire au détriment des commerces existants.
6. **Capacité des infrastructures scolaires :**
Avec l’arrivée de nombreuses familles, il est nécessaire de se demander si les infrastructures scolaires, notamment les écoles primaires, seront capables d’accueillir tous ces nouveaux élèves. Les investissements scolaires dépendent de la commune, mais aucune garantie ni plan précis n’a été présenté pour la construction de nouvelles écoles ou l’agrandissement des infrastructures existantes. De plus, si des fonds importants sont alloués à ce nouveau quartier, cela pourrait compromettre les budgets destinés à d'autres secteurs, comme la rénovation du centre-ville.
7. **Capacité de la station d'épuration :**
La station d’épuration actuelle est-elle en mesure de traiter les eaux usées supplémentaires générées par ces 2 000 nouveaux habitants ? Si ce n’est pas le cas, des investissements conséquents devront être réalisés, ce qui représenterait un coût supplémentaire pour la commune. Une question cruciale reste sans réponse : comment la commune financera-t-elle ces infrastructures sans alourdir la fiscalité locale ?
8. **Investissements supplémentaires à la charge de la commune :**
La mise en place d’infrastructures supplémentaires, telles que des liaisons piétonnes et cyclables entre Saint Christol et Pézenas, ou la gestion des zones inondables et des routes environnantes (comme celle de Nizas), générera des coûts significatifs pour la commune. Ces dépenses n’ont pas été intégrées dans l’analyse du projet et risquent de grever le budget municipal.
9. **Manque de transparence dans la gestion du projet :**
Enfin, il est inquiétant de constater que l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n’a pas été rendu public ni joint au dossier. Ce manque de transparence nuit à la confiance des citoyens dans le processus de consultation publique et laisse planer des doutes sur les réelles motivations derrière ce projet.
**Conclusion :**
Le projet de création d’un quartier de 700 logements à Pézenas, bien que répondant à des besoins en termes de logements, pose de nombreuses questions quant à sa faisabilité, son impact environnemental et social, ainsi que les coûts pour la commune. Il est essentiel que ces préoccupations soient sérieusement prises en compte avant de poursuivre ce projet.
N° 1161 : 24 septembre 2024 - 21:11
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N° 1160 : 24 septembre 2024 - 21:11
Auteur : Rodolphe DELGADO
Son avis : Favorable
Projet innovant, bravo
Il devrait y en avoir d’avantage.
N° 1159 : 24 septembre 2024 - 21:09
Auteur : Nathalie PAGÉS
Son avis : Favorable
Je suis favorable à la concrétisation de ce projet afin d’étendre vers l’est les habitations de Pézenas , proposer des projets ollobiliers nouveaux , répondre à des besoins de logements neufs, accueillir de nouveaux résidents et contribuer à l’économie locale.
N° 1158 : 24 septembre 2024 - 21:08
Auteur : Lucie DELGADO
Son avis : Favorable
C’est un super projet, qui mérite d’être abouti.
N° 1157 : 24 septembre 2024 - 21:04
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Laissez cette zone naturelle
N° 1156 : 24 septembre 2024 - 21:02
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Non
N° 1155 : 24 septembre 2024 - 21:01
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Un chantier important sur plusieurs mois puis des logements à construire. De l’emploi Dans un secteur où le tôt de chômage est très très fort. De plus ces salariés et acteurs du travail pourront en bénéficier à Pézenas.
N° 1154 : 24 septembre 2024 - 20:56
Auteur : Camille Farion
Son avis : Défavorable
Défavorable au projet
N° 1153 : 24 septembre 2024 - 20:56
Auteur : julien Bassas
Son avis : Défavorable
je suis contre ce projet
N° 1152 : 24 septembre 2024 - 20:45
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je suis pour ce lotissement sur la commune de pezenas
N° 1151 : 24 septembre 2024 - 20:43
Auteur : Marie Bassas
Son avis : Défavorable
Mes beau parents étant propriétaires d'une résidence chemin de saint Christol ,propriété que je serai amené a occuper dans quelques années je pense que les nuisances faites ainsi que l'impacte écologique d'un tel projet sera néfaste pour l'environnement ,merci de prendre en considération mon avis ,cordialement Marie Bassas.
N° 1150 : 24 septembre 2024 - 20:42
Auteur : François Bassas
Son avis : Défavorable
Mes parents étant propriétaires d'une résidence chemin de saint Christol ,propriété que je serai amené a occuper dans quelques années je pense que les nuisances faites ainsi que l'impacte écologique d'un tel projet sera néfaste pour l'environnement ,merci de prendre en considération mon avis ,cordialement François Bassas.
N° 1149 : 24 septembre 2024 - 20:42
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Le projet proposé répond à des enjeux majeurs pour la région de Pézenas. D'une part, il vise à pallier le déficit en logements adaptés aux besoins variés des familles, jeunes actifs et personnes âgées. D'autre part, il contribue à dynamiser l'économie locale en générant des emplois, tant directs qu'indirects, renforçant ainsi le tissu économique régional. Ce projet se distingue également par son engagement en faveur de la durabilité, en respectant des normes environnementales rigoureuses et en s'intégrant harmonieusement dans son cadre naturel.
N° 1148 : 24 septembre 2024 - 20:40
Auteur : Benjamin Collette
Son avis : Défavorable
Nous nous sommes installer à pezenas il y a maintenant 10ans pour fuir les villes à forte densité.
Ce qui nous a attiré à Pezenas c est le l'esprit de village tout en proposant un dynamisme culturelle et une grande variété de commerce.
Je crains que ce nouveau quartier signe la fin du pezenas que l'on a connu pour ressemble de plus en plus au ville nouvelle de la région parisienne dont je suis originaire.
Il y a déjà 20 ans en arriere ce genre d'eco quartier qui n'ont rien d'ecologique fleurissent en banlieue parisienne.
Ce projet est dépassé. La ville rate une occasion de s'inscrire dans le progrès en refusant ce genre de projet.
Problème lié à l'augmentation du traffic déjà saturé le matin et en fin de journée.
Problème lié au manque d'eau dans les année à venir
Problème lié à la délinquance que génére l'augmentation de la population si les infrastructures de la ville ne sont pas adapter pour accueillir notamment les jeunes.
Manque de connection avec le cœur de ville en terme de voie piétonne.
Problème d'inondation. Il y a de cela quelque année d'énorme inondation on eu lieu à pezenas. Les experts ne prévoient pas l'augmentation de episodes meteo a risque.
Pas d'école de prévue dans le nouveau quartier.
N° 1147 : 24 septembre 2024 - 20:38
Auteur : Aline Barrera
Son avis : Défavorable
Trop de risques graves dans ce projet
Je suis contre car Pezenas est une jolie ville qu il ne d'autres pas denaturer
N° 1146 : 24 septembre 2024 - 20:34
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
1. **Problématique de l’eau dans un contexte de sécheresse croissante :**
Dans une région déjà touchée par des périodes de sécheresse de plus en plus longues et une gestion de l'eau en tension, il est légitime de se demander si les ressources en eau seront suffisantes pour alimenter un tel projet immobilier. Durant l’hiver dernier, plusieurs villages aux alentours ont dû être approvisionnés en eau par camions-citernes. L'ajout de 2 000 habitants supplémentaires à Pézenas risque d'aggraver cette situation. Où trouverons-nous l’eau nécessaire pour assurer les besoins de cette population croissante ?
2. **Impact environnemental sur l’hydrologie locale :**
La bétonisation de 24 hectares de terres agricoles à Saint Christol risque d’avoir un effet délétère sur le cycle de l’eau. En supprimant une zone d’absorption naturelle, le ruissellement des eaux pluviales vers les zones déjà sensibles de la ville pourrait s’intensifier, augmentant le risque d’inondations dans les secteurs vulnérables comme la rue Conti, l’avenue de Castelnau, ou encore les Calquières basses et hautes. De plus, la réduction des surfaces perméables ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique, ressource déjà sous pression.
3. **Perte de terres agricoles fertiles :**
La destruction de ces 24 hectares de terres agricoles, particulièrement fertiles, entraînerait une réduction significative de la production alimentaire locale, affaiblissant ainsi l’approvisionnement en produits agricoles du Piscénois. Alors que l’importance des circuits courts et de l’agriculture locale est de plus en plus reconnue, cette perte de terres arables serait dommageable pour la souveraineté alimentaire locale.
4. **Augmentation du trafic routier :**
L’ajout de 700 nouveaux logements entraînerait une augmentation de 17 % du trafic routier, un chiffre considérable dans une ville comme Pézenas. Comment le réseau routier, notamment le pont de la Peyne, pourrait-il absorber cet afflux sans entraîner des embouteillages, une augmentation de la pollution et des nuisances sonores pour les riverains ? Aucune solution viable n’est actuellement proposée pour gérer cet impact sur la mobilité urbaine.
5. **Équilibre commercial menacé :**
La création d’une Halle Gourmande de 700 m² à Saint Christol pourrait nuire au commerce local, notamment celui du centre-ville de Pézenas. En attirant une partie de la clientèle vers cette nouvelle zone, il y a un risque de désertification commerciale du centre historique, déjà en difficulté. Le projet de nouvelle Halle ne doit pas se faire au détriment des commerces existants.
6. **Capacité des infrastructures scolaires :**
Avec l’arrivée de nombreuses familles, il est nécessaire de se demander si les infrastructures scolaires, notamment les écoles primaires, seront capables d’accueillir tous ces nouveaux élèves. Les investissements scolaires dépendent de la commune, mais aucune garantie ni plan précis n’a été présenté pour la construction de nouvelles écoles ou l’agrandissement des infrastructures existantes. De plus, si des fonds importants sont alloués à ce nouveau quartier, cela pourrait compromettre les budgets destinés à d'autres secteurs, comme la rénovation du centre-ville.
7. **Capacité de la station d'épuration :**
La station d’épuration actuelle est-elle en mesure de traiter les eaux usées supplémentaires générées par ces 2 000 nouveaux habitants ? Si ce n’est pas le cas, des investissements conséquents devront être réalisés, ce qui représenterait un coût supplémentaire pour la commune. Une question cruciale reste sans réponse : comment la commune financera-t-elle ces infrastructures sans alourdir la fiscalité locale ?
8. **Investissements supplémentaires à la charge de la commune :**
La mise en place d’infrastructures supplémentaires, telles que des liaisons piétonnes et cyclables entre Saint Christol et Pézenas, ou la gestion des zones inondables et des routes environnantes (comme celle de Nizas), générera des coûts significatifs pour la commune. Ces dépenses n’ont pas été intégrées dans l’analyse du projet et risquent de grever le budget municipal.
9. **Manque de transparence dans la gestion du projet :**
Enfin, il est inquiétant de constater que l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n’a pas été rendu public ni joint au dossier. Ce manque de transparence nuit à la confiance des citoyens dans le processus de consultation publique et laisse planer des doutes sur les réelles motivations derrière ce projet.
**Conclusion :**
Le projet de création d’un quartier de 700 logements à Pézenas, bien que répondant à des besoins en termes de logements, pose de nombreuses questions quant à sa faisabilité, son impact environnemental et social, ainsi que les coûts pour la commune. Il est essentiel que ces préoccupations soient sérieusement prises en compte avant de poursuivre ce projet.
N° 1145 : 24 septembre 2024 - 20:32
Auteur : Alice Genieys
Son avis : Défavorable
Pézenas, ville chargée d’histoire, reconnue pour son patrimoine architecturel remarquable, se voit maintenant ajouté dans la campagne du Quartier de St Christol, où jadis fleurissait les jardins, un lotissement de 655 logements en parpaing, soumis à une architecture moderne, identique, inesthétique, dont les valeurs traditionnelles de construction sont bafouées au profit de la rentabilité.
Projet dont l’« objectif est de s’inscrire dans une histoire pour mieux la prolonger ». Permettez-moi d’en douter, nous nous inscrivons dans une ère artificielle et égoïste.
Quel intérêt appart économique pour une petite poignée, la construction d’une ville peinte en vert dont nous n’avons que faire tandis que la ville est en décroissance démographique depuis 2010. Permettez-moi de douter que la construction d’un tel projet soit motivée par une demande de logement alors que 800 logements sont considérés comme inoccupés dans le centre de Pézenas.
C’est une chance pour les piscénois de pouvoir se promener dans les champs bordés de coquelicots au printemps, à quelques minutes à pied du centre-ville. La construction d’un tel projet serait une hérésie pour les habitants privés de cette liberté, pour la ressource en eau qu’on a déjà peine à partager, la circulation qui déjà se densifie, pour les places de parking qui oppressent la ville et des PV à la sortie de la boulangerie, pour les artisans un à un remplacés par des franchises bourgeoises. Une hérésie pour la biodiversité qui souffre de manque de considération et qui nous perdra.
Retrouvons notre sens de l’esthétique, des choses bien faites, l’importance de la qualité de vie et soyons jaloux de la chance qu’on a de vivre à la campagne.
Alice Genieys
N° 1144 : 24 septembre 2024 - 20:32
Auteur : Vincent Genieys
Son avis : Défavorable
Natif de Pezenas, je suis contre ce projet inutile et couteux. Les arguments présentés sont décevants ; en 2024 on attend de nos décideurs un réel effort politique, social et écologique, murement réfléchi et répondant a de réels besoins de notre commune.
Vincent Genieys
N° 1143 : 24 septembre 2024 - 20:31
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Projet ubuesque en terme de degradation de qualité de vie meme pour les nouveaux arrivants dans ce quartier mal pensé.pas assez de place en petite enfance et ecole.betonisation d une ville agréable.trop de trafic routier
N° 1142 : 24 septembre 2024 - 20:31
Auteur : michael dalmagro
Son avis : Défavorable
Aucun intérêt économique pour la ville de Pézenas, d'autre solution sont possibles
N° 1141 : 24 septembre 2024 - 20:31
Cette observation a été classée comme doublon par le commissaire enquêteur.
N° 1140 : 24 septembre 2024 - 20:30
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Hello les amis.
Ils veulent construire un quartier de 700 logement juste en face de notre jardin. Si vous avez 5 minute vous pouvez cliquer sur ce lien et emmetre un avis defavorable. Ça peux aider.
Merci et jspr que vous tous passé une bonne rentrée.
Dans le cadre du projet Saint Christol a pezenas voi
1. **Problématique de l’eau dans un contexte de sécheresse croissante :**
Dans une région déjà touchée par des périodes de sécheresse de plus en plus longues et une gestion de l'eau en tension, il est légitime de se demander si les ressources en eau seront suffisantes pour alimenter un tel projet immobilier. Durant l’hiver dernier, plusieurs villages aux alentours ont dû être approvisionnés en eau par camions-citernes. L'ajout de 2 000 habitants supplémentaires à Pézenas risque d'aggraver cette situation. Où trouverons-nous l’eau nécessaire pour assurer les besoins de cette population croissante ?
2. **Impact environnemental sur l’hydrologie locale :**
La bétonisation de 24 hectares de terres agricoles à Saint Christol risque d’avoir un effet délétère sur le cycle de l’eau. En supprimant une zone d’absorption naturelle, le ruissellement des eaux pluviales vers les zones déjà sensibles de la ville pourrait s’intensifier, augmentant le risque d’inondations dans les secteurs vulnérables comme la rue Conti, l’avenue de Castelnau, ou encore les Calquières basses et hautes. De plus, la réduction des surfaces perméables ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique, ressource déjà sous pression.
3. **Perte de terres agricoles fertiles :**
La destruction de ces 24 hectares de terres agricoles, particulièrement fertiles, entraînerait une réduction significative de la production alimentaire locale, affaiblissant ainsi l’approvisionnement en produits agricoles du Piscénois. Alors que l’importance des circuits courts et de l’agriculture locale est de plus en plus reconnue, cette perte de terres arables serait dommageable pour la souveraineté alimentaire locale.
4. **Augmentation du trafic routier :**
L’ajout de 700 nouveaux logements entraînerait une augmentation de 17 % du trafic routier, un chiffre considérable dans une ville comme Pézenas. Comment le réseau routier, notamment le pont de la Peyne, pourrait-il absorber cet afflux sans entraîner des embouteillages, une augmentation de la pollution et des nuisances sonores pour les riverains ? Aucune solution viable n’est actuellement proposée pour gérer cet impact sur la mobilité urbaine.
5. **Équilibre commercial menacé :**
La création d’une Halle Gourmande de 700 m² à Saint Christol pourrait nuire au commerce local, notamment celui du centre-ville de Pézenas. En attirant une partie de la clientèle vers cette nouvelle zone, il y a un risque de désertification commerciale du centre historique, déjà en difficulté. Le projet de nouvelle Halle ne doit pas se faire au détriment des commerces existants.
6. **Capacité des infrastructures scolaires :**
Avec l’arrivée de nombreuses familles, il est nécessaire de se demander si les infrastructures scolaires, notamment les écoles primaires, seront capables d’accueillir tous ces nouveaux élèves. Les investissements scolaires dépendent de la commune, mais aucune garantie ni plan précis n’a été présenté pour la construction de nouvelles écoles ou l’agrandissement des infrastructures existantes. De plus, si des fonds importants sont alloués à ce nouveau quartier, cela pourrait compromettre les budgets destinés à d'autres secteurs, comme la rénovation du centre-ville.
7. **Capacité de la station d'épuration :**
La station d’épuration actuelle est-elle en mesure de traiter les eaux usées supplémentaires générées par ces 2 000 nouveaux habitants ? Si ce n’est pas le cas, des investissements conséquents devront être réalisés, ce qui représenterait un coût supplémentaire pour la commune. Une question cruciale reste sans réponse : comment la commune financera-t-elle ces infrastructures sans alourdir la fiscalité locale ?
8. **Investissements supplémentaires à la charge de la commune :**
La mise en place d’infrastructures supplémentaires, telles que des liaisons piétonnes et cyclables entre Saint Christol et Pézenas, ou la gestion des zones inondables et des routes environnantes (comme celle de Nizas), générera des coûts significatifs pour la commune. Ces dépenses n’ont pas été intégrées dans l’analyse du projet et risquent de grever le budget municipal.
9. **Manque de transparence dans la gestion du projet :**
Enfin, il est inquiétant de constater que l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n’a pas été rendu public ni joint au dossier. Ce manque de transparence nuit à la confiance des citoyens dans le processus de consultation publique et laisse planer des doutes sur les réelles motivations derrière ce projet.
**Conclusion :**
Le projet de création d’un quartier de 700 logements à Pézenas, bien que répondant à des besoins en termes de logements, pose de nombreuses questions quant à sa faisabilité, son impact environnemental et social, ainsi que les coûts pour la commune. Il est essentiel que ces préoccupations soient sérieusement prises en compte avant de poursuivre ce projet.
N° 1139 : 24 septembre 2024 - 20:24
Auteur : Fanny DELGADO
Son avis : Favorable
Ce projet est a tout point de vue essentiel pour répondre aux manques de logements, à la création d’emploi et le plus important il respecte la biodiversité et l’environnement.
C’est un projet innovant !!!
Bravo aux architectes et aux autres bureaux d’études
N° 1138 : 24 septembre 2024 - 20:23
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
L eau - l or bleu - est un bien commun d autant plus lorsque ce bien se rarefie donc les projets individuels qui consomment cette ressource vitale au détriment de la populatiol locale n ont pas à être développé
N° 1137 : 24 septembre 2024 - 20:22
Auteur : Olivier Dalhmann
Son avis : Défavorable
J'ai tenu l'échoppe "Tout ce qui brille" a Pezenas, et aujourd'hui je suis inquiet face a ce projet.
Ce projet risque de détourner l’attention et les ressources de notre centre historique, fragilisant encore davantage les artisans. Comment attirer les visiteurs dans nos échoppes si le cœur de Pézenas est concurrencé par un quartier flambant neuf sans âme, éloigné de notre tradition ?
Pézenas doit rester une ville où l’on valorise l’histoire et le savoir-faire. Ce projet, avec ses constructions modernes et son béton, menace d’effacer l’identité unique de notre ville.
Le centre est déjà fragilisé par les grandes enseignes en périphérie. Ajouter une nouvelle zone commerciale à Saint-Christol pourrait être le coup de grâce pour les artisans locaux. L’afflux de nouveaux habitants et de commerces ne profitera pas à nos ateliers, mais créera une concurrence déloyale.
Je suis contre ce projet.
Olivier Dalhmann
N° 1136 : 24 septembre 2024 - 20:22
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Défavorable en soutien aux habitants de saint christol et ses environs,
Défavorable contre les projets d'envergure impactant le commerce local
Défavorable envers les projets ecocides et nécessitant de l'eau que nous n'avons plus.
N° 1135 : 24 septembre 2024 - 20:17
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
1) Compte tenu de la sécheresse croissante et du fait que la ressource en eau edt déjà en tension, pourra t-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise, la priorité ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, comment faire ? Vivre sous perfusion ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ? Alors que l'eau en tant que boisson doit être la priorité.
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol entraînerait une baisse de l’absorbtion des précipitations et ainsi accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, alors que partout en France on lutte pour désimperméabiliser les sols pour mieux recharger les nappes phréatiques. Ici, on irait à l'inverse.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%. Alors que l'approvisionnement alimentaire local est une urgence partout face aux coûts de transport, aux risques d'approvisionnement dûs aux conflits mondieux, cela doit aussi être une urgence à Pézenas.
• Comment absorber 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ? Il n'est plus possible de construire sans prendre en compte la problématique du trafic routier comme il a trop souvent été le cas par le passé.
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ? On sait que toute construction d'une zone commerciale en périphérie entraîne la baisse de frequentation des commerces de centre-ville et au final la fermeture de ces commerces, et de la vie qui allait avec.
• Comment seraient scolarisés les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs ? C'est incohérent.
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ? Les habitants doivent être entendus et respectés dans leurs avis.
N° 1134 : 24 septembre 2024 - 20:15
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Le projet est très positif pour Pézenas. Plus de logements, plus d'emplois et par conséquent un meilleur équilibre socio-économique. De même, ce projet est durable et prend en considération le milieu naturel de la région.
N° 1133 : 24 septembre 2024 - 20:10
Auteur : Raphaël Giral
Son avis : Défavorable
il me semble que bétonner encore et encore est une hérésie à notre époque
N° 1132 : 24 septembre 2024 - 20:01
Auteur : Mayné David
Son avis : Défavorable
Bonjour,
Bravo pour ce projet qui promet de transformer Pézenas en une métropole bétonnée ! 24 hectares sacrifiés, une biodiversité effacée, et tout ça pour un 'quartier éco-futuriste'. On admire le génie de bétonner des terres fertiles en pleine crise climatique. Un exemple parfait de développement 'durable'. À ce rythme, Pézenas finira par ressembler à n'importe quelle autre ville sans âme. Molière doit se retourner dans sa tombe !
David Mayné
N° 1131 : 24 septembre 2024 - 19:57
Auteur : Zao Massoubre
Son avis : Défavorable
Je trouve ce projet inutilement coûteux et vraiment dommage pour le paysage alentours qui va beaucoup en souffrir !!
Je suis profondément contre !
N° 1130 : 24 septembre 2024 - 19:55
Auteur : Jean-Pierre Menival
Son avis : Défavorable
Monsieur le commissaire enquêteur,
Le projet Saint-Christol prévoit 2 000 habitants supplémentaires dans une région souffrant déjà d'un stress hydrique. Comment justifier un tel développement alors que nos nappes phréatiques sont à sec ? Rajouter une telle pression sur les ressources en eau, c’est risquer de condamner Pézenas à des restrictions encore plus sévères. Pensons aux habitants, a ceux a venir : il est encore temps de penser un projet commun, Pézenas le mérite.
Jean-Pierre Menival
N° 1129 : 24 septembre 2024 - 19:53
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Ce projet répond aux besoins de la ville.
N° 1128 : 24 septembre 2024 - 19:53
Auteur : Françoise Montussac
Son avis : Défavorable
J'aime beaucoup Pézenas où je compte m'installer dans un avenir proche. À mon avis, ce projet est défavorable pour les commerçants du centre ville J'habite actuellement à Lézignan La Cèbe
De plus, la sécheresse dans notre région est très présente, est-il nécessaire d'accroitre la population qui va nécessiter des besoins en eau supplémentaires.
Bétonner des espaces naturels à cette échelle n'est pas un bon choix dans le contexte actuel
N° 1127 : 24 septembre 2024 - 19:52
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Nous parlons de problèmes écologiques de plus en plus, de protection de la nature. Ce projet ne me paraît pas aller dans ce sens car qui dit construction, dit obligatoirement destruction des espaces naturels avec non seulement un impact sur la flore mais sur les êtres vivants qui y vivent et qui sont importants dans le cycle de vie dans lequel nous sommes aussi engagés.
N° 1126 : 24 septembre 2024 - 19:50
Auteur : Olivier Sigaud
Son avis : Défavorable
Monsieur le commissaire enquêteur,
Je suis piscénois de coeur et je suis absolument contre ce projet. Détruire 24 hectares de terres fertiles pour construire un quartier qui mettra des décennies à s’intégrer, c’est sacrifier notre patrimoine au profit d’une urbanisation déconnectée. Pézenas mérite mieux : préservons nos ressources et investissons dans le cœur historique plutôt que de le condamner à l’étouffement. Ce projet est une hérésie écologique et sociale. Refusons-le !
Olivier Sigaud
N° 1125 : 24 septembre 2024 - 19:45
Auteur : JEAN PIERRE REINALDOS
Son avis : Défavorable
Je souhaite vous soumettre mes inquiétudes et mes craintes sur le projet.
Je réside à 150 m de la limite du projet de quartier Saint Christol.
Je vis dans le quartier depuis 62 ans.
Je constate la naissance d’un nouveau « village » identique en population (environ 1500 habitants) aux villages voisins encerclant Pézenas : Valros, Lézignan la Cèbe, Tourbes, Castelnau de Guers.
Ce projet est collé comme une verrue à 2 km du centre de Pézenas séparé par une zone de 400 m de large, inondable, interdisant la continuité avec la ville.
Les seules liaisons sont :
- En véhicule par la D913
- En vélo ou à pied par l’ancienne voie « d’intérêt local ».
Inquiétudes sur :
- Un apport supplémentaire de 1400 véhicules,
- La circulation aux abords du quartier, l’utilisation dans les 2 sens des chemins actuellement à 1 voie sur lesquels la courtoisie est la règle.
- Le chemin de Castres, servant déjà aujourd’hui de déviation Nord, comporte des tronçons à une voie ce qui crée souvent des « prises de bec » entre automobilistes. Que va-t-il se passer avec un contingent de véhicules supplémentaires ?
- La fluidité de la circulation sur la D913 est menacée par le système prévu de feux tricolores pour réguler les entrées et sorties du quartier !
- Le point noir autour du pont de la Peyne, la circulation est souvent difficile aux intersections de la D913 avec la route de Nizas et le boulevard Voltaire (D13E18)
Risques :
- En matière d’aménagement hydraulique, je ne vais pas contester les calculs des experts, mais par expérience, lors de gros orages, il suffit de quelques feuilles d’arbres pour boucher les grilles d’entrée du réseau pluvial pour créer la panique.
- Le 23 Octobre 2019, le tènement St Christol est devenu une presqu’île pendant 5 à 6 h. La Peyne, le Tartuguier et le ruisseau d’Arnet étant sortis de leurs lits coupant la D913, route de Nizas, le Chemin de St Christol, le Chemin de Chichery et le Chemin de Castres.
L’unique voie praticable à pied était l’ancienne voie « d’intérêt local ».
La fréquence des épisodes cévenols augmente, est-il normal de continuer dans cette voie ?
- Suite à l’imperméabilisation d’une grande superficie :
Quel va être l’impact sur les puits des riverains du projet ?
Plusieurs puits de nos voisins ce sont taris cet été.
Si soucis de manque d’eau, les riverains seront-ils raccordés au réseau du nouveau quartier ?
Je suis pour la revitalisation du centre de Pézenas et la réhabilitation des centaines de logements vacants comme le font les communes d’Agde et Béziers.
Je suis pour le logement pour tous, mais défavorable à ce projet.
Pezenas deviendra encore plus une ville fantôme.
Il serait peut-être préférable de se concentrer sur le stationnement gratuit.
N° 1123 : 24 septembre 2024 - 19:30
Auteur : Henri Genieys
Son avis : Défavorable
Monsieur le commissaire enquêteur,
Comment pourrais-je adhérer au projet Saint-Christol ?
On nous parle d’une dette effective de 5 millions d’euros qui le motiverait. Mais au final, à combien va se monter la facture ? Cet argument est donc insidieux. Par contre, la multitude de problèmes qu’il va soulever, eux, seront bien réels. L’eau est naturellement le plus préoccupant : le besoin en eau de 2 000 personnes supplémentaires va incontestablement poser problème à plus ou moins long terme. Et que penser du bétonnage de 24 hectares… encore et encore… Hérésie architecturale à deux pas d’un bâtiment historique, symbole du prince de Conti et de Molière, qu’est la Grange des Prés.
On n'a vraiment rien compris. Ce projet n’apportera rien de plus à la ville de Pézenas, bien au contraire. Ce n’est pas un nouveau quartier, c’est une nouvelle ville flambant neuve.
Henri Genieys
N° 1122 : 24 septembre 2024 - 19:23
Auteur : Jean pierre Varea
Organisation : Médecin généraliste maison de Sante AXONE
Son avis : Favorable
Concernant le dossier St Christol :1/ce projet a été initié par l’ancienne municipalité il y a 15ans et qui a engagé la mairie sur le plan financier lourdement.2/ 15 ans après ce projet est il toujours adapté ? 3/ la municipalité actuelle peut elle suspendre ce dossier au vu des engagements antérieurs ?il semble qu’il est plus préjudiciable à moyen terme ne pas réaliser ce projet .4/sur le plan démographique l’augmentation de la population de 20/100 au moins doit être complètement anticipé en terme de service,de circulation des commerces ect…afin de ne pas créer une 2 ème cité en périphérie .5/en particulier sur le plan Medical à la MSP AXONE nous sommes 5 MG dont 3 ont dépassé l’âge de la retraite il faut que la mairie envisage une campagne de recrutement en 2025 de 2 MG pour éviter un désert Medical .
N° 1121 : 24 septembre 2024 - 19:18
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Une telle urbanisation de Saint Christol est un vrai problème environnemental
N° 1120 : 24 septembre 2024 - 19:17
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Une fois que Saint-Christol sera urbanisé, le paysage naturel et l’histoire du quartier seront perdus à jamais. Ce projet représente une transformation irréversible qui affectera non seulement les habitants actuels, mais aussi les générations futures.
N° 1119 : 24 septembre 2024 - 19:17
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Avec une urbanisation importante, la consommation énergétique va augmenter, ce qui pourrait entraîner une hausse des coûts pour les habitants et une empreinte écologique plus lourde. Des mesures pour réduire cette consommation devraient être intégrées au projet.
N° 1118 : 24 septembre 2024 - 19:16
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Les projets d’urbanisation mal contrôlés peuvent parfois conduire à des quartiers qui se dégradent rapidement. Sans entretien adéquat et gestion des infrastructures, Saint-Christol pourrait se transformer en un quartier peu attractif et négligé.
N° 1117 : 24 septembre 2024 - 19:16
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Avec une urbanisation massive, il est essentiel de préserver des espaces culturels et de loisirs pour les habitants. Le projet actuel semble ignorer cet aspect, ce qui pourrait appauvrir l'offre culturelle et les moments de convivialité dans le quartier.
N° 1116 : 24 septembre 2024 - 19:15
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
L’urbanisation doit tenir compte des besoins de tous les habitants, anciens et nouveaux, pour être réussie. Le projet actuel semble exclure cette dimension inclusive, en ne prenant pas en compte les avis et besoins des habitants actuels du quartier.
N° 1115 : 24 septembre 2024 - 19:15
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Si l'urbanisation de Saint-Christol n’est pas bien planifiée, avec une réflexion à long terme sur les infrastructures et les services nécessaires, cela pourrait aboutir à une croissance désordonnée et incontrôlée qui affectera la qualité de vie de tous les habitants.
N° 1114 : 24 septembre 2024 - 19:15
Auteur : Marie-Catherine Selkirk
Son avis : Défavorable
Je connais depuis longtemps Pézenas et je l'aime beaucoup pour son caractère authentique. Ce projet me semble très défavorable pour les commerces du centre ville. La région est d'autre part sujette à la sécheresse, je pense qu'il n'est pas pertinent d'installer une population supplémentaire avec des ressources en eau limitées. Sans parler de la dégradation des espaces naturels, de l'augmentation de la circulation automobile, donc des pollutions multiples. En bref ce projet date d'une autre époque complètement à l'opposé des préoccupations écologiques actuelles. On ne protège pas une biodiversité en bétonnant des espaces naturels. Donc pour moi c'est aberrant, c'est NON.
N° 1113 : 24 septembre 2024 - 19:15
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
L'urbanisation de Saint-Christol pourrait aggraver des problèmes environnementaux, comme l'imperméabilisation des sols ou la destruction de zones naturelles. Ces risques doivent être sérieusement évalués avant d'envisager une telle expansion urbaine.
N° 1112 : 24 septembre 2024 - 19:14
Auteur : Pauline Alsabbagh
Son avis : Favorable
Le projet proposé répond à des enjeux majeurs pour la région de Pézenas. D'une part, il vise à pallier le déficit en logements adaptés aux besoins variés des familles, jeunes actifs et personnes âgées. D'autre part, il contribue à dynamiser l'économie locale en générant des emplois, tant directs qu'indirects, renforçant ainsi le tissu économique régional. Ce projet se distingue également par son engagement en faveur de la durabilité, en respectant des normes environnementales rigoureuses et en s'intégrant harmonieusement dans son cadre naturel.
N° 1111 : 24 septembre 2024 - 19:14
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Si les prix de l'immobilier augmentent à cause de l'urbanisation, les populations locales, en particulier les plus modestes, risquent d'être déplacées. Cela entraînerait une perte d’identité pour le quartier de Saint-Christol, qui verrait ses habitants historiques partir.
N° 1110 : 24 septembre 2024 - 19:14
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Le projet d'urbanisation se concentre essentiellement sur la construction de logements sans proposer de solutions pour renforcer l’économie locale, les commerces de proximité ou l'emploi. Cela crée un déséquilibre économique qui pourrait affaiblir le tissu social de la ville.
N° 1109 : 24 septembre 2024 - 19:13
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
En concentrant des logements dans un quartier comme Saint-Christol, il y a un risque que Pézenas devienne une simple ville-dortoir, sans réelle dynamique locale, où les habitants ne font que résider sans participer à la vie communautaire.
N° 1108 : 24 septembre 2024 - 19:12
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Une population plus dense génère forcément plus de déchets. Si les infrastructures de gestion des ordures ne sont pas renforcées, cela pourrait entraîner des problèmes d’hygiène et une surcharge des systèmes de collecte des déchets dans le quartier.
N° 1107 : 24 septembre 2024 - 19:12
Auteur : Marie-Laure Auzanneau
Son avis : Défavorable
STOP au béton et au bitume excessifs dans les conditions climatiques de plus en plus dégradées sur terre
Plus de liens et moins de biens partout
Plus de coopération et moins de compétition entre les humains urbains et/ou ruraux
N° 1106 : 24 septembre 2024 - 19:12
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Dans de nombreux cas, une urbanisation rapide peut entraîner une augmentation de la criminalité. Si le quartier de Saint-Christol est surpeuplé sans aménagements sociaux et sécuritaires adéquats, cela pourrait dégrader la sécurité des habitants.
N° 1105 : 24 septembre 2024 - 19:11
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
L'urbanisation, en créant de nouveaux logements, peut conduire à l’isolement des anciens habitants qui pourraient se sentir délaissés dans un quartier en pleine mutation. Les nouveaux arrivants risquent de ne pas s’intégrer, ce qui affaiblirait le lien social existant.
N° 1104 : 24 septembre 2024 - 19:11
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Ce projet mettrait en péril la biodiversité et le patrimoine historique de Pézenas, augmentant la pollution liée à la création de nouvelles infrastructures et réduisant par la même occasion l'attrait touristique de la ville. Ce ne sont que quelques unes des raisons pour lesquelles ce projet est inacceptable et elles me semblent déjà bien suffisantes.
N° 1103 : 24 septembre 2024 - 19:11
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Une urbanisation accrue augmentera la pression sur les hôpitaux et les centres médicaux de la région. Cela pourrait engendrer des temps d'attente plus longs et une saturation des services de santé, compromettant l'accès aux soins pour les habitants.
N° 1102 : 24 septembre 2024 - 19:11
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Alors que de nombreuses villes favorisent désormais l’agriculture urbaine pour répondre aux besoins locaux en nourriture et réduire l'empreinte écologique, le projet d’urbanisation à Saint-Christol semble ignorer cette tendance et ne prévoit aucun espace dédié à cette pratique.
N° 1101 : 24 septembre 2024 - 19:10
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Seuls les acheteurs à fort pouvoir d’achat peuvent investir aujourd’hui dans la pierre à Pézenas. Ceux qui sont propriétaires actuellement ont donc cette chance de bénéficier de plus values particulièrement avantageuses; On ne peut que comprendre une opposition face à l’évolution de l’offre et la demande liées au projet.
Les bailleurs privés bénéficient également de cette situation favorable. Face à la demande, les loyers augmentent.
Enfin, les Airbnb se multiplient car plus rentables qu’une location classique. Pezenas, la ville que j’aime c’est avant tout la ville de la mixité, du lien social sans condition d’appartenance de classe, de normalité et ça n'est pas exclusivement une vitrine touristique que seul un happy few peut habiter.
Les classes moyennes dont je fais partie ne peuvent plus se loger à Pézenas.
Quant aux « pauvres », handicapés, sans emploi, ils ne peuvent plus accéder à un logement décent ou sont relégués dans des logements indignes, parfois loués par des marchands de sommeil.
Simple progressiste, je n’ai qu’un souhait, celui de préserver cette belle culture piscénoise et de parier sur ce sacrifice écologique pour ne pas asphyxier cette ville que j'aime tant. Malgré un grand souci de préserver l’environnement, je vote pour que 655 logements soient construits. Tenir compte de la dimension sociale, c’est aussi de l’écologie.
N° 1100 : 24 septembre 2024 - 19:10
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Les projets d’urbanisation sont souvent accompagnés de tensions entre promoteurs immobiliers et résidents. La construction de nouveaux logements à Saint-Christol pourrait entraîner des conflits d’intérêts, chacun ayant des visions opposées de l'avenir du quartier
N° 1099 : 24 septembre 2024 - 19:09
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
L’urbanisation de Saint-Christol entraînera probablement une hausse du coût de la vie, notamment à travers l’augmentation des prix de l’immobilier et des services locaux. Cela pourrait pénaliser les habitants les plus modestes, contraints de quitter le quartier.
N° 1098 : 24 septembre 2024 - 19:09
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Saint-Christol offre aujourd'hui des espaces où les enfants peuvent jouer en toute sécurité et profiter de la nature. Urbaniser ce quartier reviendrait à priver les jeunes générations de ces moments privilégiés, les enfermant dans des zones bétonnées.
N° 1097 : 24 septembre 2024 - 19:08
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
L'urbanisation, en densifiant la population, peut favoriser la transmission de maladies et augmenter la pollution environnementale, ce qui a des répercussions sur la santé publique. Sans mesures appropriées, ces risques peuvent peser lourdement sur les services de santé.
N° 1096 : 24 septembre 2024 - 19:08
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Avec l'augmentation de la population, le bruit des véhicules, des travaux et des activités humaines va également croître. Cela pourrait perturber la tranquillité des résidents actuels, en particulier ceux qui ont choisi de vivre à Saint-Christol pour son calme.
N° 1095 : 24 septembre 2024 - 19:07
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Les constructions modernes risquent de rompre avec l’esthétique actuelle du quartier et de la ville. L’urbanisation à Saint-Christol pourrait défigurer le paysage, affectant non seulement les habitants, mais aussi les visiteurs qui viennent pour le cadre pittoresque de Pézenas.
N° 1094 : 24 septembre 2024 - 19:07
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Le projet ne semble pas inclure d’aménagements suffisants pour favoriser les modes de transport doux, comme le vélo ou la marche. L’urbanisation doit être pensée en intégrant des alternatives à la voiture pour réduire la pollution et les embouteillages.
N° 1093 : 24 septembre 2024 - 19:07
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Avec plus de logements et d’infrastructures, la demande en électricité et en gaz augmentera. Cela pourrait entraîner des tensions sur les réseaux d’énergie, augmentant ainsi les risques de coupures ou de hausses de tarifs pour les habitants actuels.
N° 1092 : 24 septembre 2024 - 19:06
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
L’urbanisation à grande échelle peut attirer des investisseurs spéculatifs qui achètent des terrains ou des biens pour les revendre à des prix exorbitants. Cela exclurait de nombreux habitants locaux du marché immobilier, exacerbant les inégalités sociales.
N° 1091 : 24 septembre 2024 - 19:06
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Le projet d’urbanisation risque de perturber l’équilibre entre les zones naturelles et les zones construites. Saint-Christol, avec ses espaces naturels, contribue à la biodiversité et à la beauté de la ville. Il est essentiel de préserver ces espaces pour garantir un cadre de vie sain et agréable pour tous.
N° 1090 : 24 septembre 2024 - 19:02
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Le développement urbain risque de transformer Saint-Christol en une simple zone résidentielle uniforme, sans âme ni caractère, coupant ainsi les liens avec l’histoire et la culture locale qui font le charme de Pézenas.
N° 1089 : 24 septembre 2024 - 19:02
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Avec une urbanisation rapide, il y a toujours des préoccupations en matière de sécurité. L'augmentation de la population sans une adaptation adéquate des forces de l'ordre et des infrastructures de sécurité pourrait conduire à une hausse des incivilités ou des incidents.
N° 1089 : 24 septembre 2024 - 19:02
Auteur : Alain Aznar
Son avis : Défavorable
Madame monsieur
Je connais PEZENAS depuis plus de 66 ans.
Mes grands parents y ont déposé leur valises en venant d Espagne en 1910.
Ils ont eu dix enfants dans cette ville et logeaient au coeur de la ville dans ce que l on appelait la maison des pauvres.
Mon père qui est né en 1925 habite toujours à PEZENAS, au quartier St Christol.
Ma mère est enterrée à PEZENAS depuis le 10 août 2024.Elle avait 96 ans.
Le quartier St Chritol doit être préservé et protéger.
Son sous sol recèle d un réseau d irrigation ancien.
Qui a su défier le temps et la bêtise des hommes.
Puis-il perdurer.
Construire ici est une gigantesque erreur.
Écologique d abord.
Mais aussi il faut penser à l avenir de ces centaines de maisons qui n auront plus d eau dans quelques années.
Et qui connaîtront aussi les inondations.
C est un paradoxe mais il se vérifie régulièrement.
N° 1088 : 24 septembre 2024 - 19:01
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Le projet d'urbanisation semble ignorer les enjeux écologiques majeurs tels que la gestion des déchets, la production d’énergie renouvelable ou la création d’habitats durables. Ce manque de vision à long terme est préoccupant pour l'avenir de Pézenas.
N° 1087 : 24 septembre 2024 - 19:01
Auteur : Suzanne Matéo
Son avis : Défavorable
Monsieur le commissaire enquêteur,
Je suis fondamentalement contre ce projet de Saint-Christol, et ce depuis son origine. Le simple fait d’envisager 2000 personnes de plus est une hérésie.
Osons évoquer ce que seront demain :
les problèmes de circulation et de stationnement, déjà très sensibles aujourd’hui.
L’angoisse liée à la gestion de l’eau est bien présente et se fait chaque année plus perceptible, a-t-on déjà vu la Peyne et le Tartuguier totalement à sec ? Combien de puits de particuliers posent des problèmes alarmants ?
Alors que personne n’ignore que l’Hérault est un des départements les plus pauvres de France, allons nous nous permettre le luxe d’attirer des personnes pour lesquelles nous n’aurons aucun emploi à fournir…
Que dire également du fait de bétonner 24 hectares de terres ? Dans le contexte actuel, où tous, absolument tous les voyants sont au rouge en matière d’environnement… Le manque de logements est un argument fallacieux. Ne serait-il pas plus judicieux de restaurer ces multiples maisons inhabitées du centre qui, pour le même coût, apporteraient de la vie à notre cœur de ville, qui ne vibre que deux mois par an ?
Créer la vie ailleurs et abandonner l’existant, n’est-ce pas absurde ? Où est le bon sens de nos décideurs ?
Merci de m'avoir lue.
Suzanne Matéo
N° 1086 : 24 septembre 2024 - 19:01
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
La région de Pézenas est riche en terres agricoles, qui risquent d'être sacrifiées pour des projets immobiliers. L'urbanisation de Saint-Christol menace ces terres précieuses, essentielles à l'économie locale et à notre autonomie alimentaire.
N° 1085 : 24 septembre 2024 - 19:00
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Le projet d'urbanisation de Saint-Christol pourrait exacerber les inégalités sociales entre nouveaux arrivants et résidents historiques. Ce manque d'inclusion et de dialogue entre ces deux groupes risque de créer des tensions sociales et une perte de cohésion communautaire.
N° 1084 : 24 septembre 2024 - 19:00
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
L'urbanisation favorise souvent la construction de logements privés au détriment d’espaces publics, comme des parcs ou des centres communautaires. Le projet ne semble pas proposer de solutions pour préserver ou développer des lieux de rencontre pour les habitants.
N° 1083 : 24 septembre 2024 - 18:59
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Pézenas est une ville touristique prisée pour son authenticité et son cadre naturel. L’urbanisation de Saint-Christol pourrait décevoir les visiteurs qui viennent pour découvrir le charme traditionnel de la région, réduisant ainsi l’attractivité touristique de la ville.
N° 1082 : 24 septembre 2024 - 18:59
Auteur : Jean pierre Varea
Organisation : Médecin généraliste maison de Sante AXONE
Son avis : Favorable
Concernant le dossier St Christol :1/ce projet a été initié par l’ancienne municipalité il y a 15ans et qui a engagé la mairie sur le plan financier lourdement.2/ 15 ans après ce projet est il toujours adapté ? 3/ la municipalité actuelle peut elle suspendre ce dossier au vu des engagements antérieurs ?il semble qu’il est plus préjudiciable à moyen terme ne pas réaliser ce projet .4/sur le plan démographique l’augmentation de la population de 20/100 au moins doit être complètement anticipé en terme de service,de circulation des commerces ect…afin de ne pas créer une 2 ème cité en périphérie .5/en particulier sur le plan Medical à la MSP AXONE nous sommes 5 MG dont 3 ont dépassé l’âge de la retraite il faut que la mairie envisage une campagne de recrutement en 2025 de 2 MG pour éviter un désert Medical .
N° 1081 : 24 septembre 2024 - 18:59
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Une politique de betonnisation d'un autre âge, un projet aux dimensions sans aucun rapport avec la population réelle : qui cela avantage-t-il hormis les promoteurs ?
N° 1080 : 24 septembre 2024 - 18:59
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Les résidents actuels de Saint-Christol risquent de voir la valeur de leurs propriétés baisser avec l’arrivée de nouvelles constructions qui modifieront la qualité de vie dans le quartier. Ce changement brusque pourrait entraîner une perte financière pour les propriétaires.
N° 1079 : 24 septembre 2024 - 18:58
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
L’urbanisation de Saint-Christol repose sur un modèle de développement à court terme, qui mise sur la construction et la densification sans prendre en compte les enjeux de durabilité et de résilience. Nous devons repenser ce projet en adoptant une vision plus écologique et à long terme.
N° 1078 : 24 septembre 2024 - 18:58
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Ce projet ne correspond pas aux besoins de la population mais aux gains de ceux à qui cela profite. Pézenas va perdre le peu de qualité de vie qui lui restait.
N° 1077 : 24 septembre 2024 - 18:57
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
La qualité de vie à pezenas risque d'être fortement dégradé par l'arrivée de 700 logement.
Bouchon, queue, piscine surchargé, activité extra scolaire saturé.
Aucune école supplémentaire n'a été prévue. Les gens qui vont amener leur enfant à l'école le matin vont encore plus surchargé le traffic.
N° 1076 : 24 septembre 2024 - 18:57
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Avec l’urbanisation, la demande en eau potable augmentera, alors que la région souffre déjà de périodes de sécheresse. Ce projet pourrait épuiser les ressources en eau, ce qui affecterait non seulement les habitants, mais aussi les agriculteurs locaux.
N° 1075 : 24 septembre 2024 - 18:56
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Saint-Christol est une partie intégrante de l'identité culturelle de Pézenas. L'urbanisation, avec la construction de bâtiments modernes, menace d'effacer cette richesse culturelle, transformant ce quartier en un lieu sans âme ni histoire.
N° 1074 : 24 septembre 2024 - 18:56
Auteur : Manuelle DALGALIAN
Son avis : Défavorable
Avec une sécheresse croissante et une ressource en eau déjà en tension, comment ce projet immobilier n’entrainerait-il pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Comment le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus qu’une partie des précipitations, n’accentuerait-il pas grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…) ? Et comment ce bétonnage n’affecterait-il pas le rechargement de la nappe phréatique ?
Comment les 17 % de trafic routier supplémentaires (notamment sur le pont de Peyne) pourraient-ils être absorbés ?
Comment ne pas remarquer l’incohérence entre les 700 logements inoccupés en centre ville et le projet qui prévoit la construction de 655 logements neufs?
Combien d’investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), ainsi que la scolarisation des nouveaux élèves (en particulier ceux du Primaire), etc… ?
Et enfin POURQUOI l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n'a-t-il pas été pris en compte ?
N° 1073 : 24 septembre 2024 - 18:56
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Comment peut-on décider de construire une telle quantité de logements alors qu'il n'y a aucun besoin humain de logement sur Pézenas, qui plus est sur les rares terres fertiles !
N° 1072 : 24 septembre 2024 - 18:56
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Avec un afflux de nouveaux résidents, la pression sur les services publics va s’intensifier. Les services de santé, d’éducation et de sécurité ne sont pas prêts à répondre à une augmentation soudaine de la population, ce qui nuira à la qualité de ces services pour tous.
N° 1071 : 24 septembre 2024 - 18:55
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Le projet d’urbanisation semble être planifié sans tenir compte des particularités locales. Saint-Christol a une histoire, une culture et des besoins spécifiques que ce projet ne semble pas respecter, risquant ainsi de créer une fracture au sein de la communauté.
N° 1070 : 24 septembre 2024 - 18:55
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
La construction d'infrastructures sur des espaces naturels à Saint-Christol pourrait réduire la capacité de drainage des sols, augmentant ainsi les risques d’inondations en cas de fortes pluies. Cela mettrait en danger la sécurité des habitants et des biens.
N° 1069 : 24 septembre 2024 - 18:55
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Les habitants de Saint-Christol apprécient leur cadre de vie calme et verdoyant. Urbaniser cette zone transformerait radicalement leur quotidien, remplaçant la nature et la tranquillité par du béton, du bruit et de l'agitation.
N° 1068 : 24 septembre 2024 - 18:54
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Détruire les rares terres valables pour le maraîchage en Languedoc relève de décisions qui ne peuvent s'expliquer par le bon sens. De quoi se demander ce qui a pu guider de tels choix....
N° 1067 : 24 septembre 2024 - 18:54
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
L’urbanisation de Saint-Christol pourrait entraîner une hausse des prix de l'immobilier et une gentrification, rendant l'accès au logement plus difficile pour les habitants locaux. Cela risquerait d'exclure les familles modestes qui ne pourraient plus se permettre de vivre dans leur quartier d'origine.
N° 1066 : 24 septembre 2024 - 18:54
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Les équipement de ma ville ne sont pas dimensionné pour accueillir 2000 personne supplémentaire.
Les bouchons vont devenir un problème au quotidien
L'augmentation de la population va induire plus de délinquance
N° 1065 : 24 septembre 2024 - 18:54
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
L'urbanisation à Saint-Christol entraînera un afflux de nouveaux habitants, mais les infrastructures publiques comme les écoles, les hôpitaux ou les centres de loisirs ne sont pas en mesure de répondre à une demande croissante. Cela créera une pression supplémentaire sur les services municipaux déjà surchargés.
N° 1064 : 24 septembre 2024 - 18:53
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Les routes autour de Saint-Christol ne sont pas conçues pour absorber une augmentation massive du trafic. Avec plus de résidents, les embouteillages deviendront monnaie courante, rendant la circulation pénible pour tous les habitants.
N° 1063 : 24 septembre 2024 - 18:53
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Les espaces verts de Saint-Christol sont un poumon pour le quartier et permettent aux habitants de profiter d'une certaine tranquillité. L’urbanisation entraînerait la disparition de ces zones, au détriment du bien-être des résidents actuels.
N° 1062 : 24 septembre 2024 - 18:53
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Un réchauffement climatique et une baisse de qualité avec comme seule réponse des constructions inutiles. Ce projet est un projet complètement à contre courant de qui est bon pour Pézenas.
N° 1061 : 24 septembre 2024 - 18:53
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Le projet d'urbanisation semble avoir été lancé sans une véritable consultation des habitants de Pézenas. Les citoyens devraient avoir leur mot à dire dans le processus de planification pour s'assurer que leurs préoccupations sont prises en compte.
N° 1060 : 24 septembre 2024 - 18:52
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
L’attrait de Pézenas réside dans son charme de petite ville aux allures rurales, où la nature est omniprésente. Urbaniser Saint-Christol risquerait de transformer ce quartier paisible en une zone dense et bétonnée, rompant ainsi avec l'identité authentique de la ville.
N° 1059 : 24 septembre 2024 - 18:52
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Avec plus de logements et d'infrastructures, il y aura plus de voitures et donc une augmentation des émissions de gaz à effet de serre et des particules fines. Cette urbanisation contribuerait à la dégradation de la qualité de l’air, ce qui pourrait affecter la santé des résidents, notamment les plus vulnérables.
N° 1058 : 24 septembre 2024 - 18:51
Cette observation a été classée comme doublon par le commissaire enquêteur.
N° 1057 : 24 septembre 2024 - 18:51
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Aucun besoin de ce projet, sur une des seules zones où l'eau est présente et la terre cultivable. Un gâchis aux conséquences aberrantes.
N° 1056 : 24 septembre 2024 - 18:51
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Le quartier de Saint-Christol abrite une flore et une faune locales précieuses. L'expansion urbaine risque de détruire ces écosystèmes fragiles, aggravant la perte de biodiversité dans une région déjà menacée par le changement climatique et l'artificialisation des sols.
N° 1055 : 24 septembre 2024 - 18:50
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
L’urbanisation de Saint-Christol pourrait entraîner une hausse de la population locale sans que les infrastructures actuelles ne soient adaptées. Les routes, écoles et services publics risquent d’être saturés, entraînant une baisse de la qualité de vie des habitants actuels.
N° 1054 : 24 septembre 2024 - 18:50
Auteur : Antoine Aznar
Son avis : Défavorable
Problème de gestion d eau
Problème où ces nouveaux arrivants se feront ils suivre médicalement tous les médecins sont surbooke ....
Où les enfants iront ils à l école ?
Pas de structures pour les accueillir
.....
N° 1053 : 24 septembre 2024 - 18:49
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Saint-Christol est un quartier chargé d’histoire et d’identité locale. Urbaniser cet espace risquerait de dénaturer l’âme de Pézenas, une ville connue pour son architecture ancienne et son authenticité. Le développement urbain doit être équilibré avec la nécessité de préserver notre patrimoine historique, qui attire également de nombreux visiteurs.
N° 1052 : 24 septembre 2024 - 18:47
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Le projet va induire trop de bouchon à pezenas
Les risque de pénurie d'eau du a l'augmentation de la population sont à prendre en compte
Les risque d'inondation du au pluie de plus en plus forte
N° 1051 : 24 septembre 2024 - 18:44
Auteur : Yannick MOURET
Organisation : particulier
Son avis : Favorable
Bonjour,
Notre région souffre d'un déficit de logements adaptés aux besoins des familles, des jeunes actifs et des personnes âgées. Ce projet vise à combler cette lacune et à offrir des solutions durables en matière d’habitat.
Cela fait des années que Pézenas stagne ou régresse économiquement et en population. Je ne jette la pierre politique à personne, mais l'inertie et l'opposition à tout mènent au néant.
Je suis né à Pézenas, dans une clinique qui ne possède plus de maternité depuis des années déjà. Ma famille est ancrée dans la région depuis 300 ans. Il faut proposer un avenir à notre belle région.
Cordialement,
Yannick MOURET
N° 1050 : 24 septembre 2024 - 18:42
Auteur : Anne Ronfort
Son avis : Défavorable
il faut privilégier la nature et la ressource en eau.
N° 1049 : 24 septembre 2024 - 18:40
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Respectueux de le nature, je suis forcément inquiet pour le devenir du quartier saint Christol. Mais nous ne pouvons pas éternellement nous faire dépasser par les communes voisines, comment Roujan peut-elle devenir plus importante que Pézenas ou bien Clermont L'hérault (c'est déjà fait). Reste le problème de ces 6 millions qui nous oblige à finaliser ce projet, sans cela nous devrons cette somme sans contrepartie. Un apport de travail pour une longue période dans le secteur du bâtiment grâce à ces travaux sera également le bienvenu dans notre ville sinistrée. Cela peut-être un ballon d'oxygène pour nos petits commerces qui souffrent de plus en plus à condition que les gens trouvent de quoi se garer, une navette serait alors la bienvenue l'été.
N° 1048 : 24 septembre 2024 - 18:35
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
1. **Problématique de l’eau dans un contexte de sécheresse croissante :**
Dans une région déjà touchée par des périodes de sécheresse de plus en plus longues et une gestion de l'eau en tension, il est légitime de se demander si les ressources en eau seront suffisantes pour alimenter un tel projet immobilier. Durant l’hiver dernier, plusieurs villages aux alentours ont dû être approvisionnés en eau par camions-citernes. L'ajout de 2 000 habitants supplémentaires à Pézenas risque d'aggraver cette situation. Où trouverons-nous l’eau nécessaire pour assurer les besoins de cette population croissante ?
2. **Impact environnemental sur l’hydrologie locale :**
La bétonisation de 24 hectares de terres agricoles à Saint Christol risque d’avoir un effet délétère sur le cycle de l’eau. En supprimant une zone d’absorption naturelle, le ruissellement des eaux pluviales vers les zones déjà sensibles de la ville pourrait s’intensifier, augmentant le risque d’inondations dans les secteurs vulnérables comme la rue Conti, l’avenue de Castelnau, ou encore les Calquières basses et hautes. De plus, la réduction des surfaces perméables ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique, ressource déjà sous pression.
3. **Perte de terres agricoles fertiles :**
La destruction de ces 24 hectares de terres agricoles, particulièrement fertiles, entraînerait une réduction significative de la production alimentaire locale, affaiblissant ainsi l’approvisionnement en produits agricoles du Piscénois. Alors que l’importance des circuits courts et de l’agriculture locale est de plus en plus reconnue, cette perte de terres arables serait dommageable pour la souveraineté alimentaire locale.
4. **Augmentation du trafic routier :**
L’ajout de 700 nouveaux logements entraînerait une augmentation de 17 % du trafic routier, un chiffre considérable dans une ville comme Pézenas. Comment le réseau routier, notamment le pont de la Peyne, pourrait-il absorber cet afflux sans entraîner des embouteillages, une augmentation de la pollution et des nuisances sonores pour les riverains ? Aucune solution viable n’est actuellement proposée pour gérer cet impact sur la mobilité urbaine.
5. **Équilibre commercial menacé :**
La création d’une Halle Gourmande de 700 m² à Saint Christol pourrait nuire au commerce local, notamment celui du centre-ville de Pézenas. En attirant une partie de la clientèle vers cette nouvelle zone, il y a un risque de désertification commerciale du centre historique, déjà en difficulté. Le projet de nouvelle Halle ne doit pas se faire au détriment des commerces existants.
6. **Capacité des infrastructures scolaires :**
Avec l’arrivée de nombreuses familles, il est nécessaire de se demander si les infrastructures scolaires, notamment les écoles primaires, seront capables d’accueillir tous ces nouveaux élèves. Les investissements scolaires dépendent de la commune, mais aucune garantie ni plan précis n’a été présenté pour la construction de nouvelles écoles ou l’agrandissement des infrastructures existantes. De plus, si des fonds importants sont alloués à ce nouveau quartier, cela pourrait compromettre les budgets destinés à d'autres secteurs, comme la rénovation du centre-ville.
7. **Capacité de la station d'épuration :**
La station d’épuration actuelle est-elle en mesure de traiter les eaux usées supplémentaires générées par ces 2 000 nouveaux habitants ? Si ce n’est pas le cas, des investissements conséquents devront être réalisés, ce qui représenterait un coût supplémentaire pour la commune. Une question cruciale reste sans réponse : comment la commune financera-t-elle ces infrastructures sans alourdir la fiscalité locale ?
8. **Investissements supplémentaires à la charge de la commune :**
La mise en place d’infrastructures supplémentaires, telles que des liaisons piétonnes et cyclables entre Saint Christol et Pézenas, ou la gestion des zones inondables et des routes environnantes (comme celle de Nizas), générera des coûts significatifs pour la commune. Ces dépenses n’ont pas été intégrées dans l’analyse du projet et risquent de grever le budget municipal.
9. **Manque de transparence dans la gestion du projet :**
Enfin, il est inquiétant de constater que l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n’a pas été rendu public ni joint au dossier. Ce manque de transparence nuit à la confiance des citoyens dans le processus de consultation publique et laisse planer des doutes sur les réelles motivations derrière ce projet.
**Conclusion :**
Le projet de création d’un quartier de 700 logements à Pézenas, bien que répondant à des besoins en termes de logements, pose de nombreuses questions quant à sa faisabilité, son impact environnemental et social, ainsi que les coûts pour la commune. Il est essentiel que ces préoccupations soient sérieusement prises en compte avant de poursuivre ce projet.
N° 1047 : 24 septembre 2024 - 18:32
Auteur : sylvie mora
Son avis : Défavorable
Avis défavorable pour le projet de Saint Christol à Pézennas qui est justifié par les problèmes d'eau :sécheresse, inondation. la ressource en eau doit être protégée et l'eau de ruissellement absorbée en cas de pluies intenses. Donc non au bétonnage et non aux terres agricoles sacrifiées.
N° 1046 : 24 septembre 2024 - 18:30
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Projet inadapté pour les infrastructures de Pézenas. Risque économique pour les commerces du centre ville.Lieu privilégié naturel pour les Piscénois à préserver.
N° 1045 : 24 septembre 2024 - 18:29
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Je suis totalement contre ce projet de betonisation d’un espace de nature !
N° 1044 : 24 septembre 2024 - 18:28
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Il faut stopper l'artificialisation des sols et réfléchir à une autre façon de consommer local. Ces terres auraient une bien meilleure utilité avec une utilisation agricole. De plus la construction de lotissements ne doit pas être démesurée et il faut réfléchir à l'impact d'une telle augmentation de la population sur les structures existantes : écoles, approvisionnement, routes etc... Ce genre de projet est une aberration écologique telle qu'on pouvait en voir y a une vingtaine d'années mais qu'on ne pensait plus possible avec les mentalités actuelles
N° 1043 : 24 septembre 2024 - 18:24
Auteur : Marc PEPI
Son avis : Favorable
Opinion quant aux activités à déployer sur le quartier de Saint-Christol à Pézenas
Le taux de chômage du bassin d’emploi de Pézenas-Agde est particulièrement élevé.
Le tourisme constitue une des rares activités pourvoyeuse d’emplois sur ce territoire.
Toutefois, cette activité étant essentiellement saisonnière, elle n’induit que des recrutements de courte durée.
Il existe pourtant une ressource insuffisamment exploitée : l’eau chaude du forage Pz2. Cette ressource est, par ailleurs, depuis 2019, autorisée en tant qu’eau minérale naturelle pour une distribution en buvette publique.
Un centre thermoludique a été projeté pour permettre la mise en valeur de cette richesse qui aurait pour avantage l’étalement de la saison touristique et qui proposerait un nouveau loisir aux résidents de l’Agglo Héraut-Méditerranée.
Cet équipement a été conçu d’une taille suffisante pour l’accueil correspondant aux fréquentations estimées et pour être suffisamment visible et attractif pour l’ensemble des visiteurs.
Son implantation dans l’ancien domaine de Saint-Christol a été guidé par deux impératifs :
• disposer d’une surface d’un hectare pour le centre proprement dit
• et offrir sur la ZAC, à proximité dudit centre, des terrains afin que des opérateurs puissent construire un ou plusieurs hébergements touristiques (hôtel ou résidence de tourisme).
Cette activité nouvelle si elle se concrétisait sur le Domaine de Saint-Christol
• favoriserait ainsi la création d’emplois en CDI et stabiliserait les postes d’autres commerces et services.
• permettrait de mutualiser les dépenses nécessaires pour financer réseaux et accès en les réalisant en même temps que ceux du quartier,
• dynamiserait le site et participerait à sa réorientation.
Telle est la genèse d’une activité économique nouvelle et la raison de son implantation sur la ZAC de Saint-Christol.
Marc PEPI
N° 1042 : 24 septembre 2024 - 18:23
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N° 1041 : 24 septembre 2024 - 18:21
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Pertes terres agricoles fertiles
N° 1040 : 24 septembre 2024 - 18:20
Cette observation a été classée comme doublon par le commissaire enquêteur.
N° 1039 : 24 septembre 2024 - 18:19
Auteur : Arthur Ansselin
Son avis : Défavorable
Laissons les champs tranquille
N° 1038 : 24 septembre 2024 - 18:18
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Ecocide, irresponsable, obsolète !
N° 1037 : 24 septembre 2024 - 18:17
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
1. **Problématique de l’eau dans un contexte de sécheresse croissante :**
Dans une région déjà touchée par des périodes de sécheresse de plus en plus longues et une gestion de l'eau en tension, il est légitime de se demander si les ressources en eau seront suffisantes pour alimenter un tel projet immobilier. Durant l’hiver dernier, plusieurs villages aux alentours ont dû être approvisionnés en eau par camions-citernes. L'ajout de 2 000 habitants supplémentaires à Pézenas risque d'aggraver cette situation. Où trouverons-nous l’eau nécessaire pour assurer les besoins de cette population croissante ?
2. **Impact environnemental sur l’hydrologie locale :**
La bétonisation de 24 hectares de terres agricoles à Saint Christol risque d’avoir un effet délétère sur le cycle de l’eau. En supprimant une zone d’absorption naturelle, le ruissellement des eaux pluviales vers les zones déjà sensibles de la ville pourrait s’intensifier, augmentant le risque d’inondations dans les secteurs vulnérables comme la rue Conti, l’avenue de Castelnau, ou encore les Calquières basses et hautes. De plus, la réduction des surfaces perméables ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique, ressource déjà sous pression.
3. **Perte de terres agricoles fertiles :**
La destruction de ces 24 hectares de terres agricoles, particulièrement fertiles, entraînerait une réduction significative de la production alimentaire locale, affaiblissant ainsi l’approvisionnement en produits agricoles du Piscénois. Alors que l’importance des circuits courts et de l’agriculture locale est de plus en plus reconnue, cette perte de terres arables serait dommageable pour la souveraineté alimentaire locale.
4. **Augmentation du trafic routier :**
L’ajout de 700 nouveaux logements entraînerait une augmentation de 17 % du trafic routier, un chiffre considérable dans une ville comme Pézenas. Comment le réseau routier, notamment le pont de la Peyne, pourrait-il absorber cet afflux sans entraîner des embouteillages, une augmentation de la pollution et des nuisances sonores pour les riverains ? Aucune solution viable n’est actuellement proposée pour gérer cet impact sur la mobilité urbaine.
5. **Équilibre commercial menacé :**
La création d’une Halle Gourmande de 700 m² à Saint Christol pourrait nuire au commerce local, notamment celui du centre-ville de Pézenas. En attirant une partie de la clientèle vers cette nouvelle zone, il y a un risque de désertification commerciale du centre historique, déjà en difficulté. Le projet de nouvelle Halle ne doit pas se faire au détriment des commerces existants.
6. **Capacité des infrastructures scolaires :**
Avec l’arrivée de nombreuses familles, il est nécessaire de se demander si les infrastructures scolaires, notamment les écoles primaires, seront capables d’accueillir tous ces nouveaux élèves. Les investissements scolaires dépendent de la commune, mais aucune garantie ni plan précis n’a été présenté pour la construction de nouvelles écoles ou l’agrandissement des infrastructures existantes. De plus, si des fonds importants sont alloués à ce nouveau quartier, cela pourrait compromettre les budgets destinés à d'autres secteurs, comme la rénovation du centre-ville.
7. **Capacité de la station d'épuration :**
La station d’épuration actuelle est-elle en mesure de traiter les eaux usées supplémentaires générées par ces 2 000 nouveaux habitants ? Si ce n’est pas le cas, des investissements conséquents devront être réalisés, ce qui représenterait un coût supplémentaire pour la commune. Une question cruciale reste sans réponse : comment la commune financera-t-elle ces infrastructures sans alourdir la fiscalité locale ?
8. **Investissements supplémentaires à la charge de la commune :**
La mise en place d’infrastructures supplémentaires, telles que des liaisons piétonnes et cyclables entre Saint Christol et Pézenas, ou la gestion des zones inondables et des routes environnantes (comme celle de Nizas), générera des coûts significatifs pour la commune. Ces dépenses n’ont pas été intégrées dans l’analyse du projet et risquent de grever le budget municipal.
9. **Manque de transparence dans la gestion du projet :**
Enfin, il est inquiétant de constater que l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n’a pas été rendu public ni joint au dossier. Ce manque de transparence nuit à la confiance des citoyens dans le processus de consultation publique et laisse planer des doutes sur les réelles motivations derrière ce projet.
**Conclusion :**
Le projet de création d’un quartier de 700 logements à Pézenas, bien que répondant à des besoins en termes de logements, pose de nombreuses questions quant à sa faisabilité, son impact environnemental et social, ainsi que les coûts pour la commune. Il est essentiel que ces préoccupations soient sérieusement prises en compte avant de poursuivre ce projet.
N° 1036 : 24 septembre 2024 - 18:15
Auteur : florence morizot
Son avis : Défavorable
Stop au bétonnage et à l'artificialisation des sols. Redonnons le pouvoir à la nature bienfaitrice. Aller contre elle, c'est multiplier les catastrophes climatiques.
N° 1035 : 24 septembre 2024 - 18:13
Cette observation a été désactivée car elle est contraire à la charte d'utilisation.
N° 1034 : 24 septembre 2024 - 18:11
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Un projet écocidaire, énième projet inutile sur le territoire national, irresponsable et anachronique, fruit d'une idéologie mortifère de la Croissance. Le pourtour méditerranéen va subir de plein fouet et à très court terme une forme de "sahelisation" parfaitement établie par le GIEC avec les problèmes d'eau douce afférents mais qu'importe ! les bétonneurs ont faim et poursuivent une artificialisation débridée des sols, artificialisation "greenwashée" par une expertise des plus douteuses. Côté politique l'on continue à révérer la croissance démographique pour elle-même. Et qu'importe si la structure de la ville s'en trouve fragilisée et gravement métamorphosée ! Qu'importe si les infrastructures ne suivent pas !
N° 1033 : 24 septembre 2024 - 18:09
Auteur : Béatrice Le moel
Son avis : Défavorable
Les terres agricoles de la CAHM servent pour seulement 6% à produire des aliments humains. Les terres agricoles et naturelles doivent servir les enjeux de souveraineté alimentaire et de maintien de la biodiversité , car les 2 sont liés et alliés. Il y a de nombreux batiments à renover, à surrelever pour creer des logements et des services. L energie et l argent doivent etre mobilisés dans ce sens. Avec une vraie volonté de faire des habitats à energie passive voire positive. Faisons de pezenas, une ville patrimoniale exemplaire au regard des enjeux climatiques notamment. Densifier, oui.Artificialiser non.
N° 1032 : 24 septembre 2024 - 17:59
Auteur : pierre jacquemin
Son avis : Défavorable
Projet irresponsable sur toute la ligne!
N° 1031 : 24 septembre 2024 - 17:56
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Je suis bien consciente des problèmes de logement sur la commune de Pézenas, ce projet de St Christol du fait de son ampleur va entrainer de nombreux problèmes.
Il faudrait revoir la copie en baissant le nombre de logements et donc le nombre d'habitants escompté et proposer plusieurs autres sites pour éviter une aussi forte concentration sur un même site.
Pézenas ne pourra pas accueillir autant de personnes, pour une augmentation de 1600 personnes cela représente une hausse de 20 % de la population, c'est considérable pour une ville comptant actuellement 7800 habitants.
Je souhaite relever différents points en m'adressant aux protagonistes du projet :
. Les infrastructures ne sont pas adaptées.Nous allons subir une hausse trop importante du trafic routier.
Avez vous pensé aux parents qui amèneront leurs enfants à l'école et aux personnes qui devront se rendre en ville pour aller travailler, tous sur un même créneau matinal réduit?
Au nord, actuellement il n'y a que l'entrée de ville par le pont de la Peyne, celle ci sera fortement embouteillée même avec un feux qui tentera de réguler le flux. Cette entrée posera problème; même si vous pensez apporter une solution en créant une entrée par la gare du nord, il y aura un gros problème de trafic sur ces deux zones.
De plus, en fin d'après midi vers 17h, heure de sortie des écoles, quel est le piscénois qui n'a pas attendu, désespérément dans sa voiture, de très longues dizaines de minutes sur le boulevard Voltaire pour atteindre le faubourg des Cordeliers.
De plus , un autre endroit sera impacté ; il s'agit du chemin de Castre. Ce chemin est très étroit , on ne peut pas se croiser à deux voitures; on doit parfois reculer pour céder le passage, de plus en plus de personnes empruntent cette voie(exemple liaison Caux- autoroute , riverains, contournement de Pézenas ....) et ce passage sera très très problématique.
. Les écoles sont elles en capacité d'accueillir une hausse aussi importante d'élèves ?
. Qu'en est il du problème de stationnement?
Ce problème est récurrent à Pézenas. Les parking sont souvent complets même en hiver ( ne parlons pas de l'été). Comment vont faire les personnes venant de St Christol pour stationner en ville pour pouvoir aller à la poste, à la mairie, à la banque, à la médiathèque, dans les commerces du centre ville, au marché du samedi...
. Problème de la station d'épuration.
. Problème de la désertification du centre ville au détriment du commerce de proximité
. Problème de la ressource en eau . Je ne m'étalerai pas sur ce sujet, d'autres l'ont fait et bien fait.
. Pézenas est très sensible concernant la question des précipitations. Par fortes pluies, la zone de St Christol et au delà est une zone à haut risque du fait des eaux de ruissellement venant des hauteurs de Chichery et du fait de la montée des eaux du Tartuguier et de la Peyne.
L'épisode de 2019 est encore dans nos mémoires; celui ci ne sera plus exceptionnel à l'heure du réchauffement climatique.Les risques d'inondation sont bien réels .Une fois la bétonisation faite , nous ne pourrons plus dire " Ah! si on avait su"
. Pézenas et ses alentours ont un fort taux de chômage( plus élevé que la moyenne nationale); en effet la région vit de la viticulture et du tourisme. Il n'y a pas d'industrie et quasiment pas d'offres d'emploi pérennes.
Comment la population active va t -elle pouvoir travailler dans le secteur ? Devra t-elle se déplacer sur de longues distances avec une hausse de la pollution liée à l'usage de l'automobile ?
Pour conclure( car il faut bien terminer mais la liste des points négatifs est encore longue) ,il ne faudrait pas qu'après l'aboutissement de ce projet les habitants de Pézenas, là où naquit Molière, disent:
" Mais , que diable sont ils allés faire dans cette galère !"
N° 1030 : 24 septembre 2024 - 17:56
Auteur : Charline Amate
Son avis : Défavorable
Est on sur que ce projet n'entraînera de restriction d'eau potable à Pezenas ou dans les villages au alentours ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol ne contribuera plus au rechargement de la nappe phreatique.
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 1029 : 24 septembre 2024 - 17:54
Auteur : Jean-Michel Hélary
Organisation : SOS Lez Environnement
Son avis : Défavorable
Monsieur le Commissaire Enquêteur,
SOS Lez Environnement est une association citoyenne a-partisane, agréée par le Préfet de l'Hérault au titre de la protection de l'environnement sur le territoire du département.
En tant que président de cette association, et après avoir pris connaissance du dossier de l’enquête publique, je vous soumets les observations suivantes.
- Le projet présenté est en contradiction avec le SCOT du biterrois, qui prévoit deux hectares d'artificialisation pour la commune de Pézenas. Ce seuil serait donc largement dépassé par la réalisation de ce projet, d'autant que plusieurs nouveaux quartiers ont déjà été construits depuis la validation de ce SCOT.
- Nous n'avons pas trouvé, dans le dossier, l'avis du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas. Cet avis devrait pourtant être porté à connaissance des citoyennes et des citoyens qui font l'effort de s'exprimer. Son absence est susceptible de fausser leur appréciation.
- Les considérations hydrauliques (alimentation en eau potable, assainissement, protection contre les inondations) sont trop lacunaires pour que l'on puisse correctement mesurer l'impact de ce nouveau quartier. Des études prospectives sont nécessaires.
- Comment ce nouveau quartier sera relié au centre ville par des moyens alternatifs à l'auto-solisme (équipements cyclables, dessertes en transports en commun, etc)? Ces moyens seront-ils suffisants pour compenser l'arrivée des nouveaux habitants de ce quartier ?
Voici quelques unes des questions qui motivent notre avis défavorable à l'enquête publique unique.
Recevez, Monsieur le Commissaire Enquêteur, l'expression de tpoute notre considération.
N° 1028 : 24 septembre 2024 - 17:49
Auteur : Mireille Durand
Organisation : LFI
Son avis : Favorable
Monsieur le Commissaire Enquêteur,
La Communauté d'Agglomération Hérault Méditerranée doit nécessairement conforter un pôle d'équilibre au delà de son littoral, à l'intérieur de ses terres.
PÉZENAS joue ce rôle-là.
Il importe, pour le devenir même de la CAHM, que cette centralité de la ville de Pézenas soit accrue. Il y va de l'intérêt intercommunal d'équilibrer son territoire.
Aussi, le projet de Zone d'Aménagement Concerté dit de Saint-Christol tendra à renforcer cet équilibre communautaire.
Le maintien (et non pas le risque de départ) de certains services publics, le renforcement et l'implantation d'activités économiques vont dans ce sens.
L'emploi est une nécessité et son corollaire est l'habitat.
La création d'un habitat favorisant la mixité sociale est capital.
Pézenas a toujours été une ville ouverte et accueillante.
Ce projet en est la continuité.
Il faut des logements qui offrent des prix abordables pour toute bourse.
Sa dynamique économique et, par ricochet, la vitalité de ses activités économiques en sont garanties.
Je suis défavorable au projet immobilier écocide de Saint Christol Pezenas.
L.R.
N° 1024 : 24 septembre 2024 - 17:27
Auteur : jean michel Domage
Son avis : Défavorable
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 1023 : 24 septembre 2024 - 17:26
Auteur : christian Gil
Organisation : retraité, ancien DGS
Son avis : Favorable
La ville de Pézenas doit gérer un projet subi
La nouvelle équipe municipale fait l’effort d’apporter une dimension environnementale et un redimensionnement du projet qui est aujourd’hui rationnellement positionné.
Pézenas a un grand besoin de logements avec des logements sociaux. La rareté et la tension sur le marché immobilier entraine une augmentation du foncier et des loyers. L’accession à la propriété, sans cet apport, par les couches sociales supérieures va entrainer un changement sociologique qui est devenu, aujourd’hui un schéma bien connu par les villes du sud proche de la Méditerranée. Il faut offrir au piscénois et notamment aux jeunes la possibilité de se loger.
Enfin, mais ce n’est pas un détail de l’Histoire du projet, la Ville a une dette de 6 millions, auprès des sociétés chargés du projet (études, acquisitions, …) , héritée du mandat précédent. L’hypothèse d’un abandon va entrainer une charge pour la ville sans commune mesure avec ses moyens, cette charge entrainera mécaniquement une hausse fiscale sans précédent pour les contribuables Piscénois L argument de l’endettement et la perspective de la poursuite de l’opération pour équilibrer l’opération, sont les choix de la raison pour une commune de cette taille.
Je suis donc favorable à la poursuite du projet
N° 1022 : 24 septembre 2024 - 17:19
Cette observation a été désactivée car elle est contraire à la charte d'utilisation.
N° 1021 : 24 septembre 2024 - 17:19
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Le projet proposé répond à des enjeux majeurs pour la région de Pézenas. D'une part, il vise à pallier le déficit en logements adaptés aux besoins variés des familles, jeunes actifs et personnes âgées. D'autre part, il contribue à dynamiser l'économie locale en générant des emplois, tant directs qu'indirects, renforçant ainsi le tissu économique régional. Ce projet se distingue également par son engagement en faveur de la durabilité, en respectant des normes environnementales rigoureuses et en s'intégrant harmonieusement dans son cadre naturel.
N° 1020 : 24 septembre 2024 - 17:19
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
N° 1019 : 24 septembre 2024 - 17:16
Auteur : huguette dumoulin
Son avis : Défavorable
Ce projet de lotissement ne répond en rien à la demande de logements cruciale dans notre région où l'explosion des lotissements s'est accompagnée, paradoxalement, d'une aggravation concomitante de la pénurie de logements: politique axée sur le tourisme et non sur le logement des habitants qui doivent s'éloigner de plus en plus loin du littoral.
Il ne s'agit donc pas d'un projet d'intérêt publique mais d'un projet porté par des promoteurs comme la plupart des projets de la région.
- disparition de 24 ha de terres agricoles dans un département, l'Hérault, qui détient déjà le record de leur plus grande consommation.
- artificialisation des terres accentuant les risques d'inondation, alors quee les orages sont de plus en plus violents
- trafic routier amplifié dans un secteur déjà bien impacté
- risque accru de pénurie d'eau dans un environnement où la sécheresse croissante épuise les nappes phréatiques entrainant la rareté de l'eau.
L'eau, les terres agricoles, la qualité de l'air: autant de biens communs détruits pour un projet purement spéculatif.
Ce projet va à l'encontre de toutes les préconisations pour la préservation de l'environnement.
Il n'est pas d'intérêt général, mais va à l'encontre de l'intérêt général.
J'émets donc un avis totalement défavorable.
Huguette Dumoulin
N° 1018 : 24 septembre 2024 - 17:15
Auteur : Gautier Sophie
Son avis : Favorable
Souvent le prix du foncier arrête les projets des particuliers, il faut que les terrains de ce projet soit à un prix abordable.
N° 1017 : 24 septembre 2024 - 17:08
Auteur : Joel Georges Maurice Michel Laplane
Organisation : Luthier
Son avis : Défavorable
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
N° 1016 : 24 septembre 2024 - 17:06
Cette observation a été désactivée car elle est contraire à la charte d'utilisation.
N° 1015 : 24 septembre 2024 - 16:59
Auteur : Francis SOULLIER
Son avis : Défavorable
Beaucoup trop d'avis défavorables en copié collé pour être honnêtes. Ce projet écocide ne répond plus aux enjeux de 2024. Ce qui était valable dans les années 70 ou 80 ne l'est plus aujourd’hui. Nous avons construit à tour de bras dans ces années là et la population n'a pas cru pour autant. Bien au contraire. Favorable à l'emploi ? lesquels ? Si des commerces s'y implantent que deviendront les emplois du centre ville ? Tout a déjà tout dit sur le risque de manque d'eau, les inondations... le saccage des dernières terres arables....Vous irez expliquer à vos enfants que pour soit disant sauver les finances de la ville vous avez sacrifié leur avenir. XXXXX
N° 1014 : 24 septembre 2024 - 16:57
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Haute qualité du projet
N° 1013 : 24 septembre 2024 - 16:54
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Projet d’amenagement important et judicieux
N° 1012 : 24 septembre 2024 - 16:53
Auteur : Agnès GUIRAUD
Son avis : Favorable
Projet nécessaire au développement démographique de la commune de PÉZÉNAS. Manque de logements pour les jeunes et les nouveaux arrivants. Respect des normes d’environnement. J’émets donc un avis favorable.
N° 1011 : 24 septembre 2024 - 16:48
Auteur : Chantal Aouad
Son avis : Favorable
Beau projet vertueux
N° 1010 : 24 septembre 2024 - 16:44
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
N° 1009 : 24 septembre 2024 - 16:40
Auteur : Andréa Valéro
Son avis : Favorable
Monsieur le Commissaire Enquêteur,
La question environnementale est fortement prise en compte dans le projet St Christol.
Cet aspect m'est primordial et donc, j'y suis favorable.
En effet, aujourd'hui, nous déplorons un mitage dû à plusieurs dizaines de villas individuelles, chacune implantée sur un large foncier, qui se sont édifiées au fil du temps.
Certaines habitations, issues de CABANISATION par la transformation ILLÉGALE d'un abri agricole, se situent entre deux eaux au confluent de la rivière Peyne et du ruisseau Tartuguier.
Elles appartiennent à ceux qui refusent le projet de ZAC ... au nom de l'écologie !!!
Quid de leur ressource en eau par des forages individuels ?
Quid de l'évacuation de leurs eaux usées au moyen d'assainissement autonome ... au risque de souiller leur propre eau et, pire, l'eau des autres en polluant la nappe phréatique ?
Leur devise est : "Après moi, plus personne !"
Plutôt que ce mitage irrationnel, disséminé sur des centaines d'hectares au nord/nord-est de la ville, l'intérêt écologique de la ZAC de Saint-Christol réside bien dans sa limitation spacieuse et sa maîtrise opérationnelle. Rien n'est laissé au hasard, tout est posément réfléchi et compensé, tant d'un point de vue environnemental qu'agricole, avec même une innovation qui sera expérimentée par l'éclairage public rouge, limitant ainsi l'agression visuelle sur la faune.
Tant d'études d'impact, d'études agro-environnementales, d'études écologiques de prise en compte faunistique et floristique ont été réalisées depuis 25 ans qu'il serait calamiteux de ne pas les capitaliser.
N° 1008 : 24 septembre 2024 - 16:34
Auteur : eric DELPEYROUX
Organisation : barsalou
Son avis : Favorable
avis favorable au projet
N° 1007 : 24 septembre 2024 - 16:16
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Projet interessant et dynamisant pour la région. C’est nécessaire.
N° 1006 : 24 septembre 2024 - 16:16
Auteur : Isabelle Ponzone
Son avis : Défavorable
Les COMMERCES DU CENTRE VILLE étant tout à fait aptes à fournir ce qui est nécessaire aux consommateurs, il faut absolument les PRESERVER !
Sinon, ils disparaîtront rapidement...
N° 1005 : 24 septembre 2024 - 15:58
Auteur : Jacqueline GALINDO
Son avis : Favorable
Importance de la création de nombreux logements tout en respectant la biodiversité et en pratiquant une mixité sociale. Ce projet soutiendrait en plus l'économie locale en évitant des fermetures d'entreprises, une stagnation économique. L'avenir de la région serait préservé.
N° 1004 : 24 septembre 2024 - 15:42
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Ayant toujours vécue dans la région et appréciant particulièrement la ville de Pézenas, je tiens à apporter mon soutien à ce projet. J’ai vu dans l’étude présenté un quartier qui a été pensé pour le bien-être de tous et le respect d’une mixité sociale, du paysage et de l’environnement. Les liaisons avec l’existant ont été traitées de façon réfléchie et ne génèreront pas de problème pour la ville. Les préoccupations techniques ont été également prises en compte. Le travail a été fait au regard des présentations de façon sérieuse. Je fais confiance aux élus et aux concepteurs pour mener à terme ce dossier.
N° 1003 : 24 septembre 2024 - 15:38
Auteur : Françoise Mihiere
Son avis : Défavorable
Il faut arrêter la bétonisation des terres fertiles et songer aux conséquences de ces constructions sur le long terme ( besoins en eau, accès routiers, écoles etc...)
N° 1002 : 24 septembre 2024 - 15:31
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je suis favorable au projet du quartier saint-christol
Il va dynamiser et développer notre ville qui a besoin de plus d'habitants et de logements modernes pour nos jeunes.
qui paiera la dette si le projet venait à être avorté ?
N° 1001 : 24 septembre 2024 - 15:30
Auteur : Thierry Frasson-Gaillard
Son avis : Favorable
C’est un projet ambitieux tant pour le respect du terroir local, biodiversité, qu’innovations environnementales avant-gardistes en France.
N° 1000 : 24 septembre 2024 - 15:06
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Ce projet vertueux se distingue par ses enjeux environnementaux majeurs.
N° 999 : 24 septembre 2024 - 15:01
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Unique, repond au besoin, tres beau.
N° 998 : 24 septembre 2024 - 15:00
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Pézenas est longée par l’autoroute avec plusieurs sorties, a une gare routière, n’est pas loin des gares de Beziers et d’Agde, de l’aéroport de Beziers et de l’A9, son besoin de développement est évident.
Merci
N° 997 : 24 septembre 2024 - 14:59
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Stupidité monumentale
N° 996 : 24 septembre 2024 - 14:58
Cette observation a été classée comme doublon par le commissaire enquêteur.
N° 995 : 24 septembre 2024 - 14:56
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Pourquoi les responsables des dépenses engagées lors de la municipalité précédente ne sont pas inquiétés ou du moins interpellés sur ce projet hors sol en 2024 et anti tout bon sens ???
N° 994 : 24 septembre 2024 - 14:55
Auteur : Jona Karam
Son avis : Favorable
Le projet proposé répond à des enjeux majeurs pour la région de Pézenas. D'une part, il vise à pallier le déficit en logements adaptés aux besoins variés des familles, jeunes actifs et personnes âgées. D'autre part, il contribue à dynamiser l'économie locale en générant des emplois, tant directs qu'indirects, renforçant ainsi le tissu économique régional. Ce projet se distingue également par son engagement en faveur de la durabilité, en respectant des normes environnementales rigoureuses et en s'intégrant harmonieusement dans son cadre naturel.
N° 993 : 24 septembre 2024 - 14:51
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
trop d'arguments défavorables à ce projet et sans réponse à ce jour : manque d'eau, projet abandonné pour logements dans Pezenas, sécheresse etc
N° 992 : 24 septembre 2024 - 14:49
Cette observation a été classée comme doublon par le commissaire enquêteur.
N° 991 : 24 septembre 2024 - 14:49
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Le projet proposé répond à des enjeux majeurs pour la région de Pézenas. D'une part, il vise à pallier le déficit en logements adaptés aux besoins variés des familles, jeunes actifs et personnes âgées. D'autre part, il contribue à dynamiser l'économie locale en générant des emplois, tant directs qu'indirects, renforçant ainsi le tissu économique régional. Ce projet se distingue également par son engagement en faveur de la durabilité, en respectant des normes environnementales rigoureuses et en s'intégrant harmonieusement dans son cadre naturel.
N° 990 : 24 septembre 2024 - 14:49
Auteur : Xavier Duniach
Son avis : Favorable
Bonjour, je suis favorable au projet si ça devient un quartier eco-responsable, c'est à dire à la fois avec un habitat écologique limitant l'utilisation de la climatisation et de matériaux nocifs, qu'il soit un quartier arboré pour amoindrir les effets de la chaleur dans les rues, avec des commerces de proximité et avec des espaces de vie collectifs. Il me semble aussi important que l'architecture respecte la physionomie de l'habitat local et surtout pas un empilement de
béton. Il ne faut pas que ce quartier devienne une verrue de béton alors que la réputation de Pézenas s'est en partie faite sur la qualité de son architecture. Merci de votre attention.
N° 989 : 24 septembre 2024 - 14:48
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Le projet proposé répond à des enjeux majeurs pour la région de Pézenas. D'une part, il vise à pallier le déficit en logements adaptés aux besoins variés des familles, jeunes actifs et personnes âgées. D'autre part, il contribue à dynamiser l'économie locale en générant des emplois, tant directs qu'indirects, renforçant ainsi le tissu économique régional. Ce projet se distingue également par son engagement en faveur de la durabilité, en respectant des normes environnementales rigoureuses et en s'intégrant harmonieusement dans son cadre naturel.
N° 988 : 24 septembre 2024 - 14:39
Auteur : Marie-Claude Garnier
Son avis : Défavorable
Pourquoi l'avis défavorable du Conseil Citoyen de la Ville de Pezénas n'a-t-il pas été pris en compte?
N° 987 : 24 septembre 2024 - 14:39
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Pour la croissance économique
N° 986 : 24 septembre 2024 - 14:38
Auteur : Monique Champiot
Son avis : Défavorable
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ? La parole des citoyens doit être prise en compte dans une démocratie digne de ce nom. Et quid de l'alimentation en eau, de la destruction de terres,du bétonnage? Un projet d'un autre âge au moment de la crise climatique.
N° 985 : 24 septembre 2024 - 14:26
Auteur : Emilie IMBERT
Son avis : Défavorable
On ne peut pas être sûr que la ressource en eau sera suffisante pour les habitants.
La nappe phréatique en serait impactée. Et pourquoi l'avis négatif du Conseil citoyen de la transition écologique de la ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 984 : 24 septembre 2024 - 14:25
Auteur : Antonios FADEL
Son avis : Favorable
Le projet proposé répond à plusieurs enjeux cruciaux pour la région de Pézenas. Tout d'abord, il vise à combler le manque de logements adaptés pour divers groupes sociaux, notamment les familles, jeunes actifs et personnes âgées. Ensuite, il soutient l'économie locale par la création d'emplois directs et indirects, renforçant ainsi le tissu économique régional. Ce projet se distingue aussi par son exemplarité en matière de durabilité, respectant des normes environnementales strictes et s'intégrant harmonieusement dans son environnement naturel.
N° 983 : 24 septembre 2024 - 14:19
Auteur : Barbara Bouquiaux
Son avis : Défavorable
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
N° 982 : 24 septembre 2024 - 14:18
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Il est temps de retaper les vieilles maisons au lieu d’en construire des nouvelles et il est grand temps d’arrêter de bétonner la terre
N° 981 : 24 septembre 2024 - 14:16
Auteur : Arnaud Devantay
Son avis : Favorable
Beau projet pour palier au manque de logements
N° 980 : 24 septembre 2024 - 14:12
Auteur : Francis GENIEYS
Organisation : Domaine Le Fesq
Son avis : Défavorable
Je suis contre ce projet depuis le début! D'abord 2000 personnes de plus, c'est un quart de la population en plus à supporter pour la ville. c'est énorme! ça va être surtout 2000 voitures de plus ! a multiplier par 2 pour les couples et même parfois par 3 avec les pré-adolescents ( permis de conduire à 17 ans). Il va falloir compter avec 5000 voitures de plus au bas mot. Comment va-t-on pouvoir circuler dans Pézenas, ville déjà tellement saturer. Ou va-t-on pouvoir se garer avec des parkings archi plein en permanence malgré leur coût! Comment pourrons absorbés 17% de trafic routier supplémentaire. Et le pauvre pont de PEYNE y résistera-t-il? Toutes les infrastructures de la ville de Pézenas sont elles en mesure de recevoir toutes ces personnes en plus ???? J'ai vraiment peur que la facture s'alourdisse grandement a long terme pour d'autres investissements à la charge de la commune pour pouvoir intégrer cette nouvelle population. Et que dire de l'eau qui risque de nous manquer cruellement, de l'assainissement, de ces 24 hectares de terres agricoles fertiles qui vont réduire l'approvisionnement alimentaire du piscénois qui est inferieure aujourd'hui a 8%.
Voilà toutes mes questions et mes doutes sur le projet de Saint Christol.
N° 979 : 24 septembre 2024 - 14:01
Auteur : Catherine MARMINAT
Son avis : Défavorable
Bonjour,
Je suis défavorable à ce projet qui comme beaucoup d'autres sont agressifs envers la biodiversité.
N° 978 : 24 septembre 2024 - 13:57
Auteur : Mireille Durand
Organisation : LFI
Son avis : Favorable
M. le Commissaire Enquêteur,
La ville de Pézenas présente un projet de ZAC St Christol auquel je suis favorable.
Elle joue le rôle de bourg centre qui draine les populations des villages voisins y travaillant, venant aux collèges et lycées, aux activités associatives, culturelles, sportives et autres, dans les administrations, ... , et, à ce titre, elle se doit d'offrir accueil, services publics, dessertes et parkings, ... , d'un niveau supérieur à sa seule démographie.
Permettre que de nouveaux habitants s'installent à Pézenas est un gage de pérennité de la capacité financière de la commune, tant par de nouveaux contribuables locaux que par la dynamique économique confortée : commerces de proximité et de centre ville, zones d'activités.
Par ailleurs, si le projet initial porté par la précédente municipalité prévoyait 1.500 habitants supplémentaires, l'actuel projet est réduit de moitié. Il répond à une attente d'appartements car aucun promoteur - aménageur immobilier ne souhaite financer la réhabilitation de logements vieillots et hors normes. Le parc est privé. Les propriétaires individuels ne peuvent pas les réhabiliter.
Aucune mairie n'a pas, non plus, la capacité de se substituer à eux.
Comme dit l'adage : "Quand le bâtiment va, tout va !". Le projet de St Christol pérennise l'attractivité et, partant, l'économie de Pézenas.
N° 977 : 24 septembre 2024 - 13:47
Auteur : Fabrice Briard
Organisation : artisan
Son avis : Favorable
Artisan Electricien depuis 30ans je connais très bien le patrimoine piscénois existant et pu participer à de nombreuses rénovations, réhabilitations ainsi que des projets de constructions neuves mais en comparaison aux communes alentours, le foncier est rare et cher . Pour ma part, lors de mes recherches personnelles il m'a été impossible de trouver un bien qui me permettait également de répondre à mes besoins pour l'entreprise. Pézenas doit rattraper son retard et offrir aux générations futures une ville attractive et dans son temps, le marché immobilier doit être moins tendu sur la commune.
N° 976 : 24 septembre 2024 - 13:41
Auteur : Benoit Bauchet
Son avis : Défavorable
A la lecture des observations effectuées, les avis défavorables énumèrent parfaitement tous les aspects négatifs de ce projet, et je les rejoins.
Ce projet date de 2019. En 2021, la loi Climat et Résilience a été promulguée, et de nombreuses études, au niveau local, national et planétaire, ont été menées durant ces 5 années, sur les plans environnementaux et sociétaux.
Si une bonne part des connaissances dont nous disposons aujourd'hui était déjà établie en 2019, la prise de conscience n'a cessé de grandir, tant au niveau des citoyens que des instigateurs de ce projet.
Il serait fâcheux de constater que des choix irréversibles puissent être effectués en dépit et à l'encontre de ces connaissances et en pleine conscience des conséquences que cela pourrait avoir sur le long terme.
Respectueusement, BB
N° 975 : 24 septembre 2024 - 13:22
Auteur : Helene Marie Colette Jeanne Rullon
Son avis : Défavorable
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 974 : 24 septembre 2024 - 13:12
Auteur : Sylvie HENRY
Son avis : Défavorable
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Vous pouvez également puiser dans le document de 46 pages, déposé par le collectif.
N° 973 : 24 septembre 2024 - 13:02
Auteur : Paule Girard
Son avis : Défavorable
Bonjour,
Comment être favorable à ce projet en 2024, à l'heure du dérèglement climatique ? L'artificialisation des sols - entrainant ruissellement des eaux, érosion des sols, perte de biodiversité, pollution, etc.-, la diminution des ressources en eaux, l'augmentation du trafic routier entraînant peut-être d'autres bétonnages, sont quelques arguments raisonnables, il me semble, contre ce projet. Pour lutter contre la pénurie de logements ne peut-on pas utiliser les bâtis existants ?
Les arguments pour ce projet me semblent passéistes, il est plus que temps de réduire notre activité humaine écocide.
Cordialement.
N° 972 : 24 septembre 2024 - 13:00
Auteur : Jean Noel Badenas
Organisation : Maire de Puisserguier
Son avis : Favorable
Les logements sociaux sont un véritable besoin pour nos concitoyens pour avoir des logements dignes
N° 971 : 24 septembre 2024 - 12:59
Auteur : Joël HENRY
Son avis : Défavorable
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 970 : 24 septembre 2024 - 12:49
Auteur : Xavier Fabre
Son avis : Favorable
Je suis pour ce projet que va enfin ramener du logement pour tous sur la commune de Pézenas
N° 969 : 24 septembre 2024 - 12:48
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
N° 968 : 24 septembre 2024 - 12:39
Auteur : GILLY Annette
Son avis : Défavorable
Je ne comprends pas l'obstination du Maire de Pézenas à vouloir imposer son projet immobilier St-Christol à une époque où les scientifiques et l'État demandent l'arrêt de l'artificialisation des terres. Et ceci afin de préserver les terres fertiles de nos terroirs, condition nécessaire à la reconquête de notre autosuffisance alimentaire, et pour permettre au sol d'absorber l'eau de pluie dont nos nappes phréatiques ont bien besoin, une eau de pluie de plus en plus rare à Pézenas et dont l'aggravation du ruissellement, lorsqu'elle tombe sous forme d'orages, frapperait durement les quartiers les plus bas de la ville.
D'autre part pourquoi envisager la construction de nouveaux quartiers à Pézenas alors qu'il est notoire que 700 logements y sont actuellement inoccupés ? Ne vaudrait-il pas mieux rénover ceux d'entre eux qui en ont besoin et dynamiser ainsi le centre-ville qui en a bien besoin ?
N° 967 : 24 septembre 2024 - 12:26
Auteur : Gilles Ravaux
Son avis : Défavorable
Bonjour,
Avant de prendre votre décision concernant un projet purement financier, pouvez-vous répondre sérieusement aux questions et observations suivantes :
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 966 : 24 septembre 2024 - 12:24
Auteur : Aude LABAT
Son avis : Défavorable
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique
N° 965 : 24 septembre 2024 - 12:20
Auteur : Frédéric ROIG
Organisation : AMF34
Son avis : Favorable
L'association des Maires de l'Hérault soutient la politique des bourgs-centre qui permet de renforcer les centralités, équipements et services publics, commerces, santé, écoles, collèges et lycées.
Ce type de réalisation du futur quartier Saint-Christol permet de travailler sur une offre de logements en adéquation avec les enjeux de la transition écologique tout en restant à l'écoute des besoins des citoyens.
La Ville de Pezenas représentée par son Maire, Armand Rivière s'inscrit pleinement dans cette volonté politique de réponse à l'urgence sociale, économique et environnementale afin de répondre aux besoins de sa population et plus globalement de son territoire.
Pezenas joue un rôle d'équilibre entre Montpellier et Béziers au cœur de l'agglomération Hérault Méditerranée.
Frédéric ROIG
Président
Association des Maires de l'Hérault
N° 964 : 24 septembre 2024 - 12:17
Auteur : Robert GILLY
Son avis : Défavorable
L'évolution climatique que l'on connaît depuis des années dans la région de Pézenas est caractérisée par la redondance de la sécheresse. Au point qu'il faut y ravitailler en eau en hiver des villages proches au moyen de camions-citernes. Comment envisager, dans ces conditions qui risquent fort d'empirer selon les alertes des scientifiques, de pouvoir ravitailler en eau un surplus de 2000 habitants à Pézenas comme celui qu'amènerait le projet immobilier St-Christol ? Ce projet, ne serait-ce que de ce seul point de vue, m'apparaît absurde. Le simple bon sens ne peut conduire qu'à y renoncer.
N° 963 : 24 septembre 2024 - 12:12
Auteur : Patrick Zimmermann
Organisation : Adjoint Castelnau de Guers
Son avis : Favorable
Favorable à ce projet
N° 962 : 24 septembre 2024 - 12:12
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je souhaite exprimer mon soutien pour ce projet ambitieux visant à développer l’offre de logements dans l’Hérault. Non seulement cette initiative répondra à une demande croissante de logements dans la région, mais elle contribuera également à dynamiser l’économie locale. De plus, en facilitant l’accès au logement pour les habitants et les nouveaux arrivants, il renforcera l'attractivité de l'Hérault en tant que territoire où il fait bon vivre, travailler et investir. C'est une avancée prometteuse pour l’ensemble du territoire, avec des retombées positives sur le long terme.
N° 961 : 24 septembre 2024 - 12:05
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Il est temps de retaper les vieilles maisons au lieu d’en construire des nouvelles et il est grand temps d’arrêter de bétonner la terre
N° 960 : 24 septembre 2024 - 11:59
Auteur : Jérôme DRU
Son avis : Défavorable
Avis défavorable.
Sur le fond, je m’associe aux arguments développés, notamment, par MM. Paul Ivorra, Olivier Hébrard, Mathieu Bouchard, Frank Broutin, Jean-Luc Murcia … ainsi qu’aux avis émis par le Conseil Citoyen pour la Transition Écologique.
Sur la forme, je note - et m’interroge sur - la remarque d’un « avis favorable » :
« tous les avis ne sont pas éclairés, loin de là, or l'exercice démocratique met sur le même plan la perception (même biaisée) et la connaissance (basée sur des faits…) » ; soit ... vaste débat.
A moins que ce débat ne soit tranché grâce à l'utile précision d’un élu sur le fonctionnement de cet « exercice démocratique » :
« Rappelons ici les missions du Conseil citoyen de Transition écologique […] : « Cette instance a pour objectifs d’associer les habitants à la vie de la commune, de favoriser le dialogue avec les élus, de faire appel aux compétences de la société civile et plus généralement, de faire vivre la démocratie locale en donnant la parole aux habitants : elle est force de proposition, elle doit être un lieu de débats, d’élaboration de projets, et de reconnaissance de l’expertise d’usage des habitants. Elle participe au débat public, éclaire les élus dans leur prise de décision politique et complète l’expertise technique des services. »
… bien que, plus avant, il soit noté (de la même main) : « Il (le Conseil Citoyen) n’a donc pas été saisi pour avis mais pour information et transparence. (sic) ».
Démocratie active… quoique bien paresseuse.
Et bigrement confuse !
N° 959 : 24 septembre 2024 - 11:57
Auteur : pascale Porté
Son avis : Défavorable
Construire oui mais sur des friches pas sur des terres fertiles.
N° 958 : 24 septembre 2024 - 11:56
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Particulier
N° 957 : 24 septembre 2024 - 11:49
Auteur : dominique gillet
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
N° 956 : 24 septembre 2024 - 11:37
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Nuisible à l'environnement
N° 955 : 24 septembre 2024 - 11:22
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Il est indispensable de revoir ce projet. L’artificialisation des sols, les risques d’inondation, des constructions qui peuvent être revues compte tenu de la population et des logements déjà disponibles, un ensemble d’arguments ne nécessitant pas ce projet disproportionné le justifie. Il vous a déjà été présenté par des associations locales.
Il est grand temps de revoir nos façons de faire pour protéger la planète et la vie , l’avenir de tous et toutes, de la faune et de la flore.
Nous avons des connaissances techniques, intellectuelles pour ce faire, mobilisons les. Merci de votre attention.
Merci de votre attention
N° 954 : 24 septembre 2024 - 11:16
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
La situation sociale se durcit, le mal logement touche de plus en plus les personnes les plus fragiles et personnes âgées.
Il est urgent de trouver un compromis entre la construction de logements et le respect de la nature ci souvent martyrisée.
N° 953 : 24 septembre 2024 - 11:11
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Mes craintes portent sur l'enjeu majeur des ressources en eau.
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
N° 952 : 24 septembre 2024 - 11:11
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 951 : 24 septembre 2024 - 11:10
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Nouveaux habitants, dynamisme démographique pour la Ville, nouveaux commerces
N° 950 : 24 septembre 2024 - 11:03
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Certains ne veulent-ils pas que les plus précaires viennent à Pézenas ou que d’autres puisse avoir la chance d’avoir une villa avec un peu de terrain ?
N° 949 : 24 septembre 2024 - 11:00
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Heureusement que lorsqu’il a fallu construire au-delà des premiers remparts de la ville, il n’y a pas eu tant d’opposition… sinon il y aurait moins de Piscénois.
N° 948 : 24 septembre 2024 - 10:57
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Que puissent dans ces maisons et appartements naître d’autres Boby Lapointe ou être hébergés d’autres Molière.
N° 947 : 24 septembre 2024 - 10:54
Auteur : Christiaan Melenhorst
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
N° 946 : 24 septembre 2024 - 10:52
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Bonjour je suis enseignant sur Pézenas depuis plus de vingt ans et avec mon regard un peu extérieur je vois dans ce projet une vision passéiste (avec des touches de vert) de l'aménagement de la ville .L’artificialisation des sols , la diminution de la ressource en eau ..., bref toutes les problématiques liées au dérèglement climatique doivent être pensées en amont et le projet doit en tenir compte avant tout.
Cordialement.
N° 945 : 24 septembre 2024 - 10:52
Auteur : Edith Bourzès
Son avis : Défavorable
24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
Et comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
N° 944 : 24 septembre 2024 - 10:51
Auteur : sylvain bulfoni
Son avis : Défavorable
Stop au bétonnage des sols. Conservation des espaces naturels pour faciliter l'écoulement des eaux. Les catastrophes actuelles que l'on peut recenser ces derniers temps sont dues au bétonnage massif des surfaces et espaces naturels. Pour protéger la vie sur terre, protégeons la nature, pas de nouvelles infrastructures.
Creusez pour planter des arbres, pas des immeubles, la planète et ses habitants vous diront merci.
S/B
N° 943 : 24 septembre 2024 - 10:51
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
N° 942 : 24 septembre 2024 - 10:47
Auteur : Pierre-Marie Legrand
Son avis : Défavorable
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique
N° 941 : 24 septembre 2024 - 10:46
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Il faut permettre aux plus modestes d’accéder à la propriété.
La situation à Pézenas au niveau du LOGEMENT est très tendue .Nous ne pouvons reloger les piscénois de façon régulière ,puisque actuellement aucune résidence est en cours de construction.
la demande de logement est en train d exploser due à des faits de société. Séparation familiale ,personne à la rue faute de trouver un logement décent dans des prix raisonnables, logement trop exigu pour certains ,trop grands pour d autres.
L attractivité de la commune avec les services à la personne les services publics, les services de l'Education Nationale, fait exploser la demande de logement.
Il est urgent de répondre à ces demandes pour ne laisser aucun citoyen au bord de la route .
Bonjour, je pense que ce projet peut apporter des réponses en matière de logements, services publics et commerces tout en respectant les règles environnementales et écologiques.
N° 938 : 24 septembre 2024 - 10:45
Auteur : Noémie Salmeron
Son avis : Défavorable
Le nouveau quartier Saint Christol est totalement en l'encontre des enjeux climatiques de notre époque. Le manque d'eau est une réalité dans notre ville, la bétonisation de nos espaces verts ne fera qu'accroitre ce problème.
N° 937 : 24 septembre 2024 - 10:44
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
N° 936 : 24 septembre 2024 - 10:40
Auteur : Arthur Saudo
Organisation : Piscenois
Son avis : Favorable
Grandir à Pezenas est agréable , nous avons tout sur place mais de nombreuses infrastructures datent et la ville a besoin d’une dynamique différente , on ne peut pas se reposer que sur le passé ou l’existant .
La campagne est au bout de nos rues et si j’ai bien compris ce que j’ai toujours entendu , celle-ci n’est pas prête de disparaître sous les constructions car il y a de nombreuses réglementations et notamment les zones inondables qui ne permettent pas de se développer .
Le projet Saint Christol est l’opportunité de la ville d’avoir enfin un vent nouveau et de penser à notre avenir .
N° 935 : 24 septembre 2024 - 10:37
Auteur : Gérard CALVEZ
Son avis : Défavorable
24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
Quid de la loi "Climat et résilience" du 22 août 2021 qui a posé un objectif de zéro artificialisation nette (ZAN) ?
N° 934 : 24 septembre 2024 - 10:27
Auteur : Jérôme Parzy
Son avis : Favorable
Monsieur le Commissaire enquêteur,
Je souhaite attirer votre attention sur une problématique urgente qui concerne notre département de l'Hérault : le manque de logements. Cette situation est de plus en plus préoccupante, tant pour les habitants actuels que pour ceux qui envisagent de s'y installer.
L'Hérault est un département en forte croissance démographique, avec un attrait croissant lié à la qualité de vie, la proximité de la mer, et son dynamisme économique. Cependant, l'offre de logements peine à suivre cette demande croissante. Les tensions sur le marché immobilier s’intensifient, avec une hausse continue des prix d’achat et de location, rendant l’accès au logement difficile pour une large partie de la population, notamment les jeunes, les familles, et les personnes aux revenus modestes.
Le manque de logements a également un impact direct sur le développement économique de notre territoire. Les entreprises locales, qui connaissent souvent des difficultés à recruter, se heurtent à un problème de logement pour leurs salariés. Cela freine leur compétitivité et leur capacité à croître.
Pour faire face à cette pénurie, il est essentiel de mettre en place des projets de construction de logements diversifiés, accessibles à tous, tout en respectant les impératifs écologiques et d’aménagement durable du territoire. Le développement de nouveaux quartiers comme celui de la ZAC de Saint-Christol répond à cette urgence et représente une solution concrète pour combler ce déficit de logements.
Il est donc impératif de poursuivre une politique ambitieuse en matière de logement pour répondre aux besoins actuels et futurs des habitants de l'Hérault, tout en garantissant l’inclusivité et la durabilité de ces projets.
Je vous remercie de l’attention que vous porterez à cet avis.
Cordialement.
Jérôme Parzy
N° 933 : 24 septembre 2024 - 10:23
Auteur : Odile Coqueray
Son avis : Défavorable
Ressource en eau déjà en tension dans cette région de Pézenas. Certains villages alentours déjà approvisionnésen eau, cet hiver par camions citernes.Où aller chercher l'eau avec2000 habitants en plus?
Mieux vaut emménager les 700 logements inhabités du centre ville.
pourquoi l'a vis négatif du conseil ctoyen de la ville n'a pas été pris en compte?
N° 932 : 24 septembre 2024 - 10:19
Auteur : Mehdi Meyer
Son avis : Défavorable
Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
N° 931 : 24 septembre 2024 - 10:19
Auteur : Michel LOUP
Organisation : Maire
Son avis : Favorable
Monsieur le Commissaire enquêteur,
Piscénois de souche c’est en tant que maire de Valros commune proche de Pézenas que je donne un avis relatif au projet d’aménagement de Saint-Christol à Pézenas.
Il demeure incontournable que Pézenas en tant que bourg centre regroupe notamment les services, les commerces nécessaires pour la population piscénoise et des villages voisins.
Pézenas demeure une petite ville agréable qui représente un point d’attraction pour les villages environnants cependant les derniers recensements montrent que le bourg perd régulièrement de la population et doit retrouver un certain dynamisme.
Par-delà les positions partisanes, le projet de Saint Christol mené et retravaillé par les différentes municipalités qui se sont succédées semble démontrer que ce projet a du sens.
Si la considération pécuniaire qu’engendrerait l’abandon du projet pour les finances communales n’est pas à occulter, ce nouveau quartier permettra de redynamiser la vie piscénoise et donnera la possibilité à des personnes de pouvoir se loger dans un lieu qualitatif.
En ce sens je donne un avis favorable.
N° 930 : 24 septembre 2024 - 10:15
Auteur : Catherine Weber
Son avis : Défavorable
La bétonnisation , l' artificialisation des terres est à limiter au maximum pour des raisons évidentes concernant la prévention des inondations, de l accroissement des temperatures , de la protection de la terre vivante nécessaire pour la vie de ses habitants.
N° 929 : 24 septembre 2024 - 10:12
Auteur : Yunus Baran
Organisation : Entrepreneur dans le bâtiment
Son avis : Favorable
Responsable d'une entreprise dans le BTP depuis 20 ans , je connais très bien Pézenas pour avoir fait de nombreux chantiers. Au sein du domaine de la construction et aux portes de Pézenas grâce à l'autoroute 75 je ne peux qu'aspirer favorablement à un tel projet et saluer ceux qui le défendent . IL est dit que quand le "bâtiment va tout va" et le secteur du bâtiment va mal , très mal et pourtant le nombre de personnes sans logement ne cessent d'augmenter , tout comme la misère. La crise économique est une des raisons de nos difficultés mais elle n'est pas seule, la réglementation liée aux matériaux, constructions, modes de réalisations, le temps passé pour les démarches administratives; les procédures à rallonges, les normes et les labels, les coûts compliquent notre travail au quotidien pour autant nous ne nous en plaignons pas et l'acceptons car ils justifient la qualité des ouvrages et la validation des constructions. L'acte de construire comprend de nombreux paramètres écologique, environnemental, structurel, un tel projet est normé et étudié par divers bureaux d'études qui étudient de multiples scénarios pour réduire l'impact et répondre aux besoins en logement et économiquement .
N° 928 : 24 septembre 2024 - 10:03
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Je suis totalement défavorable à ce projet qui veut bétonner la campagne dans un lieu riche en biodiversité.
N° 927 : 24 septembre 2024 - 09:54
Auteur : Laurence Rossignol
Son avis : Défavorable
Préservons l’eau
N° 926 : 24 septembre 2024 - 09:54
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Ce projet est totalement écocide et dénature les campagnes. Il va rendre la ville plus saturée encore.
N° 925 : 24 septembre 2024 - 09:50
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Ce projet est destructeur de notre environnement.
N° 924 : 24 septembre 2024 - 09:50
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Suppression de 24 hectares de terres agricoles
N° 923 : 24 septembre 2024 - 09:49
Auteur : didier SCHIMT
Son avis : Défavorable
Ce projet est trop éloigné du centre ville , problème d'alimentation en eau potable sachant que le quartier st christol n'a pas l'eau courante ni d'assainissement , la station d'épuration sera sous dimensionnée si le projet se réalise .
Ensuite suppression de 20 hectares agricoles.
N° 922 : 24 septembre 2024 - 09:48
Auteur : Jean-Yves Mouchel
Son avis : Défavorable
Ce projet, autrefois condamné par le maire actuel, contrevient aux urgences environnementales en betonisant les sols.
N° 921 : 24 septembre 2024 - 09:47
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Je tiens à exprimer ma profonde inquiétude face aux projets de construction prévus. Ces champs jouent un rôle crucial non seulement dans la préservation de la biodiversité, mais aussi dans la lutte contre le changement climatique, la purification de l'air et la régulation des écosystèmes locaux. La déforestation pour des constructions non essentielles met en péril non seulement la faune et la flore, mais aussi l’équilibre environnemental dont nous dépendons tous. Il est de notre devoir de protéger ces terres précieuses pour les générations futures. Je vous encourage à reconsidérer ces projets afin de trouver des solutions durables qui répondent à nos besoins économiques sans compromettre la santé de notre planète.
N° 920 : 24 septembre 2024 - 09:44
Auteur : LUC STIEVENARD
Son avis : Défavorable
Arguments contre ce projet :
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 919 : 24 septembre 2024 - 09:42
Auteur : Sylvette RAPP
Organisation : commune
Son avis : Défavorable
ces hectares de terres agricoles détruites impacterait gravement l’approvisionnement alimentaire et le bétonnage de la campagne accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville ; de plus, cela nuirait au rechargement de la nappe phréatique.
N° 918 : 24 septembre 2024 - 09:41
Auteur : floriane soulas
Son avis : Défavorable
Stop à l'artificialisation des terres agricoles.
L’analyse critique du projet par la MRAE en 2023 et l’avis défavorable du CNPN (Conseil National de la Protection de la Nature) en disent plus.
N° 917 : 24 septembre 2024 - 09:33
Auteur : Nicole Bourlier
Son avis : Défavorable
Il faut vraiment arrêter les projets qui utilisent l'eau sans considération des besoins des populations locales.
N° 916 : 24 septembre 2024 - 09:30
Auteur : Elisa Menras
Son avis : Favorable
.
N° 915 : 24 septembre 2024 - 09:19
Auteur : gilles Raoult
Son avis : Défavorable
Bonjour !
Voici selon moi des arguments suffisant pour s'opposer à ce projet:
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Cordialement.
M Raoult gilles
N° 914 : 24 septembre 2024 - 09:18
Auteur : Cédric Demaret
Son avis : Défavorable
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 913 : 24 septembre 2024 - 09:13
Auteur : christine rolland
Son avis : Défavorable
terres agricoles. Plus belle entrée de la ville. risques en raison des aqueducs sous terrains
N° 912 : 24 septembre 2024 - 09:10
Auteur : Marie Rebeyrol
Son avis : Défavorable
Bonjour,
Avec les sécheresses qui vont devenir habituelles et le manque d'eau à prévoir de manière absolument évidente (des villages proches ont déjà été approvisionnés en eau par camion-citerne), il serait temps d'éviter les concentrations de population sur des territoires déjà en tension sur cette ressource.
N° 911 : 24 septembre 2024 - 09:10
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Il est indispensable de revoir ce projet. L’artificialisation des sols, les risques d’inondation, des constructions qui peuvent être revues compte tenu de la population et des logements déjà disponibles, un ensemble d’arguments ne nécessitant pas ce projet disproportionné le justifie. Il vous a déjà été présenté par des associations locales.
Il est grand temps de revoir nos façons de faire pour protéger la planète et la vie , l’avenir de tous et toutes, de la faune et de la flore.
Nous avons des connaissances techniques, intellectuelles pour ce faire, mobilisons les. Merci de votre attention.
Merci de votre attention
N° 910 : 24 septembre 2024 - 09:07
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
notre ville a besoins de grandire
N° 909 : 24 septembre 2024 - 08:56
Auteur : muriel walter
Son avis : Défavorable
Stop au bétonnage des sols, stop aux projets écocides aux seules fins de profits. Non à un projet qui ne tient pas compte de l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas.
N° 908 : 24 septembre 2024 - 08:51
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Bonjour,
Vous avez signé la pétition pour stopper le projet immobilier écocide Saint Christol Pézenas. Une enquête publique est en cours jusqu’à mercredi.
NOUS AVONS BESOIN DE VOUS car la participation (plus de 500 commentaires) rend la bataille féroce.
Merci à ceux qui ont déjà contribué. Et pour ceux, qui ne l'ont pas encore fait merci de votre aide ! Vous
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 907 : 24 septembre 2024 - 08:44
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Je suis favorable au reboisement de notre belle planète et non au bétonnage sans limites.
N° 906 : 24 septembre 2024 - 08:40
Auteur : kathy brown
Son avis : Défavorable
défavorable
N° 905 : 24 septembre 2024 - 08:38
Auteur : Julien Rocher
Son avis : Défavorable
Absolument défavorable car le centre ville de Pézenas a besoin d entretien et si ce projet se fait il n y aura plus les finances pour entretenir ce centre ville . De plus c est un projet démesuré qui détruit la nature. Les observations d avis défavorables que j ai pu lire me confortent dans ma décision d opposition : eau, écologie …,
N° 904 : 24 septembre 2024 - 08:34
Auteur : Olga Delauze
Son avis : Favorable
Un projet intéressant et bon pour le développement de notre ville.
N° 903 : 24 septembre 2024 - 08:26
Auteur : Monique FAUBERT
Son avis : Défavorable
La ville de Pézenas est largement pourvue en centres commrciaux.
La création d'une halle gourmande à Saint Christol contribuerait au déclin des commerces centre-ville.
Pouquoi l'avis du conseil économique pour la transition écologique n'a-t-il pas été pris en compte.
Et tant d'aures questionnements sur l'utilité et les conséquences d'un tel projet.
N° 902 : 24 septembre 2024 - 08:25
Auteur : Joëlle Omont
Son avis : Défavorable
Alors qu’avec le changement climatique nous voyons tous les jours les dégâts causés par des inondations la betonisation de ce secteur empêcherait l’infiltration des eaux de pluie et créerait des conditions dangereuses pour d’autres quartiers. De plus la France perd trop de terres agricoles à l’heure où nous en avons besoin pour nourrir la population, c’est pourquoi je pense que ce projet ne devrait pas être mis en œuvre qu’il est d’un autre âge.
N° 901 : 24 septembre 2024 - 08:24
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Je souhaite émettre un avis défavorable à ce projet.
Compte tenu de la crise climatique, en particulier de la sécheresse croissante, et de l'approvisionnement en eau déjà en tension, ce projet climaticide va artificialiser des terres pour les polluer et les contaminer de façon irréversible. L'eau des nappes souterraines sera inévitablement contaminé également. Cela reviendrait à détruire encore un peu plus le vivant qui nous entour, ainsi que nous-même.
Pourrait-on dans ce cas encore fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camion-citerne ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où iraient les habitants pour chercher de l’eau ?
Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui aujourd'hui est inférieure à 8%. Seriez-vous prêt à faire ce sacrifice pour valider ce projet ?
Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ? Plus de bâtiments veut dire plus de concentration et donc plus de trafic routier.
La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
Comment seraient scolarisés les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
La station d’épuration pour traiter les eaux usées sera-t-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
ET surtout, pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
J'espère sincèrement que ce projet ne verra jamais le jour, et que la parole citoyenne sera entendue et écoutée. Ce projet est trop coûteux pour l'environnement, la faune, la flore, l'eau, la terre. On ne peut plus se permettre aujourd'hui de telles absurdité écocidaires, l'avenir de ces terres dépend de vous et de votre décision.
Merci pour votre attention
N° 900 : 24 septembre 2024 - 08:16
Auteur : Delphine Anziani
Son avis : Favorable
Projet très intéressant pour le développement du territoire et pour la ville et ses alentours.
Je suis favorable au projet.
N° 899 : 24 septembre 2024 - 08:09
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je suis favorable au projet de st christol,il faut du renouveau et des espaces verts et des lieux sportif pour toutes générations.
N° 898 : 24 septembre 2024 - 08:08
Auteur : nicolas charret
Organisation : GREENVOICE
Son avis : Défavorable
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 897 : 24 septembre 2024 - 08:07
Auteur : Clémence Clavel
Son avis : Favorable
Le dossier présenté à l’enquête est complet et respecte les grands enjeux de l’environnement.
Je suis favorable à ce projet qui va permettre aux Piscenois d’avoir une offre de logement dans un quartier de qualité et intégré au territoire.
N° 896 : 24 septembre 2024 - 08:02
Auteur : muriel brandon
Son avis : Défavorable
je suis défavorable à ce projet
N° 895 : 24 septembre 2024 - 07:33
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Projet hors contexte, qui va provoquer des "besoins" en infrastructures qu'il ne prend pas en charge (et ce ne sera pas non plus régler avec les impôts défiscalisées non percus des G.I (gentilles investisseurs) que cela sera chose faîte.
Il y a des logements vacants partout en France : soit les propriétaires sont suffisamment bons gestionnaires et la remise aux normes thermiques sera aisé et bien comprise, soit ce sont des marchands de sommeil donc expropriations et revente à près rénovation à prix plafonnés à des familles aux revenus plafonnées ;-).
A nouveau : la terre et le territoire sont des ressources communes : il est temps de les gérer ainsi plutôt que de laisser continuer vénaux et médiocres à proliférer : et je ne mets pas tous les promoteurs ou décideurs dans le même panier : des projets ambitieux et à vrai valeur ajoutée il en existe pléthore...celui ci n'en fait pas parti.
A bon entendeur
N° 894 : 24 septembre 2024 - 07:15
Auteur : Françoise Marcheguet
Son avis : Défavorable
Ce projet qui date de plus de 20 ans est en contradiction totale avec l'évolution climatique et la situation économique et sociale de Pézenas.
De nombreux points s'opposent à ce projet :
1. Il est nécessaire de comprendre et d'anticiper L'EVOLUTION du NOMBRE D'HABITANTS en valorisant les appartements inoccupés du centre-ville et en choisissant une vraie politique d'accompagnement des propriétaires et de preemption des logements pour renover le parc existant et vide par une action volontariste et courageuse.
2. Il est prioritaire aujourd'hui de NE PAS BETONNER de NOUVELLES TERRES AGRICOLES, notamment les terres de St Christol qui sont des terres arables, avec une source d'eau d'eau chaude précieuse. Et qui doivent retrouver leur mission d'origine historique : l'agriculture, prioritaire afin de renforcer l'autonomie alimentaire de Pézenas, par une production de fruits et de légumes de proximité.
l est incroyable aujourdhui D'ARTIFICIALISER des terres qui ont une vocation agricole. St Christol fait partie de l'historique ceinture verte de notre ville.
3. C'est une urgence prioritaire de penser à la REDISTRIBUTION de L'EAU, tant urbaine qu'agricole qui risque d'être de plus en plus difficile. De nombreux exemples locaux montent une réduction drastique de l'eau (assèchement de cours deau, de sources, de lac, tout près de Pezenas, sur les terres de Vailhan, de Gabian ... Et de distribution organisée d'eau en bouteille et par citernes dans certains villages ...)
4. Les problèmes D'INONDATION sont loin d'être anodins. Quand les pluies sont fortes au-dessus de Pézenas, sur le tracés de la Peyne et rejoignent l'Hérault qui déborde notamment par des pluies venant des Cévennes, les inondations sont alors réelles. Depuis 10 ans que j'habite à Pézenas, j'ai déjà vu par deux fois l'eau envahir le centre-ville et les terres environnantes.
5. Il est prioritaire de penser Pezenas comme une ville très particulière avec un équilibre social, économique, très précaire. Et de ne pas suivre l'exemple de développement de cellule urbaine éloignée du centre-ville qui ne feront que paupériser et fragiliser la ville elle-même et ses commerces. Il faut voir et tirer expertise de tous les exemples de développement urbain où des zones extérieures à la cité ont amplifié le déclin du centre-ville en augmentant la surface urbaine par des zones d'habitation ou dite artisanale. Le centre ville historique de Béziers, en autre en est un excellent modèle malheureux
6. Il est également tellement regrettable qu'une équipe municipale élue sur l'opposition à ce projet en soit aujourd'hui porteuse. Les arguments alors développés, pendant la campagne électorale rejoignaient les éléments cites ici.
St Christol est un projet ecocide, dangereux, incohérent et inadapté aux besoins et aux réalités de notre ville, de l'évolution du climat méditerranéen,
En opposition avec un modèle harmonieux de développement economique d'une ville avec son existant et le besoin de valorisation du tissu social et economique de notre cité si précieuse et fragile. L'augmentation de la circulation des voitures entrainé par la construction de ce quartier eloigné de la ville entraînera des desordres (bruit, embouteillage, pollutio, difficultésau quotidien de déplacement, un mal vivre et de vrai changement negatif pour tous.
Le non-respect de notre nature pourtant si importante et indispensable est une aberration en ce début de 21e siècle, relève d'une vision passéiste et non adaptée aux besoins de Pézenas, de sa population et de son avenir.
N° 893 : 24 septembre 2024 - 07:10
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je soutient le projet !
N° 892 : 24 septembre 2024 - 06:59
Auteur : Pierre CUER
Son avis : Favorable
Je suis convaincu que ce projet répond à un besoin croissant de logements dans cette magnifique ville, contribuant ainsi à l'amélioration de la qualité de vie de nos concitoyens. L'accès au logement sur la ville de Pézénas est assez difficile. Nous devons nous éloigner de cet axe. La création de nouveaux logements permettra non seulement de diversifier l’offre résidentielle, mais également d'attirer de nouvelles familles et de dynamiser la ville.
N° 891 : 24 septembre 2024 - 06:58
Auteur : Mireille Durand
Organisation : LFI
Son avis : Favorable
Bonjour M. le Commissaire Enquêteur,
Si l'on ne veut pas que les impôts locaux augmentent ou bien que les services municipaux baissent, il faut que la population s'accroisse et contribue.
Pendant trop longtemps, Pézenas n'a pas su maintenir sa jeunesse en lui proposant du logement sur place. Beaucoup de ses enfants sont partis vivre dans les communes périphériques.
Je suis favorable au projet de la ZAC de Saint-Christol parce qu'il permet, d'une part, de développer de l'habitat mais surtout, d'autre part, tous types d'habitats.
Le résidentiel "fermé" est source de sclérose sociologique ; la mixité est une réponse au malaise d'une société fracturée. Les âges, les origines socio-économiques, professionnelles, ethniques, culturelles et cultuelles, ... , doivent cohabiter.
C'est le ferment d'une société apaisée et ouverte à autrui.
N° 890 : 24 septembre 2024 - 06:55
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Attachée à la ville de Pezenas je suis favorable au projet St Christol qui créera de nouveaux logements.
Mais il serait important d'en faire un nouveau lieu de vie avec des espaces verts,des services publics et des commerces de proximité .
Un plus pour l'apport d'habitants,les établissements scolaires et le commerce
N° 889 : 24 septembre 2024 - 06:47
Auteur : Christelle Jouanneaud
Son avis : Défavorable
Non favorable au projet
N° 888 : 24 septembre 2024 - 06:45
Auteur : Obéline FAUCHON
Son avis : Favorable
Bonjour,
Je suis favorable au projet. Pézénas est une très belle ville. Il manque cependant crucialement de logements.
Le projet est très important pour le dynamisme de la ville.
Bien cordialement
N° 887 : 24 septembre 2024 - 06:29
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Inepsie totale
N° 886 : 24 septembre 2024 - 06:04
Auteur : denis SCARENZI
Son avis : Défavorable
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 885 : 24 septembre 2024 - 06:01
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Pezenas ville bijou architectural , intellectuel.
ABERRATION irresponsable de greffer une pendeloque sans âme source de nuisances multiples sur ce patrimoine unique. Folie mercantile ....se souvenir des conséquencesd’exemples nombreux et désastreux de constructions de lotissements, de betonisation,d apports d éléments non concernés par la valeur du patrimoine .
Affaire de conscience...
N° 884 : 24 septembre 2024 - 05:54
Auteur : Henri PIDOUX
Son avis : Défavorable
Détruire 24 hectares de terres agricoles fertiles alors que l’approvisionnement alimentaire du Piscénois est inférieure à 8% est une ABERRATION !
N° 883 : 24 septembre 2024 - 04:17
Auteur : Nikol Rikiki
Organisation : Alerte sos
Son avis : Défavorable
Stop c est inadmissible
N° 882 : 24 septembre 2024 - 03:30
Auteur : Jeanne-Marie SORNAY-SETTON
Son avis : Défavorable
Le projet de ZAC St-Christol s’inscrit contre l’avis négatif du Conseil citoyen de transition écologique de la ville de Pézenas (contribution à l’enquête publique déposée en septembre 2024), contre l’avis négatif de l’ex-Ministre de la transition écologique, M. Christophe Béchu, contre la loi « Climat et Résilience » d’août 2021, également contre l’avis négatif du Conseil National de la Protection de la Nature.
Il convient de réorienter le projet dans le sens d’une amélioration des espaces déjà urbanisés (recommandation du SCOT)
N° 881 : 24 septembre 2024 - 03:02
Auteur : Anne Rocher
Son avis : Défavorable
Il faut arrêt de bétonner...et sauvegarder la faune et la flore 🙏
N° 880 : 24 septembre 2024 - 03:00
Cette observation a été classée comme doublon par le commissaire enquêteur.
N° 879 : 24 septembre 2024 - 02:59
Auteur : jc PERRIAU
Son avis : Défavorable
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 878 : 24 septembre 2024 - 02:46
Auteur : Gérard COUCHOUD
Son avis : Défavorable
Projet en tous points incompatible avec les problèmes déjà existants relatifs à la gestion des ressources en eau sur le secteur
N° 877 : 24 septembre 2024 - 02:31
Auteur : Ahmed Rezkallah
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse chaque année plus sévère comment pourra t on fournir en eau toute la population.
Compte tenu des évènements catastrophiques tels phénomènes cévennoles comment éviter les inondations avec le bétonnage intensif prévu!
N° 876 : 24 septembre 2024 - 01:21
Auteur : Muriel VEYRET
Son avis : Défavorable
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisés les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 875 : 24 septembre 2024 - 01:10
Auteur : Joan-Loís ESCAFIT
Organisation : COLLECTIF PACTE DU POUVOIR DE VIVRE DU GRAND BÉZIERS (BESIERÉS)
Son avis : Défavorable
C'est en périphérie d'une ville languedocienne moyenne, joyau du patrimoine historique au centre sud des 191 000 km2 de l'aire géo-linguistique de l'OCCITANIE intégrale, un projet d'urbanisation inacceptable car contraire aux impératifs de la nécessaire transition écologique, juste, sobre et solidaire notamment quant au respect de la biodiversité et à la priorité de la rénovation de l'habitat ancien passant par aménagements bioclimatique et utilisation du solaire thermique, et non photovoltaïque, pour les besoins de chauffage et réfrigération.
N° 874 : 24 septembre 2024 - 00:45
Auteur : Ghislaine Deklunder
Son avis : Défavorable
Devant l'aggravation du réchauffement climatique et la raréfaction des ressources hydriques, tout projet de bétonnisation devrait être mis en suspens et amener à la concertation avec la population locale.
S'il faut créer des logements, il existe d'autres façons de le faire, plus respectueuses de l'environnement. Nous sommes confrontés à une situation de plus en plus dramatique qu'il fautregarder en face . Le trajet de l'eau, la limitation des besoins en eau que les modifications climatiques nous imposent (le ravitaillement en eau des populations par camion citerne n'est pas une solution, tout le monde est d'accord là dessus, je crois)et le respect des terres agricoles doivent en particulier être prises en compte.
Il est bien étrange que l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'ait pas été pris en compte, cet avis étant motivé et documenté.
N° 873 : 24 septembre 2024 - 00:18
Auteur : JULIE GARCIN SAUDO
Organisation : ELUE DEPARTEMENT ET VILLE
Son avis : Favorable
Julie Garcin Saudo - Conseillère départementale du canton de Pézenas et Adjointe à Mr le Maire de Pézenas, déléguée au pôle Développements urbains et durables.
Monsieur Le commissaire enquêteur,
« Tout acte de construire , quel que soit le projet est un maillage complexe de paramètres multiples : technique, financier, juridique et même subjectif…il faut essayer de décrypter la position et la démarche mise en œuvre par chaque protagoniste lors de la réalisation d’un projet ainsi que la réponse donnée au besoin, exprimé et implicite. Tout l’enjeu est de définir clairement celui-ci, de trouver les solutions en réponse et de les garder comme axes prioritaires malgré les perturbations qui peuvent faire obstacles tout au long du process …. »
Ces quelques lignes de mon mémoire lors de mes études à l’ENSAM me parlaient professionnellement en tant que maître d’œuvre et ont pris une autre dimension avec ce mandat municipal au sein du pôle dont j’ai la délégation car « l’élu doit arbitrer et engage la commune par des décisions d’intérêt général » .
Je ne m’étendrai pas sur la pépite architecturale que représente Pézenas , ses qualités et merveilles qui peuvent être égales à ses contraintes et difficultés. Pour autant, il est nécessaire de rappeler combien sont nombreux les projets que la commune doit refuser faute de foncier mais aussi complexes et longues les opérations en cœur de ville …
Pour autant c’est avec passion que nous prenons à cœur de travailler pour celle-ci et nous évertuons à préserver son patrimoine remarquable tout en construisant avec responsabilité la ville de demain.
C’est dans ce sens, que dès le début du mandat nous avons affiné un schéma directeur des mode doux avec la création de pistes cyclables et d’aménagements plus confortables pour le piéton . L’aménagement crée l’usage, c’est en donnant au citoyen et dès son plus jeune âge la possibilité de se déplacer en sécurité à deux roues ou à pieds qu’il conviendra que la voiture n’est pas seule réponse en terme de mobilité ! C’est avec cette idée que le quartier Saint Christol a été retravaillé, une continuité de la ville reliée par des liens cyclables dont le CAUE 34 ( Conseil en Architecture , Urbanisme et Environnement) est chargé d’ores et déjà d’étudier.
Le département de l’Hérault accueille chaque année 15 000 personnes, étudiants, actifs, retraités … notre territoire attire tant par sa qualité et diversité environnementale, ses infrastructures, son patrimoine culturel … mais aussi par ses emplois . Pour autant, la difficulté de se loger est un frein pour son développement et ne peut répondre aux besoins !
Il est probable que nous n’aurions pas fait le choix de cette orientation et aurions traité le développement de la ville vers un autre axe, mais nous en héritons. Nous avons ces 4 dernières années travaillé ce dossier en pesant les divers enjeux et exigeant des réponses, des solutions pour chaque besoin et interrogation. Nous nous sommes appropriés le projet,les espaces, nous avons exigé la diminution du nombre de logements, une trame végétale, un respect environnemental, acter des services publics, des espaces de rencontres, élaborer une économie et des activités sans faire concurrence aux commerces du centre ville, respecter un cadre architectural, nous avons amorcé l’histoire de l’avenir de notre ville qui n’attend que de s’écrire.
N° 872 : 23 septembre 2024 - 23:43
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Projet, d'un point de vue urbanistique, d'une autre époque (années 80 à vue d'oeil)!
Écologiquement absurde (imperméabilisation des sols, étalement urbain etc...)
700 logements ?!
Pour rappel, les écoles publiques de Pézenas se trouvent toutes dans le même secteur et les rues pour y accéder sont déjà encombrées - surtout le matin. Comment la municipalité compte gérer l'arrivée (pourtant bénéfique) de ces nouveaux élèves? Parce qu'il ne faut pas espérer que tous.es viennent en vélo...
Bref, dommage que ce projet ne soit pas rester dans les cartons!
N° 871 : 23 septembre 2024 - 23:36
Auteur : Julien Pradel
Son avis : Favorable
La construction de se lotissement est nécessaire pour permettre à de nouvelles familles de venir habiter à Pezenas
N° 870 : 23 septembre 2024 - 23:32
Auteur : Theo Janiaud
Son avis : Défavorable
Je suis étonné de la suite donne à ce projet sur Pezenas ! Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Je me demande aussi s'il reste de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
N° 869 : 23 septembre 2024 - 23:18
Auteur : STEPHANIE RENIER
Son avis : Défavorable
Pour moi, ce genre de projet est contraire à la lutte contre le dérèglement climatique.
N° 868 : 23 septembre 2024 - 23:09
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entraînerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
N° 867 : 23 septembre 2024 - 22:51
Auteur : Philippe Maugein
Son avis : Défavorable
Ce projet compromet la ressource en eau potable. Il arificialise des sols au moment où le dérèglement climatique rend les aléas plus dangereux. Enfin,il expose la ville à d'énormes problèmes de logement, par création superflue alors que le parc n'est pas pourvu
N° 866 : 23 septembre 2024 - 22:49
Auteur : jean-francois JURADO
Son avis : Défavorable
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 865 : 23 septembre 2024 - 22:35
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Bonjour,
ayant pris connaissance du projet, j'ai trouvé le dossier et ses argumentaires clairs, il semble bien répondre à des enjeux locaux avec des incidences environmentalists maitrisées. Les planches illustratives et autres plans laisse supposer des interfaces travaillées avec à terme une intégration paysagère plutôt qualitative.
N° 864 : 23 septembre 2024 - 22:35
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
N° 863 : 23 septembre 2024 - 22:31
Auteur : Marie-claire Métairie
Son avis : Défavorable
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville. On a besoin de ces terres pour absorber les pluies quand elles sont abondantes.
Nous avons besoin de ces 24 hectares de terres agricoles fertiles pour nourrir les populations.
N° 862 : 23 septembre 2024 - 22:22
Cette observation a été classée comme doublon par le commissaire enquêteur.
N° 861 : 23 septembre 2024 - 22:20
Cette observation a été classée comme doublon par le commissaire enquêteur.
N° 860 : 23 septembre 2024 - 22:20
Auteur : AURELIE FISSOT
Son avis : Favorable
La commune de Pézenas, à travers un projet réfléchi et abouti, va apporter à la vie piscénoise un véritable quartier où il fera « bon vivre », un quartier connecté et intégré à l’ensemble du territoire.
Ce projet est précurseur dans notre région, il a été travaillé, retravaillé pour prendre en compte pas à pas les thématiques environnementales, paysagères, hydrauliques, les risques et bien d’autres thématiques qui sont traduites dans le volume important des pièces administratives et réglementaires. Ce projet a évolué, s’est amélioré, enrichi avec le temps.
Bravo à la municipalité et à la SEMOP qui se sont remises en question, ont continué à améliorer le dossier pour prendre en compte les besoins locaux, les observations des services de l’Etat et proposer aujourd’hui un projet vertueux.
La ville de Pézenas travaille depuis plusieurs années à l’ouverture presque exclusive de ce nouveau quartier sur son territoire à travers ses POS/PLU, le SCOT, le PLHI. Ce quartier est réfléchi, planifié et connu de tous. Il faut également rappeler que le projet a su s’adapter à toutes les évolutions législatives, aux évolutions des politiques d’aménagement. Il a toujours été conçu, retravaillé dans le respect du droit, dans la consultation permanente et l’écoute des services de l’Etat ainsi que dans la concertation avec la population.
Ce sont les préoccupations environnementales, paysagères, techniques qui ont dessiné ce futur quartier et non le simple programme économique et il est essentiel de le rappeler.
Je suis favorable à la création de ce nouveau quartier qui va permettre une véritable mixité sociale telle qu’elle a été imaginée par le législateur avec la loi SRU en mettant en place un véritable « parcours d’habitats » possible pour les piscénois.
N° 859 : 23 septembre 2024 - 22:20
Auteur : Jerome Favre
Son avis : Défavorable
Pezenas est une ville qui respire... encore... Je ne vois pas l'intérêt de bétonner une zone verte qui parfois se retrouve les pieds dans l'eau, de faire venir des voitures là où on peut encore se promener courir ou faire du vélo. Quelle tranquillité pour le camping?
On commence déjà à avoir du mal à se garer proche du centre certains jours de vacances ou de marché. J'ai des craintes que Pézenas perde de sa tranquillité, de son côté village, en construisant une sorte de banlieue inutile. La course aux 10000 habitants ? Pour moi aucun intérêt.
Oui au Zéro Artificialisation !
N° 858 : 23 septembre 2024 - 22:14
Auteur : Brigitte Ano
Son avis : Défavorable
Défavorable
N° 857 : 23 septembre 2024 - 22:10
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Trop de constructions!!! Pas de structures scolaires adaptées, en nombre en rapport avec le nombre de constructions voulues!
N° 856 : 23 septembre 2024 - 22:10
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Favorable
N° 855 : 23 septembre 2024 - 22:05
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Bonsoir,
Parisienne, j'ai eu l'occasion de me rendre cet été à Pézenas.
J'y ai fait la découverte d'une magnifique ville pleine de charme, dont le patrimoine est exceptionnel. Un vrai coup de foudre!
A quelques années de la retraite, je me suis dite : "pourquoi ne pas s'y installer?"
Je me suis rendue à la mairie pour questionner sur le futur de la ville. Une charmante personne m'a expliqué le projet de St Christol. J'ai été agréablement surprise de voir que ce quartier serait à taille humaine, avec des espaces verts très importants. J'y ai d'ailleurs appris que ce serait le 1er quartier de France éclairé à la lumière rouge qui préserve les hommes et les animaux et favorise le sommeil. (quand on vieillit c'est important le sommeil...) J'ai pose la question sur les types de logements. On m'a expliqué qu'il y aurait des habitations pour avec tout type (jeune, moins jeune, résidence pour personne âgée), mais ne pouvant pas faire n'importe quoi sur l'environnement et les espaces verts. Il y aura des murs végétalisés, des panneaux photovoltaïques, des récupérateurs d'eau. Et puis, je pourrais faire mes courses à pied ou en vélo et surtout je pourrai accueillir mes petits-enfants. On pourra aller chercher des fruits et des légumes, car il y aura même de la permaculture! Je suis vraiment très favorable à ce projet qui est aussi mon projet d'avenir personnel.
N° 854 : 23 septembre 2024 - 21:55
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
De plus en plus de personnes décident de venir habiter dans l'Hérault tous les ans et dans une période où il est difficile de se loger, un tel projet est bénéfique à leur accueil. D'autre part, Pézenas se situe à distance raisonnable des pôles d'activités économiques que sont Béziers et Montpellier permettant ainsi à des familles de résider à l'extérieur de ces villes qui n'absorbent plus les demandes ni dans le parc social social ni dans le privé. De plus, ce projet est un atout d'attractivité pour la ville et permettrait de redynamiser ce secteur semi rural.
N° 853 : 23 septembre 2024 - 21:50
Auteur : Didier MICHEL
Organisation : Maire de Castelnau de Guers
Son avis : Favorable
Pour notre commune, située à 2,5 km, bientôt reliée par une piste cyclable, Pézenas est notre pôle d'attraction où nous trouvons tous les commerces , services médicaux et autres. Ce projet, équilibré, est de nature à renforcer l'économie de la ville et par là même son rayonnement sur nos communes alentour.
N° 852 : 23 septembre 2024 - 21:48
Auteur : CHRISTINE SAMPERE
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
N° 851 : 23 septembre 2024 - 21:45
Auteur : CHRISTINE SAMPERE
Son avis : Défavorable
Défavorable
N° 850 : 23 septembre 2024 - 21:45
Auteur : anonyme
Son avis : Ne se prononce pas
pas suffisamment d'éléments pour juger
N° 849 : 23 septembre 2024 - 21:44
Auteur : michelle Dubeau
Son avis : Défavorable
j’habite Pezenas depuis 9 ans et je ne comprends pas pourquoi un tel projet a été conçu.
Il existe tellement de priorités concernant la ville dans son état actuel
Désertification du centre ancien au profit de locations saisonnières qui ne sont pas assujetties aux normes récente de l’habitat notamment dans le domaine des travaux li au économies energetiques ,
Ilots insalubres pourtant occupés par une population precaire.
Peu d’équipements collectifs et mobilier urbain sommaire. Manque d’espaces verts ,
La création d’une zone d’habitation et de chalandise excentrée par rapport au centre existant va accentuer les difficultés des commerces et artisans locaux ,
De plus les accès pratiques à cette nouvelle zone n’existent pas, les réseaux assainissement et autres non plus , La question de la ressource en eau va se poser et bien sûr les infrastructures liées à i’arrivée de’un nombre conséquent d’habitants ŕestent à créer. D’autres projets en lien avec la spécificité de cette ville auraient pu être envisagés
: centre de formation aux métiers en lien avec le patrimoine artistique et artisanal. École de la deuxième chance, lieu culturel intergenerationnel , entreprise innovante,ateliers protégés , jardins pédagogiques etc . Ce projet manque cruellement d’ambition et se réduit l’implantation d’un ’lotissement géant’ comme il en a été créés autour des villages de notre région. .
N° 848 : 23 septembre 2024 - 21:42
Auteur : Erik DENIAU
Organisation : Citoyen soucieux de son environnement
Son avis : Défavorable
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a t-il pas été pris en compte ?
Pourquoi ne pas prendre en compte le problème d'une sécheresse croissante et une ressource en eau en tension, comment fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions citerne, avec 2 000 habitants de plus à Pézenas combien de camions citerne en plus ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus,le bétonnage empêche le rechargement de la nappe phréatique.
24 hectares de terres agricoles fertiles bétonnées, une aberration vu le contexte agricole et écologique actuel.
Sans parler du commerce du centre ville mis en danger par la création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2)
N° 847 : 23 septembre 2024 - 21:38
Auteur : Sandy Tolantin
Son avis : Défavorable
Je pense que le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
N° 846 : 23 septembre 2024 - 21:35
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je soutient le projet !
N° 845 : 23 septembre 2024 - 21:33
Auteur : Michael Krahl
Son avis : Défavorable
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
4 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 844 : 23 septembre 2024 - 21:23
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 843 : 23 septembre 2024 - 21:19
Auteur : Albert Rivoire
Son avis : Défavorable
Préservons les terres cultivables maintenant et pour l'avenir !
N° 842 : 23 septembre 2024 - 21:19
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Bonjour,
La loi zan doit être appliquée immédiatement. Nous devons préserver tous les sols qui n ont pas été bétonné.
N° 841 : 23 septembre 2024 - 21:18
Auteur : Eva Fernandez
Son avis : Défavorable
Manque d’eau
N° 840 : 23 septembre 2024 - 21:17
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
notre ville a besoins de grandire
N° 839 : 23 septembre 2024 - 21:16
Auteur : Laura-jeanne Sauthier
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 838 : 23 septembre 2024 - 21:12
Auteur : Jean Barbe
Son avis : Défavorable
- Quand allons-nous arrêter de bétonner la campagne ? Avec tous les effets négatifs que cela entraine et qui sont bien connus maintenant.
- 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites. On parle sans arrêt de stopper l'artificialisation des terres agricoles. La réalité est loin de ces décisions. Et pourtant, ça urge !
- Il existe à Pézenas un Conseil Citoyen de la Transition Ecologique. Il a donné un avis négatif sur ce projet. Pourquoi cet avis n'a-t-il pas été pris en compte ?
N° 837 : 23 septembre 2024 - 21:11
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je soutiens le projet.
N° 836 : 23 septembre 2024 - 21:04
Auteur : Remi Bouyala
Organisation : Maire de LÉZIGNAN-LA-CÈBE
Son avis : Favorable
Monsieur le Commissaire enquêteur,
Elu Maire de Lézignan-la-Cèbe depuis 2014, commune très proche en continuité territoriale et appartenant comme Pézenas à la communauté d’agglomération Hérault Méditerranée, je me permets de participer à l’enquête publique relative au projet d’aménagement de la ZAC Saint-Christol à Pézenas.
Pézenas en perte de population depuis quelques années doit engager une nouvelle dynamique démographique afin de maintenir ses structures de services (éducation, santé, administration, activités économiques, libérales, etc…) indispensables pour sa population et celle des nombreux villages de sa proche périphérie.
Je crains que de prolonger encore l’immobilisme ait des conséquences irrémédiables. Pézenas doit conforter son potentiel et son attractivité de centralité urbaine.
De nombreux concitoyens et activités de la ville bénéficient du développement de production de logements dans les communes proches, alors Pézenas doit prendre sa part dans cette amélioration et contribuer à une meilleure qualité de vie qui concerne aussi notre territoire.
Il apparaît que les contraintes financières induites par l’éventuel renoncement à ce projet auraient des conséquences insupportables pour les finances communales.
Ces dernières années les débats ont permis de considérer de nombreux avis sur tous les importants enjeux et, par une plus grande attention ils ont contribué à l’évolution qualitative du projet présenté aujourd’hui.
Parce que l’avenir des communes de notre territoire est aussi lié à la réalisation de la ZAC de St Christol, j’émets un avis favorable.
Je vous prie de croire Monsieur le Commissaire enquêteur à l’expression de mes sincères salutations.
N° 835 : 23 septembre 2024 - 21:03
Auteur : Patrick Eid
Son avis : Défavorable
Stop à la betonnisation, à la dégradation de notre environnement, à la pollution de l'air, de l'eau, des sols....
N° 834 : 23 septembre 2024 - 21:01
Auteur : michèle Ppoulain
Son avis : Défavorable
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Et uel impact pour les communes voisines ? Des pénuries ne sont-elle pas à craindre voire même à prévoir ?
• Qu'apportera la création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) au commerce du centre ville ? Et de quelle manière ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
N° 833 : 23 septembre 2024 - 20:51
Auteur : Bertrand ESCAIG
Son avis : Défavorable
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 832 : 23 septembre 2024 - 20:47
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Je considère que ce projet à l'heure du changement climatique ne devrait pas exister.
D'une part, il constitue une menace par rapport aux besoins en eau potable vu les pénuries à venir causées par le changement climatique ( sécheresse).
C'est une atteinte à la biodiversité car une part non négligeable de la superficie de la commune sera artificialisee.
Cette artificialisation risque par ailleurs d'aggraver les effets dévastateurs des inondations.
N° 831 : 23 septembre 2024 - 20:39
Auteur : Pierre Laurent
Son avis : Défavorable
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 830 : 23 septembre 2024 - 20:36
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Beau projet qui ca permettre de fournir plus de logements à pezenas tout en gardant des espaces verts
N° 829 : 23 septembre 2024 - 20:35
Auteur : valérie SOULIE
Son avis : Défavorable
JE SUIS CONTRE CE PROJET CAR LES INFRA STRUCTURES NE SUIVENT PAS ET LE TERRAIN EST INONDABLE CE SERAIT UN CONCENTRE DE PERSONNES SUR UN LIEU CALME AVEC DE FUTURS PROBLEMES DE CIRCULATION QUI SONT DEJA PRESENTS
N° 828 : 23 septembre 2024 - 20:33
Auteur : Martine Rouillard
Son avis : Défavorable
Pour qui sait lire et veut le faire les arguments sont légions et fondés. Ce projet est inepte, il ne tient compte de rien de ce qui est important : la problématique de l'eau, la perte de terre nourricière, de l'irrespect des prescriptions des cops qui se succèdent sans qu'il en soit tenu compte. Le monde à l'envers irresponsable.
N° 827 : 23 septembre 2024 - 20:31
Auteur : Cyrille DOLIN
Son avis : Défavorable
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 826 : 23 septembre 2024 - 20:31
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
C’est une très mauvaise idée qui ne prend pas en compte l’impact sur les habitants.
N° 825 : 23 septembre 2024 - 20:21
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
L'hiver dernier la région a connu des problèmes en approvisionnement d'eau, je crains que ce projet entraine de sérieux problèmes au niveau de l'eau.
De plus, ce projet entrainerait la destruction de terres agricoles. Je trouve que ce projet est néfaste au niveau de l'écologie, Assez de bétonisation !
N° 824 : 23 septembre 2024 - 20:21
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je soutient le projet
N° 823 : 23 septembre 2024 - 20:20
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je ne m'oppose pas à ce projet.
N° 822 : 23 septembre 2024 - 20:15
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Un projet d'un autre temps.
N° 821 : 23 septembre 2024 - 20:10
Auteur : Jean Claude Serre
Son avis : Défavorable
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 820 : 23 septembre 2024 - 20:10
Auteur : SOPHIE ESTRADA
Son avis : Défavorable
Il est regrettable de constater que l'avis négatif du Conseil citoyen de la Transition Ecologique de la ville de Pézenas n'a pas été pris en compte. Il est légitime de s'interroger sur ces comportements qui baffouent les problématiques climatiques alors que l'eau va devenir une denrée rare. Il est anormal que le surbétonnage nuise et à l'environnement et aux vivants (plantes, animaux êtres humains parce qu'une poignée d'irresponsable décident de sacrifier des terres agricoles pour un projet immobilier qui ne fait que participer à la détériorationde de la qualité de vie et de la planète.
A quoi cela sert il de faire croire que les avis d'experts ont une importance, que les citoyens sont associés dans les débats publics alors que tout ceci n est qu'une pure mascarade, les textes de lois méprisés, le maire méprisé, le citoyen méprisé.
N° 819 : 23 septembre 2024 - 20:09
Auteur : Yves Lebaron
Son avis : Défavorable
Ce projet est une aberration. Moliére et Bobby se retournent dans nos mémoires, dégoûtés face à une telle imbécilité qui ressemble à un mauvais film de série B. Honte à ceux qui accélèrent le réchauffement climatique et en sont fiers!
N° 818 : 23 septembre 2024 - 20:07
Auteur : Audrey PAUGET-BERNARD
Son avis : Défavorable
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 817 : 23 septembre 2024 - 20:07
Auteur : Paul Bois
Son avis : Défavorable
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 816 : 23 septembre 2024 - 20:05
Auteur : Fanny Elduayen
Son avis : Défavorable
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 815 : 23 septembre 2024 - 20:04
Auteur : Sylvain CARRIERE
Organisation : Député de l'Hérault
Son avis : Défavorable
Plusieurs inquiétudes à ce sujet :
- Ressource en eau : Pourra t'on fournir de l'eau potable en quantité suffisante pour toute la population ? J'en doute ... Certaines communes de la région stoppe l'urbanisation par manque d'eau. Il serait raisonnable d'en faire autant...
- Risque d'inondation : à l'heure de grandes sécheresses et de forts épisodes méditerranéens, le risque de ruissellement et d'inondation est il totalement éloigné ? J'en doute aussi...
- 24 hectares de terres agricoles qui seraient bien plus essentielles pour de l'agriculture en circuit court.
D’après l’indicateur CRATer, le taux de couverture théorique global est de loin insuffisant à Pézenas. La commune aurait tout intérêt à développer des activités agricoles en ce sens pour pallier cette carence alimentaire. D’autant que la souveraineté alimentaire est un des objectifs prioritaires de l’action gouvernementale dans le domaine agricole, notamment à l’aune du contexte géopolitique actuel.
Il répond également à des exigences de nature écologique, que soutien par exemple la Région Occitanie, avec le développement de la production alimentaire en circuit court.
- A l'heure où Montbazin est élue capitale française de la biodiversité, Pezenas détruit un puit de biodiversité....
- Comment vont être réalisé les infrastructures nécessaires liées à ce projet d'un autre temps ? Routes, écoles, services publics...
- Les enjeux climatiques et environnementaux d’aujourd’hui n’étant pas les mêmes que ceux d’il y a vingt ans : les acteurs de l’action publique doivent prendre en compte les considérations écologiques nouvelles et impératives (particulièrement la trajectoire vers le zéro artificialisation nette).
En résumé, ce projet d'un autre temps ne peut s'inscrire dans les réalisations actuelles. Un autre Saint Cristol est possible ! Il est temps de mettre fin à celui ci.
N° 814 : 23 septembre 2024 - 20:03
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Un quartier avec des activités est nécessaire au vivre ensemble.
N° 813 : 23 septembre 2024 - 19:56
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
je suis vraiment défavorable à ce projet.
N° 812 : 23 septembre 2024 - 19:55
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
pourquoi pas une augmentation de la démographie piscénoise
N° 811 : 23 septembre 2024 - 19:55
Auteur : Philippe Sauty
Son avis : Défavorable
Bonjour,
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
Cordialement.
Philippe Sauty.
N° 810 : 23 septembre 2024 - 19:50
Auteur : Maryse Mouysset
Son avis : Défavorable
Je ne vis pas chez vous mais je partage votre combat car il est exemplaire et s'inscrit dans une lutte écologique qui devrait être celle de tous les citoyens conscients de l'impérieuse nécessité de protéger la terre, la planète, dans la perspective d'un avenir plus radieux pour chacun et pour tous.
Merci et bravo pour votre résistance!
N° 809 : 23 septembre 2024 - 19:33
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Il est temps de prendre en compte la sécheresse actuelle et à venir.
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Nous comptons sur vous pour améliorer la situation et non l'aggraver.
N° 808 : 23 septembre 2024 - 19:31
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 807 : 23 septembre 2024 - 19:30
Auteur : catherine le moigne
Son avis : Défavorable
en raison des périodes de sécheresse les habitants de Pezenas risquent de ne plus avoir assez d'eau.
N° 806 : 23 septembre 2024 - 19:29
Auteur : Robert MENRAS
Organisation : PARTICULIER
Son avis : Favorable
bonjour,
je suis favorable à ce projet qui pose à beaucoup et cela me parait normal un cas de conscience car effectivement le contexte actuel nous oriente vers la prudence quant il s'agit d'étendre des zones urbaines sur des zones potentiellement agricoles.
c'est pourquoi il m'a semblé opportun de présenter le raisonnement qui m'a conduit à donner un avis favorable :
1/ tout d'abord, je n'aurai pas été favorable au projet tel qu'il avait été imaginé par la précédente municipalité car il n'intégrait pas des critères environnementaux et sociaux suffisants, néanmoins je peux comprendre que la situation financière de la ville à cette époque la, ait pu inciter les élus à vouloir augmenter l'assiette fiscale en installant de nouvelles personnes sur son sol, ceci est d'autant plus vrai que la commune de PEZENAS supporte de nombreux services surdimensionnés par rapport à sa population.
2/ si effectivement, je souscris à la nécessité de favoriser l'implantation de futurs piscénoise et piscénoises sur la zone de ST CHRISTOL, c'est qu'effectivement :
- cette ville a besoin de sang neuf et de nouveaux contribuables car à ce jour? seules les communes avoisinantes voient leur population augmenter et ce, en tirant profit de l'attractivité de PEZENAS et de ses services culturels, sociaux, économiques sans pour autant en payer le vrai prix.
- il serait suicidaire d'un point de vue financier de se rétracter et d'avoir à assumer le remboursement d'une dette sans qu'elle ne finance aucun projet de développement. A ce titre, le niveau d'engagement pris par l'ancienne municipalité n'a pas laissé beaucoup de choix à la nouvelle municipalité qui n'a eu comme unique solution que d'amender le projet pour le rendre environnementalement et socialement acceptable.
- enfin la lecture que j'ai pu faire du dossier (très bien documenté et précis) m'a rassuré car :
* d'un point de vue social, il répond à une demande logements et notamment des logements pour des jeunes (parce qu'il prévoit une mixité sociale intéressante).
* d'un point de vue environnemental, il vise à limiter les impacts de l'urbanisation même si ce n'est pas simple tant pour la faune et la flore qui sont présentent sur ce lieu (le compromis me parait acceptable) et les expérimentations intéressantes (lumière rouge)
* d'un point de vue économique, il est difficile d'apprécier les retombées directes et indirectes mais la présence d'une nouvelle population représente un vrai potentiel pour le commerce local.
pour les équilibres financiers de la Ville, il faudra évaluer correctement les retours sur investissement des infrastructures nouvelles à créer.
N° 805 : 23 septembre 2024 - 19:27
Auteur : Laurence SAVIGNEUX
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 804 : 23 septembre 2024 - 19:27
Auteur : Marie-Hélène THOUIN
Son avis : Défavorable
Pauvre Molière !
Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
N° 803 : 23 septembre 2024 - 19:26
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
non au bétonnage de la campagne
N° 802 : 23 septembre 2024 - 19:26
Auteur : Florencce Blanc
Son avis : Défavorable
Le projet immobilier Saint Christol Pézenas, auquel je suis défavorable, me semble être à contre courant des problématiques environnementales actuelles.
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
A l'heure où des événements climatiques de plus en plus violents entraînent des millions d'euros de degâts et ce de plus en plus souvent, je ne comprends pas que ce type de projets se développent encore. Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Par ailleurs, compte tenu du fait que l'eau potable est une ressource déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Il faut en finir avec l'artificialisation des terres agricoles fertiles!
N° 801 : 23 septembre 2024 - 19:25
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs.
N° 800 : 23 septembre 2024 - 19:20
Auteur : Jacqueline LEFEBVRE
Son avis : Défavorable
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte
N° 799 : 23 septembre 2024 - 19:17
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 798 : 23 septembre 2024 - 19:15
Auteur : Françoise Arnoux
Son avis : Défavorable
Ce projet est d'un autre temps. Du temps d'avant que l'eau ne devienne une ressource précieuse, et qui risque de manquer. Du temps d'avant où l'on ne prenait pas soin des espaces nature en bordure de villes. Ce projet n'est pas approprié à notre époque qui se veut respectueuse des ressources et des lieux naturels. C'est un projet vieux jeu. Il y a mieux à faire dans la ceinture verte de Pézénas. Merci de respecter ces espaces, essentiels à nos équilibres.
N° 797 : 23 septembre 2024 - 19:14
Auteur : Frédérique MARY
Son avis : Défavorable
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 796 : 23 septembre 2024 - 19:07
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
C’est un projet qui nuit à l’environnement, à la biodiversité , à la qualité de vie de la population. A un moment où l’homme et l’écosystème dont il a besoin pour vivre sont en danger, de tels projets ne devraient plus exister.
N° 795 : 23 septembre 2024 - 19:07
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Infirmière, je suis favorable au projet St Christol car il prévoit une maison médicale, une résidence autonomie, du thermalisme, ...
Comme tout le littoral languedocien, l'héliotropisme favorise l'arrivée et l'implantation de population nouvelle dont une partie non négligeable est issue du troisième âge.
À Pézenas, il ne faut pas la priver des moyens de santé publique.
En vieillissant, les séniors ont de plus en plus de difficultés à se déplacer dans les villages voisins où ces services de santé ont été créés voilà dix ans faute d'offres à Pézenas.
Il faut donc leur permettre de s'implanter, de se développer voire tout simplement de se maintenir.
St Christol y répond.
N° 794 : 23 septembre 2024 - 19:04
Auteur : Claude Perin
Son avis : Défavorable
Comment être sûr qu’il n’y aura pas des restrictions d’eau à Pezenas et les villages avoisinants
N° 793 : 23 septembre 2024 - 19:03
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 792 : 23 septembre 2024 - 19:02
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Je suis défavorable à ce projet
N° 791 : 23 septembre 2024 - 19:01
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 790 : 23 septembre 2024 - 18:54
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Zone inondable: quelles garanties? Les acheteurs n'en seront pas informés?
Quid des avis négatifs des conseils "environnementaux" déjà consultés?
Quelle garantie sur les finances de Pézenas?
La logique actuelle limite l'étalement des villes, et nous, au lieu de densifier l'existant, nous allons bétonner en laissant croire que nous "compensons" sur des terres déjà naturelles?
Donc avis négatif
N° 789 : 23 septembre 2024 - 18:49
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Le projet envisagé amène de multiples questions:
Étant donné que les sécheresses seront plus intenses dans un avenir proche et qu'il y a déjà des problèmes d'alimentation en eau, comment pourra-t-on fournir de l'eau à l'ensemble de la population de Pézenas? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuera le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuera plus au rechargement de la nappe phréatique.
24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueront à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
Comment pourront être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
La station d’épuration pour traiter les eaux usées sera-t-elle suffisante ? Et si elle ne l’est pas, que proposez-vous?
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 788 : 23 septembre 2024 - 18:48
Auteur : Isabelle KLING
Son avis : Défavorable
Bonjour,
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Je vous remercie de l'attention portée à ma lettre.
Isabelle Kling
N° 787 : 23 septembre 2024 - 18:33
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Notre mère Terre s'étouffe de plus en plus par la main humaine et elle nous l
e fait savoir de différentes manières! Quand allez vous tenir compte de l'avis de notre planète? Nous sommes en train de scier notre branche sur laquelle nous sommes assis et pour qui? L'argent?!!! Quand l'homme blanc se rendra compte qu'il ne peut manger l'argent, il sera trop tard!...
Lorsque le dernier ruisseau sera pollué, le dernier animal chassé et le dernier arbre coupé, l'homme blanc comprendra que l'argent ne se mange pas (sitting bull).
N° 786 : 23 septembre 2024 - 18:24
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Trop de d'habitants sur Pézenas, pas de place pour se garer, pas de place non plus sur les parking des grandes surfaces, cela devient invivable ! Manque de verdure, assez de béton !
N° 785 : 23 septembre 2024 - 18:23
Auteur : jean-yves burgun
Son avis : Défavorable
ce projet n'est pas réaliste compte tenu des problèmes de ressources en eau
bétonner des terres agricoles n'est pas une solution à long terme
N° 784 : 23 septembre 2024 - 18:21
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Rénover le coeur de ville est une bonne idée mais elle est complémentaire d’un tel projet car bien plus longue.
N° 783 : 23 septembre 2024 - 18:20
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Ce projet fait place aux espaces verts et aux équipements publics dans des proportions que n’égalent pas les lotissements privés.
N° 782 : 23 septembre 2024 - 18:20
Auteur : Jean-Laurent Boaniche
Son avis : Défavorable
Je suis absolument contre le bétonnage
N° 781 : 23 septembre 2024 - 18:19
Auteur : Magali Coste
Son avis : Défavorable
Il me semble totalement absurde et dangereux de sacrifier des terres agricoles alors que la sagesse est circuit court pour l’approvisionnement alimentaire.
Les commerces existants subiront une forte concurrence.
Bétonner des terres alors que nous devons tout au contraire favoriser l'absorption des pluies, recharger les nappes phréatiques.
Un non sens que ce projet!
N° 780 : 23 septembre 2024 - 18:18
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Le centre ville n’est en rien menacé par un tel projet. Il restera toujours un coeur de ville de pezenas de nombreux atouts. Par contre des habitants en plus, c’est aussi des consommateurs en plus.
N° 779 : 23 septembre 2024 - 18:17
Auteur : Paul Rousse
Son avis : Défavorable
A l'heure où on demande une restriction des terres bétonnées, il est quasi impossible d'accepter ce projet qui ne paraît pas du tout indispensable.
N° 778 : 23 septembre 2024 - 18:17
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Monsieur le Commissaire Enquêteur,
J’ai 13 ans et ma famille veut s’installer à Pézenas mais il n’y a pas de logement disponible…
Je trouve ça incroyable que tous ces adultes qui se disent « responsables » veuillent empêcher la construction de logements !
Pensent-ils aux autres ?
N° 777 : 23 septembre 2024 - 18:12
Auteur : Nicolas Chavalarias
Son avis : Défavorable
La ville de pezenas n'est pas insensible aux intempéries, pour y avoir vécu je peux témoigner que nombres d'intempéries se sont déja produites alors pourquoi ne pas faire profiter des logements vacants, même en centre ville, avec ce que ça occasionne comme coût plutôt que de demander au contribuable de payer les infrastructures anexes à un projet onéreux et bouleversant pour la vie du quartier. La chaleur est depuis plus de dix ans un problème majeur qui nous a décidé à partir de l'Hérault, comment est-ce pensable d'exclure tous ces risques au mépris d'études sérieuses plutôt que de revenir à une stratégie urbaine plus raisonnable pour les uns et pour les autres ? A-t-on jamais remarqué à quelle point il est agréable de se balader autour des petites villes, comme l'est Pézenas et pourquoi au lieu de s'étendre et d'accroître la betonnisation systématique ne developperait-on pas des villes à échelle humaine ?
N° 776 : 23 septembre 2024 - 18:09
Auteur : Cathy LECUYER
Son avis : Défavorable
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
STOP à la bétonnisation sans limite!
N° 775 : 23 septembre 2024 - 18:09
Auteur : Éric KANCLERZ
Son avis : Défavorable
Resterait-il de l'argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
N° 774 : 23 septembre 2024 - 18:07
Auteur : Dominique VIAL
Son avis : Défavorable
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 773 : 23 septembre 2024 - 18:07
Auteur : Anny Sarrazin
Son avis : Défavorable
Projet inapproprié.
N° 772 : 23 septembre 2024 - 18:07
Auteur : Brigitte Daumal
Son avis : Défavorable
Ce projet est nocif.
En effet, le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
De plus, 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
En résumé ce projet est nocif coûteux et contre la nature.
N° 771 : 23 septembre 2024 - 18:06
Auteur : agathe vayssiere
Son avis : Défavorable
Je souhaite vous communiquer mon opposition au projet prévu dans la zone excentrée de St Christol. Je suis opposée à l’augmentation de l’artificialisation des terres à cause de l’étalement urbain qui a un impact direct sur la biodiversité.
Je trouve de nombreuses contradictions à ce projet. La création d'un établissement senior lié à des déplacements propres.
Il y a un établissement sénior dans Pézenas. Les personnes âgées ont souvent une mobilité réduite. Le mode de communication reste donc la voiture surtout lorsque le quartier d’habitation est en périphérie comme Saint Christol. Les voies cyclables seront peu utilisées par ces personnes, c’est une évidence.
Ensuite, étant donné mon expérience personnelle dans notre quartier, les personnes âgées ont rapidement une baisse de mobilité et préfèrent être à proximité de tous les commerces : supermarchés, pharmacie, boulangerie, marché. La proposition si éloignée du centre semble très contradictoire.
De la même façon, parents avec enfants en bas âge ou lycéens prendront-ils le vélo pour accéder au centre et aux établissements scolaires ?
Des études ont-elles été faites dans les établissements existants pour connaître la part des mobilités douces selon l’éloignement des personnes ? Le parc à vélo des lycées reflètent-ils cette pratique ?
Il y aura donc déclin de la biodiversité et augmentation des pollutions liées aux déplacements motorisés….
Je suis donc opposée à ce projet.
Cordialement.
N° 770 : 23 septembre 2024 - 18:06
Auteur : renée Giner
Son avis : Défavorable
Je me suis toujours battue contre tous ces projets écocides , et celui là en fait partie.
N° 769 : 23 septembre 2024 - 18:05
Auteur : Corinne Coulet Chabas
Son avis : Défavorable
Je m'oppose à ce projet de bétonnisation à Pézenas.
Le nombre de logements actuellement inoccupés est supérieur à ceux prévus dans le projet. D'autres dépenses sont plus utiles pour la ville. C'est encore une fois une aberration écologique décidée contre l'avis de très nombreux habitants
N° 768 : 23 septembre 2024 - 18:05
Auteur : Josiane Saldana
Son avis : Défavorable
Projet d'un autre siècle, qui devrait être rangé aux oubliettes, vu les changements climatiques en cours et vu nos besoins alimentaires en circuit court, sans oublier le fait que bétonner 24 ha de terres agricoles va aggraver les risques d'inondations dans tout le secteur.
N° 767 : 23 septembre 2024 - 18:03
Auteur : Raphael PONCE
Son avis : Défavorable
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
N° 766 : 23 septembre 2024 - 18:02
Auteur : Dominique Cazaban
Son avis : Défavorable
Le bétonnage du quartier de St Christol n’est pas une solution pérenne pour les habitants.
L’artificialisation des sols ne permettrait plus l’irrigation en profondeur et l’impact pour la population serait importante: déjà des villages aux alentours ont été approvisionnés en eau, qu’en sera t’il ensuite?
Restera t’il assez d’argent à la commune pour des financements nécessaires?
Cordialement
N° 765 : 23 septembre 2024 - 18:02
Auteur : anonyme
Son avis : Ne se prononce pas
Il faut Sécuriser juridiquement et financièrement le projet et surtout le risque de dette de 5 millions d’euros que la précédente équipe a contractée
auprès de l’Etablissement public foncier pour acquérir les terrains.
N° 764 : 23 septembre 2024 - 18:02
Auteur : Armelle Nicolas
Son avis : Défavorable
Stop à ma betonisation et surtout dans u.e zone comme st cristol qui devrait selon les lois actuelles environnementale.tales être totalement.t protégées...il n'y a plus d'eau dans ce bassin et vous voulez augmenter.ter la population pour encore nourrir quelques promoteurs et actionnaires fallacieux.. protéger notre environnement et notre biodiversite devrait être notre clé de voûte prioritaire si vous voulez que nos enfants ne soient pas plus que des machines dans un monde aseptisé....par pitié annulez ce projet ou remettez le à l étude..merci pour nous tous
N° 763 : 23 septembre 2024 - 17:59
Auteur : Daniel Tournay
Son avis : Défavorable
Je suis défavorable car c'est un projet écocide
N° 762 : 23 septembre 2024 - 17:58
Auteur : Nadège POITOU
Son avis : Défavorable
Je suis contre ce projet, concernant le bétonnage de la campagne Saint Christol entre autres. Le bétonnage à outrance empêche l'absorption des précipitations et accentue grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). Aussi, les conséquences seraient telles que le rechargement de la nappe phréatique ne serait plus optimum.
N° 761 : 23 septembre 2024 - 17:57
Auteur : Elisabeth Rathery
Organisation : elisabeth.rathery@gmail.com
Son avis : Défavorable
Moi qui viens souvent à Pezenas, je trouve ce projet inutile et anti écologique .
N° 760 : 23 septembre 2024 - 17:55
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Détruire le vivant en dilapidant l'eau, en étouffant les sols fertiles avec du bitume ça suffit !!
N° 759 : 23 septembre 2024 - 17:51
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Pezenas qui investit bcp pour son coeur de ville actuellement (verdun, patrimoine, pistes velo…) a besoin de se développer pour mener à bien ses projets.
N° 758 : 23 septembre 2024 - 17:51
Auteur : Bernard BOUVIER
Son avis : Défavorable
Comment peut-on sacrifier une telle surface agricole alors qu'il serait plus intelligent de rénover le centre historique de cette charmante ville
N° 757 : 23 septembre 2024 - 17:50
Auteur : Fiona Costain McCade
Son avis : Défavorable
Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
N° 756 : 23 septembre 2024 - 17:49
Auteur : Fiona Costain McCade
Son avis : Défavorable
Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
N° 755 : 23 septembre 2024 - 17:38
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
N° 754 : 23 septembre 2024 - 17:30
Auteur : Charles TONON
Son avis : Défavorable
Pourquoi tant de questions sont toujours sans réponses?
La population s'inquiète comme certaines autorités mais toujours pas de réponses.
Pourquoi vouloir aller droit dans le mur surtout avec les changements climatiques de notre époque. Ne pourrait on pas réfléchir en commun et surtout pour le bien de notre terre avant de celui ce seulement certains d'entre nous?
N° 753 : 23 septembre 2024 - 17:28
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Projet d’amenagement important et judicieux
N° 752 : 23 septembre 2024 - 17:27
Auteur : Isabelle Rames
Son avis : Favorable
Il est compliqué de répondre aux besoins de logements et d'équipement dans la commune de Pézénas avec des opérations ponctuelles. Ce projet me parait bien conçu et adapté à son environnement. Je le soutiens pleinement.
N° 751 : 23 septembre 2024 - 17:26
Auteur : Martin Kugler
Son avis : Défavorable
17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de la Peyne et l'avenue de Verdun, ne pourraient être absorbés.
Dans le centre ville quelques 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs.
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 750 : 23 septembre 2024 - 17:25
Auteur : Caroline Frank
Son avis : Défavorable
Ce projet empêche les sols de respirer, nous avons tant à faire en centre-ville. Restaurons avec des techniques modernes.
N° 749 : 23 septembre 2024 - 17:25
Auteur : Jessica BUSSY
Son avis : Défavorable
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 748 : 23 septembre 2024 - 17:24
Auteur : Charles TONON
Son avis : Défavorable
Que l'on veuille développer, agrandir je le comprends et suis pour, mais pas au détriment du bien être de la terre qui doit nous supporter et surtout nous faire vivre, tout comme au détriment des personnes vivant dans cet espace.
N° 747 : 23 septembre 2024 - 17:22
Auteur : Laurence Rossignol
Son avis : Défavorable
Préservons l’eau
N° 746 : 23 septembre 2024 - 17:18
Auteur : pierre fixe
Son avis : Défavorable
Bonjour,
Au-delà de l'artificialisation des terres, ce projet, s'il se fait, entrainera notamment des problèmes de transport, d'approvisionnement en eau potable et d'accueil pour les nouveaux habitants ainsi que des risques d'inondations. Sans compter que le Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas a émis un avis négatif sur ce projet. Bien cordialement,
N° 745 : 23 septembre 2024 - 17:17
Auteur : gilles fresneau
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 744 : 23 septembre 2024 - 17:17
Auteur : JEAN SAGNOL
Son avis : Défavorable
Le changement climatique provoque des sécheresses plus longues et plus fréquentes chaque année, aggravant les risques de manque et de pollution des nappes et des flux d'eau potable.
La bétonisation et le tassement de sols cultivés entrainent des inondations et des ruissellements incontrôlables dans les agglomérations et les villages et une destruction de ces sols.
Les stations d'épurations se retrouvent dans l'incapacité d'absorber les flux démesurés d'eaux polluées et boueuses, les communes n'ont plus les moyens financiers pour la remise en état rapide des dégâts commis.
Le projet Saint Christol est un de ces projets écocides du siècle précédent. La nature n'est plus en mesure d'en absorber de nouveaux. Nous possédons dorénavant tous les élément scientifiques pour démontrer leur inutilité et leur dangerosité. Errare humanum est perseverare diabolicum ! Nul ne peut plus dire aujourd'hui qu'il ne savait pas.
N° 743 : 23 septembre 2024 - 17:16
Auteur : colette Van Hoeylandt
Son avis : Défavorable
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
N° 742 : 23 septembre 2024 - 17:15
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
- Du fait de la sécheresse, et de celles qui ne manqueront pas de survenir à l'avenir avec le réchauffement climatique en cours qui ne va qu'en s'accentuant, et vu que des villages des environs se sont vu obligés d'être approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes, comment peut-on être assuré qu'avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, le manque d'eau ne sera pas un énorme problème ?
- Où trouverons-nous cette ressource vitale pour tout un chacun, et aussi pour l'environnement ?
- Quelle solution lorsqu'il aura manque d'eau pour les habitants, hormis le recours aux camions citernes, qui n'est en aucun cas une solution pérenne et durable ?
- L'artificialisation des sols à St-Christol, participerait à accentuer le ruissellement des pluies (qui tombent de plus en plus en abondance à cause du réchauffement climatique) vers les zones sensibles de la localité, comme le bas de la rue Conti, l'avenue de Castelnau, l'entrée de Pézenas -route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, entre autres, ce qui aggraverait encore plus les inondations ! Quelles solutions sont envisagées en vue de très fortes inondations, qui seraient catastrophiques pour les habitants ?
- Le béton ne permettant plus l'infiltration des eaux de pluies, la nappe phréatique en pâtirait également, accentuant encore le manque d'eau déjà récurrent ! Qu'avez vous comme solution pour que celle-ci ne soit pas mise à mal plus qu'elle ne l'est déjà ?
- La destruction de 24 hectares de terres agricoles fertiles nuirait grandement à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois, aujourd'hui inférieure à 8%. Quelle réponse pouvez-vous apporter à ce manque qui aurait des conséquences pour les citoyens ?
- Quelles sont les mesures envisagées pour les 17 % du trafic routier supplémentaire qu'induirait un tel projet, s'il voyait le jour, notamment sur le pont de Peyne ?
- Quid de la scolarisation des nouveaux élèves qui arriveraient dans la localité (particulièrement pour ce qui concerne le Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ?
- Au vu des investissements qu'engendrerait ce projet, quel argent resterait disponible pour renouveler et réhabiliter le centre ville où 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs ? Ce projet est-il véritablement une absolue nécessité puisque le bâti existant est à même de pouvoir apporter un nombre de logements un peu supérieur ?
- Quid de la non prise en compte de l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas ? Quels sont les arguments raisonnables de ce refus ?
- Quel est le montant réel des autres investissements qui seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc ?
N° 741 : 23 septembre 2024 - 17:14
Auteur : Mathilde Pauporté
Son avis : Défavorable
Je suis contre cette usine.
N° 740 : 23 septembre 2024 - 17:12
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Il faut arrêter avant qu'il ne soit trop tard !
N° 739 : 23 septembre 2024 - 17:11
Auteur : colette Van Hoeylandt
Son avis : Défavorable
24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
N° 738 : 23 septembre 2024 - 17:11
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
N° 737 : 23 septembre 2024 - 17:10
Auteur : Eugène François Ravenet
Organisation : Particulier
Son avis : Défavorable
Pourquoi se cacher derrière son petit doigt?...
N° 736 : 23 septembre 2024 - 17:08
Auteur : Jean-Marie MERLE
Son avis : Favorable
• Compte tenu de la sécheresse qui s'aggrave et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment peut-on être sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait gravement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisés les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? La municipalité a-t-elle prévu d'en construire une de plus ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas) ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 735 : 23 septembre 2024 - 17:07
Auteur : Marie Claire Binette
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
N° 734 : 23 septembre 2024 - 17:07
Auteur : FABIENNE BORNES
Son avis : Défavorable
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%
N° 733 : 23 septembre 2024 - 17:06
Auteur : Maryse Mairey
Son avis : Défavorable
Parce qu'il est important d'arreter de bétonner. Pour préserver l'eau (devenue rare !), la biodiversité
pour ne pas ruiner les petits commerces du centre ville. Et les structures administratives, assez Importantes ? et les routes ?
Que devient l'avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas ???
N° 732 : 23 septembre 2024 - 17:05
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Défavorable
N° 731 : 23 septembre 2024 - 16:59
Auteur : Bernard ROBERT
Son avis : Défavorable
Encore un projet écocide, sans étude d'impact préalable sur la faune, la flore... Un projet qui ne contraindra pas le constructeur à mettre en place un système de récupération d'eau sur la toiture en vue de son usage en eau sanitaire... Encore un projet qui verra le soutient inconditionnel des élus du territoire qui ne seront plus là lorsque le projet devra changer de propriétaire et que plus personne ne sera là pour réclamer les fonds qui auront été perçus... Encore un projet de bétonisation au détriment du vivant, sans concertation, sans concertantion préalable et une fois encore c'est un collectif qui doit prendre le dossier en main pour s'assurer que les principaux concernés que sont les habitants ne se retrouveront pas bernés... On marche encore et toujours sur la tête, on bafoue les droits avec le sourire...
N° 730 : 23 septembre 2024 - 16:59
Auteur : CORINNE MAURISSAT
Son avis : Défavorable
Sécheresse, bétonisation, perte de terres agricoles, il faut arrêter, ça suffit
N° 729 : 23 septembre 2024 - 16:58
Auteur : Nadine Baudoin-Sévilla
Son avis : Défavorable
24 hectares de terres agricoles fertiles détruites?.Surtout "Ne pas nuire "et si l'on commençait à appliquer ce principe.
N° 728 : 23 septembre 2024 - 16:57
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Défavorable
N° 727 : 23 septembre 2024 - 16:53
Auteur : Marie Garet
Son avis : Défavorable
Non
N° 726 : 23 septembre 2024 - 16:52
Auteur : Yves KAUFMANN
Son avis : Défavorable
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
N° 725 : 23 septembre 2024 - 16:52
Auteur : Anja Thomas
Son avis : Défavorable
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Mieux vaudrait investir cet argent pour rénover les 700 logements inoccupés du centre ville que de construire 655 logement neufs.
Le bétonnage de 24 hectares de terres agricoles fertiles me semble contre-indiqué dans la crise climatique que nous subissons tous·tes de plein fouet, avec notamment une tension sur l'eau potable et la nécessité de revenir à une autonomie alimentaire de la région.
N° 724 : 23 septembre 2024 - 16:51
Auteur : Chantal Bechu
Organisation : Privé
Son avis : Défavorable
Avec le changement climatique, il vaudrait mieux ne pas détruire la nature et tout faire pour protéger la faune et la flore !
N° 723 : 23 septembre 2024 - 16:50
Auteur : Elodie Kerkaert
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, sera-t-il possible de fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où faudra-t-il aller chercher l’eau ?
N° 722 : 23 septembre 2024 - 16:49
Auteur : Brigitte Buron
Son avis : Défavorable
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
N° 721 : 23 septembre 2024 - 16:48
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de Pézenas n’a-t-il pas été pris en considération ?
N° 720 : 23 septembre 2024 - 16:48
Cette observation a été classée comme doublon par le commissaire enquêteur.
N° 719 : 23 septembre 2024 - 16:47
Auteur : celine richez
Son avis : Défavorable
Il est regrettable que dans le cadre de la loi climat et résilience il ne soit pas possible d'éviter les constructions dans les champs etc...et ne pas rénover l'existent. De plus il conviendrait avant chaque programme immobilier de grande ampleur au delà de 100 logements d'établir la liste de logements vacants
N° 718 : 23 septembre 2024 - 16:46
Auteur : Sylvie FUMEY-JUNOD
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on encore fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentour ont dû être approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; que se passera-t-il avec 2 000 habitants de plus à Pézenas ? L'eau est devenue une ressource précieuse et rare.
D'un autre côté, comment se fait-il que l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 717 : 23 septembre 2024 - 16:46
Auteur : Harter Jean-Louis
Son avis : Ne se prononce pas
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
N° 716 : 23 septembre 2024 - 16:46
Auteur : Théo ROUFFE
Son avis : Défavorable
Depuis plusieurs années, nous entendons parler de changement climatique, de l'augmentation des risques naturels, et de la pénurie à venir de la ressource en eau ! Je dis bien ENTENDONS PARLER, car je trouve que nous AGISSONS bien peu, alors que nous connaissons les risques et les conséquences de cette inaction !
J'exprime donc un avis défavorable à ce projet, qui vient bétonner des hectares de terre cultivables et engendrera plus de problèmes qu'il n'apportera à la commune !
LA FAMEUSE BALANCE BENEFICES vs RISQUES!
N° 715 : 23 septembre 2024 - 16:45
Auteur : Alain Wozniak
Son avis : Défavorable
Comment peut on être sûr que le projet n'entraînera pas de restriction d'eau à Pezenas et dans les villages voisins?
N° 714 : 23 septembre 2024 - 16:44
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
N° 713 : 23 septembre 2024 - 16:41
Auteur : Dolores Roque
Organisation : Ex conseillère régionale, ex députée
Son avis : Favorable
Je suis particulièrement favorable à ce projet qui va permettre à Pézenas et son agglomération de renforcer une attractivité effective de centralité dans le e département de l’Hérault.
Ce territoire connait des limites qu’il convient de repousser afin de lui accorder toute la place qui doit être la sienne dans l’intérêt, non seulement des piscénois mais des communes limitrophes dont Pézenas est le bourg -centre.
N° 712 : 23 septembre 2024 - 16:41
Auteur : Lionel PUCHE
Organisation : Commune de TOURBES 34120
Son avis : Favorable
Émettre un avis favorable sur un projet de zone d'aménagement concerté (ZAC) nécessite une analyse approfondie et une prise en compte de nombreux critères. Bien que ma connaissance du dossier ne soit pas totale, voici quelques arguments qui peuvent justifier mon avis favorable :
Pour le village de TOURBES dont je suis le Maire, avoir une ville comme PEZENAS avec toutes ses infrastructures, tous ses atouts, sa position géographique, à deux kilomètres de panneau à panneau, présente un avantage certain pour les Tourbaines et les Tourbains. La ville de PEZENAS mérite un développement, qui lui permettra d'exacerber son attractivité, ce qui aura des conséquences favorables pour l'ensemble des villages situés en périphéries.
Ayant travaillé durant 35 ans aux service des Piscénois en tant que responsable de la Police Municipale de la ville de PEZENAS, je suis intimement convaincu que cette petite ville avec son histoire, ses monuments historiques, sa centralité, doit s'émanciper encore et jouer un rôle essentiel au sein de notre territoire.
C'est la raison pour laquelle il faut que l'ensemble des besoins recensés puissent voir le jour pour l'ensemble des habitants de la circonscription.
Le projet de la ZAC de Saint-Christol est à la fois une chance pour PEZENAS, mais également pour le territoire.
1. Répondre à un besoin de logement : Nous les Maires de l'agglomération Hérault Méditerranée nous sommes sollicités quotidiennement, pour trouver des logements.
Croissance démographique : Le projet peut contribuer à répondre à une demande croissante de logements, notamment pour les jeunes ménages, les familles ou les seniors.
Diversification de l'offre : Le projet peut proposer des types de logements variés (maisons individuelles, appartements, etc.) pour s'adapter aux différents besoins des futurs habitants.
2. Développement économique local :
Création d'emplois : La construction du lotissement génère des emplois dans le bâtiment et les secteurs connexes.
Dynamisation du commerce local : L'arrivée de nouveaux habitants peut stimuler l'activité économique des commerces de la ville de PEZENAS.
3. Intégration urbaine et paysagère :
Cohérence avec le plan local d'urbanisme (PLU) : Le projet est en adéquation avec les orientations du PLU en termes de densité, de mixité sociale, de respect des espaces naturels, etc.
Qualité architecturale : Les constructions proposées sont de qualité architecturale et s'intègrent harmonieusement dans le paysage existant.
Aménagements extérieurs : Le lotissement prévoit des aménagements extérieurs de qualité (espaces verts, voies piétonnes, etc.) qui améliorent le cadre de vie des futurs habitants.
4. Développement durable :
Respect de l'environnement : Le projet prend en compte les enjeux environnementaux (gestion des eaux pluviales, gestions des eaux usées (Capacité de la STEP suffisante), choix de matériaux écologiques, etc.).
Mobilités douces : Le lotissement favorise les modes de transport doux (vélo, marche à pied) et est bien desservi par les transports en commun.
5. Amélioration du cadre de vie :
Espaces verts : La présence d'espaces verts contribue à améliorer la qualité de vie des habitants et favorise les échanges sociaux.
Ce projet mérite que l'on s'y intéresse, tant il revêt une importance pour le développement de la ville de PEZENAS et ses environs.
N° 711 : 23 septembre 2024 - 16:39
Auteur : William Santos
Son avis : Favorable
Au vue de la problématique de logement sur la ville de pézenas, ce projet offre une perspective de création de logements sociaux,indispensables pour la ville.
N° 710 : 23 septembre 2024 - 15:44
Auteur : eugène-François Ravenet
Son avis : Défavorable
J'essaie de joindre un fichier sur lequel je détaille ce que je souhaiterai voir naître sur ce beau territoire de 24 Ha à Saint Christol, l'idée générale est de faire de ce lieu: parcelles et bâtiments, un site de mises en application des pratiques d'agroforesterie, de maraîchage bio, de pratiques circulaires avec la traction animale et conjointement, la production de fumure organique, mais aussi pour les bâtiments, la présence d'antennes du Civam bio, de la Chambre d'agriculture, Safer et autre organismes (Terre de liens), sans oublier que la présence des chevaux peut nécessiter: maréchalerie, bourrelier, production d'outils légers aratoires...
Cela ferait de ce lieu, un pôle d'activité novateur dans le cadre de la transition écologique... Ce ne sont là que des orientations générales, à approfondir.
Il faudra de la concertation et de l'imagination... et y croire?...
N° 709 : 23 septembre 2024 - 15:40
Auteur : Victor van Aalderen
Son avis : Défavorable
Dans le contexte actuel de crise climatique et de perte de biodiversité, il est inacceptable de poursuivre des projets de bétonisation qui ne feraient qu'aggraver la situation. Après m'être renseigné sur les graves conséquences que pourrait avoir la construction du quartier Saint Christol, je suis fermement opposé à sa réalisation.
Tout comme celle du climat et de la biodiversité, la problématique du logement urbain est complexe,. Cependant, de nombreux architectes et élus plaident aujourd'hui, par exemple, pour une densification plus raisonnée de nos villes et une meilleure utilisation des infrastructures existantes. D'autres solutions existent ; il est temps de mettre fin à la destruction de notre environnement.
N° 708 : 23 septembre 2024 - 15:07
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
ça va tuer le centre de Pézenas
N° 707 : 23 septembre 2024 - 15:05
Auteur : Guillaume Azémar
Son avis : Favorable
Je suis favorable au projet Saint Christol car il va permettre de créer de nouveaux logements avec des typologies différentes pour les personnes désireuses de s’installer à Pézenas ou d’y rester, là où nombre d’entre elles sont contraintes de la quitter.
Pézenas a véritablement besoin d’un second souffle en matière d’offre de logements : c’est pourquoi je suis favorable à ce projet.
N° 706 : 23 septembre 2024 - 14:59
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Il y a quelques années en arrière, Pézenas a déjà perdu le commissariat de la Police Nationale. La compagnie de gendarmerie est venue supplanter ce départ.
Aujourd'hui, pour pouvoir la conforter et la développer, la Gendarmerie Nationale doit trouver un terrain d'une superficie suffisante, non éloigné des axes de communication (A75).
À défaut, elle quitterait Pézenas. Sa population en pâtirait, alors que sa sécurité est primordiale.
Je suis favorable à l'aménagement du quartier de St Christol car il maintiendra à Pézenas cette activité au service des piscénoises et des piscénois.
N° 705 : 23 septembre 2024 - 14:54
Auteur : Anne BASSAS
Son avis : Défavorable
Etant membre actif du comité "pour un autre projet st Christol" j'adhère totalement à la prise de position de ce comité. J'ajouterai un témoignage personnel.
Depuis les années 80 , je constate une dégradation continue de la qualité de la vie à Pézenas.
Du fait de la disparition drastique des commerçants en centre ville .Phénomène qui se généralise dans toutes les petites villes, est-il inéluctable ? oui, dans la mesure ou l'on favorise l'habitat pavillonnaire ,ce qui entraîne une augmentation de la circulation et par conséquent de la pollution. Pollution certainement responsable de la destruction de la biodiversité .Au fil des années nous avons assisté à la disparition des criquets ,sauterelles, libellules ,scorpions coccinelles et mantes-religieuses, sans oublier les abeilles .
Monsieur le maire promet la création de haies bocagères et le maintien des murets et bosquets en bon état ,il ne reste presque rien !!!Quand on constate le travail des employés municipaux concernant les bordures de chemins(massacre à la tronçonneuse) ,on est en droit d'être sceptique.
Créer une zone "d'éducation écologique" en détruisant ce qui existe pour le remplacer par du béton!!!???Ce projet est anachronique .Il n'aboutira qu'à la création d'une" ville dortoir" ne redynamisant en aucun cas la ville existante ,bien au contraire .C'est la mort annoncée , dommage vu le potentiel architectural et culturel existant. En souhaitant que les personnes décisionnaires tiendront compte de mes observations.
N° 704 : 23 septembre 2024 - 14:52
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
irresponsable
N° 703 : 23 septembre 2024 - 14:51
Auteur : Coralie Mantion
Son avis : Défavorable
Bonjour,
Il faut cesser ces projets destructeurs de terres agricoles qui nous éloignent de la souveraineté alimentaire indispensable en ces temps de tension extrême, voire de guerre.
Il faut préserver ces espaces de nature pour lutter contre le déclin de la biodiversité.
Il est vrai que les besoins en logements sont réels mais la priorité doit être mise sur les logements vacants. Restaurer les logements existants est plus rapide et plus vertueux que de créer de nouveaux quartiers.
L'agriculture est une économie comme les autres, qui crée de la richesse, des emplois et nous procure un élément vital : nous nourrie.
Préserver nos terres agricoles et naturelles est indispensable.
N° 702 : 23 septembre 2024 - 14:46
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
idee a contre courant.... pensons à nos jeunes et cette si belle ville de Pézenas qui possède tant d atouts!
N° 701 : 23 septembre 2024 - 14:43
Auteur : Francine Aznar francine
Son avis : Défavorable
Actuellement nous sommes en période de réchauffement climatique le quartier St christol possède de nombreuses noria et puits construits depuis de nombreuses années. La mère des fontaine a subit lors de la création du tout à l égout et de l eau courante des effondrements ,il n y a plus de fontaines avec de l eau de source.La zone sera bétonnée et le drainage naturel ne se fera plus.....
N° 700 : 23 septembre 2024 - 14:39
Auteur : Benoit Gil
Son avis : Défavorable
Bonjour,
Avant de bétoniser plus de surfaces sur Pézenas, merci de travailler sur les projets actuels des agriculteurs qui concerne leur résilience économique (agrotourisme, panneaux photovoltaïque au sol pour autosuffisance, hangar agricole photovoltaique orienté plein sud pour autosuffisance, entretien des chemin d'accès) et qui sont systématiquement refusés par le service urbanisme.
Cordialement,
Benoit Gil
N° 699 : 23 septembre 2024 - 14:35
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
projet irresponsable
N° 698 : 23 septembre 2024 - 13:58
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Plein de galerie souterraine dans le cartier risquent d'être détruite.
C'est une zone avec plein d'anneau et de la végétation qui va disparaitre.
N° 697 : 23 septembre 2024 - 13:56
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
C’est une très mauvaise idée qui ne prend pas en compte l’impact sur les habitants.
N° 696 : 23 septembre 2024 - 13:48
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
ça va tuer le centre de Pézenas
N° 695 : 23 septembre 2024 - 13:46
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Une partie de cette zone est inondée
N° 694 : 23 septembre 2024 - 13:40
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Je suis opposée à ce projet car je pense qu'il va ruiner le calme d'un quartier
N° 693 : 23 septembre 2024 - 13:27
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
nous avons un grand besoin de creation d'emplois, de logements pour les jeunes, les familles. ce projet est une chance pour la ville
N° 692 : 23 septembre 2024 - 13:25
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Monsieur le commissaire enquêteur, je suis favorable au projet St Christol qui porte une offre favorable à de nouveaux logements pour des particuliers désirants s’onstaller à Pezenas et qui ne peuvent pas à ce jour, sans possibilité de pouvoir goûter à la qualité de vie dans cette ville. Ce quartier semble avoir été conçu dans cet intérêt : des espaces aménagés et arborés, la proximité des équipements. Le contraire d’un quartier dortoir. Sans oublier l’apport aux écoles , aux commerces, ainsi que le dynamisme pour la vie associative.
N° 691 : 23 septembre 2024 - 13:22
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Ce projet est un atout pour l'environnement, il respecte les normes en vigueur. Nous en avons besoin pour le développement de ce secteur.
N° 690 : 23 septembre 2024 - 13:21
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Ce projet est nuisible pour le village, d'un point de vu écologique mais aussi démographique. L'ampleur des travaux représente une réelle menace pour l'écosystème des environs mais aussi l'attrait de nouveaux habitants ne ferait que saturer le village qui est déjà saturé de monde ! Il y a suffisamment de plus grandes villes environnantes pour accueillir les personnes qui le veulent. Je dis non au projet Saint Christol ! En espérant pouvoir faire perdurer la beauté de notre village.
N° 689 : 23 septembre 2024 - 13:14
Auteur : Jean Augé
Son avis : Favorable
Le projet prend en compte les aspects environnementaux de façon innovantes, les aspects d’habitabilités de façon raisonnée, l’intégration du quartier à la ville de façon équilibrée.
Je trouve que la ville se donne les moyens de réaliser un nouveau quartier de qualité prenant en compte l’ensemble des contraintes en y répondant.
N° 688 : 23 septembre 2024 - 13:13
Cette observation a été classée comme doublon par le commissaire enquêteur.
N° 687 : 23 septembre 2024 - 13:11
Cette observation a été classée comme doublon par le commissaire enquêteur.
N° 686 : 23 septembre 2024 - 13:11
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
L’extension d’une ville est une chose mais savoir concilier espace naturel à disposition et construction en est une autre. Mettre des tables d’orientations, des panneaux de sensibilisation et corridors pour les espèces nocturnes ne fait pas de ce projet un projet engagé dans l’environnement. Les 1200 habitants prévu d’ici 2032 sont ingérables. Cette ZAC n’a pas sa place dans un espace totalement naturel et encore sauvage. Les inondations connus dans ce secteur en sont la preuve. Rajouter des bâtiments dans cette zone ne fera qu’empirer les droits de l’environnement. Laissons cette zone vivre et s’exprimer sans trop d’impact sur le reste de la ville de Pezenas. Pensez plutôt aux alentours de Tourbes et le secteur est 100 fois plus propice. Merci de repenser ce projet sur une autre zone, la nature vous remerciera
N° 685 : 23 septembre 2024 - 13:09
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Dans la mesure où la création de logements est un un besoin vital pour l'économie et le développement du territoire, ce projet permettra la pérennisation à long terme de la population.
Cela va engendrer le maintien et le développement de l'ensemble des infrastructures locales ( écoles, commerces...)
De plus, les entreprises liées à la filière du bâtiment verront leurs activités s'amplifier.
Pour finir la qualité du projet, issue d'une longue concertation, prend en compte les problématiques liées au respect de la biodiversité en apportant des solutions et innovations.
N° 684 : 23 septembre 2024 - 12:53
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Ce projet apporte de nombreux avantages, économiques, écologiques et favorise l'emploi dans la région. Il répond a un manque de logements pour les familles de Pézenas
N° 683 : 23 septembre 2024 - 12:35
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Cette partie de Pezenas a un charme tranquille de campagne qui sera gâché par un projet de cette envergure. De plus, à une époque de changement climatique où il y a déjà des restrictions d'eau pendant les étés de plus en plus chauds, comment est-ce une bonne idée d'ajouter beaucoup plus de foyers à un réseau qui a déjà du mal à faire face. Je m'oppose à ce projet.
N° 682 : 23 septembre 2024 - 12:24
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Monsieur le Commissaire-Enquêteur,
Résident sur Pézenas depuis 2008 et ayant choisi cette ville pour son cadre de vie je souhaite vous faire part de mes interrogations au sujet de l’urbanisation de Saint Christol.
Travaillant dans la transition écologique je constate chaque jour les conséquences néfastes de l’imperméabilisation des sols sur les risques de ruissellement, l’érosion de la biodiversité, le déficit de recharge des masses d’eau etc. et dans le même temps j’observe, très dubitative, l’énergie, l’ingénierie et l’argent public déployés pour désimperméabiliser, compenser, contourner les projets privés (ou public-privés comme celui de Saint Christol) qui ont été construits en dépit du bon sens et sans prendre en compte suffisamment les effets du changement climatique !
En effet, à la lumière de l’évolution démographique de Pézenas et de son extension urbaine, nous ne pouvons avoir l’assurance qu’un tel projet permettrait à de nouvelles familles de s’installer. En soixante ans l’urbanisation de Pézenas à triplé alors que sa population a stagné.
Loin de vouloir remettre en question le rôle de centralité de Pézenas, souhaitant même le conforter, l’intérêt de la ville réside dans la concentration spatiale de ses nombreux services et la possibilité offerte à chacun de s’y rendre à pied ou à vélo. Le positionnement du projet de Saint Christol, à l’extérieur de sa tâche urbaine (20 min à pied), ne répond nullement à ce besoin de centralité et risque même de diluer sa population au détriment de la vitalité de son centre-ville et de sa mixité.
Consciente de la baisse des ressources des collectivités et constatant tous les jours l’état extrêmement dégradé de sa voirie et de ses réseaux, je suis de plus très dubitative sur la capacité locale des collectivités à investir et entretenir correctement de nouvelles infrastructures. En tant que redevable de la taxe foncière, qui s’avère très élevée sur la commune de Pézenas comparativement à ses voisines, cela m’inquiète d’autant plus !
N° 681 : 23 septembre 2024 - 12:24
Auteur : catherine joffrain
Son avis : Défavorable
Projet ecocide qui ne prend pas en compte la nature, déjà bien mise à mal autour de nous, et amènerait à la destruction de terres agricoles, dont nous allons bientôt tous manquer
Projet suicidaire pour les commerces actuels du centre-ville
Projet aberrant compte tenu de l’immobilier piscenois vacant et à rénover, aberrant concernant le nombre de personnes et de voitures qui viendraient former un autre village en périphérie, sans impact positif pour le village existant et avec tellement d’impacts négatifs sur la circulation, l’utilisation des ressources en eau ou de son traitement, etc etc.
La bétonisation des terres, responsable des dégradations monumentales lors des épisodes pluvieux, doit cesser et avec le refus de ce projet, pezenas en sortirait grandie et citée en exemple
N° 680 : 23 septembre 2024 - 12:16
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Je suis totalement défavorable à ce projet écocide et anti-agricole d’un autre siècle qui est complètement inadapté et climaticide face aux défis environnementaux et climatiques auquel s nous devons déjà faire face sécheresse et inondations de plus en plus récurrentes.Nous devons absolument préserver les terres agricoles pour developper l’accès à une alimentation de qualité, bio et de proximité pour les générations futures.
N° 679 : 23 septembre 2024 - 12:08
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je suis favorable
N° 678 : 23 septembre 2024 - 11:52
Auteur : moutou xavier
Son avis : Favorable
J'ai depuis 2020 la responsabilité du centre technique municipal en tant qu'élu.
L'attractivité de la ville fait que Pézenas doit assumer des fortes charges de centralité.
Il faut de nouveaux projets pour nous aider à assumer cette centralité.
Le projet du quartier Saint-Christol favorisera le développement de la ville tout en offrant des infrastructures modernes.
C'est une chance que l'on ne doit pas laisser passer, car ce projet améliorera la qualité de vie des piscénois.
N° 677 : 23 septembre 2024 - 11:25
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
En ces temps d économie troublée ce projet répond à un besoin de logements adaptés aux besoins des familles et contribuera à préserver l avenir de notre région.
N° 676 : 23 septembre 2024 - 10:59
Auteur : alain CAIRE
Son avis : Défavorable
Pourquoi ne pas mettre en valeur les "dents creuses" avant d'étendre l'urbanisation sur des terres cultivables et aptes à absorber l'eau ?
N° 675 : 23 septembre 2024 - 10:55
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
On voit beaucoup de touristes à Pézenas mais pas beaucoup de jeunes.Il faut amener une population nouvelle à Pézenas pour dynamiser et rajeunir la ville
N° 674 : 23 septembre 2024 - 10:54
Auteur : Marie claude ROCHER BEDOS
Son avis : Défavorable
Bonjour,
Je viens de lire les observations sur l'enquête publique et constate que les 3/4 d'avis favorables sont anonymes et souvent non argumentés, cela m'interpelle, pourquoi cacher son identité et ne pas donner de détail ? à mon avis cela fausse l'enquête, on dirait que ces gens ont été dirigés !!!!!!
Je constate aussi que les gens favorables à ce projet s'insurgent sur le fait que la mairie doit rembourser les 5 millions à l'Etablissement foncier mais personne ne parle des frais que ce projet va engendrer qui seront de l'ordre de 30 millions (cf plan projet : la commune doit payer 40 % et la semop 60 % ) soit 12 millions CES MONTANTS N ONT JAMAIS ETES DONNES dans les réunions publiques Pourquoi ??
Il faut que les piscénois sachent que ce projet va geler les finances de la commune pendant des années et que le centre ville en sera autant démuni il n y aura plus d'argent pour l entretien de l'existant !!!!
NON CE PROJET NE DOIT PAS ABOUTIR !!!
N° 673 : 23 septembre 2024 - 10:53
Auteur : RICHARD MONEDERO
Son avis : Favorable
Face à sa fragilité démographique, de ce point de vue, il est nécessaire que Pézenas ait la possibilité d’accueillir tous ceux qui souhaitent y habiter. Cela afin de pouvoir conserver les services publics auxquels la population piscénoise et celle des communes environnantes ont droit, mais aussi tout son tissu commercial et médical. C’est là un enjeu important pour permettre aux petites villes, demain encore, de continuer à exister. C’est dans cet esprit que la présence d’une ville d’importance relative au nord de la Communauté d’Agglomération parait indispensable.
La proportion de logements aidés associée à celle des logements seniors est en capacité de garantir une mixité sociale et intergénérationnelle indispensable à la qualité de vie, tout en facilitant l’accession à la propriété de jeunes ménages. La primo accession dans la première phase représente un pourcentage très important de l’ensemble des logements programmés.
L’approche environnementale qui fait une large place à l’innovation, à de nouveaux concepts en matière de préservation de la biodiversité, de sensibilisation aux besoins de protection et de conservation d’éléments patrimoniaux comme les murets en pierre, devrait largement contribuer à la création et à la permanence d’un cadre de vie agréable.
D’autres éléments tels que la forte proportion d’espaces publics, des commerces de proximité et des jardins partagés aptes à faciliter le lien social, l’intégration d’un service de transports en commun doivent contribuer efficacement à faire de Saint-Christol « un quartier plus qu’un simple lotissement ».
Richard Monedero
Ancien élu de la Communauté d’Agglomération Hérault Méditerranée
N° 672 : 23 septembre 2024 - 10:52
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Ce projet est juste et nécessaire. ce genre de projet est essentiel pour l'économie local. Que se soit avant pendant et après les travaux. De plus le manque de logement évident dans la région devient problématique.
Ces projets doivent cependant respecter l'environnement en gardant de grands espaces verts et en limitant la perméabilisation.
Je suis pour mais en respectant un cadre stricte.
N° 671 : 23 septembre 2024 - 10:48
Auteur : Valérie Dilgard
Son avis : Défavorable
Evitons de bétonner plus notre vallée. Pour laisser l'eau s'écouler d'abord. Puis pour préserver la verdure qui nous rafraîchit
N° 670 : 23 septembre 2024 - 10:46
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Ce projet est exemplaire concernant son approche globale.
Il est respectueux à la fois du contexte societal et environnemental.
Le futur quartier est de plus très novateur au regard de l’environnement.
N° 669 : 23 septembre 2024 - 10:35
Auteur : Lucette Carmona
Organisation : Madame
Son avis : Défavorable
Bonjour
Je souhaite attirer votre attention sur la croissance de la sècheresse et une ressource en eau déjà sous tension. Il semble donc difficile de ne pas envisager de fortes restrictions d'eau potable pour les populations alentour. De plus, le bétonnage des parcelles sera néfaste car il n'y aura plus d'absorption d'une partie des précipitations et cela accentuera le ruissellement.
N° 668 : 23 septembre 2024 - 10:32
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
clairement un projet dévastateur des ressources locales, déjà en danger par les phénomènes climatiques et non adapté aux besoins des habitants actuels et futurs.
Avis défavorable
N° 667 : 23 septembre 2024 - 10:31
Auteur : Audrey Pedemay
Son avis : Défavorable
Loin de moi l'idée d'une opposition systématique au développement urbain, mais celui-ci doit se faire en symbiose avec son territoire.
Si le projet de départ de l'Eco-quartier Saint-Christol semblait prometteur, force est de constater que son évolution vers un lotissement bas de gamme au COS non limité et à la bétonisation massive, soit loin de répondre à nos préoccupations éco-responsables.
En outre, quel est notre projet de ville, souhaitons-nous nous inscrire dans une dynamique de ville dortoir en périphérie de pôles d'attractions tels que Béziers et Clermont-L'Hérault, ou, au contraire, souhaitons-nous capitaliser sur notre image, du bien vivre, du temps suspendu, de la consommation locale, de la ruralité hédoniste ?
Laissons les paysages tels qu'ils nous émeuvent, les sols absorber l'eau qui nous fait tant défaut et proposons des logements qui soient fondus dans le décor, plus que d'être les étendards d'une nouvelle pompe à fric aux redistributions inéquitables.
N° 666 : 23 septembre 2024 - 10:20
Cette observation a été classée comme doublon par le commissaire enquêteur.
N° 665 : 23 septembre 2024 - 10:20
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Ce projet porte fortement atteinte au patrimoine naturel et paysager piscénois. nous sommes CONTRE!!!
N° 664 : 23 septembre 2024 - 10:01
Auteur : Jean Martinez
Son avis : Favorable
Maire de la ville de Caux durant 3 mandats et jusqu’en 2020, Vice-président de de la Communauté de Communes des Pays de Pézenas (2001-2003), Vice-Président de la Communauté d’Agglomération Hérault Méditerranée en charge de l’économie (2003-2008), de l’Innovation (2008-2014), de l’économie, l’eau et l’assainissement, et l’Europe (2014-2020), j’ai eu l’occasion de connaitre le projet d’aménagement de St Christol porté par la ville de Pézenas. Notre Communauté d’Agglomération, dont la population est en augmentation constante, manque cruellement de logements. Cette situation pénalise fortement le développement économique et l’attractivité de notre territoire.
La ville de Pézenas, 2ème ville centre de la Communauté d’Agglomération et centre économique de la partie nord, est particulièrement et sévèrement impactée par ce manque de développement urbain. Le projet d’urbanisation de St Christol par la ville de Pézenas répond à cette nécessité. Il est à noter d’autre part, que ce projet est un modèle d’urbanisation écologique, prenant en compte les contraintes énergétiques de notre époque. Je trouve personnellement qu’il est une nécessité pour le développement harmonieux de la ville de Pézenas, tant sur le plan de l’équilibre de la population que sur celui du développement économique.
N° 663 : 23 septembre 2024 - 10:00
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Monsieur le commissaire enquêteur,
Propriétaire d'un bien immobilier à Pézenas, j'y paie les impôts locaux.
La dette de cinq millions d'euros contractée par la précédente municipalité pour le projet Saint-Christol, risque fort d'aggraver les finances de la ville. Il y a un risque énorme de déséquilibre budgétaire pour rembourser ce dû, sans ne rien réaliser.
L'impact serait a minima une hausse de la fiscalité dans des proportions hors normes. Cette augmentation serait insupportable pour les contribuables piscénois.
Je suis donc favorable au projet de ZAC Saint-Christol.
N° 662 : 23 septembre 2024 - 09:45
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Le projet semble tout à fait cohérent, il permet de répondre à de nombreuses problématiques, notamment celle du besoin en logement. La conception du quartier répond également aux préoccupations actuelles en terme de verdissement de la ville, de mixité sociale ou encore de modes de déplacements doux.
N° 661 : 23 septembre 2024 - 09:43
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…) ; de plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois.
Comment pourrait être absorbé 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
Comment la création d’une Halle Gourmande à St Christol (1 700 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville ?
La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était pas ?
Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune ( notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au dessus de la Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas reste-t-il caché à la population et n’est-il pas joint au dossier ?
N° 660 : 23 septembre 2024 - 09:36
Auteur : Evelyne Sénégal
Son avis : Défavorable
Je suis contre le projet d'urbanisation de St Christol.La sécheresse est une menace: il ne faut donc pas augmenter les besoins en eau avec un surcroît de population . Il y a risques d'inondations dûes au bétonnage de la campagne. Le trafic routier serait trop important , affectant non seulement la circulation mais aussi la qualité de l'air. on supprimerait des terres fertiles dont nous avons de plus en plus besoin. La création éventuelle de nouvelles écoles serait à la charge de la commune. La halle gourmande serait une menace pour les commerces du centre ville.
Beaucoup d'inconvénients donc menacent la qualité de vie des piscénois, voire des villages alentours.
N° 659 : 23 septembre 2024 - 09:28
Auteur : Éric Marc
Son avis : Défavorable
24 hectares de terres agricoles fertiles seraient bien plus utiles à l installation d' agriculteurs afin d' optimiser l autonomie alimentaire du piscenois.
N° 658 : 23 septembre 2024 - 09:19
Auteur : anonyme
Son avis : Ne se prononce pas
Je trouve que c'est bien car ça permet la création de pleins de choses dans un village
MAIS
Je trouve dommage de prendre encore sur la verdure alors qu'il y a
N° 657 : 23 septembre 2024 - 09:00
Auteur : Moïse ouy--barles
Son avis : Défavorable
Il me semble que pour respecter le zéro artificialisation net, il serait préférable d'éviter ce genre de projet qui plus est, en déplaisant à un certains nombre des concitoyens notamment celui du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas. Je ne vois pas non plus l'intérêt de construire de nouveau logements plutôt que de rénover ceux non-occupés du centre ville où il est, je pense, plus agréable de résider, ce qui est encore une fois en total désaccord avec le "zéro artificialisation net".
N° 656 : 23 septembre 2024 - 08:51
Auteur : LINDA ZREHEN
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?Beaucoup de villes de la Côte d'Azur bloquent toute expansion, en tenant compte de cette nouvelle donne.
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…) ; de plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois.
Comment pourrait être absorbé 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
Comment la création d’une Halle Gourmande à St Christol (1 700 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville ?
La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était pas ?
Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune ( notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au dessus de la Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas reste-t-il caché à la population et n’est-il pas joint au dossier ?
A vous d’agir pour le Bien Commun de Pézenas, de ses habitantes et habitants… mais aussi des villages environnants qui seraient impactés (approvisionnement en eau, inondations,…).
N° 655 : 23 septembre 2024 - 08:34
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Un projet permettant de redynamiser la commune et d'étoffer son développement. Favorable à ce projet.
N° 654 : 23 septembre 2024 - 08:33
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
En voulant un
La place réservée aux espaces publics et aux zones non imperméabilisées démontrent bien l’objectif écologique du quartier
N° 653 : 23 septembre 2024 - 08:32
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Je suis défavorable à ce projet qui est situé dans une zone inondable , comment accepter un avis favorable pour un permis de construire dans une zone inondable ? n'importe quelle demande de permis de construire pour un citoyen lambda serait refusé alors pourquoi l'accepter sur ce projet qui met en danger des populations ....
N° 652 : 23 septembre 2024 - 08:31
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Un beau projet pour répondre aux besoins croissants aux logements du bassin Occitan.
Après lecture des différents documents, le projet parait en tout point vertueux et exemplaire sous pas mal d'aspects (mode de vie style éco quartier, liaisons douces et mobilités vertes...)
N° 651 : 23 septembre 2024 - 08:31
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Un quartier avec des activités est nécessaire au vivre ensemble.
N° 650 : 23 septembre 2024 - 08:29
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Ce quartier doit intégrer l’énergie solaire et doit réserver des espaces pour des jardins familiaux.
N° 649 : 23 septembre 2024 - 08:28
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
C’est une réponse rapide qui peut être apportée à la problématique du logement et à ceux qui vivent dans la précarité énergétique
N° 648 : 23 septembre 2024 - 08:27
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Pézenas brille de sa réputation passée, elle pourra briller de sa capacité d’innovation.
N° 647 : 23 septembre 2024 - 08:20
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Monsieur le Commissaire-enquêteur,
je vous prie de bien vouloir prendre connaissance de mon avis défavorable à l'aménagement prévu de ce nouveau quartier.
Les arguments négatifs sont nombreux si ce projet voyait le jour : les risques sont divers. Sècheresse, restrictions en eau, coûts engendrés par la connexion vers le centre-ville, terres agricoles consommées, incidences urbanistiques et paysagères, typologie de ces nouveaux résidents et leur fusion dans la population piscénoise, atteinte aux efforts municipaux de transition écologique - voir la conduite actuelle du projet agricole dans le tènement de l'Auribelle, etc.
Comment anticiper le devenir de cette petite ville exploitant sa richesse patrimoniale et son passé historique au travers de la conservation du bien-vivre qu'offrent vie culturelle, artistique, associative, conviviale, etc. et sa qualité de sa gestion municipale. Bien-sûr, la réalité économique locale, mais comme elle l'est aussi aux niveaux départementaux et régionaux, est difficile. Mais qu'apporlerait cette nouvelle population, peut-être pour partie retraitée, étrangère, avec quel niveau de vie et quels comportements sociologiques ? Trop de régions méridionales souffrent d'afflux de population touristique ou permanente sans aucune intégration et qui entraine l'accroissement de la dégradation de la vie locale et du vivre ensemble.
N° 646 : 23 septembre 2024 - 07:58
Auteur : Brigitte VICENTE
Son avis : Défavorable
Monsieur,
La ville de Pézenas est déjà très endettée.
Or, des investissements obligatoires liées à ce projet devront être entrepris avec une ville qui atteindra les 10 000 habitants;
création de classes supplémentaires, embauche de policiers municipaux, connexion avec la station d'épuration, réfections des ponts et des chaussées reliant le "hameau" de Saint Christol à la ville actuelle, etc etc, au détriment de l'entretien plus que nécessaire des chaussées et trottoirs du centre ville et des lotissements en périphérie.
Avec quel argent?
A cela s'ajoute le risque "inondation" pour Saint Christol mais aussi pour les bas quartiers de la ville avec la problématique de la ressource en eau potable dans les années à venir. La presse régionale nous sonne l'alerte tous les jours.
Si demain nous devions être exposés à ces problématiques, qu'en sera t-il à ce moment là de la responsabilité des élus et des services de l'état.
Faire appel à la solidarité nationale quand une catastrophe non identifiée se produit, c'est le sens même de l'esprit solidaire, mais dans le projet de Saint Christol les risques et les dangers sont déjà identifiés.
Par principe de précaution je suis défavorable à ce projet.
N° 645 : 23 septembre 2024 - 07:53
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Destruction de terres agricoles et bétonisation des sols
Augmentation importante de la circulation donc de la pollution
Ce projet est une aberration pourquoi ne pas restaurer les logements vides ?
N° 644 : 23 septembre 2024 - 07:52
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Bonjour,
je pense réellement que ce projet sera bénéfique au développement de la vie de Pézenas!!
Un beau projet, qui emmènera a redynamisé la ville!!
N° 643 : 23 septembre 2024 - 07:41
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Il est important de construire un nouveau lotissement dans la ville. Cela permettrait de pouvoir loger de nouvelles familles, faire une nouvelle gendarmerie, des nouveaux commerces et ainsi créer des emplois
N° 642 : 23 septembre 2024 - 07:40
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Bonjour,
Ce projet me semble particulièrement intéressant. La possibilité de créer une zone d'habitation dans ce nouveau quartier permettrait de poursuivre le dynamisme de Pezenas ou le centre ville semble saturé en terme de logement.
J'ai donc un avis très favorable sur ce projet !
N° 641 : 23 septembre 2024 - 07:11
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Voilà un aménagement qui sait répondre aux nouveaux enjeux et qui a été longuement réfléchi. Il faut que de tels projets voient le jour pour montrer qu'il y a un nouveau mode d'aménagement!
N° 640 : 23 septembre 2024 - 07:00
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Favorable à ce projet pour le bien et le dynamisme de la commune et de ses habitants.
N° 639 : 23 septembre 2024 - 06:52
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Projet bien pensé pour Pezenas liant modernisme et nature.
N° 638 : 23 septembre 2024 - 06:43
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
De nouveaux logements amènent des enfants pour des écoles, amènent de la vie dans des villages, des commerces ….
N° 637 : 23 septembre 2024 - 06:41
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Avec tout ce que l'on sait aujourd'hui des problèmes de la bétonisation, c'est ignorer la réalité !
N° 636 : 23 septembre 2024 - 06:36
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Bonjour. Je donne un avis favorable car cela va aider beaucoup de personnes à se loger.
N° 635 : 23 septembre 2024 - 06:21
Auteur : Robert Vivarès
Son avis : Favorable
Membre du conseil municipal délégué à la culture je pense que la façon dont a été géré ce projet est exemplaire. En effet, il est indispensable de penser à la future urbanisation de la ville en prenant en compte les enjeux environnementaux. Les nombreuses réunions de travail, d'intelligence collective,de partage avec la population ont permis de développer ce projet exemplaire sur tous les plans : respect de la faune, dimension humaine, volonté municipale de maîtriser le projet. Le Pézenas de demain est en bonne voie
N° 634 : 23 septembre 2024 - 04:13
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Complètement écocide, la ville est déjà saturée de monde c’est n’importe quoi
N° 633 : 23 septembre 2024 - 00:30
Auteur : Cécile Ngaro
Son avis : Défavorable
La sécheresse est croissante d'année en année, les ressources en eau sont en tension il semble difficile d'en fournir à l'ensemble de la population piscénoise si son nombre croît de façon importante : 2000 habitants supplémentaires d'après les informations.
D'autre part le bétonnage de la campagne Saint Christol accentuerait le ruissellement vers les zones sensibles de la ville et amplifierait le phénomène d'inondation déjà préoccupant.
Cela ne favoriserait pas le rechargement de la nappe phréatique.
La station d'épuration pour traiter les eaux usées serait elle suffisante, si ce n'était pas le cas quelle solution est envisagée?
N° 632 : 23 septembre 2024 - 00:02
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Ce projet risque d'être catastrophique pour Pézenas et les générations futures.
Pour quelles raisons valables devrait-on bétonner cette zone préservée tant appréciée par les piscénois, au risque de chasser la multitude d'oiseaux et d'animaux de cette campagne, de priver les générations futures de 24 hectares de terres fertiles et d'accroître les risques d'inondation de la ville ?!
Nous allons devoir vivre avec des restrictions d'eau de plus en plus fréquentes et ce projet va gravement accentuer le problème en empêchant le rechargement des nappes phréatiques.
En outre, les capacités de traitement des eaux usées de Pezenas risquent de ne pas être suffisantes.
Enfin, les chemins alentour déjà en très mauvais état et la route d'accès à la ville pourront-ils supporter un tel accroissement du nombre de voitures ?
Un autre projet raisonnable et respectueux de l'environnement doit être possible.
N° 631 : 22 septembre 2024 - 23:57
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Monsieur le Commissaire Enquêteur ,
Intéressée par la petite ville de Pézenas pour sa qualité de vie, son patrimoine du grand siècle, ses traditions et son dynamisme, je souhaite vous faire part de mes observations sur la ZAC Saint-Christol.
Sensible par mon parcours professionnel aux problématiques que rencontrent les personnes en situation de handicap, je perçois ce projet comme un ‘’PARAPROJET’’ particulièrement innovant pour la ville de Pèzenas.
A mes yeux la ZAC Saint Christol offre la possibilité de mettre à disposition des personnes à mobilités réduites des logements adaptés accessibles avec des voies de circulation « douces » qui faciliteront également l’insertion des personnes âgées ou malades.
Un vrai projet citoyen transgénérationnel pour tous !
De plus dans ce quartier dont le développement durable est le maître mot, les personnes
handicapées particulièrement sensibles à leur environnement trouveront un espace à vivre d’une grande sérénité.
L’implantation de commerces de proximité accessibles via un mode de déplacement doux sont gages d’une plus grande autonomie de chacun.
Proches du centre ville de Pèzenas via des accès facilités, les populations vulnérables ne seront pas exclues de la vie économique et culturelle Piscenoise.
Ces quelques points retenus parmi d’autres, plus en lien avec le handicap m’invitent à soutenir cette ZAC Saint-Christol.
N° 630 : 22 septembre 2024 - 23:18
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Trop de monde et ecocide
N° 629 : 22 septembre 2024 - 23:17
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je suis favorable
N° 628 : 22 septembre 2024 - 23:16
Auteur : Louise-Mathilde Breton
Son avis : Défavorable
Ça gâche le paysage
N° 627 : 22 septembre 2024 - 22:40
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Je suis défavorable au projet le considérant extrêmement écocide.
N° 626 : 22 septembre 2024 - 22:35
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Cela dénaturerait les environs, et en élèverait des espaces précieux et trop rares
N° 625 : 22 septembre 2024 - 22:26
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• comment se fait-il que l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
Pour toutes ces raisons je suis DFFAVORABLE à ce projet qui est un aberration de plus face à la crise climatique dont il ne fera qu'augmenter les effets.
N° 624 : 22 septembre 2024 - 21:57
Auteur : Elisabeth Goud
Son avis : Défavorable
On peut entendre que la ville manque de nouveaux logements, ou de logements sociaux. Mais ce quartier excentré ne me semble pas être la bonne réponse. Nous avons un magnifique centre-ville, déjà plusieurs zones commerciales peu esthétiques autour de la ville. Je ne trouve pas opportun de construire de nouveaux commerces à Saint-Christol. De plus cela va susciter de nouveaux déplacements en voiture, alors qu'il faut encourager les mobilités douces. Sans parler des sujets de l’eau potable, la bétonnisation de terres fertiles, le changement climatique et les risques d’inondation…
N° 623 : 22 septembre 2024 - 21:52
Auteur : Marine CAPDEILLAYRE
Son avis : Favorable
Je suis favorable au projet Saint Christol qui offrira de nouveaux logements, pour les particuliers qui souhaitent faire construire (mais qui aujourd’hui ne trouvent pas de terrain et sont obligés d’aller dans les communes environnantes), pour les primo-accédants qui auront la possibilité de rester vivre à PÉZENAS et de profiter de la qualité de vie ou pour les personnes qui attendent des solutions de logements sociaux.
Ce quartier semble avoir été pensé pour répondre aux enjeux actuels, en prévoyant des espaces publics aménagés et arborés et des équipements de proximité, ce qui évitera que cela devienne un quartier dortoir.
L’apport d’habitants bénéficiera également aux commerces locaux, aux écoles, au tissu associatif, et permettra de donner une nouvelle dynamique à la commune avec un rajeunissement de sa population.
N° 622 : 22 septembre 2024 - 21:50
Auteur : Isabelle Usson
Son avis : Défavorable
Monsieur le commissaire enquêteur, mon avis est défavorable au projet de l'ecoquartier de St Christol pour plusieurs raisons :
- l'artificialisation de terres agricoles alors qu'il faudrait soutenir l'agriculture locale et développer les circuits courts afin de favoriser l'autonomie alimentaire;
-l'artificialisation de terres alors que le réchauffement climatique accentue la sécheresse ; la betonnisation empêchant l'infiltration des eaux pluviales et entraînant le ruissellement non seulement renforcera la sécheresse mais aussi les risques d'inondation en cas de fortes pluies ce qui est de plus en plus le cas;
- le coût pour la commune, déjà bien endettée, de fortes dépenses de viabilisation et de voirie;
-la perspective d'embouteillages avec une augmentation de 17% du trafic routier
N° 621 : 22 septembre 2024 - 21:45
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Acte ecocide qui va détruire beaucoup d’espaces verts et qui va dénaturer un territoire
N° 620 : 22 septembre 2024 - 21:20
Auteur : Aline Minière
Son avis : Favorable
Vivement que tout soit fait
N° 619 : 22 septembre 2024 - 21:17
Auteur : Marion Dejeant
Son avis : Favorable
Ce projet est une bonne chose pour le bon développement de la ville de Pézenas.
N° 618 : 22 septembre 2024 - 20:50
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Si le projet est intéressant de par bien des points de vues, notamment relatif à son accès aux personnes les plus démunies à un logement de type HLM, le coût pour la nature est bien trop grand. La perte des champs alentours, utilisés pour servir de terrain à ces bâtiments qui dénatureront le charmant aspect de la campagne de Béziers.
N° 617 : 22 septembre 2024 - 20:49
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Ce projet représente une menace écocide.
N° 616 : 22 septembre 2024 - 20:41
Auteur : Margault Vanclef
Son avis : Défavorable
Ce projet dénature le paysage initial.
N° 615 : 22 septembre 2024 - 20:37
Auteur : GEORGES LOPEZ
Organisation : PARTICULIER
Son avis : Favorable
je tiens a me prononcer a double titre, le premier en tant que résidant du quartier saint Christol depuis 1992 et le second en tant qu'élu de l'équipe municipale majoritaire.
DEPUIS 1992 j'ai eu l'occasion de voir évoluer le quartier, la totalité était des terres agricoles dont la majeure partie des 24 hectares appartenait au même propriétaire.
A cette période ce propriétaire était déjà sous contrat avec un promoteur et bien-sûr on parlait déjà de ce quartier.
Assez rapidement au vu de la faible rentabilité de ce vignoble et avec la promesse que ce projet allait ce réaliser.
La quasi totalité des vignes ont été arrachées, ce qui a pour conséquence l' impossibilité de replanter de la vigne sur ces parcelles.
J' ai eu aussi le temps d'appréhender et de comprendre comment et pourquoi ce quartier s'inonde.
Par très forte pluie l'eau qui ruisselle du causse de l'Arnet vient heurter la ligne du chemin de fer qui fait office de digue, et comme la route nationale est aussi plus haute que les parcelles du quartier et n'ayant aucune structure pour évacuer l'eau, le quartier s'inonde.
Et depuis que j'y habite ce phénomène s'est produit a trois reprises , dont un plus important que les autres en octobre 2019.
Vous allez me dire pourquoi êtes vous favorable au projet de saint Christol.
Tout d'abord contrairement à la plupart des personnes qui ont émis un avis défavorable, moi comme vous l'avez compris j'habite le quartier depuis 33 ans.
Pour accéder chez moi je traverse le champ chaotique du voisin, je n'ai pas l'éclairage public, je n'ai pas le tout a l'égout, je n'ai pas l'eau de la ville , depuis 33 ans quant il arrive la fin aout, il faut que je me rationne drastiquement ,les ressources en eau sont pratiquement vide.
TOUT cela peut paraître charmant au début mais a la longue c'est très pesant.
En ce qui concerne le projet, il n'a plus rien avoir tel qu'on l'a trouvé en 2021.
Sans rentrer dans les détails, nous étions sur un projet qui ne proposait que des barres d'immeuble avec aucune vie de quartier en perspective.
De plus la Mairie, en l'état du dossier n'avait pas la main sur l'évolution possible du projet.
Après d'âpres discussions et ce rendant a l'évidence des problèmes financier induit par ce dossier, la décision d'assumer nos responsabilités a été prise.
Un autre projet a vue le jour totalement différent, après avoir pris la maîtrise, on a pu mettre l'accent sur la mixité, la convivialité avec plus d'espaces verts, d'aires de jeux et des services de proximité et surtout on a pu diviser quasiment par deux le nombre de logement.
la ressource d'eau chaude sera utilisée notamment sur le domaine saint Christol pour une station thermoludique.
N° 614 : 22 septembre 2024 - 20:36
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Est-il franchement raisonnable dans une commune extrêmement pauvre de créer un village dortoir , excentré d'une ville chargée d'histoire .
Cela va contribuer à sa paupérisation plutôt qu'à son éclat...
N° 613 : 22 septembre 2024 - 20:34
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je suis favorable à ce projet pour le développement urbanistique et économique de notre communauté.
N° 612 : 22 septembre 2024 - 20:29
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je pense que la création d'un nouveau lotissement sera un plus pour la ville.
N° 611 : 22 septembre 2024 - 20:27
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Le projet est écocide et ne transformera pas en bien la région. Sans parler de la durée des travaux et de l’impacte sur la biodiversité.
N° 610 : 22 septembre 2024 - 20:26
Auteur : eliane dusfour
Son avis : Défavorable
habitante du secteur ,voici les points qui me font donner un avis défavorable:
1)le bétonnage de st Christol plus le changement climatique risquent d'aggraver les problèmes d'inondation
2)l'augmentation du trafic routier peut poser problème au niveau du pont de Peyne et en ville (donc plus de frais)
3)désertification du centre ville ,et perte de commerces
4)plus de dépenses pour la commune pour absorber toute cette population en plus ,alors que nous sommes déjà une commune pauvre
5)avons nous vraiment besoin de cette population en plus alors que nous avons déjà loti pas mal de terrains (perte de terres agricoles)
6)les taxes foncières déjà très élevées vont -elles pouvoir absorber tout le surcoût que cela va induire ou faudra t il encore les augmenter?
N° 609 : 22 septembre 2024 - 20:25
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Ce projet écocide est catastrophique pour Pezenas et ses habitants. A l'heure actuelle un tel projet est totalement dangereux et d'une inconscience pure de la part des élus.
Ce projet est totalement suréaliste surtout s'il est créé sur la zone de St.Christol qui est protégé et est aussi sur zone inondable.
Re créer également une zone commerciale va tuer le centre ville...mais qu'attendent nos élus ??? La mort des commerçants??? Le désert des rues du centre ?? Totalement défavorable !!
N° 608 : 22 septembre 2024 - 20:20
Auteur : Cyrille DOLIN
Organisation : Particulier
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,
N° 607 : 22 septembre 2024 - 20:18
Auteur : Mia Kerridge
Son avis : Défavorable
Ce projet saint Christol porte atteinte à la nature et les beaux paysages qui composent notre si belle région. Non seulement est-il écocide, mais la réalité des choses montre la triste volonté de constamment bétonniser notre société. Pourquoi vouloir constamment agrandir Pézénas alors que le réseau routier est DEJA saturé ? Je dis STOP au projet Saint Chistol, rendez-nous notre belle nature et laissez nos champs et nos vignes tranquille !!!!!!
N° 606 : 22 septembre 2024 - 20:12
Auteur : Luigi Notarangelo
Son avis : Défavorable
J’aurai pensé que la ville aurait démarré son mandat par la déco striction de ce projet d’un autre temps.
Je crains pour l’impact de ce projet sur le ruissellement de l’eau pluviale et aggravant le risque d’inondation de la commune.
Cette « cité » en dehors de la cité ne fait pas sens pour moi. La modernité aujourd’hui pour moi est dans la revalorisation des centre villes, la proximité et le lien social. Saint Christol de répond en rien à cela, sinon artificiellement seulement.
Je suis sensible également à la participation citoyenne sur le sujet qui à mon sens n’a pas été réalisée de manière neutre, ni transparente, au contraire de manière pré convenue et dirigée.
Je suis très défavorable à ce projet.
N° 605 : 22 septembre 2024 - 20:12
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je suis favorable à ce projet qui permettra aux résidents de Pézenas de se loger plus aisément.
N° 604 : 22 septembre 2024 - 20:10
Auteur : Kanza Boutharouit
Son avis : Favorable
Bonjour,
J'envisage d'habiter à Pezenas et ce projet serait formidable pour ma famille et moi.
N° 603 : 22 septembre 2024 - 20:09
Auteur : Hamid El hadi
Son avis : Favorable
Bonjour,
J'envisage d'habiter à Pezenas et ce projet serait formidable pour ma famille et moi.
N° 602 : 22 septembre 2024 - 20:00
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Extrêmement favorable ! Ce projet permettra de pouvoir continuer de vivre et de se loger dans de bonnes conditions tout en restant à Pezenas.
N° 601 : 22 septembre 2024 - 19:54
Auteur : Ikram El hadi
Son avis : Favorable
J'ai entendu parler de ce projet que sera super pour accueillir des familles
N° 600 : 22 septembre 2024 - 19:50
Auteur : Abdelhamid Khayati
Organisation : Pezenas
Son avis : Favorable
Il faut plus d habitants dans la ville
N° 599 : 22 septembre 2024 - 19:41
Auteur : Marie Coulange
Son avis : Défavorable
A l'heure où j'écris ce message nous sommes encore en vigilance orange comme nous en avons l'habitude ici à cette période de l'année. Ce quartier de St Christol fait l'objet des images les plus impressionnantes lorsqu'il est inondé. Comment ignorer les aléas climatiques pour poursuivre un projet dépassé qui ne répond pas aux besoins des piscénois ? J'entends les arguments de cette course à la population, devenir toujours plus gros pour avoir toujours plus de financements mais jusqu'à quand et à quel prix?
Nous expliquerons à nos enfants qu'avant, là bas, il y avait des coquelicots et qu'il faisait bon aller s'y promener. On leur expliquera aussi qu'on pensait que poursuivre ce projet malgré tout semblait évident parce que l'on avait peur de devoir payer des amendes. Mais l'arrivée massive d'une population génère lui aussi un coût qu'il faut mettre dans la balance. Avant de lancer les travaux, peut-être faut-il clairement chiffrer les coûts en terme matériel et humain : Combien coûtent les créations de nouveaux axes routiers , de places de parking, d'entretien des routes qui devront subir plus de passages? Combien coûte l'arrivée de nouveaux enfants dans les structures scolaires de la ville qui sont déjà avec jusqu'à 36 enfants par classe? Est-il prévu des aménagements en piste cyclables supplémentaires alors que les garages à vélos se réduisent chaque jour comme peau de chagrin pour agrandir les terrasses des cafés? Si ces chiffres existent je ne les ai pas trouvé dans le projet pour comprendre son maintien .
Pézenas est une belle ville, authentique, avec des logements vacants en centre ville qu'il est urgent de rendre salubres pour accueillir cette nouvelle population. Nous avons tout autour de nous des villages qui se développent dans des quartiers neufs pendant que leurs centres se vident. C'est triste. Ils viennent alors chercher ici ce qu'ils ne trouvent plus chez eux. Et nous? où irons-nous chercher le vivre ensemble quand le centre se sera vidé au bénéfice de la périphérie?
N° 598 : 22 septembre 2024 - 19:41
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Extrêmement favorable à ce projet, notre ville en a besoin
N° 597 : 22 septembre 2024 - 19:39
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je suis très favorable à ce projet, nous en avons besoin économiquzment et socialement
N° 596 : 22 septembre 2024 - 19:36
Auteur : Alain Bousquet
Son avis : Favorable
Ce nouveau quartier permettra a la ville de Pézenas de se développer au niveau économique, de la diversité culturelle, et de la valorisation immobilière.
N° 595 : 22 septembre 2024 - 19:31
Cette observation a été classée comme doublon par le commissaire enquêteur.
N° 594 : 22 septembre 2024 - 19:30
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je souhaite ce nouveau quartier car je voudrais me reprocher de ma famille qui habite dans le secteur géographique.
La possibilité d’acquérir un terrain viabilisé pourrait me permettre la construction d’une maison.
Si je m’établis dans ce nouveau quartier, je vais m’y installer avec mon épouse et mes enfants.
N° 593 : 22 septembre 2024 - 19:28
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Ce nouveau quartier permettra a la ville d accroître l offre de logement et de stimuler l économie locale
N° 592 : 22 septembre 2024 - 19:26
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Bonjour,
je suis favorable à ce projet qui permettra un développement de la ville de Pézenas. Je pense vraiment que tout sera fait dans le respect de l'environnement.
Cela permettra aussi de répondre à la demande grandissante de logements et ainsi les retombées économiques seront non négligeables.
Il faut donc que ce projet puisse aboutir.
N° 591 : 22 septembre 2024 - 19:23
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je suis favorable à cela pour dynamiser un peu plus la ville et faire venir plus de famille.
N° 590 : 22 septembre 2024 - 19:23
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
D’un point de vu uniquement economique, du fait de la création de 655 logements, il est incontestable qu’il y aura des retombées économiques non négligeables autant pour tous les acteurs économiques de Pézenas, mais également pour la commune.
Le manque de logements sur le Piscenois est réel. Cela répondra à une forte demande.
Le centre ville de Pézenas étant en grande difficulté, il est souhaitable que ces futurs habitants consomment sur place.
Cela pose le gros problème des places de parking qui ne sont pas suffisantes actuellement.
C’est un réel problème.
Les consommateurs fuient le centre ville du fait de cette difficulté à trouver des places
Cela aggravera certainement ce problème, sauf si des navettes ou autres solutions sont prévues.
Les classes dans les écoles primaires, menaçant d’être fermées seront maintenues et de nouvelles classes seront créées. Cela est il possible par rapport aux infrastructures actuelles ?
La cantine du lycée étant déjà trop petite ….
Comment gérer la cantine avec la venue de nouveaux élèves ?
Des élèves en plus qui prendront les bus scolaires.
Des places en chèche déjà pas suffisantes.
D’un autre côté, ce sera une bonne chose pour les subventions allouées aux associations dont le montant peut dépendre du nombre d’habitants.
Il y aura également plus d’incivilités, …
Et bien d’autres préoccupations encore auxquelles je ne pense pas
Donc économiquement, il est inconstatable que c’est une excellente chose, attention à anticiper les problèmes énoncés et à trouver des solutions en amont.
D’un point de vu environnemental, ce n’est pas une bonne chose :
Disparition de terres agricoles et naturelles. Conséquences sur la faune et la flore.
Plus de pollution
Plus de circulation
Plus d’ordures, …
Compte tenu que Pézenas perd des habitants depuis quelques années, c’est un beau projet pour la ville tout de même !
N° 589 : 22 septembre 2024 - 19:23
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Cela va permettre a la ville de proposer de nouveaux logements, car il est difficile aujourd'hui de trouver de quoi acheter ou louer sur Pézenas.
N° 588 : 22 septembre 2024 - 19:22
Auteur : Leo Hocquard
Son avis : Favorable
Super projet qui participe au développement de la ville
N° 587 : 22 septembre 2024 - 19:21
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Pour me rapprocher de ma famille qui habite à Pezenas
N° 586 : 22 septembre 2024 - 19:18
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je suis favorable à ce projet, il va permettre à notre ville de grandir et enfin de se développer un peu plus
N° 585 : 22 septembre 2024 - 19:17
Auteur : Géraldine Bousquet
Son avis : Favorable
Je suis favorable à ce projet car il va amener un essor économique a notre ville en attirant de nouveaux résidents. ce qui signifie plus de consommateurs pour les commerces locaux.
N° 584 : 22 septembre 2024 - 19:14
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
C’est un projet intelligent et cohérent car il répond aux besoins en logements. Il prend en compte une urbanisation réfléchie et respectueuse de l’environnement.
N° 583 : 22 septembre 2024 - 19:05
Auteur : Marianne GENIEYS
Organisation : Domaine Le Fesq
Son avis : Défavorable
Je suis très défavorable au projet de construction dans le quartier de SAINT CHRISTOL à Pézenas. Pourquoi ? d'abord à cause de la bétonisation de 24 hectares de terre. Encore du béton, toujours du béton. Ne pouvons nous pas laisser nos terres aux abords des villes absorber l'eau de pluie, si rare en ces temps de sècheresse, qui contribuerait grandement au rechargement des nappes phréatiques. Et toujours en parlant d'eau, sachant qu'avec la sècheresse croissante, 2000 personnes de plus au minimum qu'il va falloir alimenter en eau sur le long terme. Comment allons nous fournir de l'eau à l'ensemble de la population piscénoise ? Où irons nous chercher de l'eau ? Quand à la station d'épuration, sera-t-elle suffisante pour recevoir les eaux usées de 2000 personnes de plus ?
Et enfin, pourquoi l'avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ??????
N° 582 : 22 septembre 2024 - 18:46
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
« Cette zone connaît déjà beaucoup d’habitations. Il n’est donc probablement pas incohérent de réfléchir à aménager un quartier surtout quand on connaît les difficultés à se loger à Pézenas. L’équipe municipale a donc essayé de faire aux mieux sur un dossier que le passé avait beaucoup préempté. »
N° 581 : 22 septembre 2024 - 18:11
Auteur : M Bedos
Son avis : Favorable
Ce projet est cohérent et va permettre un rééquilibrage des aménagements de la ville autour de son centre .
Il répond à un besoin de logements et permettra l’installation de nouvelles forces vives !! Rajeunissons la ville !
N° 580 : 22 septembre 2024 - 18:10
Auteur : jean-marc marcelino
Son avis : Défavorable
Bonjour,
Ce projet, imaginé depuis de très nombreuses années par la municipalité précédente n'est plus adapté aujourd'hui aux perspectives climatiques. En effet, la prise en compte de ces phénomènes par les différentes administrations est postérieure à l'élaboration du projet st christol qui d'une part ne répond plus aux contraintes actuelles du développement urbain et qui , d'autre part, ne va pas du tout dans le sens de l'agravement prévisible et irréversible des conditions climatiques auxquelles les mêmes administrations ne sont pas encore sensibilisées.
Ce projet va donc à contre sens des efforts gouvernementaux, locaux et sociaux, qui veulent préserver notre environnement afin d'offrir aux générations futures un avenir possible. Rien de moins !
Je suis donc défavorable à ce projet !
N° 579 : 22 septembre 2024 - 18:04
Auteur : Imane ouassaidi
Son avis : Favorable
Bonjour je suis jeune picsenoise le projet s est notre avenir
N° 578 : 22 septembre 2024 - 18:03
Cette observation a été classée comme doublon par le commissaire enquêteur.
N° 577 : 22 septembre 2024 - 18:03
Auteur : Abderrahman Ouassaidi
Son avis : Favorable
Bonjour je suis picsenois je suis favorable pour le projet
N° 576 : 22 septembre 2024 - 17:58
Auteur : Pierre GARCIN
Organisation : Architecte retraité
Son avis : Favorable
Architecte DPLG de 1977 à 2021 , je me suis installé sur Pezenas dès l'obtention de mon diplôme et pu voir et participer à l'évolution de la commune pendant ces 47 dernières années. Pezenas ville d'art et d'histoire était à mon arrivée peu étendue avec un manque de logements contemporains que.nous avons pu compenser lors de la création de la butte verte dans les.annees 80 suite à un plan.de référence accepté par la commune qui permettait des financements spécifiques pour la création de logements sociaux,
Cet aménagement a permi de répondre à un besoin et donner à.pezenas la.place de centralité qui était sienne , en parallèle un.plan.de restauration du patrimoine ancien avait été lancé. Cependant nôtre cité riche de son patrimoine et équipement à.vite été rattrapée par une.pression urbaine limitée par son PPRI et des difficultés économique sur un bassin territorial touché par.une précarité forte. L'équipe.municipale à tiré au mieux de Cette héritage pour.proposer un projet cohérent et respectueux de l'équilibre environnemental, pour pezenas et les générations futures le quartier saint cristal.doit se faire.
Pierre Garcin
Architecte retraité honoraire
N° 575 : 22 septembre 2024 - 17:53
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
N° 574 : 22 septembre 2024 - 17:49
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Ce projet d'envergure prend en compte une urbanisation douce et réfléchie, respectueuse du site. Il est nécessaire de favoriser ce type d'opération.
N° 573 : 22 septembre 2024 - 17:46
Cette observation a été classée comme doublon par le commissaire enquêteur.
N° 572 : 22 septembre 2024 - 17:45
Auteur : Leila ouassaidi
Son avis : Favorable
Je
N° 571 : 22 septembre 2024 - 17:33
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Le futur quartier de Saint Christol doit être construit pour agrandir Pézenas c'est un privilège d'avoir une telle extension une richesse pour sa création d'emploi,la campagne de Saint Christol appartient à Pézenas n'attendait qu'une autre ville se l'accapare exploiter Saint Christol pour le bien être des piscinois qui préféreront construire à Saint Christol qu'ailleurs beau projet
N° 570 : 22 septembre 2024 - 17:13
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
venant régulièrement à Pezenas depuis plus de 50 ans, je trouve très dommage et anti-écologique ce projet qui prévoit des constructions sur le parcours d'un torrent, qui -est cela encore plus en période de changement climatique - est susceptible aux inondations
je ne vois pas la necessité de construire ce futur lotissement, alors qu'il y a des centaines de logements vacants au centre ville
y aurait -il suffisamment d'eau potable pour une telle augmentation de la population?
est-ce que cela ne signifierait pas la mort du centre ancien de Pezenas?
N° 569 : 22 septembre 2024 - 16:48
Auteur : David Feschotte
Organisation : Les Joggeurs du 34
Son avis : Défavorable
On en veut pas pour plusieurs raisons valables
1) Déjà pour commencer par la base de la vie ( pas assez d’eau )
2) Ça fait disparaître des terres fertiles qui permettraient d’augmenter l’autosuffisance alimentaire de Pézenas et de ses alentours.
3) La faune et la flore va encore perdre du terrain et remplacer par du béton et du goudron qui va encore et encore bloquer l’eau à rentrer dans nôtre nappe.
4) Le centre ville actuel va mourrir et bien plus.
5) Les habitants du Saint Christol et alentours vont perdre leurs qualités de vie actuel
Etc….
La liste est longue….
NON NON à ce projet incompatible avec les villages et petites villes comme Pézenas…
N° 568 : 22 septembre 2024 - 16:14
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je suis Piscénoise et favorable a ce projet
N° 567 : 22 septembre 2024 - 16:10
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Un projet nécessaire! Dans le giron de Pézenas, aucun autre site n'est susceptible d'accueillir la demande de nouveaux habitants!
N° 566 : 22 septembre 2024 - 16:05
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Projet en cohérence avec la ville.
N° 565 : 22 septembre 2024 - 15:31
Auteur : Mathieu Bouchard
Son avis : Défavorable
Monsieur le Commissaire-Enquêteur,
Domicilié à Pézenas, adhérent du parti Les Écologistes, je tiens à exprimer mon opposition au projet dit de Saint-Christol.
Il s’agit d’un projet pensé dans les années 90, au siècle dernier. Initié dans une époque qui précède la prise de conscience de l’impact de l’étalement urbain sur l’environnement, le lien social et les finances publiques, il s’agit d’un projet daté mais surtout anachronique et dangereux pour l’avenir de la ville.
Les arguments relatifs aux « évolutions » ou aux « avancées » que la copie aujourd’hui présentée comprendrait par rapport aux premières esquisses ne constituent qu’un vernis qui ne saurait cacher l’essentiel : la bétonisation de 24 hectares de terres à potentiel agricole, la construction d’un quartier situé à l’écart du reste de la ville et une fuite en avant financière.
Ainsi, ce vernis, résultant certainement d’une démarche sincère visant à améliorer le projet autant que faire se peut, est au mieux un arrangement avec le réel qui tend à s’éviter la responsabilité d’une question difficile (comment mettre fin à un projet néfaste mais pour lequel la ville a déjà commencé à s’endetter ?), au pire un leurre ou une tentative de greenwashing pour rendre acceptable un projet dont l’évaluation ne résiste pas à l’examen. Quant à l’idée que ce projet aurait pu être pire, on ne saurait la ranger dans la catégorie des arguments !
Commençons par les effets sur l’environnement.
En soixante ans, l’emprise de la ville de Pézenas s’est fortement étendue au détriment des terres agricoles qui l’entouraient. C’est ce qu’on appelle l’étalement urbain, un phénomène qui conduit en France à la perte d’environ 6 000 km2 de sols tous les dix ans. Le projet de Saint-Christol, avec ou sans vernis, génèrera encore plus d’étalement urbain avec des conséquences à la fois globales et locales. Au niveau global, il entraînera une perte de biodiversité, génèrera des émissions de CO2 en plus et augmentera la consommation énergétique. Au niveau local, il renforcera les risques d’inondation en aggravant les risques de ruissellement dans un territoire soumis aux épisodes dits cévenols, accentuera le phénomène des îlots de chaleur urbains alors que l’espace méditerranéen est l’une des régions dans le monde où l’augmentation des températures sera la plus forte, alourdira les contraintes de déplacement des habitants et causera la destruction de sols à vocation agricole dans une région qui, constituant un étroit couloir entre la mer et les causses calcaires, en manque déjà.
Concernant les effets sur le lien social.
En soixante ans, l’urbanisation de Pézenas a plus que triplé alors que sa population a stagné, voire régressé. 6 530 habitants en 1954, 7 188 en 1962, 9 103 en 1968, 7 519 en 1982, 7 613 en 1990, 7 443 en 1999, 8 251 en 2010, 7 788 en 2021… Autrement dit, en s’étalant, la ville ne s’est pas agrandie, elle s’est plutôt diluée ou réorganisée. Dans l’histoire, les villes ont été des creusets, des lieux de rencontre ou de mixité qui ont permis de favoriser la mise en relation des individus, de créer des formes de cohésion et même d’encourager les idées nouvelles. À Pézenas, l’étalement urbain n’a pas généré de l’urbanité, elle l’a réduite et le projet de Saint-Christol, qui recouvre une zone séparée du reste de ville par des terrains inondables (à plus de 20 minutes à pied du centre-ville, va immanquablement aggraver la dilution spatiale de ville. Ainsi les effets de Saint-Christol ne seront pas limités à ce quartier, ils concerneront toute la ville et notamment le centre-ville qui (au mieux) continuera à se muséifier, la ville se spécialisant par zone (l’habitat et les activités productives dans les périphéries, l’offre de loisir ou touristique – artisanat d’art, restaurants, bars – dans le centre-ville).
Concernant les effets sur les finances publiques.
Pendant six décennies, l’étalement de la ville n’a pas permis de soutenir la démographie quand bien même l’Hérault est l’un des départements de France les plus dynamiques, passant de 471 429 habitants en 1954 à 1 201 883 en 2021. En revanche, les réseaux de la ville – routes, trottoirs, réseaux souterrains – se sont considérablement allongés et avec eux les coûts non seulement de réalisation mais aussi d’entretien ainsi que ceux qui leur sont corrélés (comme le nettoyage ou l’enlèvement des ordures). Les distances s’allongeant, les coûts liés au déplacement automobile se sont eux aussi aggravés : parkings supplémentaires, aménagement de ronds-points. Le projet de Saint-Christol s’apparente donc à une fuite en avant : alors que six décennies d’étalement urbain ont apporté la preuve qu’il ne suffisait pas d’urbaniser des zones périphériques pour augmenter la population, la ville s’oblige à créer et à entretenir de nouveaux réseaux. Or, l’observation montre, à l’évidence, qu’elle n’est déjà pas en capacité d’entretenir les réseaux actuels. Selon un jeu de vases communicants, il est donc à craindre que la création du quartier Saint-Christol ne déplace les moyens, aggravant la situation dans les quartiers aujourd’hui délaissés ou réduisant le niveau de service dans d’autres.
Les problématiques liées au parcours résidentiel et à la taille critique de la ville au regard de sa dimension de centralité sont des problématiques légitimes qui appellent des réponses. Mon propos n’est pas de figer la ville ni ses contours. Au contraire, il vise à dire que la ville, pour se ménager un avenir, ne doit surtout pas s’engager dans un projet venu d’une autre époque, tel que celui de Saint-Christol. Quand on est dans une impasse, il n’y a aucun mal à faire demi-tour, c’est toujours mieux que de foncer dans le mur. Même surmonté d’une jolie couche de vernis, un mur reste un mur.
Dans les observations déjà publiées, je lis, parfois très explicitement, que l’opposition au projet de Saint-Christol relèverait d’une posture dogmatique. Dans le débat public, on sait bien que les dogmatiques sont toujours les autres, et c’est donc une accusation à manier avec une infinie prudence. Si je n’aime pas manier ce terme, il me semble cependant important de préciser, et ce sera ma conclusion, que si dogmatisme il devait y avoir, il serait ici plutôt à chercher du côté de celles et ceux qui font fi de l’expérience et de la connaissance en s’obstinant dans une stratégie d’étalement urbain dont les dégâts sont aujourd’hui connus et documentés.
N° 564 : 22 septembre 2024 - 15:10
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Un projet intéressant qui mérite de se faire. Ma soeur y habite et je serais intéressée pour la rejoindre.
N° 563 : 22 septembre 2024 - 15:07
Auteur : Fatima Bouktab
Organisation : Particulier
Son avis : Favorable
Projet très ambitieux en espérant que le lieu sera desservie par des bus ou navette
N° 562 : 22 septembre 2024 - 14:55
Auteur : Thomas Guiraud
Organisation : Mairie de Pezenas
Son avis : Favorable
Plusieurs aspects bénéfiques à ce projet :
- augmentation de la population et donc croissance de la ville
- nouveaux terrains et appartements en vente
- projet retravaillé pour ne pas que le quartier soit éloigné de tout.
- en faire des terres d’agricultures serait potentiellement une bonne idée mais le projet de l’auribelle (La ville met à disposition des terrains agricoles pour cultiver) n’est pas complet et n’arrive déjà pas à trouver assez d’agriculteurs pour combler l’entièreté des parcelles.
N° 561 : 22 septembre 2024 - 14:52
Auteur : Geneviève Musso
Son avis : Défavorable
L'EAU est un bien rare et une priorité car elle représente et est LA VIE face aux dérèglements climatiques avec de plus fortes précipitations et des pénuries graves dues aux canicules à répétition qui vont s'accentuer dans l'avenir !
Face à la gravité de la situation la bétonisation est la pire des choses qu'il puisse être envisagé !
Ce qu'il faut c'est de la végétation pour à la fois maintenir les sols, faire de l'ombre tout en régulant l'arrivage massif de populations ! ... L'accroissement de la population ne fera qu'aggraver un problème déjà existant et resté sans réponses !
Favoriser l'agriculture respective de la nature et de l'environnement, question de santé et fiances publique aussi et de qualité de vie !
C'est donc du gaspillage de l'argent public et la mise en danger de la vie sur cet espace !
Ce projet irrespectueux et aberrant à la fois se doit d'être purement abandonné au profit de solutions durables ...
N° 560 : 22 septembre 2024 - 14:40
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je suis favorable.
N° 559 : 22 septembre 2024 - 14:25
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
C'est un lotissement qui mettra Pezenas en valeur.
N° 558 : 22 septembre 2024 - 14:24
Auteur : Jocelyne Witek
Son avis : Défavorable
Ce projet va à l'inverse des préconisations écologiques et de respect de l'environnement contemporains. De plus, comme beaucoup d'entre-nous, je réside ici parce que c'est une petite ville de moins de 10 000 habitants et que je peux trouver la nature à sa porte. Avec ce projet, cette ville ne correspondra plus à mon bien-être environnemental et je devrai en partir. Merci de votre attention .
N° 557 : 22 septembre 2024 - 14:23
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je suis pour ce lotissement sur la commune de pezenas
N° 556 : 22 septembre 2024 - 14:22
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
N° 555 : 22 septembre 2024 - 13:56
Auteur : Maryse Ragon
Son avis : Favorable
Avis très favorable
N° 554 : 22 septembre 2024 - 13:38
Auteur : Leo Hocquard
Son avis : Favorable
Super projet qui participe au développement de la ville
N° 553 : 22 septembre 2024 - 13:38
Auteur : Elisa Martinez
Son avis : Favorable
Projet intéressant
N° 552 : 22 septembre 2024 - 13:31
Auteur : Anaïs BOURGAIN
Son avis : Favorable
De plus en plus de jeunes désertent Pézenas pour des villages autour ou plus grandes villes faute de logement, ce quartier est une évidence pour les générations futures.
N° 551 : 22 septembre 2024 - 13:29
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Pézenas à besoin de reprendre une dynamique de croissance elle est en retard par rapport à des communes voisines
N° 550 : 22 septembre 2024 - 13:28
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je suis favorable pour ce projet
N° 549 : 22 septembre 2024 - 13:28
Auteur : Leo Hocquard
Son avis : Favorable
Projet très intéressant ! Il permettra le développement de la ville donnera accès à de nouveaux logements
N° 548 : 22 septembre 2024 - 13:12
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Beau projet
N° 547 : 22 septembre 2024 - 13:09
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
notre ville a besoins de grandire
N° 546 : 22 septembre 2024 - 13:08
Auteur : ISABELLE RAGON
Son avis : Favorable
C'est un projet qui répond aux forts besoins de logements des administrés, au besoin de développement d'activités économiques, tout cela dans le respect de l'environnement et dans un souci du vivre ensemble en toute convivialité.
Je suis très favorable à ce projet cohérent.
N° 545 : 22 septembre 2024 - 13:08
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
ce projet participe au developpement necessaire
N° 544 : 22 septembre 2024 - 13:03
Auteur : Afnane Lahbab
Organisation : Aucun
Son avis : Favorable
Je suis favorable au projet
N° 543 : 22 septembre 2024 - 12:56
Auteur : Amina lahbab
Organisation : Aucun
Son avis : Favorable
Je suis favorable au projet
N° 542 : 22 septembre 2024 - 12:54
Auteur : Afnane Lahbab
Organisation : Aucun
Son avis : Favorable
Je suis de Pézenas et je suis favorable au projet
N° 541 : 22 septembre 2024 - 11:59
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Dans ce projet, on parle de femmes, d’hommes, d’enfants et de familles qui cherchent à se loger. Il leur apporte des solutions quelle que soit leur condition économique et sociale.
N° 540 : 22 septembre 2024 - 11:58
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je suis favorable
N° 539 : 22 septembre 2024 - 11:56
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je suis favorable
N° 538 : 22 septembre 2024 - 11:55
Auteur : Soumia Belgnaoui
Son avis : Favorable
Bonjour je serai intéressé par ce proger
N° 537 : 22 septembre 2024 - 11:36
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
C’est un projet qui pourrait être un atout pour la ville de Pézenas. Dans un premier temps développer ce projet d’habitation dans un milieu naturel peut être bénéfique en terme de calme, silence et de tranquillité. Et cet endroit est le cadre idéal pour ces points forts.
De plus, une partie de la population piscenoise est contre car l’enjeu environnemental est pour eux une question majeur.
Donc essayons de réaliser un projet d’habitation écologique et naturel, comme sur les plans proposés.
À l’avenir cette zone, pourrait attirer des entreprises ce qui rendrait l’attractivité économique de la ville en phase de reprise.
En effet, ce projet d’habitation permettra de relier la ville avec son centre historique.
Au passage, ce projet pourrait être en réflexion pour optimiser la ZAC du mieux possible. La ville vieillit, il faudra penser aux infrastructures sportives de la ville. Essayons de mettre en place un deal avec le constructeur de se projet. Un exemple: "Vous construisez cette zone mais vous devez faire en sorte de nous construire un nouveau complexe sportif dans Pézenas avec peut être deux terrains de football qui pourrait servir à toutes les associations sportives de la ville et peut être un nouveau gymnase dernière génération."
Le projet d’habitation est pour moi une excellente chose pour la ville.
N° 536 : 22 septembre 2024 - 11:36
Auteur : Dalila Guerbaz
Organisation : Aucune
Son avis : Favorable
Je suis d avis favorable au projet
N° 535 : 22 septembre 2024 - 11:23
Auteur : Gaëlle M.
Son avis : Défavorable
Avis tout à fait défavorable pour toutes les raisons suivantes :
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 534 : 22 septembre 2024 - 10:59
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je suis tout à fait favorable au projet St Christol dans le sens où cela permettrait à la ville d'accueillir de nouveaux habitants ou tout au moins permettrait à certaines personnes de continuer à résider dans notre cité, au lieu de partir dans les communes voisines.En outre, il me semble que cela permettrait le développement de nouveaux commerces de proximité.
N° 533 : 22 septembre 2024 - 10:51
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je suis Piscenois, j’ai suivi les avancées, les réflexions, ce nouveau projet travaillé par l’équipe en place, et un projet responsable. Il répond à une demande croissante de nouveaux logements, de vivre ensemble, de responsabilité écologique. Partout, autour de notre ville, des lotissements voient le jour dans des petits village et ici, il ne serait pas permis de créer des lieux de vies innovants ? Qui sont ces personnes qui se mobilisent défavorablement, encore des personnes réfractaires au renouveau, sont-ils d’ici ?
N° 532 : 22 septembre 2024 - 10:45
Auteur : Rhizlane Moumen
Son avis : Favorable
Je suis pezenas
N° 531 : 22 septembre 2024 - 10:44
Auteur : BADEL MOUMEN
Son avis : Favorable
Je suis de Pézenas!
N° 530 : 22 septembre 2024 - 10:38
Auteur : Agnès GIZARD-CARLIN
Son avis : Défavorable
Monsieur le Commissaire enquêteur,
Ce n’est pas le manque de logements qui empêche la démographie de progresser (Faut-il vraiment que la population augmente sur notre ville ? Mais c’est un autre débat ???), mais les voies de communication : les rails qui passent à Pézenas et vont jusqu’à Montpellier, bassin d’emploi important pour les piscénois, sont désaffectés, mais sont toujours en place. Toutes les données et études de l’INSEE montrent que les foyers s’installent le long des voies de communication, notamment ferroviaires. En ce qui concerne Montpellier, aucune étoile ferroviaire autour de la métropole, accès très difficile voire impossible en voiture, et c’est très bien pour l’environnement. Mais à la seule condition que la population (travailleurs, personnes à mobilité réduites voulant se rendre dans les services de santé de la métropole par exemple, étudiants, …) ait une alternative : un TER ou RER qui relie Montpellier aux autres villes, notamment Béziers, sous-préfecture, et cela passe par Pézenas puisque les rails existent. Cela déchargerait la LGV (ancienne ou nouvelle).
Bien cordialement
Agnès GIZARD-CARLIN
Agrégée d’écologie
N° 529 : 22 septembre 2024 - 10:23
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Ce projet me parait plus raisonnable que celui présenté par l'équipe précédente. Il est plus écologique et il s'intègre bien à la périphérie de la ville ancienne. Par ailleurs, c'est une zone largement "mitée" et peu agricole depuis longtemps.
Il existe une large zone agricole dégagée à l'Auribelle et encore disponible pour une agriculture bio et raisonnée.
Ce projet évitera aux finances de la ville héritées du précédent mandat de rembourser une lourde dette et de la contraindre à une augmentation de la fiscalisation déjà lourde et peu attractive par rapport aux villages voisins.
Pour l'avenir, il faut absolument lutter contre le déclin démographique de la ville en attirant une population jeune, familiale qui peut s'y loger ce qui est actuellement impossible dans le centre ancien et qui la fait partir dans des lotissements de villages environnants.
N° 528 : 22 septembre 2024 - 09:56
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Permettre d'urbaniser 24 hectares de terres agricoles est une grave décision pour l'écosystème, pour les ressources en eau ainsi que pour l'autonomie alimentaire.
C'est pourquoi je suis défavorable à ce projet.
N° 527 : 22 septembre 2024 - 09:45
Cette observation a été classée comme doublon par le commissaire enquêteur.
N° 526 : 22 septembre 2024 - 09:44
Auteur : Lise Flores
Organisation : Eelv les ecologistes
Son avis : Défavorable
Betonisation = sécheresse + inondations
Ajoutons les impacts financiers sur la santé et notre cadre de vie : trafic routier + impact sur le commerce du centre ville + infrastructures nécessaires (écoles épuration...)
D'autres solutions sont possibles. 900 logements inoccupés selon l'INSEE
N° 525 : 22 septembre 2024 - 09:42
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Compte-tenu de la lourde dette à rembourser sur un projet hérité de la précédente équipe municipale et de l'état des finances encore fragile aujourd'hui et des possibilités fiscales des habitants de la commune.
Compte-tenu de la refonte de l'ancien projet pour un autre plus conforme aux exigences environnementales.
Ce projet pourrait stopper l'hémorragie des installations dans les lotissements exponentiels dans les villages voisins.
Compte-tenu de la possibilité d'augmenter une population de primo-arrivants qui ne peut être que bénéfique pour les effectifs scolaires et le maintien du fonctionnement des services de la ville.
Je suis favorable à ce projet.
N° 524 : 22 septembre 2024 - 09:30
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Bonjour , dans un contexte où la réflexion autour du « bien commun « et l’intérêt collectif manque de compromis et de nuance , je désire apporter un appui positif fait de confiance et d’espoir afin que les équipes municipales en place fassent au mieux de ce projet . Oui c’est un compromis avec des engagements anciens , oui il faut avancer et trouver un équilibre d’accueil de nouvelles familles en mal de se loger dans un souci écologique et environnemental « raisonnable « !… Trouvons des « terrains d’entente « autour des terrains d’une discorde parfois trop politisée ? Le bien vivre ensemble dans l’accueil ?!
N° 523 : 22 septembre 2024 - 08:56
Auteur : Jean-Luc MURCIA
Organisation : Groupe Scapin La France Insoumise Pézenas
Son avis : Défavorable
Monsieur le Commissaire Enquêteur,
Ce projet vieux de 25 ans, initié par l'ancienne municipalité est repris par la nouvelle, sans aucune concertation citoyenne, alors qu'elle s'y était opposée lorsqu'elle se trouvait dans l'opposition. Modifié à la marge, ce projet prévoit de construire 655 logements sur 24 ha de terres fertiles et d'accueillir 1200 habitants à l'horizon 2032.
Depuis le début, les insoumis-es du Piscénois sont opposés à ce projet d'un autre temps :
- Ecocide (bétonisation des terres, risque d'épuisement de la ressource en eau...)
- Dangereux économiquement (destruction de terres agricoles, perte d'autonomie alimentaire...)
- Dangereux socialement (risque de rupture sociale, paupérisation du centre ville...)
- Dangereux pour le coeur de ville (projet d'une halle commerciale de 2500 m2...)
- Dangereux pour la sécurité de tous les Piscénois (risques accrus d'inondation compte tenu de l'artificialisation des terres et du dérèglement climatique...)
Ce projet ne tient pas compte des enjeux actuels de préservation des terres, d'autonomie alimentaire, et de gestion durable des ressources.
A noter également qu'il est en complète contradiction avec la loi "Climat et Résilience" d'août 2021, qu'il va à l'encontre des recommandations du SCoT du Biterrois, et qu'il a recueilli un avis négatif de la part du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la ville de Pézenas.
Nous avons régulièrement alerté la population piscénoise en développant tous ces arguments dans plusieurs tracts distribués dans les boites aux lettres.
Nous avons transmis une contribution du Groupe Scapin (La France Insoumise du Piscénois) à la commission d'enquête sur la révision du PLU de Pézenas du 15 janvier au 15 février 2021.
Nous avons sollicité une entrevue auprès de Monsieur le Maire de Pézenas lors de laquelle nous avons proposé un moratoire afin de se donner le temps de réfléchir, avec la population, à un autre projet Saint-Christol qui tiendrait compte des aléas climatiques, respectueux de l'environnement, basé économiquement sur l'autosuffisance alimentaire, et socialement sur la solidarité. Un nouveau projet chiffré, tenant compte du montant du rachat des terrains, qui nous permettrait de comparer le différentiel des deux projets, avec in fine le choix des citoyens. Monsieur le Maire nous a répondu que cela était désormais impossible, compte tenu de l'avancement des engagements pris par son conseil municipal. De plus ce projet permettra de réaliser un de ses objectifs prioritaires: atteindre les 10 000 habitants.
Sans parler de l'objectif des 10 000 habitants qui nous semble faire débat, nous refusons évidemment toute forme de fatalité et nous sommes convaincus que rien n'est irrévocable. Il est possible et même nécessaire de construire un nouveau projet qui tienne compte des enjeux climatiques (inondations, dérèglement climatique, ressource en eau), qui garantisse notre autonomie alimentaire en sanctuarisant les terres agricoles, et qui permette le développement social et économique du coeur de ville (habitat, commerces...).
N° 522 : 22 septembre 2024 - 08:02
Auteur : Jean MAI
Son avis : Défavorable
Après avoir étudié les différentes composantes du projet, plusieurs points me semblent problématiques, tant sur le plan environnemental que social et patrimonial:
• Destruction d’espaces naturels menaçant la biodiversité locale.
• Artificialisation des terres agricoles dans un contexte où leur préservation est cruciale.
• Architecture du projet incompatible avec le patrimoine historique de Pézenas, risquant de dénaturer l’identité de la ville.
• Risques de saturation des infrastructures publiques (écoles, services, circulation) due à la densification excessive.
• Pression supplémentaire sur les ressources en eau, dans une région déjà soumise à des stress hydriques récurrents.
• Projet ne répondant pas aux véritables besoins locaux en matière de logement.
N° 521 : 22 septembre 2024 - 07:38
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
J’estime que pour le développement de Pézenas le futur quartier de Saint Christol devrait se construire afin que les habitants aient la possibilité de rester à Pézenas au lieu de partir dans les petits villages ceci créera de l’emploi il faut profiter de Saint Christol pour agrandir Pézenas ça ne fera que renforcer la dynamique de notre ville, beaucoup de piscénois reviendront s’installer dans leur ville natale.
N° 520 : 22 septembre 2024 - 01:47
Auteur : Agnès GIZARD-CARLIN
Organisation : Ecologiste
Son avis : Défavorable
Monsieur le Commissaire enquêteur,
- Bâtit-on un projet commun pour une ville pour une question d'argent? Est-on prêt à détruire des espaces naturels, riches de biodiversité, nécessaires à l'avenir de nos enfants, dans un contexte de dérèglement climatique majeur, pour rembourser des dettes à une autre collectivité territoriale, la Région Occitanie ?????
- Combien ce projet va-t-il couter aux piscénois en infrastructures nouvelles ? en budget de fonctionnement ? L'exemple du quartier des Mougères à Marseillan est un exemple local de déstructuration d'une commune, engendrant d'énormes surcouts aux contribuables de la ville.
- N'est-il pas plus judicieux de réhabilité des logements vacants du cœur de ville, plutôt que de bétonner et d’imperméabiliser davantage les terres autour de la ville ?
- Depuis 2011, Pézenas a artificialisé plus de 7 hectares de terres pour construire plus de 350 logements. Mais dans le même temps, la population de Pézenas n’a pas augmenté, elle a même parfois légèrement régressé. La densité de population a même diminué de 6 % sur cette période. Aussi, le procédé de construire de nouveaux logements pour augmenter la population n’a pas été efficace hier. Alors pourquoi le serait-il demain ?
- Quand les logements seront inondés, qui sera responsable d'avoir laissé construire des habitations sur ces terres inondées il y a moins d'une décennie, en 2019 ?
- Les infrastructures coûteront très chers aux contribuables avec comme souvent des dépassements.
- Cette zone de Saint Christol serait plus utile pour une utilisation maraîchère, afin d'augmenter les circuits courts et l'approvisionnement des citoyens et des élèves des cantines de la ville en nourriture de qualité.
- Les habitants de ces logements seraient contraints à une utilisation quotidienne de la voiture étant très éloignés du centre ville. L'impact sur l'environnement et la biodiversité serait important. Cela va encombrer un peu plus les routes, et entrainer des pollutions de l'air notamment.
- Si certaines personnes emménagent sur Pézenas, cela est sans aucun doute dû à une attractivité liée à différents points : dynamisme du centre ville (commerçants), qualité de la vie ( bourg central et tranquillité), bâtis historiques, vie associative et culturelle,...
- Favorisez la réhabilitation des logements anciens avant tout.
- Quels impacts sur l'ensemble du commerce du coeur de ville par la création d'une halle gourmande ? ce sera le même impact que celui déjà dénoncé pour le projet Bonneterre.
- Les agriculteurs et particulièrement les jeunes qui veulent s'installer manques de terre. 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
- Je ne suis pas sure que la construction d'un nouveau quartier bétonné, dans une zone inondable, suffise à attirer les jeunes, de plus en plus sensibles aux questions environnementales ?
-Au sujet de la compensation : nous savons démonter et remonter une voiture et la faire fonctionner, mais personne n'a jamais réussi à démonter un lapin, à le remonter et à le refaire fonctionner, ni même un écosystème ...
- Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
- Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
- Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
- Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…) ; de plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
- 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois.
- Comment pourrait être absorbé 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
- La création d’une Halle Gourmande à St Christol (1 700 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
- Comment seraient scolarisés les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
- Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville ?
- La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
- Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune ( notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de la Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
- Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas reste-t-il caché à la population et n’est-il pas joint au dossier ?
- Je cite la contribution à l’enquête publique sur le quartier Saint Christol à Pézenas, déposée par l’association « Pour Un Autre Projet Saint Christol » :
"Le projet prévoit l’artificialisation de 24 hectares de terres agricoles, ce qui est en contradiction avec la loi « Climat et Résilience » d’août 2021. Cette loi impose des restrictions strictes sur la consommation d'espaces naturels, limitant cette consommation à 3,24 hectares entre 2022 et 2031 pour la commune de Pézenas. L’artificialisation de terres agricoles à des fins immobilières va non seulement à l’encontre de cette loi mais également des recommandations du SCOT (Schéma de Cohérence Territoriale) du Biterrois, qui prône la réutilisation des friches urbaines plutôt que l’extension sur des terres non urbanisées. "
Conclusion :
Le projet de création d’un quartier de 700 logements à Pézenas pose de nombreuses questions quant à sa faisabilité, son impact environnemental et social, ainsi que les coûts pour la commune. Pour ces différentes raisons, non exhaustives, je dépose un avis DEFAVORABLE au sujet du projet Saint Christol.
N° 519 : 22 septembre 2024 - 00:26
Auteur : Stéphane Gizard
Son avis : Défavorable
Bien évidemment, des frais ont été engagés pour ce projet, et celui-ci semble sur le papier très alléchant. Mais, nous pourrions raisonner autrement et penser avant tout, à la réhabilitation des habitations anciennes avant de sur-construire, notamment sur une zone inondable. Les infrastructures coûteront très chers aux contribuables avec comme souvent des dépassements. D'après les commentaires, il est bien noté que cette zone de Saint Christol serait plus utile pour une utilisation maraîchère, afin d'augmenter les circuits courts.
Les habitants de ces logements seraient contraints à une utilisation abusive de la voiture étant très éloignés du centre ville. L'impact sur l'environnement et la biodiversité serait important.
Si certaines personnes emménagent sur Pézenas, cela est sans aucun doute dû à une attractivité liée à différents points : dynamisme du centre ville (commerçants), qualité de la vie ( bourg central et tranquillité), bâtis historiques, vie associative et culturelle,...
Favorisez la réhabilitation des logements anciens avant tout.
N° 518 : 21 septembre 2024 - 23:58
Auteur : Thibault Caylus
Son avis : Favorable
Bonjour
Au début du projet initial, j'aurais sans doute émis quelques réserves. Mais après sa révision beaucoup plus raisonnable, j'y deviens favorable.
....
L'arrêt de toute façon serait bien trop coûteux et je ne crois pas qu'économiquement notre belle ville puisse se le permettre. (il suffit de diviser le montant à payer en cas d'arrêt par le nombre de foyers fiscaux imposés pour le comprendre.)
Par ailleurs se loger sur Pézenas n'est pas chose facile, surtout avec une bonne accessibilité pour tous et un logement énergétiquement peu coûteux.
Le problème de l'eau lui est planétaire. Il va juste falloir apprendre à ne pas la gaspiller, y compris en agriculture.
Et puis existe-t-il d'autres alternatives raisonnables à proposer ?
À ce jour j'y suis donc favorable.
N° 517 : 21 septembre 2024 - 23:21
Auteur : Caroline Barrau
Son avis : Défavorable
Je suis défavorable à ce projet qui ne tient pas compte des enjeux écologiques actuels
N° 516 : 21 septembre 2024 - 22:03
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Un projet engagé depuis très longtemps sous les mandatures précédentes . Son annulation coûterait extrêmement cher à la ville. Pour supporter cette annulation de plusieurs millions les habitants devraient supporter une forte hausse de leurs impôts locaux.
Par ailleurs la démographie est en baisse à Pézenas, il ne peut y avoir de renouvellement de population car il n’y a plus de terrain constructible.ce qui implique une désertification de la ville donc une fermeture de classes de l’école primaire, des impôts locaux en baisse donc un entretien moindre de la commune, des commerces du centre ville en difficulté économique.
Une attraction moindre de la ville centre qui est Pézenas avec sa zone de chalandise.
Il y a nécessité absolue de créer un nouvel habitat diversifié avec du locatif, du social et de l’achat pour des primo accédants.
Devant cette carence les habitants se tournent vers les villages alentours qui voient un gonflement exponentiel de leurs lotissements et au détriment de leurs surfaces agricoles qui d’ailleurs ne trouvent pas preneurs .
Je suis donc favorable à ce projet qui ne peut plus être retardé sous peine du déclin de Pézenas
N° 515 : 21 septembre 2024 - 21:59
Auteur : Ayoub Selma
Son avis : Favorable
C’est un secteur primordial pour Pezenas
Saint CHRISTOL peu répondre à cela
N° 514 : 21 septembre 2024 - 21:26
Auteur : Véronique Bernard
Son avis : Favorable
L'équation est pourtant simple : La ville s'est endettée de 6 millions qu'il va falloir rembourser...Que de consultations, révisions, informations avons nous pu avoir déjà pour nous présenter et revoir le projet initial plutôt que de risquer de faire peser ce gigantesque trou dans les finances sur les impôts.. Allier l'écologie et les besoins de logements me semble réussi.La mixité de public attendu est équilibrée et permettra l'inclusion de certains :Trouver à Pézenas des logements PMR est impossible, et les personnes handicapées sont comme les personnes âgées (population vieillissante en hausse ) obligées de quitter leurs logements inadaptés sans solutions d'autonomie . La réflexion de mobilité douce pour rejoindre le centre s'intègre parfaitement à l'esprit de ce projet et du devenir de cette cité que nous aimons tous et voulons voir vivante et multiple.
N° 513 : 21 septembre 2024 - 21:12
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Intéressant dossier dans le Midi Libre du jour… cela relativise l’argument des terres agricoles… il y a des problèmes de marchés, de difficultés à trouver des jeunes agriculteurs et des questions de main d’œuvre.
Monsieur le Commissaire Enquêteur,
Le projet d'urbanisation de ce secteur arrive dans sa phase finale après bon nombre d'années d'études.
Celles-ci ont été faites en regard de la règlementation française respectent les procédures.
Ce projet devrait permettre à de nouveaux ménages de pouvoir s'installer sur le commune.
Immanquablement le tissus économique s'en trouvera renforcé et cela devrait permettre de pérenniser les commerces et les services sur la ville.
Cet apport de population complémentaire devrait aussi alimenter les écoles de la commune.
Ce projet me parait en tous points profitable à la commune et à ses habitants.
J'émets un avis favorable à ce dossier.
André BONNET
N° 511 : 21 septembre 2024 - 20:31
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Projet en cohérence avec la ville.
N° 510 : 21 septembre 2024 - 20:29
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Projet qui me semble cohérent par rapport au développement de futur de Pézenas
N° 509 : 21 septembre 2024 - 20:26
Auteur : georges BECIU
Son avis : Défavorable
Les agriculteurs et particulièrement les jeunes qui veulent s'installer manques de terre. 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
N° 508 : 21 septembre 2024 - 20:04
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Le nouveau quartier sera respectueux de l’environnement et bien intégré dans le paysage.
La création de nouveaux logements, permettra à de jeunes ménages de pouvoir rester sur la commune, mais également à des personnes qui apprécient les offres culturelles de la commune de s'y installer.
La ville de Pézenas s'en trouvera dynamisée.
N° 507 : 21 septembre 2024 - 19:12
Auteur : Manon Laget
Son avis : Favorable
La municipalité actuelle a hérité de cet épineux dossier et tente de le valoriser en y perdant le moins possible. Elle a retravaillé le projet pour qu’il soit le plus respectueux de l’environnement possible, et que ce nouveau quartier soit attrayant.
La ville de Pézenas a toujours été attrayante sur le plan culturel, il faut qu’elle le reste et qu’elle le devienne pour faire plus qu’y passer…
Elle doit donner envie aux gens de s’y installer ou d’y rester … quoi de mieux que ce nouveau quartier, proche de la ville et en même temps de la campagne.
Ce développement entraînera automatiquement un essor économique pour la ville.
N° 506 : 21 septembre 2024 - 19:04
Auteur : Remi Bouyala
Organisation : Maire de LÉZIGNAN-LA-CÈBE
Son avis : Favorable
Monsieur le Commissaire enquêteur,
Elu Maire de Lézignan-la-Cèbe depuis 2014, commune très proche en continuité territoriale et appartenant comme Pézenas à la communauté d’agglomération Hérault Méditerranée, je me permets de participer à l’enquête publique relative au projet d’aménagement de la ZAC Saint-Christol à Pézenas.
Pézenas en perte de population depuis quelques années doit engager une nouvelle dynamique démographique afin de maintenir ses structures de services (éducation, santé, administration, activités économiques, libérales, etc…) indispensables pour sa population et celle des nombreux villages de sa proche périphérie.
Je crains que de prolonger encore l’immobilisme ait des conséquences irrémédiables. Pézenas doit conforter son potentiel et son attractivité de centralité urbaine.
De nombreux concitoyens et activités de la ville bénéficient du développement de production de logements dans les communes proches, alors Pézenas doit prendre sa part dans cette amélioration et contribuer à une meilleure qualité de vie qui concerne aussi notre territoire.
Il apparaît que les contraintes financières induites par l’éventuel renoncement à ce projet auraient des conséquences insupportables pour les finances communales.
Ces dernières années les débats ont permis de considérer de nombreux avis sur tous les importants enjeux et, par une plus grande attention ils ont contribué à l’évolution qualitative du projet présenté aujourd’hui.
Parce que l’avenir des communes de notre territoire est aussi lié à la réalisation de la ZAC de St Christol, j’émets un avis favorable.
Je vous prie de croire Monsieur le Commissaire enquêteur à l’expression de mes sincères salutations.
N° 505 : 21 septembre 2024 - 19:03
Auteur : Gilbert Castineira
Son avis : Favorable
Le projet proposé par l'actuelle majorité municipale a été travaillé et retravaillé afin d'être le moins pire, et finalement ce projet est devenu très intéressant pour la ville de Pézenas, ses habitants, ses commerces. Pézenas doit se développer et gagner des habitants, ce projet rempli toutes les cases. Je suis extrêmement favorable à ce projet, à l'arrivée de nouveaux habitants, à donner à des Piscénois l'occasion d'accéder à la propriété. Tout cela en maintenant une belle biodiversité.
N° 504 : 21 septembre 2024 - 18:56
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Favorable à ce projet qui développera l'économie de la ville et offrira aux piscenois des logements supplémentaires
N° 503 : 21 septembre 2024 - 18:44
Auteur : Ayoub Selma
Son avis : Favorable
C’est un secteur primordial pour Pezenas
Saint CHRISTOL peu répondre à cela
N° 502 : 21 septembre 2024 - 18:36
Auteur : sandrine balboa
Son avis : Favorable
Je connais bien la problématique du logement social puisque j’y vis. Je trouve important de continuer à en construire dans un esprit de mixité et de vaincre les fantasmes et les peurs que certains entretiennent au sujet des logements sociaux. Ce projet réorienté et l’équipe qui le conduit en responsabilité vont dans le bon sens.
N° 501 : 21 septembre 2024 - 18:30
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Favorable.
N° 500 : 21 septembre 2024 - 18:19
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je pense que le projet de saint christol m, va permettre de relancer le vie économique de le ville de Pezenas, c est un bien pour tous les commerces et le développement de la ville qui ne faut pas l oublier fait partie des hauts lieux historiques de l Occitanie.
N° 499 : 21 septembre 2024 - 17:51
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
J’estime que pour le développement de Pézenas le futur quartier de Saint Christol devrait se construire afin que les habitants aient la possibilité de rester à Pézenas au lieu de partir dans les petits villages ceci créera de l’emploi il faut profiter de Saint Christol pour agrandir Pézenas ça ne fera que renforcer la dynamique de notre ville, beaucoup de piscénois reviendront s’installer dans leur ville natale.
N° 498 : 21 septembre 2024 - 17:20
Auteur : Danielle Descroix
Organisation : Habitante
Son avis : Favorable
Par expérience j'ai attendu pas mal de temps pour avoir un appartement. Pézenas est une ville attractive mais trop d'attente pour pouvoir se loger car loyer trop cher. Donc ce projet de quartier est une nécessité pour notre ville.
N° 497 : 21 septembre 2024 - 16:41
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Bonjour,
La qualité de ce projet réside dans sa concertation large avec les citoyens de Pezenas, avec les services de l'état. Les urbanistes, les naturalistes, les ingénieurs, les politiques ont fait un travail d'une grande richesse. L'urbanisme d'aujourd'hui réside dans la maitrise de l'étalement urbain, du maintien des terres agricoles arables, de la préservation de la biodiversité. Aucun de ces éléments n'ont été négligé dans ce projet, conçu au profit du citoyen.
La démographie augmente. L'accueil de tous est une priorité. Un toit pour tous est une nécessité. Ce projet respectueux du lieu et des modes de vies locaux doit vivre et faire vire. Il permet de maitriser et de calibrer l'étalement urbain trop longtemps méprisé par simplicité.
Saint Christol doit vivre et faire vivre
N° 496 : 21 septembre 2024 - 16:20
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Pour ce projet qui permettra à Pézenas de trouver une nouvelle dynamique économique et démographique.
N° 495 : 21 septembre 2024 - 15:58
Auteur : Nadège Benedicto
Son avis : Favorable
Étant donné le nombre toujours croissant d'habitants dans la commune de Pézenas, je suis favorable au projet st Christol, qui est un projet qui vise à respecter l'environnement dans lequel il sera implanté.
La situation géographique est idéale puisque proche du coeur de ville.
Il permettra aux habitants actuels et futurs de la commune, de vivre dans une zone périurbaine agréable, entourée de végétation, entre ville et campagne.
Il permettra aussi l'accès à la propriété à plusieurs familles et favorisera la mixité sociale et générationnelle.
Il favorisera aussi le marché de l'emploi grâce à la résidence senior et à la création de petits commerces de proximité.
N° 494 : 21 septembre 2024 - 15:10
Auteur : Manuel Bourgain
Organisation : Adjoint à la Vie Démocratique à la Ville de Pézenas
Son avis : Favorable
Je me permets d’intervenir en tant qu’Adjoint délégué à la vie démocratique.
Le Conseil citoyen de Transition écologique a été créé par une délibération du 6 décembre 2021 soit après les engagements pris par l’équipe municipale précédente sur le dossier Saint-Christol (convention et avenant avec l’EPF Occitanie en 2011 et 2014, SEMOP en 2019).
A la demande l’équipe municipale actuelle, lorsqu’elle a décidé d’ouvrir une procédure de ZAC pour que le Conseil municipal soit le plus souvent possible saisi du dossier Saint-Christol et gagner en transparence, elle a souhaité que le CCTE ait connaissance du projet et de ses différentes évolutions. Il n’a donc pas été saisi pour avis mais pour information et transparence.
Si les collèges associatifs et citoyens du CCTE ont souhaité formuler cet avis, ils l’ont fait et l’ont adressé, comme ils le voulaient, au Préfet du Département. Pour autant, ça ne rend pas cet avis contraignant (il n’est d’ailleurs pas prévu que le CCTE exprime des avis contraignants) et ça n’en fait pas une pièce obligatoire de l’enquête publique. Les membres de ces collèges pouvaient rendre leur avis publics, ce qu’ils ont fait à en lire les commentaires, souvent identiques, qui y font référence.
Rappelons ici les missions du Conseil citoyen de Transition écologique telles que définies dans son règlement intérieur : « Cette instance a pour objectifs d’associer les habitants à la vie de la commune, de favoriser le dialogue avec les élus, de faire appel aux compétences de la société civile et plus généralement, de faire vivre la démocratie locale en donnant la parole aux habitants :
Elle est force de proposition, elle doit être un lieu de débats, d’élaboration de projets, et de reconnaissance de l’expertise d’usage des habitants. Elle participe au débat public, éclaire les élus dans leur prise de décision politique et complète l’expertise technique des services. Elle joue un rôle consultatif auprès du Conseil municipal qui seul délibère.
Elle pourra être consultée pour toutes questions relatives aux questions de transition écologique sur notre territoire. Elle mobilisera l’expertise requise en son sein ou au travers de partenariats et formulera des avis, propositions ou recommandations qui seront présentés au Maire et aux élus référents dans le but, si besoin est, d’une inscription à l’ordre du jour du Conseil Municipal. »
Il n’y a donc pas à dévoyer le sens du CCTE et son rôle.
Manuel Bourgain
N° 493 : 21 septembre 2024 - 14:56
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je suis favorable à un projet qui permettrai à des gens de se loger dans de bonnes conditions. Il n’y a pas assez de logements dans cette ville à forte centralite
N° 492 : 21 septembre 2024 - 14:06
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je suis favorable à un projet qui permettrai à des gens de se loger dans de bonnes conditions. Il n’y a pas assez de logements dans cette ville à forte centralite
N° 491 : 21 septembre 2024 - 14:04
Cette observation a été classée comme doublon par le commissaire enquêteur.
N° 490 : 21 septembre 2024 - 14:03
Auteur : Anne-Izabel Le Clainche
Son avis : Défavorable
24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
J'habite chemin de Saint Christol . Régulièrement la Peyne et le Tartuguier sortent de leur lit et envahissent ma rue. Sortir est impossible et par deux fois l'eau est même entrée dans ma maison. Bétonner Saint Christol ne fera qu'augmenter la hauteur des crues.
Quand nous avons été confinés à cause de la covid Saint Christol, ses champs, sa nature étaient un des rares endroits accessibles pour les piscénois qui pouvaient venir y prendre l'air et se ressourcer.
J'ai des écureuils, des palombes, des mésanges, des chardonnerets etc....qui viennent dans mon jardin. Qu'en sera t'il quand il n'y aura plus de nature autour de moi?! Et il parait qu'il faut protéger la faune .
Quel besoin a Pézenas de ce type de constructions et de cette accroissement de population ?! Comment et par quelles voies ces nouveaux habitants vont-ils rejoindre Pézenas qui est déjà bien engorgée. Quand on arrive de la route de Nizas il est très, très compliqué de réussir à s'insérer dans la circulation pour aller en ville et encore plus pour aller vers Montagnac. Ne serait t'il pas plus judicieux de se pencher sur ce genre de problème plutôt que d'en rajouter ?!
Comment va t'on fournir aux nouveaux habitants l'eau nécessaire alors que la sécheresse est bien présente depuis plusieurs années et que nos nappes phréatiques ne sont plus jamais remplies ?!
Pourquoi créer une halle gourmande ? A part défavoriser encore une fois les petits commerçants du centre-ville, à quoi cela servira t'il, n'en avons-nous pas assez avec tous les grands magasins de toutes sortes qui se sont ouverts à Pézenas ?!
Combien cela va t'il finalement coûter aux piscénois qui vont très certainement voir leurs impôts augmenter pour financer tous les changements à faire : voirie, traitement des eaux usées, écoles dont le financement dépend de la Mairie etc....
Ne serait-il pas plus judicieux de penser à améliorer la vie quotidienne des Piscénois en repensant les carrefours situés autour du Pont de la Peyne, en favorisant des agriculteurs en agriculture raisonnée sur Saint Christol ou en créant un parc arboré digne de ce nom à l'image de celui du centre-ville, en refaisant les abords de la ville dont rien ne laisse deviner qu'elle est si belle quand on ne fait que la traverser plutôt que de penser à bétonner un lieu si beau et si paisible ? Quelle idée saugrenue, inutile, contre-productive et tout simplement aberrante !
J'ai choisi d'habiter Pézenas il y a trente ans pour sa qualité de vie de petite ville et déjà j'ai du mal à la reconnaître. Quand cet expansionnisme délirant va t'il s'arrêter ?!
N° 488 : 21 septembre 2024 - 13:17
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je vois que Saint Christol fait débat, je vais donc exposer mon avis et expliquer pourquoi je suis d’accord avec la réalisation de celui-ci.
Voilà des années que ce projet est dans les tuyaux, il a été retravaillé dans le respect environnemental afin de ne pas créer un nouveau bloc de béton éphémère et impersonnel, il sera une extension de notre si jolie ville car celle-ci a un bel avenir.
Si nous ne voulons pas que Pézenas soit en déclin mais soit pérenne économiquement, il nous faut des projets comme celui-ci pour faire évoluer et grandir notre ville. Nous devons penser au devenir de la ville car avec les nouvelles lois, St Christol est la seule occasion de légèrement se développer et ouvrir un champ économique tout en préservant notre centre ville.
Pézenas deviendra un terrain d’autant plus fertile à la jeunesse, car celle-ci périclite depuis quelques années, par manque de travail, d’immobilier accessible… en mettant à bien ce projet, cela permettra un retour de la jeunesse et une nouvelle dynamique pour cette superbe ville. Il est temps de faire évoluer notre patrimoine. ReFaire de notre Pézenas, le jaune d’œuf que Marcel Pagnol aimait tant, faire rayonner le pouvoir de notre ville.
N° 487 : 21 septembre 2024 - 13:00
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 486 : 21 septembre 2024 - 12:40
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Très beau projet, avec une approche innovante dans la protection de la faune et la flore environnante !
N° 485 : 21 septembre 2024 - 11:37
Auteur : ARNAUD LAGET
Son avis : Défavorable
L'artificialisation et la bétonnisation de ce secteur qui accueille notamment toutes les eaux d'écoulement et de ruissellement de l'arnet ne semble pas une être une bonne option et va provoquer des ruissellement d'eaux pluviales sur les quartiers en contrebas.
il ne parait pas judicieux de construire des habitation dans un tel secteur.
N° 484 : 21 septembre 2024 - 11:13
Auteur : Colette Descaves
Son avis : Défavorable
L’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition écologique de la ville de Pézenas doit être pris en compte
N° 483 : 21 septembre 2024 - 10:21
Auteur : ANNE SUTRA DE GERMA
Organisation : Mairie Pezenas
Son avis : Favorable
Je suis Elue depuis 2020 à Pézenas, en charge notamment de l'agriculture.
Je peux témoigner de notre volonté de reconquérir des terres agricoles. Pour cela, nous avons réalisé, en début de mandat, un diagnostic foncier agricole et nous remettons en culture, en partenariat avec Terre de Liens, 14 hectares à l'Auribelle.
Ce projet s'inscrit d'ailleurs dans le cadre de la compensation agricole liée au projet Saint Christol.
Nous continuons notre travail pour nous associer à la Communauté d'Agglomération Hérault Méditerranée, qui, dans son projet "Cap 2030" a fixé l'objectif ambitieux de reconquérir 200 hectares sur le territoire intercommunal. Il reste toutefois fort difficile de mobiliser de nouveaux agriculteurs vu le contexte climatique, politique (accords de libre échange), économique (revenus des agriculteurs).
Je veux également témoigner du travail accompli depuis 4 ans pour réorienter ce projet:
baisser le nombre de logements et en parallèle trouver un équilibre pour en proposer à ceux qui souhaitent vivre à Pézenas.
amener des activités économiques, nous avons 35% de chômeurs,
renforcer les innovations écologiques,
renforcer la place des espaces verts ou préservés,
prévoir de la mixité sociale et générationnelle,
afin qu'il puisse participer à relever certains enjeux auxquels la ville doit répondre.
Un enjeu de taille est aussi sécuriser la position financière et juridique de la commune par rapport à ce dossier, le coût pour la ville si le projet ne devait pas voir le jour n'est pas envisageable.
N° 482 : 21 septembre 2024 - 10:11
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 481 : 21 septembre 2024 - 09:58
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Ce projet me semble cohérent
N° 480 : 21 septembre 2024 - 09:56
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je suis favorable à ce projet
N° 479 : 21 septembre 2024 - 09:55
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je suis favorable à ce projet à St Christol
N° 478 : 21 septembre 2024 - 09:51
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je suis favorable à ça projet, qui va grandement aider la ville à se développer dans un zone propice et totalement adaptée.
N° 477 : 21 septembre 2024 - 09:51
Cette observation a été classée comme doublon par le commissaire enquêteur.
N° 476 : 21 septembre 2024 - 09:09
Auteur : François Rouet
Son avis : Défavorable
On arrête les projets écocides
N° 475 : 21 septembre 2024 - 09:07
Auteur : Dominique Langlois
Son avis : Défavorable
La destruction de terre cultivables est un non sens dans la situation climatique dans laquelle nous sommes (voir le dernier rapport du GIEC).La création de logements doit privilégier la réhabilitation d'anciens logements. L'utilisation du béton étant une source majeure de rejet de co2.
N° 474 : 21 septembre 2024 - 08:47
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 473 : 21 septembre 2024 - 08:14
Auteur : Jeanine Fradin
Son avis : Défavorable
Je me joins aux arguments du collectif des habitants . Je m'y retrouve dans ces divers aspects , dont l'alimentation qui nous construit .
Merci de votre attention
N° 472 : 21 septembre 2024 - 08:01
Auteur : Lucie Cobo
Son avis : Défavorable
Je cite la contribution à l’enquête publique sur le quartier Saint Christol à Pézenas, déposée par l’association « Pour Un Autre Projet Saint Christol » :
"Le projet prévoit l’artificialisation de 24 hectares de terres agricoles, ce qui est en contradiction avec la loi « Climat et Résilience » d’août 2021. Cette loi impose des restrictions strictes sur la consommation d'espaces naturels, limitant cette consommation à 3,24 hectares entre 2022 et 2031 pour la commune de Pézenas. L’artificialisation de terres agricoles à des fins immobilières va non seulement à l’encontre de cette loi mais également des recommandations du SCOT (Schéma de Cohérence Territoriale) du Biterrois, qui prône la réutilisation des friches urbaines plutôt que l’extension sur des terres non urbanisées. "
N° 471 : 21 septembre 2024 - 08:00
Auteur : Solène Theil
Son avis : Favorable
Je trouve que c’est une bonne idée pour dynamiser davantage la ville !
N° 470 : 21 septembre 2024 - 07:58
Auteur : Melanie Roque
Son avis : Favorable
Piscenoise, je trouve que ce quartier est une belle opportunité pour trouver un logement.
N° 469 : 21 septembre 2024 - 07:03
Auteur : Karsten Brandt
Son avis : Défavorable
Les ressources d'eau ne permettent pas ce mégaprojet de construction!
N° 468 : 21 septembre 2024 - 06:30
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Défavorable , hier les élus de la majorité actuelle qui étaient dans l'opposition étaient vents debout CONTRE le projet Saint Christol , aujourd'hui une fois élus et avec leurs supporters en renfort qui étaient CONTRE également, ils sont POUR !
j'adore la politique ......
N° 467 : 20 septembre 2024 - 23:58
Auteur : Annick Magaud
Son avis : Défavorable
C'est aberrant de supprimer des hectares de terres agricoles.
Pourquoi construire de nouveaux logements alors que de nombreux logement du centre ville sont vacants et devraient être rénovés ?
La création de la Halle gourmande portera préjudice aux commerces du centre- ville dont les habitants ont besoin.
Le trafic routier va encore augmenter.
N° 466 : 20 septembre 2024 - 23:43
Auteur : Christine Boutrin
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 465 : 20 septembre 2024 - 23:33
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
stop au béton !!!...
N° 464 : 20 septembre 2024 - 22:25
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Aucun agriculteur ne veut s'installer à cet endroit ! Il faut des logements !
N° 463 : 20 septembre 2024 - 22:22
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Manque criant de logements à Pézenas.
N° 462 : 20 septembre 2024 - 22:14
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
La municipalité en place a hérité de ce projet lors de son élection.
Pour ne pas mettre en banqueroute la commune, le dossier a été retravaillé de façon à correspondre à des besoins plus adaptés de la ville ( réduction du nombre de logements, réflexion autour de construction plus écologique faisant une large place aux ecomobilite )
La ressource en eau qui est le principal argument des anti st christol a été étudié réfléchi mesurée et calculée ( et pas prédit ou lu dans le marc à cafés comme le prédisent les anti st christol sur des bases inconnus …)
Ceux qui sont contre la construction de nouveaux logements sous prétexte que les gens devraient habiter les logements vacants du centre ville sont les mêmes qui habitent des villas avec jardin dans des lotissements résidentiels non confrontés à ces problèmes et qui n ont sans cesse de se plaindre.
Cela même qui se plaigne Qu il n y a pas assez de pistes cyclables pour relier le centre ville ne se réjouissent même ps qu un quartier puisse être penser avec des éco mobilités ils préfèrent rester contre contre contre
Ceux qui pensent que les terres de st christol doivent être destinées au maraîchage pour nourrir la ville , là encore belle utopie, il s agit de personnes retraités pour la plupart non agriculteurs qui n’ont que des notions théoriques sur l’agriculture
Quand à ceux qui s’opposent au projet qui n’habitent pas Pezenas ceux sont les mêmes qui se plaignent de ne pas pouvoir habiter pezenas faute de logements…
Le serpent qui se mord la queue…
Donc pour une fois , Qu un projet est réfléchi en terme de logements , de mobilité , d installation qui va permettre de palier au manque crucial de logement à Pezenas tous en favorisant les échanges avec le centre ville on ne peut être Qu être pour et donc FAVORABLE
N° 461 : 20 septembre 2024 - 22:09
Auteur : Samira Khayati
Son avis : Favorable
Je trouve super qu'il y ai projet comme celui ci à Pezenas. J'étais intéressée par ce lotissement pour faire un projet de construction. Cela permet à la ville dd s'agrandir, d'améliorer les infrastructures, de faire grandir les effectifs des classes...
N° 460 : 20 septembre 2024 - 21:58
Auteur : Laurie Hawkes
Son avis : Défavorable
La bétonnisation est une pratique du passé, on ne devrait plus y avoir recours nulle part. Sauver la terre est urgent!
N° 459 : 20 septembre 2024 - 21:38
Auteur : Nicole Vicente
Son avis : Favorable
Ce projet va répondre à la forte pénurie de logements sur la ville.j apprécie la mixité sociale qui est proposée :pour les seniors,pour les familles,pour les primo accedants en appartements, en parcelles à batir en résidences pour personnes âgées. Fini le tout béton
.des espaces vegetalisés,l accent mis sur le bien vivre ensemble dans un environnement apaisé.
N° 458 : 20 septembre 2024 - 20:11
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
En espérant que ce nouveau quartier soit très très arboré, respectueux de l'environnement.
N° 457 : 20 septembre 2024 - 20:04
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Totalement défavorable , ça suffit la bétonisation
N° 456 : 20 septembre 2024 - 19:53
Auteur : Nadia Bentahar
Son avis : Favorable
l’une des vocations de St Christol est de faire vivre les différentes générations dans un lieu apaisé et source de bien-être, de travailler sur la mixité sociale et le bien-vivre ensemble .
N° 455 : 20 septembre 2024 - 19:48
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
La plupart des réponses aux interrogations et inquiétudes des opposants du projet sont disponibles sur les différents dossiers en ligne.
Mais quand on veut tuer son chien, on dit qu'il la rage...
Messieurs dames les détracteurs, prenez le temps de lire les dossiers qui représentent plusieurs années de travail et de concertation réalisé par des professionnels.
Ce projet sera exemplaire. J'y suis favorable.
N° 454 : 20 septembre 2024 - 19:46
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Manque criant de logements à Pézenas.
N° 453 : 20 septembre 2024 - 19:40
Auteur : Denise Vidal
Son avis : Favorable
Merci de noter que je suis favorable à ce projet.
Tous les arguments ont déjà été donné dans les commentaires favorables.
N° 452 : 20 septembre 2024 - 19:40
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Pour, bien évidemment
N° 451 : 20 septembre 2024 - 19:39
Auteur : Marie ange CALVO
Son avis : Favorable
Je suis favorable à ce projet.
N° 450 : 20 septembre 2024 - 19:34
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Enfin un joli projet sur Pezenas, qui va dynamiser le territoire, pourquoi être toujours dans le négatif, vu les avis défavorable des gens n habitant ni a pezenas ni dans l herault. appel urgent a un modérateur ? sinon enquête publique détournée ?
N° 449 : 20 septembre 2024 - 19:31
Auteur : Roberto BRACCO
Son avis : Défavorable
Il faut limiter très sérieusement l'artificialisation des sols,et même l'interdire carrément dans certaines zones pour des raisons de plus en plus évidentes... bétonner une surface comprenant des terres agricoles et risquer une surconsommation d'eau alors que cette ressource vitale se raréfie est un non-sens absolu .
N° 448 : 20 septembre 2024 - 19:21
Auteur : Garance Schvartz
Son avis : Défavorable
Monsieur le commissaire enquêteur,
Plusieurs questions me turlupinent quant à ce projet :
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’un stress hydrique majeur dans nos régions, pensez-vous qu'il serait aisé de fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous la chercher ?
• A-t-on la certitude que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui est aujourd'hui inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux·elles élèves (particulièrement du primaire, dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre-ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Dans le cas contraire, que se passerait-il alors ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a-t-il pas été pris en compte ?
Je vous remercie par avance e bien vouloir prendre le temps de chercher à trouver les réponses à toutes ces questions, et à vous assurer que votre décision sera faite en vertu du bien-être de toutes et tous.
Cordialement,
N° 447 : 20 septembre 2024 - 19:12
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Il me semble que le développement de ce projet, nécessaire pour répondre aux enjeux démographiques du piscénois, a été vertueux, transparent et la SEMOP en est la première des garanties. Pour une fois on laisse le pouvoir public avoir son mot à dire!
Au delà des clivages politiques, des guerres de clochers, du protectionnisme du cadre de vie, de la frilosité anxiogène, ce projet permettra un développement harmonieux et raisonné de Pézenas en comblant une dent creuse affreuse et en limitant les impacts, nombreuses études à la clé me semble t-il.
Je suis donc clairement favorable à ce programme, le seul ambitieux depuis bien longtemps dans une ville qui dort depuis de trop nombreuses d'année. Bravo à ceux qui se battent pour ce projet!
Christian
N° 446 : 20 septembre 2024 - 19:08
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Je suis défavorable à ce projet car il s'agit une fois de plus de détruire des terres agricoles au grand mépris des générations futures. il existe suffisamment de zones en tout genre à réhabiliter pour le logement ou la petite industrie.
La création de ces zones , censées créer de l'emploi se révèlent la plupart du temps des gouffres financiers à long terme lorsque tous les calculs sont faits .: On ne crée pas de richesse en dépensant des millions d'euros pour quelques dizaines d'emplois.
L'endettement des collectivités territoriales est dramatique et ces " investissements " ne sont qu'une fuite en avant de la dépense publique.
Réhabilitons, améliorons ce qui existe déjà: la nature nous le rendra!
N° 445 : 20 septembre 2024 - 19:02
Auteur : Bruno Toussaint
Son avis : Favorable
Encore un minorité d'opposants qui font tout pour que des projets de qualité voient le jour.
Détracteurs passez votre chemin et laissez le territoire bénéficier de cette opportunité.
Bruno !
N° 444 : 20 septembre 2024 - 18:59
Auteur : francoise roussel
Son avis : Défavorable
bonjour,
à l'heure du changement climatique et alors que la population de Pezenas a rendu un avis négatif, il me semble tout à fait inadéquat de réaliser un tel projet!. L'alimentation en eau est déjà très incertaine et des terres agricoles vont être sacrifiées, c'est un peu l'utile et le nécessaire contre le secondaire et le futile qui se joue une fois de plus et contre l'avis des locaux!!
Bref, la population en a marre d'être consultée pour rien et des projets hors contextes actuels sont complètement dépassés. Il nous faut protéger les ressources en eau,en biodiversités et en terres agricoles qui sont notre Avenir commun et changer, enfin, notre accaparement du vivant sous toutes ses formes.
Cordialement
N° 443 : 20 septembre 2024 - 18:58
Auteur : Julien Martin
Son avis : Favorable
Les avis favorables semblent orchestré par des entités qui ne connaissent pas du tout le sujet.
L'avenir de l'économie locale dépend de ce projet.
N° 442 : 20 septembre 2024 - 18:57
Auteur : Jean-Pierre Cadre
Son avis : Favorable
Je souhaite bien construire et bénéficier de ces opportunités foncières.
JE suis favorable.
N° 441 : 20 septembre 2024 - 18:51
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Très beau projet.
N° 440 : 20 septembre 2024 - 18:49
Auteur : Odile Deray
Son avis : Favorable
Beaucoup de commentaires de personnes qui ne connaissent pas le dossier.
Ce projet est exemplaire.
N° 439 : 20 septembre 2024 - 18:43
Auteur : Patrice Vert
Son avis : Favorable
Le projet est essentiel pour le territoire.
N° 438 : 20 septembre 2024 - 18:40
Auteur : Gérard Bouchar
Son avis : Favorable
Ce projet répond au besoin urgent de logements et dynamise l'économie locale. Il respecte les normes environnementales, assurant un développement durable.
Je soutiens pleinement cette initiative pour Pézenas.
N° 437 : 20 septembre 2024 - 18:32
Auteur : Jean-Luc MURCIA
Son avis : Défavorable
Monsieur le Commissaire enquêteur,
Je vous fais part de mon opposition à ce projet que je considère :
- Ecocide (bétonisation des terres, risque d'épuisement de la ressource en eau...)
- Dangereux économiquement (destruction de 24 hectares de terres agricoles, perte d'autonomie alimentaire...)
- Dangereux socialement (risque de rupture sociale, paupérisation du centre ville...)
- Dangereux pour le centre ville (projet d'une halle commerciale de 2500 m2 sur le site...)
- Dangereux pour la sécurité de tous les piscénois (risques accrus d'inondation compte tenu de l'artificialisation des terres et du dérèglement climatique, augmentation de 17% du trafic routier en ville...)
Pour conclure, il s'agit d'un projet d'un autre temps, qui ne tient pas compte des enjeux actuels de préservation des terres, d'autonomie alimentaire, et de gestion durable des ressources. Un projet en complète contradiction avec la loi "Climat et Résilience" d'août 2021, qui va à l'encontre des recommandations du SCoT du Biterrois, et qui a recueilli un avis négatif de la part du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la ville de Pézenas.
N° 436 : 20 septembre 2024 - 18:30
Auteur : Patricia RUBIROLA
Son avis : Défavorable
Comme le Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas dont l'avis n'a pas été pris en compte, je suis défavorable au projet de bétonisation de Saint Christol.
Cet hiver, des villages aux alentours de Pézenas ont été approvisionnés en eau par camions-citernes. Il est aberrant compte-tenu du manque d'eau et de la sécheresse d'augmenter la population de Pézenas. Avec une hausse de la population, comment et où se procurerait-on les ressources en eau ? Ce projet pourrait provoquer des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins.
En outre, ce projet entraînerait la destruction de 24 hectares de terres agricoles fertiles, ce qui réduirait l’approvisionnement alimentaire du Piscénois, aujourd'hui inférieur à 8%.
N° 435 : 20 septembre 2024 - 18:24
Auteur : René AZEMAR
Organisation : Particulier
Son avis : Favorable
Pézenas est une ville pleine de charme et qui dispose de nombreux atouts.
Mais le manque de foncier, et les prix prohibitifs du marché de l’immobilier en lien avec la rareté de l’offre, en font une ville où il est très difficile de s’installer… sauf à jouir de la transmission familiale d’un patrimoine bâti ou à bâtir : faut-il se résigner à cette situation ?
Au-delà de cette injustice sociale qu’on ne peut cautionner, cet état de fait présente un réel danger pour la ville : Pézenas perd des habitants, alors que tous les villages alentour voient leur population augmenter.
Le projet d’urbanisation de Saint Christol, dans sa nouvelle configuration, permet l’accès au logement du plus grand nombre, et garantit à Pézenas le développement qui est indispensable pour lui assurer un devenir qui soit dans la continuité de son rayonnement passé et actuel : je suis favorable à sa réalisation.
N° 434 : 20 septembre 2024 - 18:00
Auteur : CHRISTINE DUCHON
Son avis : Défavorable
Le projet de ZAC Saint-Christol, tel qu'il est proposé, suscite de nombreuses
critiques, tant du point de vue de la gestion de l’urbanisation que de son impact
environnemental. Pour preuve :
- La lettre du Ministre de la Transition Ecologique et de la Cohésion des
Territoires reçue par le collectif et favorable à nos analyses.
- L’analyse critique du projet par la MRAE en 2023 et l’avis défavorable du CNPN
(Conseil National de la Protection de la Nature)
- Les plus de 4100 signatures recueillies dans la pétition « Stop au projet
d’urbanisation Saint Christol de Pézenas »
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
En conclusion, le projet de la ZAC Saint-Christol est perçu comme mal adapté aux
enjeux actuels de préservation des terres, d’autonomie alimentaire, et de gestion
durable des ressources.
Les habitants et les associations locales demandent une révision profonde de ce
projet pour mieux s’inscrire dans les objectifs de sobriété foncière et de résilience
face aux défis climatiques.
Et dans l’immédiat, une étude sérieuse d’alternative à l’artificialisation de
terres agricoles pour être conforme aux directives en vigueur.
N° 433 : 20 septembre 2024 - 17:58
Auteur : Marie-Hélène CHASSAGNE
Organisation : conseillère municipale Pézenas
Son avis : Favorable
En tant qu'élue de la majorité municipale, je tiens à témoigner du travail accompli depuis 4 ans pour réorienter ce projet, afin qu’il réponde aux enjeux auxquels notre ville est confrontée, tout en sécurisant la position financière et juridique de la commune.
Nos efforts se sont traduits par une volonté de réduire le nombre de logements, d'introduire de nouvelles activités, de renforcer les innovations écologiques et d'accroître la présence d'espaces verts ou préservés.
Face à l'augmentation des demandes de logements sociaux et à la pression exercée sur les classes moyennes, qui se voient poussées vers d'autres villages, comment garantir la centralité de Pézenas dans les années à venir ?
En tant que vigneronne, attachée à la préservation des terres agricoles, je tiens également à préciser face à l'argumentaire de la bétonisation à outrance que nous avons rendu près de 14 hectares à l'agriculture nourricière à l'Auribelle. Par ailleurs, sur les 24 hectares du projet Saint-Christol, 53 % seront des espaces verts.
N° 432 : 20 septembre 2024 - 17:54
Auteur : Simone PAGANO
Organisation : Défenseur de l'environnement
Son avis : Défavorable
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
N° 431 : 20 septembre 2024 - 17:50
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Un projet qui se révèle plus vertueux à long terme que la plupart des zone sclérosées par le mitage urbain. je suis favorable
N° 430 : 20 septembre 2024 - 17:48
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Pas moins de 5 séances du Conseil Citoyen de Transition Ecologique ont été consacrées à St Christol. Agents et élus de la ville ont répondu précisément à toutes les questions posées par ses membres en toute transparence. Certains membres du Conseil ont émis un avis défavorable, d'autres non. C'est un lieu de débats, de propositions. Beaucoup de personnes le cite dans leur contribution sans en faire partie et sans en connaître le rôle. Peut-être n'ont-ils pas de bonnes informations ? Hérité de la municipalité précédente, le projet de St Christol a été retravaillé et ne ressemble plus au projet initial. J'habite Pézenas et je suis favorable à cette nouvelle version. Il me semble que de nombreux de contributeurs ne sont pas Piscénois, mais amis d'opposants au projet.
N° 429 : 20 septembre 2024 - 17:29
Auteur : MME BARBEL
Organisation : M
Son avis : Défavorable
non à la destruction de 24 hectares de terres agricoles
N° 428 : 20 septembre 2024 - 17:15
Auteur : FREDERIC BALSEGUR
Organisation :
Son avis : Favorable
L’élaboration du projet du quartier de Saint Christol a fait l’objet d’une analyse détaillée de l’état initial de l’environnement, des composantes physiques, naturelles, et du cadre de vie. Cette dernière a conduit à la mise en évidence des grands enjeux environnementaux, qui ont dirigé l’ensemble de la conception de la ZAC, des phases chantier et exploitation au suivi de l'efficacité des mesures dans le temps :
- La limitation de la consommation de l’espace et la non artificialisation des sols ;
- La protection et l'intégration de la biodiversité ;
- L’insertion paysagère du projet ;
- La préservation de la ressource en eau et la réduction de l’exposition au risque inondation ;
- La limitation de la production de gaz à effet de serre et de la pollution de l’air par la gestion des déplacements.
A la lecture des propos relatés par toutes les personnes défavorables au dossier mettant en avant la destruction d’espaces naturels et la bétonisation à outrance, je ne peux que m’insurger contre la levée de bouclier des opposants au projet qui, quelque soit le projet ou les mesures de préservation qui leur seraient proposées, seraient toujours contre tout projet d’urbanisation.
J’invite donc toutes personnes qui douteraient du bienfondé du dossier à se pencher sur le dossier d’évaluation environnementale.
Il convient aussi de rappeler que la tension immobilière dans notre région ne permet qu’aux foyers les plus aisés de se loger dignement. Le problème n’est pas près de s’atténuer si tous les nouveaux projets offrant de la mixité sociale sont systématiquement mis à mal avec ce type d’opposition.
N° 427 : 20 septembre 2024 - 17:02
Auteur : Laurent MISEREY
Son avis : Favorable
Administré de la commune de Nézignan l'Évêque et ayant habité Pézenas jusqu'en 2008, je me permets de contribuer à cette enquête publique.
Travaillant sur la commune de Florensac en tant que Directeur Général des Services et ayant travaillé à la Communauté d'Agglomération "Hérault Méditerranée" pendant près de 20 ans, je pense être assez légitime pour évoquer ce projet d'aménagement et les enjeux qu'il porte pour le territoire du Piscénois et même au-delà.
Depuis de nombreuses années ce projet a muri, porté par les municipalités successives qui voyaient toutes des points positifs pour le territoire en termes de logements bien évidemment mais aussi d'offre de services pour permettre que Pézenas puisse continuer à jouer ce rôle central dans le territoire du piscénois élargi.
Offrir plus de services à sa population et aux populations environnantes, accueillir de nouveaux habitants et accroitre ainsi les recettes fiscales c’est ce que doit permettre l’émergence d’un tel projet aussi structurant que garant de son attractivité et de son dynamisme.
Le territoire a la possibilité, unique à mes yeux, de construire un espace capable de proposer à une population jeune et en quête d'opportunité foncière un creuset regroupant tout un panel de services adaptés aux attentes des populations du vaste bassin de vie qu'est le piscénois (collégiens, lycéens, travailleurs, retraités, etc.).
J'espère que ce modeste témoignage contribuera, à son niveau, à aider l'émergence de ce projet.
N° 426 : 20 septembre 2024 - 16:46
Auteur : Helene Marie Colette Jeanne Rullon
Son avis : Défavorable
il faut penser à long terme m oins de béton +de gazon (c'est pour la rime)
N° 425 : 20 septembre 2024 - 16:46
Auteur : Marie FERNANDEZ
Son avis : Défavorable
Nouvelle arrivante à Pézenas depuis 2 ans, j'ai été d'emblée surprise par le projet Saint Christol. Un aussi gros projet, dans une petite ville comme Pézenas, avec les problèmes environnementaux actuels, comment etait-ce possible? En m'informant plus en profondeur, ma première impression a été confirmée et je suis totalement opposée à ce projet, qui par l'augmentation de l'artificialisation des sols et la bétonnisation va accroître les problèmes d'eau et l'augmenation des rejets de CO2. Par ailleurs, la diminution de terres potentiellement cultivables générera inévitablement des problèmes d'alimentation dans le futur.
De nombreuses questions se posent:
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…) ; de plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois.
Comment pourrait être absorbé 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
Comment la création d’une Halle Gourmande à St Christol (1 700 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville ?
La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était pas ?
Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune ( notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au dessus de la Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas reste-t-il caché à la population et n’est-il pas joint au dossier ?
N° 424 : 20 septembre 2024 - 16:45
Auteur : STEPHANIE RENIER
Son avis : Défavorable
A l'heure de la sobriété nécessaire à la transition écologique, je ne suis pas favorable à ce projet qui est contraire à cette nécessité.
N° 423 : 20 septembre 2024 - 16:39
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Un projet qui a su prendre en considération les problématiques de logements sur le secteur (Pézénas et ses environs) tout en prenant en compte les contraintes afférentes et en intégrant les évolutions règlementaires et les problématiques actuelles: éco quartier, énergies, fortes végétalisation .... c'est un projet réfléchit et cohérent.
C'est un projet innovant et qui ne ressemble pas (de façon positive) à ce qui est proposé depuis une quinzaine d'années sur notamment les lotissements. Projet prometteur qui mérite de voir le jour
N° 422 : 20 septembre 2024 - 16:34
Cette observation a été classée comme doublon par le commissaire enquêteur.
N° 421 : 20 septembre 2024 - 16:29
Auteur : Danièle AZEMAR
Organisation : Elue - Mairie de Pézenas
Son avis : Favorable
Je suis favorable à la réalisation de ce projet. Ou, plus exactement, je suis, en toute conscience, devenue favorable au projet de Saint Christol tel qu’il se présente aujourd’hui.
En effet, ce projet, contre lequel nous nous sommes battus alors que nous étions dans la minorité municipale, ce projet que la majorité précédente nous a légué en héritage, après l’avoir contractualisé in extrémis, ce projet se présente aujourd’hui sous une forme qui le distingue sensiblement du projet initial, grâce à :
- une saine et fructueuse coopération avec nos partenaires de la SEMOP, avec qui nous avons pu travailler en bonne intelligence,
- de nombreuses concertations, et ateliers participatifs avec les élus pour faire évoluer le projet vers une optique compatible avec les valeurs que nous portons,
A l’issue de ce long travail, dûment consolidé par les services compétents de l’Etat, le projet de Saint Christol mérite d’être reconsidéré en toute objectivité.
Repensé et réajusté de façon plus conforme au respect de nos engagements, il présente aujourd’hui des avancées majeures dans les domaines de l’environnement et du social, en proposant, sur ses 24 ha :
- plus de la moitié de sa superficie (53%) dédiée aux espaces publics (espaces verts, voies piétonnes pour « déplacements doux », corridors écologiques dont un espace pédagogique conçu pour la sensibilisation…),
- près du quart des terrains à bâtir réservé à des primo-accédants,
- une mixité sociale et générationnelle assurée par les logements séniors, et les logements sociaux qui font cruellement défaut sur la commune aujourd’hui,
- un lot, qui, dans ce contexte, ne peut s'afficher comme « lotissement communal », mais pour lequel nous avons pu mettre en place un fonctionnement analogue (commission d’attribution des parcelles où la municipalité sera partie prenante).
- un lot dédié à des équipements et/ou services publics, qui contribue à réduire davantage encore l’emprise des logements privés.
Les évolutions du projet ont été présentées à toutes celles et ceux qui souhaitaient s’en informer.
En dépit d'évolutions notables, demeurent des postures de rejet, souvent fondées sur des positions de principe, sans doute respectables dans une acception généraliste du concept, mais qui ne prennent en considération ni la réalité du contexte local, ni l’évolution du projet largement « revu et corrigé » depuis notre arrivée aux responsabilités. Et malgré tous les amendements réalisés, nous enregistrons toujours les mêmes « inquiétudes », émanant parfois de personnes qui prennent à distance des positions dogmatiques, sans bien connaitre les contraintes du contexte local :
- « inquiétude » quant aux charges nouvelles qui pourraient peser sur la commune en termes d’investissements : cela fait totalement abstraction de ce qu’aurait coûté au contribuable le fait de dénoncer le projet (remboursement de la dette contractée auprès de l’Etablissement Public Foncier pour cette opération + pénalités de rupture des engagements pris dans le cadre de la SEMOP). Par ailleurs, concernant les nouveaux investissements qui seraient à prévoir, il y a tout lieu de compter sur l’accompagnement de nos collectivités, comme dans tout projet d’aménagement du territoire. Alors que s’il s’était agi de rembourser une dette et des pénalités, cela aura pesé exclusivement sur le contribuable piscénois…
- « inquiétude » pour l’appauvrissement en terres agricoles, alors que St Christol n’est plus (ou très peu) cultivé en raison d’un mitage d’habitations individuelles, difficilement compatible avec un projet agricole cohérent. D’autant que la commune dispose d’autres ressources non exploitées et mobilisables (repérage en cours des terres en friche, et des terres sans maitre). Et par ailleurs, le projet de l’Auribelle (14 ha cultivables) en stand-by depuis des années, a pu être réalisé en partie grâce à la prime de compensation agricole du projet Saint Christol… Enfin, faut-il rappeler que Pézenas participe activement au PAT (Programme Alimentaire Territorial) ? Cette implication ne laisse pas de doute quant à l’engagement de la commune dans l’agriculture nourricière et dans la cause du « bien manger pour tous »,
- « inquiétude » pour des « dégâts » environnementaux présumés, en dépit des mesures novatrices qui sont mises en œuvre :
o équipement de tout le quartier en lumières rouges, plus favorables au repos des espèces
o cahier des charges imposé aux constructeurs concernant les préconisations environnementales + signature d’une charte environnementale par chaque acquéreur de terrain. Cette charte va jusqu’au contrôle des espèces végétales plantées par les propriétaires et dont la liste est réduite aux essences peu consommatrices d’eau,
o sécurisation des ressources en eau + valorisation de la source chaude (réseau de chaleur)
- « inquiétudes » pour le commerce de Centre-Ville que d’aucuns prétendent menacé par l’activité économique de ce nouveau quartier sur lequel sont projetées toutes sortes d’informations erronées. Cette objection n’a pas de sens, alors même que la ville, de par son soutien aux commerces de Centre-Ville, enregistre un taux de vacance commerciale atypiquement bas, qui témoigne de la vitalité de nos commerces de proximité et de la grande attractivité de nos métiers d’art.
L’implication de la municipalité dans la vitalité du Centre-Ville se traduit, également, par l’inscription de Pézenas à deux dispositifs de soutien au dynamisme des centres villes : Petites Villes de Demain, et Bourg Centre.
Aussi, afin de rétablir une information objective :
o les métiers d’art, contrairement à la version initiale du projet, ne migreront pas vers Saint Christol : ils demeurent en Centre-Ville dont ils constituent un atout majeur,
o il n’est pas prévu de grande surface à Saint Christol : uniquement des petits commerces de proximité : hormis les commerces de bouche de première nécessité (boulangerie, petite épicerie…) la liste prévisionnelle des activités a été projetée après concertation avec la CCI, dont les études permettent de mettre en évidence ce qui manque sur notre territoire. Ainsi seront favorisés des échanges de flux entre notre CV et ce nouveau quartier.
o le projet d’implantation d’un Centre Thermoludique (en exploitation de l’eau chaude naturelle) ne manquera pas de contribuer à ces échanges de flux…
Pour conclure (même s’il y aurait encore beaucoup à dire) j’évoquerais ma délégation au sein de l’équipe municipale où je suis en charge de l’attractivité économique.
Cette attractivité s’exprime sur deux axes :
- inciter les personnes à consommer à Pézenas, plutôt qu’ailleurs,
- inciter les entreprises à s’installer à Pézenas plutôt qu’ailleurs.
Sur le premier de ces axes, la municipalité met tout en œuvre pour multiplier les évènements et animations qui attirent sur notre ville et la font rayonner… Mais pour ce qui concerne le second, comment attirer de nouvelles installations de professionnels si nous ne pouvons leur garantir un potentiel de chalandise ?
Enfin, les lourdes charges de centralité qui pèsent sur la commune sont en distorsion avec sa Dotation Globale de Fonctionnement (Etat) calculée sur la base des évolutions de population et des ressources fiscales propres : même en ne considérant le problème que sous cet angle strictement budgétaire, il est grand temps de prendre en considération la nécessité d'ouvrir de nouveaux espaces d'habitation, pour le devenir de notre ville.
Or, Pézenas est la seule ville qui voit sa population décroitre, alors que partout ailleurs, elle augmente : le manque de logements en est la cause principale, leur rareté ayant un impact direct sur leur coût, rédhibitoire pour beaucoup.
Investir la zone de Saint Christol n’est certainement pas le choix que nous aurions fait pour résoudre cette pénurie. Mais en l’état actuel, le projet de Saint Christol, dans sa version « 2.0 » profondément retravaillée, répond, hors de tout dogmatisme, au besoin vital de développement de notre ville, et à sa vocation d’accueil, tout en y garantissant l’art de vivre qui la caractérise.
N° 420 : 20 septembre 2024 - 16:20
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Bonjour,
A la lecture et la compréhension de se projet j'affirme être favorable à la création de la ZAC de St Christol du fait des fortes demandes de logement sur la commune de Pézenas. Le projet s'inscrit dans une démarche logique répondant aux problématiques humaines et économiques de notre secteur.
N° 419 : 20 septembre 2024 - 16:17
Auteur : Rachel SACCUCCI
Organisation : Première adjointe Mairie de PÉZENAS
Son avis : Favorable
Saint Christol n’est que très partiellement cultivé depuis de nombreuses années et le secteur est déjà en partie habité.
Ce ne sont pas des espaces agricoles « détournés pour être bétonnés ».
La demande de logements est forte sur la Commune qui est attractive et le projet hérité de la précédente municipalité avec une contrainte budgétaire importante à assumer, a été largement revu.
Un cahier des charges environnemental pour les constructeurs et les acquéreurs conditionne l’acquisition des terrains à la signature préalable d’une charte.
En matière commerciale, c’est le SCOT du Biterrois et son document DAAC qui impose les secteurs d’implantation en centralité et en périphérie sur la Ville. Il n’est pas prévu d’implantation de grandes surfaces sur Saint Christol qui est, pour rappel, à vocation d’habitat.
L’apport de population devrait profiter à l’ensemble du tissu commercial actuel, en centre ville et en périphérie.
N° 418 : 20 septembre 2024 - 16:13
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Ce projet est nécessaire pour la ville de Pézenas.
Premièrement, afin d'éviter une situation budgétaire intenable pour la Ville.
Deuxièmement, ce projet permettra à la Ville d'accueillir de nouveaux arrivants, Pézenas a besoin d'une population jeune et dynamique qui n'a aujourd'hui que trop peu de solutions de logement dans le secteur.
De plus, ce projet n'est pas le même que celui souhaité par l'ancienne majorité : espace vert, mixité sociale, déplacements doux, commerces de proximité... Bref un projet avec une connotation écologique forte pour une Ville encore plus attractive.
N° 417 : 20 septembre 2024 - 16:10
Auteur : Michèle RAMADE
Son avis : Défavorable
Madame, Monsieur,
Ayant eu l'occasion l'année dernière et encore cette année de visiter votre belle région, je l'ai trouvée dans un état de sécheresse passablement inquiétant. Je me permets de vous rappeler que dans d'autres départements (Alpes maritimes par exemple), les communes n'ayant plus d'eau pour tous refusent maintenant les permis de construire.
Bétonner les terres agricoles est interdit par la loi, il faudra bien que vos descendants aient de la terre pour se nourrir (l'hydroponique ne peut pas tout, notamment cultiver des arbres et des céréales). Ne serait-il pas plus sage de revitaliser le centre ville en aidant les propriétaires à rénover leurs logements, et à le densifier plutôt que de continuer une politique d'étalement, néfaste à la nature, aux terres agricoles, à l'infiltration et à la rétention de l'eau par des moyens naturels (haies, couvertures végétales, entre autres) ?
Espérant de la part des autorités un éclair de lucidité, recevez mes cordiales salutations,
Michèle Ramade
N° 416 : 20 septembre 2024 - 16:05
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Favorable, Un projet bien repris en main, bien pensé et surtouut tourner sur une idée que tout le monde souhaite: Vivre ensemble.
Pourquoi être contre...
Il y a une forte demande logements sur Pézénas c'est un fait et le projet est réfléchi avec un respect environnemental et une pris en compte de toutes les obligations écologique et hydrolique.
Nous arrêterons de perdre de voir partir les jeunes familles.
Alors je ne peux que dire oui à ce projet qui amènera dde la vie en plus à Pézénas.
N° 415 : 20 septembre 2024 - 16:04
Auteur : Claudette Rose
Son avis : Défavorable
Informée d’un projet immobilier à Saint-Christol, je réponds y être défavorable. Tout d’abord, ce projet condamne les terres agricoles. Or, les terres agricoles sont un trésor que les municipalités doivent absolument préserver, pour les raisons suivantes : il s’agit d’un patrimoine ancestral, au même titre que nos monuments historiques, de ceux qui contribuent à la richesse de notre pays. Comment oublier que les terres sont un réservoir de promesses nourricières et de biodiversité ?! Nul ne peut s’affranchir de la réalité, à savoir que les insectes sont en voie de disparition ! Préservons, grâce à des terres préservées et fertiles, cette merveilleuse diversité, flore et faune sauvages de nos terroirs, tant que c’est encore possible, pour les générations futures ! En effet, l’expérience à prouver que le bétonnage et l'artificialisation des sols ont des impacts très négatifs, désastreux, irrémédiables, sur l’environnement. Ils sont cause d’inondations et, paradoxalement, de raréfaction de l’eau… Si les problèmes de logement peuvent paraître préoccupants, les élus doivent prioritairement tenir compte de l’évolution du climat, du réchauffement et des pénuries d’eau. C’est ce qui doit prévaloir dans les décisions d’aujourd'hui. C’est pourquoi le projet immobilier, pensé il y a plusieurs décennies, est obsolète et dangereux. Même si la nouvelle municipalité, promet son « verdissement » ce projet immobilier doit être abandonné. Pour rappel, la sécheresse s’est déjà manifestée dans la région, avec une ressource hydrique problématique, entraînant des approvisionnement en eau, y compris en période hivernale... Il s’agit là de signes très concrets, que les élus ne doivent pas occulter. Merci d’entendre la vox populi, elle est directement concernée. PS : les projets immobiliers peuvent se réaliser sur des friches industrielles désaffectées.
N° 414 : 20 septembre 2024 - 15:50
Auteur : Martial BOUCHON
Son avis : Défavorable
Dans un contexte où la réalité du dérèglement climatique est désormais intégrée même par les plus septiques, ce type de projet relève de l'aberration pour différentes raisons et, parmi lesquelles:la dégradation des réserves d'eau,l'artificialisation de terres agricoles et l'impact sur l'autonomie alimentaire.Pour seulement ces 3 raisons parmi d'autres nombreuses,je m'oppose formellement à ce projet.
N° 413 : 20 septembre 2024 - 15:38
Auteur : Olivier HEBRARD
Son avis : Défavorable
Monsieur,
Docteur en Sciences de l’Eau, hydrologue, hydrogéologue, agronome, et expert reconnu, je profite de l’enquête publique relative au projet d’aménagement de la ZAC Saint-Christol sur la commune Pézenas pour prendre le temps vous transmettre mon avis sur celui-ci. Je me permets par ailleurs de préciser que je connais relativement bien le secteur pour avoir effectué ma thèse de Doctorat sur le bassin versant expérimental de l’Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement (INRAE) qui est situé sur la commune de Roujan.
Je vous avoue être particulièrement surpris de voir que de tels projets soient encore d’actualité en 2024... De la même manière que je l’évoque dans ma dernière tribune dans le Monde « Pour lutter contre les sécheresses, favorisons les solutions inspirées de la nature » datée de mardi 17 septembre 2024 et qui pointe les deux grandes visions qui s’opposent sur les territoires en ce qui concerne la gestion de l’eau, il en va de même pour les projets urbanistes : il y a les projets de la fuite en avant qui se basent principalement sur la philosophie du « toujours plus grand, toujours plus hors sol », qui s’opposent aux projets qui cherchent au maximum à s’appuyer sur les solutions inspirées de la nature. Nous sommes ici clairement dans un projet qui ne fera qu’accentuer les maux de notre temps, en particulier les conséquences des changements climatiques...
J’ai tout d’abord été particulièrement surpris que dans l’étude d’impact, le site soit uniquement caractérisé par une seule année climatique pour la pluviométrie et la température (cf. page 111 du rapport « Autorisation Environnementale Pièce 7 – Étude d’impact sans ses annexes »)… Le climat méditerranéen se caractérise en effet par une forte variabilité inter-annuelle et se baser sur une seule année est pour le moins étrange… Compte tenu des changements climatiques en cours et de leur accélération, et des impacts de plus en plus importants qu’ils risquent d’engendrer sur la végétation, les animaux et les humains, je me suis penché sur l’analyse des valeurs locales de 3 variables climatiques discriminantes à cet égard :
- 1. La pluviométrie : bien connue du grand public, cette variable permet tout simplement d’avoir une idée de la quantité de pluie qui tombe et de sa variabilité dans le temps notamment.
- 2. La moyenne des températures maximales journalières des mois de juin, juillet et août : cette variable permet d’avoir une idée de la dynamique d’augmentation de l’évapotranspiration potentielle (d’autres variables rentre en compte, mais les températures maximales permettent déjà d’avoir une idée des variations), ou dans d’autres termes la demande évaporative globale.
- 3. Le nombre de jours annuels de dépassement des 35°C ; c’est une variable très pertinente pour suivre la dynamique du réchauffement climatique.
La station météorologique de Pézenas-Tourbes est la plus proche station du réseau Météo-France qui dispose d’une série de données intéressantes (30 ans de données). Je me suis donc appuyé sur cette station pour analyser les trois variables évoquées ci-avant. J’ai également regardé les données de la station Météo-France de Béziers-Courtade, qui est située plus loin mais qui dispose d’une plus longue série de données (plus de 50 ans).
Pluviométrie :
Depuis 1993, à la station de Pézenas-Tourbes, la moyenne pluviométrique est de 582,7 mm. Sur cette période, la pluviométrie annuelle maximale relevée est de 1115,2 mm (en 1996), tandis que la pluviométrie minimale relevée est de 271,5 mm (2023). La pluviométrie montre une très forte variabilité inter-annuelle, caractéristique du climat méditerranéen. A noter que les 271,5 mm relevés sur l’année 2023 sont bien évidemment très inquiétants. Comme il est possible de l’observer sur le graphique n°1 du document transmis en pièce jointe avec le présent avis (document : Graphiques_Enquete_Publique_St_Christol_Hebrard240920.pdf), la courbe de tendance indicative (en noir sur le graphique) semble montrer une tendance à la diminution de la pluviométrie. Cette tendance semble se confirmer par la comparaison de la moyenne des pluviométries mesurées sur la période 1994-2008 (627,2 mm) avec celle des pluviométries relevées sur la période 2009-2023 (538,2 mm). Cette tendance locale s’inscrit dans la tendance relevée sur la station Météo-France de Béziers-Courtade (cf. graphique n°2 du document ci-joint), la plus proche station Météo-France disposant de plus de 50 ans de données.
Moyenne des températures journalières maximales des mois de juin, juillet et août:
Sur le graphique n°3 du document joint au présent avis, pour la station de Pézenas-Tourbes j’ai reporté l’évolution de la moyenne des températures journalières maximales des mois de juin, juillet et août sur la période 1997-2023. De manière à lisser les écarts à la moyenne et faciliter la mise en évidence des tendances, j’ai utilisé une moyenne glissante sur 5 ans. Le trait noir représente la courbe de tendance, indicative.
Il n’y a pas besoin d’avoir fait de grandes études pour comprendre ce graphique qui parle de lui-même …. Le résultat est édifiant. La moyenne de ces températures maximales estivales a pris plus de 2,5°C en 30 ans …. Ces résultats corroborent parfaitement les coups de chauds ressentis de plus en plus fréquemment sur le secteur… En observant la pente de la courbe de tendance de ce graphique, rien ne laisse présager qu’elle pourrait s’atténuer voir s’inverser dans les années à venir, mais bien au contraire elle semble laisser présager la poursuite de cette augmentation ; est-il d’ailleurs nécessaire de rappeler le contexte mondial frénétique où l’on continuer à accentuer le réchauffement climatique, de surcroît avec de probables prochains effets de seuils liés notamment à la disparition progressive de l’Amazonie, le réchauffement des océans ainsi qu’à la fonte des glaciers et du permafrost ? Ce graphique montre que le nombre de « coups de chaud » thermiques va très certainement se multiplier et que de multiples impacts devraient se faire ressentir sur la végétation par le franchissement de seuils physiologiques (notamment le phénomène de cavitation : circulation de bulles d’air dans la sève des arbres pouvant entraîner leur mortalité). Cette tendance locale s’inscrit dans la tendance relevée sur la station Météo-France de Béziers-Courtade (cf. graphique n°4), la plus proche station Météo-France disposant de plus de 50 ans de données.
Nombre de journées où la température maximale a dépassé les 35°C :
Le graphique n°5 présente l’évolution du nombre annuel de journées où la température maximale a dépassé les 35°C à la station de Pézenas-Tourbes. On constate qu’il y a clairement une évolution globale très marquée du nombre de jours avec un dépassement des 35°C. Cette tendance locale s’inscrit dans la tendance relevée sur la station Météo-France de Béziers-Courtade (cf. graphique n°6), la plus proche station Météo-France disposant de plus de 50 ans de données.
Par conséquent, à la lumière de ces données il n’y a pas de doute sur le fait que les changements climatiques sont en train de pleinement impacter le territoire du projet ; il ne s’agit pas que d’un ressenti….. Le réchauffement climatique semble s’accélérer comme en témoigne les graphiques. Dans les années à venir, il est très probable que les « coups de chauds » thermiques que l’on a de plus en plus observé ces dernières années soient de plus en plus nombreux, plus longs et plus intenses. La pluviométrie pourraient montrer des variations de plus en plus marquées, avec des pluviométries possiblement inférieures au 271 mm de 2023… Aujourd’hui, les milieux doivent être repensés pour gérer les manques d’eau tout comme les excès... Qu’il s’agissent de milieux urbains ou agricoles, les cycles du carbone et de l’eau doivent être couplés pour amortir au mieux cette accélération du réchauffement climatique, tout comme les variations de la pluviométrie. L’eau et le carbone doivent être intégrés dans les milieux et non pas évacués via du ruissellement (pour l’eau) et de la surchauffe sur des surfaces inertes (pour le soleil). Toute goutte d’eau doit être retenue pour être infiltrée et régénérer les milieux. Les rayonnements solaires doivent être valorisés et non pas gaspillés : le sol doit être recouvert au maximum de végétaux, chaque feuille se comportant comme un véritable panneau solaire permettant de capter le carbone de l’atmosphère pour l’envoyer dans le sol nourrir de nombreux micro-organismes. Dans ce contexte climatique qui fixe implicitement les cahiers des charges sévères que doivent avoir les futurs projets, qu’ils soient urbanistes ou agricoles, il me semble que le projet qui fait l’objet de la présente enquête publique est totalement anachronique à bien des égards…. Il y a beaucoup de points que je ne comprends pas ….
J’ai du mal à comprendre que 750 nouveaux logements vont être construits dans un nouveau quartier, dans une démarche qui ne rentre pas dans le cahier des charges de l’éco-construction, du moins de celui des mouvements qui en portent les valeurs éthiques, alors que, selon l’INSEE, en 2021 il restait plus de 700 logements vacants à Pézenas (https://www.insee.fr/fr/statistiques/1405599?geo=COM-34199). Le terme « éco-construction » n’apparaît nulle part dans le document « Dossier d’enquête publique Aménagement du quartier Saint-Christol » qui accompagne l’enquête publique, ni même dans le document « Autorisation Environnementale - Pièce 7 – Étude d’impact sans ses annexes »…. j’ai du mal à comprendre ??? Par ailleurs, le terme « bioclimatique » n’apparaît nulle part dans le document « Dossier d’enquête publique Aménagement du quartier Saint-Christol » qui accompagne l’enquête publique, et apparaît seulement une fois (à la page 409) dans le document « Autorisation Environnementale - Pièce 7 – Étude d’impact sans ses annexes » dans la phrase « Les dispositifs d’architecture bioclimatique (murs et toitures végétalisés) sont autorisés sous réserve d’une bonne intégration dans le paysage urbain et naturel environnant. »… Compte tenu des changements climatiques en cours et de leurs accélération, j’ai du mal à comprendre que la mise en place de dispositifs d’architecture bioclimatique soit suspendue à «une bonne intégration dans le paysage urbain et naturel environnant » ??? Est-ce que les personnes qui ont écrit cette phrase ont conscience de ce qui est en train de se jouer sur le plan climatique ???? Si le projet avait un véritable engagement dans l’éco-construction et la mise en place de bâtiments bioclimatiques, le terme bioclimatique serait appuyé et argumenté….
J’ai du mal à comprendre que l’on mette encore en place des projets avec plus de 60 % de surfaces imperméables (selon la valeur avancée dans le document « Autorisation Environnementale - Pièce 7 – Étude d’impact sans ses annexes »), de surcroît à de telles échelles. Nous avons vu que sur une année moyenne (sur la base de la moyenne calculée sur la période 1994-2023) il tombe une hauteur d’eau de l’ordre de 582,7 mm. Par mètre carré, cette hauteur d’eau représente 582,7 litres d’eau. Une année avec une pluviométrie exceptionnellement faible comme en 2023 (271,5 mm), il est tombé 271,5 litres d’eau par mètre carré, tandis qu’une année extrêmement pluvieuse comme en 1996 (1115,2 mm) il est tombé 1115,2 litres d’eau par mètre carré. Sachant que la zone centrale concernée par le projet concernée environ 24 hectares (soit 240000 m²), nous pouvons alors considérer que sur une année moyenne il tombe environ 139848 m³ d’eau sur l’emprise du projet. Avec 60 % de surfaces imperméables, une année moyenne c’est environ 83908,8 m³ d’eau qui filent rapidement vers la mer plutôt que de s’être infiltrés et avoir pu rester dans la normalité du cycle de l’eau douce. Un tel volume correspond à l’irrigation de plus de 20 hectares de maraîchage dans une démarche agroécologique...
J’ai du mal à comprendre que plutôt que de concevoir un projet qui se comporte dans son ensemble comme une éponge, on imperméabilise d’un côté et qu’un d’un autre côté on réalise des bassins de rétention… Aujourd’hui, les projets doivent s’inscrire dans une dynamique de « Zéro Artificialisation Nette » (https://www.ecologie.gouv.fr/presse/communique-presse-zero-artificialisation-nette-publication-decrets-dapplication). Tout milieu doit se comporter comme une éponge, de manière à la fois à correctement absorber les précipitations et limiter les inondations, et à redistribuer entre deux pluies cette eau aux différents compartiments des écosystèmes. Aujourd’hui, les projets en phase avec leur temps font appel à l’hydrologie régénérative (aménagement du territoire pour régénérer les milieux via une amélioration du cycle de l’eau douce).
J’ai du mal à comprendre que des systèmes de toilettes sèches et de phyto-épuration ne soient même pas évoqués dans le projet, d’autant plus sachant que le site s’avère opportun pour ce genre de système en raison de la place disponible. Un-e Français-e consomme en moyenne 150 litres d’eau par jour. Pour les 1500 futurs habitant-es cela représente 225 m³ d’eau par jour, soit 82165 m³ d’eau par an. L’installation de toilettes sèches permet d’économiser environ 50 litres d’eau par jour et par personne. Par conséquent, à l’échelle du projet cela permettrait d’économiser 75 m³ par jour ou 27375 m³ sur une année….. C’est un volume d’eau qui correspond à l’irrigation de plus de 5 hectares de maraîchage dans une démarche agroécologique.
J’ai du mal à comprendre que l’on sacrifie des terres agricoles disposant d’un potentiel de fertilité important. Alors que de plus en plus d’agglomérations protègent les terres fertiles de leur ceinture foncière en vue de mettre en place des projets agricoles à la fois nourriciers, créateurs d’emplois, qui permettent de mieux gérer les précipitations et de tamponner le climat, Pézenas fait le choix de supprimer ces terres… difficile à concevoir en 2024. Les terres du projet pourraient permettre l’installation de plusieurs agriculteur-trices. Leur installation selon le cahier des charges de l’agriculture biologique et dans une démarche agroécologique permettraient d’alimenter le territoire et d’avoir un rôle important face aux défis qui nous attendent, notamment dans la gestion de la ressource en eau et de la « climatisation » du territoire.
Par conséquent, en l’état de mes compétences et connaissances et de ce que je comprends du projet, je trouve que celui-ci est complètement anachronique et qu’il ne prend que très peu en compte le défi immense des enjeux climatiques et écologiques auxquels nous allons devoir faire face. Je donne donc un avis clairement défavorable.
Olivier Hébrard
Dr en sciences de l’eau, agroécologiste
Comment est-on sur que ce projet n'entrainerait pas des restrictions d'eau potable à Pézenas et dans les villages voisins
N° 411 : 20 septembre 2024 - 15:20
Auteur : JEAN-LUC MANKOWSKI
Son avis : Défavorable
stop à la bétonisation !
N° 410 : 20 septembre 2024 - 15:14
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
L'avenir de pezenas qui a tant besoin de population jeune et dynamique.
N° 409 : 20 septembre 2024 - 15:09
Auteur : Jean-parie Bousquet
Son avis : Favorable
Une belle opportunite pour Pezenas en perte demographique depuis plusieurs années au détriment des villages avoisinants. De plus ce quartier aura une connotation écologique. Un quartier avec une mixité de population inter générationnelle et favorisant les primo accédants. La présence d'une nouvelle gendarmerie bien située est plutôt rassurant. Les liens avec la ville et son centre historique ont été bien penses avec des voies pour véhicule contrôle mais aussi des voies piétonnes et partagées..l'augmentation de la population est maîtrisée avec une capacité d'accueil des enfants dans les écoles existantes et un apport non négligeable des subventions de l'état. Ce projet qui paraissait au départ imposé a été repensé de façon responsable et en conformité avec la transition écologique.
N° 408 : 20 septembre 2024 - 14:58
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Quartier qui va dynamiser la ville !
N° 407 : 20 septembre 2024 - 14:57
Auteur : Aurélie MIALON
Organisation : Adjointe au maire Ville de pezenas - Affaires Scolaires , Periscolaires, Cantine
Son avis : Favorable
J’ai pris connaissance des observations portant sur l’accueil de familles et de potentiels nouveaux élèves à Pézenas et sur la capacité, pour les services municipaux, d’accueillir ces enfants dans les écoles de la ville.
St Christol accueillera 1200 habitants à l’horizon 2030 : la livraison des constructions se réalisant de manière échelonnée, la scolarisation de nouveaux enfants sera elle aussi étalée dans le temps.
En tout état de cause, à l’heure actuelle les locaux dédiés aux établissements publics du 1er degré (écoles maternelles R. Desnos et C. Perrault et élémentaires J. Prévert et J. Vallès) sont en mesure d’accueillir près de 200 élèves supplémentaires par rapport aux effectifs actuels.
N° 406 : 20 septembre 2024 - 14:50
Auteur : Brice Bouakira
Son avis : Favorable
Ce quartier semble avoir été pensé pour favoriser les rencontres entre ses habitants
N° 405 : 20 septembre 2024 - 14:44
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Pezenas est en manque cruel de logements.ce projet augmentera l offre;de plus les primo accédants pourront acquérir un lot pour construire leur habitation.le CCAScroule sous la demande.
Ce projet initié par l ancienne municipalité a été favorablement retoqué .mixité sociale,plus d espaces verts,déplacements doux,thermo ludisme,services ,un poumon vert aménagé.
N° 404 : 20 septembre 2024 - 14:42
Auteur : FRANCK TIRARD
Son avis : Défavorable
Le conseil citoyen de la transition écologique de la ville de Pézenas a rendu un avis négatif. Pourquoi n'est-il pas pris en compte???
Le bétonnage des campagnes favorise les inondations et limite le remplissage des nappes phréatiques.
Par ailleurs, ce projet ne va t-il pas poser un problème quant à la disponibilité en eau potable pour la région????
N° 403 : 20 septembre 2024 - 14:35
Auteur : Frédérique Bollani
Son avis : Défavorable
Intolérable !
N° 402 : 20 septembre 2024 - 14:10
Auteur : Juliette Genieys
Son avis : Défavorable
Lettre au commissaire d’Enquête, et accessoirement à la Mairie de Pézenas
Je m’appelle Juliette, j’ai 25 ans et je parle au nom de mes frères et soeurs, parents et pairs et aussi de la nature, qui avons chacun dans l’impuissance l’espoir que les mains qui nous gardent nous sauvent de ce monde en péril.
J’ai l’espoir, si ce n’est le devoir de rendre à ma mort et de mon vivant, à ceux qui resteront et aux nouveaux qui viendront, un monde vivant et vivable, simple et beau : l’image d’un chêne millénaire frissonnant dans la brise du soleil couchant, des coins de paradis à tous les coins de rue donnant sur l’air libre plutôt que sur le béton et les travaux.
À Pezenas le soir des élections municipales de 2020, un souffle de soulagement a rafraîchi les esprits : fini la mairie de Vogel, adieu le projet st Christol, adieu les profits d’une minorité au détriment des pauvres hères que nous sommes tous, soumis et impuissants, nous et cette pauvre Terre.
On croyait en Rivière, avec un nom pareil c’était un cadeau tombé du ciel !
Mais à croire que 5 Millions valent bien plus que la préservation des populations, qui encourent déjà des risques climatologiques dévastateurs ; un facteur pollution considérable (avec des travaux sur plusieurs 10aines d’années, des milliers de voitures, davantage de déchets au sol). Et la mise en péril des biens communs vitaux et épuisables : la réserve d’eau potable ; la qualité de l’air en dégradation par la disparition des puits à carbone : ne serait-ce que quelques 24hectares des terrains en friche et quelques arbres centenaires faisant l’objet d’une destructions au sens strict, qui contribuent énormément à la régulation de la température (notamment en période de canicule). Et dont la demande de dérogation à la loi interdisant la destruction d’espèces protégées à été acceptée par un État coupable, voyant le drame d’un avenir invivable comme un dommage collatéral d’une société utilitariste.
Le dossier du projet St Christol est d’une exhaustivité que le lecteur acharné ne saura nier. Mais, qui de ceux qui ont participé à son écriture sont allé voir un peu plus loin que le fameux quadrilatère bleu ? Loin de remettre en question les longues années d’études pour un inventaire de la biodiversité ou l’élaboration du PPRI, ont-ils payé quelqu’un qui sortirait du cadre et aurait seulement vu l’état de la rivière, témoin essentiel de l’évolution climatique à venir ?
Là où les années précédentes elle coulait encore péniblement, où les poissons nageaient et le héron pataugeait, elle n’est plus qu’une grande flaque verte qui brille par endroit d’une centaine de poissons qui flottent, à côté d’un cadavre de chat séchant au soleil et d’une écrevisse inerte.
Beau tableau, que le projet St Christol a prévu de repeindre en plus sombre encore.
Selon le rapport du Groupe d’expert Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat, nous sommes désormais et de manière irréversible, sujet à un dérèglement climatique provoquant des phénomènes météorologiques extrêmes : de la sécheresse aux inondations, la Peyne se transforme en un fleuve que le Plan de Prévention des Risques naturels d’Inondation de 2010 sur lequel s’est basé le projet, a été établi sur une terre nue, en capacité d’absorption. Il est donc utilisé de manière biaisée car outre les 15 ans d’évolution défavorable du climat dudit PPRI, ne tient pas compte de la potentielle artificialisation de beaucoup plus de 24 hectares (portes ouvertes aux travaux annexes au projet, élargissement des routes, bétonisation) faisant s’étendre les « zones rouges » et disparaître les « zones bleues ».
Ce projet est extrêmement dangereux pour les populations actuelles, les populations futures et la biodiversité en terme de qualités essentielles de vie.
N’oubliez pas les vieux adages, les proverbes et ce qui constitue la mémoire des anciens qui avaient déjà tout compris.
Ne faites pas ce projet de : terrains à bâtir, logements seniors, halles gourmandes, hotel de tourisme, espace thermo-ludique, les 1238 places de parking privées et 213 places publiques, les feux rouges et l’agrandissement des routes, l’abattage des arbres pour faire migrer les espèces en voie de disparition, sous prétexte intouchable qu’il manque des logements sociaux.
Abandonnez-ce projet. La mairie n’a qu’à convaincre l’Etat de rembourser les 5 millions d’euros du contribuable investis pour le démarrage du projet comme elle a convaincu le ministère de la transition écologique de démentir ses propos (cf la lettre du 17 mai 2023, en pièce-jointe) contre le projet St Christol.
Voici le témoignage d’une représentante de la jeunesse qui aimerait bien vivre dans un monde qui n’a pas été complètement détruit par l’hubris des hommes inconscients.
Juliette Genieys
PS : « Nous n’héritons pas de la terre de nos ancêtres, nous l’empruntons à nos enfants. »
24 hectares de terres agricoles fertiles détruites est un argument suffisant à l'opposition de ce projet
il y a déjà trop de bétonisation partout en France et la terre c'est elle qui nous nourrit tous
N° 400 : 20 septembre 2024 - 13:51
Cette observation a été classée comme doublon par le commissaire enquêteur.
N° 399 : 20 septembre 2024 - 13:49
Auteur : Cedric Foocher
Son avis : Favorable
L’opposition pour l’opposition est stérile. Ce projet s’impose par des engagements passés. Misons sur son amélioration comme l’équipe municipale le fait.
N° 398 : 20 septembre 2024 - 13:36
Auteur : catherine Monfort
Son avis : Défavorable
Bonjour,
Tant sur l'aspect de bétonnage de 24 hectares de terres agricoles fertiles qui mettrait en péril la souveraineté alimentaire du Piscénois (aujourd'hui est inférieure à 8%) que sur la gestion de la ressource en eau toujours plus en tension pour les habitants et les effets induits de ruissellement vers les zones sensibles de la ville, inondant encore plus la zone (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…) sans recharger de manière durable la nappe phréatique, révèle la nature catastrophique de ce projet (aberration écologique) contre l'intérêt général et les équilibres écologiques.
Merci de favoriser le respect des écosystèmes !
C. Monfort
N° 397 : 20 septembre 2024 - 13:17
Auteur : Beatrice Prandi
Son avis : Défavorable
De nombreuses questions se posent quant à la gestion primordiale de la ressource en eau:
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Quelle assurance a t on que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
Sécheresses et inondations de plus en plus fréquentes étant les marqueurs du changement climatique, il serait irresponsable de ne pas tenir compte de ces éléments.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%. L’heure est à la réduction drastique de l’artificialisation des terres agricoles( loi ZAN)
•lLe projet prévoit la construction de 655 logement neufs, alors que 700 logements du centre ville sont inoccupés faute de budget pour les rénover et améliorer ce centre ville. C’est par là qu’il faut commencer.
• Enfin Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Voici pour moi les principaux éléments qui justifient un avis défavorable et l’abandon de ce projet néfaste.
N° 396 : 20 septembre 2024 - 13:11
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je suis particulièrement choqué par le commentaire d’une personne qui semble s’indigner « de la population qui occuperait ce lieu » en précisant « logements réservés à des populations précaires (retraités, économiquement faibles, étudiants, etc…). Plus loin, elle questionne « Saint-Christol devra-t-il ressembler à un Zoo »?
N° 395 : 20 septembre 2024 - 13:01
Auteur : Katia Ciet
Son avis : Favorable
Elue municipale, investie sur le commerce de proximité, je souhaite préciser qu’il n’est pas prévu de centre commercial ou de halles gourmandes à Saint-Christol. Si des locaux sont prévus pour des activités et un tiers lieu, leur nature reste à définir : profession médicale, profession libérale, commerce, service public, salle… Il s’agit simplement de prévoir des lieux de vie et d’animation du quartier tant pour ses habitants que pour des personnes extérieurs sans concurrence le centre-ville et en renforçant notre attractivité. Comme chacun le sait, l’équipe municipale s’est engagée pour le cœur de ville ces dernières années par l’acquisition de locaux (avec l’Agglo), des rénovations et de nombreux temps d’animation commerciale.
N° 394 : 20 septembre 2024 - 12:45
Auteur : Cécile des Longchamps
Organisation : QUALITOE
Son avis : Défavorable
Voici les raisons qui motivent mon avis défavorable:
Bétonisation des seuls espaces naturels encore disponibles sur la commune (dégradation de l'écosystème)
Circulation et accessibilité à la commune déjà saturés (nord : pont de la peyne, comme au sud : allée de castelnau ou avenue de verdun)
Manque d'infrastructures pour l'accueil des enfants à scolariser
Capacité de la station d'épuration à recevoir et traiter les eaux usées, capacité de la commune à entretenir de nouveaux espaces....etc
N° 393 : 20 septembre 2024 - 12:15
Auteur : Jean Cazentre
Son avis : Défavorable
Avant toute chose, l'avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas a simplement été écarté d'un revers de main.
De nombreuses questions restent entières :
- l'artificialisation des sols va entraîner des ruissellements vers des zones sensibles et empêcher le rechargement de la nappe phréatique
- les conséquences de la suppression des terres agricoles ont-elles vraiment été évaluées ?
- le problème de sècheresse récurrente avec les restrictions d'eau consécutives mérite un traitement autre que ce type d'aménagement
- l'argent ici dépensé ne trouverait-il des usages plus bénéfiques à la population ?
N° 392 : 20 septembre 2024 - 12:13
Auteur : Hervé Coiraton
Son avis : Favorable
Bonjour,
Le projet semble cohérent et permettra entre autre enfin une ouverture de la commune de Pezenas.
N° 391 : 20 septembre 2024 - 12:10
Auteur : NATHALIE SORROCHE
Son avis : Défavorable
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique. 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
N° 390 : 20 septembre 2024 - 11:47
Auteur : Yasmine BELASSEL
Son avis : Favorable
Les nombreux avis déposés à l'égard du projet de quartier Saint-Christol témoignent de l'absence de lecture du dossier mis à l'enquête.
Certains aspects critiqués dans certaines observations portent sur les thématiques hydrauliques et écologiques alors même que ces thématiques ont été prises en compte dès la conception du projet et n'ont cessé de faire évoluer le projet au fur et à mesure de la réalisation des études et notamment des échanges avec les services de l'Etat spécialisés sur ces thématiques. Ces éléments sont bien développés au sein du dossier.
En ce qui concerne la consommation de terres "fertiles", l'ensemble des études menées ont permis de démontrer le faible potentiel agronomique de l'emprise (étude préalable agricole jointe au dossier). Aussi, plus de 70% de l'emprise correspond à de la friche. Le choix de la localisation permet justement de protéger les espaces agricoles piscénois disposant d'un réel potentiel agricole. De plus, le dossier a été présenté en instance spécialisée (CDPENAF) et a obtenu un avis favorable de cette dernière.
Je souhaite également répondre aux observations qui indiquent qu'il convient de prioriser le réinvestissement urbain. Une analyse du potentiel de réinvestissement a été réalisée et révèle des problématiques techniques et financières qui ne permettent pas de retenir cette option.
J'ajouterai que le projet Saint-Christol est réfléchi depuis plusieurs années en concertation avec de nombreux acteurs dont la population locale !
Ces éléments apportés sont tous extraits du dossier consultable et ne constituent qu'un échantillon des études menées dans le cadre du projet.
Peu de projets sont aussi vertueux que le projet de Quartier Saint-Christol qui, loin de s'orienter vers une un course aux profits, répond aux besoins locaux dont un besoin en logements certains tout en intégrant les enjeux actuels.
Inquiétant de voir qu'aucune différence n'est réalisée entre des projets comme Saint-Christol pour lesquels des moyens importants sont déployés pour répondre aux enjeux environnementaux et pour lesquels il existe une réelle volonté de co-construction et les autres projets.
N° 389 : 20 septembre 2024 - 11:44
Auteur : Cedric Foocher
Son avis : Favorable
L’opposition pour l’opposition est stérile. Ce projet s’impose par des engagements passés. Misons sur son amélioration comme l’équipe municipale le fait.
N° 388 : 20 septembre 2024 - 11:41
Auteur : Franck REIFF
Organisation : SEMOP Saint Christol
Son avis : Favorable
Bonjour Monsieur le Commissaire Enquêteur,
Dans le cadre d'un mémoire en réponse, l'équipe technique de la SEMOP répondra évidemment point par point aux observations déposées dans le présent registre.
Pour autant, en tant que directeur opérationnel du projet il m'appartient dès aujourd'hui de vous faire part de la multiplication d'inexactitudes distillées auprès des piscénois.
Car il est TOUT SIMPLEMENT FAUX de prétendre :
- que le futur quartier comptera 2000 habitants : Il comptera entre 1100 et 1200 habitants à terme et nous le démontrerons,
- que la ressource en eau potable est menacée : Au contraire, le nouveau réservoir assurera l'alimentation du secteur et la sécurisation de la Commune jusqu'à l'horizon 2045,
- que le nouveau quartier augmentera le risque d'inondation : Au contraire le système hydraulique programmé améliorera la situation du secteur notamment par un surdimensionnement de la rétention hydraulique de plus de 1000 m3,
- que le projet ne respecte pas les normes supérieures : Au contraire, il est établi que le projet est compatible avec le PLU, le SCoT, le SAGE, le SDAGE, la loi ZAN etc... et avec l'ensemble des règlements applicables,
- que le projet détruira 24 ha de terres agricoles : La zone étant partiellement occupée, il ne demeure qu'environ 13ha à "potentiel agricole" de qualité moyenne, ce qui ne représente que 0,88 % de l'espace agricole du territoire communal de Pézenas. De plus le projet participe financièrement à l'activité agricole locale à travers une compensation de 300.000 € !
- que le projet artificialisera 24 ha : Au contraire, plus de 57 % de la surface du projet demeurera perméable,
- que le projet saturera le réseau viaire de la Ville alors que l'étude de trafic réalisée annonce une augmentation de 17 % dudit trafic en heure de pointe. Cette augmentation étant presque imperceptible !
- que le nouveau quartier est écocide alors qu'il comprend un volet environnemental exemplaire et reconnu comme tel par tous ceux qui ont pris la peine de consulter véritablement le dossier...
- que le projet couterait de l'argent à la collectivité en cas de réalisation : c'est le contraire car il est "autoporté" financièrement par ses recettes...
Et il ne s'agit là que de quelques exemples des contre-vérités distillées dans le présent registre dématérialisé.
Il suffirait pourtant simplement de lire le dossier pour que la vérité soit rétablie...
Bien cordialement
N° 387 : 20 septembre 2024 - 11:37
Auteur : David Comble
Son avis : Défavorable
Projet aberrant pour de multiples raisons que vous connaissez que trop bien.
N° 386 : 20 septembre 2024 - 11:23
Auteur : Valentine Vignault
Son avis : Défavorable
Actuellement, 700 logements sont inoccupés dans le centre-ville alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. Où est la logique ? Quand il est possible de ne pas artificialiser davantage de terres (dont, dans le cas présent, 24 hectares de terres agricoles fertiles), on saisit cette possibilité pour se conformer à la loi Climat et résilience de 2021. Rappelons-le encore une fois : la consommation d’espaces et l’artificialisation sont préjudiciables à la biodiversité, au climat et à la vie terrestre en général. La biodiversité rend des services écosystémiques gratuits et inestimables aux humains, dont ils sont absolument incapables de se passer ; citons notamment la pollinisation, la purification de l'eau et de l'air, la régulation thermique. Il faut cesser de scier la branche sur laquelle nous sommes assis.
En outre, on peut se demander pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte.
N° 385 : 20 septembre 2024 - 11:18
Auteur : CHANTAL PAUTES
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où iront-ils chercher l’eau ?
Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
► 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
► Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
► La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
→→→Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 384 : 20 septembre 2024 - 11:14
Auteur : Rosa Beaudeaux
Son avis : Défavorable
Je ne comprends pas pourquoi à l’heure où l’on doit respecter la biodiversité, et de plus dans une zone déjà inondée, loin du centre ville, on va bétonner des terres agricoles. Cette zone pourrait servir à des activités de plein air, quasi inexistantes à Pézenas.
On devrait suivre l’exemple de la commune de Montbazin , qui a reçu le 1er prix pour le respect de la biodiversité. Artificialiser des terres agricoles et les bétonner est un contre sens. Pour qui ? Pourquoi ? Bcp de logements du centre ville sont inoccupés.
N° 383 : 20 septembre 2024 - 11:11
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
la bétonnisation empêche l' eau de s' infiltrer dans le sous sol il faudrait au contraire des citernes d' eau potable pour recueillir l' eau de pluie *
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 382 : 20 septembre 2024 - 11:00
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Le logement social est une belle chose. De nombreuses familles y ont eu accès et nombreuses sont celles qui peuvent y avoir accès. Or, ces dernières années, il n’a pas été assez pensé en termes de parcours résidentiel. Dans ce projet il semble l’être allant du très social à la villa privée en passant par l’accession sociale… voilà qui devrait favoriser la mixité sociale et générationnelle. Il n’y aura donc pas que du logement social mais de nombreuses opportunités de logements différentes: secteur aidé, location secteur libre, résidence autonomie, propriété privée, accession sociale
N° 381 : 20 septembre 2024 - 10:53
Auteur : marie claude ROCHER
Son avis : Défavorable
Je me présente en piscénoise, habitant à Nézignan l'Evêque mais piscénoise de coeur et propriétaire de biens immobiliers à PEZENAS.
J'ai habité dans la Rue des Chevaliers de St Jean de ma naissance à mes 21 ans et lors des crues de Peyne j'ai vécu l'angoisse de l'eau qui dévalait dans la rue comme une rivière ; nous mettions une tempe pour l'empêcher de rentrer dans le magasin et montions tous les jouets du sol sur la banque qui était très grande. C'est vrai que depuis la creation du lac du Salagou et de son barrage ce problème a disparu.
Je pense avoir une bonne raison d'être pour un autre projet pour St Christol car bétonner 24 ha de terres dont le sol fertile présente une bonne capacité de rétention et d'échange d'eau , ce sol qui présente un potentiel agricole si élevé ne peut pas être raisonnablement stérilisé sous un projet d'urbanisation. Ce secteur à haut potentiel agricole par la qualité de ses sols est un enjeu pour la souveraineté alimentaire.
Ce projet gigantesque et disproportionné va dégrader la vie des residents du secteur durant des années, il aggrave les conditions de circulation dans tout le périmètre urbain alors que la gestion des flux de transports à PEZENAS est déjà dégradée. J'en parle en connaissance de cause car je viens en voiture à PEZENAS tous les jours et fais toutes mes courses en centre ville .
Les structures de la ville ne sont pas adaptées à recevoir 1500 habitants supplémentaires , déjà il manque des parkings et des voies cyclables
Ce quartier est coupé de la ville par la vallée inondable de la Peyne et un seul pont avec une circulation sur 2 voies permet le lien avec la ville et le seul axe de communication pour recevoir le flux de véhicule entre cet eventuel quartier et la ville EST LA NATIONALE. Ce projet cumule toutes les recommandations que le SCOT demande d'éviter , ce qui le rend INACCEPTABLE.
La seule alternative pour avoir une circulation possible serait la réouverture du réseau ferroviaire de la ligne AGDE PEZENAS ce que le CAHM a décidé d'abandonner;
Il y a plus de 700 logements vacants en centre ville (INSEE 2021) pourquoi ne pas réhabiliter ces logements
Il y a des contradictions entre les orientations DOO SCOT - 2040 et le projet d'urbanisation de ST Christol donc un mensonge qur l'accord du SCOT du Biterrois car la consommation d'espaces nouveaux est limité à 3 HA 24 entre 2022 et 2031 et contrevient à la loi votée dans le cadre de l assemblée nationale donc par les élus eux mêmes. C est un projet en totale rupture avec le secteur urbain historique et économique de la ville.
En ce qui concerne l'EAU le SCOT précise qu'il faut conditonnner les nouveaux projets d'aménagement à la disponibilité des ressources en eau . Un calcul
a été effectué sur le niveau des nappes aux conditions climatiques antérieures aux sécheresses enregistrées l'été 2022 et on doit se fier aux données du GIEC du 09/08/2021 qui sont probantes car en Méditerranée le changement climatique sera des plus radicaux au monde.
Il ne faut pas cacher la bétonnisation de ce quartier par le fait que ce sera le premier à favoriser la circulation de la faune et de la flore et la lumière rouge , nous nous voulons garder nos terres arables et ne pas prendre le risque d'inondations car quand 24 HA seront betonnés l'eau ne s'infiltrera plus et entrera dans le vieux centre ville
Dans le projet il n'apparait l'avis négatif du Conseil de la transition écologique pourquoi ????
La mairie dans ce projet bloque tout entretien du centre ville existant vu la dépense pharaonique que va provoquer ce quartier
Le projet d'une halle gourmande va pénaliser les commerçants du centre ville et comme il ne sera pas facile de circuler ces habitants iront vers Clermont l'Hérault et Béziers car le projet sera desservi en priorité par l'A 75
En conclusion, il existe encore dans le secteur Ouest et Sud ouest de la ville des terrains à vendre, des demeures agricoles abandonnées qui peuvent faire l'objet de remises en lotissement en programme de constrtutions sur deux étages. Des solutions existent donc en l'état actuel de la ressource foncière dans le cadre urbain actuel. La seule publicité foncière ne pourra pas être retenue comme une justification acceptable.
Que les déplacemets doux soient réalisés à PEZENAS sur les chaussées existantes car aucun pour le moment n'est discontinu et prévoir la réhabilitation des logemets vacants !!!
N° 380 : 20 septembre 2024 - 10:43
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je déplore le fait que la grande majorité des avis rendus par les citoyens, ne soient pas en phase avec les études préalables, sciemment menées, et qui prennent en considération, et de manière sérieuse, précisément les éléments relevés.
Tous les avis ne sont pas éclairés, loin de là, or l'exercice démocratique met sur le même plan la perception (même biaisée) et la connaissance (basée sur des faits...)
N° 379 : 20 septembre 2024 - 10:38
Auteur : René VERDEIL
Organisation : Mairie
Son avis : Favorable
A notre arrivée aux responsabilités, la dette Saint-Christol contractée auprès de l’Etablissement Public Foncier d’Occitanie (établissement d’Etat) avoisinait les 5 millions d’euros. Elle aurait dû être remboursée en 2019 et ne l’était pas. Chercher à la financer sur le marché bancaire aurait contribué pour un emprunt sur 15 ans à un taux fixe de 1,3% (ce n’est là qu’une hypothèse rien ne dit qu’un taux fixe aurait été consenti et qu’il aurait été si bas) à devoir rembourser des annuités entre 340 000 euros et 400 000 euros. 400 000 euros, c’est la subvention annuelle que la ville verse au Centre communal d’action sociale !
Cela aurait voulu dire augmenter de 30% l’annuité annuelle que la ville doit à ses créanciers (car, oui, la ville était endettée à 14 millions d’euros en 2020 auxquels s’ajoutaient ces 5 millions). Cela aurait probablement valu à la ville d’être mise sous tutelle et nous avons été élus pour faire et non pour être mis sous tutelle.
Cela aurait aussi voulu dire d’augmenter de 7% la taxe foncière. Et nous avons été élus avec des engagements de modération fiscale.
Endetter davantage la ville, cela voulu dire aussi renoncer à d’autres investissements ou à des actions portées par la ville.
Pour autant, quelle banque prête aujourd’hui pour dépenser l’argent et ne rien faire ? Les collectivités ont déjà des difficultés à emprunter pour faire !
Pour autant, il y aurait eu aussi les autres frais avancés par la SEMOP à rembourser. Donc de nouvelles dettes ou dépenses sans réalisation pour les Piscénois.
Pour autant, il y aurait eu des suites judiciaires car il s’agissait de défaire les engagements pris par la Ville, vis-à-vis de partenaires privés, lorsqu’elle a créé la SEMOP et octroyé la concession. Nous étions en 2019… et l’opposition municipale d’alors, dont je faisais partie, avait bien expliqué à la majorité municipale et à la population que l’équipe en place venait de lier les pieds et les poings des futures équipes.
Pour autant, qu’aurait dit les propriétaires à qui les terrains avaient été rachetés par l’EPF selon les décisions du Conseil municipal en 2011 et en 2014 ? C’est bien à ce moment-là que le projet devait être contesté ou non.
N° 378 : 20 septembre 2024 - 10:32
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
arretons de casser le monde dans lequel on doit vivre
N° 377 : 20 septembre 2024 - 10:31
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
N° 376 : 20 septembre 2024 - 10:24
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
C’est positif pour pezenas
N° 375 : 20 septembre 2024 - 10:12
Auteur : Patricia Faggio
Son avis : Défavorable
Bonjour, je suis CONTRE le projet de bétonnisation de la campagne St Christol à Pézenas, vu les répercussions sur l'alimentation en eau potable de la ville, la destruction de 24ha de terres fertiles, et la surcharge en transports routiers ajoutée.
Projet écocide encore une fois.
N° 374 : 20 septembre 2024 - 10:09
Auteur : Marie AZEMAR
Organisation : Ville de Pézenas
Son avis : Favorable
Je prends connaissance de la contribution du collectif, qui attribue au Ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires C. Béchu une position qui n’est pas la sienne, comme sa cheffe de cabinet l’a reconnu dans un courrier rectificatif envoyé le 2 août 2023.
En effet, cette dernière précise: « Il était bien spécifié dans mon courrier que la trajectoire de réduction de l’artificialisation défendue par le Gouvernement devait être adaptée au contexte local, notamment aux dynamiques démographiques ou économiques, au besoin de revitalisation ou de désenclavement, ainsi qu’aux gisements fonciers artificialisés mobilisables. {…] Elle poursuit plus loin : « Les objectifs ambitieux défendus par la ZAN ne signifient pas l’arrêt de toute construction, et chaque situation doit être appréciée en tenant compte des spécificités de chaque territoire et de chaque projet. »
Parlons donc des spécificités du territoire et du contexte local puisque l’Etat reconnait que ce doit être le point de départ d’évaluation: en tant que cheffe de cabinet du Maire, je me dois de souligner le volume de demandes de rendez-vous individuels sollicités auprès du Maire pour des demandes de logement, lesquelles sont aussi nombreuses que les demandes d’emploi.
N’y aurait-il pas une contradiction pour l’équipe municipale élue que de ne pas répondre à cette demande ?
D’autre part, il est souvent fait mention du détournement de l’usage de ces terres (qui pourraient être rendues à l’agriculture) : est-on conscient que l’espace dont il est question fait l’objet d’un mitage urbain depuis plus de 30 ans ?
Il serait bon d’arrêter d’opposer alimentation et logement car il s’agit, dans les deux cas de besoins fondamentaux : en ce sens, les élus municipaux ont agi pour remettre en culture des terres agricoles avec la fondation Terre de Liens (14ha) et les premiers agriculteurs seront installés à l’automne à l’Auribelle.
Dans le même temps temps, les élus agissent pour permettre aux Piscénois, toutes catégories confondues (et c’est bien là une des forces de projet que de proposer un parcours résidentiel mixte et intergénérationnel) de se loger dignement, au plus proche de la nature tout en la respectant.
Et ce, sans pour autant abandonner la requalification du centre historique, comme certains commentaires le laissent penser.
L’époque n’est malheureusement pas à la nuance ce que pourtant, la complexité des enjeux commande !
Bonjour, ce projet vient se heurter à une réalité écologique aujourd'hui vérifiée : quid de l'absorption de l'eau pouvant causer d'importantes innondation (n'est plus à démontrer sur le pourtour méditerranéen), la destruction de terre agricole nécessaire pour nourrir localement la popultion. Vient ensuite le budget et les finances qui manqueront certainement pour mettre aux normes la staion dépuration...Pour une fois pourquoi ne pas écouter l'avis des citoyens de Pezenas ?
N° 372 : 20 septembre 2024 - 10:00
Auteur : Roger LUCE
Son avis : Défavorable
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 371 : 20 septembre 2024 - 09:57
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Bonne initiative
N° 370 : 20 septembre 2024 - 09:50
Auteur : Rosa ESTEBAN-SOULLIER
Son avis : Défavorable
1. *Problématique de l’eau dans un contexte de sécheresse croissante :*
Dans une région déjà touchée par des périodes de sécheresse de plus en plus longues et une gestion de l'eau en tension, il est légitime de se demander si les ressources en eau seront suffisantes pour alimenter un tel projet immobilier. Durant l’hiver dernier, plusieurs villages aux alentours ont dû être approvisionnés en eau par camions-citernes. L'ajout de 2 000 habitants supplémentaires à Pézenas risque d'aggraver cette situation. Où trouverons-nous l’eau nécessaire pour assurer les besoins de cette population croissante ?
2. *Impact environnemental sur l’hydrologie locale :*
La bétonisation de 24 hectares de terres agricoles à Saint Christol risque d’avoir un effet délétère sur le cycle de l’eau. En supprimant une zone d’absorption naturelle, le ruissellement des eaux pluviales vers les zones déjà sensibles de la ville pourrait s’intensifier, augmentant le risque d’inondations dans les secteurs vulnérables comme la rue Conti, l’avenue de Castelnau, ou encore les Calquières basses et hautes. De plus, la réduction des surfaces perméables ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique, ressource déjà sous pression.
3. *Perte de terres agricoles fertiles :*
La destruction de ces 24 hectares de terres agricoles, particulièrement fertiles, entraînerait une réduction significative de la production alimentaire locale, affaiblissant ainsi l’approvisionnement en produits agricoles du Piscénois. Alors que l’importance des circuits courts et de l’agriculture locale est de plus en plus reconnue, cette perte de terres arables serait dommageable pour la souveraineté alimentaire locale.
4. *Augmentation du trafic routier :*
L’ajout de 700 nouveaux logements entraînerait une augmentation de 17 % du trafic routier, un chiffre considérable dans une ville comme Pézenas. Comment le réseau routier, notamment le pont de la Peyne, pourrait-il absorber cet afflux sans entraîner des embouteillages, une augmentation de la pollution et des nuisances sonores pour les riverains ? Aucune solution viable n’est actuellement proposée pour gérer cet impact sur la mobilité urbaine.
5. *Équilibre commercial menacé :*
La création d’une Halle Gourmande de 700 m² à Saint Christol pourrait nuire au commerce local, notamment celui du centre-ville de Pézenas. En attirant une partie de la clientèle vers cette nouvelle zone, il y a un risque de désertification commerciale du centre historique, déjà en difficulté. Le projet de nouvelle Halle ne doit pas se faire au détriment des commerces existants.
6. *Capacité des infrastructures scolaires :*
Avec l’arrivée de nombreuses familles, il est nécessaire de se demander si les infrastructures scolaires, notamment les écoles primaires, seront capables d’accueillir tous ces nouveaux élèves. Les investissements scolaires dépendent de la commune, mais aucune garantie ni plan précis n’a été présenté pour la construction de nouvelles écoles ou l’agrandissement des infrastructures existantes. De plus, si des fonds importants sont alloués à ce nouveau quartier, cela pourrait compromettre les budgets destinés à d'autres secteurs, comme la rénovation du centre-ville.
7. *Capacité de la station d'épuration :*
La station d’épuration actuelle est-elle en mesure de traiter les eaux usées supplémentaires générées par ces 2 000 nouveaux habitants ? Si ce n’est pas le cas, des investissements conséquents devront être réalisés, ce qui représenterait un coût supplémentaire pour la commune. Une question cruciale reste sans réponse : comment la commune financera-t-elle ces infrastructures sans alourdir la fiscalité locale ?
8. *Investissements supplémentaires à la charge de la commune :*
La mise en place d’infrastructures supplémentaires, telles que des liaisons piétonnes et cyclables entre Saint Christol et Pézenas, ou la gestion des zones inondables et des routes environnantes (comme celle de Nizas), générera des coûts significatifs pour la commune. Ces dépenses n’ont pas été intégrées dans l’analyse du projet et risquent de grever le budget municipal.
9. *Manque de transparence dans la gestion du projet :*
Enfin, il est inquiétant de constater que l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n’a pas été rendu public ni joint au dossier. Ce manque de transparence nuit à la confiance des citoyens dans le processus de consultation publique et laisse planer des doutes sur les réelles motivations derrière ce projet.
*Conclusion :*
Le projet de création d’un quartier de 700 logements à Pézenas, bien que répondant à des besoins en termes de logements, pose de nombreuses questions quant à sa faisabilité, son impact environnemental et social, ainsi que les coûts pour la commune. Il est essentiel que ces préoccupations soient sérieusement prises en compte avant de poursuivre ce projet.
N° 369 : 20 septembre 2024 - 09:50
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Impacts trop négligés => diminution de la ressource en eau disponible, artificialisation des sols (plus d'absorption de l'eau, terres agricoles supprimées), services publics sous dimensionnés.
N° 368 : 20 septembre 2024 - 09:49
Auteur : marie-anne pasturel
Son avis : Défavorable
Stop au béton et au goudron à Pézenas! stop à l'artificialisation des terres!! des terres pour les cultures SVP et pour les habitats des animaux!! OUI aux bosquets !oui à la biodiversité!! oui à la nature!! et gardons nos terres à céréales!
N° 367 : 20 septembre 2024 - 09:49
Auteur : Nicolas CARLIOZ
Son avis : Défavorable
Bonjour,
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Bien à vous,
N° 366 : 20 septembre 2024 - 09:37
Auteur : Pat Lorca
Son avis : Défavorable
Avis défavorable
N° 365 : 20 septembre 2024 - 09:28
Auteur : Patricia SAME
Son avis : Défavorable
Bonjour,
La station d'épuration va-t-elle être suffisante ? Il y aura sûrement de la sécheresse à Pézenas et St Christol ? Comment la commune va-t-elle gérer la sécheresse ? Le réchauffement climatique va abaisser la ressource en eau. Bétonner la campagne n'est pas une solution viable. Or, l'être humain ne peut pas se passer d'eau potable. Comment l'homme va-t-il cultiver son jardin pour se nourrir ? Est-il prévu d'interdire la construction de piscines en dur et interdire également d'arroser les golfs dans la région pour préserver la ressource en eau. L'eau potable est indispensable à l'être humain pour survivre. Les femmes et hommes politiques comme les maires ou les députés doivent agir intelligemment pour préserver la ressource en eau.
Donc, je donne un avis défavorable à l'enquête publique du futur quartier de St Christol.
N° 364 : 20 septembre 2024 - 09:24
Auteur : Isabelle Cadet
Son avis : Défavorable
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 363 : 20 septembre 2024 - 09:21
Auteur : Yossef Schimt
Son avis : Défavorable
A quoi bon détériorer notre belle campagne!!! Bétonner tous azimuts ne sert a personne. Ni a l mairie, ni aux riverains, ni aus Piscenois, ni aux touristes et encore moins a la nature.
N° 362 : 20 septembre 2024 - 09:21
Auteur : Laure de Cagny
Son avis : Défavorable
Actuellement étudiante en paysagisme, je me permets de donner mon avis sur ce projet : le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%. Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Et enfin et surtout : pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 361 : 20 septembre 2024 - 09:21
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
je suis contre tout projet qui augmenterait la bétonisation de Pézenas.
N° 360 : 20 septembre 2024 - 09:21
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Surtout ne pas nuire. Et si l'on commençait à appliquer ce principe cela éviterait les projets destructeurs pour l'environnement et l'humain victimes déjà de tant d'autres décisions.
N° 359 : 20 septembre 2024 - 09:21
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Il ya plusieurs raisons logiques de s'opposer à ce projet irraisonnable :
Préserver des terres arables pour nourrir la population de façon saine et proche,
Limiter le manque d'eau dans cette zone (qui ne cesse de croitre),
Ne pas construire de nouveaux logements alors que des centaines d'autres sont vacants sur la commune,
Eviter des risques d'inondation du au non ruissellement des pluies si ces terres sont bétonnées
Ce projet est en décalage complet avec les besoins de la population et des évolutions climatiques, il n'est pas pertinent et même dangereux pour le bien être et le bien vivre ensemble des habitants de la commune.
N° 358 : 20 septembre 2024 - 09:09
Auteur : Jean-Marie Parmentier
Son avis : Défavorable
Bonjour.
Je suis totalement défavorable à ce projet qui va encore aggraver la situation de la nature en général et dans cette région en particulier.
Je vous remercie de prendre en compte ma position.
N° 357 : 20 septembre 2024 - 08:56
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Bonjour
Voici mes questions et réflexions sur ce projet auquel je suis totalement opposé :
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Merci de prendre en compte mon avis défavorable
N° 356 : 20 septembre 2024 - 08:44
Auteur : Vincent Valais
Son avis : Défavorable
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%
N° 355 : 20 septembre 2024 - 08:07
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Farouchement contre et bilan carbone catastrophique. C’est une hérésie....
N° 354 : 20 septembre 2024 - 08:07
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Bonjour,
24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueront à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%. D'autre part, compte-tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourra-t-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irons nous chercher l’eau ? Enfin , pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ? Comme partout, une fois les bulletins de vote en poche, vous vous moquez des habitants. Pourquoi vous faites-vous élire, si ce n'est que pour les intérets de quelques-uns et non l'ensemble de la population ? Arrêtez le bétonnage. Merci.
N° 353 : 20 septembre 2024 - 07:41
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Défavorable, ecocide
N° 352 : 20 septembre 2024 - 07:16
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
N° 351 : 20 septembre 2024 - 07:02
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Jeune Piscénois, mes études et mon travail me conduiront peut-être ailleurs. Mais quand je voudrais revenir, j’espère pouvoir m’y installer. Or, le prix des maisons, des terrains ou des appartements poussent souvent les jeunes vers les villages… puisse-t-il en être autrement avec ce projet.
N° 350 : 20 septembre 2024 - 06:37
Auteur : Jocelyne BESCHE LAGANE
Son avis : Défavorable
Défavorable
N° 349 : 20 septembre 2024 - 06:34
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
C’est positif pour pezenas
N° 348 : 20 septembre 2024 - 01:42
Auteur : Reutenauer Tom
Son avis : Défavorable
Je ne pense pas que l’idée de mettre une barrière entre l’eau et la terre est une bonne idée. Que se passera t il s’il y a un surplus d’eau, d’inondations ?
N° 347 : 20 septembre 2024 - 01:42
Auteur : leandro aconcha
Son avis : Défavorable
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Tout projet de bétonisation est néfaste dans le contexte actuel ou le ruissellement des eaux est la cause d'inondations. Si toutes les villes et villages de France se mettent en tête de faire des nouveaux projets urbains pour faire tourner la caisse, nos campagnes n'existeront plus dans 20 ans.
N° 346 : 20 septembre 2024 - 01:34
Auteur : LUC STIEVENARD
Son avis : Défavorable
DÉFAVORABLE :voici mes arguments :
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisés les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 345 : 20 septembre 2024 - 00:31
Auteur : CLAUDE WILLEMIN
Son avis : Défavorable
Je suis défavorable á ce projet qui est paradigmatique des projets mal pensés de création de logements dans les communes rurales, sans prendre en compte les conséquences sur l’environnement et sur la capacité des infrastructures existantes .
Dans ce cas en particulier, dans une région en tension il faut prendre en considération le risque de manque d’eau potable, comme c’est déjá le cas dans des villages voisins.
Il est criminel dans les circonstances actuelles de changements climatique de sacrifier des terres agricoles pour les bétonner. Bétonnage qui á son tour aggrave le manque de recharge des nappes, et le risque d’inondation des parties basses de la ville.
Je demande donc que soit pris en compte l’avis défavorable du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas.
N° 344 : 19 septembre 2024 - 23:34
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 343 : 19 septembre 2024 - 23:29
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 342 : 19 septembre 2024 - 23:12
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
J’ai aménagé à Pézenas récemment mais j’en suis originaire et vivais dans un village voisin.
Souvent les villages grandissent par une succession de lotissements sans cohérence.
Ici, le projet semble pensé globalement avec de nombreuses études pour le construire.
J’espère qu’il permettra à d’autres personnes de trouver un logement à Pézenas, ce qui est loin d’être évident.
N° 341 : 19 septembre 2024 - 23:05
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Le changement climatique s'accompagne d'énormes modification des précipitations et des nappes phréatiques. Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
N° 340 : 19 septembre 2024 - 22:56
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
La cour est bien agencée avec de l'herbe et de la pelouse synthétique.
Protègeons la nature et les animaux.
N° 339 : 19 septembre 2024 - 22:12
Auteur : JF JURADO
Son avis : Défavorable
24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
N° 338 : 19 septembre 2024 - 22:10
Auteur : Pascale Saintilan
Son avis : Défavorable
Comment être sûr que ce projet n’entraînerait pas des pénuries d’eau potable à Pezenas et ses environs?
N° 337 : 19 septembre 2024 - 22:08
Auteur : BERNARD LAUGIER
Son avis : Favorable
Avis favorable pour la création de cette ZAC, avec:
- la création d'un nouveau quartier, à l'image des 8 ZAC successives de Montpellier, en tenant compte de l'environnement et de la cohérence de la forme urbaine.
- une offre de logements aux normes actuelles , avec une mixité sociale répondant au deficit criant de logement sur Pézenas.
- un bati densifié évitant l'étalement urbain à l'image des lotissements sauvages des communes voisines.
- une accession abordable à la propriété pour les primo accedants, et pour les personnes agées des logements à taille humaine.
- une maitrise du cout du foncier.
- une intégration de petits commerces de proximité et de services publics ( gendarmerie).
- la création d'espaces verts , de parkingss drainant et de zones écologiques.
Conclusion : avis favorable à cette ZAC. Pézenas, ville centre, ne peut rester un musée sans évolution et sans avenir d'extention
B.LAUGIER Architecte
N° 336 : 19 septembre 2024 - 22:06
Auteur : marie-odile Vie
Son avis : Défavorable
Ce projet est une aberration à l'heure où la sécheresse et le manque d'eau se font de plus en plus sentir dans cette région
Le bétonnage de nouvelles zones va accentuer le ruissellement et augmenter les risques d'inondation de certaines zones sensibles.
On ne peut qu'espérer que le bon sens l'emportera
N° 335 : 19 septembre 2024 - 21:59
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 334 : 19 septembre 2024 - 21:54
Auteur : denis danielfy
Son avis : Défavorable
Vu la sécheresse endémique et les ressources en eau déjà en tension, fournir de l’eau à la population ne sera plus garantie, D'ailleurs certains villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, c'est trop problématique. La bétonisation crée trop de problème , de non-absorbtion des sols en cas de pluies, & même de ruissellements , et de captation de chaleur en cas de fort ensoleillement- préservons l'environnement tel qu'il est!
N° 333 : 19 septembre 2024 - 21:45
Auteur : Christine Rouchouze
Son avis : Défavorable
Je suis défavorable à ce projet d'artificialisation des sols car il y a déjà 700 logements disponibles dans la commune. La transformation de 24 hectares de terres agricoles nourricières menace la production locale et l'autonomie alimentaire de la région qui est déjà bien mise à mal.
Il n'y a pas eu d'étude sérieuse sur les alternatives à l’artificialisation de ces 24 hectares de terres agricoles conformément aux directives de la loi "Climat et Résilience". Le projet ne prend pas suffisamment en compte les impératifs d’adaptation au changement climatique. Les propositions des compensations écologiques sont insuffisantes ou mal évaluées. Le projet ne respecte pas la limitation de l'étalement urbain et ne se concentre pas sur l'amélioration des espaces déjà urbanisés. Il n'y a pas eu d'évaluation scientifique rigoureuse sur la mise en place de corridors écologiques alors que c'est indispensable. Le bétonnage accentuerait grandement le ruissellement vers des zones sensibles puisque les végétaux n'absorberaient plus les précipitations et il ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
L’impact sur la ressource en eau n'est pas correctement évalué ce qui est dommageable car il manque de projection et de vision sur le moyen et long terme. Le projet prévoit une consommation supplémentaire de 300 000 m³ d'eau par an, soit une augmentation de 30 % des besoins actuels en eau de la commune. Dans un contexte de pénurie croissante, cet aspect n’est pas abordé de manière réaliste et cohérente.
N° 332 : 19 septembre 2024 - 21:45
Auteur : Annie Desirat
Son avis : Défavorable
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
N° 331 : 19 septembre 2024 - 21:31
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
N° 330 : 19 septembre 2024 - 21:24
Auteur : Anne Odet
Organisation : Greenvoice
Son avis : Défavorable
Defavorable
N° 329 : 19 septembre 2024 - 21:23
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Defavorable
N° 328 : 19 septembre 2024 - 21:16
Auteur : Christine Marc
Son avis : Défavorable
Des terres agricoles fertiles detruites alors qu elles devraient être sauvegardées pour maintenir des cultures vivrières dans la ceinture piscenoise en vue d une autonomie alimentaire.
N° 327 : 19 septembre 2024 - 21:15
Auteur : Corinne Huber
Son avis : Défavorable
Moins d'eau, moins de terres cultivables et diminution voire arrêt total des commerces du centre ville, quel résultat !!
N° 326 : 19 septembre 2024 - 21:10
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Comment est-on sûr que ce projet -avec 2 000 habitants de plus à Pézenas - n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins alors que la ressource en eau est déjà sous tension et que des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes
Comment seront absorbés les 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ?
24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
N° 325 : 19 septembre 2024 - 20:59
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
N° 324 : 19 septembre 2024 - 20:53
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
je suis contre la dépense excessive pour certains quartiers.
N° 323 : 19 septembre 2024 - 20:51
Auteur : Dita Škali?
Son avis : Défavorable
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus.
N° 322 : 19 septembre 2024 - 20:45
Auteur : Marc Et Suzanne HEDUIN
Son avis : Défavorable
Nous ne sommes pas d’accord avec ce projet qui va tuer les commerces de la ville et apporter encore du béton sans oublier la pénurie en eau
N° 321 : 19 septembre 2024 - 20:43
Auteur : Isabelle PANSA
Son avis : Défavorable
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a-t-il pas été pris en compte ? La bétonisation a des effets bien connus et dénoncés, celui de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, il accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore davantage (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…), tandis qu'il limiterait par ailleurs le remplissage des nappes phréatiques, et cela alors mêmes que nombre d'habitants du secteur ont dû être approvisionnés en eau en période estivale récente. Ne serait ce que pour ces raisons, le projet est hautement contestable en termes environnemental et clairement désavantageux du point de vue des bénéfices/risques.
N° 320 : 19 septembre 2024 - 20:26
Auteur : Ghislaine Galtier
Son avis : Défavorable
Ce projet est inacceptable. Il va à l'encontre de ce qu'il faudrait faire. Vous voulez bétonner alors qu'il faut planter des arbres, des haies, favoriser l'installation d'une biodiversité. De plus, comment allez vous traiter le problème de l'eau, qui manque cruellement dans votre région si belle. Et que vous maltraitez, de manière irréversible, si vous persistez dans votre projet. Vous pouvez décider d'être écocidaire, ou bien d'être bienfaiteur pour votre environnement. Réfléchissez bien, et prenez la bonne décision. Vous pourriez devenir un héros pour votre région.
N° 319 : 19 septembre 2024 - 20:23
Auteur : Delphine Moritz
Son avis : Défavorable
Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
N° 318 : 19 septembre 2024 - 20:21
Auteur : Christophe Palcani
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
N° 317 : 19 septembre 2024 - 19:59
Auteur : marc jeandin
Son avis : Défavorable
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 316 : 19 septembre 2024 - 19:51
Auteur : Stéphan granon
Son avis : Défavorable
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 315 : 19 septembre 2024 - 19:51
Auteur : jean michel Domage
Son avis : Défavorable
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique
N° 314 : 19 septembre 2024 - 19:50
Auteur : NICOLE CARAOUE
Son avis : Défavorable
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
N° 313 : 19 septembre 2024 - 19:43
Auteur : Philippe KOEHLER
Son avis : Défavorable
Je suis personnellement défavorable à ce projet pour toutes les raisons suivantes :
Absence d'étude alternative - Artificialisation des terres agricoles - Impact sur l’autonomie alimentaire - Incohérence avec le changement climatique - Consommation de la ressource en eau - Mauvaise gestion des risques d’inondation - Projet coûteux et disproportionné - Opposition massive de la population locale.
Salutations
N° 312 : 19 septembre 2024 - 19:35
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Les points forts de mon opposition:
- Artificialisation de 34 ha terres agricoles alors que la loi « Climat et Résilience » d’août 2021 limite cette consommation à 3,24 ha entre 2022 et 2031
- Le SCOT recommande de limiter l'étalement urbain et de se concentrer sur l'amélioration des espaces déjà urbanisés, une approche que le projet ne respecte pas.
- Le projet propose 655 nouveaux logements sur cette zone alors que 700 logements sont vacants et donc déjà disponibles dans la commune.
- Le projet prévoit une consommation supplémentaire de 300 000 m³ d'eau par an, soit une augmentation de 30 % des besoins actuels en eau de la commune.
- Pas d'étude alternative
N° 311 : 19 septembre 2024 - 19:17
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Je suis défavorable à la betonisation !
N° 310 : 19 septembre 2024 - 19:16
Auteur : Romain DELCROS
Son avis : Défavorable
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 309 : 19 septembre 2024 - 19:13
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N° 308 : 19 septembre 2024 - 19:09
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Stop au béton !
N° 307 : 19 septembre 2024 - 19:05
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
N° 306 : 19 septembre 2024 - 19:04
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
N° 305 : 19 septembre 2024 - 19:01
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Considérant les problèmes d’approvisionnement de l’eau, les risques d’inondation, le bétonnage de 24ha de terres agraires, la création de commerces au détriment de ceux de Pézenas, la densité du traffic routier, tous ces points là me donnent la conviction que ce projet de construction St Christol est totalement irresponsable.
N° 304 : 19 septembre 2024 - 18:58
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 303 : 19 septembre 2024 - 18:57
Auteur : Damien Götti
Son avis : Défavorable
Bonjour!
Ce projet est une aberration à une époque où nous avons plus que jamais besoin de préserver la biosphère de notre planète. Jusqu'à quand les intérêts de quelques-uns resteront prioritaires sur ceux du Vivant dans son ensemble? Faudra-t'il attendre un avenir funeste pour que les décideurs s'en rendent compte? Mais cela les intéresse-t'il seulement?
N° 302 : 19 septembre 2024 - 18:52
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 301 : 19 septembre 2024 - 18:52
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
C'est toujours la même leçon pour les mêmes : on revient en arrière une fois qu'on a ravagé et détruit, parce qu'on manque cruellement de sagesse et parc que l'égo crie le plus fort dans ce monde gouverné par des insensés! Bientôt le grand changement ! Bientôt le cœur et la sagesse unis résonneront dans ce nouveau monde !
N° 300 : 19 septembre 2024 - 18:45
Auteur : Mathieu Bussac
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
N° 299 : 19 septembre 2024 - 18:42
Auteur : Patrick Cormier
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où trouver l’eau indispensable aux résiden?
De plus,le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
Enfin, cela ne contribuerait plus au rechargement indispensable de la nappe phréatique.
N° 298 : 19 septembre 2024 - 18:38
Auteur : Marie-Annick RIVIÈRE
Son avis : Défavorable
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
N° 297 : 19 septembre 2024 - 18:36
Auteur : Beatrice Masso
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 296 : 19 septembre 2024 - 18:35
Auteur : Fiona McCade
Son avis : Défavorable
La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
N° 295 : 19 septembre 2024 - 18:33
Auteur : Cécile Dubois-Carrier
Son avis : Défavorable
Bonjour,
Je suis DEFAVORABLE au projet.
De nombreuses questions se posent a son sujet. En voici deux :
Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
Il faut CESSER les projets de betonisation, ce n'est pas du développement, c'est de la.destruxtion.
PENSEZ A NOS ENFANTS, A LEUR AVENIR.
Arrêtons avec l'ancien monde. Il est tout abîmé ... Protégeons le peu de nature qui reste.
Merci de votre lecture.
N° 294 : 19 septembre 2024 - 18:32
Auteur : Virginie Roberto
Son avis : Défavorable
Bonjour,
J’habite Pézenas depuis 2021 et j’ai donc pu observer depuis trois ans ,qu’à Pézenas, il manque cruellement de pluie.
De ce fait, si vous multipliez la population, comment allez-vous faire pour pallier à ce manque d’eau ???
Si vous savez créer de l’eau, donnez moi votre secret car j’en aurais besoin pour arroser mes végétaux qui souffrent énormément l’été à cause des températures qui montent jusqu’à 40 degrés.
N° 293 : 19 septembre 2024 - 18:30
Auteur : Michel GRELLIER
Organisation : Association Collectif Orb et Monts Environnement
Son avis : Défavorable
Je suis entièrement défavorable à ce projet qui ne respecte pas certains éléments liés au respect de l'environnement. Quelques arguments :
1-Compte tenu de la sécheresse de + en + importante et d'une ressource en eau déjà en tension, pourra t'on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
2-Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
3-Le bétonnage de la campagne Saint Christol, accentuera gravement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
4-24 hectares de terres agricoles fertiles détruites
5-Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
6-La station d’épuration pour traiter les eaux usées sera-t-elle suffisante ?
7-Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
cordialement
Michel Grellier
N° 292 : 19 septembre 2024 - 18:28
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Les catastrophes humaines régulières dus aux événements climatiques montrent que l’effacement de la nature et la bétonisation des sols ne permettent pas de modérer les phénomènes naturels. Bien au contraire cela les aggrave.
N° 291 : 19 septembre 2024 - 18:27
Auteur : Dominique Hugon
Son avis : Défavorable
Bonjour,
Je souhaite déposer un avis défavorable pour les raisons suivantes :
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
En vous remerciant par avance,
Cordialement,
Dominique Hugon
N° 290 : 19 septembre 2024 - 18:25
Auteur : Maryvonne ROUILLIER
Son avis : Défavorable
Ce serait bien de penser plus loin que le profit immédiat.
N° 289 : 19 septembre 2024 - 18:24
Auteur : Quentin Leprêtre
Son avis : Défavorable
Étant donné la multiplication des épisodes de sécheresse et de l'état de tension de la ressource en eau, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
N° 288 : 19 septembre 2024 - 18:23
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Le bétonnage effréné de la campagne Saint Christol aggraverait le riussellement vers la ville et nuirait au rechargement de la nappe phréatique. Trop c'est trop !
N° 287 : 19 septembre 2024 - 18:23
Auteur : Pat Lorca
Son avis : Défavorable
Avis défavorable
N° 286 : 19 septembre 2024 - 18:21
Auteur : patty berfelo
Son avis : Défavorable
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 285 : 19 septembre 2024 - 18:18
Auteur : colette Van Hoeylandt
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
N° 284 : 19 septembre 2024 - 18:09
Auteur : annette sadoul
Son avis : Défavorable
ce projet ne correspond pas à la réalité du territoire tant sur le plan de la biodiversité,de la situation agricole et de la sécheresse endémique. une telle bétonnisation agraverait les difficutés déjà rencontrées.
N° 283 : 19 septembre 2024 - 18:09
Auteur : Christine Richon
Son avis : Défavorable
Je ne suis pas favorable à la bétonisation de Saint Christol à Pézenas car les projets de ce types sont obsolètes vis-à-vis de la crise environnementale :
- Il occasionnera une augmentation non négligeable de la demande en eau potable, alors que des villages alentours ont déjà été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
- Il augmentera l'imperméabilisation des sols : des problèmes de ruissellement des eaux de pluie ont déjà été constatés, avec des inondations, et cette bétonisation ne pourra que les accentuer, tout en empêchant le rechargement des nappes phréatiques.
- L'arrivée de 2000 nouveaux habitants perturbera le fonctionnement de la ville : augmentation notable du trafic routier, scolarisation d'enfant dans des structures non dimensionnées pour cela, concurrence avec les commerces du centre-ville, sous-dimensionnement de la station d'épuration, etc.
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a-t-il pas été pris en compte ?
N° 282 : 19 septembre 2024 - 18:08
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Il est nécessaire de préserver nos espaces verts, notamment en ville où ils sont malheureusement de moins en moins présents
N° 281 : 19 septembre 2024 - 18:06
Auteur : Roland D'Herbemont
Son avis : Défavorable
J'ai étudié le projet et je suis d'accord avec Greenpeace, je ne suis pas d'accord avec le projet, je trouve que c'est un horreur envirronemental.
N° 280 : 19 septembre 2024 - 18:05
Auteur : Bénédicte du SOUICH
Son avis : Défavorable
Je suis plus que défavorable à ce projet.
N° 279 : 19 septembre 2024 - 17:58
Auteur : Annie BARBEDETTE
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
N° 278 : 19 septembre 2024 - 17:55
Auteur : Rachel Leduc
Son avis : Défavorable
Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs ?
N° 277 : 19 septembre 2024 - 17:52
Auteur : Frédéric Mouveaux
Son avis : Défavorable
Je suis contre ce projet.
N° 276 : 19 septembre 2024 - 17:46
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
J'ai habité le centre-ville de Pézenas de 2009 à 2021. J'ai vu le centre historique se désertifier et le centre historique s'éteindre petit à petit. Les commerçants luttent courageusement pour maintenir des prix modérés et des produits attractifs. Qu'en sera-t-il avec une halle commerciale à proximité ? Pauvre centre-ville !
N° 275 : 19 septembre 2024 - 17:42
Auteur : Thierry Jam
Son avis : Défavorable
Imperméabiliser en bétonnant des dizaines d'hectares de champs des meilleures terres arables du bassin Piscénois est simplement à coté du bon sens si on se préoccupe un temps soit peu de l'avenir et de la sécurité de notre belle citée de Pézenas et de ses générations futures. Nous savons tous que la zone rouge de Pézenas y compris celle de Saint Christol est sujette à de graves inondations et à la montée dangereuse des eaux et encore plus depuis que l'autoroute qui contourne Pézenas a été créé. En effet celui-ci est de fait un véritable rempart qui fait barrage à l'écoulement des eaux.
Les services de la préfectures et la polices de l'eau savent parfaitement que de préserver de grande surface de terres autour des villes permet de faire "éponge" et d'absorber une part des pluies souvent violents dans notre département.
Le maire qui est garant de la sécurité de ses concitoyens (DICRIM) et Les services de la préfecture DDTM (représentant de l'état) qui avec le (PPRI) se doivent pour la sécurité de toutes et tous les français(es) d'interdire ce genre de projet inepte et de préserver toute la ceinture verte de toute construction et imperméabilisation !
N° 274 : 19 septembre 2024 - 17:42
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
N° 273 : 19 septembre 2024 - 17:38
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
C'est ni plus ni moins qu'une citée dortoir que vous proposé à votre population . Rien n'est prévu pour le bien de la vie de la faune et de la flore, par contre pour les loisirs
payent les méga structures tout est prévu. Surtout pas d'agriculture que des petits jardins. C'est la destruction de la campagne au détriment de la structure ville.Vous ne pourrez pas mettre sur le nom de la commune "ici les coqs chantes et les cloches sonnes "
N° 272 : 19 septembre 2024 - 17:38
Auteur : Thierry WULLSCHLEGER
Son avis : Défavorable
Pas de beton, problème de l eau crucial, projet du passé
N° 271 : 19 septembre 2024 - 17:32
Auteur : Isabelle Pouteau
Son avis : Défavorable
C’est un projet écocides et aberrant
N° 270 : 19 septembre 2024 - 17:30
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
N° 269 : 19 septembre 2024 - 17:26
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Je suggère d'abandonner ce projet au profit d'un autre , la plantation d'arbres et de buissons, voir la création d'un jardin / parc public, qui serait utile sur le plan écologique comme sur le plan des relations entre les humains...
N° 268 : 19 septembre 2024 - 17:19
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Il n'est pas souhaitable de couvrir des hectares de terre par du béton.
Les infrastuctures alentour ne sont pas adaptées à un accroissement de la circulation qui sera forcement induit par une nouvelle zone de commerces. Les petits commerces déjà existants en pâtiront et finiront par fermer. A qui le projet profite-t-il ?
Tout est à revoir, y compris pour une gestion de l'eau perenne ! STOP
N° 267 : 19 septembre 2024 - 17:19
Auteur : jean-claude rolland
Son avis : Favorable
Bonjour je suis résidant du quartier St Christol et y ait il y a quelques années exploité des vignes , je tiens à préciser que ces terres sont loin d'êtres des terrains fertiles comme il est répété à l'envie par les détracteurs du projet qui pour certains ne sont pas piscénois voire même pas héraultais, les rendements en vigne étaient de 50 hectolitres par hectares et si vous vouliez faire du maraichage là dessus ce sont des terrains graveleux il faudrait d'énormes quantité d'eau pour l'irrigation, quand à trouver des agriculteurs assez téméraires pour se lancer!
Un contestataire parle d'une inondation du quartier en 2019, je suis désolé de démentir mais j'y habite et n'ai jamais connu d'inondation tout au plus des ruissellements sans conséquences.
Quand à l'afflux de population contesté il suffit de se promener sur le cours Jean-Jaurès et de compter les agence immobilières pour comprendre que la demande est forte mais que les réalisation se font dans les villages environnant Caux, St Thibery, Alignan, Nézignan,Tourbes, Mèze dont la population était il y a 10 ans inferieure a celle de Pézenas mais compte aujourd'hui 12000 habitants
et il ne s'agit pas que de dortoirs: Hépad à Caux, Pole médical à Tourbes, Collége à Roujan, laboratoire Médical à St Thibéry, abattoirs à Paulhan et pour autant les centres de ces villages sont toujours animés.
Concernant les logements du centre de Pézenas est-ce que les propriétaires sont disposés à les réhabiliter et les louer et est-ce que des candidats sont disposés à laisser leur voiture sur un parking (payant!) à l'autre bout de la ville et à monter leur pack d'eau et la poussette au troisième étage par un escalier en colimaçon dans un immeuble classé sans clim et dans lequel on n'as pas le droit d'accrocher un tableau?
Il est facile de contester un projet qui doit permettre a des primo-accédant de se loger et à des entreprises d'exister et d'afficher de façon péremptoire sur son balcon "Non à St Christol" quand on à sois même une belle maison avec toutes les commodités à proximité.
Tout le monde critique le manque de logements et prends ouvertement en pitié les sans abris et les réfugiés, mais pas devant chez moi!
Est-ce que toute cette opposition au projet ne serais pas tout simplement de l'idéologie et de l'écologie de comptoir?
N° 266 : 19 septembre 2024 - 17:18
Auteur : gilles fresneau
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 265 : 19 septembre 2024 - 17:15
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Ne marchons pas sur la tête, nos descendants jugeront
N° 264 : 19 septembre 2024 - 17:15
Auteur : Alexandre Mignott
Son avis : Défavorable
Un projet d’un autre temps, où l’heure n’est plus à la bétonisation mais à la protection du vivant et de la biodiversité pour nous protéger des dangers climatiques que nous avons nous-même entraîner en tant qu'être humain.
N° 263 : 19 septembre 2024 - 17:12
Auteur : Jean-Jacques ETIENNE
Son avis : Défavorable
Projet écocide et aberrant.
Injustifiable, compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension.
De plus, le bétonnage de la campagne Saint Christol ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 262 : 19 septembre 2024 - 17:07
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 261 : 19 septembre 2024 - 17:06
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Bonjour,
Je rejoins pleinement le contenu de ce qui es dit dans le document déposé par le collectif.
Bien à vous,
Sylviane Martin.
N° 260 : 19 septembre 2024 - 17:06
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 259 : 19 septembre 2024 - 17:00
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ? Sommes-nous encore en démocratie ?
N° 258 : 19 septembre 2024 - 16:53
Auteur : Méryl Pinque
Son avis : Défavorable
Je m'oppose vigoureusement à cet énième projet écocidaire.
En voici les raisons :
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà sous tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentour ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?...
• Comment peut-on être sûr que ce projet n’entraînera pas de restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint-Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc.).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui est aujourd'hui est inférieure à 8 %.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à Saint-Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisés les nouveaux élèves (particulièrement du primaire dont les investissements dépendent de la commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre-ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre Saint-Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc. ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a-t-il pas été pris en compte ?
N° 257 : 19 septembre 2024 - 16:52
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
J'ai 2 questions :
Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs ?
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
N° 256 : 19 septembre 2024 - 16:51
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Il est urgent de penser au bien-être des riverains, faites cesser ce projet!
Merci
N° 255 : 19 septembre 2024 - 16:51
Auteur : Isabelle Allain
Son avis : Défavorable
Bonjour,
Comment est-on sûr que ce projet n’entrainera pas de restrictions d’eau potable à Pézenas et aux villages voisins ?
Bonne réception.
N° 254 : 19 septembre 2024 - 16:49
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
N° 253 : 19 septembre 2024 - 16:43
Auteur : Eugène-François Ravenet
Son avis : Défavorable
Dans ce type d'enquête, ce n'est pas le lieu pour polémiquer.... On dépose son point de vue: POUR ou Contre... Il n'est pas nécessaire de dire que ceux qui sont contre sont "des ânes" ou inversement!
C'est pourtant ce que je constate en parcourant les dépositions!
Par contre, dans un cas comme dans l'autre, il faut apporter des arguments solides.
N° 252 : 19 septembre 2024 - 16:28
Auteur : Dany Vogt-Buron
Son avis : Défavorable
Plus rien ne justifie ce type de projet. Que cela soit sur le plan environnemental, écologique ou encore d’un point de vue urbanisme.
Le futur de l’urbanisme est de dégrossir les villes et de répartir la population sur l’ensemble du territoire. L’attractivité de la région va rapidement devenir problématique avec la décroissance énergétique à venir. Il est urgent de créer du social et de l’économique dans toutes les régions de France.
Il n’y a pas de problème de logements en France mais une mauvaise répartition sur le territoire. Nous créons deux fois plus de logements qu’il y a de création de ménages. Je pense que ce chiffre est assez éloquent.
L’aspect écologique et environnemental ne sont pas en reste. Les inondations sont un problème récurrent dans la région. Bétonner d’avantage de surface est contre productif. Toutes les études scientifiques ou de thinks tanks comme le Shift Project ne cessent de le confirmer.
Il est urgent de réagir.
Merci
N° 251 : 19 septembre 2024 - 16:16
Auteur : Saint Christol Collectif
Organisation : Collectif Saint Christol
Son avis : Défavorable
Monsieur le Commissaire Enquêteur,
Nous avons le plaisir de vous remettre notre contribution en pièce jointe de 45 pages argumentées et sourcées.
Le projet de ZAC Saint-Christol, tel qu'il est proposé, suscite de nombreuses critiques, tant du point de vue de la gestion de l’urbanisation que de son impact environnemental. Pour preuve :
- La lettre du Ministre de la Transition Ecologique et de la Cohésion des Territoires reçue par le collectif et favorable à nos analyses.
- L’analyse critique du projet par la MRAE en 2023 et l’avis défavorable du CNPN (Conseil National de la Protection de la Nature)
- Les plus de 4100 signatures recueillies dans la pétition « Stop au projet d’urbanisation Saint Christol de Pézenas »
- Deux réunions publiques sur Pézenas qui ont réuni plus de 650 piscénois.
- L’avis défavorable du Conseil Citoyen pour la Transition Ecologique de Pézenas (a ce jour non prise en compte)
- Tous les témoignages et analyses recueillis et synthétisés dans ce document.
Notre contribution déposée ce jour a deux objectifs :
1 / Demander de compléter l’étude environnementale par une étude sérieuse d’alternative à l’artificialisation de terres agricoles pour être conforme aux directives de la loi "Climat et Résilience"
2 / Exposer l’ensembles des critiques et témoignages recueillis par le collectif sur ce projet vieux de plus de 20 ans
Notre contribution est une synthèse de témoignages et d’analyses sourcées. Les références sont incluses dans chacune des annexes, les liens consultables en fin de document et les photos des inondations de 2019 du quartier Saint Christol.
Votre expertise est attendue par un grand nombre de citoyens et d’associations territoriales pour être argumentée et conforme aux directives
en vigueur
Nous vous invitons à visualiser les deux films réalisés par le collectif sur notre site : https://pourunautreprojetsaintchristol.org/ regroupant témoignages et analyses.
Respectueusement.
Le bureau de l’association
PS : Pour information, une copie de ce document est adressée à notre conseil.
Les photos sont éloquentes sur ce qui peut survenir tôt ou tard, lors d'un épisode cévenol, certes, pas chaque année... Le changement climatique se chargera de nous rappeler à la raison....
N° 249 : 19 septembre 2024 - 15:06
Auteur : Carole Broutin
Son avis : Défavorable
Des logements sur Pézenas pour accueillir de nouveaux ou d’anciens piscénois : OUI BIEN SUR !
Mais PAS N’IMPORTE COMMENT !
- Pas 655 logements ramassés en une seule zone externalisée
- Pas en sacrifiant une terre historiquement arable de 24 hectares
- Pas s’en s’assurer que la population pourra devenir autonome d’un point de vue alimentaire local.
- Pas sans avoir défini préalablement une stratégie, un plan, un budget voté pour réhabiliter une bonne partie des 700 logements vacants du centre-ville de Pézenas.
- Pas sans être transparents sur les coûts à venir associés à cette augmentation de population : les infrastructures nécessaires à cet accroissement de population brutal, des routes et des chemins à réhabiliter pour leur permettre de rejoindre le centre-ville, de nouveaux parkings car les anciens sont déjà comblés en saison et le samedi
- Pas s’en s’assurer de recevoir dignement des nouveaux habitants avec des places pour les enfants dans les écoles et des accès voitures aux écoles pour les parents, des gendarmes pour assurer la sécurité, des services médicaux et des médecins traitants disponibles, une fluidité de déplacements vers le centre-ville,
- Pas s’en s’assurer qu’il y aura de l’eau pour tout le monde,
- Pas s’en s’assurer que, si Peyne et l’Hérault débordent en même temps, les quartiers bas de la ville ne soient pas inondés,
- Pas s’en prendre en compte les artificialisations qui ont déjà eu lieu ces dernières années.
Bien cordialement
N° 248 : 19 septembre 2024 - 14:15
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
15 000 nouveaux héraultais de plus chaque année et certains voudraient nous faire croire qu’ils ne s’installeraient pas ailleurs si ce projet ne se faisait pas ou alors qu’ailleurs dans le département ils ne consommeraient pas d’eau ?
N° 247 : 19 septembre 2024 - 12:37
Auteur : Anne Laur
Son avis : Défavorable
I) Les quartiers de, et autour de, Saint Christol ne sont pas raccordés à l’eau de ville, malgré notre volonté régulièrement réitérée.
Nous devons utiliser un forage ou un puits, qui par ailleurs est le meilleur thermomètre de toute notre attention sur l’eau disponible.
Donc :
1) ces nouveaux logements seraient raccordés à l’eau et non l’ensemble des riverains plus éloignés ?
2) …pour disposer d’une eau de plus en plus précieuse?
II) À l’inverse, les très grosses pluies se déversent directement sur ce quartier St Christol, avec des écoulements conséquents, puisque situé juste au pied de collines. Les cours d’eau à sec (et donc entretenus plus qu’aléatoirement ) et l’ensemble des bas-côtés des voies de circulation pour l’évacuation (fauchés 1 voire 2 fois par an seulement ) débordent. C’est l’inondation assurée.
Donc, comment des services « compétents » peuvent songer de manière responsable à gérer les conséquences des inondations, qui ne seront qu’accrues par cette bétonisation !?
Messieurs Dames les politiques, élus et autres décideurs, ne voyez-vous pas que ce projet marche sur la tête?
Avec tous mes respects
N° 246 : 19 septembre 2024 - 11:18
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Bonjour, Nous avons acheté notre résidence principale à Pézenas il y a trois ans. Nous connaissions cette ville, le bien être et la convivialité évidente a déterminé notre choix. L'agrandissement prévu dans le quartier Saint Christol semble mesuré et devrait apporter à cette ville du sang neuf. Les touristes sont des oiseaux de passage alors que de nouvelles maisons rajeunissent la population.
J'ai consulté en mairie les détails de ce projet : 500 maisons avec des logement sociaux, des espaces verts importants, moins de la moitié des 24ha constructibles... Ce projet semble équilibré.
N° 245 : 19 septembre 2024 - 10:44
Auteur : tyffanie geffroy
Son avis : Défavorable
Manque d'eau et betonisation de la campagne qui se retrouve sous les eaux pendant les épisodes de fortes pluies. Un énorme projet dans un lieu ou tous les piscénois vont se ressourcer.
N° 244 : 19 septembre 2024 - 10:34
Auteur : Corinne CANTAERT
Son avis : Défavorable
Monsieur,
En tant que citoyenne défenseuse du vivant, je me sens très concernée par le bétonnage des terres et je viens apporter tout mon soutien à l'opposition à cet énième projet d'artificialisation des terres sur notre territoire. Ce projet ne respecte en rien les directives du SCOT et de l'objectif Zéro Artificialisation Nette préconisée par la Loi Climat et Résilience.
De plus, ce projet sur 24 ha me paraît désastreux pour la biodiversité et va détruire de nombreux écosystèmes, sans compter les terres agricoles fertiles et nourricières dont nous avons tant besoin et qu'il va dévaster.
L'imperméabilisation des sols va accentuer le ruissellement des eaux vers des zones sensibles de la ville et le risque d'inondation n'est pas exclue.^La création de nouvelles infrastructures commerciales et routières va entraîner d'énormes émissions de gaz à effet de serre alors que, rappelons-le, les prairies, les arbres et les champs sont des puits de carbone.
Notre département est inscrit par le GIEC dans les zones fortement impactées par le réchauffement climatique et la ressource en eau risque fort d'être un problème majeur dans les années à venir. La raison voudrait donc que tout soit axé sur la réhabilitation de logements vacants -et je crois qu'ils sont nombreux sur Pézenas- plutôt que de bétonner toujours davantage des zones naturelles importantes pour la biodiversité donc pour nous aussi !
Pour rappel, pour ceux qui seraient tenter de se réfugier derrière une "pseudo-compensation" : on ne "compensera" jamais la destruction d'un écosystème existant à l'identique, ce qui est détruit est détruit !
Merci de votre attention.
N° 243 : 19 septembre 2024 - 10:18
Auteur : DENISE & MANUEL CANO
Son avis : Défavorable
Veuillez trouver ci-joint la copie de ma première intervention concernant le projet de Saint Christol où nous sommes propriétaires depuis 1970.
je souhaite vous faire part de mon avis défavorable concernant le projet prévu dans la zone excentrée de St Christol.
Nous sommes, depuis des années, de plus en plus sensibilisés aux risques de la bétonisation des espaces naturels et agricoles. Les scientifiques l’expliquent, les médias s’en font l’écho, les collectifs citoyens cherchent à agir, les différentes instances de gouvernance essaient d’impulser des politiques pour limiter l’artificialisation des sols comme le reflète le dernier projet gouvernemental, le plan « Zéro artificialisation Nette » ou encore les résultats de la convention citoyenne pour le climat (2020) dont l’une des propositions vise à «Lutter contre l’artificialisation des sols et l’étalement urbain en rendant attractive la vie dans les villes et les villages», votée pour OUI à 99%.
Je suis donc opposée à ce projet car cette artificialisation de l’espace en friche ou cultivé de Saint Christol va donc :
- réduire la SAU.
- empêcher toute reprise agricole de cette zone alors qu’une politique pourrait être soutenue en ce sens. D’autant que de nombreux habitants de Pézenas ont le souci de consommer local et bio ou en agriculture et élevage raisonné. Le marché existe déjà, il est donc réel et pourrait prendre plus d’ampleur si il était soutenu et rendu plus accessible aux classes moyennes et populaires.
- réduire la biodiversité déjà mise à mal dans un département très attractif et très aménagé. Il parait difficile de faire ce choix de construction sans avoir un regard général sur les alentours de Pézenas et remarquer que tous les villages détruisent leur entrée périphérique pour ce type d'aménagements toujours plus grands....
- réduire les possibilités d’écoulement des eaux dans une zone déjà soumise au risque d’inondation.
« Penser global, agissons local » : il est étonnant d’avoir une municipalité qui semble s’ancrer dans un courant, à l’échelle nationale, de protection de l’environnement et qui propose à ses administrés un tel projet….
On pourrait d’ailleurs se questionner sur la valeur de ces débats politiques à l’échelle nationale, européenne et mondiale si à un tout petit niveau (le notre), les arguments de protection environnementale ne prévalent pas…..
Sur le plan de la commune, la création actuelle d’emplois sur Pézenas ne semble pas nécessiter une telle quantité de logements car nous ne sommes pas un bassin d’emplois très créatif.
Au 4ème trimestre 2023, le taux de chômage en France métropolitaine était de 7,3 %, en Occitanie de 8,9 % et dans la zone d’emploi d’Agde-Pézenas de 14,3 %. On n’a donc pas l’impression que c’est le dynamisme économique qui porte une nécessité de construction de logements. (CF : https://www.observatoire-emploi-occitanie.fr/files_pdfs/CC2_202404_B25.pdf)
Il sera donc très probable qu’une grande partie des habitants (hors seniors et gendarmes) devront profiter de l’accès à l’A75 pour aller travailler dans une autre ville. Les migrations pendulaires vont donc augmenter, ainsi que les émissions de CO2 qui semblent, selon les scientifiques, être responsables du réchauffement climatique actuel et des pollutions en général. Nous allons donc sciemment participer et accentuer ce phénomène.
Cette zone de 700 logements aura forcément de nombreux autres impacts :
- en faisant pression sur des voies de communication pour traverser Pézenas et accéder au centre ville ou aux centres commerciaux extérieurs situés à l’opposé de Saint Christol (plutôt ouest, nord ouest).
On ne peut imaginer que les habitants prennent, pour contourner le coeur de ville, l’A75. Si c’est le cas : on augmente alors la distance, la vitesse et la pollution….
En cas de traversée du centre ville, on augmente la pression sur des axes qui ne peuvent être élargis et on multiplie les embouteillages pour une petite ville. Un comble !
Les habitants de Pézenas ont souvent fait le choix de cette ville à taille humaine car elle permet un certain équilibre. Nous faisons le « sacrifice » d’une vie peut-être plus active dans des villes comme Beziers, Montpellier…. Mais nous trouvons plus de calme, un grand confort, une rapidité d’accès aux espaces naturels en périphérie pour se balader, une facilité d’accès à pied ou en vélo pour les services : commerces, administrations, écoles, professionnels médicaux…. L’augmentation de la population, sans élargissement des voies de communication créera forcément des congestions aux heures de pointe.
- impact évident sur les besoins sociaux, au premier chef les places en crèches. Le site de la municipalité annonce (https://www.ville-pezenas.fr/mon-quotidien/petite-enfance/) :
« Accueils collectifs (EAJE)=> une crèche municipale et deux micros crèches
Une crèche municipale qui accueille 33 enfants/jour : les Pitchounets
Une micro crèche qui accueille 12 enfants/jour : les Petits Souliers
Une micro crèche qui accueille 12 enfants/jour : Clémentine et Alexandre »
places dans les écoles et aux Lycées ( le Lycée GT compte déjà plus de mille élèves. Peut-il avoir une augmentation facilement du nombre d’élèves? ) Quelles ont été les prévisions dans ces domaines ? Des créations d’écoles sont-elles prévues à l’heure où la tendance est plutôt aux fermetures ? Les risquess de surcharge des effectifs ont-ils été pensés ?….
- impact sur l’emploi.
Certains notent que cela dynamisera le secteur de la construction. A l'échelle départementale peut-être (?), mais il parait peu probable que les entreprises choisies pour les aménagements soient de Pézenas....
Plus d’habitants amènera forcément des besoins croissants en centres commerciaux. Certains y sont favorables et pensent encore "que cela dynamisera Pézenas" ?…..
A quel prix ?
Comment ne pas déjà interpréter que ce projet Saint Christol n’est pas le début d’une extension de l’urbanisation vers l’Est de la ville et finalement une croissance continue de l’étalement urbain.
La description du projet p 13 semble d'ailleurs l’indiquer lorsqu’elle note : « Le projet de création du quartier Saint-Christol tire son appellation du domaine de même nom situé en son cœur. Il convient de préciser, toutefois, que ledit domaine est exclu de l’emprise du projet et pourra faire l’objet d’une opération spécifique ultérieurement (….) les premières intentions du programme ont été dessinées, en répondant aux questions suivantes . »
La municipalité met donc une première pierre dans ce qui pourrait apparaître comme un étalement futur plus important.
Si les créations d’emplois ne pré-existent pas et ne légitiment pas ce projet ( pas d’usines installées, pas de centres de production, de recherches, d’exploitations agricoles crées en amont….), les emplois crées feront suite à l’implantation de nouveaux habitants. C’est donc uniquement, le secteur des services, induits par la présence même de nouveaux consommateurs plus nombreux qui se développera….
Les artisans locaux pourront être bénéficiaires.
Pour la santé, les déserts médicaux en France montrent qu’il ne sera pas forcément facile d’avoir une couverture qui couvre les besoins, surtout en augmentant la population de seniors.
Sur le plan systémique : renforcer le tertiaire lié à la consommation et au tourisme, fera encore exploser les flux. Nous allons donc aggraver le cercle vicieux d’une croissance fondée sur les déplacements de personnes et de marchandises pour des produits qui, en plus, pour la majorité seront venus de Chine…. Nous créons donc une logique de croissance qui s’oppose à la logique d’un développement plus régulé et plus responsable que la taille de Pézenas nous permettrait d’avoir.
Pézenas augmentera encore sa dépendance à l’extérieur et à la consommation, sans production in situ… Un choix économique dérivé des 30 Glorieuses et de sa nouvelle forme depuis les crises des années 90-2000.... pas forcément judicieux.
A LIRE : l’étude de Jérôme FOURQUER dans ce domaine : « L’État-guichet, un modèle à bout de souffle dans une France qui a cessé de produire » Le Figaro, 12 mai 2024.
« Tout se passe comme si le modèle économique qui s'était progressivement mis en place dans le pays depuis une quarantaine d'années arrivait aujourd'hui en bout de course et
avait conduit à une impasse. Ce modèle que nous qualifierons d'étato-consumériste ou de stato-consumériste, a résulté de choix collectifs et politiques qui ont été effectués avec constance par les différentes majorités politiques qui se sont succédé au pouvoir. Ce modèle stato-consumériste repose sur deux postulats et piliers que sont, d'une part, l'extension permanente de la dépense et de la sphère publiques (financée par un niveau de prélèvements obligatoires le plus élevé de l'OCDE) et, d'autre part, le primat accordé à la consommation comme principal moteur économique, au détriment de la production. »
On est en plein dans ce schéma : "booster" de façon artificielle et externe le développement économique de Pézenas en faisant venir des gens qui ne travaillent pas sur Pézernas. Mais, plus de besoins créés, demandera plus de services, donc plus de travailleurs, donc plus de nouveaux logements ou plus de migrations pendulaires.
Bref, une spirale... ultra polluante sans aucune production locale de richesse.
La dépendance à l'heure où nous devons réfléchir à l'usage des énergies fossiles...
Dernier point et sans doute pas le moins important : lorsque cette équipe municipale avait fait campagne contre l’ancienne majorité qui portait ce projet, elle s’était engagée à y mettre fin.
L’engagement politique a un sens….
Je suis donc opposée à ce projet porté par la municipalité actuelle et soutient au contraire celui porté par l’association « Pour un autre projet Saint Christol ». La jeune génération doit pouvoir se dire que la protection de l’environnement n’est pas que du discours politicien pour conquérir des fonctions, que des projets alternatifs et locaux sont possibles et réalisables.
Je suis aussi favorable à un référendum local pour donner la parole aux Piscenois.
“Étudiez comment une
société utilise son sol et vous
pourrez tirer des conclusions
assez fiables sur ce que sera
son avenir.“ Ernest Friedrich Schumacher
https://www.urbanisme-puca.gouv.fr/IMG/pdf/livret_phase_1_final_v2.pdf
Respectueusement.
N° 241 : 19 septembre 2024 - 09:18
Auteur : Jean-Yves Martin
Organisation : P.C.F. Pézenas
Son avis : Favorable
Position de la Section de Pézenas du Parti Communiste Français
Depuis la conception de ce projet, chacun sait que le monde a totalement changé !!!
Ne pas en tenir compte en reconsidérant totalement ce projet de A à Z jusqu'à envisager de l'annuler serait suicidaire de la part des décideurs.
Bien cordialement.
N° 239 : 19 septembre 2024 - 08:48
Auteur : André Delanaye
Son avis : Défavorable
Bonjour,
Comment cautionner un tel projet prévoyant des centaines de nouvelles habitations à construire alors que le centre de la Ville de Pézenas à proximité immédiate compte tout autant d'immeubles déjà construits et ... inoccupés ?
Dès que les possibilités de logement dans la Ville commenceront à s'épuiser, il sera alors temps d'envisager un tel projet.
Cordialement.
N° 238 : 19 septembre 2024 - 08:33
Auteur : Chantal Blanquer
Son avis : Défavorable
Arrêtons de bétonner à tout va. Gardons le charme d’une petite ville à taille humaine .
N° 237 : 18 septembre 2024 - 22:41
Auteur : Marc Lauron
Organisation : Cpme34
Son avis : Favorable
La commune de Pézenas envisage la création d'une zone d'aménagement concerté (ZAC) à vocation d'habitat résidentiel au nord du centre urbain de la commune, dans des zones principalement agricoles et naturelles. Cette ZAC d'une superficie globale de 24 ha prévoit la construction de 655 logements. Ces constructions sont essentielles pour le développement de la ville qui connaît une forte pression immobilière. Le développement économique de la zone passe par une capacité d'accueil locale des personnels liés directement aux développements économiques.
N° 236 : 18 septembre 2024 - 22:17
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
je suis favorable à ce projet de nouveau quartier
N° 235 : 18 septembre 2024 - 21:19
Auteur : MARION GINESTE
Son avis : Défavorable
Nuisance sonore et visuelle, proximité, pollution, bétonisation, augmentation excessive de la fréquentation locale, saturation encore majorée des parkings...
N° 234 : 18 septembre 2024 - 20:34
Auteur : Christian BASSAS
Son avis : Défavorable
Monsieur le commissaire enquêteur ,je ne vais pas énumérer à nouveau toutes les raisons majeures pour lesquelles ce projet ne doit pas se faire .Compte tenu de notre époque il s'agit d'un projet écocide contraire à tous les avis des urbanistes , des sociologues qui considèrent que l'avenir est à la massification des villes rendues attractives par des aménagements environnementaux indispensables (pistes cyclables ,espaces verts ,commerces.)
A l'heure ou la société dans son ensemble prône la non-artificialisation des sols, ce projet est inadmissible .
N° 233 : 18 septembre 2024 - 20:29
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
De quoi redynamiser la cité piscénoise.
N° 232 : 18 septembre 2024 - 19:58
Auteur : nathalie bravo
Organisation : hypnotherapeute
Son avis : Favorable
Avis favorable
N° 231 : 18 septembre 2024 - 19:35
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Favorable au futur quartier St Christol
N° 230 : 18 septembre 2024 - 18:44
Auteur : MICHEL TOUZELET
Organisation : TOUZELET
Son avis : Favorable
Je trouve se projet à la hauteur de la demande de logement actuelle pour une commune comme Pézenas.
N° 229 : 18 septembre 2024 - 18:40
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Bonjour, Nous avons acheté notre résidence principale à Pézenas il y a trois ans. Nous connaissions cette ville, le bien être et la convivialité évidente a déterminé notre choix. L'agrandissement prévu dans le quartier Saint Christol semble mesuré et devrait apporter à cette ville du sang neuf. Les touristes sont des oiseaux de passage alors que de nouvelles maisons rajeunissent la population.
J'ai consulté en mairie les détails de ce projet : 500 maisons avec des logement sociaux, des espaces verts importants, moins de la moitié des 24ha constructibles... Ce projet semble équilibré.
N° 228 : 18 septembre 2024 - 18:21
Auteur : ERIC LAMON
Organisation : DOMITIA ASSURANCES
Son avis : Favorable
Un beau projet de développement en perspective
N° 227 : 18 septembre 2024 - 17:44
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Bonjour,
Je suis favorable à l'une opération d’aménagement du futur quartier Saint-Christol sur la commune de Pézenas.
N° 226 : 18 septembre 2024 - 17:37
Auteur : Jean-François Buono
Son avis : Défavorable
Bonjour.
En stérilisant les sols, nous perdons l'équivalent de la superficie d'un département tous les 7 à 8 ans. Rajoutons la perte de centaines d'hectares de terres arables pour le tracé du TGV Montpellier-Perpignan.
A cela se rajouterait la stérilisation de 24 hectares de terre pour un projet immobilier obsolète à St Christol.
Risques de pénurie d'eau potable
Je suis opposé à ce projet qui empêche totalement la percolation des eaux de pluies permettant l'alimentation des nappes phréatiques entre autres.
Merci.
Jean-François Buono
N° 225 : 18 septembre 2024 - 16:51
Auteur : YLHAME KASSI
Organisation : SAS NIRYS - YLPERFORM
Son avis : Favorable
Je suis favorable au projet.
Bien à vous.
Ylhame
N° 224 : 18 septembre 2024 - 16:11
Auteur : Olivier ROQUE
Son avis : Favorable
Enfin un projet ambitieux de logements et de terrains à bâtir sur PEZENAS.
L’arrivée d’un nouveau quartier résidentiel, comme celui de Saint Christol à Pézenas, apportera des bénéfices significatifs à la ville et à ses habitants.
Ce projet répond à des enjeux essentiels pour Pézenas, liés à la démographie, à l’économie locale, à la gestion des infrastructures et aux défis réglementaires actuels.
A. Plusieurs aspects positifs peuvent être mis en avant :
1. Dynamisme économique accru et opportunités d’emploi
Le quartier de Saint Christol créera des opportunités économiques pour les entreprises locales. En générant des emplois dans les secteurs de la construction et des services, le projet apportera une dynamique économique positive à Pézenas. À terme, l’augmentation de la population viendra soutenir l’activité des commerces de proximité, les entreprises de service et des artisans locaux, renforçant ainsi la vitalité économique de la ville.
2. Correction des problématiques liées aux infrastructures et à l’inondation
Le projet s’inscrit dans une zone pavillonnaire mitée, construite sans cohésion d’ensemble et dépourvue des réseaux publics essentiels :eau potable et assainissement.
Le projet permettra de moderniser les infrastructures publiques. La mise à niveau des réseaux d’eau potable, d’assainissement et de gestion du ruissellement améliorera les problèmes d’inondation rencontré dans cette partie de la ville. La conception du quartier intègre des dispositifs modernes de gestion des eaux pluviales et d’adaptation aux aléas climatiques, contribuant à protéger à long terme les habitants et les infrastructures.
3. Attractivité renforcée pour de nouveaux habitants et de jeunes ménages
L’arrivée de ce nouveau quartier rendra Pézenas encore plus attractive pour les familles et les jeunes actifs à la recherche d'un cadre de vie agréable, à proximité des grandes agglomérations tout en bénéficiant d'un environnement calme. Cela permet d’éviter la gentrification, le vieillissement de la population et de maintenir une population diversifiée dans la ville.
4. Amélioration du cadre social
L’installation de nouvelles familles renforcera la mixité sociale. Cela créera une dynamique plus vivante dans les espaces publics, favorisant les échanges entre anciens et nouveaux habitants, ce qui enrichit la vie sociale et culturelle de Pézenas. Les associations locales bénéficieront également d’une augmentation du nombre d'adhérents et de participants à leurs activités.
5. Opportunités pour des logements durables et accessibles
Ce projet résidentiel promeut une offre de logements variée, incluant des solutions abordables pour les jeunes ménages, tout en intégrant des critères de durabilité. Cela permettrait d’offrir une meilleure accessibilité au logement tout en encourageant des pratiques de construction éco-responsables, ce qui est en phase avec les enjeux environnementaux actuels.
6. Réponse à une demande forte d’installation de jeunes familles
Le nouveau quartier résidentiel de Saint Christol répond à une demande croissante de logements pour les jeunes familles. Pézenas fait face à une pression démographique, avec de nombreuses familles cherchant à s’installer dans la région. Ce projet offre des logements à des prix maîtrisés, permettant ainsi de répondre aux besoins de la population tout en évitant la spéculation foncière. L’objectif est de proposer des habitations accessibles sans compromettre l’équilibre du marché immobilier.
7. Stabilité du nombre d’enfants dans les écoles
L’installation de jeunes familles permettra de maintenir une stabilité, voire une augmentation, du nombre d’enfants dans les écoles locales. Cela est essentiel pour éviter la fermeture de classes et garantir une continuité dans l’offre éducative. Une population jeune favorise également la vitalité des infrastructures communautaires, telles que les centres de loisirs, et encourage le développement de nouvelles activités culturelles et sportives.
8. Maîtrise du coût du foncier et lutte contre la spéculation foncière
En parallèle, le nouveau quartier Saint Christol permet de maîtriser le coût du foncier. En augmentant l’offre de logements, la ville réduit les risques de spéculation qui pourraient rendre l’accès au logement encore plus difficile pour les jeunes familles. Ce contrôle est essentiel pour garantir un marché immobilier équilibré et éviter une flambée des prix, comme cela a pu être observé dans d’autres zones urbaines.
B. Les freins futurs du développement démographique de PEZENAS
1. L’illusion de la création d’une offre de logement par la restauration des bâtiments anciens en centre-ville
Il serait illusoire de penser que le développement démographique de la ville passe par la restauration des bâtiments anciens en cœur de ville.
Plusieurs obstacles majeurs limitent cette possibilité, à court terme, voir à moyen termes, de répondre à la demande de logements accessibles que ce soit en propriété ou en location :
• Inertie des propriétaires : De nombreux propriétaires sont réticents à rénover ou à mettre en location leurs biens, notamment en raison des contraintes réglementaires, financières ou administratives. La situation de gestion en copropriété de nombreux immeubles renforce l’inertie des décisions
• Coût élevé de la mise à niveau : La rénovation des logements anciens est souvent coûteuse, en particulier pour répondre aux normes actuelles de performance énergétique, ce qui limite leur accessibilité pour les jeunes familles.
• Contraintes du secteur patrimonial protégé : Le centre historique de Pézenas est soumis à des règles strictes de protection patrimoniale, rendant les rénovations complexes et souvent onéreuses.
• Inadéquation du PLU (Plan Local d’Urbanisme) : Le PLU actuel impose, pour chaque logement créé, l’obligation de prévoir des places de stationnement. Dans le centre ancien, il est difficile, voire impossible, de répondre à cette exigence, freinant ainsi tout projet de réhabilitation significative.
2. Zéro artificialisation nette (ZAN) et futur du développement urbain
Le projet de Saint Christol doit également être compris dans le cadre des réglementations futures sur la limitation de l’artificialisation des sols. Avec l’objectif de « zéro artificialisation nette » (ZAN) à l’horizon 2050, le développement urbain sera freiné, voire drastiquement limité. Cela rend d’autant plus précieux ce type de projets qui, en s’inscrivant dans une gestion raisonnée du foncier, anticipent ces évolutions tout en répondant aux besoins actuels de logements. Le quartier Saint Christol représente une solution immédiate et durable avant que ces nouvelles réglementations ne viennent restreindre les possibilités de développement futur.
Conclusion
L’arrivée du quartier résidentiel de Saint Christol à Pézenas s’inscrit donc comme une opportunité à saisir pour dynamiser la ville. C’est une réponse concrète aux besoins démographiques, économiques et environnementaux actuels de la ville. Ce quartier représente ainsi une opportunité clé pour la vitalité économique, sociale et environnementale de Pézenas.
En évitant les écueils liés à la reprise des logements anciens, en maîtrisant le coût du foncier, avec une planification adéquate, des infrastructures adaptées, en respectant les enjeux environnementaux, ce projet pourrait devenir un modèle de croissance équilibrée et harmonieuse pour la région.
Nos enfants pourront, enfin, s’installer et vivre dans notre si belle cité.
N° 223 : 18 septembre 2024 - 15:34
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Arrêtons la betonisation de terres agricoles et naturelles
N° 222 : 18 septembre 2024 - 15:21
Auteur : Philippe ROCH
Son avis : Favorable
Nous rencontrons ici des détracteurs, par principe, par idéologie, par croyances, il en existe même par solidarité...
Le quartier SAINT CHRISTOL s’inscrit dans une démarche de développement raisonné et durable.
N’en déplaise aux détracteurs qui devraient lire avec soin l’Etude d’impact jointe au dossier.
Mais la raison, le savoir ne semblent pas être les priorités de ces personnes qui sont contres parce que…
Qu’elles aillent, donc, expliquer aux 800 familles en attente d’un logement social sur PEZENAS leur déplorable postulat.
Qu’elles aillent également expliquer aux jeunes ménages désireux de devenir propriétaires sur PEZENAS à des prix maitrisés, d’aller s’installer ailleurs, loin de leurs parents et grands-parents.
Qu’elles continuent à insinuer une démarche capitaliste comme objectif alors qu’au contraire ce projet associe la mission de service public aux principes de l’économie de marché.
Cette opération répond à toutes les exigences liées à la création d’un quartier et de logements au 21ème siècle.
Une chose encore, de 2014 à 2019 ,il s’est construit sur PEZENAS 25 logements, soit 3 logements pour 1000 habitants.
SAINT CHRISTOL est un nouveau quartier de PEZENAS, respectueux de son identité, de son histoire et de son avenir.
Je suis FAVORABLE au projet.
Philippe ROCH
N° 221 : 18 septembre 2024 - 15:00
Auteur : Paul Ivorra
Organisation : président du CA de la SPNP protection de la nature du piscenois
Son avis : Défavorable
Argumentaire dossier St Christol Plan du dossier :
I- Argumentaire sol agricole.
II- II- Argumentaire sur la base de l’analyse contradictoire du SCOT du Biterrois
III- III- Argumentaire écologique-préservation de la biodiversité.
IV- IV- Argumentaire : la gestion de la ressource en eau dans le secteur de St Christol-les possibilités d’exploitation de la nappe jurassique profonde pour un objectif agricole (irrigation et chauffage de serres).
V- V- Argumentaire La gestion des risques d’inondation
I/- Le sol agricole de la zone de St Christol Pézenas est installé sur une péninsule de terres de qualité agronomique médiocres, issues de l’évolution en surface de dépôts marins du miocène. Cette péninsule peu valorisable en agriculture s’avance dans un espace fluviatile aux caractéristiques plus fertiles. Doc1 : Extrait de la carte géologique BRGM feuille de Pézenas L’enjeu de la localisation des terres arables, garantes de notre avenir alimentaire, est de préserver de la stérilisation les espaces à haut potentiel agricole. Ce potentiel est certifié de deux manières. La première est empirique et s’appuie sur l’expérience acquise au cours des siècles par celles et ceux qui nous ont précédé. Ici c’est le savoir faire des jardiniers de la ville. Là où ils ont implanté les jardins la terre est fertile : arable et irrigable. La seconde est scientifique. Elle s’appuie sur des analyses agronomiques faites par des gens dont la compétence est reconnue. La carte des sols identifie chaque structure et caractérise le potentiel agronomique des sols de France. C’est un outil libre d’accès, notamment via « Géoportail ». A la lumière de ces données, qui sont vérifiables par tout citoyen, on peut visualiser que l’implantation du futur quartier recoupe deux sols d’intérêts majeurs en matière de potentiel agricole.
Le potentiel agronomique du secteur de St Christol : - A l’Ouest le projet déborde sur les zones de terrasse récentes de Peyne-Tartuguier qui sont les zones des jardins maraichers de la ville. Doc2 : Extrait de la carte d’Etat Major de 1866 montrant le parcellaire des jardins vivriers exploités dans ce secteur de la ville à cette époque. Les Terres alluvionnaires sont enrichies par les limons des crues et un réseau de norias, de puits et d’aqueducs assainit et organise l’irrigation depuis au moins le XIVème siècle
SCOT DU Biterrois
Orientation B5 : Sécuriser l’alimentation en eau potable et économiser la ressource Objectif B5.4 : Engager une réflexion territoriale sur les ressources alternatives pour l’alimentation en eau potable du futur En l’état, si aucun changement sur l’existant n’est opéré, les ressources exploitées pour l’eau potable ne subviendront pas aux besoins à l’horizon 2030-2040 » Page 44 du DOO. Le constat est clairement établi. Certaines communes, dont celle de Caux, située à moins de 10km au Nord de Pézenas, ont vu leurs projets d’urbanisation bloqués faute d’une ressource en eau suffisante. Le projet de St Christol va générer l’implantation de plus de 1500 résidents nouveaux. Dans son objectif antérieur le SCOT précise : Objectif B5.2 : Conditionner les nouveaux projets d’aménagement à la disponibilité des ressources en eau. Le SCoT s’assure que le développement démographique reste compatible avec les capacités d’approvisionnement en eau potable ; l’objectif est de ne pas porter atteinte à la ressource disponible en quantité et en qualité, en adaptant au mieux les objectifs de développement aux capacités d’alimentation en eau potable existantes. Les collectivités devront justifier de la capacité d’alimentation en eau potable au sein des documents d’urbanisme locaux (PLU, PLUi) et des politiques de développement local en lien avec les services publics compétents et les SAGE. Dans les secteurs déficitaires, les collectivités doivent : ▶ Justifier de la disponibilité des ressources en eau potable nécessaires pour toute demande d’urbanisation. Dans son rapport d’étude 2018 de l’exploitation de la ressource géothermale pour alimenter et chauffer le nouveau quartier de St Christol, le BRGM prend pour consommation de base 128m3/h /an. Le programme St Christol présenté par la SEMOP comporte 655 logements (de diverses natures). Vu le taux d’occupation par foyer qui est en moyenne de 2.3 dans le secteur (Sources INSEE 2019), la nouvelle population devrait s’élever aux alentours de 1500 habitants. Le besoin en eau d’alimentation domestique moyen serait vers 192 000 m3/an.
A cette consommation il faut ajouter l’eau d’arrosage (collectif et privé) et celle des piscines individuelles : -D’après les données disponibles sur les sites officiels, en France la moyenne des piscines est de dimension 32m2 (8X4mètres). Ce type de piscine nécessite 48 m3 d’eau au remplissage puis un renouvellement au 1/3 par an: soit une consommation de 64 m3 d’eau par an, dans les conditions climatiques actuelles. Le programme foncier prévoit 230 terrains à bâtir. Dans le midi le taux moyen d’équipement en piscine avoisine les 40%. On peut donc compter sur l’installation de 92 piscines et une consommation annuelle majorée de quelques 6 000 m3 d’eau par an. -Le niveau d’arrosage annuel moyen est évalué à 2 000litres (2m3) d’eau pour un jardin de 100 m2. Le programme privé prévoit 230 terrains à bâtir pour une superficie globale de 33 815 m2. Vu le coefficient de construction, ce sont quelques 20 000 m2 privés qu’il faudra arroser en jardin : soit une consommation de 400 m3 d’eau dans les conditions climatiques actuelles et pour un jardin déjà établi (les premières années d’arrosage sont plus consommatrices et le mode d’irrigation influe fortement sur le rendement et donc la consommation). Ces estimations ne se basent que sur le volet privatif. La consommation d’eau pour l’arrosage public, pour les espaces non résidentiels, n’est pas intégrée ici. On avoisine au final un besoin moyen en eau de 200 000 m3/an pour le volet privatif du quartier de St Christol. A titre de comparaison, le rapport de la régie de l’eau de la CAHM de 2021 indique que le volume d’eau distribué dans le réseau de la ville de Pézenas pour 2021 était de 992 183 m3 d’eau. Le volume d’eau nécessaire au quartier de St Christol représente donc une hausse de près de 20% ▶ Accorder une priorité à l’économie d’eau (amélioration rendements) : A ce titre les travaux de rénovation du réseau sont toujours en cours à Pézenas.
Le SCOT fixe comme objectif d’atteindre le taux de rendement de 75% en zone rurale et de 85 % en zone urbaine (objectif B5.3 du DOO P44). Les données publiées par la régie de d’eau de la CAHM pour 2021 mentionnent un taux de rendement du réseau de Pézenas à hauteur de 65%, soit 10 points en dessous de l’objectif que fixe le SCOT (puisqu’il semble que Pézenas soit considérée comme commune rurale) pour autoriser un projet foncier sur une commune au regard des objectifs de la gestion de la ressource en eau. Dans sa décision de dispense d’évaluation environnementale édité en 2022, la mission régionale d’autorité environnementale d’Occitanie motive la dispense au vu du vu fait que la commune de Pézenas a bien « attesté après une étude fondée sur des données quantitatives, l’adéquation aux besoins de la ressource en eau potable de la commune ». Elle précise en note de bas de page : « La ville a complété le dossier approuvé par une note de calcul datant de juin 2021 et d’une attestation en date du 31 août 2021rédigées et signée par les représentants de la CAHM (gestionnaire du réseau Eau Potable et Eaux Usées). Le programme d’investissement (période de 2018 à 2023) devrait permettre l’atteinte d’un seuil de rendement de 75% à l’échéance 2023 avec une économie d’eau prévue de 161 063 m3/an ». En tant que tel le volume issu de l’économie par réparation des réseaux est du « même ordre » de grandeur que la consommation d’eau par le secteur privatif du futur quartier de St Christol. La création d’un réseau neuf sur le quartier de St Christol va aider à faire augmenter la moyenne de rendement du réseau. Il est nécessaire de poursuivre l’effort de modernisation de l’ancien réseau afin de na plus gaspiller un tel volume, et d’augmenter le rendement bien au-delà des 75% prévus par le cadre réglementaire. De fait, formulé ainsi, il semble qu’il ne s’agisse pas tant d’une adéquation du niveau de la ressource en eau à pomper dans la nappe de l’Hérault au regard de la consommation future mais d’une réduction des pertes sur les réseaux qui prélèvent et distribuent cette même ressource : il ne s’agit donc pas d’un calcul sur la ressource en elle-même. Ce biais de représentation des choses n’intègre pas non plus la totalité des expansions urbaines que les autres communes de la vallée de l’Hérault sont en train d’intégrer dans leurs modifications de PLU. La MRAe s’inquiète d’ailleurs, dossier après dossier, du niveau d’adéquation avec la ressource en eau suite aux projets d’urbanisation de Nézignan-l’Evêque, de celui de Roujan et bien d’autres communes. Ces demandes d’évaluation sont aussi couplées avec des demandes d’études sur la perte de sols agricoles. Mais à s’interroger commune par commune, on se doute bien qu’au niveau global l’effet sur l’aquifère qui alimente ces communes va subir une hausse des prélèvements qui va mettre fausser les calculs d’adéquation qui ont été faits à l’instant T pour pouvoir obtenir un avis positif. De plus, le calcul a été effectué sur la base de niveau de nappes aux conditions climatiques antérieures aux sécheresses enregistrées depuis l’été 2022. Le changement climatique s’accélère de manière plus importante en contexte méditerranéen que partout ailleurs sur la planète. Des données du GIEC sont, à ce titre, probantes : « En Méditerranée, le changement climatique sera l’un des plus radicaux au monde. Ce fait est établi avec un haut niveau de certitude. Tous les types de phénomènes y sont en changement : vagues de chaleur, de froid, inondations, pluies extrêmes, sécheresses, risques de feu, baisse des vents moyens, augmentation des cyclones méditerranéens, phénomènes côtiers… » extrait du rapport du Giec du 9 Août 2021. La nappe du fleuve mesurée sur le secteur de Pézenas se maintient à un niveau d’alerte renforcé depuis le 28 juillet 2022. Aucune recharge de nappe n’est venue alimenter la ressource ni en automne 2022 ni en hiver 2023. Les évaluations doivent donc intégrer l’évolution démographique globale ainsi que le volet climatique, car les nouveaux résidents vont s’installer pour des décennies. L’état de la ressource en eau va se raréfier alors même que les besoins, eux, seront augmentés de manière pérenne. ▶ Rechercher la sécurisation de la ressource (nouvelle ressource, interconnexions, protection des zones d’alimentation potentielles complémentaires). Le SCoT fixe comme objectif la réalisation ou l’actualisation de schémas directeurs d’alimentation en eau potable à l’occasion de toute révision des documents d’urbanisme communaux. L’étude du BRGM 2018 étudie le couplage de l’alimentation de St Christol en eau potable à un chauffage par géothermie en utilisant la ressource d’eau chaude situées à 1000 mètres de profondeur. Il n’a pas été présentée par le projet porté par la SEMOP. La ressource en eau envisagée est donc toujours celle de la nappe alluviale du fleuve, dans les conditions d’épuisement que l’on connait et soumise à divers projets de prélèvements futurs, dont celui du golf de Lavagnac (Commune de Montagnac). Autre projet en total décalage avec les objectifs du SCOT lui-même. En date du 28/02/2023, l’état de recharge des nappes phréatiques est largement déficitaire alors que nous sommes en pleine période de recharge hivernale. Il manque 200 mm d’eau par rapport à la moyenne et les nappes sont à un niveau de mois de Mai/juin. Les autorités nationales envisagent un nouveau plan « eau » d’ampleur nationale. Ce sera le 3ème plan national depuis 2010. Nous ne sommes plus dans une phase d’observation et de recherche pour trouver de nouvelles ressources mais dans une phase d’adaptation de nos sociétés à une réalité qui a changé nos conditions de vie. La notion de finitude des ressources dans un contexte d’aridification dû au changement climatique n’est pas intégrée dans les projets qui sont portés par les élus qui sont dans une démarche de résilience et non dans une démarche de sobriété. Dans la logique de la gestion de la ressource en eau, le SCOT aborde ensuite le volet du traitement des eaux usées. Outre la problématique du réseau de traitement individuel dans le cadre non collectif, le réseau collectif doit répondre aux objectifs de l’orientation B7 suivante
Orientation B7 : Participer à la limitation des pressions polluantes pour préserver les milieux naturels – Maitriser l’impact des activités humaines sur les milieux aquatiques Objectif B7.1 : Maîtriser l’impact de l’urbanisation et de ses rejets dans les milieux aquatiques Les eaux usées et les eaux pluviales doivent faire l’objet d’un traitement respectueux des objectifs d’atteinte du bon état des masses d’eau en recherchant le meilleur compromis technique, environnemental et économique. En complément du respect des objectifs de qualité des rejets fixés par les lois et règlements, des dispositions particulières peuvent s’avérer nécessaires pour la prise en compte d’enjeux locaux : zones protégées telles les captages AEP, réservoirs de biodiversité, zones humides, zones à risques d’infiltration, usages de loisirs, etc. Le Scot fixe comme objectif la réalisation ou l’actualisation de schémas directeurs de gestion des eaux pluviales et la réalisation d’un zonage d’assainissement pluvial à l’occasion de toute révision des documents d’urbanisme communaux. Le schéma traitera à la fois des risques d'inondation et des risques de pollution. Les documents devront comporter une évaluation des flux de polluants apportés par les eaux de ruissellement et les moyens pour réduire ces flux, si les objectifs de bon état ne sont pas respectés. Le problème de l’urbanisation de St Christol est que ce nouveau quartier est implanté sur le versant Est de la Peyne alors que la station d’épuration communale est implantée, quant à elle, sur le versant Ouest. C’est donc tout un système d’adduction qui doit collecter le pluvial, pouvant être pollué lors de sa traversée du quartier, et qui doit franchir le rivière Peyne. A moins de construire une nouvelle station d’épuration en lien avec le futur quartier. L’ouverture à l’urbanisation des sites de développement urbain sera envisagée sous réserve des capacités suffisantes de traitement des eaux usées. Une bonne adéquation sera assurée entre l’ouverture à l’urbanisation d’un nouveau quartier résidentiel ou d’activités et la capacité de la station d’épuration à traiter les effluents supplémentaires correspondants. La station d’épuration de la commune de Pézenas a été construite pour une capacité nominale de 31 850 habitants. Depuis 2015, elle reçoit les eaux usées de Caux et de Tourbes. La dynamique démographique a porté le nombre d’habitants à 8 000 pour Pézenas (2021), 2 537 pour Caux (2021) et 1826 pour Tourbes (2022) : soit 12 363 habitants. Il existe donc une marge opérationnelle en termes de volumes à traiter. Par contre, tout comme le pluvial, le raccordement du futur quartier de St Christol à la station d’épuration communale ne peut se faire sans un important investissement dans la réalisation d’un réseau traversant la rivière Peyne. Ou bien en construisant une nouvelle station d’épuration (sur quels terrains ? aux frais de qui ?).
I- Le quartier St Christol et les enjeux de la gestion des terres arables: Dans ses objectifs de limitation de l’impact de l’urbanisation sur les terres agricoles actuelles ou à potentiel agricole futur, plusieurs objectifs du SCOT entrent en contradiction avec la création d’un nouveau quartier d’urbanisation à St Christol : Orientation B8 : Lutter contre la consommation d’espaces agricoles et naturels Objectif B8.1 : Prioriser et optimiser les espaces au sein de l’enveloppe urbaine Avant tout nouvel aménagement, quelle que soit sa vocation, le principe d’optimisation foncière dans l’espace constituant l’enveloppe urbaine doit être appliqué. Pour la production de logement : Les communes, à travers leur document d’urbanisme doivent analyser la capacité de densification et de mutation dans l’enveloppe urbaine existante (hors enclaves agricoles ou naturelles). Les sources INSEE 2019 recensent sur Pézenas 695 logements vacants. Le programme du quartier de St Christol en prévoie 655. Certes, tous les logements vacants recensés ne correspondent pas aux critères d’habitabilité recherchés dans les conditions de vie actuelle et nombre d’entre eux devraient subir des adaptations pour permettre une mise aux normes. Mais cette donnée montre que, dans le cadre d’un plan urbain volontariste, en opérant les transformations du cadre urbain lui-même, et en permettant l’adaptation des logements, on peut accueillir des populations nouvelles sans étaler l’urbanisme en secteur rural. Par ailleurs, la majorité des implantations de logements neufs se fait, depuis plus de 15 ans, en secteur Ouest et Sud/Ouest de la ville. C’est d’ailleurs le secteur de développement des zones commerciales. Or le quartier de St Christol est positionné en secteur Est, totalement à l’opposé du secteur d’activité. Outre que le secteur Est a conservé un caractère paysager rural en entrée de ville, caractère paysager qui sera sacrifié, l’implantation de ST Christol est un contre-sens total au niveau de l’urbanisme et des équilibres en termes de circulation dans la ville. Il existe encore dans le secteur Ouest et Sud/Ouest de la ville des terrains à vendre, des demeures agricoles abandonnées, qui peuvent faire l’objet de mises en lotissement ou en programmes de constructions sur 2 étages. Des solutions existent donc, en l’état actuel de la ressource foncière, dans le cadre urbain actuel. Doivent être identifiés les secteurs déjà artificialisés qui n’engendrent pas de consommation d’espaces agricoles et naturels : les « dents creuses », friches urbaines et espaces désaffectés ou tout autre espace pouvant faire l’objet d’une densification, par exemple en opération de démolition/reconstruction, possibilité de division parcellaire. Le secteur Sud et Sud/Ouest de l’espace urbain de Pézenas connait un développement et une mutation accélérée. Des espaces de domaines autrefois viticoles, des jardins, des locaux commerciaux ou industriels, sont réaménagés en zones de résidences. Cette mutation, couplée à nombre de logements vacants déjà localisés en centre-ville, offrent des opportunités d’accueil de populations nouvelles. En 2022, la commune de Lézignan-la-Cèbe, voisine à l’Est de celle de Pézenas, comportait 1587 habitants (sources INSEE). Toutes proportions gardées, le projet de ST Christol correspond donc à un projet de type « ville nouvelle » des années 1960, avec son ilôt principal initial, puis, secondairement, son expansion périphérique qui ne manquera pas de s’étendre dans une dynamique centrifuge vers les collines qui surplombent le quartier, quoiqu’en disent les « promesses » de maîtrise du PLU qui n’ont jamais évité le mitage urbain ni la cabanisation en domaine rural. Objectif B8.2 : Principes de continuité et de compacité de l’urbanisation Le développement urbain doit éviter le morcellement de l’urbanisation et le mitage des secteurs non encore urbanisés. Les zones d’urbanisation futures doivent être positionnées en continuité du tissu urbain existant. Afin de lutter contre l’étirement de l’enveloppe urbaine, notamment le long des axes de communication : ▶ Les documents locaux d’urbanisme doivent positionner les zones d’urbanisation futures de façon à maximiser le linéaire de leur périmètre en continuité avec des zones U ou AU ouvertes ; ▶ Pourront être prises en compte les contraintes topographiques, les zones de risques ou de servitudes, les nuisances générées par certains types d’occupations du sol (activités bruyantes, polluantes…), la valeur écologique ou agronomique. La seule opportunité foncière ne pourra pas être retenue comme une justification acceptable; Or c’est bien le cas sur le projet de St Christol ! C’est l’opportunité foncière qui a déterminé le lancement d’une opération d’acquisitions de terres qui sont situées en rupture totale avec le tissu urbain existant. Le quartier est coupé de la ville par la vallée inondable de la rivière Peyne. Un seul pont, avec une circulation sur deux voies, permet le lien avec la ville. ▶ Un aménagement de quartiers structurés et mieux articulés avec l’urbanisation existante doit être envisagé en priorité. L’urbanisation par juxtaposition successive d’opérations le long des axes routiers doit être évitée. Le seul axe de communication calibré pour recevoir un flux de véhicules entre le quartier et la ville est la nationale. Et ce quartier sera justement « le long du seul axe de communication » possible. Ce projet cumule donc toutes les recommandations que le SCOT demande d’éviter. Il en découle que ce projet est, au titre des recommandations d’urbanisme du SCOT lui-même « non acceptable ». Objectif B8.3 : Préserver les espaces productifs (viticoles, agricoles) de l’urbanisation Le SCoT accorde une grande importance au maintien et la préservation des espaces viticoles et agricoles du territoire, tels que les espaces productifs (maintenir ou rétablir le potentiel de production agricole perdu). Dans cette optique, les documents d’urbanisme locaux s’attacheront à : ▶ Intégrer une réflexion relative à la séquence « Eviter Réduire Compenser » appliquée à l’agriculture afin de limiter la consommation d’espace agricole et de limiter ainsi l’impact sur les filières agricoles. Il s’agit en premier lieu de chercher à éviter l’impact sur l’agriculture en positionnant les projets de développement, d’aménagement en dehors des secteurs à enjeu agricole. S’il est démontré que l’évitement est impossible, il s’agit en deuxième lieu de chercher à réduire les effets du projet sur la filière agricole, en cherchant des solutions dans la conception du projet. Si l’impact du projet sur les filières agricoles ne peut ni être évité, ni réduit, les filières impactées et donc à compenser peuvent être définies. Les projets soumis à étude préalable agricole (projets remplissant les conditions édictées par le décret du 31 août 2016) se chargeront de définir précisément les pistes de compensation. ▶ Prioriser l'extension de l’urbanisation sur les espaces agricoles présentant les valeurs agronomiques les plus faibles Le projet de St Christol est localisé sur des terrasses alluviales anciennes du pleistocène moyen. Le secteur Ouest de la zone (plaine de Peyne et Tartuguier) fait partie d’une zone dans laquelle se sont étendus les jardins vivriers de la ville. La terre y est plus sableuse et irriguée par un réseau de canaux souterrains reliés à des norias. Ce système assurait une double fonction de drain et d’irrigation en surface. Le secteur Est de la zone est une zone géologiquement caractérisée par des dépôts alluviaux du pléistocène moyen déposés en discordance sur des sables et argiles marines miocène. Cette dualité stratigraphique confère à ce secteur un rôle de captation des eaux venues des collines qui surplombent St Christol. Ces eaux drainées en surface par le miocène imperméable sont entrainées ensuite, en contrebas des collines, en profondeur, dans l’épaisseur des alluvions anciennes (où alternent les sables et les graviers-galets transportés par le fleuve). Ce contexte de drain et de captation joue un rôle de mise en réserve de l’eau. Situé dans les limites de l’AOP viticole Pézenas, ce type de terrain comporte un potentiel certain pour développer cette viticulture de qualité. Le secteur de St Christol bénéficie donc d’un double potentiel : maraichage à l’Ouest, arboriculture et viticulture à l’Est. ▶ Eviter l’urbanisation des espaces faisant l’objet de périmètres d’appellations Nous sommes dans l’AOP Pézenas Les documents d’urbanisme doivent réaliser un diagnostic agricole leur permettant d’identifier les espaces agricoles, en particulier les espaces agricoles à forts enjeux à préserver durablement. Les friches agricoles sont analysées au même titre que ces espaces cultivés comme réservoir de développement d’activité. La donnée d’occupation du sol permet une analyse diachronique depuis 2001. Nous n’avons pas été destinataires, à titre informatif, de ce genre de diagnostic dans le cadre du projet d’urbanisation. La carte des sols indique que le potentiel agronomique de ce sol est bon. Il est repéré dans la catégorie des « sols évolués » sous la dénomination de « fersiasol ». Actuellement altéré par une pratique agricole intensive et peu respectueuse de la vie microbienne, ce type de substrat peut rapidement, dans le cadre d’un autre mode cultural, donner un sol très intéressant car il a une bonne capacité à retenir et à échanger la ressource en eau ainsi que les éléments minéraux nutritifs. Cette double efficience sera des plus utiles dans le cadre d’une agriculture qui aura à s’adapter à un contexte climatique de plus en plus aride
II- Objectif B8.4 : Limiter la consommation d’espace à vocation résidentielle Suivant les objectifs de réinvestissement urbain (Objectif B8.1), le SCoT prévoit la réalisation de 54% du besoin en logements estimé en extension des enveloppes urbaines existantes. Afin de renforcer l’efficacité du tissu urbain, le SCoT demande le développement de formes urbaines plus denses permettant d’urbaniser de façon plus économe et durable. L’objectif est de réduire le rythme de la consommation d’espaces passé (2011-2021) équivalent à 50% soit 37 ha/an (Objectif B8.5). Concrètement, le SCoT institue les densités moyennes minimales d’habitat suivantes sur le territoire pour la période 2021-2031 puis une majoration de 25% pour la période 2031-2040. Ce phasage est en lien avec l’objectif cyclique décennal de réduction de l’artificialisation de la loi Climat et Résilience1. Dans le cadre de la Loi climat et résilience, le calcul du niveau d’urbanisation de Pézenas à l’échelle 2030 est évalué à 3.4 hectares. D’ici 2040, sur la même dynamique, ce sont 6.8 hectares au total qui pourront être ouvert à l’urbanisme. Le projet de St Christol consomme à lui seul 24 hectares (projet SEMOP). Si le cadre légal devait être respecté, et nous voyons pas comment il ne le serait pas, ce projet d’urbanisation devrait s’étaler sur 7 phases de 10 ans chacune: 70 ans pour réaliser un projet immobilier qui, à lui seul, mobiliserait toute la capacité de création d’espace résidentiel nouveau sur le territoire communal. Ce projet pousse la commune dans une situation où elle ne pourra pas respecter le cadre légal. Les documents locaux d’urbanisme et sectoriels doivent prévoir une densification plus importante sur les secteurs situés à proximité des points d'accès au réseau de transports en commun. Dans le cas présent il n’existe aucun réseau apte à recevoir un réseau de transport en commun car les voiries de la zone sont calibrées pour recevoir une circulation en contexte rural. La seule alternative résidait dans la création d’un arrêt de train ou de tram rural dans le cadre de la réouverture ferroviaire de la ligne Agde-Pézenas. Toutefois, alors que le DOO du SCOT proposait cet aménagement dans une version antérieure, la CAHM a décidé, contre la proposition du SCOT, d’abandonner cette opportunité de liaison ferroviaire au profit d’une voie de circulation à vélo. Ce choix constitue une opportunité manquée de créer un axe de mobilité de qualité entre Agde et Pézenas. Entre l’arrière-pays de la CAHM et les lignes TER/TGV en gare d’Agde. Cette opportunité aurait facilité grandement la vie des résidents du piscénois ainsi que les déplacements depuis la gare d’Agde vers l’arrière-pays dans une vision de tourisme écologique. Ce choix aurait, enfin, créé sur Pézenas, un véritable nœud intermodal : Train/Bus/Voitures/déplacements doux (vélo…) qui aurait irrigué de manière bien plus efficiente notre territoire.
III-
IV- Conclusion :
V- Le choix du soutien à un projet d’urbanisme, initié sous la mandature de M. Vogel, et dont a hérité le maire actuel, relève d’un passage aux forceps d’un projet intégré par la majorité municipale actuelle. Si tant est que l’objectif démographique soit un objectif justifiable dans le contexte actuel (ce qui relève d’un autre débat), d’autres programmes de logements existent dans le zonage urbain déjà délimité. Mais ces alternatives ne sont pas retenues, à priori, car il faut imposer (faute de pouvoir le justifier en lui-même) le programme de St Christol à tout prix. Alors-même que les élus ont adopté à l’unanimité le programme du SCOT 2040 lors de la séance syndicale du 25 Octobre 2022, comment peut-on encore soutenir un tel programme d’urbanisation quand il multiplie les contradictions avec tous les grands enjeux qui guident le SCOT 2040 ? -La préservation de la ressource en eau -Le maintien des terres agricoles -La maîtrise d’un urbanisme qui respecte les zones rurales -La cohérence entre pôles économiques et pôles résidentiels -La cohérences en termes de fluidité des mobilités intra-urbaines et entre les villes du territoire… Toutes ces contradictions conduisent ce projet de Saint-Christol à relever davantage d’un exercice de contorsions ayant pour but de trouver, à priori, des voies pour déroger aux lois et aux règles. Il ne relève pas d’un réel plan en cohérence avec les grands enjeux qui doivent guider les politiques d’aménagement du territoire dans le contexte actuel (raréfaction de la ressource en eaux, besoin de terres arables pour produire en circuits courts…). C’est l’héritage d’une mandature précédente qu’il faut « réussir à caser » par faute de s’être engagé dans le processus financier au point que seule une décision supérieure au niveau communal (au niveau du SCOT, de l’état…) pourrait mettre un terme à ce programme incohérent qui va à l’encore des intérêts mêmes de la commune sur le long terme.
III- le volet écologique
1°- La notion de corridors écologiques pour compenser le morcellement de l’environnement dans le périmètre du secteur anthropisé. Déjà dans les années 1970, devant les premiers résultats d’études menés sur l’avifaune dans les secteurs du littoral méditerranéens, le naturaliste François Hue décrivait la situation démographique des effectifs lors des comptages comme un échec dans la politique de création de réserves isolées. Pourtant les oiseaux peuvent voler et passer d’une zone protégée à une autre. Mais la multiplicité des barrières rendait inopérante cette stratégie. Aux zones de protection intégrale il fallait rajouter des zones de préservation afin de limiter les ruptures écologiques. Ces ruptures sont la conséquence de plusieurs barrières, souvent mal anticipées. On pense aux murs, aux routes à traverser, aux caniveaux…on oublie les sons, les produits chimiques les lumières et autres repères dont la diversité de la faune et de la flore se servent pour établir leurs relations complexes pouvant mener à l’accomplissement de leur cycle de vie complet. Dans le cadre très restreint d’une zone à urbaniser, le développement d’une stratégie de mise en lien des « zones naturelles » (avec toutes les réserves sur l’emploi même de ce terme dans un tel contexte !) relève encore d’études qui n’ont toujours pas fait l’objet de publications acceptées par la communauté scientifique. Nous avons relevé cet exemple dans une étude d’impact afin d’illustrer cette problématique : Efficacité des corridors : qu’en savons-nous vraiment ? 3 octobre 2014 Par : VANPEENE-BRUHIER, Sylvie ; BOURDIL, Chloé ; AMSALLEM, Jennifer DOI : 10.14758/SET-REVUE.2014.14.02 Conclusion: Les connaissances scientifiques relatives aux conditions nécessaires pour qu’un corridor soit efficace ne sont pas suffisantes pour pouvoir conseiller le décideur (élu qui aura à modifier son plan local d’urbanisme, aménageur qui veut planifier une reconnexion de corridor). Il est donc fondamental que ces deux mondes se retrouvent enfin autour de projets concrets d’aménagement qui pourront servir de terrains d’études aux scientifiques. Pour cela, des anticipations sont nécessaires pour monter des programmes de recherche et collaborations permettant de définir des protocoles et de réaliser des états initiaux (avant restauration). Par ailleurs, maintenir un biotope c’est intégrer l’ensemble des contraintes liées à la réalisation du cycle de vie des espèces qui y vivent en interdépendance. Certaines durant l’année complète, d’autres de manière saisonnière. La fragmentation d’un territoire correspond pour certaines espèces à la dégradation de leur espace de vie total, alors que pour d’autres l’impact est sur une portion de son territoire. La préservation des espèces autravers du maintien de corridors « écologiques » relève d’un exercice très difficile sur le long terme. Par exemple, cibler certaines espèces emblématiques dans le cadre d’un plan d’action (les hérissons les crapauds…) ne présente pas un élément bien cohérent en soit. En effet, pour que ces espèces se maintiennent, en plus de ne pas se faire écraser en traversant la chaussée bordée de trottoirs infranchissables ou dévorer par un animal domestique sorti du jardin pour aller faire ses besoins du soir devant le portail des voisins (…), il faut que les espèces dont elles se nourrissent persistent dans l’environnement… Conclusion : Pour relever d’une rigueur scientifique, le programme de gestion écologique du quartier de St Christol devrait s’inscrire dans le cadre général d’une étude écologique en lien avec un sujet de recherche doctoral universitaire. Il y trouverait ainsi son utilité à postériori. Dans le cadre du dossier présenté, le vocabulaire et les concepts manipulés relèvent tout au plus d’une « gesticulation verbale ». 2°- La compensation écologique et le cadre de la protection de l’espèce emblématique que constitue le lézard ocellé. Le lézard ocellé est une espèce territoriale. La dégradation de son milieu de vie dans le secteur de St Christol (par exemple les murets de pierre sèche dans lequel il établit ses refuges) va conduire à ce qu’il quitte le secteur pour monter plus en amont dans les collines. Sur le territoire d’un autre lézard…De fait il mourra faute de ne plus avoir son espace vital. Les lézards qui sont déjà implantés sur les secteurs environnants défendront leur espace vital afin de préserver leurs ressources et assurer leur descendance. Il en est de même pour maintes autres espèces actuellement installées dans ce secteur. La mort d’un individu dans un secteur 1 et le maintien d’un autre déjà présent dans un secteur 2 constituent mathématiquement à la disparition d’un individu. La mise en protection d’un espace qui est déjà peuplé ne constitue donc pas une compensation au sens réel un terme « compensation ». Le programme de compensation, tel qu’il est prévu par la réglementation (et donc pas seulement dans le cadre de ce projet), ne repose sur aucun concept scientifique. Surtout que le cadre légal garantit le maintien de la qualité de l’espace de compensation sur un délais de 30 années…jusqu’à ce qu’un autre projet voit le jour dans cet espace initialement préservé. Espace alors sacrifié et qui nécessitera de trouver une autre zone de compensation…ainsi de suite… Dans cette « manipulation écologique » plusieurs victimes sont à déplorer : -La langue Française qui y perd le sens de l’un des ses mots de vocabulaire (compensation !!). -La logique mathématique car on nous fait croire que 2-1 = 2 -Les effectifs des espèces ciblées et la diversité génétique de leur population (et donc, à terme, la survie de l’espèce). Le projet prévoit la mise en place d’un plan de gestion afin de réguler les activités et les nuisances générées (notamment la divagation des animaux domestiques qui contribuent à l’extermination des espèces dites sauvages)…aucun cadre n’est prévu pour encadrer et gérer ce plan de gestion…il est donc à craindre que ce sujet qui a été placé à l’ordre du jour du projet y demeure inscrit pour longtemps
IV-la gestion de la ressource en eau dans le secteur de St Christol Etude préliminaire sur la Possibilité d’exploiter l’aquifère jurassique supérieur pour l’irrigation et le chauffage de serres de cultures (reprise des travaux publiés dans le cadre similaire de l’usage de cette ressource dans le cadre de l’exploitation agricole du domaine de l’Auribelle à Pézenas). Cadre : SPN-Piscénois, septembre 2023 I- Origine et objectif de cette pré-étude de faisabilité : Lors d’une réunion du CCET décision a été prise d’établir un pré-diagnostic de faisabilité afin d’alimenter la réflexion du conseil municipal. La SPN-P étant souvent intervenue dans le domaine de la ressource en eau, nous avons proposé de rédiger un argumentaire. Le domaine de l’Auribelle s’étend sur 13 hectares. Le domaine agricole de St Christol sur 24 hectares. II- Les ressources utilisées : L’intégralité des études réalisées par le BRGM sont accessibles sur le site INFO-Terre. Nous avons donc compilé le contenu de divers rapports archivés. Trois d’entre eux ont permis d’accéder à des données locales en les actualisant jusqu’au dernier travail réalisé à la demande de la commune en 2018. -Forage géothermique Pézenas 2, examen de l’état de l’ouvrage et des possibilités d’améliorer son exploitation. BRGM-X. Paul-1984. -Description des aquifères du département de l’Hérault, rapport final du BRGM/RP-54849-FR M.Blaise et J-P.Marchal, 2006 -Etude d’opportunité de production couplée de géothermie et d’eau potable pour le quartier de St Christol à Pézenas. Rapport final BRGM/RP-67583-FR C. Maragna et L. André Janvier 2018. -Fiches techniques du BRGM sur les nappes et aquifère du département de l’Hérault.
III- La ressource dans son contexte géologique et les enjeux de conservation qui en découlent : La ressource, atteinte depuis 1949 par le forage pétrolier Pézenas2, exploite une eau qui appartient à un système complexe nommé « nappe des calcaires jurassiques du pli de Montpellier ». Elle est exploitée depuis 1970 par la commune. Le secteur de recharge de cette nappe est situé dans les zones où affleurent les calcaires et dolomies du jurassique supérieur. Si la superficie de la zone d’infiltration est de 863 Km2, il est à relever qu’une grande partie a déjà été rendue imperméable par une urbanisation expansive dans les secteurs du montpellierain et du littoral. Les principales zones de recharge restantes sont le Massif de la Mourre, le Causse d’Aumelas et le secteur haut du Massif de la Gardiole. Avec un niveau de précipitations allant actuellement de 620 à 820 mm/an, le niveau de recharge global de la nappe est estimé à 42 millions de m3/an. Les études récentes fondées sur les zones de prélèvements identifiées et visitables (double impondérable qui fausse grandement le bilan) estiment le niveau de prélèvement moyen à 15 millions de m3/an. Les études de tracéologie chimique permettent d’estimer que le cycle de renouvellement de cette eau au niveau des nappes atteintes actuellement est de 10 ans. C’est donc la période de résilience et donc la marge de sécurité en cas de nécessité de modération dans l’usage de cette nappe, dans les conditions climatiques connues à l’époque des études (années 1990/2000). Il faut donc tenir compte du changement climatique et de son probable effet sur cette période de recharge qui ne pourra qu’augmenter. En tout cas cette ressource profonde n’est pas « sans limites ». Cette moyenne de prélèvement évaluée à 15 millions de m3/an est à pondérer en fonction des secteurs : avec un usage grandissant, les secteurs de la Mosson et du littoral de Thau ont un niveau de prélèvement qualifié de déséquilibré pour le maintien de cette nappe au niveau piézométrique d’équilibre. Toutes les études montrent l’intérêt à porter sur deux plans : -La poursuite des études géologiques afin de bien mieux cerner le cycle hydrologique de cette nappe. -La mise en place d’une politique de gestion au niveau de tout son « bassin versant » depuis les zones de recharge en amont vers les zones aval dont Pézenas constitue le marge Ouest. -la mise en place de pratiques adaptées au maintien de la qualité de l’eau dans les zones d’infiltration. Sans ces éléments de connaissances et de gestion il est à craindre que, dans le contexte climatique d’aridification et d’épuisement des nappes alluviales ou miocènes, une accumulation des prélèvements sur cette nappe très profonde ne se traduise par un assèchement de ce qui constitue une ressource de « sauvegarde ». IV- Les éléments permettant d’envisager une exploitation à finalité agricole : La nappe jurassique est déjà exploitée dans divers domaines d’activités sur le département : -Irrigation agricole et de golf dans le bassin de Villeveyrac. -Géothermie sur le puits Pézenas2 et Castillonne de Montagnac. -Thermalisme sur le secteur de Thau à Balaruc-les-Bains. -Industrie à St Jean de Védas (exploitée par Midi Libre). 1°- Un usage à vocation d’irrigation agricole est possible : L’usage agricole est déjà avéré à Villeveyrac. Les travaux réalisés par le BRGM depuis 1984 montrent que l’eau peut remonter de manière artésienne, sans système de pompage. Le débit mesuré va de 43 m3/heure à 90 m3/heure. Lors de la mise en place des pompes le débit d’exploitation a été porté à un volume régulier de 200 m3/heure. Les besoins en irrigation d’une culture maraichère classiques sont évalués par les sites spécialisée à 3 000 m3/ha/an. Sur la totalité des 6.3 hectares pouvant être mis en culture le volume nécessaire est donc de quelques 20 000 m3/an. Avec un débit de 200 m3/heure ce volume est atteint en seulement 100 heures de fonctionnement de la pompe (4 à 5 jours de fonctionnement). Que cette eau soit directement pompée ou bien qu’elle soit temporairement stockée dans des « bassins » en surface, la ressource est largement suffisante pour couvrir la demande en eau d’irrigation. Dans un contexte d’aridification cette ressource peut aussi garantir un volant d’irrigation de sécurité. Les facteurs limitants : La qualité de l’eau a déjà été évaluée. Sur le forage Pézenas2 les données disponibles révèlent un problème de teneur en Fe++ élevée. Cette concentration génère le développement d’encroutements sur les installations et de possibles obstructions de canalisations de faibles diamètres. Un traitement de cette eau est donc indispensable pour son utilisation dans un réseau géothermique et d’irrigation. 2°- Un usage à vocation géothermique pour chauffer des serres est possible : L’étude 2018 du BRGM montre que le débit de la ressource (200 m3/heure) permet de chauffer une surface de 57 000 m2 (soit 5.7 hectares). Cette prévision, rapportée au site de l’Auribelle, montre que cette ressource permet de chauffer une grande partie des 6.3 hectares prévus pour une exploitation maraichère. Les facteurs limitants : En ce qui concerne la température de sortie, et donc le potentiel géothermique, il faut relever deux éléments : - L’exploitation à 1147 mètres de profondeur de la source de Castillonne à Montagnac a montré que la température n’était que de 26°C alors qu’elle est de 37°C sur le forage Pézenas2 qui a atteint la nappe à « seulement » 735 mètres. La complexité structurale (plis, failles) se traduit par une relative prudence à avoir sur le niveau de chaleur initial de la ressource en fond de puits. Etant plus proche de la captation de Pézenas2, nous supposons que c’est plutôt au-delà de 30°C que se situera ce paramètre. -L’écart entre la température de fond de puits et celle à la sortie d’exploitation varie en fonction de la vitesse de remontée du volume d’eau exploité. La perte a été mesurée de l’ordre de 7°C lors de l’exploitation du puits de Pézenas 2 en simple remontée artésienne (30°C à la sortie contre 37°C en fond de puits). Cette perte a été éliminée lors de l’installation de la station de pompage. 3°- Les éléments financiers Le forage nécessite un investissement lourd. L’évaluation du BRGM pour le système adapté au quartier de St Christol montre que pour un appareillage de 1000 mètres le coût de revient des travaux et de la maîtrise d’ouvrage est de 1 million d’euros. Toutefois, situé dans le prolongement du forage Pézenas 2 qui a atteint la nappe à 735 ;56 mètres on peut supposer que le besoin en financement sera moindre : vers 750 000 euros. L’autre question à porter lors d’une étude technique serait de savoir si l’adduction d’une partie de l’eau chaude depuis le forage Pézenas 2 existant est envisageable pour satisfaire aux besoins en chaleur et en eau du projet. Dans ce cas, le forage sur l’Auribelle serait inutile. L’installation de l’unité de pompage pour St Christol est évaluée à 373 000 euros. Ici encore ce montant est à relativiser pour une unité de pompage à vocation agricole. A ces investissements, il faut ajouter le prix des serres, de l’installation de leur système de chauffage géothermal et le coût de la réalisation d’un éventuel stockage de l’eau (Si tant est qu’il soit judicieux car la nappe représente elle-même un stockage). Par contre un couplage entre l’exploitation de la nappe en voie de secours et d’un système de collecte des eaux de ruissellement peut être envisagé pour soulager l’exploitation de la ressource et diminuer le coût de dépense énergétique lors de la mise en route de la pompe. Sur les sites spécialisés consultés le prix d’investissement du mètre linéaire se serre équipée d’un système de géothermie s’élève à 500 euros HT. Sur un hectare, avec un linéaire de serres espacé tous les 10 mètres le linéaire serait de 1 000 mètres : soit un investissement de 500 000 euros à l’hectare. Si la totalité des 6.3 hectares de terres disponibles étaient couverts de serres géothermiques l’investissement total serait d’environ 3 150 000 euros. Enfin, si la minéralisation, notamment en fer, doit entrainer des problèmes d’entretien des réseaux d’irrigation et de chauffage des serres, il sera nécessaire d’installer une unité de traitement de l’eau avant son utilisation. Le coût d’un déferriseur pour pompage agricole est proposé sur les sites spécialisés à environs 2 000 euros l’unité. Le montant global estimé (mais devant être expertisé de manière plus rigoureuse) s’élève à un investissement financier de l’ordre de 4.3 millions d’euros si l’intégralité des 6.3 hectares et couvert de serres géothermiques. A titre comparatif aux investissements nécessaires pour un tel projet Il faut intégrer le fait que dans son plan d’irrigation 2018/2030, le département de l’Hérault a planifié divers projets pour augmenter l’accès à l’eau dans le cadre agricole (viticulture comprise). Parmi les infrastructures envisagées, la collectivité a planifié des renforcements de réseaux d’adductions ou de prélèvements dans les nappes fluviatiles de surface. Mais également la création de bassins-réservoirs d’eau afin d’alimenter sur 1 à 3 mois en été les cultures. Ces étangs-barrages représentent des hectares de terres englouties pour des rendements effectifs qui vont de 31% pour le barrage d’Adissan à 46% pour celui de Coulobres (car il faut retirer au volume utile la perte par évaporation). Les investissements pour réaliser ces ouvrages se montent entre 3 et 5 millions d’euros ? Il faut y ajouter une charge de fonctionnement annuel de 60 000 à 30 000 euros. En intégrant seulement l’investissement (sans le volet fonctionnement) le ratio de coût financier s’élève entre 5.3 et 6.7 euros/m3 utilisable dans ce type de barrage. Pour idée, le prix moyen du m3 d’eau potable est de 4 euros en France (ce prix intègre l’ensemble des éléments depuis le pompage-traitement de potabilité-retraitement des eaux usées). Si on intègre le très faible rendement de ces zones d’étangs artificiels et les charges de fonctionnement, le prix du m3 de l’eau d’irrigation tel qu’envisagé est très élevé ! Avec un potentiel d’exploitation annuel calculé sur la base du rendement ciblé par de BRGM (200 m3/h), si l’exploitation de la nappe est maintenue sur une année entière, le ratio financier s’élève à 2.45 euros/m3 d’eau exploitée en irrigation et en géothermie. C’est donc un coût annuel moyen de plus de moitié inférieure à celui envisagé dans le cadre du plan d’irrigation départemental pour des infrastructures de type barrage qui ont en plus des taux de perte par évaporation de plus de 50 % IV- Le processus administratif : L’exploitation d’une ressource géothermique à plus de 200 mètres de profondeur et pour une température de moins de 150 °C est soumise au code minier. Elle s’appuie sur le décret N°2015-15 du 8 janvier 2015. Ce projet nécessitera l’obtention d’une autorisation de recherche et un permis d’exploitation. Ces deux démarches peuvent être initiées simultanément. Le préfet lancera alors une enquête publique dans le respect des conditions des articles L 124-6 et L 134-10 du code minier
VI- La gestion des risques d’inondation.
Le cadre du risque majeur dans le secteur de St Christol est celui d’une conjonction de deux phénomènes caractérisés dans le cadre d’une crue centennale : 1-Une crue de l’Hérault conjuguée à un épisode marin de reflux et donc une absence d’écoulement du fleuve au niveau de son embouchure. 2-Un orage violent qui produirait un flux soudain et massif d’eau dans un environnement qui concentre tous les caractères défavorables : *Un relief en forme de théâtre dans lequel la zone à urbaniser correspond à la scène en contrebas. *Une scène surmontée par des collines aux sols imperméables : sols miocènes principalement argileux. Très peu de sol végétal pouvant jouer fonction d’éponge et de retardateur d’écoulement. *Une absence de systèmes de conduction du pluvial sur ces collines : ce sont des chemins-ruisseaux, encadrés par de hauts murs de pierre sèche, qui font office de drain de concentration et d’évacuation. *Un niveau d’imperméabilisation croissant sur les pentes des collines qui encadrent St Christol de part une urbanisation qui n’a jamais été maîtrisée et qui, de fait, ne le sera pas plus demain que ce qu’elle ne l’a pas été dans le passé. *La présence, en bordure Est de la zone de St Christol d’un ruisseau qui fonctionne sur le régime des torrents méditerranéens : le ruisseau de Maldinat autrement nommé ruisseau de l’Arnet.
Le cas particulier des ruisseaux torrents type Maldinat ou Tartiguier : Ce sont des ruisseaux dont les sources multiples se localisent sur le plateau basaltique qui surplombe la topographie du secteur ou bien dans la zone de contact entre le basalte et les roches imperméables qui forment alors des exsurgences temporaires au niveau desquelles se localisent les flux d’eau collectés sur le plateau. Ces volumes sont très importants dans un temps bref. Les flux sont donc surprenants et très mal caractérisés par les modèles de calcul des risques. Les photos ci-dessous illustrent une dynamique de collecte et de restitution des flux depuis le plateau basaltique jusqu’au niveau d’une de ses exsurgences. Ici celle située sur le flanc Sud du Lobe d’exploitation de la carrière CTSO, lors de l’orage d’octobre 2019
Dans le cas des ruisseaux, tels Tartuguier ou Maldinat , le flux ne se concentre pas dans une carrière en fin d’exploitation : il descend vers des zones habitées ! Or, si le tracé de Tartuguier lui fait emprunter deux zones d’expansions qui jouent le rôle de tampon en amont de Pézens-St Christol (vallon de Sallèles puis vallon de St Jean de Bébian), le tracé du ruisseau/torrent de Maldinat est tout autre. Il correspond à celui d’un entonnoir dont la zone évasée est dirigée vers la zone de collecte (les sources torrentielles) et le goulot d’étranglement unique concentre le flux dans une zone très étroite, encaissée (car sur creusée par l’érosion en bordure des reliefs du causse basaltique), et qui débouche brutalement vers une zone d’atterrissement : celle de la bordure Est du futur quartier de St Christol. Ce ruisseau est long de quels 3km. Sa pente moyenne est de 3% Mais dans sa zone évasée de collecte, la pente du ruisseau oscille, suivent les obstacles géologiques rencontrés, entre 4 et 12 %. Ces alternances de zo
N° 220 : 18 septembre 2024 - 14:40
Auteur : Paul Ivorra
Son avis : Défavorable
Paul Ivorra, les Fontaynelles no 12 34120 Tourbes
06/77/97/29/91 paulivorra@orange.fr
A Monsieur le commissaire enquêteur, responsable de l’enquête publique relative au projet Saint Christol
Monsieur le commissaire enquêteur, j’interviens pour manifester mes plus grandes réserves quant au projet urbanistique concernant le tènement de Saint Christol à Pézenas.
Je participe activement à la vie associative et municipale de Pézenas, ville où je suis né et où j’ai exercé la profession d’enseignant au lycée Jean Moulin. J’exerce d’ailleurs toujours cette activité en tant que professeur de droit de l’environnement au sein de l’UTL, du bas Languedoc (à titre bénévole). Président du CA de la SPNP, société de protection de la nature du piscénois, je représente cette société au sein de plusieurs instances :
COPIL de renaturation de la rivière Peyne
COPIL, Natura 2000 de l’aqueduc souterrain de Tourbes/Pézenas
CCTE, conseil citoyen de transition écologique
CCSPL, commission consultation des services publics locaux, SICTOM.
Depuis 78 ans j’ai pu acquérir une connaissance sérieuse des questions concernant l’environnement de cette ville et de ses environs que je fais visiter pour la SPNP, à des groupes de marcheurs, la SPNP organise des expositions annuelles à la Maison de la Nature, 16 rue de la Foire à Pézenas : faune, flore, géologie, rivières, moulins à eau, plus de 20 expositions depuis 1986.
Je tiens a vous informer que j’ai figuré sur la liste électorale d’Armand Rivière, maire actuel, pour, entre-autre sujet, m’opposer au projet ST Christol soutenu par l’ancienne municipalité. Je sui conscient du lourd héritage que nous a légué l’équipe précédente, mais cela ne justifie pas de continuer dans une voie dangereuse par de nombreux aspects tant humains, environnementaux, paysagers…Et ce, sans tenir compte que nous sommes condamnés à des changements comportementaux inévitables.
A ce titre je me permets de vous soumettre certains arguments qui démontrent les faiblesses de ce projet, hérité de la municipalité précédente, auquel nous étions déjà opposés.
I/ L’émiettement urbain et le mitage du paysage de notre commune.
Pézenas compte environ 8000 habitants et ce depuis des dizaines d’années, à population égale l’urbanisation s’est faite vers les périphéries sud, sud-ouest et même depuis 20 ans environ vers l’est en bordure de la zone dite de l’étang (zone d’expansion des crues du fleuve Hérault). Expansion urbaine depuis le noyau XIIIe siècle, enceinte XVIe, expansion viticole….La ville éclate : HLM, lotissements, immeubles, et ensuite mise en place de zones d’activités économiques en périphéries desquelles les constructions de villas s’insèrent. A population égale la superficie de la ville s’est étendue de façon considérable ; comme pour de nombreuses communes voisines (Caux, Nézignan l’Evêque, Tourbes ? communes qui ont vu cependant leur population croitre notablement).
Notre paysage se déchire et il est victime d’un mitage non contrôlé où l’habitat sauvage aggrave la situation. On a pour projet de créer un quartier totalement excentré, coupé du centre urbain par une zone inondable et relié à lui par une seule voie, la route de Montpellier franchissant la rivière Peyne par un pont bâti aux alentours de 1830, aujourd’hui totalement inadapté aux exigences de la circulation automobile. Un pont à deux vois exigües.
Un quartier de 1500 habitants, voire plus par le fait qu’il est prévu l’implantation de nombreux logements sociaux dont le taux d’occupation est plus élevé que le laisse entendre le coefficient habituel. Nul ne doute, plus de 1500 habitants soit un village nouveau entier artificiellement implanté obligeant à des déplacements intensifs (achats, écoles, administrations, loisirs, médicaux, associatifs…). A titre de comparaison Nézignan l’Evêque comptait en 2021 : 1780 habitants.
Où en sommes-nous avec un tel projet du fameux « zéro artificialisation nette » objectif fixé par la loi de transition ? Objectif combattu par l’association des maires de France et par celle des promoteurs.
Un tel projet va à l’encontre des préconisations du Schéma de cohérence territoriale, SCOT du Biterrois. Lequel préconise une urbanisation basée sur : des constructions immédiatement rattachées au tissus urbain existant, des lotissements économes du milieu naturel, et, la réhabilitation des logements existants avec de plus l’utilisation des opportunités offertes par les « dents creuses ». En matière de réhabilitation de l’existant Pézenas est en retard, les acquisitions immobilières de plus, se font au profit de sociétés qui développent les logements touristiques au détriment des besoins des populations locales. On trouve donc des possibilités de logements lorsque le profit s’en mêle !
Anecdote : Un ancien piscénois comme moi envisage mal comment le fameux carnaval de Pézenas se dérouler à plus de trois kilomètres du centre.
II/ Intensification de la circulation automobile
Comme précisé ci-dessus, une seule pénétrante assurée par le pont sur la Peyne ! Pour le moment les parkings sont situé au-delà de ce pont en centre ville et dans le quartier du cimetière, Supermarché Carrefour. Envisager une pénétrante par un détour A75, sortie Castelnau, place de la Vierge, c’est créer un bouchon depuis cette sortie jusqu’à ladite place aux heures de pointe !
On ne peut obliger les habitants du quartier St Christol à entrer en ville par la sortie Pézenas ouest ! Quel détour ! Quelle erreur environnementale !
Imaginez les cohues de voitures lors des entrées et sorties des établissements scolaires : deux écoles primaires, deux maternelles, trois collèges, un lycée…Une école Calandreta, .Les équipements sportifs : piscine, stades, salles de danse, arts martiaux, pétanque…. Les équipements de loisir et culture : médiathèque, salles de réunion, salle du Peuple…Et les lieux religieux ? Que dire du marché du samedi et des cohues estivales ! Les équipements publics et services : poste, impôts, mairie, maison de justice ; Banques, assurances…La liste serait trop longue à compléter !
Bien entendu on nous parle de déplacements « doux » : l’habitant du quartier ira-t-il « faire ses courses » à pied, en ville, ou en voiture à la périphérie sud ouest là où sont implantés les commerces ?
III/ La problématique de l’eau ! à Plusieurs niveaux
A- Quantitatif : celui de la ressource
B- Qualitatif : celui de l’assainissement et des réseaux
A/ Quantitatif. L’année 2024 a été relativement clémente au niveau de la ressource, mais les projets ou travaux actuels prouvent que l’on envisage un avenir plus incertain : mise en place d’un réseau de prélèvement sur le lac du Salagou au profit du maintien du débit du fleuve et de l’agriculture. Projet départemental de « réservoirs en eau », recherche de ressources nouvelles par le Syndicat des eaux de la vallée de l’Hérault. Extension de la zone d’irrigation du vignoble à partir du barrage des Olivettes à Vailhan et de l’ASA dite de Belles EAUX. Il faut ajouter à cela les projets tels que le golf de Montagnac, les divers projets urbanistiques communaux : Nézignan en cours de réalisation, Caux bloqué par manque d’eau, Roujan…Autant de projets qui vont augmenter la pression sur une ressource commune à toute une aire géographique, sur une nappe dite des calcaires jurassique du pli de Montpellier (voir ci-dessous).
La consommation de base estimée par le BRGM est de 128m3/h /an. Le programme St Christol présenté par la SEMOP comporte 655 logements. Vu le taux d’occupation par foyer qui est en moyenne de 2.3 dans le secteur (Sources INSEE 2019), la nouvelle population devrait s’élever aux alentours de 1500 habitants. Le besoin en eau d’alimentation domestique moyen serait vers 192 000 m3/an.
A cette consommation il faut ajouter l’eau d’arrosage (collectif et privé) et celle des piscines individuelles : d’après les données disponibles sur les sites officiels, en France la moyenne des piscines est de dimension 32m2 (8X4mètres). Ce type de piscine nécessite 48 m3 d’eau au remplissage puis un renouvellement au 1/3 par an: soit une consommation de 64 m3 d’eau par an, dans les conditions climatiques actuelles. Le programme foncier prévoit 230 terrains à bâtir. Dans le midi le taux moyen d’équipement en piscine avoisine les 40%. On peut donc compter sur l’installation de 92 piscines et une consommation annuelle majorée de quelques 6 000 m3 d’eau par an.
Le niveau d’arrosage annuel moyen est évalué à 2 000litres (2m3) d’eau pour un jardin de 100 m2. Le programme privé prévoit 230 terrains à bâtir pour une superficie globale de 33 815 m2. Vu le coefficient de construction, ce sont quelques 20 000 m2 privés qu’il faudra arroser en jardin : soit une consommation de 400 m3 d’eau dans les conditions climatiques actuelles et pour un jardin déjà établi (les premières années d’arrosage sont plus consommatrices et le mode d’irrigation influe fortement sur le rendement et donc la consommation). Ces estimations ne se basent que sur le volet privatif.
La consommation d’eau pour l’arrosage public, pour les espaces non résidentiels, n’est pas intégrée ici. On avoisine au final un besoin moyen en eau de 200 000 m3/an pour le volet privatif du quartier de St Christol. A titre de comparaison, le rapport de la régie de l’eau de la CAHM de 2021 indique que le volume d’eau distribué dans le réseau de la ville de Pézenas pour 2021 était de 992 183 m3 d’eau. Le volume d’eau nécessaire au quartier de St Christol représente donc une hausse de près de 20% (source étude de la SPNP, société de protection de la nature 2024 (enquete-publique-argumentaire.pdf (spn-pezenas.org))
La nappe du fleuve Hérault mesurée sur le secteur de Pézenas se maintient à un niveau d’alerte renforcé depuis le 28 juillet 2022. Aucune recharge de nappe n’est venue alimenter la ressource ni en automne 2022 ni en hiver 2023. Les évaluations doivent donc intégrer l’évolution démographique globale ainsi que le volet climatique, car les nouveaux résidents vont s’installer pour des décennies. L’état de la ressource en eau va se raréfier alors même que les besoins, eux, seront augmentés de manière pérenne.
Pour information l’aqueduc souterrain qui alimentait les fontaines de la ville de Pézenas depuis la fin du quatorzième siècle est « A sec depuis plus de trois ans » ! Notons de plus que le futur quartier de St Christol va perturber l’aqueduc dit des « Cordeliers », lequel permettait d’alimenter un réseau de puits et norias dans cette vaste zone nourricière des jardins de la ville.
La nappe des « calcaires jurassique du pli de Montpellier » la ressource, atteinte depuis 1949 par le forage pétrolier Pézenas2, exploite une eau qui appartient à ce système des calcaires jurassiques du pli de Montpellier. Elle est exploitée depuis 1970 par la commune. Le secteur de recharge de cette nappe est situé dans les zones où affleurent les calcaires et dolomies du jurassique supérieur. Si la superficie de la zone d’infiltration est de 863 Km2, il est à relever qu’une grande partie a déjà été rendue imperméable par une urbanisation expansive dans les secteurs du montpelliérain et du littoral. Les principales zones de recharge restantes sont le Massif de la Mourre, le Causse d’Aumelas et le secteur haut du Massif de la Gardiole. Avec un niveau de précipitations allant actuellement de 620 à 820 mm/an, le niveau de recharge global de la nappe est estimé à 42 millions de m3/an. Les études récentes fondées sur les zones de prélèvements identifiées et visitables (double impondérable qui fausse grandement le bilan) estiment le niveau de prélèvement moyen à 15 millions de m3/an. Les études de tracéologie chimique permettent d’estimer que le cycle de renouvellement de cette eau au niveau des nappes atteintes actuellement est de 10 ans. C’est donc la période de résilience et donc la marge de sécurité en cas de nécessité de modération dans l’usage de cette nappe, dans les conditions climatiques connues à l’époque des études (années 1990/2000). Il faut donc tenir compte du changement climatique et de son probable effet sur cette période de recharge qui ne pourra qu’augmenter. Cette ressource profonde n’est pas « sans limites »
B/ Qualitatif. L’assainissement des eaux usées de notre ville est assuré par une station d’épuration qui accueille de plus les eaux usées de Caux et de Tourbes. Le dimensionnement de la station le permettant largement, MAIS :
Il faudra pour traiter les eaux du nouveau quartier, soit, mettre en place un réseau de collecte et d’acheminement des eaux vers la station actuelle, techniquement c’est faisable, ce qui a été réalisé pour Caux et Tourbes…A quel cout et avec quelles contraintes pour passer sous des zones déjà occupées. Soit construire une nouvelle station sur place compte tenu du fait que les limites ouest de la zone sont inondables.
Eaux pluviales : Bassins de rétention, évacuation…
IV : inondabilité du lieu
La zone est entourée d’un quadrilatère problématique. A l’ouest le fleuve Hérault dont les crues peuvent répétitives, et générer des inondations spectaculaires lorsqu’elles se conjuguent avec celles de la rivière Peyne et un vent de mer ralentissant l’écoulement des eaux. L’inondation peut empêcher toute circulation au niveau du chemin bas de Montagnac, isoler le village de Castelnau de Guers de Pézenas. A l’est et au sud du quartier le ruisseau du Tartuguier et la rivière Peyne coupent toute communication avec le centre ville (Il peut arriver, comme en 2019, que la crue de Peyne elle seule provoque de telles conséquences). Au nord un modeste ruisseau dit « de l’Arnet », alimenté par le débordement de la zone de la carrière du même nom, peut couper pendant une demi-journée tout passage vers l’A75, au niveau de la Grange des Prés. Compte tenu des évolutions climatiques inquiétantes, des évènements du passé (inondations de 1907), on peut s’attendre à des épisodes plus dévastateurs (événements d’Europe centrale et orientale). On a même envisagé une éventuelle rupture du barrage du Salagou et un déversement de ses 10 millions de m3 !
Ajoutons que le lotissement serait situé au bas d’un entonnoir surmonté par une zone en forme d’amphithéâtre Chichéry, Maldinat et Arnet, et quelle subirait les écoulements de cet entonnoir en cas de pluies, et que dire des pluies brutales et torrentielles ? Le secteur étant urbanisé, bétonné, il rejettera ces excédents vers la ville elle-même.
V : l’urbanisation détruit un potentiel agricole important !
Ce fut une zone de jardin, Pézenas occupa jusqu’à plus de 100 jardiniers, horticulteurs, une véritable ceinture maraichère nourricière de la population locale mais aussi exportatrice à partir de la mise en place du réseau ferroviaire. Pour mémoire les fameuses prunes Reine Claude de Pézenas s’exportaient jusqu’en Angleterre Que nous réserve l’avenir en matière d’approvisionnement alimentaire ? La crise de la COVID, la guerre en Ukraine, la croissance non contrôlée de la population mondiale, les disettes et famines….Notre dépendance alimentaire s’accroit, avec la problématique de l’eau c’est là un problème crucial à résoudre. Ce projet est destructeur de terres nourricières, et ce, malgré la recherche de territoires de compensation.
VI : Ecologie
Le losange que constitue le territoire de la commune de Pézenas est dévoré par une urbanisation incontrôlée depuis des décennies. Les bâtis s’étend, le paysage est mité, ça et là une urbanisation sauvage, cabanisation, enlaidit insidieusement la nature : aux abords et dans la zone de l’Etang, Maldinat, l’Arnet, ST Christol, Chichéry, Roustanienque…Les décharges sauvages se multiplient (saluons les efforts du SICTOM et de la commune dans ce domaine). Les ruisseaux sont laissés à l’abandon (l’ASA de l’Etang par exemple, responsable de l’entretien de ce réseau de canaux a été dissoute).
Nous avons là un paysage qui s’est formé autour de la ceinture des jardins et de l’expansion viticole. De nombreux chemins ancestraux, bordés de murs à pierres sèches. Des grangeots (mas), des enclos, norias, haies d’amandiers, grenadiers, figuiers, azeroliers…Un habitat ancien hérité du XIXe siècle, un important domaine qui a donné son nom au lieu, et, en limite la grange des Prés, demeure historique. Au milieu de tout cela cheminait l’ancienne voie ferrée dite de « l’intérêt local ». Un lieu où les piscénois promenaient, certains se rendant à leurs vignes de l’Arnet, LA Roustanienque, Chichéry, les quatre vents. Là on peut encore cheminer à l’abri de la circulation automobile, entre le Tartuguier et le ruisseau de l’Arnet (où, autrefois on pouvait encore pêcher à la carafe !). Le lieu est dominé par des domaines ancestraux : Maldinat, Chichéry ; il recèle aussi les traces d’occupations antiques et préhistoriques. On y trouve l’ancien stade de rugby si cher aux piscénois, et, en bordure le couvent des Cordeliers, ordre auquel on prête la construction de l’aqueduc qui alimente puits et norias du lieu.
Pour toutes ces raisons et j’en oublie certainement je m’oppose à un tel projet, bien qu’ayant soutenu la liste qui gère notre ville actuellement.
N° 219 : 18 septembre 2024 - 14:38
Auteur : Paule-Marie Jansolin
Son avis : Défavorable
J'adhère totalement aux réflexions exprimées par le conseil citoyen de la transition écologique mises en évidence par le collectif Saint-Christol ! je tiens de surcroit à ajouter qu'un tel "projet" présente nombre d'arguments fallacieux comme un soit disant "apport touristique" qui serait bénéficiaire à la ville de Pézenas ! je ne vois pas, compte tenu de la population qui occuperait ce lieu = logements réservés à des populations précaires (retraités, économiquement faibles, étudiants, etc.,..) un tourisme quelconque pourrait s'y exercer ? Saint Christol devra t il ressembler à un Zoo ?! Qui voudra ou devra sous louer son appartement à quelque touriste que ce soit ?! Enfin, une Zone urbaine de cette taille s'apparente, à mon sens, plus à un nouveau village qu'à une extension de la ville de Pézenas ! Quid d'une église, d'un hôpital d'une pharmacie, d'une gendarmerie et à terme d'une nouvelle mairie ? De nombreux villages alentour ont déjà cette taille et le même nombre de population !!
je suis donc défavorable à ce projet aberrant, qui ne favorise en rien le développement d'une ville d'art et d'histoire, déjà bien référencée, d'autant qu' en cas d'accident (sécheresse, inondation ou autre) qui sera tenu responsable d'avoir autorisé ce projet ? Il convient d'y réfléchir plus sérieusement !
N° 218 : 18 septembre 2024 - 14:20
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
bonjour ,
je suis contre l'artificialisation des sols et en particulier d'un sol qui peut être cultivé dans les années à venir ;il faut garder des sols cultivables pour nos descendants ;il faut aussi que les eaux de pluie puissent s'infiltrer dans les sols .je suis contre l'augmentation du nombre d'habitants à Pezenas , qui signifierait augmentation du nombre de voitures , de la consommation d'eau . nous avons déjà des problèmes de sécheresse ;
j'espère que ce projet n'aboutira pas , d'autant plus que j'ai voté pour cette équipe municipale entre autres parce qu'elle était opposée au projet de déstructionde st christol ;
N° 217 : 18 septembre 2024 - 14:08
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Je sais que c'est plus cher, mais restaurons les maisons vides, pourquoi bétonner encore et encore. Agissons contre le réchauffement climatique maintenant!!!
N° 216 : 18 septembre 2024 - 13:46
Auteur : APVM34 Association
Son avis : Défavorable
L'association APVM34 (Agir Pour le Vivant à Montpeyroux 34) soutient sans réserve le collectif de Pézénas dans sa lutte contre l'implantation d'une ZAC à Pézénas et la préservation du sol et de la biodiversité. Il est plus que temps de protéger les êtres vivants et le milieu dans lequel ils vivent. L'eau manque déjà, et le projet prévoit 655 logements de plus sur 24 ha de terres agricoles ! Comment concevoir un tel projet sans évaluation environnementale et hydrologique tenant compte des nouvelles conditions climatiques ? Pourquoi ne pas se consacrer en priorité à la vieille ville ?
N° 215 : 18 septembre 2024 - 13:30
Auteur : Olivier Brousse
Son avis : Défavorable
Projet nocif et sans la moindre utilité publique à part enrichir davantage des promoteurs et leurs affidés.
N° 214 : 18 septembre 2024 - 11:45
Auteur : Michel Béziat
Son avis : Défavorable
Je ne vois pas l'utilité d'agrandir encore la ville pour réduire la campagne. Le flux routier est déjà très important au niveau du pont de peyne. Le risque d'inondation sera accru concernant les habitations existantes. Occupons nous plutôt des quartiers oubliés avant de vouloir investir sur un projet néfaste sur l'environnement
N° 213 : 18 septembre 2024 - 11:25
Auteur : Marie-Jeanne Forkin
Son avis : Défavorable
Je suis opposée à ce projet. Merci d'en tenir compte.
N° 212 : 18 septembre 2024 - 11:23
Auteur : John Forkin
Son avis : Défavorable
Je suis opposé à ce projet. Merci d'en tenir compte.
N° 211 : 18 septembre 2024 - 11:10
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
projet insensé
N° 210 : 18 septembre 2024 - 10:47
Auteur : Fabien FERRARA
Son avis : Défavorable
Je tiens à vous alerter sur les conséquences qu'aura ce projet sur le réseau hydraulique souterrain de St Christol.
En effet, le site dispose d'un aqueduc, un patrimoine composé de galeries voûtées, de norias et de puits. Les derniers travaux sur cet ouvrage serait de 1180.
En cette période de sècheresse, et l'avenir incertain concernant les ressources en eau à venir, il semble nécessaire de préserver ce patrimoine hydraulique qui reste aujourd'hui opérationnel pour certain riverain qui ont toujours utiliser cette ressource comme seule alimentation en eau.
Le projet Saint Christol va entrainer des effondrements liés aux passages de nombreux poids lourds, le bétonnage de surface va empêcher le système de drainage de fonctionner.
Un projet qui, en bétonnant des terres agricoles fertiles, ferait augmenter les inondations (en fréquence et en quantité d'eau) dans les quartiers déjà habitables de Pézenas, tout en diminuant les produits alimentaires produits localement sur ces mêmes terres.
Dans une région soumise aux conséquences du changement climatique par une hausse de la température et l'assèchement de ses terres, entrainant un manque en eau et obligeant les autorités locales à approvisionner les villages alentours en eau, l'augmentation de la population qui découlera de ce projet entraînera une sècheresse encore plus importante (nappe phréatique sans eau à cause de la bétonisation des sols, perte de la fraicheur apportée par la végétation de ces terres, etc.) et le problème de l'approvisionnement en eau dans la région plus important, pouvant aller jusqu'à causer des problèmes d'approvisionnement en eau pour les habitantes et habitants de la ville.
De plus, la présence d'une zone habitable à Saint Christol entraînera une hausse de la pollution de par l'accès très réduit vers le centre de la ville et les bouchons que cela va engendrer.
Je ne vois donc qu'un projet qui ferme les yeux devant les enjeux climatiques actuels dans un département qui y fait déjà difficilement face (grosses chaleurs, incendies, problème d'alimentation en eau pour de nombreuses communes, nappes phréatiques qui n'arrivent plus à se remplir totalement, etc.) ce qui entraîne déjà de nombreux morts chaque année, en détruisant la flore fertile utile à l'approvisionnement local pour construire des habitats qui engendreront des problèmes d'alimentation en eau et de pollution.
N° 208 : 18 septembre 2024 - 10:12
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Il y a assez de zones urbanisées comme cela. Nous devons réfléchir autrement l'étalement urbain et privilégier la préservation de notre environnement paysager. On peur tourner la réflexion vers de la réhabilitation de logements existants et dégradés. On peut tirer la leçon de centres anciens qui meurent à cause de lotissements qui pullulent à l'extérieur. Nous devons aborder autrement la ville et notre paysage.
N° 207 : 18 septembre 2024 - 10:08
Auteur : Isabelle Lootgieter
Son avis : Défavorable
Je préfère un terrain maraîcher
N° 206 : 18 septembre 2024 - 10:06
Auteur : Sylvain Sautot
Son avis : Défavorable
Inutilité du projet
N° 205 : 18 septembre 2024 - 10:01
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Avis défavorable
N° 204 : 18 septembre 2024 - 07:11
Auteur : Axelle Duverger
Son avis : Défavorable
Ce projet est d'un autre temps aux vues des enjeux actuels ! Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…) ; de plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois.
Comment pourrait être absorbé 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
Comment la création d’une Halle Gourmande à St Christol (1 700 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville ?
La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était pas ?
Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune ( notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au dessus de la Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas reste-t-il caché à la population et n’est-il pas joint au dossier ?
N° 203 : 17 septembre 2024 - 23:33
Auteur : ISABELLE DOSMOND
Son avis : Défavorable
Certains arguent que, "l’arrivée ou le maintien de cette population à Pézenas représente l’avenir pour la ville : vie des écoles, développement du tissus associatif et développement économique, dont les services de proximités." Mais dans quelles conditions la ville peut-elle encore se développer lorsque l'eau manque ? C'est un problème qui est à notre porte, et pas d'ici une centaine d'années.
Je suis pour le développement écologique de la ville, avec la préservation d'espaces naturels, et d'autres dédiés au maraîchage et aux arbres, cessons d'aller dans le sens insensé d'une "économie de marché" qui, avec son béton partout, responsable des risques grandissants d'inondations, ne met pas au premier rang le simple bon sens. Pensons plutôt à sauvegarder notre premier et vrai patrimoine : la Terre. Merci.
N° 202 : 17 septembre 2024 - 22:27
Auteur : Chantal Faure
Son avis : Défavorable
Le préjudice de ce projet va être énorme pour l'écologie, comme cela a été démontré, pour la faune (des biches, de magnifiques oiseaux, des faisans, des renards, des perdrix rouges, des sangliers vivent dans les environs). Et que dire de la sécurité routière déjà problématique sur ces chemins et de la dangerosité de l'accès devant la Grange des Prés !
N° 201 : 17 septembre 2024 - 21:55
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…) ; de plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois.
Comment pourrait être absorbé 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
Comment la création d’une Halle Gourmande à St Christol (1 700 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville ?
La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était pas ?
Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune ( notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au dessus de la Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas reste-t-il caché à la population et n’est-il pas joint au dossier ?
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
N° 200 : 17 septembre 2024 - 21:14
Auteur : Silvia Rodriguez
Son avis : Défavorable
1. **Problématique de l’eau dans un contexte de sécheresse croissante :**
Dans une région déjà touchée par des périodes de sécheresse de plus en plus longues et une gestion de l'eau en tension, il est légitime de se demander si les ressources en eau seront suffisantes pour alimenter un tel projet immobilier. Durant l’hiver dernier, plusieurs villages aux alentours ont dû être approvisionnés en eau par camions-citernes. L'ajout de 2 000 habitants supplémentaires à Pézenas risque d'aggraver cette situation. Où trouverons-nous l’eau nécessaire pour assurer les besoins de cette population croissante ?
2. **Impact environnemental sur l’hydrologie locale :**
La bétonisation de 24 hectares de terres agricoles à Saint Christol risque d’avoir un effet délétère sur le cycle de l’eau. En supprimant une zone d’absorption naturelle, le ruissellement des eaux pluviales vers les zones déjà sensibles de la ville pourrait s’intensifier, augmentant le risque d’inondations dans les secteurs vulnérables comme la rue Conti, l’avenue de Castelnau, ou encore les Calquières basses et hautes. De plus, la réduction des surfaces perméables ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique, ressource déjà sous pression.
3. **Perte de terres agricoles fertiles :**
La destruction de ces 24 hectares de terres agricoles, particulièrement fertiles, entraînerait une réduction significative de la production alimentaire locale, affaiblissant ainsi l’approvisionnement en produits agricoles du Piscénois. Alors que l’importance des circuits courts et de l’agriculture locale est de plus en plus reconnue, cette perte de terres arables serait dommageable pour la souveraineté alimentaire locale.
4. **Augmentation du trafic routier :**
L’ajout de 700 nouveaux logements entraînerait une augmentation de 17 % du trafic routier, un chiffre considérable dans une ville comme Pézenas. Comment le réseau routier, notamment le pont de la Peyne, pourrait-il absorber cet afflux sans entraîner des embouteillages, une augmentation de la pollution et des nuisances sonores pour les riverains ? Aucune solution viable n’est actuellement proposée pour gérer cet impact sur la mobilité urbaine.
5. **Équilibre commercial menacé :**
La création d’une Halle Gourmande de 700 m² à Saint Christol pourrait nuire au commerce local, notamment celui du centre-ville de Pézenas. En attirant une partie de la clientèle vers cette nouvelle zone, il y a un risque de désertification commerciale du centre historique, déjà en difficulté. Le projet de nouvelle Halle ne doit pas se faire au détriment des commerces existants.
6. **Capacité des infrastructures scolaires :**
Avec l’arrivée de nombreuses familles, il est nécessaire de se demander si les infrastructures scolaires, notamment les écoles primaires, seront capables d’accueillir tous ces nouveaux élèves. Les investissements scolaires dépendent de la commune, mais aucune garantie ni plan précis n’a été présenté pour la construction de nouvelles écoles ou l’agrandissement des infrastructures existantes. De plus, si des fonds importants sont alloués à ce nouveau quartier, cela pourrait compromettre les budgets destinés à d'autres secteurs, comme la rénovation du centre-ville.
7. **Capacité de la station d'épuration :**
La station d’épuration actuelle est-elle en mesure de traiter les eaux usées supplémentaires générées par ces 2 000 nouveaux habitants ? Si ce n’est pas le cas, des investissements conséquents devront être réalisés, ce qui représenterait un coût supplémentaire pour la commune. Une question cruciale reste sans réponse : comment la commune financera-t-elle ces infrastructures sans alourdir la fiscalité locale ?
8. **Investissements supplémentaires à la charge de la commune :**
La mise en place d’infrastructures supplémentaires, telles que des liaisons piétonnes et cyclables entre Saint Christol et Pézenas, ou la gestion des zones inondables et des routes environnantes (comme celle de Nizas), générera des coûts significatifs pour la commune. Ces dépenses n’ont pas été intégrées dans l’analyse du projet et risquent de grever le budget municipal.
9. **Manque de transparence dans la gestion du projet :**
Enfin, il est inquiétant de constater que l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n’a pas été rendu public ni joint au dossier. Ce manque de transparence nuit à la confiance des citoyens dans le processus de consultation publique et laisse planer des doutes sur les réelles motivations derrière ce projet.
**Conclusion :**
Le projet de création d’un quartier de 700 logements à Pézenas, bien que répondant à des besoins en termes de logements, pose de nombreuses questions quant à sa faisabilité, son impact environnemental et social, ainsi que les coûts pour la commune. Il est essentiel que ces préoccupations soient sérieusement prises en compte avant de poursuivre ce projet.
N° 199 : 17 septembre 2024 - 20:54
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
J'ai donné ma voix aux dernières élections municipales à cette équipe, qui s'était prononcée CONTRE ce projet, initié par l'équipe précédente !
Et finalement, cette municipalité porte ce projet ! ! !
C'est une bétonisation de plus, dans une zone réputée inondable. Incompréhensible et irresponsable !
N° 198 : 17 septembre 2024 - 20:49
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
EN DEHORS DES INCONVENIENTS CI-DESSOUS LISTES, JE NE VOIS PAS L'INTERET POUR LA COMMUNE ET SES HABITANTS DE CE NOUVEAU QUARTIER
- Infrastructures onéreuses à construire en même temps que ce nouveau quartier, A LA CHARGE de la commune (ou d'autres collectivités publiques)
- Sacrifice de terres cultivables
- Commerces de Centre-ville qui finiront par être désertés au profit de zones commerciales artificielles
- Quartier qui deviendra "zone dortoir" pour des gens qui travailleront dans les centres urbains proches (Béziers, Montpellier ...)
N° 197 : 17 septembre 2024 - 20:29
Auteur : Mathieu Lané
Son avis : Défavorable
Il est invraisemblable que de tels projets puissent seulement être imaginés dans la situation où nous sommes, de perte biodiversité, d'artificialisation des sols etc.
Sans compter, les pénuries d'eau qu'un tel projet engendreraient.
Je suis contre et j'espère que ce projet ne verra jamais le jour. Que le vivant prendra enfin le pas sur les intérêts de quelques uns !!
Cordialement
N° 196 : 17 septembre 2024 - 19:53
Auteur : helene bassas
Son avis : Défavorable
Monsieur L'enquéteur,
Je suis née à Pézenas. Mes parents résident à Pézenas, chemin de Saint Christol. Je y viens très régulièrement. Mon métier m'a amené à parcourir depuis 25 ans le territoire. J'ai pu constater l'urbanisation galopante et ses concéquences tant au niveau de l'altération des paysages avec un impact dramatique sur l'environnement: imperméabilisation des sols, densification de la circulation routière, sans parler du dépérissement économique des centres bourgs.
Aujourd'hui le centre ville de Pézenas n'est plus qu'un décor qu'arpente les touristes. Les zones commerciales et résidentielles existantes ont vidé le centre ville. Accroitre la périphérie de Pézenas par une immence zone dortoire et commerciale finirait de vider le centre bourg de toute vie sociale et commerciale, sans parler de cette vaste zone rurale que beaucoup de piscénois empruntent à pied, avec plaisir pour s'aérer et bénéficier de ce qui fait le charme du Languedoc.
Le projet urbanistique actuel est dénué de sens à l'heure de l'urgence climatique. La sécheresse ne peut que s'accroître si l'on ne crée pas d'ilots de verdure. Toute construction nouvelle devrait être bioclimatique. Le projet actuel n'intègre aucune de ces données. Je m'oppose donc au projet actuel d'urabanisation du site de Saint Christol.
J'espère, Monsieur, que mes considérations citoyennes, bénéficieront de votre aimable attention.
Hélène Bassas
N° 195 : 17 septembre 2024 - 18:58
Auteur : Colette Piedcoq
Son avis : Défavorable
Je suis totalement défavorable à ce projet d'un autre temps pour les raisons suivantes:
Nous avons besoin, autour de Pézenas, non pas de béton, mais de cultures maraîchères pour nourrir les gens. Je ne veux plus des fruits et légumes importés, je veux des bons légumes produits localement, je veux des terres et des logements pour des jardiniers qui apprennent aux enfants le bon goût des fruits et des légumes cueillis sur place. Je ne veux plus des camions qui polluent nos routes pour apporter des tomates venues de Hollande!
Ce qui manque à Pézenas, ce sont des emplois. Il faut créer de vrais emplois, autour des besoins des gens de bien se nourrir, de se distraire, de se cultiver, de rêver.
Le coeur battant de Pézenas, ce ne sont pas ces hordes de touristes trop cuits au soleil qui déferlent en été pour acheter des produits stéréotypés fabriqués en Inde. L'âme de Pézenas, c'est sa convivialité, petite ville où on s'arrête pour dire bonjour et parler, parce qu'on se connaît.
L'âme de Pézenas, ce n'est pas le béton, mais la pierre. Ce ne sont pas toutes ces extensions qui se sont multipliées autour du coeur de ville, comme dans tous les villages, avec les résultats que l'on connaît aux élections...
Je lis le texte du projet : 700 habitations, tiens c'est le nombre de logements vides dans la ville? Alors il faut en parler, appeler les gens, les enfants des écoles, à dire leurs besoins, à faire des projets pour réhabiliter ces logements, les rues, créer des jardins pour les enfants, il faut "Réparer la ville", des architectes s'y emploient, inventent pour le futur.
Je lis page 33 dans l'analyse du DOG " Lutter contre la consommation d'espaces agricoles et naturels en priorisant l'enveloppe existante" Ben voilà !
Je lis page 29: "Arrêt de l'urbanisation dans les zones à fort risque d'inondation"... Ah bon ?
Page 48 : "Préservation de la mémoire du site"... On pourra mettre des photos de la beauté flamboyante des coquelicots de Saint-Christol au printemps?
Je lis aussi "limitation de la voiture"... Mais "1451 places de parking"... heureusement qu'on les a limitées! J'imagine les heures de pointe déjà saturées sur l'axe principal...
NON, pas de béton, pour que nos enfants et petits enfants ne nous accusent pas, des jardins à Saint-Christol !
N° 194 : 17 septembre 2024 - 18:26
Auteur : Guilhem Beugnon
Son avis : Défavorable
Un projet insensé au regard des prévisions climatiques. C'est à désespérer ! J'essaye de comprendre ce qui pousse les promoteurs d'une telle opération. L'appât du gain est la seule réponse qui me vienne à l'esprit.
N° 193 : 17 septembre 2024 - 18:09
Auteur : Prune Wolff
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,
Arrêtons de tout bétonner à tout va. Regardons les dégâts dû à une sur construction autour de nous pour commencer
N° 192 : 17 septembre 2024 - 15:41
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Pezenas est une belle ville, il fait bon y vivre et je ne peux qu'imaginer que beaucoup de gens auraient envie d'y vivre. Je crois savoir que le projet initialement prévu a été amélioré rapport aux problèmes climatiques récents. Il est de nos jours possible de l 'améliorer encore pour préserver l'environnement en s'inspirant de projets déjà réalisés ailleurs. Lotissements laissant circuler les eaux pluviales, bâtiments économes en énergie et végétalisés, déplacements doux et collectifs gratuits pour rejoindre le centre ville et pourquoi pas une école, une crèche, un centre médical sur place, espaces verts pour tous.
Je pense que beaucoup de gens aimeraient y vivre et apprécieraient de rejoindre notre ville. Notamment tous les mal logés.
On peut cohabiter avec la nature environnante et il faut savoir s'adapter aux aléas climatiques.
Ce n'est pas en s'opposant à tous les projets que nous avancerons.
Après, je comprends que les riverains ne voient d'un bon œil la construction d'un lotissement ou de voies ce circulation passant devant chez eux. Il faudrait donc que l'impact soit le plus minime pour eux.
N° 191 : 17 septembre 2024 - 15:17
Auteur : Raphael Verscheure
Son avis : Défavorable
En raison de différents facteurs écologiques importants, je suis défavorable au développement du projet St Christol.
Les événements climatiques extrêmes vécus en Europe ces derniers temps vont indéniablement être de plus en plus fréquents dans un avenir proche. La zone prévue pour ce projet se situant entre le fleuve Hérault et la rivière Peyne- deux cours d‘eau régulièrement en crue-.
Il me semble absolument inconcevable de bétonner une surface aussi importante dans cette zone délicate.
N° 190 : 17 septembre 2024 - 15:15
Auteur : Hélène Dupré
Son avis : Ne se prononce pas
Merci d'effacer les doublons .
Mauvaise manipulation
N° 189 : 17 septembre 2024 - 15:07
Cette observation a été classée comme doublon par le commissaire enquêteur.
N° 188 : 17 septembre 2024 - 15:07
Cette observation a été classée comme doublon par le commissaire enquêteur.
N° 187 : 17 septembre 2024 - 15:07
Cette observation a été classée comme doublon par le commissaire enquêteur.
N° 186 : 17 septembre 2024 - 15:06
Cette observation a été classée comme doublon par le commissaire enquêteur.
N° 185 : 17 septembre 2024 - 15:05
Auteur : Hélène Dupré
Son avis : Défavorable
Le projet ST Christol qui a vu le jour il y a plus de 24 ans est devenu un projet obsolète et insensé aujourd’hui en 2024.
Il suffit de se retourner pour observer les effets de notre activité galopante tout particulièrement sur le plan climatique.
La Peyne est victime d’une sècheresse inédite, tous les poissons sont morts, les algues ont colonisé le lit .
Des restrictions pour l’arrosage agricole ont été mises en place durant l’été.
Le lac du Salagou, dont l’eau était réputée potable il y a quelques années , a été fermé à la baignade en raison de prolifération de cyanobactéries.
Les puits ,dans les quartiers voisins, sont taris.
Chaque été les températures affolent les thermomètres, la campagne est moribonde, les amandiers se meurent.
Qu’en sera-t-il dans 2, 3, 5 10 ans ?
A l’inverse, lorsque les dieux se mettent en colère, c’est un déluge d’eau qui s’abat.
Les épisodes cévenols génèrent des inondations phénoménales.
Le 27 octobre 2019, hier pour ainsi dire, le quartier St Christol et toute la plaine environnante ont été noyés sous les flots conjoints du Tartuguier, la Peyne et l’Hérault, phénomène accentué par le ruissellement des hauteurs de Chichery .
Le chemin de Tartuguier est devenu un torrent déchainé, 80 cm d’eau ont envahi les jardins et par extension les habitations, des habitants ont dû être hélitreuillés.
Qu’en sera-t-il si 24 hectares de terre viennent à être bitumés ?
-Ruissellement aggravé
-Disparition des terres agricoles (qui nous seront précieuses bientôt)
-Disparition de la biodiversité (dérogation permettant d’exterminer le lézard ocellé !! entre autres )
-Liste non exhaustive
Si 650 logements supplémentaires sont construits, soit 1800 /2000 habitants supplémentaires ?
- Pollution (il suffit de constater déjà les déchets sur les chemins et aux abords de la Peyne…)
-Nuisances sonores
-Augmentation du trafic sur place et en ville (les chemins de traverse sont déjà inadaptés au trafic actuel, très fréquemment empruntés compte tenu des grosses difficultés de circulation et de parking en centre -ville , dues aux travaux d’aménagement de l’avenue de Verdun qui a de ce fait « généré » l’abattage de 45 platanes centenaires)
-Liste non exhaustive
Le temps est à l’anticipation. Il faut envisager le futur objectivement, regarder le réalité en face :
L’avenir est sombre et implacable.
Imaginons que notre terre nourricière soit un grand super- marché, lorsque les rayons seront vides et qu’il ne sera plus possible de les approvisionner, ce sera le chao définitif.
Localement, si ce projet aboutit, ce sera une mise à mort de la biodiversité, la mise en danger de la vie d’autrui, la mise en péril de l’harmonie et de la paix.
Chérissons ce que nous avons. Protégeons nos terres, plantons et récoltons en les fruits, préservons notre patrimoine, mettons-le en valeur et soyons en fiers.
N° 184 : 17 septembre 2024 - 14:53
Auteur : Barbara Heide
Son avis : Défavorable
Ce projet met en péril l’équilibre écologique et sociologique de la ville de Pezenas
La zone est inondable et la betonnisation est aberrante et contraire à toutes les mesures de protection dans un environnement menacé par le réchauffement climatique
L’augmentation subite de la population entraînerait un dysfonctionnement des infrastructures existantes
Notamment des routes les parkings
Les écoles
Et agrandirait la pénurie médicale etc pp
Je m’oppose à ce projet complètement contraire à un développement durable
N° 183 : 17 septembre 2024 - 13:48
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Projet écocide, aberrant, d'un autre temps.
Va enlever le côté "village" de Pézenas, ce qui est très dommage !
Il est encore temps d'annuler le projet, si on aime vraiment cette ville et si l'on est un vrai patriote...
N° 182 : 17 septembre 2024 - 13:43
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Habitante du centre historique de Pezenas je vois bien que les commerçants ont du mal à suivre avec les travaux déjà présents dans Pezenas. Je pense qu’ajouter des centres commerciaux à l’extérieur de Pezenas ne serait pas aider les commerçants de la ville.
N° 181 : 17 septembre 2024 - 13:42
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Bonjour, je me pronnonce contre ce projet car il ne correspond plus aux enjeux écologiques actuels que posent le difficile accès à l'eau pour les prochaines annees. Ce projet est en zone inondable et sur des terres cultivablent. La bétonisation n'est pas une solution et participe au problème. Le projet n'a pas été pensé avec les habitants de Pézenas et dans le but de la durabilité. Le logement oui mais pas n'importe comment !
N° 180 : 17 septembre 2024 - 13:26
Auteur : Eric BAUDOU
Son avis : Défavorable
Je ne suis pas du tout favorable au projet de création d'une zone d'habitation sur une zone agricole pour plusieurs raisons.
Malgré les arguties mentionnées dans le DUP du projet faisant état d'un éventuel intérêt touristique et pédagogique et des éléments de langage vantant les aspects écologiques, il y a tout à redouter de ce projet qui vise à créer et isoler des logements sociaux au lieu de les intégrer dans un tissu urbain à restaurer et aura un impact écologique tout à fait négatif.
Ce projet vieux de 25 ans a été relancé afin de retarder l'échéance d'une dette importante par le précédent maire juste avant son remplacement par un maire qui avait eu, en son temps, la lucidité d'y être opposé et qui, par la force des choses, s'y est depuis rallié. Les conséquences écologiques, économiques et sociales de l'implantation de cette verrue résidentielle n’auront donc pas gérées par ceux qui ont engagé ce projet. De plus, la gestion de cette opération de long terme qui donne à la SEMOP la majorité des voix prive pour de nombreuses années à venir la prise de décisions de la mairie. Pourtant, à terme, les conséquences écologiques, économiques et sociales pour la ville seront nombreuses.
Sur le plan écologique
Artificialisation des zones agricoles
Ce projet est aberrent en ce qu'il artificialise des zones agricoles. La destruction de ces 24 hectares de terres agricoles, particulièrement fertiles, privera la ville d'une production alimentaire locale, affaiblissant ainsi l’approvisionnement en produits agricoles du Piscénois. Alors que l’importance des circuits courts et de l’agriculture locale est de plus en plus reconnue, cette perte de terres arables sera dommageable pour la souveraineté alimentaire locale.
Problèmes hydriques
Ce projet ancien ne prend pas suffisamment en compte les impacts du changement climatique qui vont provoquer à la fois la rareté de l'eau et les risques d'inondation lors des épisodes cévenoles susceptibles d'être de plus en plus fréquents et violents. Les restrictions quant à l'utilisation de l'eau se multiplient et la bétonisation de ce vaste territoire va réduire la perméabilité des sols déjà problématique quand on voit la taille des zones inondées dans Pézenas en cas de très fortes pluies.
Adaptation de la station d'épuration
On peut aussi s'interroger sur la capacité de la station d’épuration actuelle. Sera-t-elle en mesure de traiter les eaux usées supplémentaires générées par ces 2 000 nouveaux habitants ? Si des investissements conséquents doivent être réalisés, cela présentera un coût supplémentaire pour la commune.
Banalisation des paysages et dénaturation de l'homogénéité architecturale de la ville
Ce projet banalise les paysages en remplaçant une magnifique zone naturelle par une zone bétonnée de logements et une halle de commerce en plus proposant des îlots de verdure que le manque d’eau ne permettra pas d’arroser ... De plus, avec ce projet, il y aura un cœur de ville à l'architecture exceptionnelle et une zone de logements qui va dénaturer l'homogénéité déjà entachées par les zones commerciales.
Augmentation de la circulation automobile alors que l'infrastructure routière n'est pas adaptée
La réalisation de ce projet augmentera la circulation automobile dans Pézenas qui devient de plus en plus problématique. Au lieu d'apporter des solutions à ce problème qui s'annonce récurent, il est à prévoir une dégradation des conditions de circulation par l'augmentation du trafic routier et de ses conséquences en termes de consommation d'énergie, de pollution et de désagréments sonores. Il ne prévoit pas de modification du réseau routier obligeant les futurs résidents soit à grossir la circulation à l'entrée de Pézenas pour ceux qui arriveront par la route de Montagnac, à emboliser le petit chemin qui arrive au pont de Peyne en passant par le camping ou encore à prendre l'autoroute pour entrer dans Pézenas via la sortie Castelnau-de-Guers et à s'enkyster sur le petit accès qui rejoint le boulevard de Verdun via la rue Camille Guérin.
Il ne semble pas qu’une restauration du pont métallique permettant aux futurs habitants de se rendre rapidement et confortablement au centre ville soit prévue. Si cela devait être envisagé, cela sera, là encore, un coût important à supporter par la ville.
Un impact sociologique majeur
Au lieu d'aménager le centre ville, ce projet va créer une ville bicéphale isolant une partie de la population de la vie culturelle et commerciale de la cité. La paradoxe veut que ce genre de projet risque de vider le centre ville de ses habitants et de son dynamisme en le désertifiant et de nuire au petit commerce du centre ville au profit des grands centres commerciaux. Par ailleurs, il n’est pas certain qu’il permette d’augmenter le nombre d’habitants de Pézenas si ce but était recherché.
Manque de transparence dans la gestion du projet
Il est regrettable de constater que l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n’ait pas été rendu public ni joint au dossier. Ce manque de transparence nuit à la confiance des citoyens dans le processus de consultation publique et laisse planer des doutes sur les réelles motivations derrière ce projet.
De plus, aux dires du maire en exercice, ce projet qui libère momentanément la ville d'une dette importante permet de réaliser le projet de l'aménagement du boulevard de Verdun. Il ne semble pas cependant qu'une hiérarchisation des projets ait été soumise au choix des piscénois.
Au niveau économique
Cette question reste sans réponse : comment la commune financera-t-elle les infrastructures impactées pas ce projet sans alourdir la fiscalité locale ?
Ainsi, le projet de création d’un quartier de 700 logements à Pézenas, bien que répondant à des besoins en termes de logements, pose de nombreuses questions quant à sa faisabilité, son impact environnemental, social et économique ainsi que sur la qualité de la vie des piscénois.
Pour toutes ces raisons, je ne suis pas favorable à ce projet
N° 179 : 17 septembre 2024 - 12:37
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…) ; de plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois.
• Comment pourrait être absorbé 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (1 700 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
N° 178 : 17 septembre 2024 - 09:30
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Le positionnement de commerces, de professions médicales et de services de proximité est indispensable pour un quartier de ce type. D’autant qu’ils peuvent compléter l’offre dejà présente à Pézenas.
N° 177 : 17 septembre 2024 - 09:20
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Un nouveau quartier à saint Christol.
Outre le fait qu’à son arrivée, en 2020, la municipalité nouvellement élue a hérité d’un projet juridiquement ficelé par l’ancienne équipe, et, comme beaucoup de ses projets, confiés clefs en main à des acteurs privés, la majorité actuelle a du trouver une solution idoine à son problème Saint Christol.
N’ayant pas les moyens financiers de rayer d’un trait de plume les contrats signés et la dette des terrains, l’Équipe municipale nouvelle s’attela à revoir complétement le projet et en faire ne véritable réalisation sous maîtrise d’ouvrage publique.
Sans faire une liste à la Prévert, mais sans oublier, non plus, que le stade Louis Trigit, si cher au cœur des piscénoises et des piscénois, est conservé (il devait disparaitre sous l’ancien projet), je vois deux exemples illustrant mes propos ; cette volonté de peser par leur politique publique permet aux élus majoritaires actuels de dégager deux grands axes.
Tout d’abord, le souhait de permettre le maintien et de développer les services publics sur Pézenas (Gendarmerie,….).
Ensuite, la construction de logements accessibles au plus grand nombre. Pézenas, située historiquement à un carrefour routier, subit, bien évidemment, une pression foncière importante ; les prix de l’immobilier s’envolent. Que la puissance publique joue enfin son rôle dans la maîtrise du marché ne peut qu’’être positif pour les familles piscénoises, notamment les familles modestes.
L’arrivée ou le maintien de cette population à Pézenas représente l’avenir pour la ville : vie des écoles, développement du tissus associatif et développement économique, dont les services de proximités.
Arrivée en 2020 en ayant cette épée de Damoclès financière au-dessus de la tête, l’équipe municipale se devait d’agir, et le projet présenté est le meilleur qui puissent être…
N° 176 : 16 septembre 2024 - 21:12
Auteur : Eugène-François Ravenet
Son avis : Défavorable
Je suis défavorable à ce projet. Surface agricole définitivement détruite, alimentation en eau incertaine: le changement climatique y participe, mais aussi risque d'inondation aggravé par, paradoxalement par le changement climatique: phénomène pluvieux violent et se reproduisant plus souvent. La Méditerranée est de plus en plus chaude et devient une vraie bouilloire...
Ce serait une grave erreur de passer à la réalisation de ce projet qui priverait Pézenas d'une capacité de produire une part importante de son alimentation, potentiel précieux pour les générations qui se succéderont alors que le Maire actuel, lui sera bien loin....Dans le cadre actuel on ne peut se contenter du présent, il faut se projeter ce dont nous n'avons pas la pratique.
Le coût du projet est par ailleurs démesuré:25 millions d'euros, qui peut entraîner Pézenas dans spirale d'endettement très grave.
Lors de l'appel d'offre, les candidats ne se sont pas bousculés! Le peu de rentabilité du projet les a fait fuir...
La cour des comptes régionale ne dit pas autre chose.
Monsieur le Préfet entendra-t'il les arguments des opposante?..
François Ravenet
N° 175 : 16 septembre 2024 - 19:51
Auteur : Frank Broutin
Son avis : Défavorable
Monsieur le commissaire enquêteur,
Défavorable ou favorable reste un sentiment. Aussi, je souhaite axer ma contribution sur des éléments factuels.
1 / LE PROJET SE BASE SUR LA POSSIBILITÉ D’AUGMENTER LA POPULATION DE PÉZENAS EN CRÉANT DE NOUVELLES OFFRES DE LOGEMENT.
Sur ce point, le passé peut nous éclairer. Depuis 2011, Pézenas a artificialisé plus de 7 hectares de terres pour construire plus de 350 logements. Mais dans le même temps, la population de Pézenas n’a pas augmenté, elle a même parfois légèrement régressé. La densité de population a même diminué de 6 % sur cette période. Aussi, le procédé de construire de nouveaux logements pour augmenter la population n’a pas été efficace hier. Alors pourquoi le serait-il demain ?
De plus, il est probable que cette politique n’ait eu comme conséquences qu’un étalement urbain source de coûts complémentaires et d’impacts environnementaux plus importants et peu en phase avec les directives en vigeur.
Sur ce point, je ne peux pas être favorable à prendre un risque.
2 / ARRÊTER SAINT CHRISTOL COÛTERAIT BEAUCOUP D’ARGENT ET METTRAIT EN PÉRIL LES FINANCES DE LA VILLE.
Sur ce point aussi, il est important d’étudier les chiffres à notre disposition. Dans les documents du dossier de l’enquête publique, un document s’intitule : « Appréciation sommaire des dépenses ».
On y apprend :
- Le coût global du projet Saint Christol est estimé à 30 M €
- L’acquisition des terres agricoles ne représnte que 5 M € (17 %)
- Dans ce coût global, une « taxe » est due pour s’autoriser à détruire la biodiversité d’un montant de 3,5 M € (12 %)
Arrêter le projet engendrera probablement des coûts. Mais le réaliser aussi ! ... et peut-être même beaucoup plus !
D’autant que rien n’est indiqué sur les coûts probables induits et non référencés dans cette estimation (infrastructure pour le trafic et la jonction du quartier avec le centre-ville, éclairage, station d’épuration, décentralisation de services publics, …)
Sur ce point également, il y a à minima un doute à prendre en compte et à estimer !
Aussi, je me positionne comme « défavorable » sur ce projet car des éléments factuels m’y engagent.
Cordialement.
N° 174 : 16 septembre 2024 - 18:22
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Excellente initiative par rapport au précédent programme de l' ancienne équipe
N° 173 : 16 septembre 2024 - 15:51
Auteur : ANGELIQUE LO
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,
N° 172 : 16 septembre 2024 - 15:18
Auteur : gérard Saldana
Son avis : Défavorable
Je suis résolument opposé à la réalisation de ce projet : en effet, ce projet va bétonner 24 ha de terres agricoles qui seraient bien utiles pour permettre à la ville de proposer à sa population et ses écoles et lycées des produits en circuit court.
Ce projet est en totale contradiction avec les recommandations de la loi "climat et résilience" ainsi qu 'avec les orientations prises par le SCOT du bitérrois et signées par nos élus.
Nos régions deviennent de plus en plus arides, nos besoins en eau sur ce projet sont estimés à 300.000 m3 par an, folie que de penser que nos nappes phréatiques sont inépuisables ou que le détournement des eaux du Rhône pourront suffire sur le long terme.
Les phénomènes climatiques violents et imprévisibles deviennent la norme : Pézenas est une zone sensible en matière d'inondations, le bas de la ville est souvent inondé : l'impact de la bétonisation de St Christol va aggraver lourdement ce phénomène.
Les inondations de 2019 sont là pour en témoigner : l accès par la Grange des Prés ( seul lieu d'accès dans le futur projet) était impossible.( et dire qu 'on veut y implanter la future gendarmerie !)
Cette zone se trouve enclavée entre la montée des eaux de l Hérault,de la possible transformation du ruisseau de Tartuguet en torrent et du débordement de La Peyne.
La conjonction de ces 3 débordements aurait des conséquences catastrophiques dont nos dirigeants devront porter l entière responsabilité.
Autre impact non négligeable : le trafic routier va augmenter de 17%. Nos infrastructures routières ne sont absolument pas adaptées à ce flot nouveau de véhicules.
On annonce aussi une compensation écologique par la mise en place d'une zone à cet effet, mais celle-ci est déjà une zone naturelle : elle ne peut venir compenser une autre zone naturelle détruite.
Enfin, ce projet global engage la collectivité sur un dépense de 25 millions d'euros : Pour quelle rentrée d'argent ? Sa viabilité économique repose sur la vente effective de tous les lots.Vu les prix annoncés au m2 cela est un énorme pari très risqué.
Je suis donc extremement défavorable à ce projet archaïque, d'un autre temps et en contradiction totale avec les recommandations de nos instances dirigeantes à l échelon national ou départemental.
N° 171 : 16 septembre 2024 - 14:27
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau...?
N° 170 : 16 septembre 2024 - 14:26
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
L'actuelle mairie de Pézenas a hérité d'un dossier épineux, tant elle se trouve contrainte par des engagements antérieurs lourds, en matière financière.
En même temps, il est fait le constat que la ville de Pézenas stagne en matière de développement, depuis de nombreuses années, il suffit de se référer aux enquêtes INSEE sur l'évolution stagnante, voire négative de la population, une rare exception dans le département de l'Hérault.
Il me semble que la voie prise par la municipalité actuelle est une voie médiane : permettre un certain développement de la ville, tout en revisitant entièrement le projet pour prendre en compte de meilleurs conditions de réalisation du projet : impact environnemental en diminuant le nombre de logements, lien avec le bourg centre, activité économique pour éviter le destin des cités "dortoir". Y renoncer serait condamner Pézenas au déclin pour de nombreuse années.
N° 169 : 16 septembre 2024 - 12:32
Auteur : ISABELLE AUBERT
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, ce projet n'est pas viable
N° 168 : 16 septembre 2024 - 11:00
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Pézenas fait partie du bassin d’emplois d’Agde et cherche des solutions avec le dispositif zéro chômeurs ou l’économie résidentielle dans ce quartier (ex.: la résidence autonomie). Pézenas ville lourdement endettée veut éviter de supporter le coût de la non réalisation de ce quartier et propose des améliorations.
N° 167 : 16 septembre 2024 - 10:16
Auteur : Michel VICENTE
Son avis : Défavorable
Ajouter un village de 1500 habitants à la ville de Pézenas sans proposer à la population de s'exprimer par un référendum, me paraît être à contre-courant de la vie citoyenne à un moment où la démocratie participative occupe une place de choix dans la démarche politique de tous nos élus.
Se fera?, se fera pas?
Sans l'organisation de réunions publiques à grands renforts d'experts en hydrologie, écologie, urbanistes visionnaires, services de l'état en charge des équilibres financiers des communes etc.., à défaut donc d'avoir pu se nourrir de l'avis de ces spécialistes, prendre une décision sur Saint Christol relève de la voyance.
''PLOUM PLOUM'' favorable ou défavorable?
En visionnant les photos de l'inondation du quartier de saint Christol de 2019 (page Facebook ''Pour un autre projet st Christol à Pézenas'' et de ses voies d'accès), comment ne pas s'interroger, avec les phénomènes Cévenols et Méditerranéens, sur les risques pris par les promoteurs de ce projet.
''Saint Christol les pieds dans l'eau'', ce titre pourrait faire la une de la presse régionale dans les années à venir.
Avec une consommation d'eau potable autour de 300 000m3/an et dans une période ou la pénurie de la ressource fait l'objet des préoccupations des Maires de l'Hérault (permis de construire gelés) comment ne pas s'interroger sur le risque de subir des coupures d'eau sur l'ensemble du réseau.
''Pézenas en manque d'eau'', ce titre pourrait faire la une de la presse régionale dans les années à venir.
Dans ma réflexion je prends en compte l'avis des élus locaux qui nous alertent sur la perte d'autonomie financière si le projet ne venait pas à se réaliser (somme déjà engagée - achat des terrains pour une valeur de 5 millions d'euros). Cependant, je n'ai jamais eu connaissance du coût des réalisations à engager, engendrées par l'apport de 1500 habitants:
-construction de classes supplémentaires
-recrutement de policiers municipaux
-construction d'une salle polyvalente pour une jauge de 10 000 habitants
-création et réfection de salles dédiées aux associations déjà à l'étroit en ville
-centre social à redimensionner
-création de pistes cyclables, parkings
-réfection/sécurisation des 3 ponts dédiés aux déplacements doux (pont en fer, pont près du chemin de Castres et pont sur Tartuguier)
-financements récurrents pour animer/soutenir le commerce local qui sera impacté par la réalisation sur le nouveau quartier de saint Christol d'une halle marchande avec commerces de bouches, bistrots, restaurants....
liste non exhaustive.......
Entre-temps Pézenas faute d'argent se délite (endettement antérieur à 2020):
-chemins vicinaux à l'abandon
-trottoirs en périphérie dégradés
-voiries abimées par une fréquentation excessive (déviation chantier avenue de Verdun)
Etc..etc..
Bref, avec le village St Christol il ne faudra pas déshabiller Pierre pour habiller Paul.
Mais le risque avec la réalisation de Saint Christol pourrait venir de la difficulté à commercialiser les 650 logements sur un territoire où le travail n'est pas légion..
Le marché sera t'il porteur, aurons nous la latitude de baisser le prix du M2 sans mettre en péril les finances de la ville ?
On peut s'attendre également, fuyant des conditions de vie insupportables, à un déplacement de la population du centre ville vers Saint Christol à la recherche d'un appartement décent en location. Est-ce le but recherché?
Conclusion: Saint Christol, REUSSITE ou FIASCO ?, devant tant d'interrogations et le sentiment d'avancer sur un terrain miné, je suis défavorable à ce projet
N° 166 : 15 septembre 2024 - 08:52
Auteur : Rémy Coulet
Son avis : Défavorable
Monsieur le commissaire enquêteur,
Je tiens à vous faire part de ma profonde désapprobation vis à vis du projet de futur quartier qui, s'il se concrétisait:
- constituerait un aménagement urbain dans un espace agricole, sans continuité urbaine avec la ville. Ceci est en totale contradiction avec l'esprit de la loi ZAN (Zéro Artificialisation Nette). Plutôt que d'être artificialisées, les surfaces concernées pourraient, au moins en partie, contribuer à produire des denrées alimentaires pour la consommation locale.
- accentuerait en raison de l'importance des surfaces imperméabilisées, le risque de ruissellement vers les quartiers en contrebas de la ville, lors des orages.
- ferait courir un risque accru de rupture de l'alimentation en eau potable à l'ensemble des habitants du Piscénois. L'accroissement de la consommation d'eau potable consécutive à l'augmentation de la population prévue pourra-t-elle être assurée dans le contexte de réchauffement climatique et de sècheresses récurrentes que nous connaissons? (2000 h X 150l/jour = 110 000 m3/an, plus l'eau des piscines)
D'une façon générale, de par son importance, ce projet entrainerait, outre les dépenses considérables d'investissement et de fonctionnement, un véritable bouleversement pour la vie des habitants de Pézénas. Il est clairement démesuré et doit être abandonné en l'état.
C'est pourquoi, je vous demande, Monsieur le commissaire enquêteur, d'émettre un avis défavorable au projet de futur quartier de St Christol.
Rémy Coulet, président de l'association St Hilaire Durable, 30560 St Hilaire de Brethmas
N° 165 : 14 septembre 2024 - 22:35
Auteur : Christian Charlin Christian
Son avis : Défavorable
Bonjour. Je suis totalement en opposition à ce projet qui viendrait à détruire des terres agricoles alors que nous nous devons de les protéger, ici et ailleurs, afin de produire une alimentation saine, terres travaillées par des locaux pour une distribution de produits sur la commune de Pézénas et des environs. Je rejoins les arguments développés par ailleurs émanant des personnes défavorables.
Cordialement.
Charlin C.
N° 164 : 14 septembre 2024 - 22:30
Auteur : Emmanuel Coulange
Son avis : Défavorable
Ce projet amène plusieurs problématiques et ne prend pas en compte les évolutions que notre régions subit.
- En effet, le problème d'alimentation en eau est un vrai soucis. Les restrictions que nous pourront subir dans le futur s'accélèrerai avec ces constructions nouvelles.
- Supprimer une zone importante d'absorbation de l'eau de pluie dans notre région, souvent inondée, n'est pas la meilleur des solutions à apporter.
- 24 hectares de terre agricole supprimer réduirait le développement de circuit court et freinerai le développement de l'agriculture locale.
- La création du nombre de logement en extérieur du centre ville de Pézenas risque fortement de faire partir des habitants du centre sans pour autant faire augmenter le nombre d'habitants mais en désertifiant le centre ville avec évidement un impact sur les commerces.
- Si augmentation de la population il y a, comment absorber la hausse du trafic routier (Sur le pont de Nizas !!) la hausse des enfants à scolariser...
- Il me semble que le Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville a émis un avis négatif mais que peu de personne ne le savent.
Merci de prendre en compte ces arguments et de renoncer à ce projet qui aura un surcout financier et écologique avec de grave conséquences. De plus, même si ce projet a été enclenché avant la loi ZAN (zéro artificialisation nette en aout 2021), si cette loi est passé, il est cohérent d'en tenir compte...
N° 163 : 14 septembre 2024 - 22:22
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
1 / Augmentation des logements sans augmentation de la population.
Le projet vise à augmenter la population de Pézenas, mais les données de l'INSEE des 15 dernières années montrent une réalité différente. Bien que le nombre de logements ait augmenté, notamment avec une artificialisation de plus de 7,2 hectares pour des projets immobiliers, la population est restée stable voire a diminué. Ce phénomène met en lumière une contradiction dans la gestion du développement urbain, car malgré l'ajout de logements, aucun impact significatif sur la croissance démographique n’a été observé. Par ailleurs, la densité urbaine a diminué, révélant une tendance à l'étalement urbain, phénomène opposé aux objectifs de la loi "Climat et Résilience" qui prône une densification dans les zones déjà urbanisées afin de réduire les impacts environnementaux liés aux déplacements motorisés.
2 / Logements vacants et création de nouveaux logements, conflit avec la loi "Climat et résilience" et le futur SCoT.
Pézenas compte actuellement plus de 700 logements vacants, représentant un taux de vacance de 13,6 % en 2021, selon l’INSEE. Pourtant, le projet prévoit la construction de 655 nouveaux logements. Ce projet va à l'encontre des recommandations de la loi "Climat et Résilience", qui encourage la réhabilitation des logements vacants avant de construire de nouveaux bâtiments. De plus, la création de nouveaux logements s'oppose aux directives du futur SCOOT du Biterrois, en cours de révision, qui impose des mesures strictes contre l’étalement urbain et encourage une meilleure densification dans les zones déjà urbanisées. Le manque d’étude sérieuse sur l’alternative consistant à réutiliser une partie du parc de logements vacants renforce l’incohérence du projet par rapport aux objectifs nationaux et régionaux de préservation des sols.
Il me semble important et urgent d'en appeler à une démocratie locale et participative sur ce sujet, sachant que même les collèges ‘Citoyens et Associations’ du Conseil Citoyen pour la Transition Écologique de Pézenas (CCTE) se sont prononcés de façon ‘défavorable’ pour le projet dans son état actuel, sans qu’à ce jour, il n’en soit fait état ni dans un conseil municipal ni dans les documents de consultation de cette enquête.
N° 162 : 14 septembre 2024 - 21:48
Auteur : Matthieu Chédeville
Son avis : Défavorable
1. **Problématique de l’eau dans un contexte de sécheresse croissante :**
Dans une région déjà touchée par des périodes de sécheresse de plus en plus longues et une gestion de l'eau en tension, il est légitime de se demander si les ressources en eau seront suffisantes pour alimenter un tel projet immobilier. Durant l’hiver dernier, plusieurs villages aux alentours ont dû être approvisionnés en eau par camions-citernes. L'ajout de 2 000 habitants supplémentaires à Pézenas risque d'aggraver cette situation. Où trouverons-nous l’eau nécessaire pour assurer les besoins de cette population croissante ?
2. **Impact environnemental sur l’hydrologie locale :**
La bétonisation de 24 hectares de terres agricoles à Saint Christol risque d’avoir un effet délétère sur le cycle de l’eau. En supprimant une zone d’absorption naturelle, le ruissellement des eaux pluviales vers les zones déjà sensibles de la ville pourrait s’intensifier, augmentant le risque d’inondations dans les secteurs vulnérables comme la rue Conti, l’avenue de Castelnau, ou encore les Calquières basses et hautes. De plus, la réduction des surfaces perméables ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique, ressource déjà sous pression.
3. **Perte de terres agricoles fertiles :**
La destruction de ces 24 hectares de terres agricoles, particulièrement fertiles, entraînerait une réduction significative de la production alimentaire locale, affaiblissant ainsi l’approvisionnement en produits agricoles du Piscénois. Alors que l’importance des circuits courts et de l’agriculture locale est de plus en plus reconnue, cette perte de terres arables serait dommageable pour la souveraineté alimentaire locale.
4. **Augmentation du trafic routier :**
L’ajout de 700 nouveaux logements entraînerait une augmentation de 17 % du trafic routier, un chiffre considérable dans une ville comme Pézenas. Comment le réseau routier, notamment le pont de la Peyne, pourrait-il absorber cet afflux sans entraîner des embouteillages, une augmentation de la pollution et des nuisances sonores pour les riverains ? Aucune solution viable n’est actuellement proposée pour gérer cet impact sur la mobilité urbaine.
5. **Équilibre commercial menacé :**
La création d’une Halle Gourmande de 700 m² à Saint Christol pourrait nuire au commerce local, notamment celui du centre-ville de Pézenas. En attirant une partie de la clientèle vers cette nouvelle zone, il y a un risque de désertification commerciale du centre historique, déjà en difficulté. Le projet de nouvelle Halle ne doit pas se faire au détriment des commerces existants.
6. **Capacité des infrastructures scolaires :**
Avec l’arrivée de nombreuses familles, il est nécessaire de se demander si les infrastructures scolaires, notamment les écoles primaires, seront capables d’accueillir tous ces nouveaux élèves. Les investissements scolaires dépendent de la commune, mais aucune garantie ni plan précis n’a été présenté pour la construction de nouvelles écoles ou l’agrandissement des infrastructures existantes. De plus, si des fonds importants sont alloués à ce nouveau quartier, cela pourrait compromettre les budgets destinés à d'autres secteurs, comme la rénovation du centre-ville.
7. **Capacité de la station d'épuration :**
La station d’épuration actuelle est-elle en mesure de traiter les eaux usées supplémentaires générées par ces 2 000 nouveaux habitants ? Si ce n’est pas le cas, des investissements conséquents devront être réalisés, ce qui représenterait un coût supplémentaire pour la commune. Une question cruciale reste sans réponse : comment la commune financera-t-elle ces infrastructures sans alourdir la fiscalité locale ?
8. **Investissements supplémentaires à la charge de la commune :**
La mise en place d’infrastructures supplémentaires, telles que des liaisons piétonnes et cyclables entre Saint Christol et Pézenas, ou la gestion des zones inondables et des routes environnantes (comme celle de Nizas), générera des coûts significatifs pour la commune. Ces dépenses n’ont pas été intégrées dans l’analyse du projet et risquent de grever le budget municipal.
9. **Manque de transparence dans la gestion du projet :**
Enfin, il est inquiétant de constater que l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n’a pas été rendu public ni joint au dossier. Ce manque de transparence nuit à la confiance des citoyens dans le processus de consultation publique et laisse planer des doutes sur les réelles motivations derrière ce projet.
**Conclusion :**
Le projet de création d’un quartier de 700 logements à Pézenas, bien que répondant à des besoins en termes de logements, pose de nombreuses questions quant à sa faisabilité, son impact environnemental et social, ainsi que les coûts pour la commune. Il est essentiel que ces préoccupations soient sérieusement prises en compte avant de poursuivre ce projet.
N° 161 : 14 septembre 2024 - 20:20
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,
N° 160 : 14 septembre 2024 - 17:01
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
La mairie n'a toujours pas répondu aux nombreuses questions soulevées, notamment en ce qui concerne l'impact environnemental et hydrologique, n'a pas été rendu public l'avis du conseil citoyen sur l'écologie.
La destruction de 24 hectares de terres agricoles réduira la possibilité de produire localement, mais pourrait également aggraver les risques d'inondations dans certaines zones vulnérables de la ville. De plus, l'augmentation prévue du trafic routier et l'absence de solutions pour les infrastructures scolaires et la station d'épuration posent de sérieux problèmes. Enfin, le manque de transparence dans la gestion du projet sème le doute quant à ses véritables motivations.
N° 159 : 14 septembre 2024 - 16:53
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
1. **Problématique de l’eau dans un contexte de sécheresse croissante :**
Dans une région déjà touchée par des périodes de sécheresse de plus en plus longues et une gestion de l'eau en tension, il est légitime de se demander si les ressources en eau seront suffisantes pour alimenter un tel projet immobilier. Durant l’hiver dernier, plusieurs villages aux alentours ont dû être approvisionnés en eau par camions-citernes. L'ajout de 2 000 habitants supplémentaires à Pézenas risque d'aggraver cette situation. Où trouverons-nous l’eau nécessaire pour assurer les besoins de cette population croissante ?
2. **Impact environnemental sur l’hydrologie locale :**
La bétonisation de 24 hectares de terres agricoles à Saint Christol risque d’avoir un effet délétère sur le cycle de l’eau. En supprimant une zone d’absorption naturelle, le ruissellement des eaux pluviales vers les zones déjà sensibles de la ville pourrait s’intensifier, augmentant le risque d’inondations dans les secteurs vulnérables comme la rue Conti, l’avenue de Castelnau, ou encore les Calquières basses et hautes. De plus, la réduction des surfaces perméables ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique, ressource déjà sous pression.
3. **Perte de terres agricoles fertiles :**
La destruction de ces 24 hectares de terres agricoles, particulièrement fertiles, entraînerait une réduction significative de la production alimentaire locale, affaiblissant ainsi l’approvisionnement en produits agricoles du Piscénois. Alors que l’importance des circuits courts et de l’agriculture locale est de plus en plus reconnue, cette perte de terres arables serait dommageable pour la souveraineté alimentaire locale.
4. **Augmentation du trafic routier :**
L’ajout de 700 nouveaux logements entraînerait une augmentation de 17 % du trafic routier, un chiffre considérable dans une ville comme Pézenas. Comment le réseau routier, notamment le pont de la Peyne, pourrait-il absorber cet afflux sans entraîner des embouteillages, une augmentation de la pollution et des nuisances sonores pour les riverains ? Aucune solution viable n’est actuellement proposée pour gérer cet impact sur la mobilité urbaine.
5. **Équilibre commercial menacé :**
La création d’une Halle Gourmande de 700 m² à Saint Christol pourrait nuire au commerce local, notamment celui du centre-ville de Pézenas. En attirant une partie de la clientèle vers cette nouvelle zone, il y a un risque de désertification commerciale du centre historique, déjà en difficulté. Le projet de nouvelle Halle ne doit pas se faire au détriment des commerces existants.
6. **Capacité des infrastructures scolaires :**
Avec l’arrivée de nombreuses familles, il est nécessaire de se demander si les infrastructures scolaires, notamment les écoles primaires, seront capables d’accueillir tous ces nouveaux élèves. Les investissements scolaires dépendent de la commune, mais aucune garantie ni plan précis n’a été présenté pour la construction de nouvelles écoles ou l’agrandissement des infrastructures existantes. De plus, si des fonds importants sont alloués à ce nouveau quartier, cela pourrait compromettre les budgets destinés à d'autres secteurs, comme la rénovation du centre-ville.
7. **Capacité de la station d'épuration :**
La station d’épuration actuelle est-elle en mesure de traiter les eaux usées supplémentaires générées par ces 2 000 nouveaux habitants ? Si ce n’est pas le cas, des investissements conséquents devront être réalisés, ce qui représenterait un coût supplémentaire pour la commune. Une question cruciale reste sans réponse : comment la commune financera-t-elle ces infrastructures sans alourdir la fiscalité locale ?
8. **Investissements supplémentaires à la charge de la commune :**
La mise en place d’infrastructures supplémentaires, telles que des liaisons piétonnes et cyclables entre Saint Christol et Pézenas, ou la gestion des zones inondables et des routes environnantes (comme celle de Nizas), générera des coûts significatifs pour la commune. Ces dépenses n’ont pas été intégrées dans l’analyse du projet et risquent de grever le budget municipal.
9. **Manque de transparence dans la gestion du projet :**
Enfin, il est inquiétant de constater que l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n’a pas été rendu public ni joint au dossier. Ce manque de transparence nuit à la confiance des citoyens dans le processus de consultation publique et laisse planer des doutes sur les réelles motivations derrière ce projet.
**Conclusion :**
Le projet de création d’un quartier de 700 logements à Pézenas, bien que répondant à des besoins en termes de logements, pose de nombreuses questions quant à sa faisabilité, son impact environnemental et social, ainsi que les coûts pour la commune. Il est essentiel que ces préoccupations soient sérieusement prises en compte avant de poursuivre ce projet.
N° 158 : 14 septembre 2024 - 16:05
Auteur : Sylvie Thevenon
Son avis : Défavorable
Création d'une halle gourmande !! Aberrant à Pézenas, nous préférions développer le cœur de ville.
Qu'en est-il de la scolarisation des nouveaux élèves. Aucune info !
Des terres fertiles détruites.
Le bétonnage du quartier de St Christol accentuera le ruissellement et les inondations des quartiers bas de la ville et des zones sensibles.
Ce ruissellement contribuera à l'assèchement des nappes phréatiques.
Ne pas oublier que des villages alentours de Pézenas ont été approvisionnés en eau par camion-citerne. Qu'en serait-il de Pézenas si un tel projet aboutissait ? La ressource en eau étant déjà en tension, pourrait-on fournir de l'eau à l'ensemble de la population ?
Pour Toutes ces raisons, je suis entièrement défavorable pour qu'un tel projet, entièrement dommageable et non essentiel, aboutisse.
N° 157 : 14 septembre 2024 - 15:23
Auteur : JOSEPH VAREA
Son avis : Défavorable
Objet : avis défavorable sur projet de hameau sur la zone excentrée de St Christol
Monsieur le Commissaire enquêteur,
Bien que n’ayant pas ma résidence principale à Pézenas, je reste très attaché à la ville de mon enfance, ma cité de cœur, dans laquelle demeurent nombre de mes proches que je visite régulièrement. C’est pourquoi, je ne suis pas insensible à l’évolution de Pézenas quel que soit le domaine : politique, économique, culturel, sportif…et surtout environnemental.
J’ai suivi la campagne électorale en 2020, j’ai été ravi de la victoire de la liste pilotée par Armand Rivière parce que, j’avais notamment noté son positionnement défavorable sur le volumineux projet d’urbanisation totalement excentré sur le secteur de St Christol. Aussi son revirement et entêtement, à vouloir porter ce projet aberrant, initié par son concurrent sont d’autant plus surprenants. En semblant malheureusement illustrer la formule politicienne : « les promesses des hommes politiques n’engagent que ceux qui les reçoivent », cette municipalité accentue la défiance des citoyens envers les élus.
Ce projet d’un autre temps, n’a pas sa raison d’être et l’argument principal, souvent avancé par l’équipe municipale , à savoir porter la population de Pézenas à 10.000 habitants au lieu de 8.000 pour peser plus dans l’agglo dirigée par Agde est spécieux, dérisoire voire ridicule. Quand j’étais en CM2 en 1961-62 , Pézenas comptait autour de 8.000 habitants et son territoire urbanisé était 3 fois moins étendu qu’aujourd’hui :pas une construction au-delà du cimetière et de la Faissine. En 60 ans, le centre ville s’est largement vidé, les lotissements ont fleuri partout et la ville compte toujours ….8.000 habitants. Donc ce projet va continuer à vider le cœur de ville et à augmenter sa vacance commerciale. Les rues seront quasiment désertées sauf pendant la période touristique. Un cœur de ville moribond 9 mois sur 12. Il y a matière et urgence à redynamiser le centre ville plutôt que d’accélérer l’hémorragie de la population au profit de la périphérie d’autant que la loi ZAN incite à ne pas artificialiser les surfaces agricoles ou naturelles (comme le secteur de St Christol) mais plutôt à re-naturaliser , à restaurer de vieux quartiers et à « bâtir sur du bâti ». Il ne manque pas de secteurs sur la ville pour appliquer la loi ZAN. Avec ce projet sur St Christol , on s’en affranchit totalement pour faire l’inverse.
La principale justification municipale pour poursuivre ce projet n’est donc pas validée par les données urbanistiques et démographiques. Je pense que les élus le savent bien. La principale raison , non avouée, à cet entêtement qui confine à un déni de démocratie est en réalité financière. La municipalité précédente a engagé des dépenses en particulier en études diverses et cet argent serait donc perdu. Comme il s’agit d’un projet communal et non communautaire, la ville, déjà bien endettée, supporterait seule le coût de ce retrait. Du coup, la municipalité poursuit cette aventure, avec quelques modifications marginales qui ne changent rien sur le fond, en espérant d’illusoires retombées financières. Au passage, si la qualité de vie était tributaire de la hausse du nombre d’habitants, cela se saurait dans toutes les métropoles et mégalopoles.
Je ne m’y attarderai pas - d’autres, plus compétents, le feront mieux que moi - mais sachez que je partage en tout point l’analyse de l’association « Pour un autre projet Saint Christol ». Ses arguments sur : la non artificialisation supplémentaires des sols, le développement de l’activité agricole et la recherche d’une meilleure autonomie alimentaire, le maintien de l’activité commerciale en centre-ville, la gestion de l’eau (risques de sécheresse ou d’inondation), la préservation des paysages et de la biodiversité, les problèmes de circulation …etc, sont particulièrement pertinents et recevables. Ils devraient largement suffire pour invalider ce projet.
Cette enquête publique qui remet entre les mains d’une seule personne étrangère à Pézenas un projet aussi important qui va impacter la vie de 8000 piscénois et le devenir à long terme de la commune, n’aurait jamais dû être diligentée. Puisqu’il s’agit d’un projet communal, il aurait fallu que la municipalité prenne l’initiative d’une consultation citoyenne comme d’autres élus soucieux de l’avis de leurs électeurs sur un projet structurant l’ont déjà fait… parfois tardivement (cf St hilaire de Brethmas dans le Gard pour un projet de golf immobilier) . Il n’est pas trop tard pour le faire. En effet, il ne sert à rien d’évoquer tous les 4 matins son attachement à la démocratie participative, comme le fait régulièrement la municipalité actuelle, si elle se contente d’interroger les citoyens sur des détails, sur l’accessoire tout en les boycottant sur des sujets essentiels. Et ce projet ne relève pas de l’accessoire mais bien de l’essentiel. Dans leur for intérieur, les élus le savent bien.
On gagne toujours à consulter, en amont d’un projet important, les citoyens. On évite ainsi des tensions rudes et des divisions persistantes.
Mon sentiment c’est qu’il vaut mieux continuer à entendre parler de Pézenas pour Molière, Bobby Lapointe, le poulain, les petits pâtés, son équipe de rugby, la qualité de sa démocratie vraiment participative…etc, que pour un conflit écologique durable autour d’une nouvelle ZAD (zone à défendre) dans une petite ville , a priori, dirigée par une équipe qui se dit en plus sensible à la protection de l’environnement.
Avis totalement défavorable à ce projet mais favorable à un référendum local. Que les citoyens tranchent !
Veuillez agréer, Monsieur le commissaire-enquêteur, mes sincères salutations.
Joseph Varéa
N° 156 : 14 septembre 2024 - 14:11
Auteur : Catherine Brial
Son avis : Défavorable
Est ce bien raisonnable de construire sur un terrain reconnu innondable et sachant de plus que ce genre d opération sera interdit dans 3 mois( janvier 2025).
C est une course pour éviter l interdit.
Eviter les catastrophes climatiques et pertes humaines me paraissent être une priorité même si un aménagement est fait pour éviter l accident.
De plus cette eau va bien devoir s écouler, n est ce pas au detriment des habitants de certaines rues de Pezenas ??
N° 155 : 13 septembre 2024 - 22:54
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau...).
N° 154 : 13 septembre 2024 - 20:09
Auteur : LUC STIEVENARD
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,etc.).
N° 153 : 13 septembre 2024 - 09:16
Auteur : Laurence Douëllou
Son avis : Défavorable
Pézénas est un fleuron historique de notre région qui subit comme partout la construction à tout va sur les terres agricoles qui entourent la vieille ville.Dans quels buts ? Surtout quand l'eau vient à manquer et que le prix des tomates et des oignons flambe... Il n'est plus temps d'artificialiser des terres sans tenir compte des nouvelles conditions climatiques mais de protéger la biodiversité et l'environnement qui l'abrite, en particulier le sol, l'eau et l'air.
N° 152 : 12 septembre 2024 - 23:34
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
1. **Risque accru d’inondations :**
En bétonnant 24 hectares de terres agricoles, on réduit les surfaces qui absorbent naturellement l’eau de pluie. Cela risque d’aggraver le ruissellement et de provoquer des inondations dans des zones déjà sensibles comme la rue Conti ou l’avenue de Castelnau. Sans ces espaces pour absorber l’eau, les pluies fortes pourraient causer encore plus de dégâts dans ces quartiers.
2. **Trafic saturé :**
Ajouter 700 logements va augmenter le trafic de 17 %, alors que des axes comme le pont de la Peyne sont déjà saturés. Cela signifie plus d’embouteillages, des trajets plus longs pour tout le monde, et plus de pollution et de bruit pour les riverains. Le réseau routier n’est pas prêt à supporter un tel afflux sans gros investissement
N° 151 : 12 septembre 2024 - 23:30
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
**Argumentaire contre la création d'un quartier de 700 logements à Pézenas : focus sur le trafic routier**
1. **Surcharge du réseau routier :**
L’ajout de 700 nouveaux logements entraînera une hausse significative du trafic, estimée à 17 %. Le pont de la Peyne, axe stratégique de circulation, est déjà saturé. Avec ce nouvel afflux de véhicules, les embouteillages deviendront plus fréquents, affectant la fluidité des déplacements dans toute la ville et ses environs.
2. **Impact sur la qualité de vie :**
L'augmentation du trafic entraînera une hausse des nuisances sonores, ainsi qu'une augmentation de la pollution atmosphérique, affectant directement la qualité de vie des habitants. Les zones résidentielles proches des axes routiers risquent d’en pâtir lourdement, sans parler de l’impact sur les trajets quotidiens, qui deviendront plus longs et pénibles.
3. **Absence de solutions adaptées :**
Aucun plan concret n’a été proposé pour moderniser ou élargir les infrastructures routières existantes afin d’absorber cette augmentation. Sans investissements significatifs dans les infrastructures de transport, la ville sera confrontée à un réseau routier de plus en plus saturé
N° 150 : 12 septembre 2024 - 23:27
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
1. **Saturation du réseau routier :**
L’arrivée de 700 nouveaux logements générerait une hausse estimée à 17 % du trafic routier. Le réseau actuel, notamment le pont de la Peyne, est déjà saturé aux heures de pointe. Cette augmentation entraînerait des embouteillages fréquents, une aggravation de la pollution atmosphérique et sonore, ainsi que des difficultés de circulation pour les habitants. Aucune solution efficace n’a été proposée pour absorber cette surcharge de trafic.
2. **Tension sur les ressources en eau :**
En pleine crise de sécheresse, la gestion de l’eau est déjà problématique dans la région. Plusieurs villages voisins ont dû être approvisionnés par camions-citernes cet hiver, soulignant la fragilité des ressources disponibles. L’ajout de 2 000 habitants supplémentaires à Pézenas, sans augmentation adéquate des capacités d’approvisionnement, aggraverait cette situation. Il est légitime de se demander où et comment la commune pourra puiser l’eau nécessaire à cette nouvelle population.
N° 149 : 12 septembre 2024 - 23:24
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
**Argumentaire défavorable pour l'enquête publique sur la création de 700 logements à Pézenas**
1. **Saturation des infrastructures scolaires :**
Avec l’arrivée de nombreux nouveaux habitants, les écoles primaires de la ville risquent d’être rapidement surchargées. Aucun plan clair pour construire de nouvelles écoles ou agrandir les existantes n'a été proposé.
2. **Approvisionnement en eau insuffisant :**
En pleine sécheresse croissante, Pézenas connaît déjà des tensions sur les ressources en eau. Avec 2 000 habitants supplémentaires, l'approvisionnement deviendrait encore plus critique, comme en témoignent les villages alentours approvisionnés par camions-citernes.
3. **Capacité limitée de la station d'épuration :**
La station d’épuration actuelle pourrait ne pas être capable de traiter les eaux usées générées par l’augmentation de la population, ce qui nécessiterait des investissements coûteux pour la commune.
4. **Augmentation du trafic routier :**
La hausse de 17 % du trafic, notamment sur le pont de la Peyne, entraînerait des embouteillages et une dégradation de la qualité de vie des habitants, avec plus de pollution et de nuisances sonores.
5. **Risques environnementaux :**
La destruction de 24 hectares de terres agricoles entraînera une augmentation du ruissellement des eaux de pluie, aggravant les risques d'inondations dans plusieurs zones sensibles de la ville. De plus, le bétonnage empêchera le rechargement de la nappe phréatique, accentuant la pression sur cette ressource vitale.
6. **Impact sur le commerce local :**
La création d’une Halle Gourmande à Saint Christol pourrait détourner la clientèle du centre-ville, mettant en difficulté les commerçants locaux déjà fragilisés.
**Conclusion :**
Le projet présente de nombreuses lacunes en termes d’infrastructures, d’impact environnemental et d’adaptation à la réalité locale. Il nécessite une réflexion plus approfondie avant toute mise en œuvre.
N° 148 : 12 septembre 2024 - 23:22
Auteur : Alice Collette
Son avis : Défavorable
1. **Pénurie d’eau :**
Dans un contexte de sécheresse croissante, les ressources en eau sont déjà sous tension. L’ajout de 2 000 habitants mettrait encore plus à mal l’approvisionnement en eau, alors que certains villages ont déjà été ravitaillés par camions-citernes cet hiver.
2. **Impact environnemental :**
La bétonisation de 24 hectares à Saint Christol réduirait l’absorption des eaux pluviales, aggravant le ruissellement et les risques d’inondations dans certaines zones de Pézenas. De plus, la nappe phréatique ne serait plus correctement rechargée.
3. **Augmentation du trafic :**
L’augmentation de 17 % du trafic routier sur des infrastructures déjà saturées, comme le pont de la Peyne, provoquerait des embouteillages, accentuant pollution et nuisances.
4. **Risques pour le commerce local :**
La création d'une Halle Gourmande à Saint Christol pourrait détourner la clientèle du centre-ville, fragilisant les commerces locaux.
5. **Manque d'infrastructures scolaires :**
Les écoles primaires existantes ne semblent pas prêtes à accueillir les nouveaux élèves. Aucun plan concret n’a été présenté pour adapter ces infrastructures.
6. **Station d'épuration insuffisante :**
La station d’épuration actuelle pourrait ne pas suffire pour traiter les eaux usées supplémentaires, nécessitant des investissements coûteux pour la commune.
**Conclusion :**
Le projet présente de sérieux risques environnementaux, infrastructurels et économiques pour Pézenas. Il est essentiel de revoir ces points avant d’aller plus loin.
N° 147 : 12 septembre 2024 - 23:20
Auteur : Benjamin COLLETTE
Son avis : Défavorable
1. **Problématique de l’eau dans un contexte de sécheresse croissante :**
Dans une région déjà touchée par des périodes de sécheresse de plus en plus longues et une gestion de l'eau en tension, il est légitime de se demander si les ressources en eau seront suffisantes pour alimenter un tel projet immobilier. Durant l’hiver dernier, plusieurs villages aux alentours ont dû être approvisionnés en eau par camions-citernes. L'ajout de 2 000 habitants supplémentaires à Pézenas risque d'aggraver cette situation. Où trouverons-nous l’eau nécessaire pour assurer les besoins de cette population croissante ?
2. **Impact environnemental sur l’hydrologie locale :**
La bétonisation de 24 hectares de terres agricoles à Saint Christol risque d’avoir un effet délétère sur le cycle de l’eau. En supprimant une zone d’absorption naturelle, le ruissellement des eaux pluviales vers les zones déjà sensibles de la ville pourrait s’intensifier, augmentant le risque d’inondations dans les secteurs vulnérables comme la rue Conti, l’avenue de Castelnau, ou encore les Calquières basses et hautes. De plus, la réduction des surfaces perméables ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique, ressource déjà sous pression.
3. **Augmentation du trafic routier :**
L’ajout de 700 nouveaux logements entraînerait une augmentation de 17 % du trafic routier, un chiffre considérable dans une ville comme Pézenas. Comment le réseau routier, notamment le pont de la Peyne, pourrait-il absorber cet afflux sans entraîner des embouteillages, une augmentation de la pollution et des nuisances sonores pour les riverains ? Aucune solution viable n’est actuellement proposée pour gérer cet impact sur la mobilité urbaine.
4. **Équilibre commercial menacé :**
La création d’une Halle Gourmande de 700 m² à Saint Christol pourrait nuire au commerce local, notamment celui du centre-ville de Pézenas. En attirant une partie de la clientèle vers cette nouvelle zone, il y a un risque de désertification commerciale du centre historique, déjà en difficulté. Le projet de nouvelle Halle ne doit pas se faire au détriment des commerces existants.
5. **Capacité des infrastructures scolaires :**
Avec l’arrivée de nombreuses familles, il est nécessaire de se demander si les infrastructures scolaires, notamment les écoles primaires, seront capables d’accueillir tous ces nouveaux élèves. Les investissements scolaires dépendent de la commune, mais aucune garantie ni plan précis n’a été présenté pour la construction de nouvelles écoles ou l’agrandissement des infrastructures existantes. De plus, si des fonds importants sont alloués à ce nouveau quartier, cela pourrait compromettre les budgets destinés à d'autres secteurs, comme la rénovation du centre-ville.
6. **Capacité de la station d'épuration :**
La station d’épuration actuelle est-elle en mesure de traiter les eaux usées supplémentaires générées par ces 2 000 nouveaux habitants ? Si ce n’est pas le cas, des investissements conséquents devront être réalisés, ce qui représenterait un coût supplémentaire pour la commune. Une question cruciale reste sans réponse : comment la commune financera-t-elle ces infrastructures sans alourdir la fiscalité locale ?
**Conclusion :**
Le projet de création d’un quartier de 700 logements à Pézenas, bien que répondant à des besoins en termes de logements, pose de nombreuses questions quant à sa faisabilité, son impact environnemental et social, ainsi que les coûts pour la commune. Il est essentiel que ces préoccupations soient sérieusement prises en compte avant de poursuivre ce projet.
N° 146 : 12 septembre 2024 - 23:04
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Parfait
N° 145 : 12 septembre 2024 - 15:31
Auteur : Alain Falguères
Son avis : Favorable
Né en 49 à Pézenas et ayant connu les premiers "lotissements" ici et ailleurs, leurs implantations anarchiques et répondant uniquement à des finalités financière, je peux vous dire mon engagement à faire mon possible pour garder ce projet tel qu'il est globalement présenté. Je ne suis ni architecte, ni paysagiste pour me prononcer sur tel ou tel point du projet. Mais je retiens de ce projet les éléments trouvés dans le dossier.
"Elle conforte la lisibilité du caractère public de l’opération (validation par la commune de chaque étape de la procédure)
Elle conforte les conditions de mise en œuvre de l’opération (maîtrise foncière complète non nécessaire à l’obtention des autorisations et à la mise en œuvre du projet)
Elle permet une souplesse en matière de division foncière
J'espère que nous serons nombreux à suivre ce dossier, pour faire d'un très vieux dossier mal fagoté, une belle réalisation pour notre ville, apprécié par les futures générations.
N° 144 : 12 septembre 2024 - 15:05
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Projet d'un autre temps... qui ne tient pas compte des enjeux de demain... Risque accentué de pénurie d'eau, et en imperméabilisant les sols on accroît le risque d'innondation lors de pluies abondantes, qui sont plus fréquentes avec le réchauffement climatique... Il faut repenser ce projet !
N° 143 : 12 septembre 2024 - 14:43
Auteur : Céline Fabre
Son avis : Favorable
Ce projet est un vrai plus pour la commune en terme de logement.
Nous avons souhaité acquérir un bien il y a un peu plus de 3 ans mais le marché sur la commune de Pézenas était trop compliqué et nous avons dû nous rabattre sur un village a proximité de Pézenas.
Ce genre de projet nous aurait sans doute permis de rester dans notre ville de naissance.
N° 142 : 12 septembre 2024 - 13:47
Auteur : François CASTILLO
Son avis : Favorable
Monsieur le commissaire enquêteur,
Pézenas est une ville qui a un fort rôle de centralité et propose de nombreux services à la population. Dernièrement, en février 2002 une antenne de justice a ouvert ses portes permettant un accès aux droits et une justice de proximité. . Ce service public est un engagement de l'état qui a participé à sa création et qui donne du crédit au rôle de centralité de la ville.
Depuis de nombreuses années la ville perd ses habitants du fait de l' absence de développement du foncier. Natif de Pézenas et ayant grandi dans cette ville j'ai remarqué au fur et à mesure des années que les ménages ( jeunes ou vieux) s'établissaient dans les villages avoisinant malgré leur attachement à la ville. L'impact de l'absence de développement s'est traduit par une augmentation des impôts qui aujourd'hui participent à l' appauvrissement du pouvoir d'achat des ménages et détériorent leur qualité de vie.
Le futur quartier saint christol respecte les points environnementaux et ceux du bâti. Il a été soumis a un contrôle rigoureux des services de l'état.
N° 141 : 12 septembre 2024 - 11:20
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Ouf ! Menacé dans les projets précédents, le stade Louis Trigit est préservé. Il y a même l'espoir que l'accès et le stationnement y soient améliorés ! Si ca rénovation pouvait être programmée. C'est un patrimoine du rugby et de Pézenas.
N° 140 : 12 septembre 2024 - 10:33
Auteur : anonyme
Son avis : Ne se prononce pas
Bonjour monsieur le commissaire-enquêteur,
permettez-moi de vous faire suivre ce message des habitants de St Christol :
"Nous, les oiseaux, les lézards et autres papillons vivant avec bonheur sur les parcelles de St Christol, disons à vous les humains :
Ce n'est pas gentil de couler du béton sur nos prairies, sur nos couleurs, sur nos fleurs; nous sommes fragiles, vous allez nous étouffer, nous allons mourir.
Non, vraiment, ce n'est pas gentil.
Et puis, tout ce bitum, ces autos, ces camions, dans quelques années, ça va vous retomber sur le nez.
Alors, vous regretterez et vous vous direz : nous aurions dû protéger les prairies, les couleurs et les fleurs.
Merci, très sincèrement, de nous écouter".
N° 139 : 12 septembre 2024 - 09:04
Auteur : Benoit BLANC
Son avis : Favorable
Je trouve que le projet a été bonifié depuis la version initiale. Sans doute pas l'idéal mais la meilleure des versions possibles dans les contraintes qui sont imposées. Le département accueille sans cesse des nouveaux habitants, un nouveau quartier permet d'apporter plus d'offre sur un marché immobilier déjà très tendu.
La question de la ressource en eau est très pertinente mais une commune seule ne peut pas apporter la réponse, elle est par définition pluricommunale voire préfectorale et à ce jour, aucune action sur l'installation de nouveaux habitants n'est envisagée.
N° 138 : 11 septembre 2024 - 20:02
Cette observation a été classée comme doublon par le commissaire enquêteur.
N° 137 : 11 septembre 2024 - 20:00
Auteur : Arsene Bouakira
Organisation : Maison culture
Son avis : Favorable
Le projet Gervia à Béziers devrait créer des centaines d’emplois où loger ou ces travailleurs et ces familles si des projets aussi cohérents ne se font pas?
N° 136 : 11 septembre 2024 - 19:55
Auteur : Chantal Dassenoy
Organisation : Commune de Pézenas
Son avis : Favorable
Elue minoritaire de la Ville de Pézenas pendant plusieurs mandats municipaux, j'ai vu le projet de la ZAC Saint Christol stagner pendant de nombreuses années. En 2019, la municipalité de l'époque n'a pas eu d'autres choix que de créer une Société d'Economie Mixte afin de déléguer le portage financier de l'opération.
Depuis sa prise de fonction en 2020, la nouvelle équipe municipale, héritant de ce projet déjà engagé juridiquement et financièrement, a beaucoup travaillé à sa réorientation et à son rééquilibrage à différents niveaux :
- logements : le projet prévoit aujourd'hui une mixité de logements, qu'ils soient collectifs ou individuels, avec notamment une résidence autonomie et une caserne de gendarmerie, ce qui renforcerait Pézenas dans son rôle de centralité.
- environnement : innovation en terme d'éclairage public, prise en compte des mobilités douces (cheminement piétons, pistes cyclables), recyclage des eaux grises pour l'arrosage, noues paysagères, espace pédagogique, etc.
- commerces : les nouveaux commerces projetés sont réfléchis afin de ne pas concurrencer ceux déjà existants en centre-ville.
Ce projet me semble être une opportunité pour l'avenir de Pézenas en offrant la possibilité aux jeunes et aux moins jeunes d'accéder à la propriété et/ou de se loger à un prix raisonnable, les terrains à bâtir et les maisons à vendre étant de plus en plus rares sur notre commune. Les Piscénois de ma génération ont eu la chance de pouvoir rester vivre à Pézenas, tandis que les générations suivantes faute de foncier disponible, ont été contraintes d'aller faire construire dans les villages environnants.
Enfin, ce projet permettrait une relance démographique et un rajeunissement de la population, dont Pézenas a cruellement besoin pour continuer à jouer son rôle de centralité et conserver des services publics de qualité. Est-il utile de rappeler que Pézenas est l'une des rares communes de l'Hérault à perdre des habitants depuis plusieurs années ?
Il fait tellement bon vivre à Pézenas, donnons la chance à d'autres d'y venir !
N° 135 : 11 septembre 2024 - 19:47
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Cette équipe municipale a pu annuler le centre commercial de bonneterre (dont certains chiffres annoncés 30 hectares et 90000m2 de surface commerciale) et ne pas bétonner les Moulières.
Elle a retravaillé le projet saint christol dans une voie moins consommatrice d’espaces, plus écologique et répondant aux enjeux de Pézenas.
N° 134 : 11 septembre 2024 - 19:07
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Favorable
N° 133 : 11 septembre 2024 - 18:59
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Favorable
N° 132 : 11 septembre 2024 - 18:22
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Favorable
N° 131 : 11 septembre 2024 - 17:58
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
La station d'épuration sera elle suffisante pour traiter toutes les eux usées, Si non cela entraînera des démences supplémentaires pour en construire un autre ou augmenter la capacité de cette dernière.
Par ailleurs la création de commerce à St Christol nuirait aux commerces de Pézenas entraînant des licenciements et fermetures de commerces en centre ville et aux zones commerciales existantes.
N° 130 : 11 septembre 2024 - 17:47
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
y aura t'il assez d'eau pour l'ensemble de la population à l'époque ou certaines communes limitent ou interdisent les permis de construire pour ce même motif.
Par ailleurs ce projet priverait les Piscénois de terres pouvant servir à la culture maraîchère pouvant nourrir les habitants de la commune et des environs.
N° 129 : 11 septembre 2024 - 17:42
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Favorable
N° 128 : 11 septembre 2024 - 17:25
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Favorable
N° 127 : 11 septembre 2024 - 17:17
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Favorable
N° 126 : 11 septembre 2024 - 17:17
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Très beau projet pour la ville et ses habitants.
N° 125 : 11 septembre 2024 - 17:16
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je suis très favorable
N° 124 : 11 septembre 2024 - 17:16
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je suis favorable au projet saint christol
N° 123 : 11 septembre 2024 - 17:12
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Parfait
N° 122 : 11 septembre 2024 - 16:05
Auteur : anne marie dalban
Son avis : Défavorable
- à l'heure de la ZAN, bétonner 24ha de terres agricoles est inconcevable sans compter les problèmes d'eau qui vont s'accentuer!!
- les commerces du centre ville vont souffrir de la concurrence de ce centre commercial qui va faire de ce quartier un "dortoir"
- le centre ville va devenir encore plus une galerie à touristes
- les terres agricoles sont rares: préservons les!
N° 121 : 11 septembre 2024 - 09:01
Auteur : Ariel Bassoulet
Son avis : Défavorable
La première problématique du projet St Christol c'est l'eau. Pour l'exemple, la commune crainte d'un niveau d'eau potable insuffisant a amené la commune à refaire la digue au lieu dit "tempot" . Détruisant au passage des moulins patrimoniaux. Le niveau d'eau aval immédiat reste durablement impacté. Le site Saint Christol sera implanté sur l'une des dernières prairies naturelles de la commune de Pézenas. La proximité de la coulée basaltique pose des question sur la capacité des sols à absorber les orages méditerranéens.
N° 120 : 11 septembre 2024 - 08:54
Cette observation a été classée comme doublon par le commissaire enquêteur.
N° 119 : 11 septembre 2024 - 07:15
Auteur : Manuel Bourgain
Organisation : Elu
Son avis : Favorable
Je rappelle qu’en qualité d’élu (comme de citoyen), nous agissons dans un cadre légal et réglementaire. A ce titre, toutes les phases de constitution du projet est soumise à un contrôle rigoureux des services de l’Etat, garant de la mise en place des politiques publiques sur le territoire.
D’autre part, nous avons toujours souhaité être transparent avec nos concitoyens multipliant ainsi, depuis notre arrivée, les réunions publiques (en dehors des réunions réglementaires) pour expliquer le projet. Nous avons reçu en mairie soit en rendez-vous individuels, soit collectifs.
Globalement la porte est ouverte pour toutes celles et ceux qui souhaitent disposer d’informations sur le projet.
N° 118 : 10 septembre 2024 - 21:13
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Habitante en logement social, plus précisément dans le quartier de la Butte Verte, je connais la difficulté à obtenir un logement aidé à Pézenas ou pour « muter ». Ce quartier répondra-t-il à la demande ?
Je sais l’importance des différentes mixités (sociales et générationnnelles) et de la présence d’activités et de services de proximité proches des quartiers, ce qui semble prévu dans le projet Saint-Christol.
Je m’insurge contre un commentaire précédent qui semble lier logements sociaux, désœuvrement et délinquance. La phrase exacte de la personne contribuant étant « Ne tombons pas dans le piège des villes moyennes avec plus de logements sociaux, sans travail pour ceux qui y vivent ,s'ensuit le désoeuvrement source de délinquance... », Pézenas est loin de cette caricature !
N° 117 : 10 septembre 2024 - 19:49
Auteur : Philippe KOEHLER
Son avis : Défavorable
Ce projet immobilier date de plus de 25 ans. Aujourd'hui, il implique que :
- 24 hectares de terres agricoles bétonnées (Objectifs ZAN non atteignables)
- 17 % d’augmentation du trafic routier sur le pont de Peyne non adapté.
- 3500 m2 de commerces déstabilisant un peu plus les commerces du centre ville.
- 150 000 m3 d’eau en plus dans un bassin déjà en stress hydrique.
Il faut a minima, mettre en place un moratoire et demander à la région, au département à l'agglomération de Pézenas d'aider la municipalité actuelle à sortir de ce piège.
N° 116 : 10 septembre 2024 - 19:28
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Besoins de logements et services sur le territoire alors que toutes les communes évoluent depuis longtemps, Pézenas est en retard
N° 115 : 10 septembre 2024 - 16:44
Cette observation a été classée comme doublon par le commissaire enquêteur.
N° 114 : 10 septembre 2024 - 16:39
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Bonjour,
Je trouve se projet intéressant car il va favoriser le dynamisme de la ville qui s’essouffle un peu. Créant sûrement des nouvelles opportunités pour les jeunes.
Cordialement
N° 113 : 10 septembre 2024 - 16:30
Auteur : cyril g
Son avis : Favorable
Ce projet permettra a la ville d'accueillir une population un peu plus jeune et boostera certainement l'économie de ville qui s'essouffle un peu au dire des commerçants du centre ville historique car le tourisme ne suffit vraiment pas a nos commerçants du centre ville pour vivre.
De plus les prix de l'immobilier augmentant de plus en plus je pense que cela sera une bonne chose pour notre ville.
Je suis a 100% pour ce pojet.
N° 112 : 10 septembre 2024 - 16:28
Auteur : Melvin Pignault
Son avis : Favorable
Très bon projet pour re dynamiser pezenas et booster les ville en elle même que sa soit la population active ou les commerce
N° 111 : 10 septembre 2024 - 16:03
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Une superbe nouvelle pour notre ville centrale, "cœur de la région". Enfin la possibilité pour tout le monde se loger et surtout de rester, la ville manque réellement de logements adaptés pour nous. Le projet semble bien s'intégrer à la ville, son architecture et son environnement. On peut construire tout en respectant l'environnement, les maisons en bois en sont un parfait exemple.
Bravo pour cette initiative et cette création dynamique!!!
N° 110 : 10 septembre 2024 - 13:35
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Le projet de Saint-Christol incarne un futur ambitieux et respectueux de l'identité piscénoise. En plaçant l'humain au cœur de son développement, il me parait aspirer à créer un quartier innovant qui prend en compte les besoins des habitants historiques et de ceux à venir, tout en intégrant l'existant dans une continuité architecturale et sociale.
Ce projet se distingue par son engagement écologique et son respect environnemental, des valeurs fondamentales qui nourrissent chaque étape de sa conception. En étant relié au cœur de Pézenas, ce quartier entend promouvoir un cadre de vie serein, simple et lisible, où les espaces publics partagés favorisent les rencontres et les échanges.
La mixité intergénérationnelle est au cœur de cette initiative, permettant de créer des liens entre les différentes générations grâce à des espaces adaptés, incluant des résidences seniors et des commerces et services de proximité.
Les déplacements doux et sécurisés permettront de garantir un accès aisé et agréable, tout en multipliant les grandes surfaces végétales, les jardins partagés qui enrichiront l'espace écosystémique du quartier.
Le projet de Saint-Christol pourrait recréer un cadre de vie apaisé. La lumière rouge qui fait partie intégrante du projet permettra de diminuer la pollution lumineuse, de nourrir l’écosystème et d’améliorer le confort du sommeil des habitants.
Il faut souligner dans cette étude la volonté de valoriser l’architecture, tout en respectant le patrimoine de l'identité de la ville. En intégrant toutes ces dimensions, Saint-Christol pourrait devenir un véritable quartier intimement relié au cœur de ville en respectant l’esprit piscénois et son environnement et redonnant une dynamique à l’ensemble de la cité.
N° 109 : 10 septembre 2024 - 13:22
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Il faut dans ce dossier prendre en compte l’historique et l’héritage. Tout ne peut pas s’écrire de manière automatique et déconnectée du réel. Qui payerait la dette ? Qui payerait les engagements pris ?
Il faut remarquer que Pézenas perd de manière continue de la population quand toutes les communes des environs en gagnent. Doit-on ici payer les services des communes qui gagnent des habitants, ont moins de services et ont des impôts moins chers ? Sera-t-on condamné à l’exil fiscal ? Nos enfants devront-ils vivre dans les villages plutôt qu’à Pézenas ?
Il faut voir que l’Hérault gagne chaque année 15 000 habitants. Où vont-ils s’installer ? N’y consommeront-ils pas d’eau ?
N° 108 : 10 septembre 2024 - 08:58
Auteur : Jean Touly
Organisation : touly
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,
N° 107 : 10 septembre 2024 - 05:45
Auteur : jean claude Blanquer
Son avis : Favorable
L'engagement de préservation de l'environnement devra être suivi dans le temps et en particulier l'entrerien des zones vertes, l'arrossage suffisant des jeunes arbres sera nécessaire en particulier pendant les premieres années, y compris pendant les périodes de restrictions afin de garantir leur pérénité. Le quartier devra préserver comme promis un habitat social équilibré. L'augmentation de la population ainsi créee sur la ville obligera à repenser les infrastructures notamment scolaires, médicales. La réalisation de ce projet ne doit pas entrainer de pression fiscale supplémentaire sur la population.Le risque d'inondation dans un contexte de réchauffement climatique augmentant de plus en plus et la zone étant particulièrement sensible l'entretien futur des réseaux et des réserves est à prendre en charge particulièrement. Par ailleurs le caractère historique de notre ville étant son principal atout économique celui-ci ne doit pas être perturbé par des flux automobiles excessifs.
N° 106 : 9 septembre 2024 - 23:00
Auteur : Hugues Le Baron
Son avis : Défavorable
Il n'est pas nécessaire d'être directement concerné par ce projet pour y être opposé. En effet, un peu partout en France, fleurissent des projets similaires, répétés sans cesse, d'artificialisation forcenée de zones végétalisées et arborées. Alors que la Nature appartient au Peuple, et non à quelques bétonneurs, uniquement préoccupés de plus-values financières. Ce ne sont pas elles qui sauveront ces financiers nuisibles, le jour où le cataclysme climatique, causé par quelques humains autoritaires, détruira la planète et les espèces (pas financières !) qui y vivent !
N° 105 : 9 septembre 2024 - 21:40
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je suis arrivé à Pezenas il y a 6 ans , St Cristol était déjà dans les petits papiers mais à plus grande échelle il me semble.
J’ai eu beaucoup de mal à me loger sur Pezenas , les logements vacants étant trop petit ou insalubre ( merci les marchands de sommeil) , st Cristol offrent dans sa proposition une ouverture vers une solution .
J’entends que cela dérange les riverains du quartier existant, mais une ville se doit d’être vivante et attractive et ce projet peut en être le prémisse .
Il est à mon sens temps de ne plus regarder uniquement devant sa porte .
N° 104 : 9 septembre 2024 - 20:34
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Le développement économique de la ville passe par sont développement démographique.
St Christol est « peut être » un souci écologique pour certains mais lorsque la ville sera dépourvu de toute l'attractivité et les services qu’elle a actuellement ,l’écologie sera alors reléguée au second plan .
Il est facile de s’insurger sur un projet « hérité » de mandat passé quand on a chez soit une piscine et une Clim qui dégradent tout autant l’environnement.
Je pense que St Christol peut être raisonné et responsable si il continue à être réfléchi avec intelligence.
S’insurger sur St Christol alors que des quartiers comme celui des pompiers ont été construit sans être inquiété alors qu’ils se trouvent sur des zones insondables ,je trouve cela quand même très mesquin .
N° 103 : 9 septembre 2024 - 20:28
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Le projet Saint Cristol est un héritage qui mettrait la ville économiquement encore plus en difficulté pour les futures générations , ce serait catastrophique .
L’équipe municipale a pris sa responsabilité et propose un projet cohérent , social , économique et écologique ! La ville a besoin de répondre à un manque incontestable de logements mais aussi de locaux pour professionnel afin de développer et rendre à cette cité remarquable le développement et l’envergure qu’elle mérite !
N° 102 : 9 septembre 2024 - 19:57
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Natif de Pezenas , j’ai choisi de rester dans ma ville pour y élever mes enfants et y construire ma vie car outre le fait d’y vivre paisiblement en tant que petite ville au patrimoine admirable , elle offre le confort et les services aux besoins quotidiens . Pour autant , ma ville a peu évolué dans le temps bien que la demande de nouveaux habitants , de porteurs de projets n’a jamais cessé , nos enfants sont obligés de partir sur les communes extérieures pour se loger, tout comme les entreprises. Je suis favorable à ce projet qui peut qu’apporter une évolution positive à notre ville et lui donner l’essor qu’elle mérite depuis des décennies .
N° 101 : 9 septembre 2024 - 17:13
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,
Bonjour.
En ces temps où la pénurie d'eau frappe tant de régions, y compris celle de Pézenas, je trouve ce projet complètement déraisonnable, sinon pire !
Qui est sûr que les ressources sont suffisantes pour un apport de population si important, alors même que des camions ont déjà ravitaillé des villages dans la région ?
Comment ne pas s'opposer à une artificialisation des sols, que les règlements sont censée interdire par ailleurs, quand on n'arrête pas d'apprendre leurs terribles conséquences, en plaine comme dans les régions plus accidentées ?
Qui donc peut se permettre une telle inconséquence, une telle telle légèreté criminelle, dans ce genre de décision ?
N° 100 : 9 septembre 2024 - 13:40
Auteur : Christine GILLOT
Organisation : Particulier
Son avis : Défavorable
Madame, Monsieur,
ce projet est gaspilleur de l'espace. Il est d'une conception dépassée : il s'étale le plus possible, privant l'agglomération de terre agricoles propres à une autonomie alimentaire, partielle naturellement, de l'agglomération. Je comprends la nécessité de construire de nouveaux logements, mais pas de cette façon : il s'agit ici encore de l'expression d'un individualisme renforcé, alors que nous devons au contraire rester solidaires.
Je suis opposée à ce projet.
N° 99 : 9 septembre 2024 - 12:47
Auteur : Pol Plot
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
N° 98 : 9 septembre 2024 - 12:45
Auteur : JEREMY MAUPIN
Son avis : Défavorable
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,
N° 97 : 9 septembre 2024 - 11:56
Auteur : David Carrel
Son avis : Favorable
Très bon projet de nouveau quartier.
Écologique et moderne à la fois.
De plus,cela peut apporter du travail aux entreprises locales.
Construire tout en préservant notre environnement.
J’adhère
David Carrel
N° 96 : 8 septembre 2024 - 18:25
Auteur : jerome ivorra
Son avis : Défavorable
J'ai fourni mes documents d'argumentation dans le cadre de plusieurs associations. Elles déposeront, à leur titre et au nom du collectif qu'elles représentent chacune de part leur objet spécifique, un dossier argumentaire complet.
Je ne vais donc pas ici développer ces points qui seront lisibles par toutes et tous.
Ce projet se caractérise par la démesure dans tous ses champs d'incidence: pour la gestion de la ressource en eau, la préservation des terres agricoles, la gestion des flux ainsi que l'équilibre économique et financier entre le centre-ville et ce quartier. Ce sont autant de points qui ancrent mon opposition à ce projet. Le volet environnemental, même s'il cadre avec le contexte légal, ne repose sur aucun point d'appuie scientifique: ni au niveau des aménagements prévus, ni au niveau du suivi de l'efficience de ces aménagements sur le moyen terme (il n'est adossé à aucun laboratoire scientifique d'écologie qui pourrait inclure cette démarche dans une dynamique de recherche, ce qui aurait eu au moins l'intérêt de créer un objet scientifique intéressant à suivre dans le temps). Cette urbanisation, en zone rurale et en rupture avec la ville de part la zone inondable de la vallée de Peyne, va fonder un village nouveau à côté d'un bourg centre. Quelques 1 200 habitants (selon les prévisions...): En quelque sorte on crée un "second Lézignan-la-Cèbe" entre Pézenas et ce même village. Mais on le crée à l'Est de Pézenas, à l'opposé des axes de développement dans lesquels sont inscrites toutes les dynamiques économiques, commerciales et d'urbanisme d'une ville qui se projetait à l'Ouest depuis des décennies.
Ce projet inscrit la commune de Pézenas dans une dynamique de rupture d'équilibres sur le long terme. Il a ceci "d'audacieux" qu'il engage l'avenir de Pézenas sur un pari très risqué. Un pari que prennent les élus de l'actuelle majorité municipale, ceux-là même qui, étant dans l'opposition, manifestaient leur opposition au même pari que prenait, en son temps, l'ancienne municipalité.
Pézenas dispose de zones internes à sa zone urbaine pour développer une forme d'urbanisme apte à maintenir, voire à développer, son rang démographique au niveau départemental. Ces dents creuses, ces zones à réinvestir, demandent un autre projet d'aménagement urbain. Ce manque de perspective est à mettre au passif de l'ancienne municipalité qui, durant 4 mandats successifs, n'a pas su engager les dialogues nécessaires avec les divers partenaires institutionnels pour créer les conditions de cette dynamique. La voie de l'urbanisme des années 1970, par cercles concentriques et centrifuges, a destiné le centre ancien aux locations de courte durée. La voie de l'étalement urbain, sans gain de population depuis plus de 50 ans, a toujours guidé l'ancienne municipalité qui s'est embourbée dans ce logiciel du développement économique "des années Pompidou". C'est bien avec cette voie d'infortune qu'il faut rompre car les réalités climatiques et celles liées à un degré d'autosuffisance alimentaire ont émergé durant ce temps. Ce sont des réalités tellement "radicales" qu'on les avait oublié: Elles se nomment la terre et l'eau...tout simplement... tout fondamentalement.
je me suis exprimé à de multiples reprises en opposition à ce projet. J'ai exprimé cette opposition lors de la dernière campagne électorale départementale pour laquelle j'étais candidat. Je renouvelle ici cette position, non par entêtement imbécile, mais parce que le projet, même "retouché", présente les mêmes faiblesses que celles du projet initial porté par l'ancienne municipalité.
Les faits sont têtus...moi aussi...
Jérôme Ivorra
Jérôme Ivorra
N° 95 : 8 septembre 2024 - 16:47
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante , nous ne pourrions pas fournir de l'eau à l'ensemble de la population piscenoise. D'autre part les précipitations ne seraient pas absorbées par le sol car la campagne serait bétonnée. Ce qui provoquerait des inondations vers les zones sensibles de la ville les inondant vers la rue de Conti et la route de Montagnac. D'autre part cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
D'autre part 24 hectares de terres agricoles seraient détruites.
D'autre part la station d'épuration pour traiter les eaux usées ne serait sans doute pas suffisante.
D'autre part 17 % du trafic routier supplémentaire qui passerait sur le pont de peyne ne serait pas bienvenue. Et enfin resterait-il assez d'argent pour améliorer le centre-ville?
N° 94 : 8 septembre 2024 - 15:40
Auteur : Pascale Albert
Son avis : Défavorable
Je trouve ce projet déconnecté de la problématique de la région et de vers quoi on devrait aller à l’époque actuelle avec le manque d’eau et le besoin de terres agricoles.
N° 93 : 8 septembre 2024 - 14:09
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
NON au projet Saint Christol!
Commençons par réhabiliter tous les logements vacants du centre ville. Arrêtons cette politique expansionniste en grignotant toujours plus de terres au profit du béton.
Je suis CONTRE
N° 92 : 8 septembre 2024 - 14:04
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
CONTRE CONTRE ARCHICONTRE!!!
La campagne piscénoise est tellement belle est c'est tellement agréable de venir s'y ressourcer en se promenant à pied, à vélo...
Pourquoi vouloir encore y mettre du béton au détriment d'un écosystème? A l'heure où l'on parle d'une indépendance alimentaire, pourquoi ne pas utiliser tous ces terrains pour y implanter des agriculteurs?
Je ne veux pas d'un énième centre commercial identique à tous les autres: pratique mais économiquement non viable. Les héraultais et les touristes aiment Pézenas justement parce que son centre ville est agréable et que les commerces de proximité sont qualitatifs.
Pas de trafic routier en plus dans cette campagne!
La bétonisation ne sera jamais vertueuse et cela va engendrer des déséquilibres multiples (ressources en eau, écosystème, flaure, faune) maintenant et pour les générations futures.
NON A LA BETONISATION DE 24 HECTARES!
N° 91 : 8 septembre 2024 - 12:27
Auteur : HELENE BEVERAGGI
Son avis : Défavorable
bonjour,
je me prononce CONTRE le projet Saint Christol pour plusieurs raisons
je souhaite que la ville conserve un accès vert (poumon vert) de ce coté de Pézenas, qu'il n'y ai pas comme cela serait certain la construction d'une nouvelle zone commerciale ou simplement de nouveaux commerces.
L'augmentation de la population me parait incertaine par contre un nouveau quartier entrainerait une désertification du coeur de ville avec comme cela l'induit l'abandon de l'entretien et de l'embellissement et un risque de nuisance sonore et visuelle (installation de nouveaux bars et commerces bruyants).
La gestion de l'eau me parait également un élément à prendre en compte car un nouveau quartier entrainerait un déplacement et un accroissement de population lié à l'augmentation la location saisonnière du coeur de ville, moment où justement il faudra gérer l'eau de façon juste.
l'accès par ce coté deviendrait vite compliqué par l'accroissement du nombre de voitures et donc des bouchons et entrainerait des besoins d'élargissement des routes et leur multiplication. La pollution atmosphérique est aussi à prendre en compte. Les travaux de facilitations des accès par ce coté de la ville entrainerait certainement comme cela a été le cas par le coté Béziers à l'arrachage des arbres et donc à un réchauffement climatique certain.
N° 90 : 8 septembre 2024 - 11:59
Auteur : Eugène François Ravenet
Organisation : Particulier
Son avis : Défavorable
Voici, ma déposition;
Les arguments que je vais annoncer sont déjà utilisés par d'autres personnes ayant déposé et qui sont eux aussi, très défavorables à ce projet vieux de 25 ans et complètement inadapté au temps présent!!!
Arguments
* Alors que Pézenas s'est beaucoup étendu en utilisant des terres agricoles et privilégiant l'habitat pavillonaire, donc l'emprise urbaine, la population de la cité n'a pas augmenté! Suivant l'insse en 2021 la ville comptait à peine plus de 7700 habitants (elle a même régressé)
Cette volonté de dépasser 10000 Habt a toujours été l'ambition des maires successifs... sans y parvenir!
* A l'époque où le projet est né, même si le changement climatique n'était pas "reconnu"! il faisait son chemin.
les températures en moyenne montaient régulièrement (et les média, chaque été, revenaient sur des épisodes de canicules de plus en plus sévères et
d'hivers sans en montagne ou de glacier qui fondent.)
* Ce projet, du fait notamment de ces nouvelles condition climatiques, vient à contre temps!
* nous ne pouvons plus accepter l'urbanisation de terre agricoles (24 Ha de terres très fertiles)
* Pézenas se priverait de sol productif en matière maraîchère (caractéristique de cette ville dans le passé...un renouveau serait possible.)
* La ressource en eau potable puisée dans la nappe alluviale de l'Hérault, tout au long de son cours, n'est pas inépuisable!
* Comment alors alimenter dans un avenir plus ou moins proches, ces différentes populations, y compris les nouveaux habitants de Saint Christol, à
concurrence de 1500 à 2000 Habitants s'ajoutant à ceux déjà résidents?...
* Nous savons aussi que Pézenas est sensible à l'inondation! la crue du 27 octobre 2019 en est une manifestation sans contestation.
* Ce facteur ne peut être ignoré. L'urbanisation de ce lieu aurait pour conséquence évidente, d'aggraver encore ce risque!!!
Ce ne sont pas les bassins de rétention réglementaires qui vont suffire à absorber le ruissellement venant des collines argileuses en amont et le
surplus d'eau engendré par le lotissement. les points les plus sensibles de Pézenas seront sous l'eau, à des cotes supérieures.
* Le Scott du biterrois prévoit pour Pézenas un cota de cota de surface urbanisable de 3,40 Ha d'ici 2030; ce sont 24 qui sont en jeu!!!
* Les études prévoient aussi un accroissement de la circulation de 17% environ, à une circulation déjà compliquée!
* ce nouveau quartier sera isolé de la ville centre et coupé de celle-ci en cas d'inondation, comme ce fut le cas en 2019, avec une submersion du lieu
évitée, la pluie ayant cessé. L'ancien passage à niveau proche de la Grange des prés était sous un mètre d'eau torrentielle.
* Peut-on prendre un tel risque, sachant que ce type de phénomes MTO violents ne vont faire que croître? La Méditerranée est actuellement dans les
meilleures conditions pour générer ces épisodes cévenols (Cévennes+ Méditerranée: fortes pluies, inondation). voir ce qui vient de se passer en
vallée d'ASPE hier 7 09 24...
* autre élément: la masse budgétaire du projet: 25 millions Euros; la cours de compte dit dans un avis rendu dans les études que le risque financier
ne doit pas être mis sous le tapis. Des communes sont en graves difficulté pour avoir vu trop grand pour des lotissements qui ne se vendent pas.
* Il y a de plus, suivant l'Insee 2021, 910 logements vides à Pézenas. Aucun Maire ne s'est soucié de ce potentiel pour une remise à niveau de ces
logements, sachant, de plus que des lotissements déjà anciens, se vident avec le vieillissement de ses habitants. Un suivi peut être s'envisager.
Ce seront mes derniers mots. François Ravenet courriel: paperave34@gmail.com
N° 89 : 8 septembre 2024 - 11:34
Auteur : celine varea
Son avis : Défavorable
Bonjour, je suis contre le projet de saint Christol car je pense, d'une manière générale, que c'est pas parce qu'on est plus nombreux qu'on est plus heureux. Avec les problèmes de sècheresse, je ne sais pas s'il y aura de l'eau potable pour tout le monde sur Pézenas du coup. Et en ce qui concerne la station d'épuration, je ne sais pas non plus si elle va être suffisante et ce que ça va donner. Si c'est pour que ça devienne un cloaque c'est pas la peine.
N° 88 : 8 septembre 2024 - 10:58
Auteur : Alain Sabat
Organisation : Particilier
Son avis : Défavorable
Bonjour...une zone Vraiment inondable...installons plutôt des agriculteurs de proximité de qualité...
N° 87 : 8 septembre 2024 - 02:45
Auteur : Helene Marie Colette Jeanne Rullon
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,
N° 86 : 7 septembre 2024 - 22:36
Auteur : FRANETICH LUCAS
Son avis : Défavorable
Je suis on ne peut plus défavorable à ce projet.
Je me promène tres régulièrement comme beaucoup de piscenois sur le pont de la peyne et l'ancienne voie ferrée qui rejoint les terres de saint-christol et je m'alarme de plus en plus de voir comment les chemins se bordent des déchets de passants peu soucieux. Donner suite au projet c'est accepter de vivre dans une poubelle. C'est aussi détruire des espaces verts pour construire des espaces "respectueux de l'environnement" mais nécessitant tout de même une dérogation pour détruire l'habitat d'espèces protégées et impliquant de bétonner des hectares entiers, de détruire la végétation et de compenser avec des petites coulées vertes pleines de plastique et cernées par les immeubles. Les terres Saint christol sont déjà la plus belle des coulées vertes qu'il soit.
Ce projet est dangereux pour les piscenois. Les terres inondables s'elargissent à cause du béton, les commerces déjà existants seront dépossedés d'une partie de leur clientèle, les habitants du quartier subiront des nuisances ( lampadaires, trafic intensif et bruit ). L'aboutissement du projet signifie enlever le confort et la mémoire des habitants qui portent la ville dans leur cœur parfois depuis plusieurs générations pour des potentiels clients !
ET SI ON LAISSAIT AUX PISCENOIS LE CHOIX D'AMÉNAGER LEUR PROPRE VILLE À LEUR GOÛT ET NON PAS À CEUX DE PROMOTEURS QUI NE VOIENT EN PÉZENAS QU'UNE OPPORTUNITÉ ? Le maire, au moment de son élection était un opposant du projet, malgré son revirement, pensez-vous que ses électeurs ont aussi soudainement changés d'avis ?
Je me désole de voir les patrimoines que se soit à Pézenas ou partout en France défigurés par des projets au service de l'argent qui se disent écologiques.
Lucas FRANETICH
un amoureux de Pézenas
Je préfère voir sur ces terres des exploitations agricoles intelligentes qui permettraient d’augmenter l’autosuffisance alimentaire de Pézenas qui à aujourd’hui est moins de 10% qu’un lotissement inapproprié qui va nous apporter énormément de soucis à divers niveaux en commençant par l’eau et bien plus.
Ce projet n’est pas en adéquation avec Pézenas
N° 84 : 7 septembre 2024 - 20:38
Auteur : PATRICK COMELLAS
Organisation : GREENPEACE
Son avis : Défavorable
BonjouC
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau.
N° 83 : 7 septembre 2024 - 19:39
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Bonjour
M'étant trompé dans mon avis 61 (orus) je souhaite rectifier mon avis en défavorable.
Merci d'en prendre note.
Bonjour
La zone de st christol étant inondable , elle ne devrait servir qu'à un usage agricole qui reste à décider et proposer à un projet servant pour l'alimentation de pezenas.
Il serait préjudiciable à la ville de pézenas de se rendre compte dans quelques années qu'un projet urbain périphérique nuise à l'écoulement des eaux de pluies dans ce secteur.
Qui plus est l'accroissement de la circulation et le nombre de voitures à gérer est un défi quasi ingérable dans l'avenir et il ne faut pas l'oublier.
Pour ces raisons et bien d'autres encore, carla liste est trop longue pour l'écrire ici je suis pour trouver un autre projet pour ce lieu.
Orus
N° 82 : 7 septembre 2024 - 19:23
Auteur : Roberto BRACCO
Son avis : Défavorable
Il semble aujourd'hui plus qu'essentiel de réduire considérablement l'artificialisation des sols , notamment lorsqu'il s'agit de terres agricoles cultivables ... pour des raisons écologiques tout à fait évidentes .
N° 81 : 7 septembre 2024 - 19:04
Auteur : Emy GOUZON
Son avis : Défavorable
Nouveaux à Pézenas, nous apprécions son cadre de vie,son dynamisme culturel,nous nous sentons en sécurité, et aimons cette ville à taille humaine,avec cependant toutes les infrastructures nécessaires(c est rare!) et riche de son patrimoine historique.
Pourquoi de nouveaux logements? Réhabilitons ceux du centre ville et aidons pour la rénovation des logements vacants.
Pourquoi de nouveaux supermarchés? Il y a des petits producteurs formidables!
Gardons les espaces verts, les terres agricoles, plantons des arbres, installons des ruches ,des pistes cyclables,des sentiers de promenade pédagogiques avec flore méditerranéenne la faune y reviendra et y prospèrera, les personnes s'y ressourceront,le consumérisme n'est pas le bonheur !
Ne tombons pas dans le piège des villes moyennes avec plus de logements sociaux, sans travail pour ceux qui y vivent ,s'ensuit le désoeuvrement source de délinquance...
Que Pézenas reste cette belle ville dans sa spécificité .Sa belle réputation irradie dans toute la France!
N° 80 : 7 septembre 2024 - 17:39
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Belle idée pour notre ville et ces habitants.
N° 79 : 7 septembre 2024 - 17:04
Auteur : Guillaume SOLAREK
Son avis : Défavorable
Monsieur le Commissaire enquêteur,
Je m'oppose fermement à ce projet de ZAC "Saint Christol". En effet, 24 ha de surfaces bétonnées dans une région n’absorbant plus une partie des précipitations, est totalement inconsidéré.
Nous pouvons imaginer la hausse des ruissellements vers les zones sensibles de la ville, entrainant encore plus d'inondation.
De plus, le changement climatique engendre sécheresse et manque en eau. Cet hiver, des camions citernes ont approvisionné 2'000 habitants à Pézenas. Quid de la nouvelle ZAC ?
Votre réponse retiendra toute mon attention
Guillaume SOLAREK
N° 78 : 7 septembre 2024 - 12:18
Cette observation a été classée comme doublon par le commissaire enquêteur.
N° 77 : 7 septembre 2024 - 12:01
Cette observation a été classée comme doublon par le commissaire enquêteur.
N° 76 : 7 septembre 2024 - 12:01
Auteur : HÉLÈNE RAVENET
Son avis : Défavorable
Bonjour. Je souhaite témoigner, où il me semble important aujourd'hui de préserver les terres agricoles qui permettront de nourrir la population. Le béton ne nous amènera aucun confort... Nous savons tous que le changement climatique va amener des contraintes qui auront un impact sur notre quotidien. Pourquoi ne pas développer une économie basée sur la culture des terres plutôt sur l'implantation de bitume ou rien ne poussera. Je suis inquiète pour mes enfants car pourquoi les hommes s'affrontent entre les défenseurs de l'environnement et les hommes du développement économique. Alors que des solutions existent pour que tout le monde y trouve son compte. Ma parole aura t elle un impact, je le souhaite vraiment. Merci, cordialement.
N° 75 : 7 septembre 2024 - 11:23
Auteur : Anne Marie ROUSSEAU
Son avis : Défavorable
POURQUOI JE M'OPPOSE À CE PROJET ?
Contrairement aux Objectifs ZAN , 24 hectares de terres arables seront détruites, atteinte à notre autonomie alimentaire, à la préservation de la ressource en eau et à la protection contre les risques d’inondation, une artificialisation qui augmentera les modifications de circulation des eaux de surface et des nappes, et impactant la ressource en eau potable. On note aussi une absence de prise en compte des enjeux climatiques
Augmentation du trafic routier
Déstabilisant des commerces du centre ville et conduisant vers un centre ville MORT : les 3500 M2 de centre commercial videront les commerces du centre ville.
C’est ce type de projet et de réalisation qui ont conduit à vider de leurs commerces de nombreux « Centre ville »qui deviennent des cités dortoir mal entretenues perdant ainsi tout le flux de touristes : tout un pan de l’économie qui tombe
Sans compter que les nouveaux quartiers éloignés des lieux de culture, nécessitent des moyens de déplacement collectifs pensés pour proposer à la population le plaisir et l’ouverture d’esprit à d’autres types de pensées, d’agir et de vivre,
une forme de culture qui ne se contente pas de « la promenade du dimanche dans les allées couvertes des centres commerciaux » où les humains ne deviennent pas que des sujets de consommation
Au final, ce projet manque de structure et d’articulation globale,
ce qui le montre comme pensé de manière étriquée et avec le seul vecteur consumériste
Le porteur de projet se serait enrichi en s’associant à des acteurs locaux qui ont un vrai regard global vers l’avenir,
prenant en compte toutes les données scientifiques actuellement connues tant en terme de développement économique intégratif et générateur d’emplois, d’hydro-géologue à vision élargie, de connaissance de l’environnement et du respect de ses règles, des enjeux climatiques, de sociologie, de mobilité douces et de dynamique des territoires, etc....
N° 74 : 7 septembre 2024 - 10:18
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Bonjour.
Tout ce qui va dans l'amélioration de la qualité de vie, de la facilité à vivre en habitant dans un environnement agréable et verdoyant, proche du centre ville me paraît favorable au développement (à taille humaine) de Pézenas.
Il serait toutefois bien de prévoir un transport en commun, de type navette bus, pour assurer les déplacements de cette zone vers le centre ville.
Encore mieux, une piste cyclable et/ou piétonnière menant à pied et/ou en vélo (trottinette), à l'écart de la route donc sécurisée serait un plus très apprécié, me semble-t-il.
Cordialement.
N° 73 : 7 septembre 2024 - 10:03
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Pézenas a besoin d'un projet comme celui de saint christol, les gens contre ne cherchent égoïstement qu'à protéger leur "pseudo" tranquillité. Il n'en est pas moins que ces contestataires sont tranquillement installé dans des villas parfois, elles-mêmes construites sur des terres agricoles. Le constat c'est que la ville de Pézenas a orienté sur les terres de l’Auribelle l'installation d'agriculteurs. Que les avis défavorables parlent de culture, mais où sont leurs projets, où sont les agriculteurs qu'ils prétendent vouloir installer ?? Ce projet n'est incompatible en rien avec celui de l’Auribelle.
N° 72 : 7 septembre 2024 - 10:01
Auteur : Michel SIMON
Son avis : Défavorable
Avant toute chose, et pour l'objectivité de cette consultation, je me permets de faire remarquer que les avis 16, 51, 54, et 59 à 61 sont notés "Favorable", alors que le contenu est très manifestement "Défavorable". L'inverse n'est jamais vrai.
De plus, l'avis 52, noté "Favorable", se résume en UN mot : "test"
Il ne s'agit sans doute que d'une simple "distraction" à répétition, la malhonnêteté ne pouvant être bien sûr invoquée...
Quant à mon avis :
Ce projet est tout à fait insensé à une époque où les chaos climatiques, non seulement se multiplient, mais s'intensifient ! En outre, le bétonnage accentuera le phénomène de ruissellement, et l'eau ne pourra bien sûr plus pénétrer dans le sol.
L'eau étant de plus en plus rare, comment pourra-t-elle être distribuée en suffisance si la population augmente ? Il a fallu des camions-citernes cet hiver pour couvrir les besoins de la population actuelle !
Ce projet ne doit pas voir le jour !
N° 71 : 7 septembre 2024 - 09:44
Auteur : Jerome Lancelot
Son avis : Favorable
Un projet réfléchi avec les enjeux écologiques, un projet moderne préservant l'écosystème, un projet essentiel aux besoins et enjeux démographiques, trop de gens n'arrivent pas à se loger à Pézenas, ( et ailleurs d ailleurs) trop de jeunes désertent en accentuant le vieillissement de la population.
N° 70 : 7 septembre 2024 - 09:11
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Étant professionnelle de l'immobilier, je considère que ce projet est une opportunité pour la ville de Pézenas.
Nous peinons à trouver des logements (particulièrement des plain pieds), les prix sont parfois incohérents et nous ne trouvons aucun logement a la location. Ce nouveau quartier pourrait faire bouger les populations piscenoises et créer peut être un souffle. Cela apporterait également plus de pouvoirs d'achat aux commerçants qui parfois tirent la langue ou sont obligés de mettre la clé sous la porte.
N° 69 : 7 septembre 2024 - 09:00
Auteur : PASCALE SEROLE
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irez vous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau.
N° 68 : 7 septembre 2024 - 08:14
Auteur : Annick LEVEAU
Son avis : Défavorable
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (en particulier le bas de la rue Conti, et l'avenue de Castelnau).
N° 67 : 7 septembre 2024 - 07:29
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Bonjour
L'emplacement géographique de la Commune de PEZENAS 'coche toutes les cases' pour bénéficier des flux démographiques que notre région accueille.
La notion d'intérêt général est le point cardinal de cette opération d'aménagement.
Les études d'impact sur l'environnement sont le socle de l'autorisation unique environnementale et en sécuriseront les conséquences.
Il est essentiel d'intégrer que l'accès au logement est une priorité.
Le volet social de cette ZAC va permettre de satisfaire cette "obligation".
Je suis convaincu que la condition sine qua non pour que notre modèle de société fonctionne est la "justice sociale"
https://www.youtube.com/watch?v=ECppfNbXUUg
Nous avons enfin pu toucher du doigt une période de Concorde Nationale en ce début d'été.
Partant de cet esprit, il est de l'inétérêt de tous de participer à la bonne réalisation de cette "obligation".
La ZAC de Saint Chritol "coche également toutes les cases" pour remplir ce dessein.
Tel un colibiri je me permets donc d'apporter ma goutte à ce bel ouvrage.
N° 66 : 7 septembre 2024 - 02:02
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau)
N° 65 : 7 septembre 2024 - 01:46
Auteur : Christine Boutrin
Son avis : Défavorable
Je manifeste mon opposition à la bétonnisation de la campagne de Saint Christo pour les motifs suivants:
. Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,
Je vous remercie de prendre en compte tous ces critères
N° 64 : 6 septembre 2024 - 22:44
Auteur : Franck ROUFFE
Son avis : Défavorable
- Notre avenir passera par l'autonomie alimentaire et par la ressource en eau.
Construire 655 lgts à St Christol, c'est surtout se priver de terres agricoles riches abritant des sources d'eaux chaudes.
- Cette zone est inondable. La bétonisation ne résolvera rien, et "déplacera" sans doute les futures crues et débordements.
- Ce projet imposera aussi une revue complète des accès routiers, des infrastructures (écoles, station d'épuration, parkings...) nous imposant des constructions aux
coûts élevés creusant encore notre déficit !
- Le Centre Historique de Pézenas est pourvu de nombreux logements inoccupés. Ce Centre historique n'a pas vocation a devenir un musée. Il doit être vivant et cela passe
par la réhabilitation des appartements vacants.
- Ne pas faire St Christol n'est pas refuser la construction de logements sur la commune, faisons les ailleurs, autrement.
N° 63 : 6 septembre 2024 - 19:32
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Super projet, enfin des logements pour les gens, depuis le temps que j'attends un logement social
N° 62 : 6 septembre 2024 - 19:23
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Comment ne pas être favorable à ce projet ?
J’incite, les opposants par principe ou idéologie à lire avec attention et application l’étude d’impact fournie.
Cela leur permettra de prendre la mesure du projet, et leur évitera d’affirmer des croyances qu’ils érigent en vertu.
Bravo pour la création du quartier SAINT CHRISTOL
N° 61 : 6 septembre 2024 - 19:07
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Bonjour
La zone de st christol étant inondable , elle ne devrait servir qu'à un usage agricole qui reste à décider et proposer à un projet servant pour l'alimentation de pezenas.
Il serait préjudiciable à la ville de pézenas de se rendre compte dans quelques années qu'un projet urbain périphérique nuise à l'écoulement des eaux de pluies dans ce secteur.
Qui plus est l'accroissement de la circulation et le nombre de voitures à gérer est un défi quasi ingérable dans l'avenir et il ne faut pas l'oublier.
Pour ces raisons et bien d'autres encore, carla liste est trop longue pour l'écrire ici je suis pour trouver un autre projet pour ce lieu.
Orus
N° 60 : 6 septembre 2024 - 19:01
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Le bétonnage des sols ne permettrait plus l’absorption des précipitations et accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,
Par ailleurs les eaux de pluie ne pourraient plus s’infiltrer dans les sols pour alimenter les nappes phréatiques, sachant que des pénuries en eau potable sont à craindre l’avenir.
N° 59 : 6 septembre 2024 - 18:48
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Le bétonnage des sols ne permettrait plus l’absorption des précipitations et accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,
Par ailleurs les eaux de pluie ne pourraient plus s’infiltrer dans les sols pour alimenter les nappes phréatiques, sachant que des pénuries en eau potable sont à craindre l’avenir.
N° 58 : 6 septembre 2024 - 16:26
Auteur : Sylvie Lauga
Son avis : Défavorable
Si ce projet est autorisé, de graves problèmes seront accrus bien plus que solutionnés.
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions citernes, avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainera pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuera grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau).
Réfléchissons ensemble à un projet porteur de solutions les mieux adaptées, faisant vraiment œuvre utile.
N° 57 : 6 septembre 2024 - 16:12
Auteur : Isabelle BRZEZIANSKI
Son avis : Défavorable
Bonjour,
Je souhaite manifester mon opposition totale à votre projet mortifère.
J'espère que nous allons être très très nombreux à prendre le temps (et Dieu sait s'il nous en faut pour tenter d'éviter toutes les horreurs décidées au nom du seul profit) de dénoncer ce déni des réalités sur la biodiversité assassinée, le réchauffement climatique induit par toujours plus de bétonisation et la pénurie d'eau récurrente surtout dans votre région. Je ne parle même pas du refus des habitants, premiers concernés, à voir saccager leur territoire.
Gardez raison, vos enfants ou petits enfants auront honte de vous !!!
Cordialement.
N° 56 : 6 septembre 2024 - 16:06
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Je suis défavorable au projet du "futur quartier Saint Christol " pour plusieurs raisons.
Habitant Pézenas depuis maintenant 45 ans, la population de cette ville est toujours restée aux alentours de 10000 habitants malgré la construction de lotissements à l'ouest de l'agglomération. La construction d'un nouveau quartier ne ferait que désertifier encore davantage le centre ville qui aurait besoin d'être revitalisé.
D'autre part, ce futur lotissement ferait disparaître des terres agricoles et réduirait encore plus la biodiversité des espaces péri-urbains.
Bien que non directement impacté par la construction de ce quartier, je soutiens les actuels habitants de ce périmètre qui verraient leur confort de vie affecté par la présence de nombreuses habitations mitoyennes.
Enfin, les dérèglements climatiques ( sècheresse ou au contraire riques d'inondations ) seraient certainement accentués localement par l'aboutissement d'un tel projet.
N° 55 : 6 septembre 2024 - 15:47
Auteur : marie-anne pasturel
Son avis : Défavorable
STOP à l'artificialisation des terres!! STOP au goudron et au béton!! laissez vivre et respirer les générations à venir!
OUI aux oiseaux ,aux animaux, aux prés, aux forêts, haies, bosquets etc...à un environnement vert et fleuri!
N° 54 : 6 septembre 2024 - 15:46
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Le bétonnage des sols ne permettrait plus l’absorption des précipitations et accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,
Par ailleurs les eaux de pluie ne pourraient plus s’infiltrer dans les sols pour alimenter les nappes phréatiques, sachant que des pénuries en eau potable sont à craindre l’avenir.
N° 53 : 6 septembre 2024 - 15:30
Auteur : iMireille Urbain
Son avis : Défavorable
Alors que le réchauffement climatique nous alerte sur les risques de grande sécheresse qui ne permettraient plus de cultiver en France les plantes vivrières nécessaires à la population, qu'il est recommandé par tous les spécialistes du climat et de l'environnement de planter des arbres; de conserver des terres sans revêtement de bitume afin que l'eau puisse pénétrer, projeter d'artificialiser des terres agricoles est contre productif et inacceptable. Je suis totalement contre ce projet qui transforme notre belle région en une zone aride et artificielle.
N° 52 : 6 septembre 2024 - 15:27
Cette observation a été classée comme doublon par le commissaire enquêteur.
N° 51 : 6 septembre 2024 - 14:58
Auteur : Charlotte Keignan
Son avis : Favorable
Bonjour,
Pour chercher à mettre du béton et bitume partout ?
Il faut préserver et protéger la végétation et la nature.
Ainsi en prenant soin de cette nature, nous prenons soin de sa faune qui elle a besoin de la verdure.
Construire est bien, mais pas à n'importe quel endroit !!!
N° 50 : 6 septembre 2024 - 14:56
Auteur : Jean Coupiac
Organisation : IELR
Son avis : Défavorable
Avec les bâtiments abandonnés nombreux il est anormal de ne pas rénover et de continuer à bétonner.
Les ZAN doivent être respectées et même anticiper en arrêtant de construire sur des zones qui devraient rester en espace vert ou agricole
N° 49 : 6 septembre 2024 - 14:51
Auteur : DANIELE auscaler
Son avis : Défavorable
Il serait vraiment sans utilité de consacrer ces terres à la bétonisation, il y en a déjà bien trop et cela fait du mal à tout le monde, surtout à nous, pauvres français ...
N° 48 : 6 septembre 2024 - 14:24
Auteur : Raphael PONCE
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau).
N° 47 : 6 septembre 2024 - 11:32
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
je suis contre ce projet de bétonisation car c'est un non sens à une époque où l'eau crée des inondations dues à une bétonisation excessive d'une part et d'autre part, ne peut être consommée car dépassant les normes de pollution !
Le bon sens serait plutôt de supprimer tout ce béton des villes et laisser la place à plus de nature car, en plus, le bétonnage accentue les épisodes de canicule, qui font se raréfier cette eau à un moment où on en a le plus besoin !
Dans ma ville, on le supprime des cours d'écoles pour le remplacer par des espaces enherbés.
Ce qui m'interpelle, c'est que l'on ait besoin d'une enquête publique pour discuter d'un sujet qui ne devrait plus l'être tant il tombe sous le sens, à une époque où nous sommes confrontés à une crise écologique qui touche l'eau et les sols !
N° 46 : 6 septembre 2024 - 11:16
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Bonjour,
Je suis défavorable à ce projet pour les raisons suivantes :
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population de Pézenas et des alentours ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes. Avec deux mille habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, etc.).
Je vous remercie pour la prise en compte de cet avis.
N° 45 : 6 septembre 2024 - 11:15
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Stop à l'assassinat de notre planète pour enrichir toujours les mêmes personnes
N° 44 : 6 septembre 2024 - 11:12
Auteur : Ghyslaine COUPRIE
Son avis : Défavorable
Je suis totalement opposée à la bétonisation et aux constructions via des promoteurs peu scrupuleux pour dénaturer la campagne de St Christol.
Le manque d'eau récurrent et alarmiste chaque année nous prévient qu'il est urgent de privilégier des aires naturelles et cultures qui nécessitent peu d'eau ou moins d'eau.
Une urbanisation serait des plus catastrophique tant d'un point de vue écologique, économique , ( réduction de la terre cultivable) et une perte de la biodiversité avec cette espace vert et respirable où chacun peut apprécier de s'y ressourcer grâce à sa proximité du centre de la ville .Préserver cette espace c'est proposer aux générations futures d'entretenir un paysage rural cultivable tout autant qu'un espace de bien vivre et bien être.
Complétement opposée à ce type de projet à contre sens avec les futures volontés générationnelles en recherche de respect écologique
N° 43 : 6 septembre 2024 - 10:44
Auteur : Patricia Faggio
Organisation : particulier
Son avis : Défavorable
Bonjour,
je suis contre ce projet de bétonnisation de la campagne St Christol. Encore une nouvelle atteinte à la nature, alors qu'on en a tant besoin ! Laissez cet espace tranquille, pour le bien être du voisinage.
N° 42 : 6 septembre 2024 - 10:41
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau
N° 41 : 6 septembre 2024 - 10:29
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Un tel déploiement de réseaux VRD, d'emprise au sol, des parcelles tellement ridicules au sein clairsemé..... A part le seul intérêt financier et capitaliste de valoriser "financièrement" un gros lopin de terre... rien d'intéressant dans ce projet.
Une emprise moins important avec de petits collectifs construits en mode Passiv haus, voir mieux , moins de réseaux (moins de coût pour la collectivité à terme), des espaces techniques sous les collectifs, un parking collectif si nécessaire (favoriser les déplacements doux) et la pénétration des eaux de pluies dans les sols etc etc.....Ce monde de médiocres qui utilisent ces dividendes pour pouvoir "se barrer au loin des que cela est possible pour profiter de la nature.....dans de grosses baraques climatisées avec des grosses totomobiles à pile....
Le paradis est ici et maintenant et certains s'évertuent à le foutre en l'air : construire oui mais en respectant un équilibre et sans répondre aux problèmes induits par des solutions technologiquement irresponsables.
Comprendre un écosystème et y intégrer la tribu humaine, avec des cycles respectés, de quoi nourrir localement sans nuire à ce qui existe, avec pour ceux qui souhaitent y habiter, des potentialités d'activités locales et favorisant des déplacements courts et potentiellement en utilisant ce qui existe.
Un projet "hors du temps et hors contexte, typique d'une vision passéiste et sans aucun respect, ni pour les futurs acquéreurs, ni pour les résidents actuels.
N° 40 : 6 septembre 2024 - 10:22
Auteur : Stéfan D'Autun
Son avis : Défavorable
Pourquoi persévérer à refaire les mêmes erreurs du passé ?? Il suffit !! Stop, il faut arrêter tous ces projets insensés. Car compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, etc...). L'eau est un bien précieux, l'eau c'est la vie mais à condition qu'on ne l'empêche pas de s'infiltrer jusqu'en dans les nappes phréatiques. Cordialement
N° 39 : 6 septembre 2024 - 09:22
Auteur : HELENE SERRA
Son avis : Défavorable
Si ce projet de bétonisation de terre agricole est réalisé, plusieurs problèmes surviendraient et d'autres s'alourdiraient.
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau).
N° 38 : 6 septembre 2024 - 09:21
Auteur : SYLVETTE RAPP
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,
N° 37 : 6 septembre 2024 - 09:19
Auteur : Isabelle Cadet
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,
N° 36 : 6 septembre 2024 - 09:04
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
NON à la bétonisation de Saint Chritol
N° 35 : 6 septembre 2024 - 08:54
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Ce projet de bétonisation de terres agricoles est d'une autre époque à l'heure où les rendements agricoles justement vont déclinant.
Surtout, qu'en sera t-il de la ressource en eau pour les habitants des environs ?
Ce problème, des plus graves mérite le plus grand sérieux des décideurs..
Attention à la faute grave et impardonnable.
N° 34 : 6 septembre 2024 - 08:25
Auteur : BEATRICE DAVINO
Son avis : Défavorable
Bonjour je m oppose fermement à ce projet qui touche St Christol, ou je passe régulièrement des vacances.
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau).
Merci de m'avoir lu. Cordialement
N° 33 : 6 septembre 2024 - 05:14
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Je suis totalement oppossée à la bétonisation et aux constructions via des promoteurs peu scrupuleux pour dénaturer la campagne de St Christol.
Le manque d'eau récurrent et alarmiste chaque année nous prévient qu'il est urgent de privilégier des aires naturelles et cultures qui nécessitent peu d'eau ou moins d'eau.
Une urbanisation serait des plus catastrophique tant d'un point de vue écologique, économique , ( réduction de la tere cultivable) et une perte de la biodiversité avec cette espace vert et respirable où chacun peut apprécier de s'y ressourcergrâce à sa proximité du centre de la ville .Préserver cette espace c'est proposer aux générations futures d'entretenir un paysage rural cultivable tout autant qu'un espace de bien vivre et bien être.
Complétement opposée à ce type de projet à contre sens avec les futures volontés générationnelles en recnerche de respect ecologique
N° 32 : 6 septembre 2024 - 03:00
Auteur : Viviane Bertuol
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,
N° 31 : 6 septembre 2024 - 02:15
Auteur : Gérard COUCHOUD
Son avis : Défavorable
Ce message a pour but d'exprimer mon opposition ferme à tout projet d'urbanisation des terres agricoles de la campagne de Saint-Christol.
N° 30 : 5 septembre 2024 - 22:29
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Une bonne part de l'économie de la ville de Pézenas vient du tourisme. Attiré par cette ville d'histoire, d'artisans d'art des personnes du monde entier viennent admirerce bijou architectural et son clocher majestueux qui a toute sa poésie vu dans la perspective des champs de Saint Christol. Ceux-ci, fréquenté et bien connu des marcheurs, des pèlerins (Saint Roch à Pézenas, serait passé par St Cristol pour rejoindre Montpellier), des vélocipédistes ( venuent des villages voisin allant au marché de Pézenas ) des poètes et artistes ( y sillonnèrent et y séjournèrent; Molière, Boby Lapointe, Edmond Charlot,Injalbert, Frédéric Bazille, Jean-François Lépine etc....)
Pourquoi tuer la beauté de la ville (et l'attribution du Label de L'UNESCO "Réserve de Biosphère") qui avec son écrin de verdure fait lien avec le fleuve Hérault ?
Pour nos génération futures, privilégions un bâtit harmonieux et dans des endroits pertinent et non inondable, plutôt que d'engraisser les toupies qui Bétonnent et imperméabilisent nos champs, nos mémoires, notre histoire nos coeurs.
N° 29 : 5 septembre 2024 - 22:02
Auteur : DOMINIQUE CAZABAN
Organisation : particulier
Son avis : Défavorable
Je suis opposée à la bétonisation de la campagne de Saint Christol.
Des villages des alentours ont déjà été approvisionnés en eau par camion cet hiver. Avec 2000 habitants de plus à Pezenas comment ce sera après la bétonisation?
Les écologistes préconisent de supprimer certains revêtements qui imperméabilisent la terre et provoquent le ruissellement de l'eau qui ne pénètre plus dans la terre.
Quelles seront les conséquences, de ce fait, si en plus la campagne de Saint Christol est bétonnée? Soyez réalistes et stoppez ce projet, merci.
Cordialement
D. Cazaban
N° 28 : 5 septembre 2024 - 22:00
Auteur : Pascale Albert
Son avis : Défavorable
Je trouve ce projet déconnecté de la problématique de la région et de vers quoi on devrait aller à l’époque actuelle avec le manque d’eau et le besoin de terres agricoles.
N° 27 : 5 septembre 2024 - 21:40
Auteur : Béatrice Masso
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,
N° 26 : 5 septembre 2024 - 21:25
Auteur : Florent TAIX
Son avis : Défavorable
Bonjour,
J'émets un avis défavorable sur la betonisation de zones agricoles.
En effet, la betonisation entraînera forcément un risque accru d'inondation de la zone.
Sans parler du problème de manque d'eau déjà subit les précédentes années sur le lieu, alors comment faire avec 2000 habitants supplémentaires.
C'est un non sens.
N° 25 : 5 septembre 2024 - 20:56
Auteur : Alain-Bernard OUTREBON
Son avis : Défavorable
Cette artificialisation néfaste à la priorité de la préservation de la ressource en eau est u déni de la tradition prudentielle de Pezenas
N° 24 : 5 septembre 2024 - 20:42
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Très défavorable à la réduction comme â la transformation des terres agricoles. Nous en avons besoin ! Et plus que jamais.
Ce projet est inconcevable,nous sommes en 2024, nous devons avancer, non reculer...
N° 23 : 5 septembre 2024 - 20:41
Auteur : Jean Barbe
Son avis : Défavorable
Je souhaite exprimer ici mon opposition au projet d’urbanisation des terres agricoles de la campagne de Saint Christol. Cela fait des années que l'on parle d'arrêter la folle urbanisation des terres agricoles en France. Malgré cela, rien n'est fait et tout continue comme si de rien n'était. Pas étonnant que les jeunes agriculteurs aient un mal fou à s'installer. Il faut que ça cesse !
N° 22 : 5 septembre 2024 - 20:31
Auteur : Jacques RANDON
Son avis : Défavorable
Nécessité de conserver des terres à potentiel agricole (vergers, jardins...)
Possibilité d'implanter un bois (chênes vert et blanc) sur la colline montant à Chichery?
N° 21 : 5 septembre 2024 - 20:03
Auteur : Maryse Mairey
Son avis : Défavorable
Je tiens à faire savoir ma profonde opposition à ce projet.
Il est grand temps de cesser de betonniser nos villes. Je pense que Pézenas a suffisamment grandie ces dernières années. De plus ce secteur particulièrement sensible doit être protégé et non pas détruit. J’ajoute à cet avis des arguments dans lesquels je me retrouve
. Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,
N° 20 : 5 septembre 2024 - 19:40
Auteur : Arnaud Merzougui
Son avis : Défavorable
Il est temps de stopper la bétonnisation à outrance, notamment si celle-ci détruit des terres arables précieuses à la souveraineté alimentaire et perturbe le cycle de l'eau dans un secteur où inondations et manque d'eau sont les deux faces d'une même problématique.
Il faut abandonner ce projet en total décalage avec les besoins actuels et privilégier un autre, plus utile, plus réaliste et profitable à tous !
N° 19 : 5 septembre 2024 - 19:26
Auteur : Méryl Pinque
Son avis : Défavorable
Eu égard à la sécheresse croissante et une ressource en eau déjà sous tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentour ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûr que ce projet n’entraînera pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint-Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,...).
N° 18 : 5 septembre 2024 - 19:26
Auteur : Philippe Sauty
Son avis : Défavorable
Bonjour,
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau.
J’émets donc un avis défavorable.
Cordialement.
Philippe Sauty.
N° 17 : 5 septembre 2024 - 19:06
Auteur : Jean-Michel Le Corre
Son avis : Défavorable
Il serait préférable qu'il y ai moins de beton et plus de verdure .
N° 16 : 5 septembre 2024 - 18:56
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Le bétonnage des sols ne permettrait plus l’absorption des précipitations et accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,
Par ailleurs les eaux de pluie ne pourraient plus s’infiltrer dans les sols pour alimenter les nappes phréatiques, sachant que des pénuries en eau potable sont à craindre l’avenir.
N° 15 : 5 septembre 2024 - 18:35
Auteur : maryline duval
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,
N° 14 : 5 septembre 2024 - 18:35
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
A l'heure ou l'eau manque, la surpopulation empoisonne la vie de tous, l'agriculture Française et Européenne se meurt à cause de décisions politiques à contre-courant de la réalité (Voir les panneaux retournés dernièrement), l'insécurité gagne du terrain avec l'apport de population...Etc, il serait grand temps d'arrêter de construire et d'accueillir des milliers de personnes qui n'ont pas les mêmes intérêts et visions que nous autochtones. Nos routes ou chemins de campagne sont dans un état lamentable, les services publics sont de plus en plus absents des lors que l'on s'éloigne du centre ville et l'on va investir des millions d'euros pour créer un dortoir/Ghetto de plus. C'est simplement scandaleux
N° 13 : 5 septembre 2024 - 18:22
Auteur : Anne Heyraud
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrat-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise avec 2000 habitants de plus ?
N° 12 : 5 septembre 2024 - 18:02
Auteur : Fabienne Berryer
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,
N° 11 : 5 septembre 2024 - 17:54
Auteur : b LECERF
Son avis : Défavorable
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau.
N° 10 : 5 septembre 2024 - 17:42
Auteur : Jean HUBNER
Organisation : Jean HUBNER
Son avis : Défavorable
Bonjour, je suis entièrement d'accord avec les opposants à ce projet et reprends la totalité de leurs observations au sujet des conséquences délétères qui en découleront obligatoirement : compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau etc...
N° 9 : 5 septembre 2024 - 17:40
Auteur : Matthieu GERARD GUIHERY
Son avis : Défavorable
JUSTICE pour le respect du vivant & le bien-être de notre environnement naturel !
Ctre le capitalisme économique néolibéral destructeur responsable de cette crise anthropologique !
N° 8 : 5 septembre 2024 - 17:38
Auteur : Patrick BOOT
Son avis : Défavorable
Il y a certainement d'autres endroits à trouver pour créer de nouveaux logements, voire même faire un inventaire des logements inoccupés, et disponibles à la location dans Pézenas, cela permettrait une discussion et un accord diplomatique avec les opposants, plutôt que de foncer tête baissée par orgueil avec une ancienne décision prise il y a bien longtemps,non exécutée et très couteuse pour les contribuables !
Merci d'y réfléchir.
N° 7 : 5 septembre 2024 - 17:38
Auteur : Lucille Urquijo
Son avis : Défavorable
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,
N° 6 : 5 septembre 2024 - 17:28
Auteur : Sandrine GRELOT
Son avis : Défavorable
Bonjour,
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, il est indispensable de se poser ces questions :
pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau...)
Moins de béton plus de végétal.
N° 5 : 5 septembre 2024 - 17:20
Auteur : annie leguézennec
Son avis : Défavorable
on bétonne les terres agricoles et on importera les produits alimentaires venant de pays qui utilisent, les pesticides et autres substances toxiques. nous ferons bientôt partie des civilisations disparues au même titre que les mayas, aztèques, étrusquens etc
N° 4 : 5 septembre 2024 - 17:18
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Les terres arables sont de plus en plus dévorées par un urbanisme souvent inutile ou dont les municipalités pourraient se passer. Commençons par respecter celles dont l'utilité est indiscutable , comme à Pézenas .
Merci de votre attention .
N° 3 : 5 septembre 2024 - 17:11
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, , accentuerait grandement le ruissèlement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,
Et comment être sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
N° 2 : 30 août 2024 - 13:52
Cette observation a été classée comme doublon par le commissaire enquêteur.
N° 1 : 30 août 2024 - 13:51
Auteur : VINCENT GAUDY
Organisation : MAIRIE DE FLORENSAC, CONSEIL DEPARTEMENTAL DE L'HERAULT, CANTON DE PEZENAS
Son avis : Favorable
Monsieur le Commissaire enquêteur,
Elu Maire de Florensac, commune appartenant à la même intercommunalité que Pézenas, en 2008 et Conseiller départemental du Canton de Pézenas en 2015, je me permets de contribuer à l’enquête publique au projet d’aménagement de la ZAC Saint-Christol à Pézenas.
D’abord, en tant que Conseiller départemental, pour témoigner d’une réalité celle de la centralité administrative et économique que représente Pézenas et qui n’est pourtant pas en corrélation avec la démographie et l’évolution démographique de cette commune. Afin, a minima, de maintenir les équilibres territoriaux, voire d’obtenir certains rééquilibrages, il est important que Pézenas puisse continuer à jouer ce rôle et un grand nombre services à sa population et aux populations environnantes. Cela passe notamment par une progression de sa population, gage de nouvelles recettes, tant fiscales qu’émanant de dotations, et de nouvelles possibilités d’attractivité.
Ensuite, en ma qualité de Président d’Hérault Logement, je connais l’importance du parc de logement social présent à Pézenas, dont une grande partie appartenant à Hérault Logement. Je sais aussi le nombre conséquent de demandes qui demeurent en attente notamment de la part de Piscénoises et de Piscénois. Je sais donc l’importance que représente la possibilité de construire de nouveaux logements dans notre Département en général et dans cette commune en particulier. Surtout que ma connaissance de ce dossier me permet d’observer positivement le fait que l’intégralité du parcours résidentiel a été étudiée afin d’intégrer ce projet et qu’un regard bienveillant a été porté pour que ce futur quartier soit celui de la mixité sociale et générationnelle. Aussi, je veux souligner que le fait de libérer des espaces en rez-de-chaussée pour des services peut permettre aux opérateurs sociaux qui seront présents sur ce quartier d’y avoir des bureaux ainsi que de proposer des services publics en lien immédiat avec la population habitant ce quartier, Pézenas ou les environs et c’est toutes ces raisons qui ont conduit Hérault Logement à ouvrir une 5ème agence qui sera implantée sur place en 2025-2026.
Également, en ma qualité de Vice-président de la Communauté d’agglomération délégué à l’eau et à l’assainissement, je sais le travail fait depuis des années par l’intercommunalité afin d’améliorer le rendement des réseaux Piscénois et de faire des économies d’eau. Je sais aussi l’étroite association qui a été celle des porteurs de ce projet afin qu’il réponde aux mieux à nos préconisations.
Enfin, en tant qu’élu sur ce territoire, j’ai pu souvent entendre parler de ce projet de quartier et en connaître différentes moutures. Je veux souligner que certaines évolutions récentes y apportent tant de la cohérence que de la conscience pour répondre aux enjeux environnementaux et sociétaux. Aussi, je veux, en tant qu’élu, témoigner du fait que je reçois régulièrement des personnes qui souhaiteraient acheter à Pézenas et qui ne trouvent pas d’opportunité foncière pour le faire. Un tel projet pourrait donc y contribuer.
Je vous remercie par avance de l’attention que vous porterez à ma demande et vous prie d’agréer, Monsieur le Commissaire enquêteur, l’expression de mes sentiments les plus respectueux et dévoués.
Vincent GAUDY
Maire de Florensac
Conseiller Départemental du Canton de Pézenas
Vice-Président du Conseil Départemental de l’Hérault
Futur quartier Saint Christol
J’habite a Pézenas et je m’oppose au projet Saint Christol.
Je tiens, comme beaucoup, aux vieux chemins de promenades piscénois. Ce projet va les raser et les rénover.
Je tiens à voir les terres nues l’hiver, fleuries de coquelicots au printemps, craquantes l’été, humides l’automne. Ce projet va les enduire d’une coulée verte et d’espaces pédagogiques.
La tranquillité de notre ville est déjà un lointain souvenir quand vient la saison estivale ; tous les espaces libres deviennent des parkings. La promenade du Pré où les anciens venaient marcher est devenue une mer de voiture, le fronton est devenu un parking, l’ancien terrain de tambourin est devenu un parking !! Tous les lieux jadis dédiés a la rencontre et au plaisir des habitants sont transformés en parking... Alors Saint Christol va devenir un parking ? 1500 habitants supplémentaires pourront se garer du mieux qu’ils peuvent sur les places de parking installées sur ce nouveau quartier écologique fraîchement livré, sur les terres fertiles qui sont enduites jusqu’à la fin des temps.
Il semble que pour qu’une mairie soit reconnue aujourd’hui il faille tout transformer, tout bétonner. Ce qui est là depuis toujours n’a qu’a bien se tenir. Alors on coupe les platanes, on transforme en rond points, on éventre les chaussées. Quelle vanité de vouloir tout remodeler à chaque mandat, comme si chaque équipe voulait laisser sa marque, souvent au détriment de notre patrimoine commun. Et quel héritage, quand on voit l’entrée de ville de Pezenas… une ôde aux métiers d’arts et aux artisans, qui dénote avec les Marie-Blachère, MacDonalds, Lidl, GrandFrais…
Nous, habitants, ne nous sentons plus consultés. Ce projet semble avancer sans tenir compte de notre avis ni de notre attachement à notre ville. J’espère que cette enquête publique sera prise en compte.
Les dérogations environnementales sont des permis de bétonner et artificialiser les sols. De raser toute niche écologique.
Il est du devoir de ceux qui décident pour nous de faire les bons choix et de pouvoir garantir la pérennité de la vie dans des conditions décentes, pour les générations présentes et a venir. Le futur s’annonce rempli de défis, sommes nous en mesure de les relever ?
Ce projet, bien que présenté comme un modèle de technologie verte, pourrait devenir obsolète face aux défis environnementaux et sociaux de demain. Il risque de créer plus de problèmes qu’il n’en résoudra.
Ce projet peut être et doit etre le fruit d’une collaboration des habitants, voilà comment inverser la tendance. Impliquons la population dans des projets porteurs qui les rendent fiers et concernés.
Pour toutes ces raisons et bien d’autres encore je m’oppose fermement a ce dossier et j’espère que la riche argumentation de l’opposition sera étudiée et sera prise en compte.
Je ne suis probablement pas suffisamment expert pour donner mon avis sur la véracité d'un tel projet et la motivation de sa promotion.
En outre j'ai de très grandes réserves entre autres concernant l'aspect environnemental la ressource en eau et les évacuations des eaux usées lié à la mise en œuvre du « nouveau quartier saint Christol »
Ce projet n’est indéniablement pas à la faveur de l’économie de consommation des espaces naturels et ni à la modération de la bétonisation des sols comme le préconise à juste titre la loi « Climat et résilience » du 22 août 2021, en faveur pour cette derniere de la lutte contre le réchauffement climatique, avec pour rappel, la diminution drastique de l’artificialisation des sols.
À cela s'ajoute la gestion des flux routiers et l'impact sur les structures en places.
Le risque d’inondation dans un secteur sensible comme celui de la commune de Pézenas se doit d’être un facteur et un enjeu prioritaire, ainsi la bétonisation des sols liés à ce projet éveille une grande inquiétude, tant pour les secteurs en amont de l’ouvrage que pour les secteurs en aval.
D’autre part à l’heure ou la sensibilisation à l’environnement et ses intérêts vitaux sont devenu un phénomène sociétal, comment expliquer à nos enfants qu’ici à Pézenas au sein de nos campagnes nous n’avons de cesse qu’à réfléchir à bétonner le sol au détriment du naturel et de ces espaces et espèces protégés ?
Conscient bien sûr de l’intérêt financier d’un tel projet pour venir amender les besoins de financements légitime de la ville ; en outre, n'aurait-il pas été plus probant de motiver la relance économique de nos villages et notamment celui de Pézenas en favorisant l'implantation d'industries et de zones dédiés à l'activité professionnelle de tous champs de compétences vertueux et sensible au respect de l’environnement, ce qui n’est pas antinomique avec une activité industrielle.
Offrir une possibilité d'emploi me paraît être le préambule nécessaire à l'installation de futurs résidents impliqués dans l'activité économique au sens large de la ville.
En revanche, ne sera-t-il pas plus efficient pour loger tous ces citoyens portés par la relance industrielle de renforcer la densité du bâtit et son habitabilité plutôt que de proposer un projet en discontinuité avec l’existant et à la faveur d’un étalement urbain sans intérêt.
L'expérience devrait nous faire prendre conscience de l'hérésie de construction de lotissements périphériques aux villages qui ne sont que trop souvent des zones dortoirs pour une population urbaine en manque de campagne ou malheureusement contrainte de déplacer, par intérêt économique, leur désirs de propriété sans affection particulière pour le lieu d’habitation.
Est-ce la vertu du projet du « futur quartier saint Christol » ?
Le travail mené et l’argent dépensé autour de chacune des études de ce projet n’est pas la caution d’une obligation de réalisation, mais les fondations d’une réflexion qui doit conduire nos enfants vers un avenir durable, agréable et respectueux d’un environnement que nous avons le devoir de leur préserver.
Aussi, en l'état je ne peux être totalement favorable à ce projet.
Bien respectueusement.
- Béton ---> Inondations
- Ecosystèmes détruits ---> Danger pour l'humanité
- Pollution---> maladies
CELA SUFFIT !
Nous seront contraints de vivre dans un chantier des décennies durant, sans réelle garantie que le projet aura les effets escomptés et les bénéfices attendus.
Sans parler du trafic routier grandement perturbé et de la gestion présente et future de l'eau.
Je suis défavorable à ce projet.
Il n’est pas cohérent avec une approche responsable et respectueuse indispensable à notre époque, les temps ont changés
Il dévalorise la petite ville de Pézenas
certain piscénois pensent encore cet après midi qu'avec la municipalité Rivière, comme promis aux élections, le projet ne se fera pas.
Ce manque de courage de s'adresser aux piscénois et d'en demander leur avis aura permis une seule chose de DIVISER la ville en deux.
Ni les uns ni les autres ne sortiront grandis de cette situation.
Nous invitons nos parlementaires ''au compromis'' alors que nous ne sommes pas capables dans un ''VILLAGE'' de 7800 habitants d'instaurer un débat sain et transparent.
Après tout si la majorité est pour se projet il faut le faire mais si elle est contre avec les sommes déjà engagées il faudra aller au compromis...mais en avons nous la capacité.
J'en doute.
je suis en colère contre nos élus, je râle de n'avoir pu écouter des experts, de n'avoir pu dans un climat détendu, écouter les arguments des favorables et défavorables.
Aigreur et rancoeur ne favorisent pas l'élan citoyen. Soyez fiers de vos contributions, elles mèneront tout droit pour les perdants (que je devine déjà) vers une abstention future ou pire.....
Du coup, je ne me prononce pas.
Quand une équipe municipale arrive aux responsabilités, elle doit composer avec les engagements pris par la majorité précédente
A Pezenas, quand l équipe actuelle est arrivée en juin 2020, la municipalité Vogel avait juridiquement fermé les contrats passés avec les promoteurs pour le projet St Christol...la dette de la mairie était alors d environ 5 millions d €.
Arrivée aux manettes, l équipe Riviere à dû renégocier les contrats pour modifier en profondeur le projet afin d en faire quelque chose issu d ine véritable réflexion publique écologie, habitat à coûts modérés...
Pour autant , elle ne pouvait purement abandonner le projet car elle n avait pas en trésorerie les 5 Millions d€. Les promoteurs contractualiser par l équipe Vogel, étaient vigilants quant à leurs affaires financières.
Je suis définitivement défavorable à ce projet.
Je travaille depuis plus de 5ans sur des projets environnementaux. J'observe que le projet St Christol est l'illustration ce que pourrait être un quartier dans les futures années, voire un quartier de demain.
Nous le savons, noter département (lHérault) accueille plus de 1000 habitâtes par mois. Il s'agit donc de trouver, en responsabilité, des solutions de logements. La particularité de St Christol n'est pas de trouver des logements tels que l'on peut en voir dans la Métropole Montpelliéraine, ce sont 24 hectares, dont plus de 13 hectares sont dédiés à l'espace verts. Dans ces 132 000m2, un espace écologique pédagogique de 23 516 m2 est prévu, un espace sanctuarisé de plus de 10000m2 ainsi qu'entre autres une place végétale de 1625 m2.
L'esprit de St Christol de "la campagne à la ville" est ainsi préservé.
Je souhaite ajouter que ce projet est concu en concertation avec des écologiques qui par leur professionnalisme ont contribué à travailler sur le vivant. La "Lumière Rouge", dispositif unique en France contribuera ainsi au calme et à la quiétude du lieu. D'ailleurs, la Caisse Des Dépôt et Consignations (dans sa filiale Biodiversité) indique, que le projet porte une ambition écologique à la fois dans l’évitement et dans la réduction des impacts lors de la construction mais aussi dans l’aménagement et les usages prévus sur ce site qui laissent une place prépondérante à l’accueil de la faune et la prise en compte de la biodiversité de manière générale, en exploitant les caractéristiques naturelles du site, le projet porte des objectifs de durabilité de la conception à l’usage.
A titre d'exemple, la zone de quiétude, une parcelle de près d’1 hectare et demi a été mise en place en défens et sera inaccessible au public afin de préserver un habitat pour la biodiversité exempt des dérangements liés à l’homme. Cette zone sera complétée par l’aménagement d’une mare temporaire qui permettra d’enrichir l’écosystème local avec une zone humide.
La préservation de la trame noire : un système d’éclairage à la lumière rouge unique en France a été installé avec des restrictions d’usage aux heures les moins fréquentées, afin de minimiser la pollution lumineuse et l’impact sur les espèces sensibles à cet effet.
Enfin, il a été rédigé un plan de gestion écologique et un cahier des prescriptions écologiques à destination des futurs constructeurs/acquéreurs/habitants de St Christol. Ces documents présentent dans un 1er temps les prescriptions écologiques des travaux de terrassement et dans un second temps les impératifs à mettre en œuvre pour l’espace pédagogique et la zone de quiétude comme défini dans le dossier unique du projet de ZAC validé par la DREAL Occitanie. Ces documents traitent également des prescriptions écologiques pour les lots privatifs de création de logements collectifs et individuels. Ils présentent les prescriptions générales sur les travaux végétaux et détaille la charte écologique à destination des futurs habitants de la ZAC.
Il y aurait tant de choses positives à dire sur ce projet : les liaisons douces, le vrai parcours résidentiel par exemple.
Je voudrai conclure, Monsieur le Commissaire Enquêteur, en vous réitérant mon vif intérêt sur ce projet tant sur la forme que sur le fond.
Recevez Monsieur le Commissaire Enquêteur, mes salutations les plus respectueuses
je ne sais comment exprimer ma crainte voire ma peur suite au fait qu'une ville de béton voie encore le jour dans nos campagnes françaises.
Quels que soient les motivations de la mairie en place, ce projet est automatiquement destructeur, de vie , végétale, animale , et qui sait , humaine !
Conservez le peu de nature qu'il nous reste , c'est urgent.
La nature est indispensable à notre survie.
CONTRE !
Une entrée de ville a déjà été définitivement défigurée par du béton .
La deuxième entrée de ville devrait être davantage soignée.
Plus particulièrement parce qu’elle se trouve face à un lieu historique comme la grange de Près.
Un délais nécessaire doit être demandé à l’établissement foncier afin que ce lieu garde son aspect bucolique et naturel … que la dette soit échelonnée pour la ville .
Une ceinture verte doit être impérativement conservée autour de Pézenas ! Les photos de toutes les différentes crues sont édifiantes .
J’espère que le Préfet stoppera net ce projet !
Les corridors écologiques, voies vertes et lumières rouges semblent être plus des alibis frisant le greenwashing qu'une réelle volonté de valoriser le vivant. La réalité est que l'habitat naturel des espèces présentes sur ces 24 hectares sera intégralement rasé, détruisant des écosystèmes entiers et perturbant durablement la biodiversité locale.
L'espèce humaine entre dans une ère inédite, qu'il n'est plus a démontrer qu'elle en a été l'acteur principal ; le climat se transforme de manière irréversible, chaque jour davantage. Les répercussions sur les phénomènes météorologiques se font déjà ressentir et les modélisations peinent a rendre compte du changement tant il est vif et soudain. La tempête Boris qui s'est récemment abattue sur l'Europe Centrale en est la preuve et le déroulement logique d'un scénario déjà annoncé. Sommes nous en mesure de faire face aux défis de demain ?
L'écologie n'est pas qu'une façade qui sert à rendre les projets d’urbanisation plus séduisants pour le grand public. C'est une réflexion profonde, prenant en compte l'interdépendance des formes de vie et les délicats équilibres qui les lient. C’est une réflexion concrète sur nos vies quotidiennes et futures.
Je suis profondément contre ce projet.
J'ai souhaité contribuer à l'enquête publique dans ses derniers instants afin de ne pas influer, négativement ou positivement, sur son déroulé.
Vous trouverez ma contribution attachée à ce message.
Cordialement,
Armand Rivière
La première fois que j’ai eu à en connaître c’est dans mes fonctions de conseiller régional d’Occitanie, représentant cette collectivité au conseil d’administration de l’Etablissement Public Foncier d’Occitanie.
L’ancien maire de Pézenas nous avait soumis ce projet structurant pour sa commune. Il sollicitait l’accompagnement via une convention de l’Etablissement Public Foncier.
Ce projet ambitieux avait retenu notre attention et justifiait pleinement l’accompagnement de l’Etablissement Public Foncier.
En juin 2020, un nouveau maire et une nouvelle équipe municipale étaient élus à Pézenas.
En septembre 2020, j’étais élu au Sénat. Et je démissionnais de mes fonctions au Conseil d’Administration car incompatibles avec un mandat parlementaire.
J’entamais des réunions de travail avec le nouveau maire de Pézenas qui m’informait de son souhait d’adapter le projet initial aux nouveaux enjeux et aux nouvelles contraintes légales.
Après de nombreuses réunions de travail et de concertation, il m’a fait part des nouvelles orientations retenues.
J’y souscris et je les soutiens pleinement.
Je vais illustrer par l’exemple de la gendarmerie à construire.
Au sénat je siège à la Commission des lois et j’ai suivi le projet de création des 200 nouvelles brigades de gendarmerie (j’ai réussi à en obtenir 3 pour l’Hérault : Pignan, Ganges et Vias).
Parallèlement à ces créations, j’ai milité et plaidé avec d’autres collègues pour la démolition-reconstruction de brigades existantes car devenus obsolètes et
exiguës pour offrir de bonnes conditions de travail à nos militaires. Sont concernées et doivent faire l’objet de ce plan complémentaire de création des 200 brigades, les brigades Héraultaises suivantes : Lunel (chantier démarré), Capestang, Pézenas, Saint-Chinian et Villeneuve les Maguelone.
La réhabilitation in situ n’est pas toujours envisageable car la population augmentant, les effectifs augmentent aussi.
Par ailleurs l’Etat a le souci de construire des logements de fonction et de réduire progressivement les logements loués à des bailleurs privés.
L’Etat a l’ardente obligation d’être parcimonieux et vertueux dans l’usage des deniers publics.
Les collectivités doivent les accompagner dans cet objectif.
C’est ce que le projet Saint Christol permettra de faire.
Comme toutes les communes, Pézenas est confrontée à deux défis : attractivité démographique et vieillissement de la population.
Aussi je vois particulièrement d’un bon œil la création d’une résidence autonomie.
Car je ne compte plus le nombre de saisines de personnes âgées et de familles qui me sollicitent pour le compte d’un parent concerné par cette situation.
Il n’y a pas de fatalité à ce que les anciens soient déracinés de leur ville de Pézenas pour aller dans une structure adaptée à Béziers, Montpellier ou Sète par exemple.
Ensuite en ma qualité d’élu, je mesure la crise que représente la désertification médicale. Aussi l’ouverture de maisons médicales permet de répondre à cette crise en permettant aux professionnels de se regrouper et de mutualiser outils et moyens (secrétariat par exemple).
C’est le cas à Lodève, à Fontès, à Aspiran. Toutes ces maisons médicales récemment ouvertes, ont prouvé leur utilité pour la population.
Ils répondent aussi aux demandes des médecins qui souhaitent rompre leur isolement.
Enfin en ma qualité de conseiller régional, membre de la commission développement durable et transition énergétique, je salue la volonté dans le nouveau projet Saint Christol : le recours à un réseau de chaleur et de froid pour rationaliser la production et la consommation d’énergies durables.
La préservation de 6 ha d’espaces verts permettra de créer un parc public pour toutes et tous.
Et la création d’un espace pédagogique et agricole de 4 ha me semble particulièrement bienvenu. Une structure similaire créé par la commune de Cazouls de Béziers rencontre un vrai succès chez les élèves et les enseignants.
Les productions en circuits courts sont accommodées, cuisinés et servis dans la cantine des écoles de la commune.
C’est une expérience inspirante et innovante que je retrouve dans la nouvelle mouture du projet Saint Christol de l’actuelle équipe municipale de Pézenas.
En conclusion et comme je l’ai indiqué dès le début de mon propos, je souscris à ce projet novateur et pragmatique.
J’ai l’intime conviction qu’il répond aux attentes et aux besoins des habitants de Pézenas d’aujourd’hui et de demain.
Hussein Bourgi
Sénateur de l’Hérault
Conseiller Régional d’Occitanie
Contre.
- seulement 10 % du terrain sera dédié à la création d’une zone écologique pédagogique. Ce qui reste inférieur aux espaces non artificialisés existants à ce jour sur les terrains,
- le maintien de la biodiversité à l’aide de trame verte et bleue sur le territoire ne sont que des mesures compensatoires faire à la destruction d’habitation des espèces présente sur le territoire,
- la surface d’artificialisation des sols est contraire aux ambitions de la loi ZAN,
- le projet se répartira sur une surface de 24 hectares. Les dimensions de cette ZAC sont trop importantes face à la superficie de la ville. L’ampleur du projet est déraisonnée,
- une répartition de 655 logements avec des activités sont envisagés en îlots formant un quadrillage de la zone d’activité. Cet agencement artificiel dénote face l’authenticité et le caractère du centre-ville.
J’émets donc un avis défavorable à ce projet.
Il doit y être annexé, merci
Quand on en arrive à justifier l’artificialisation de 24 hectares de terres sous prétexte de préserver une dette contractée par d’anciennes équipes, on se demande où sont passées les priorités. Ce n’est pas en bétonnant encore et encore que l’on va résoudre les problèmes économiques ou sociaux de la ville, ni en faisant des concessions pour contenter quelques intérêts particuliers au détriment du cadre de vie de tous les habitants.
Plutôt que de défendre un projet bancal qui ne profite qu’à quelques-uns, pourquoi ne pas se concentrer sur des solutions vraiment bénéfiques pour Pézenas ? Des solutions qui respectent notre patrimoine, notre environnement et notre qualité de vie. C’est ce que les habitants attendent, et non des justifications alambiquées pour préserver des arrangements financiers.
Il est temps de penser aux générations futures et de sortir de cette logique court-termiste qui n’apporte que des nuisances supplémentaires. Le rôle des élus est de servir l’intérêt général, pas de défendre des projets qui ne font qu’aggraver les difficultés de notre ville
Je suis contre ce projet.
« le député de la 8éme circonscription intervient sur un sujet qui n’est pas dans son territoire. Il pourrait expliquer ce qu’il a fait depuis 2017 pour trouver les 5 millions d’euros qui aurait permis à la ville de se désengager? A-t-il déposé des amendements pour que les villes qui ont beaucoup de charges de centralité soient mieux aidées ?
il est extrêmement difficile de se loger, les gens qui pointe les logements vacants du centre ville se mettent le doigt dans l'oeil, ils n'ont pas vecu le confinement dans un appartement sans extérieur....Les gens pendant cette période sanitaire sombre ont beaucoup promené dans ce coin de verdure de Pézenas et tous le monde s' est aperçu que toute cette campagne n'est que des terrains en jachère . Personne n' a une activité agricole sur ces terrains et c' est bien pour une raison.
Les gens qui se cache derrière la volonté de faire de l'agriculture sur ces parcelles sont des gens avec de grandes idées mais qui n' ont jamais tenu une pioche de leur vie .
Les inondations vaste sujet , à l'heure ou la ressource en eau est une des causes mondiales de préoccupations , se dire que la municipalité va construire un quartier sans avoir pris conscience de ce problème relève de l'idiotie .
Expert qui sont sans doute un peu plus compètent en matière d' hydrologie et d'impact environnemental que le clampin du coin .
La jeune génération dont je fais partie béni ce genre de projet soucieuse de l'environnement , qui permettrait aux jeunes de vivre dans un quartier pensé de manière raisonnable , tous en bénéficiant es installations d' une ville de moyenne abondance .
alors oui , Je suis favorable a ce que Pézenas réalise ce projet qui prend en compte l' écologie , qui puisse permettre a des familles avec des enfants de venir vivre à Pézenas
1) 24 hectares de terre agricole bétonné qui n'absorbera plus une partie des précipitations, accentuant grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus! Ce qui serait une perte immense pour nos nappes phréatiques.
2) L'eau. Compte tenu de la sécheresse croissante et d'une ressource en eau déjà en tension, pourrait on fournir de l'eau à l'ensemble de la population piscénoise ?
3) Le trafic routier. Comment pouvons nous absorbés 17% du trafic routier supplémentaire notamment sur le pont de Peyne?
4) La création d'une halle Gourmande de 2500 m2, comme il est prévu à Saint Christol, va porter un grand coup aux commerces du centre ville.
5) Logement. N'y a-t-il pas déjà 700 logements inoccupés dans le cœur de ville ? Alors que ce projet en prévoit 655 ? Ou est la logique ?
6) La station d'épuration pour traiter les eaux usées serait elle suffisante ? Et si elle ne l'était pas ?
7) Pourquoi l'avis négatif du CONSEIL CITOYEN de la TRANSITION ECOLOGIQUE de la ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
C’est d’abord un projet du siècle dernier, déjà contre-indiqué à l’époque. C’est un vieux projet du temps où certain·e·s pouvaient encore ignorer le bouleversement climatique en cours. L’ancien Maire, pendant 25 ans, Monsieur Alain Vogel Singer se proposait de transformer la campagne de Saint Christol en un « éco-quartier » (!) ; déjà, comment bétonner avec trois touches de cosmétiques. Annoncé et présenté plusieurs fois par lui. A chaque campagne électorale, il en était question puis, après l’élection le projet retournait à ses cartons. Pourquoi ? Un certain nombre de gens se sont mobilisés pour lutter contre les différentes versions de ce funeste projet : j’ai l’honneur d’en faire partie depuis 2007 ; les candidats de la liste « Osons Pézenas » conduite par M. Armand Rivière, malheureusement battue en 2014 ; l’opposition municipale à M. Vogel, conduite par Monsieur Armand Rivière durant la mandature qui s’est déroulée entre 2014 et 2020 ; dans les journaux de l’association « Osons Pézenas » dont M. Armand Rivière était Président ( et moi-même l’un des membres du Bureau ) distribués dans les boîtes aux lettres des habitant·e·s ; dans plusieurs interventions en Conseil Municipal de l’opposition, dont M. Armand Rivière leader du groupe ; la Société de Protection de la Nature ; plusieurs Partis politiques ; l’association « Pézenas la Plurielle » ; j’en oublie ; et nombre de citoyen·e·s… Pourquoi M. Vogel, annonçait-il l’artificialisation de la campagne de Saint Christol pour en faire un nouveau village et n’en faisait rien une fois élu ? A l’époque, il fût dit : donner l’impression qu’il avait une vision de Pézenas et peut-être seulement une pratique velléitaire. Mais on peut aussi se demander si, élection faite, il ne reculait pas devant les conséquences écologiques et surtout le risque pénal pour le Maire qui conduirait un tel projet pouvant entraîner des inondations inédites. La question reste ouverte, mais cela appartient à l’Histoire locale.
C’est un projet qui commence par tourner le dos à la Démocratie. Pourquoi et comment peut-on être radicalement défavorable à un projet quand on est dans l’opposition durant plus de six ans de façon argumentée et, soudainement élu·e·s, enfourcher ce projet décrié pour tenter de le réaliser ? Quand on sait que les citoyen·ne·s se plaignent que les élu·e·s font parfois l’inverse de ce qu’ils ou elles annoncent et que cela renforce l’abstention aux élections… La réponse n’est pas dans la satisfaction offerte à l’ancien Maire en Conseil municipal ( il ne s’en prive pas ) et dans ses tribunes. Je ne crois pas non plus à « Saul de Tarse sur le chemin de Damas » comme il me fut dit un jour dans un sourire par une Piscénoise. Personnellement, ayant suivi Armand Rivière depuis 2006, élu sur sa liste en 2020, j’ai d’abord essayé de convaincre puis, devant ce renversement confirmé, j’ai préféré démissionner du Conseil Municipal en m’expliquant. Avec regret et tristesse. Etre élu pour faire l’inverse de ce qu’on a dit dans l’opposition, pas ça, pas moi.
C’est un projet qui renie un engagement pourtant formel de campagne électorale. En plus de ce qui précède, rappelons qu’il était écrit dans le programme déposé dans toutes les boîtes aux lettres de Pézenas, sous l’une des rubriques « Dès les premiers mois », « Une étude de définition urbaine pour un développement durable et harmonieux de Pézenas ». On attend toujours après quatre ans de mandature. Sl l’engagement avait été tenu, cela aurait permis de ne pas foncer tête baissée dans les papiers de l’ancien Maire mais au contraire d’avoir une étude globale sérieuse du dossier et un partage démocratique avec la Population ( avantages/inconvéniens, budget de la poursuite/budget d’un autre projet qui soit respectueux des évolutions environnementales et favorable à l’autonomie alimentaire de Pézenas, partenariats possibles,… ).
C’est un projet qui ne booste pas la Démocratie. Le début de l’enquête publique n’a pas été précédé d’une réunion publique, comme c’est le cas quand on a le soucis de l’information des citoyen·ne·s, afin que le maximum de la population soit bien informée et se prononce en connaissance de cause. Les Elu·e·s auraient présenté l’état du projet à l’été 2024, c’est à dire au moment où les personnes intéressées sont amenées à donner leur avis, suivi d’un échange avec les présente·e·s : cela aurait favorisé l’information des picénois·e·s dont beaucoup encore - puisque la Mairie est d’une très grande discrétion sur le sujet - croient que cela ne se fera pas puisque l’ancienne opposition devenue majoritaire était contre. Du temps du Maire précédent et de l’actuel Maire, il y a eu jadis des réunions d’information, mais même sous le pont de Peyne il est passé beaucoup d’eau depuis la dernière version présentée et largement contestée ( 6 octobre 2022 si je ne me trompe ) Pourquoi cette discrétion à l’ouverture de l’enquête publique ? Trop risqué pour le projet ? On peut émettre l’hypothèse, non ?
C’est un projet qui limite la Démocratie. La durée de l’enquête ne peut être inférieure à trente jours ( cf. articles L. 123-9 et L. 123-17 et R. 123-6 du code de l’environnement ). Le choix a été : pas un jour de plus. La Démocratie réduite à minima, alors même qu’il s’agit d’un projet déterminant, structurant, fiscal pour Pézenas avec des conséquences sur plus d’un siècle.
C’est un projet qui nie la Démocratie qui était, avec l’écologie (!) l’un des quatre mots fétiches de la liste « Le Printemps de Pézenas » : « solidaire, écologique, créatif et citoyen ». La motion d’opposition au projet adoptée par 13 membres des Collèges Associations et Citoyens du Conseil de transition écologique de la ville de Pézenas en juillet 2022 a toujours été cachée. En a-t-on débatu en Conseil municipal ? Est-il sur le site de la Ville ? A-t-il été communiqué dans un journal de la Municipalité régulièrement distribué dans les boîtes aux lettres ? Est-il dans le dossier de l’enquête publique ? Que nenni : cet avis qui ne plait pas est systématiquement caché et toujours à la date de ce mercredi 25 septembre. La création d’une telle Commission mêlant élu·e·s, citoyen·ne·s et associations par la majorité actuelle pouvait être saluée positivement mais s’il s’agit de l’invisibiliser sytématiquement quand elle ne partage pas les vues de la majorité municipale… Quand on a peur d’informer, est-ce qu’on est fier et confiant en son projet ?
Des Elu.e.s de la majorité ont donné un avis… favorable ! Elles et ils en ont bien le droit mais on ne les imagine pas aller contre leurs votes et ce que cela emporte en exprimant une autre opinion, même celles et ceux qui ont combattu l’artificialisation de Saint Christol du temps de l’ancien Maire.
Des Maires de villages alentours qui ignorent la réalité piscénoise incitent Pézenas à construire un nouveau village de logements chez nous plutôt que chez eux dans des dépositions favorables au prix d’artificialisation d’une autre époque : le « not in my Backyard » bien connu. Quand ils s’aventurent sur le manque de logements ( parfois en se disant spécialiste du logement ), ignorent-ils le travail de l’INSEE qui comptabilise les logements et villas vides ( 930 à Pézenas au dernier recensement ) ? Au hasard, un Maire écrit ( c’est sa seule phrase ) « Les logements sociaux sont un véritable besoin pour nos concitoyens pour avoir des logements dignes ». D’abord, il ne semble pas qu’il n’y aura que des logements sociaux à Saint Christol ; à moins que ce Maire éloigné soit mieux informé que les citoyen·ne·s Piscénois·e·s ; mais cela ne semble pas le cas. Que ces Maires agissent dans leur village ! Ignorent-ils qu’avec les problèmes d’approvisionnement en eau, si Saint Christol se faisait, ils ne pourraient pas longtemps encore accorder des permis de construire dans leur village ? Il y a déjà eu des refus préfectoraux dans ce sens. Cherchent-ils un bon prétexte pour ne plus construire sur leur commune ? On s’interroge. « Not in my Backyard ». Les conseilleurs ne sont pas les payeurs : ce n’est pas eux qui assumeront l’essentiel des inconvénients du projet d’urbanisation de la campagne de Saint Christol, sauf peut-être les pénuries d’eau et pour les Maires en aval de l’Hérault les conséquences aggravées des inondations à Pézenas ( et encore plus fortes quand le marin soufflera )…
Mention spéciale au Conseiller général et ancien Premier Adjoint de M. Gilles D’Ettore. Les conseils du successeur de Monsieur Gilles D’Ettore pour notre ville, quand on sait ce qu’est devenu le centre ville d’Agde ferait rire si ce n’était tragique. Quand on sait ce qu’étaient, par exemple, la rue de l’Amour et la rue Jean Roger au coeur d’Agde, les conseils de l’ancien Premier adjoint d’Agde incitent à faire l’exact inverse de ce qu’il vient nous conseiller ! Monsieur l’Enquêteur public, si vous le pouvez, allez y faire un tour pour vous rendre compte par vous-même.
La supercherie des logements manquant, très largement utilisée. C’est souvent le seul vrai argument avancé. Cela fera plaisir à la Mairie et au Promoteur mais rappelons une fois encore que, selon le dernier recensement de l’INSEE, il y avait 930 logements et villas vides en 2021. Ils et elles ne se sont pas toutes et tous remplis depuis. Un nombre conséquent ( mais pas toutes et tous ) sont à rénover. Beaucoup de ses logements se situent en centre ville. Cela ne se fait pas en claquant des doigts, mais plus tard on s’y mettra… Et c’est moins fun : pas de ruban avec décorum à organiser. De plus, tout le temps, l’énergie et les impôts consacrés à Saint Christol ne pourront l’être en centre ville qui est fragile par ses habitations et ses commerces. Il ne suffit pas de glorifier Pézenas et son centre historique : sa beauté et sa vitalité dépendent largement du fait que des gens y habitent et y consomment. Si rénover prend du temps, construire Saint Christol en plusieurs tranches ne se ferait pas en moins de 10 ans… si tout se vendait au fur et à mesure, permettant de construire une tranche quand la précédente est presque totalement vendue : c’est une loi du commerce assez compréhensible. Des personnes espèrent des logements à Saint Christol : à quel prix, le savent-ils/elles ? Ce ne sera pas accessible à tout le monde, loin de là quand on connait la situation économique de Pézenas et de ses habitant·e·s. Alors, entre rénover le centre ville pour qu’il ne devienne pas celui de Florensac ou d’Agde ( sans parler de plus petits villages ) et créer ex nihilo un nouveau village à distance de Pézenas : un choix est nécessaire ( y compris budgétairement ). Comme beaucoup et comme « Le Printemps de Pézenas » conduit par Armand Rivière avant d’être élu, choisissons le centre ville. Et je ne dit pas cela que parce que j’y habite, mais parce que j’ai choisi Pézenas pour ce que l’histoire en a fait. Nous pouvons toutes et tous remercier celles et ceux qui nous ont précédés et ont fait ce qu’elle est : son centre ville et… ses utiles maraîchages qui vont redevenir encore plus utiles. A quoi bon, sacrifier Pézenas pour un nouveau village comme il y en a déjà autour de Pézenas et qui n’aura pas grand chose à voir avec elle ( j’y reviendrai plus bas ).
La fourberie ( nous sommes la Cité de Molière ! ) du village éloigné de Saint Christol qui renforcerait l’attractivité de Pézenas. La beauté, la centralité, l’attractivité du coeur historique de Pézenas sont parfois convoqués pour défendre Saint Christol. Mais en quoi un village éloigné de Pézenas relié par la nationale et séparé par une zone inondable, avec une Halle gourmande de 1 700 mètres carrés renforcerait-elle le coeur de Pézenas ? Moins qu’un habitant de Castelnau de Guers où il n’y a qu’une petite supérette, un coiffeur, un café et un tabac. Et on pourrait étendre la liste des villages qui ont commercialement plus besoin de Pézenas que ce potentiel nouveau village ; et même s’ils ont d’autres destinations possibles. Au contraire, cela affaiblirait le centre ville : peut-être un peu des habitants qui quitteraient le centre-ville pour ce village ( mais peu, vu ce que sont devenus les prix du foncier et de la construction ) ; surtout l’impossibilité financière dans laquelle se trouvera la Ville qui devra aménager tout ce qui devra relier la ville et le village ( eau, eaux usées, cheminement piétonnier et cycliste, puis Poste de Police municipale, puis Ecole, puis Mairie annexe avec son Bureau d’Aide Sociale ?,… ). Et tout cela, alors que les impôts de Pézenas ( cela ne date pas de 2020 ) sont plus élevés que dans les villages alentours. Saint Christol amoindrirait le centre ville, d’abord parce que la ville ne pourra plus y financer grand chose.
Un grand nombre d’appréciations sont anonymes. On peut comprendre ( regretter mais comprendre ) que certaines personnes qui émettent un avis défavorable au projet du Maire préfèrent rester anonymes : ne pas déplaire au Maire en place pour une raison ou une autre, que ce soit réel ou non ( il ne s’agit pas de faire le moindre procès d’intention, mais des gens ont le droit de le craindre, ici ou ailleurs ). Par contre, on peut s’interroger sur les personnes anonymes quand il s’agit de faire plaisir au Maire en déposant un avis favorable ! Une certaine suspicion peut effleurer l’esprit, Monsieur le Commissaire enquêteur… Mais gageons que vous effectuerez les vérifications nécessaires. Parfois cet avis favorable n’est étayé d’aucune phrase, plus souvent d’une petite suite de mots ( « Avis favorable au projet », « Pour la croissance économique », « Unique, répond au besoin, très beau, « projet intéressant et dynamisant pour la région ». Comme l’a chanté le regretté piscénois Boby Lapointe « Comprend qui peut ». Souvent - qu’ils/elles veuillent bien m’excuser - des phrases bateaux qui pourraient servir à n’importe quel projet : peut-être ne suis-je pas objectif, ce sera à vous de les apprécier. Parfois même pas un seul mot d’explication.
Qui habiterait au village de Saint Christol ? Nous ne sommes plus il y a 30-40 ans, voire plus. Entre velléités ou espoir et réalité, que de déconvenues potentielles. Qui ? Quelques Piscénois·e·s qui vont quitter le centre ville ou un Hlm ? S’ils en ont les moyens, ce qui n’est pas gagné ( impôts identiques, prix élevé des terrains viabilisés, hausse du crédit, hausse du prix de la construction, éloignement de l’activité professionnelle et conséquences financières sur les déplacements professionnels et familiaux ). Quelques retraité·e·s qui iront s’y enfermer, s’ils en ont les moyens. Plutôt des gens qui travaillent à Béziers où l’emploi n’est pas florissant ou à Montpellier qui est tout de même à 60 km ? Qui peut imaginer qu’ils iraient faire leur courses en centre-ville ? D’évidence près de leur lieu de travail ou entre celui-ci et ce nouveau village, le reste dans la Halle gourmande de 1 700 m2 ( ou dans une autre présentation « un ensemble de commerces » équivalent pour masquer la totalité de leur surface ). Un samedi au marché où ils/elles trouveront à se garer, quelques jours comptés sur les doigts d’une main en centre ville un autre jour. Dépeupler le centre ville, ne plus avoir d’argent pour s’occuper du centre ville : voilà le résultat de ce que serait la création du village de Saint Christol si cela se réalisait. Et quant on voit, de ses yeux vus, l’état des trottoirs et des rues trouvés en 2020, il y a pourtant tant à faire au centre ville.
Plus de construction = plus d’habitants. Est-ce si sûr ? Pas prouvé en tous cas. Depuis 11 ans, plus de 7,2 hectares ont été artificialisés pour construire de nouveaux logements à Pézenas. Cela représente plus de 300 logements. ( https://artificialisation.developpement-durable.gouv.fr/... ). Or, dans le même temps, la population de Pézenas n'a pas augmenté. Elle a même régressé légèrement et la densité de population a diminué… En construisant de nouveaux logements, on n'augmente pas forcément la population de Pézenas. Certains se déplaceraient, d’autres fuiraient avec l’évolution négative du centre ville. Par contre, en créant ce village éloigné, on augmenterait les coûts associés.
La réalité c’est que Pézenas ne manque pas tant d’habitations que d’emplois : la vrai bataille dont a besoin Pézenas, ce n’est pas d’artificialiser une campagne où il fait bon se promener. Nous l’avons appréciée particulièrement pendant les confinements récents, mais combien de générations ont arpenté ses chemins, hier pour le travail, aujourd’hui pour la détente et la santé. Depuis des générations. Comment se fait-il que ce soit un néo-piscénois ( dont une Grande Mère est cependant née à Alignan du vent il y a 130 ans dans quelques jours ) qui doive défendre l’âme et l’avenir de Pézenas parfois face à des natifs de vielles familles piscénoises ( pas tous heureusement ! ). Comme le Monde, Pézenas ne nous appartient pas, il appartient à celles et ceux qui y vivront dans 20, 50, 100 ans et plus. Comme le dit l’un des personnages du film « La ferme des Bertrand » programmé cette année dans le cadre du « Pézenas des Idées » organisé par la municipalité ( 23/09 ) : « Nous ne sommes pas là pour dégrader » et « il faut préserver le foncier agricole ». C’est bien de programmer des films édifiants : c’est mieux d’agir pour valoriser en les écoutant. Notre bassin d’emploi est très mauvais : il est bien plus urgent de travailler cette question : commençons par ne pas supprimer des terres agricoles. Même s’il n’y a pas que cela à faire…
Soulignons qu’il ne s’agit pas d’un projet mineur qui pourrait être compensé ou revu à l’expérience. Il s’agit d’un projet dont la nocivité s’étendrait sur un siècle à minima. Bien sûr, surtout si l’on est un peu avancé dans la vie, on peut se dire : faisons plaisir à ce jeune Maire que je connais et « après moi, les mouches ». Si ce projet va à son terme - 650 logements et une halle gourmande de 1 700 m2 - nous en verrons les méfaits mais plus encore les générations futures nées et à naître. N’avons-nous aucune responsabilité parce que nous n’aurons pas à faire face aux calamités engendrées ? Vous même, Monsieur l’Enquêteur public, il vous faut mesurer la responsabilité qui sera la vôtre quand vous rendrez votre avis. N’y voyez ni un procès d’intention, ni à fortiori une menace. Voyez-y simplement la lourdeur de votre tâche et sa responsabilité devant les plus de 7 700 habitant·e·s actuels et celles et ceux qui nous suivront dans les nombreuses dizaines d’années qui viendront.
Les zélateurs anciens et les nouveaux convertis du projet de Saint Christol ont-ils/elles entendu parler des risques sur la ressource en eau ? Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, comment fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise dans quelques années ? Comment éviter les coupures d’eau avec les sécheresses annoncées ? Il ne suffit pas de remettre en état des tuyaux pour qu’il y ait moins de fuites. C’est très bien, mais si l’eau n’arrive pas… Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 1 500 ou 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ? Des gens constatent déjà que leur puits est sec. Sur ce sujet évident mais technique, je vous renvoie, Monsieur l’Enquêteur public, au rapport que nous avons déposé au nom du Collectif Pour Un Autre Projet Saint Christol et à l’avis déposé par Monsieur Olivier Hébrard, Docteur en Sciences de l’eau, spécialiste reconnu de ces questions. C’est une des raisons majeures contre ce projet écocide. Comment est-on sûr que ce projet n'entraînera pas, dans peu d’années, des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ? Déjà des projets trop consommateurs d’eau, notamment dans l’Hérault ont été finalement abandonnés, interdits. Les Maires de villages voisins venus au secours du Maire de Pézenas, ou leurs successeurs, seront bien marris quand arriveront les restrictions d’eau dans leurs villages. Il sera un peu tard et inutile de se mordre les doigts. Et celui de Pézenas itou. Ce ne serait pas la faute à pas de chance mais à mauvaise décision et à mauvais conseil.
Le bétonnage de la campagne Saint Christol n’absorberait plus une partie des précipitations, ce qui manquerait à la la nappe phréatique et accentuerait le manque de ressource en eau. Je me permets, là aussi de vous renvoyer au texte de M. Olivier Hébrad, bien plus scientifiquement compétent que moi ( même s’il m’a beaucoup appris comme à quelques autres membres du Collectif ). Je vous renvoie aussi au texte du Collectif Pour Un Autre Projet Saint Christol. Cette eau qui ne s’infiltrera pas, ira à la Peyne et à l’Hérault avant de rejoindre la Méditerranée : autant de perdu en eau potable mais pas pour les autres orages à venir. Deux inconvénients majeurs que ne subiraient pas que les habitant·e·s de Saint Christol.
Lors des gros orages qui vont se multiplier et s’amplifier, l’artificialisation de la campagne Saint Christol augmenterait les inondations dans les quartiers bas de Pézenas : sur une surface plus grande et avec plus de hauteur : sur les zones déjà classées inondables et celles en bordure de celles-ci. Bien sûr, il y aurait aussi des inondations sur place à Saint Christol ( on l’a vu au passage à niveau en 2019 ), quelques bassins de rétention n’y suffiraient pas. Il est à craindre, si ce projet voyait le jour, que cela ne fasse pas des citoyen·e·s satisfait·e·s ( euphémisme ). Et si malheur arrivait, on préfère être à notre place qu’à celle du Maire ayant décidé d’un tel projet ( le lui ayant dit dans son bureau en septembre 2020, je peux l’écrire ici, ne le souhaitant pas plus aujourd’hui qu’alors ). Croisons donc les doigts pour que… le projet ne se fasse pas. Et qui dit inondations à Pézenas, dit inondations aussi en aval de l’Hérault. Certains Maires qui se mêlent des affaires de Pézenas risquent de le regretter : parfois, les conseilleurs deviennent les payeurs.
24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois. Aujourd’hui, en situation de blocage des transports, l’autonomie alimentaire de Pézenas n’est que de quelques jours, les doigts des deux mains n’étant pas nécessaires, vraisemblablement pas même entièrement une seule. Ne pas prendre en compte cet aspect est irresponsable. Pouvoir se nourrir à proximité - de plus en plus en bio - dans les cantines scolaires, chez soi, dans les hôpitaux et cliniques, les Ehpad,… cela ne compterait pas ? Monsieur l’Enquêteur public, il ne s’agit pas seulement de construire ou non : il s’agit de se nourrir et c’est indispensable à la Vie, indispensable ! Vous repartirez chez vous, là où vous habitez, mais nous, quelques 7 800 habitant·e·s nous resterons là ( du moins, on l’espère ! ) et nous voulons pouvoir manger avec des produits de proximité, de qualité connue… pour vivre. Vivre. Bien sûr, Pézenas ne retrouvera pas tous ses maraîchages qui ont fait une part importante de sa richesse : il est trop tard. Ils/elles ne savaient pas. Mais nous, aujourd’hui, nous savons, personne ne peut l’ignorer quelqu’il/elle soit. D’autre part, il nous faut réduire notre impact carbonne : qui peut encore en 2024 l’ignorer ? Des lois existent même qui nous y obligent. Artificialiser Saint Christol est une aberration en terme de sécurité alimentaire aussi. Et, semble-t-il illégal…
La station d’épuration pour traiter les eaux usées de 1 500 ou 2 000 personnes supplémentaires serait-elle suffisante ? Il ne suffit pas de dire : pas de problème. Et si elle ne l’est pas, de combien faudrait-il augmenter des impôts déjà si élevés ? Ce n’est pas un détail financier. Certains parlent beaucoup du coût des terrains, mais Saint Christol, c’est aussi des coûts et plus élevés ( j’y viens ci-dessous ). Ceux-ci restent masqués par les zélateurs du Projet et donc ignorés de l’essentiel de la population.
L’argument massue des promoteurs du projet est « Il faut réaliser le projet Saint Christol pour sauver les finances de la ville ! » Quelle contre-vérité. La ville a été engagée à hauteur de 5,6 M € pour l'acquisition des terres agricoles. Mais il ne faut pas cacher le reste ; et le reste, c’est l’éléphant dans la pièce. Construire Saint Christol nécessitera 3,6 M € de taxe de compensation agricole et environnementale ( ce qui en dit long sur ce projet parfois présenté comme écologique : novlangue, au secours George Orwell ) + 1 M € pour le fonctionnement et la communication de la SEMOP + 15 M € pour la construction… Le coût global du projet Saint Christol est estimé à 30 M €. ( https://pourunautreprojetsaintchristol.org/.../depenses.pdf ). Excusez du peu. De plus, rien n'est prévu pour les mobilité douces et autres..., la station d’épuration, le pont de Peyne à renforcer, l’éclairage, peut-être des transports en commun nécessaires… Le projet de réalisation de Saint Christol sera un budget lourd pour la ville engagée à 40 M € dans la SEMOP dont elle ne maîtrise que 40 % alors que l’aménageur 60 % ( voyez qui fait la loi ). Pour rappel, la piscine Ô Pézenas 12 M € ; les travaux de l’avenue de Verdun 8 M € ; la renaturation de la Peyne 10 M € ; tous investissements que la ville n’assume pas seule. Où trouver l’argent ? La Commune est déjà endettée et dans une situation difficile du fait des gestions précédentes.
Comment pourrait être absorbé 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne qu’il faudrait alors très vraisemblablement renforcer ? Les embouteillages ne favoriseraient pas l’attractivité de Pézenas, bien au contraire… Or, soit, aucune école primaire ne serait construite à Saint Christol et les parents devraient amener leurs enfants à Pézenas, soit il faudrait construire une Ecole primaire sur place à la charge de la Commune. Quoiqu’il en soit, le problème demeurerait pour le secondaire.
La création d’une Halle Gourmande à Saint Christol ( 1 700 m2 ) nuira au commerce du centre ville qui est déjà fragile. Saint Christol ne serait pas une partie de Pézenas mais un nouveau village éloigné. Je l’ai évoqué plus haut. Rappelons simplement que beaucoup de commerces du centre ville sont réellement en situation fragile et qu’il ne faudrait pas beaucoup de déperdition de population en centre ville pour faire basculer des commerces les uns après les autres, comme des dominos. Tout à l’inverse, il faut repeupler le centre ville pour renforcer ses commerces. Attention fragile : la descente est plus facile, plus rapide et plus pérenne que la remontée. Nous avons tant de réalités malheureuses sous les yeux dans tant de villes et villages, donc aucune excuse. La priorité doit revenir à ce qui a été dit : le centre ville. L’époque des villes nouvelles et des villages nouveaux ex nihilo appartient à un passé qui est maintenant bien éloigné car il a montré ses défauts dans un contexte économique et écologique qui ne sont plus déjà ceux d’aujourd’hui. Je précise que je ne suis pas commerçant, ni aucun·e membre de ma famille.
N’oubliez pas les conséquences sur les Piscénoises et Piscénois mais aussi sur des populations environnantes en terme d’approvisionnement en eau tout autour et d’inondations en aval. N’oubliez pas non plus les conséquences financières qui devront être portées par les Piscénoises et Piscénois, mais aussi sur les habitant·e·s des autres Communes de l’actuelle Communauté d’Agglomération Hérault Méditerranée. Et plus si elle s’élargit… et la seule Commune de Pézenas si l’échelon des regroupements de Communes venait à disparaître comme certains Partis politiques l’ont dans leur programme. Cet aspect n’est pas mineur car le projet d’urbanisation de la campagne de Saint Christol va nécessiter des investissements coûteux qui vous ont été bien dissimulés comme à la population piscénoise.
Vouloir une ville de 10 000 habitants, pourquoi ? Quelques subventions légèrement plus élevées… mais pour plus de 2 000 habitants de plus… Donc plus de dépenses dans tous les secteurs. Et de deux, ou plutôt trois choses l’une :
Ou les habitant·e·s de Saint Christol restent à Saint Christol car, en plus de tous les commerces, ils auraient à minima une Mairie annexe avec services sociaux, une antenne de Police municipale, une école primaire, une crèche,… Tout cela à financer par la Ville pour l’essentiel. Plus coûteux qu’avantageux.
Ou des habitant·e·s de Saint Christol se rendent de temps en temps « à la Ville de Pézenas » ; outre les incidences sur la circulation et le parking qui ne sont déjà pas si faciles, particulièrement en certaines périodes, combien d’infrastructures deviendraient obsolètes car trop petites et nécessiteraient de nouvelles constructions ( Ecole de musique, salles de réunion et salles d’activités diverses, Maison du Peuple, cinéma,… ). Encore de nouveaux investissements à faire mais avec quel argent ?
En réalité, si ce projet se réalisait, il y aurait un mix des deux dont on ne peut prévoir les proportions qui seront découvertes au fil de l’eau. Encore des dépenses dont il est évident que la Ville ne pourrait assumer avant longtemps, entraînant des déceptions pour les nouveaux/nouvelles habitant·e·s à moins qu’ils/elles ne viennent pas, ayant compris qu’ils n’habiteraient pas Pézenas mais une sorte de village nouveau ne présentant pas plus d’avantage que d’autres alentours. Aller au bout de ce projet de Saint Christol serait une fuite en avant sociale, politique et financière. Un naufrage inéluctable pour quelque rêve de grandeur. Et je ne dis rien si le projet était commencé, une première tranche de travaux effectuée mais pas suffisamment d’acheteurs pour continuer. Une campagne bousillée pour rien.
Vu les difficultés et l'impact économique sur l'avenue de Verdun en travaux pour 2 ans ( que je ne conteste pas, c’était indispensable de revoir cette avenue et le projet qui a été montré semble satisfaisant ), rajouter plus de 5 à 10 ans de travaux au nord de Pézenas sur le même axe dont les travaux d’aménagement doivent être prolongés de façon phasée sur tout l’axe traversant Pézenas, bon courage pour l’affronter vis à vis de nos concitoyen·ne·s ! Mais autant est utile à court/moyen/long terme la réfection de l’axe qui traverse Pézenas en l’adaptant à la vie actuelle et future ( moins de voitures, moins de vitesse, plus de circulation en vélo et à pied, plus d’ombre ), autant est contradictoire et néfaste la création d’un village en pleine campagne sur des terres agricoles.
Le SCoT du biterrois est-il écrit en encre sympathique ? Sauf erreur, il prévoit pour Pézenas 2 hectares d’artificialisation. Après l’urbanisation du terrain de la Distillerie, avec ce qui se construit en bordure de Pézenas ( quartier de la gendarmerie, quartier des pompiers, quartier de la cave coopérative,… ), on ne doit pas être loin des 2 hectares ( voire déjà un peu au delà ? ). Le projet de Saint Christol est donc en contradiction avec le Schéma de Cohérence Territoriale du Biterrois. On ne devrait même plus discuter du projet de village sur les terres agricoles de Pézenas et envoyer ce projet aux poubelles des projets heureusement abandonnés de Pézenas.
Il faut dire un mot du pauvre Lézard ocellé, espèce protégée. Il parait qu’on lui octroie ailleurs, un nouvel espace. A-t-on prévu de lui proposer d’y aller en bus, en charrette, par téléportation ? Ce monde est-il sérieux ?
On nous dit que le nouveau projet Saint Christol est un projet écologique. Le précédent Maire disait la même chose et l’on en riait jaune. Oh la belle novlangue : au secours Orwell. Si c'était vrai :
Le conseil National de la Protection de la Nature n'aurait pas émis un avis négatif sur le sujet : https://pourunautreprojetsaintchristol.org/.../DOCS/CNPN.pdf
Le Conseil Citoyen pour la Transition Ecologique de Pézenas n'aurait pas émis un avis négatif par des groupes Citoyens et Associations : https://pourunautreprojetsaintchristol.org/.../AVIS-CCTE.pdf
Le projet ne serait pas taxé à hauteur de 3,6 M € pour une compensation écologique de destruction de la biodiversité et de l’environnement : https://pourunautreprojetsaintchristol.org/.../depenses.pdf
Non, le projet Saint Christol n'est pas écologique, il est écocidaire : il détruirait des écosystèmes, des terres agricoles et des vestiges archéologiques.
En date du mercredi 25 septembre 2024 plus de 4 200 personnes ont signé la pétition contre ce projet d’urbanisation de la campagne de Saint Christol à Pézenas, certifié par GreenVoice ( https://agir.greenvoice.fr/petitions/stop-au-projet-de-betonnisation-saint-christol-de-pezenas ). Pour une ville qui ne compte pas 8 000 habitant·e·s, ce n’est pas rien !
Vous constaterez combien de contributions très argumentées s’opposent au projet écocidaire de Saint Christol ( celle du Collectif Pour Un Autre Projet Saint Christol, celle de Monsieur Olivier Hébrad et tant et tant d’autres ), faisant suite à une opposition de près de vingt ans, le projet actuel ne bénéficiant sur ses prédécesseurs qu’un peu d’habile cosmétique ( il faut savoir reconnaître les talents ). Qu’il me soit permis - sans être en rien désobligeant - une question : combien d’avis favorables - que je respecte évidemment - présentent de telles charpentes argumentées sur des faits ?
Sans avoir besoin d’en reprendre toutes les parties, je précise que j’approuve le texte du Collectif Pour Un Autre Projet Saint Christol dont je fais partie et qui est un document précis et technique.
Au vu des premières lectures, je me permets de faire remarquer que les avis 16, 51, 54, 59 à 61 sont notés "Favorable", alors que le contenu est très manifestement « Défavorable". De plus, l'avis 52, noté "Favorable", se résume en un mot : « test ». Peut-être y en a-t-il d’autres ensuite. Cela modifie le résultat final : 6 favorables en moins et 6 défavorables en plus, cela fait une différence de 12. Il y en a peut-être d’autres, n’ayant pas tout lu… Je ne doute pas que vous y veillez et y veillerai, Monsieur le Commissaire enquêteur. Il y a aussi de messages identiques publiés plusieurs fois par la même personne : cela ne doit pas être intentionnel, mais cela devrait, me semble-t-il être rectifié. Nous mesurons l’ampleur de votre tâche et son enjeu.
Une personne a posé plusieurs avis ( parfois identiques ) en se présentant comme LFI, se disant favorable et s’exprimant d’une façon inadéquate ( euphémisme ). Elle est peut-être membre d’une association dont les initiales sont celles-là mais, vérifications faites, aucunement membre de La France Insoumise. On peut s’interroger sur cette confusion qui est troublante et laisse pantois. D’ailleurs La France Insoumise de Pézenas a déposé un avis défavorable tout à fait circonstancié ( numéro 523 ). Vous trouverez aussi celui du Député de l’Hérault LFI-NFP Sylvain Carrière au numéro 815.
Terminons-en en revenant à la démocratie, car une enquête publique fait partie de notre environnement démocratique ( même quand elle arrive dans les circonstances vues plus haut ). En 2020, la liste « Le Printemps de Pézenas » conduite par M. Armand Rivière a fait 59,23 % des suffrages exprimés : c’est à lui qu’est revenu logiquement et sans contestation de quiconque la tâche et l’honneur de conduire la Ville jusqu’en 2026. Alors que la Commission d’enquête va s’achever dans quelques instants, les opinions défavorables déposées sur le site représentent les deux tiers des avis, précisément 65,63 % des opinions exprimées au moment où je termine mon avis. Qu’en conclure ?
Veuillez agréer, Monsieur l’Enquêteur public, mes respectueuses salutation.
Patrick Delbac
Piscénois depuis 24 ans
Je suis absolument contre.
Merci d'en tenir compte.
Monsieur le Commissaire enquêteur,
Je souhaite vous adresser cette contribution car il me semble que certaines interventions au cours de cette enquête publique s’adonnent à un mal devenu légion dans la vie publique : celui des faits alternatifs.
Nos engagements de campagne
Par exemple, certains messages font référence à la campagne municipale de mars et juin 2020 ainsi qu’à la période où l’actuel Maire siégeait dans la minorité municipale (2014-2020).
Ainsi peut-on lire dans un message « Dernier point et sans doute pas le moins important : lorsque cette équipe municipale avait fait campagne contre l’ancienne majorité qui portait ce projet, elle s’était engagée à y mettre fin. »
Or, le programme de la liste « Le Printemps de Pézenas » était clair : « Un projet Saint-Christol, tant que faire se peut, repensé : sport, bien être, santé, autonomie alimentaire, énergie positive… ». Si l’engagement politique a un sens c’est effectivement celui des responsabilités.
Chacun aura pu noter que dans la campagne électorale de 2020, Armand Rivière a précisé que la promesse ne pouvait pas être la même qu’en 2014 car les enjeux financiers et juridiques n’étaient plus les mêmes. En 2014, la liste « Osons Pézenas ! » conduite par Armand Rivière s’était inclinée de 120 voix.
Durant 6 années, au Conseil municipal, il n’aura eu de cesse de rappeler au Maire en place qu’il devait se soucier de la « dette » Saint-Christol qui grossissait et qui devait être honoré en 2019. Arrivée à cette échéance, la majorité d’alors a dû trouver une solution, celle de la SEMOP. D’ailleurs, lors de la création de celle-ci, au Conseil municipal du 31 juillet 2019, il indiquait, selon le procès-verbal, « Ce soir, on rentre dans un carcan qui coûtera cher à la Ville si elle veut sortir ». Midi Libre reprenait un extrait de son intervention selon lequel « au pied du mur, vous liez les pieds et les poings de la Ville ».
Personne ne peut donc légitiment écrire qu’il n’avait pas averti qu’il faudrait assumer cette responsabilité si une nouvelle équipe majoritaire arrivait aux responsabilités.
J’ajouterais que, pour ne pas arriver à ce point-là, nous avons, durant 6 années, régulièrement sollicité le contrôle de légalité et que, en ne donnant pas suite, il a, d’une certaine manière avalisé ce projet. De même, nous avions pris la décision de former un recours en justice contre la délibération du Conseil municipal de Pézenas du 10 décembre 2015 approuvant le plan local d’urbanisme de la commune et nous avons été débouté le 5 août 2019 par le Tribunal administratif de Montpellier.
La « fausse » lettre du Ministre de la transition écologique
Plusieurs contributions, dont celle du collectif « Pour un autre projet Saint-Christol », font référence à une prétendue lettre de Monsieur Christophe Béchu, Ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires. Or, cette lettre n’a jamais existé.
En effet, le 17 mai 2023, Monsieur le Maire a été destinataire d’une lettre, relativement brève, de la Cheffe de Cabinet du Ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires à laquelle il a répondu en date du 30 juin 2023. Cette lettre nous relaye un courrier d’un administré piscénois, Monsieur R. opposé au projet Saint-Christol.
Au cours du mois de juillet, Monsieur le Maire reçoit des premiers courriers de la part d’opposants au projet, ils font référence à une prise de position du Ministre de la Transition écologique et de la cohésion des territoires. Il s’aperçoit alors que la Cheffe de Cabinet du Ministre a adressé une réponse à Monsieur Rémy. Réponse qui est plus détaillée et qui ne lui a pas été adressée en copie.
Pour autant, cette réponse est généraliste et ne se prononce pas spécifiquement sur le projet Saint-Christol. Pourtant, c’est cette réponse que les opposants considèrent comme une position du Ministre sur le projet. Ils estiment également que le Ministre aurait demandé à la ville un examen attentif à ce sujet, ce qui n’est pas non plus le cas.
Monsieur le Maire fait alors le choix d’écrire au Ministre et au Préfet pour leur faire état de cette situation. En retour, des courriers rectificatifs du Ministère seront adressés précisant « que le rappel de la position de l’Etat sur le ZAN, en tant que politique publique d’aménagement, ne seurait préjuger d’une quelconque prise de position sur le projet particulier de Pézenas », que « chaque situation doit être appréciée en tenant compte des spécificités de chaque territoire et de chaque projet » et que « le gouvernement défend une approche pragmatique du sujet en lien étroit avec les collectivités locales. » Etrangement, les opposant n’ont pas fait état de cette clarification.
Cela dénote d’un arrangement avec la vérité que nous avons pu également observer lors d’une demande rendez-vous adressé aux services et que j’ai honorée avec Franck Reiff. Lors de ce rendez-vous, les opposants du collectif avaient appelé à un rassemblement devant la Mairie où ils étaient peu nombreux et ont, dans un article dans Midi Libre, expliqué que ce rendez-vous était à notre demande.
Plus scandaleux, les courriers reçus en Mairie ont donné lieu à des réponses de la part du Maire à chaque personne. Or, en retour, une personne est venue en Mairie signaler qu’elle ne nous avait jamais écrit, son courrier vous sera remis en main propre.
Plus scandaleux, encore, les échanges mails dont la ville a été destinataire par la suite d’un envoi malencontreux d’un membre du collectif pour élaborer leur stratégie d’envoi d’un courrier type. Dans un mail, ce membre du collectif, maladroit en informatique, indique « Vont-ils se sentir harcelés?.... C'est probable, mais c'est le jeu de la saturation.... Ils doivent "exploser" psychologiquement. » Un autre poursuit : « Harcelés ? Les pauvres ! ». Il s’agit de Messieurs Ravenet et Saldana qui ont contribué à cette enquête publique et semblent avoir une conception particulière du rôle des élus et du débat démocratique.
L’avis du Conseil citoyen de la Transition écologique
Probablement par dérive complotiste, par art du « copié-collé », ou par un peu des deux, un certain nombre de contributions pose cette question « Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a-t-il pas été pris en compte ? » ou font référence à cet avis.
Le Conseil citoyen de Transition écologique a été créé par cette équipe municipale en fin d’année 2021, au moment où nous ouvrions une période de concertation car nous avions fait le choix d’inscrire le projet Saint-Christol dans une procédure publique de ZAC. A la demande du Maire, nous avons présenté le travail réalisé depuis 18 mois sur ce projet et les perspectives à venir. Il n’y avait donc pas de saisine pour avis mais bien pour information.
Nous sommes revenus, chaque fois que de besoin, apporter les informations que le Conseil a souhaité. Il a été libre, pour deux de ses collèges, de rédiger un avis à l’attention du Préfet de Département et de le faire savoir, sans que cela ne constitue une pièce légale à fournir lors de l’enquête publique.
Par contre, nous pouvons regretter que lors de la réunion du 14 mars 2022, il n’y ait eu aucune proposition d’aménagements et aucune suite donnée, de la part des membres qui ont pris l’initiative d’un avis, à nos propositions de travail, en particulier sur le futur espace pédagogique.
A noter que l’avis ne comportait aucune proposition, dès-lors comment le suivre ? Et qu’il n’était pas signé, lors de son envoi au Préfet, de l’ensemble des membres de ces deux collèges du dit Conseil.
La transparence
Certaines contributions regrettent une absence de transparence. Rappelons que ce projet, qui a connu différentes superficies, démographies et densité, date des années 2000 et que les municipalités précédentes ont mené des réunions et ateliers dont il leur appartiendrait de défendre la teneur.
Durant ces mandats, les minorités municipales ont régulièrement écrit, communiqué et distribué sur le sujet pour information.
Durant ces mandats également, différentes délibérations et documents d’urbanisme ont été adoptés et incluaient Saint-Christol.
Depuis juillet 2020, nous avons ouvert une période de concertation pour inscrire ce projet dans une procédure de ZAC. Elle a notamment donné lieu à une réunion publique où différents techniciens ont pu répondre aux questions posées et que certains posent à nouveau durant cette enquête publique. Lors de cette concertation, Monsieur le Maire avait même souhaité, à la suite que la proposition ait été formulée en réunion publique, qu’une réunion sur site ait lieu.
Sur site aussi, une balade de quartier organisée par la ville a eu lieu à l’automne 2023. Dans différentes interventions et réunions (vœux, accueil des nouveaux arrivants, bilans de mandat, présentation du budget…) le sujet a été évoqué. Différents articles dans le journal municipal et dans Midi Libre ont été publiés. Dans Midi Libre, même les opposants se sont exprimés et ils ont aussi contribué à la publicité du projet en distribuant, en se réunissant et en manifestant. Le site internet de la commune inclut une partie Saint-Christol et la Ville a fait le choix d’afficher la tenue de cette enquête publique dans davantage d’endroits que ce qui pouvait être légalement souhaité.
La dette contractée auprès de l’Etablissement public foncier d’Occitanie (EPF)
Une personne contribuant à l’enquête publique écrit : « Est-on prêt à détruire des espaces naturels, riches de biodiversité, nécessaires à l'avenir de nos enfants, dans un contexte de dérèglement climatique majeur, pour rembourser des dettes à une autre collectivité territoriale, la Région Occitanie ????? ». Il s’agit là d’une bévue majeure pour une personne engagée en politique et candidate à différentes élections. La dette contractée par la Ville de Pézenas depuis 2011 l’est auprès de l’Etablissement public foncier d’Occitanie qui n’est en rien une collectivité territoriale, pas même celle de la Région Occitanie.
L’établissement public foncier d'Occitanie, est un établissement à caractère industriel et commercial (EPIC), dédié à une mission de service public et financé par des fonds publics, créé par le décret n°2008-670 du 2 juillet 2008. Créé par décret le 2 juillet 2008, il est administré par un conseil de 55 membres et un bureau de 12 membres rassemblant élus régionaux, départementaux, conseillers communautaires et représentants de l’État
Cette méprise fait probablement référence à l’argument plusieurs fois répété des opposants selon lequel la Communauté d’agglomération, le Département et la Région devaient aider Pézenas à payer cette dette. Sur quelle base légale ? Selon quel programme d’aides ? Sur quel projet ? Les collectivités ne sont pas exemptées de répondre aux lois et codes en vigueur.
Dans une optique proche, une personne écrit : « La mairie n’a qu’à convaincre l’Etat de rembourser les 5 millions d’euros du contribuable investis pour le démarrage du projet ». Peut-être l’Etat sera convaincu par sa demande ? Il faudra tout de même préciser que ces 5 millions d’euros étaient pour l’achat des terrains et qu’ils représentent davantage pour arriver au démarrage du projet.
Les mauvaises références géographiques ou de projet
Dans de nombreuses contributions les lieux sont cités de manière « mécanique » sans forcément qu’ils soient ceux employés à Pézenas ou même les noms réels : allée de Castelnau (pour avenue ?), campagne Saint-Christol (pour quartier ou pour domaine ?), route venant de Montagnac…
Ailleurs, une personne indique « La perte des champs alentours, utilisés pour servir de terrain à ces bâtiments qui dénatureront le charmant aspect de la campagne de Béziers », une autre « votre grand projet urbain dans la commune de Saint Christol » ou « Je suis contre cette usine ». Cela relève, au mieux, d’une certaine méconnaissance du dossier ou, au pire, d’un désintérêt pour Pézenas, son Histoire et son avenir.
Tout comme cette personne qui évoque la « bétonnisation des seuls espaces naturels encore disponibles sur le commune ». La superficie totale de Pézenas est de 2974 hectares, la superficie construite ou mobilisable doit avoisiner les 317 hectares (10,66% de la superficie totale), celle des surfaces agricoles les 2117 hectares et celle des zones naturelles les 500 hectares. Les 24 hectares du projet Saint-Christol, dont seulement 13 hectares constituent une perte réelle de foncier agricole tel que l’a établie l’Etude Préalable Agricole validée par la CDPENAF et le Préfet de l’Hérault, ne représentent donc pas les seuls espaces naturels ou agricoles de la commune. Preuve en est, la Ville a agi pour remettre 14 hectares en culture à l’Auribelle !
Les logements vacants
L’affirmation qui revient régulièrement dans les contributions défavorables est qu’il y aurait 700 logements vacants à Pézenas. Reste à savoir si la « vacance » au sens de l’INSEE ne serait pas une photographie avec des logements habitables mais vides au moment du recensement (logements saisonniers, en train d’être vendus ou loués, etc.) ?
L’observatoire fiscal de la Communauté d’agglomération a, en 2022, adressé un questionnaire à 797 797 logements (maisons et appartements) estimés vacants. In fine, seulement 232 étaient réellement vacants. Ce nombre était de 344 en 2020.
La vacance résulte donc aussi de la définition appliquée et de la finesse de l’expertise mise en œuvre. Il est à noter que la Communauté d’agglomération souhaite, dans le futur, travailler davantage ces sujets notamment avec des indications spatialisées.
Je veux aussi vous préciser que la majorité municipale actuelle a fait le choix d’instituer une taxation sur les logements vacants (taxe d’habitation sur les logements vacants – THLV) afin d’inciter les propriétaires à investir, à vendre ou à louer.
Les affirmations pour faire peur
Certaines contributions répètent le nombre de 2 000 habitants supplémentaires. Nous estimations portent aujourd’hui autour de 1200 habitants.
Certaines contributions évoquent une consommation de 150 000 m3 ou de 300 000 m3 d’eau potable. D’après nos calculs, avec une hypothèse haute et une consommation moyenne de 150 litres par habitant et par jour (moyenne française), le besoin de la zone sera de 82 000 m3/an (calculé sur la base de 1500 habitants). A noter, également, que le rendement du réseau de Pézenas a atteint les 75% en 2023 comme cela a été indiqué en Conseil communautaire le 23 septembre 2024.
De la même manière, une personne déclare : « Cet hiver, des camions citernes ont approvisionné 2'000 habitants à Pézenas ». Je suis élu à la Commission locale de l’eau et je peux vous indiquer que cela est totalement faux.
Certaines contributions affirment qu’une Halle Gourmande, des nouveaux supermarchés et un Centre commercial seront créés. Ce n’a jamais été notre intention. Monsieur le Maire ayant toujours spécifié qu’il ne voulait pas de concurrence avec le centre-ville et que le concept d’Halle Gourmande n’avait pas son approbation. Son souhait est d’intégrer des services, commerces, professions libérales et médicales dans le quartier et d’imaginer un tiers lieu afin que des flux entrants et sortants rythment tant la vie de ce quartier que celle du cœur de ville. L’intégration d’activités à ce quartier est l’assurance de ne pas en faire un simple lotissement.
Certains citent la surface de 3500 m2 pour un Centre commercial à Saint-Christol. Au regard de la répartition des différents espaces, qui ne sont pas uniquement dévolus à du commerce, cela est totalement impossible d’y imaginer un centre commercial. Surtout, si l’on prend les données de prévision du centre commercial en construction à La Capucière à Bessan, il y est évoqué 9 600 m2 de surface de vente, ce qui doit porter l’ensemble à bien plus avec notamment les espaces de stockage et de stationnement.
Certains prétendent que la commune devrait financer une grande part des investissements en réalité dévolus à la SEMOP. Une personne présente même un coût global à 30 millions d’euros avec l’achat des terrains, pour laquelle seule la Ville était à l’origine engagée, et la compensation environnementale qui est due par la SEMOP. Ces personnes ne prennent pas en compte la particularité d’une SEMOP, le fait que la commune n’en soit actionnaire qu’à 40% et que c’est la SEMOP qui aura à sa charge les principaux aménagements. Surtout, c’est bien la vente des lots et des terrains qui permettra de rendre ce projet excédentaire.
Une personne identifie les logements du futur quartier de Saint-Christol comme « réservés à des populations précaires ». Certes, il y aura du logement social, pour lequel plusieurs catégories existent qui, au final, font que 80% de la population héraultaise peut y prétendre, mais il y aura aussi, et surtout, tout un parcours résidentiel et une volonté de mixité sociale allant de l’habitat aidé au lot à bâtir.
Certains évoquent l’insécurité. En disant par, exemple, « l'insécurité gagne du terrain avec l'apport de population... » ou « Ne tombons pas dans le piège des villes moyennes avec plus de logements sociaux, sans travail pour ceux qui y vivent, s'ensuit le désœuvrement source de délinquance... ». Une personne explique que « l'urbanisation, en densifiant la population, peut favoriser la transmission de maladies ». Une autre, juste après avoir parlé des « logements réservés à des populations précaires » pose la question : « Saint Christol devra-t- il ressembler à un Zoo ?! ». Je m’interroge sur le modèle de société qui lie ces personnes. Il est effectivement éloigné d’un certain humanisme et de la volonté de construire du commun.
Cela n’est qu’un florilège de quelques remarques relevées, il serait trop long de toutes les détailler tant certaines sont arrivées en nombre et sont parfois identiques. Je sais qu’une réponse devra être apportée par le maître d’ouvrage et qu’il le fera de manière consciencieuse à l’instar d’une équipe municipale qui a souhaité assumer ses responsabilités pour ne pas bloquer Pézenas et continuer à porter des projets pour elle dont de nombreux sont en cours de réalisation en cœur de ville.
Cette déformation de la réalité, comme certaines menaces, me paraissent desservir la démocratie ainsi que l’œuvre démocratique que doit représenter une enquête publique.
Avant de conclure, je veux également regretter que certains anciens élus, déposant des contributions « défavorables » lors de cette enquête publique, oublient :
Qu’ils ont été élus majoritaires de 1983 à 1995 et qu’ils ont contribué à commencer à inscrire Saint-Christol dans les documents d’urbanisme,
Qu’elle a été élue majoritaire de 2014 à 2020 et ne s’est jamais opposée au projet,
Qu’il a été élu minoritaire de 2008 à 2017, qu’il aurait très bien pu saisir la justice lorsque la ville a passé sa convention avec l’Etablissement Public Foncier d’Occitanie en 2011 et l’avenant de 2014 et ne pas démissionner au moment où il aurait pu s’exprimer sur Saint-Christol et la SEMOP.
Cela confirme que notre équipe, comme toute équipe municipale, doit faire avec l’héritage, en bon comme en mauvais, pour toujours l’amener vers du mieux.
Vous remerciant de l’attention que vous accorderez à la présente, je vous prie de bien vouloir croire, Monsieur le Commissaire enquêteur, à l’expression de ma considération distinguée.
René Verdeil
Adjoint aux finances
Vice Président de la SEMOP
Il y a 14 millions de personne mal logées en France, et notre région ne fait pas exception. Les bâtiments existants ne peuvent pas absorber le déficit en logt.
C’est pourquoi je suis pour.
Le sérieux des études et des services de l’état qui y on été associés ne me laisse aucun doute quand à la prise en compte de l’alimentation en eau et à la gestion des eaux pluviales.
Je suis donc favorable ce projet
Le projet de St Christol semble en totale inadéquation avec les enjeux actuels de société :
- une pression sur la ressource en eau dangereuse
- une imperméabilisation des sols dans un secteur à fort risque d'inondation
- la destruction de terres arables au détriment de la souveraineté alimentaire
- la perturbation d'un écosystème remarquable
- la destruction du patrimoine vernaculaire avec ses murets, ses arbres fruitiers, ses norias
- le non sens écologique de créer autant de logements ex nihilo, à distance du centre-ville et de ses équipements
- la place réduite et à la marge du projet des déplacements doux entre St Christol et Pézenas
- l'encouragement des déplacements en voiture (combien de véhicules personnels pour 700 logements ?)
- le manque d'urbanité du lieu, antenne dortoir, avec les problématiques que cela génère (cf crise des gilets jaunes)
- le non respect de l'objectif zéro artificialisation nette
- la charge supplémentaire qui pèsera pour l'entretien des voiries, réseaux
...Et j'en oublie probablement. Ce projet irréversible d'une autre époque, en poursuivant des objectifs discutables (engagement financier, augmentation du nombre de piscénois), nie les réalités sociales et environnementales du monde dans lequel nous entrons.
Quelle ville voulons-nous pour demain, pour nous et nos enfants ? Pas celle qui est proposée dans ce projet en ce qui me concerne. J'incite les porteurs de ce projet à lire et à s'inspirer, entre autre, du manifeste pour une frugalité heureuse et créative qui pose les jalons de la ville de demain économe, responsable et profondément humaine.
Dans l'espoir que cette nouvelle enquête publique servira, cette fois, à faire entendre les voix de la raison...
Pourquoi ce projet est essentiel ?
1. Répondre à un besoin criant de logements : Notre région souffre d'un déficit de logements adaptés aux besoins des familles, des jeunes actifs et des personnes âgées. Ce projet vise à combler cette lacune et à offrir des solutions durables en matière d’habitat. Ce à quoi le centre ancien ne pourra pas répondre
2. Soutenir l’économie locale : Les retombées économiques de ce projet sont majeures, avec la création d’emplois directs et indirects dans le secteur du BTP et au-delà. En favorisant cet investissement, nous donnons un coup de pouce vital au tissu économique local.
3. Un projet exemplaire en matière de durabilité : Contrairement aux affirmations des détracteurs, ce projet respecte des normes environnementales strictes, est force de propositions en matière de préservation du vivant et a été conçu pour s’intégrer harmonieusement dans son environnement.
4. Préserver l’avenir de notre région : Sans ce projet, nous risquons de voir des fermetures d’entreprises locales, une stagnation économique et un affaiblissement de la cohésion sociale. Il est de notre responsabilité collective de soutenir les initiatives qui assurent un avenir prospère à Pézenas et ses alentours.
Stop a l'apétit des promoteurs.
Les réseaux, accès, espaces verts etc. du futur centre thermoludique représentent un investissement non négligeable (de l’ordre de 800.000 à 1 million d’euros).
Le fait de les réaliser dans le cadre du projet Saint-Christol permettra d’économiser 40 % de ce coût global. Et donc autant d’économies pour la Ville de Pézenas, l’Agglo Hérault-Méditerranée etc.
Comme nous le disions précédemment, le choix de Saint-Christol pour l’implantation de ce centre de Bien-être, tombe sous le sens puisqu’il induira :
• la création d’emplois en CDI et la stabilisation des postes d’autres commerces et services du territoire.
• la mutualisation du financement des infrastructures en les réalisant concomitamment avec celles du quartier,
• la réorientation du site, engagée depuis 2020.
Outre ces aspects, ce projet se distingue par son approche avant-gardiste en matière de durabilité, intégrant des innovations environnementales inédites en France. Contrairement à ce que certains détracteurs avancent, il devance les normes environnementales strictes et propose des solutions concrètes et innovante pour la préservation du vivant, tout en s’intégrant harmonieusement à son environnement végétal et bâti. En apportant une extension contemporaine au bourg historique de Pézenas, il participe aussi à l’équilibre démographique de la ville.
Je ne peux que soutenir cette initiative, qui contribuera au bien-être de Pézenas et de ses habitants.
Personnellement, je suis parti habiter à une douzaine de kms pour que mon épouse soit moins éloignée de sa famille et pour qu'elle n'ait pas de déplacement professionnel.
Je suis le gérant de la SCI familiale créée au sein de notre fratrie, puisque nous avons entrepris la réhabilitation de la maison familiale dans le secteur sauvegardé de Pézenas.
Son coût, dans l'acception la plus large du terme, est lourd, long, harassant.
Est-ce qu'une telle entreprise est supportable par tous ceux qui ont une maison ancienne en ville ? Je m'interroge.
Ancien DGS de mairie, aujourd'hui retraité, j'ai longuement étudié le projet de ZAC de Saint-Christol, pesant le pour et le contre, comparant le projet initial datant d'avant 2020 avec le projet actuel, ainsi que prenant en considération le point de vue des opposants.
Qu'il y ait des logements vacants en ville, c'est un constat. Mais qui en maîtrise le foncier ? Est-ce que chaque propriétaire est en mesure de se lancer dans une rénovation aux normes, vu son prix, sa lenteur, sa lourdeur, malgré les aides pécuniaires de l'ANAH et administratives de la CAHM ? J'en sais quelque chose pour le vivre au sein de la SCI familiale.
Le parc privé de logements inhabitables est tel que les finances communales ne peuvent s'y consacrer, d'abord en les achetant, ensuite en les réhabilitant. Il y faudrait le budget de plusieurs années au détriment des services publics municipaux et autres investissements.
Alors comment permettre aux piscénois de rester habiter là où bien souvent ils travaillent et ils vivent, c'est à dire où ils ont un lien social ? Comment poursuivre l'accueil de nouveaux arrivants qui, comme bon nombre de leurs prédécesseurs, sont tombés sous le charme de Pézenas ?
Le projet actuel St Christol est une réponse. Il se démarque grandement du précédent, en prenant conscience de l'aspect environnemental du site, en en divisant considérablement l'implantation, en en privilégiant la requalification écologique mais, surtout, en offrant des logements neufs, fonctionnels et construits en respect des normes environnementales actuelles.
Il n'y a pas de projet des opposants. Il y a des idées, des réflexions qui ont le mérite d'exister mais qui n'apportent pas de réponse ni au déficit d'habitats ni à la problématique de la dette pendante.
"Entre deux maux, on choisit le moindre" dit le proverbe.
Selon moi il peut être envisageable de construire un tel quartier si le but était de suivre la folie des grandeurs de nos communes voisines. Or nous avons à Pezenas une histoire bien particulière, un charme qui fait venir un tourisme venant de bien loin. Nous pourrions parler de son centre historique et ses artisans, son marché, ses nocturnes, sa vieille gare et tant d’autres choses que nous savons si bien. Un lotissement n’est pas l’âme de Pezenas. Il aggraverait les phénomènes météorologiques de part la bétonisation des sols et le réseau routier n’est pas adapté.
gens qui contestent ce projet de ne penser qu'à leur petit confort, effectivement ils ont leur "petite villa" bien confortable. Pourquoi ne vont il pas vivre en centre ville ? Bien sur que le futur doit nous permettre de réhabiliter le coeur de ville mais il faudra forcément avoir des solutions d'hébergement en compensation.
Lancé en 1993, car déjà le développement de la ville à l’ouest commencait à saturer l’espace communal de ce côté-là, il avait comme inconvénient d’être de l’autre côté de la Peyne et d’une zone inondable, mais l’avantage de remettre le cœur de ville au centre de la cité . Autre inconvénient et non des moindres, poussé par la municipalité d’Alain Vogel, Il fallait que l’opposition d’alors l’empêche à tout prix, comme tous les autres projets de la ville, commerce, Thermalisme, et donc habitat. Cela a fonctionné puisque les projets commerciaux et de thermalisme ont disparus ( au profit d’autres communes comme Roujan ou Bessan).
Et Saint Christol a été tellement retardé que les piscénois résidents ou futurs, pour améliorer leur « parcours résidentiel » pendant les derniers vingt ans, sont allé bétonner les villages alentours et parcourent aujourd’hui plusieurs fois par jour les routes qui mènent à Pézenas. Que ceux qui parlent de préservation des terres agricoles et de bilan carbone y regardent à deux fois.
Donc, même si la municipalité actuelle n’a peut-être pas eu d’autre choix que de prendre à sa charge ce dossier, j’espère qu’elle va pouvoir le mener à bien dans l’intérêt majeur de la population de la ville de Pézenas.
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, va contribuer à une augmentation de l'artificialisation des sols. Ce qui va à l'encontre de ce que préconisent les scientifiques pour faire face à l'évolution climatique (notamment des épisodes de précipitation extrêmes). Un tel projet peut exposer plus fortement certaines zones sensibles du la ville de Pézenas (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…) ; de plus, ce projet serait un obstacle au rechargement correct de la nappe phréatique.
Ce projet participerait à la destruction de 24 hectares de terres agricoles fertiles qui à plus ou moins long terme manqueront à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois.
D'autres questions se posent également: La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était pas ?
Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune ( notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au dessus de la Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
Comment pourrait être absorbé 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas reste-t-il caché à la population et n’est-il pas joint au dossier ?
Ces différents éléments semblent suffisamment importants à la citoyenne que je suis pour donner un avis défavorable à ce projet.
Comment nos dirigeants, à commencer par nos petits maires et bien entendu plus haut dans la hiérarchie, notre gouvernement, n'entendent-ils pas les hurlements des scientifiques et autres chercheurs quant à l'état de notre situation?
Il suffit d'observer l'avancement des dégrats, chaque année plus dévastateurs. Il faudrait être sourd ou aveugle ou fou pour ne pas en prendre conscience.
Qu'attendent-ils ? Des morts ? Le chao ?
Décroître ou périr. Tout est dit.
la décroissance n'est pas à l'ordre du jour de toute évidence. Hélas !
Commençons donc par protéger nos terres, alors. Cessons le massacre, maintenant, tout suite.
Ne construisez pas ST Christol !
Merci .
Voici quelques éléments à prendre en compte dans le cadre de ce projet :
1. **Problématique de l’eau dans un contexte de sécheresse croissante :**
Dans une région déjà touchée par des périodes de sécheresse de plus en plus longues et une gestion de l'eau en tension, il est légitime de se demander si les ressources en eau seront suffisantes pour alimenter un tel projet immobilier. Durant l’hiver dernier, plusieurs villages aux alentours ont dû être approvisionnés en eau par camions-citernes. L'ajout de 2 000 habitants supplémentaires à Pézenas risque d'aggraver cette situation. Où trouverons-nous l’eau nécessaire pour assurer les besoins de cette population croissante ?
2. **Impact environnemental sur l’hydrologie locale :**
La bétonisation de 24 hectares de terres agricoles à Saint Christol risque d’avoir un effet délétère sur le cycle de l’eau. En supprimant une zone d’absorption naturelle, le ruissellement des eaux pluviales vers les zones déjà sensibles de la ville pourrait s’intensifier, augmentant le risque d’inondations dans les secteurs vulnérables comme la rue Conti, l’avenue de Castelnau, ou encore les Calquières basses et hautes. De plus, la réduction des surfaces perméables ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique, ressource déjà sous pression.
3. **Perte de terres agricoles fertiles :**
La destruction de ces 24 hectares de terres agricoles, particulièrement fertiles, entraînerait une réduction significative de la production alimentaire locale, affaiblissant ainsi l’approvisionnement en produits agricoles du Piscénois. Alors que l’importance des circuits courts et de l’agriculture locale est de plus en plus reconnue, cette perte de terres arables serait dommageable pour la souveraineté alimentaire locale.
4. **Augmentation du trafic routier :**
L’ajout de 700 nouveaux logements entraînerait une augmentation de 17 % du trafic routier, un chiffre considérable dans une ville comme Pézenas. Comment le réseau routier, notamment le pont de la Peyne, pourrait-il absorber cet afflux sans entraîner des embouteillages, une augmentation de la pollution et des nuisances sonores pour les riverains ? Aucune solution viable n’est actuellement proposée pour gérer cet impact sur la mobilité urbaine.
5. **Équilibre commercial menacé :**
La création d’une Halle Gourmande de 700 m² à Saint Christol pourrait nuire au commerce local, notamment celui du centre-ville de Pézenas. En attirant une partie de la clientèle vers cette nouvelle zone, il y a un risque de désertification commerciale du centre historique, déjà en difficulté. Le projet de nouvelle Halle ne doit pas se faire au détriment des commerces existants.
6. **Capacité des infrastructures scolaires :**
Avec l’arrivée de nombreuses familles, il est nécessaire de se demander si les infrastructures scolaires, notamment les écoles primaires, seront capables d’accueillir tous ces nouveaux élèves. Les investissements scolaires dépendent de la commune, mais aucune garantie ni plan précis n’a été présenté pour la construction de nouvelles écoles ou l’agrandissement des infrastructures existantes. De plus, si des fonds importants sont alloués à ce nouveau quartier, cela pourrait compromettre les budgets destinés à d'autres secteurs, comme la rénovation du centre-ville.
7. **Capacité de la station d'épuration :**
La station d’épuration actuelle est-elle en mesure de traiter les eaux usées supplémentaires générées par ces 2 000 nouveaux habitants ? Si ce n’est pas le cas, des investissements conséquents devront être réalisés, ce qui représenterait un coût supplémentaire pour la commune. Une question cruciale reste sans réponse : comment la commune financera-t-elle ces infrastructures sans alourdir la fiscalité locale ?
8. **Investissements supplémentaires à la charge de la commune :**
La mise en place d’infrastructures supplémentaires, telles que des liaisons piétonnes et cyclables entre Saint Christol et Pézenas, ou la gestion des zones inondables et des routes environnantes (comme celle de Nizas), générera des coûts significatifs pour la commune. Ces dépenses n’ont pas été intégrées dans l’analyse du projet et risquent de grever le budget municipal.
9. **Manque de transparence dans la gestion du projet :**
Enfin, il est inquiétant de constater que l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n’a pas été rendu public ni joint au dossier. Ce manque de transparence nuit à la confiance des citoyens dans le processus de consultation publique et laisse planer des doutes sur les réelles motivations derrière ce projet.
**Conclusion :**
Le projet de création d’un quartier de 700 logements à Pézenas, bien que répondant à des besoins en termes de logements, pose de nombreuses questions quant à sa faisabilité, son impact environnemental et social, ainsi que les coûts pour la commune. Il est essentiel que ces préoccupations soient sérieusement prises en compte avant de poursuivre ce projet.
Christian Faroux
Pezenas est entrain de mourir les commerces du centre ville ferment. On voit les villes environnantes au contraire se développer la ville a raté le coche de son développement futur, mobilisons nous pour que la perspective d'accueillir de nouveaux habitants puisse deboucher sur de nouvelles activités sur un bassin d'emploi sinistré
Apport non négligeable d'une mane financière pour le budget de la ville. Projet qui met aussi en avant des mesures ecoresponsables en terme de bâti et de réseaux.
Nous étions au courant de cet inconvénient, mais trop optimistes pour envisager tous ces énormes dérangements aussi rapidement.
A présent cet objectif de création de lotissement dans ce secteur, nous laisse pantois, il y aurait donc la possibilité d'alimenter en eau autant de population ????
Nous sommes opposés à cette réalisation.
La résidence autonomie répondra quant à elle à certaines problématiques en lien avec l'âge et le vieillissement tout en assurant, tant que cela est possible, un maintien à domicile.
Ce projet en mon sens et un projet respectant les réglementations et normes établies par l'état Français.
Ce projet est tourné vers l’avenir tout en répondant au besoin des Piscenois.
Le manque de logement et l’attractivité du territoire notamment.
Alain Vogel Singer, Valerie Forme, Kevin Verticcione, Annick Satger, Serge Ivorra
Mais tout ce projet n’est que non sens : destruction de terres arables et de la biodiversité, bétonisation et artificialisation des sols, multiplication des parkings pour encourager encore l'usage de la voiture individuelle, des nuisances sonores pendant la construction, plus de trafic routier sur des axes déjà très fréquentés… Sans parler du stress hydrique déjà présent dans la région pour les habitants et les cultures ou des risques d’inondation comme en 2019, tout cela aggravé par l’artificialisation des sols.
Pour rappel, un consensus scientifique a permis d’établir les 9 limites planétaires, seuils au-delà desquels les équilibres naturels terrestres pourraient être déstabilisés et où les conditions de vie deviennent défavorables à l’humanité. Parmi ces 9 limites, 6 ont déjà été dépassées, dont notamment l’érosion de la biodiversité et le changement d’usage des sols.
“Ce ne sont que 24 hectares dans la petite ville de Pézenas, ça ne va pas changer la face du monde” ? Mais multiplié à l’échelle de toutes les communes de France, imaginez bien l'ampleur du problème.
C’est le quotidien de tous qui va changer. Et que restera-t-il ? Adieu les promenades dans les chemins et à travers les champs de coquelicots. Le quartier actuel est un havre de quiétude pour les habitants et famille de Pézenas.
Chaque année partout en France de nouveaux quartiers éclosent, empiétant encore et encore sur des lieux de repos, de promenade et de nature. Pourquoi continuer ainsi au lieu de réhabiliter les logements vacants ou vetustes du centre historique, plutôt que d'étendre indéfiniment la ville au détriment de notre environnement et de notre qualité de vie ?
Préservons ce qui fait l'âme de cette ville d’art et d’histoire et faisons des choix qui respectent nos traditions et nos paysages. Il est encore temps de reconsidérer ce projet et d'opter pour un développement plus harmonieux, en adéquation avec notre histoire et nos valeurs.
Merci de votre considération
Ce projet doit vivre
Il faut le mener à bout si nous ne voulont pas que les Piscénois aillent vivre dans les communes des alentours .
C'est la loi de l'univers, d'ici 2 milliards d'années, notre soleil, comme toutes les étoiles en fin de vie, sera devenu une "géante rouge".
Son diamètre enflera et englobera les planètes du système solaire.
Après 5 milliards d'années d'existence, notre planète sera, donc, finalement absorbée par le Soleil qui détruira toute trace de vie et dispersera molécules et atomes à travers l'espace.
C'est la loi de l'univers.
La fin de l'humanité, elle, devrait arriver bien avant la fin de la Terre elle-même; dans environ 500 millions d'années.
Alors, Un peu plus ou un peu moins de béton sur Terre...
Et, nous, bétonneurs, pollueurs en tous genres, sommes tout à fait capables d'écourter ce délai à quelques siècles, voire décennies, vu ce que nous faisons quotidiennement subir à notre planète.
Tu comprends, mon petit, mon enfant, ce qu'il t'attend ?..
Le projet de ZAC de Saint-Christol apporte les garanties financières quant à la qualité environnementale de son aménagement.
Ce sont les deux crédos d'une bonne gestion municipale : urbanisme/aménagement induisent développement/financement.
Si "Un autre projet est possible", quid de son financement et je reste atterrée du vide sidéral à ce sujet.
Comment pouvoir imaginer que l'État et les collectivités partenaires vont couvrir les 5.000.000 € de dette sans aucune contrepartie ?
Par contre, le projet de la ZAC du quartier de St Christol couvre non seulement la dette à rembourser mais également les aménagements environnementaux.
Dès à présent et pour notre avenir et celui des générations futures il est fondamental et indispensable de prendre davantage en compte, de placer en première priorité :
Le respect de l'environnement, la prise en comptes de l'évolution climatique notamment dans nos territoires, la prise conscience de la nécessité d'améliorer la qualité de notre alimentation pour préserver notre santé.
Au delà des mots cela signifie concrètement :
Stopper l'artifilisation des sols dans le respect strict de la loi ZAN
Créer partout et surtout dans la ville et aux abords de la ville toutes les conditions les meilleures pour préserver le vivant , la bio diversité.
Favoriser la valorisation des terres agricoles par l'installation de paysans.es , de maraichers.es pour une meilleure alimentation des populations en circuit court.
Prévoir les ouvrages nécessaires pour se préserver des pluies d'orages centenaires, pour éviter les inondations en ville.
Etre vigilant dans ce territoire sur les conséquences de l'augmentation de la consommation d'eau potable alors que nous sommes depuis plusieurs années en vigilance sècheresse.
Par ailleurs l'augmentation significative de la population sans préparation des infrastructures collectives nécessaires - Ecoles et autres Equipements- engage la collectivité vers des difficultés croissantes.
Pour toutes ces raisons ce projet de nouveau quartier ne doit pas voir le jour
J'ajouterai que ce qui aura plus de sens c'est de faire encore davantage vivre la ville d'aujourd'hui , avec une vraie politique de réhabilitation des logements et en préservant le commerce local.
NON A CE PROJET DE QUARTIER SAINT CHRISTOL NON A L ABANDON DES TERRES AGRICOLES PROCHES DE LA VILLE
Ce projet me parait exemplaire dans sa conception. Il sera une réelle opportunité pour Pézenas et ses habitants et une réponse adaptée au besoin réels de notre territoire.
J'y suis favorable.
1- Un des objectifs de ce nouveau quartier est d'augmenter la population municipale jusqu'à 10000 habitants. La démographie de Pézenas est à peu près constante depuis des dizaines d'années, autour de 8 000 habitants (pic à 9 100 à la fin des années 1960, creux à 6500 à la fin du 19ème siècle). cette population municipale est faible au regard des infrastructures nécessaire à la situation de Pézenas de ville-centre de l'aire urbaine.
La construction de nouveaux quartiers depuis les années 1960 (autour de la gare du Nord, Castelsec, route de Roujan, Butte Verte, ....) et l'étalement urbain n'ont pas amené de population supplémentaire. Des logements se sont vidés dans le centre ville pour remplir ces logements neufs, sans attirer de nouvelles personnes. Ces dernière années, les logements abandonnés du centre ville sont soit laissés à l'abandon, soit utilisés pour du locatif touristique. Le prix des logements à Pézenas (à l'achat ou à la location long terme), du fait de cet attrait touristique et des logements qui lui sont dédiés (lucratif pour les propriétaires), est significativement plus élevé qu'alentours.
Or, les villages proches de Pézenas, et de son aire d'attraction, ont, eux, vu leur population largement augmenter: par exemple, et pour les villages les plus proches, entre 1980 et 2021 Tourbes est passé de 800 à 1800 habitants, et Castelnau de Guers de 880 à 1200.
On peut donc légitimement se demander si la construction d'un nouveau quartier ne va pas amplifier le phénomène de désertification du centre ville historique de sa population à l'année, le laissant au tourisme plus lucratif. Cela aurait de grandes conséquences sur le commerce et les services de centre ville. Aujourd'hui, cela est encore diversifié: on peut se nourrier, se vétir, avoir des produits ménagers, les loisirs ou la culture, l'électro-ménager, se soigner... sans avoir à se déplacer quand on est en centre ville. Mais tout cela est fragile, et dépend justement des habitants à l'année de ce centre ville. Un nouveau quartier dont la plupart des habitants, pour des raisons de commodité, ne viendraient pas quotidiennement au centre ville, fragiliserait le commerce et les services de centre-ville.
2- déplacements, mobilité :
Jusqu'à maintenant, et ces dernières décennies, Pézenas s'est essentiellement développée (habitations et zones artisanales et commerciales) entre le sud-sud-ouest vers les routes de Béziers et Agde, et le nord-ouest vers Roujan. Tout sur la rive droite de la Peyne. Au niveau de la circulation automobile, une sorte de "ceinture périphérique" a vu le jour pour contourner et desservir la ville : avec la déviation puis autoroute A75 d'ne part ds la plaine (côté Castelnau Guers) et sur les "boulevards" depis les routes de Béziers et Agde (Rd-point de la Paix): De Gaulle, Rhin-Danube, Luther King - Mandella jusqu'aux la route de Roujan et Caux.
le quartier Saint Christol, aujourd'hui faiblement urbanisé, est à l'opposé géographique de ce développement (nord-nord-est). Il n'y a pas, à cette heure, de structures routières adaptées pour desservir le cœur de ville. Le service public prévu dans la ZAC St Christol est une gendarmerie.
Si l'on prend par exemple, l'école: Les familles qui s'installeraient dans ce quartier utiliseraient très certainement, pour des raison d'éloignement et de sécurité (voir plus bas), la voiture pour amener leurs enfants à l'école. C'est déjà le cas aujourd'hui, mais leur nombre est restreint. Outre l'afflux de véhicule à l'entrée de la ville (pont de Peyne) il y a la problématique de l'accès aux écoles, déjà sensible aujourd'hui certains jours ou certaines heures, alors que beaucoup d'enfants viennent à pied du centre ville particulièrement pour l'école Boby Lapointe.
Quels autres services publics sont prévus ?
Quels aménagement en terme de liaisons avec le centre ville sont réellement prévus ?
En effet, si les constructions d'habitation sont assez préccisément décrites dans le dossier concernant ce projet, c'est beaucoup moins précis sur ces sujets (services, déplacements...) qui sont certes mentionnés dans la notice explicative, mais très peu développés ensuite:
- on sait qu'il y aura création d'un carrefour et la mise en place de feux tricolores pour rejoindre la départementale 913, mais l'entrée en ville pour l'instant est donc prévue par le pont de Peyne.
- Quid des solutions de "mobilité douce", "l'existant" actuel (seul décrit concrètement dans les dossiers) passant au final par le pont de Peyne, et marginalement par le pont ferroviaire (vers la Gare du Nord)...
Il me semble que ce sujet serait à étudier beaucoup plus précisément en amont du lancement éventuel des travaux !
En l'état, et mes remarques s'ajoutant aux autres contributions, dont celle de la SPN, mon avis est défavorable à la réalisation de ce projet.
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs.
De plus avec la bétonisation les sols ne seront plus a même d'absorber les eaux de ruissellement et le risque d'inondation sera augmenté d'autant que les petits ruisseaux qui reçoivent ces eaux ne sont pas entretenus, ruisseau de "bombe cul", ruisseau d'Arnet, etc... et le parking d'entrée de Pézenas sera inaccessible de par la crue de l'Hérault et de Peyne.
j'espère que vous tiendrez compte de ma requête et qu'elle sera entendu pour nous éviter d''éventuelles inondations dans les quartiers bas ou j'habite depuis 70 ans.
- la bétonisation d'une surface agricole de 24 hectares, d'un terrain voué au maraîchage, comme ce fut le cas pendant longtemps, permettant une autosuffisance alimentaire.
- les risques liés à l'eau : inondations (ce fut le cas, il y a quelques années), manque d'approvisionnement en eau potable en période de sècheresse, problème de l'évacuation des eaux usées en direction de la station d'épuration.
- les difficultés que ce projet va générer pour la ville. Ce quartier va devenir une autre ville hors la ville( risque qui peut entraîner "la mort" du centre-ville historique, qui ne sera plus qu'une ville musée). Un quartier isolé car un seul pont sur la Peyne permet d'accéder en ville en voiture, (risques d'engorgement à certaines heures) et pour les piétons et vélos, le pont sur voie ferrée doit être consolidé, voire refait.
- quelle population va intégrer ce quartier ? de quoi va vivre cette nouvelle population, quelles seront leurs possibilités d'emploi ?
Est-ce que cela va devenir un quartier pour retraités aisés ? une cité-dortoir pour des gens qui travaillent à Montpellier ? un quartier de bobos, sans mixité sociale ? un quartier de logements de vacances, airbnb ? (de logements achetés et mis en location par des gens fortunés)
- un surcoût non évalué ou sous-évalué à ce jour, concernant tous ces éléments que je viens de citer (épuration des eaux, réfection, agrandissement des ponts, etc... )
Peut-être vaut-il mieux réétudier le projet au vu de tous les problèmes qu'il génère.
Je suis défavorable au projet immobilier de Saint Christol, car il entraînera si il est réalisé des problèmes d'inondation au moment de forte pluie. Nous avons vu cet hiver de nombreuses communes de France touchées par des inondations, des maisons dévastées, des personnes détruites psychologiquement. L'eau n'a plus d'espace pour s'infiltrer. Arrêtons se massacre, donnons de l'espace à la bio diversité. Les terres agricoles de Saint Christol sont fertiles. " C'est la terre de nos enfants, préservons là"...
- destruction de 24 hectares de terres agricoles alors que se pose déjà le problème de l'approvisionnement alimentaire dans la région.
- risque accru d'inondation consécutif à l'artificialisation des sols à Pezenas et ses environs
- problème de l'approvisionnement en eau potable avec l'arrivée de 2000 habitants supplémentaires, alors que la ressource en eau diminue en raison de la sécheresse
croissante, ce qui oblige déjà à des restrictions de consommation dans la région
- accroissement du trafic routier et ses conséquences néfastes sur la santé des habitants
- infrastructures existantes insuffisantes d'où la question de la répartition du financement des nouvelles réalisations nécessaires
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a-t-il pas été pris en compte ?
Le développement de la ville de Pézenas est nécessaire à son rayonnement.
Le projet de St Christol va dans cette direction et j'y suis favorable.
Une ville se doit d'être vivante et comme tout être vivant, elle doit croître pour ne pas étouffer.
Toutefois, telle un arbre, ses ramifications doivent être reliées à son tronc. C'est le cœur de ville.
Les grosses artères irriguent l'ensemble, les vaisseaux sanguins les plus fins alimentent au plus près du terrain et dans un double sens.
Les modes doux de déplacement assurent la certitude d'échanges sereins, conservant un tout uni sans césure.
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Dans une région déjà touchée par des périodes de sécheresse de plus en plus longues et une gestion de l'eau en tension, il est légitime de se demander si les ressources en eau seront suffisantes pour alimenter un tel projet immobilier. Durant l’hiver dernier, plusieurs villages aux alentours ont dû être approvisionnés en eau par camions-citernes. L'ajout de 2 000 habitants supplémentaires à Pézenas risque d'aggraver cette situation. Où trouverons-nous l’eau nécessaire pour assurer les besoins de cette population croissante ?
2. **Impact environnemental sur l’hydrologie locale :**
La bétonisation de 24 hectares de terres agricoles à Saint Christol risque d’avoir un effet délétère sur le cycle de l’eau. En supprimant une zone d’absorption naturelle, le ruissellement des eaux pluviales vers les zones déjà sensibles de la ville pourrait s’intensifier, augmentant le risque d’inondations dans les secteurs vulnérables comme la rue Conti, l’avenue de Castelnau, ou encore les Calquières basses et hautes. De plus, la réduction des surfaces perméables ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique, ressource déjà sous pression.
3. **Perte de terres agricoles fertiles :**
La destruction de ces 24 hectares de terres agricoles, particulièrement fertiles, entraînerait une réduction significative de la production alimentaire locale, affaiblissant ainsi l’approvisionnement en produits agricoles du Piscénois. Alors que l’importance des circuits courts et de l’agriculture locale est de plus en plus reconnue, cette perte de terres arables serait dommageable pour la souveraineté alimentaire locale.
4. **Augmentation du trafic routier :**
L’ajout de 700 nouveaux logements entraînerait une augmentation de 17 % du trafic routier, un chiffre considérable dans une ville comme Pézenas. Comment le réseau routier, notamment le pont de la Peyne, pourrait-il absorber cet afflux sans entraîner des embouteillages, une augmentation de la pollution et des nuisances sonores pour les riverains ? Aucune solution viable n’est actuellement proposée pour gérer cet impact sur la mobilité urbaine.
5. **Équilibre commercial menacé :**
La création d’une Halle Gourmande de 700 m² à Saint Christol pourrait nuire au commerce local, notamment celui du centre-ville de Pézenas. En attirant une partie de la clientèle vers cette nouvelle zone, il y a un risque de désertification commerciale du centre historique, déjà en difficulté. Le projet de nouvelle Halle ne doit pas se faire au détriment des commerces existants.
6. **Capacité des infrastructures scolaires :**
Avec l’arrivée de nombreuses familles, il est nécessaire de se demander si les infrastructures scolaires, notamment les écoles primaires, seront capables d’accueillir tous ces nouveaux élèves. Les investissements scolaires dépendent de la commune, mais aucune garantie ni plan précis n’a été présenté pour la construction de nouvelles écoles ou l’agrandissement des infrastructures existantes. De plus, si des fonds importants sont alloués à ce nouveau quartier, cela pourrait compromettre les budgets destinés à d'autres secteurs, comme la rénovation du centre-ville.
7. **Capacité de la station d'épuration :**
La station d’épuration actuelle est-elle en mesure de traiter les eaux usées supplémentaires générées par ces 2 000 nouveaux habitants ? Si ce n’est pas le cas, des investissements conséquents devront être réalisés, ce qui représenterait un coût supplémentaire pour la commune. Une question cruciale reste sans réponse : comment la commune financera-t-elle ces infrastructures sans alourdir la fiscalité locale ?
8. **Investissements supplémentaires à la charge de la commune :**
La mise en place d’infrastructures supplémentaires, telles que des liaisons piétonnes et cyclables entre Saint Christol et Pézenas, ou la gestion des zones inondables et des routes environnantes (comme celle de Nizas), générera des coûts significatifs pour la commune. Ces dépenses n’ont pas été intégrées dans l’analyse du projet et risquent de grever le budget municipal.
9. **Manque de transparence dans la gestion du projet :**
Enfin, il est inquiétant de constater que l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n’a pas été rendu public ni joint au dossier. Ce manque de transparence nuit à la confiance des citoyens dans le processus de consultation publique et laisse planer des doutes sur les réelles motivations derrière ce projet.
**Conclusion :**
Le projet de création d’un quartier de 700 logements à Pézenas, bien que répondant à des besoins en termes de logements, pose de nombreuses questions quant à sa faisabilité, son impact environnemental et social, ainsi que les coûts pour la commune. Il est essentiel que ces préoccupations soient sérieusement prises en compte avant de poursuivre ce projet.
Dans une région déjà touchée par des périodes de sécheresse de plus en plus longues et une gestion de l'eau en tension, il est légitime de se demander si les ressources en eau seront suffisantes pour alimenter un tel projet immobilier. Durant l’hiver dernier, plusieurs villages aux alentours ont dû être approvisionnés en eau par camions-citernes. L'ajout de 2 000 habitants supplémentaires à Pézenas risque d'aggraver cette situation. Où trouverons-nous l’eau nécessaire pour assurer les besoins de cette population croissante ?
2. **Impact environnemental sur l’hydrologie locale :**
La bétonisation de 24 hectares de terres agricoles à Saint Christol risque d’avoir un effet délétère sur le cycle de l’eau. En supprimant une zone d’absorption naturelle, le ruissellement des eaux pluviales vers les zones déjà sensibles de la ville pourrait s’intensifier, augmentant le risque d’inondations dans les secteurs vulnérables comme la rue Conti, l’avenue de Castelnau, ou encore les Calquières basses et hautes. De plus, la réduction des surfaces perméables ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique, ressource déjà sous pression.
3. **Perte de terres agricoles fertiles :**
La destruction de ces 24 hectares de terres agricoles, particulièrement fertiles, entraînerait une réduction significative de la production alimentaire locale, affaiblissant ainsi l’approvisionnement en produits agricoles du Piscénois. Alors que l’importance des circuits courts et de l’agriculture locale est de plus en plus reconnue, cette perte de terres arables serait dommageable pour la souveraineté alimentaire locale.
4. **Augmentation du trafic routier :**
L’ajout de 700 nouveaux logements entraînerait une augmentation de 17 % du trafic routier, un chiffre considérable dans une ville comme Pézenas. Comment le réseau routier, notamment le pont de la Peyne, pourrait-il absorber cet afflux sans entraîner des embouteillages, une augmentation de la pollution et des nuisances sonores pour les riverains ? Aucune solution viable n’est actuellement proposée pour gérer cet impact sur la mobilité urbaine.
5. **Équilibre commercial menacé :**
La création d’une Halle Gourmande de 700 m² à Saint Christol pourrait nuire au commerce local, notamment celui du centre-ville de Pézenas. En attirant une partie de la clientèle vers cette nouvelle zone, il y a un risque de désertification commerciale du centre historique, déjà en difficulté. Le projet de nouvelle Halle ne doit pas se faire au détriment des commerces existants.
6. **Capacité des infrastructures scolaires :**
Avec l’arrivée de nombreuses familles, il est nécessaire de se demander si les infrastructures scolaires, notamment les écoles primaires, seront capables d’accueillir tous ces nouveaux élèves. Les investissements scolaires dépendent de la commune, mais aucune garantie ni plan précis n’a été présenté pour la construction de nouvelles écoles ou l’agrandissement des infrastructures existantes. De plus, si des fonds importants sont alloués à ce nouveau quartier, cela pourrait compromettre les budgets destinés à d'autres secteurs, comme la rénovation du centre-ville.
7. **Capacité de la station d'épuration :**
La station d’épuration actuelle est-elle en mesure de traiter les eaux usées supplémentaires générées par ces 2 000 nouveaux habitants ? Si ce n’est pas le cas, des investissements conséquents devront être réalisés, ce qui représenterait un coût supplémentaire pour la commune. Une question cruciale reste sans réponse : comment la commune financera-t-elle ces infrastructures sans alourdir la fiscalité locale ?
8. **Investissements supplémentaires à la charge de la commune :**
La mise en place d’infrastructures supplémentaires, telles que des liaisons piétonnes et cyclables entre Saint Christol et Pézenas, ou la gestion des zones inondables et des routes environnantes (comme celle de Nizas), générera des coûts significatifs pour la commune. Ces dépenses n’ont pas été intégrées dans l’analyse du projet et risquent de grever le budget municipal.
9. **Manque de transparence dans la gestion du projet :**
Enfin, il est inquiétant de constater que l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n’a pas été rendu public ni joint au dossier. Ce manque de transparence nuit à la confiance des citoyens dans le processus de consultation publique et laisse planer des doutes sur les réelles motivations derrière ce projet.
**Conclusion :**
Le projet de création d’un quartier de 700 logements à Pézenas, bien que répondant à des besoins en termes de logements, pose de nombreuses questions quant à sa faisabilité, son impact environnemental et social, ainsi que les coûts pour la commune. Il est essentiel que ces préoccupations soient sérieusement prises en compte avant de poursuivre ce projet.
Je ne souhaite pas ce projet pour ma ville, je ne vois pas quelle plus value cela va apporter et je souhaite garder le dynamisme des petits commerces au centre ville.
J'adore courir dans cette campagne... je ne veux pas que ce paysage soit défiguré et dénaturalisé par le trafic et les constructions!!
Le bétonnage de la campagne Saint Christol est, par conséquent, une hérésie.
L'augmentation du trafic routier ne va pas arranger le problème.
Il est respectueux à la fois du contexte societal et environnemental.
Le futur quartier est de plus très novateur au regard de l’environnement.
La ressource en eau, les infrastructures adaptées, l'indépendance alimentaire, la bétonnisation des sols et son impact sur l'environnement...
Aimant profondément ma région je souhaiterais qu’elle se développe dans ce sens.
Quels projets a été proposé ? J'aimerai bien savoir ? Merci de m'éclairer car sincèrement garder des terres qui ne sont pas cultivable. D'autre part la mairie il me semble a mis des terres disponible poir les agriculteurs, quid du remplissage ? Par consequent sans un autre vrai projet concret, je suis pour cet aménagement qui viendra renforcer l'offre de logement. N'oublions pas que nous avons des gens qui dorment dehors, même à Pézenas, c'est une dizaine de personnes !!!
Il n’est pas cohérent avec une approche responsable et respectueuse indispensable à notre époque, les temps ont changés
Il dévalorise la petite ville de Pézenas
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Risque de manque d’eau, imperméabilité des sols sur trop grande surface, enfin est-ce que Pezenas a la capacité d’accueillir une nouvelle population aussi importante
Et tant d’autres choses
energivore
- Un bouleversement du cadre de vie des habitants
La construction de 655 logements sur 24 hectares de terres principalement agricoles et naturelles défigurera le paysage et détruira des espaces naturels précieux. Ce n'est pas seulement une question de terres, mais aussi de la qualité de vie des habitants. Les démarcheurs ont-ils seulement pensé à l’impact visuel que ce projet va dégrader en remplaçant un espace naturel vert, concerné par un périmètre de monument historique ?
- Une altération de la faune et de la flore
Malgré les pseudos-mesures mises en place du projet, plusieurs espèces, notamment des reptiles méditerranéens, des chiroptères et certaines espèces d'oiseaux, vont subir des impacts résiduels significatifs nécessitant une compensation écologique, entraînant une perte ou une altération de 21,5 hectares d'habitat naturel. Rien ne pourra être prévu pour compenser cela. On ne préserve pas la biodiversité avec du bitume et du béton.
- Un manque de considération des valeurs des habitants
Nous sommes nombreux à tenir à l’authenticité de cette ville. Ce projet ne semble pas en prendre en compte. Il favorisera l’artificialisation des sols et encouragera l’usage de la voiture, alors que nous aspirons à un mode de vie plus durable, en harmonie avec notre environnement. La création d’un tel quartier, déconnecté du centre-ville, augmentera la circulation et la pollution, rendant notre ville encore plus dépendante de l’automobile.
- Des impacts sur notre tranquillité et notre santé
Je m’inquiète également des nuisances sonores et de la qualité de l’air que cela engendrera. L’augmentation du trafic de 4 130 véhicules par jour (dans les deux sens) sur la D 913 n'est pas juste un chiffre : c'est un bruit constant qui nuira à notre tranquillité et à la qualité de notre air.
Il est essentiel de réfléchir à un avenir qui respecte l’esprit de cette ville. Au lieu de cela, le projet semble ignorer notre histoire, notre environnement et notre bon sens écologique. Pour toutes ces raisons, je m’oppose fermement à la création de la ZAC « Saint-Christol ».
Habitante du centre ville historique de Pézenas, j'ai 28 ans et pratique la profession de menuisière, restauration de bâtit ancien.
Je souhaite simplement témoigner : au 21e siècle dans une ville à taille humaine de 8 000 habitants entourée de vignes, d'agriculture, de l'Hérault et de la Peyne, comment promouvoir un projet d'urbanisme plutôt qu'un projet écologique et social ? I y a déjà beaucoup d'infrastructure autour de Pézenas, une zone industrielle conséquente.. Le seul projet perein pour cette zonne innondable serait un projet agricole, même si le projet est bien pensé au niveau architectural ou social cela reste un projet d'urbanisme irréversible qui bétonne 24 hectares de terres arables non utilisées. Tandis que ces terres seraient une aubaine de biodiversité.
Oui nous sommes dans un bassin d'activité, mais comprenez que la zone industrielle de Pézenas est déjà surdimensionnée pour la taille de la ville, cela défigure déjà l'entrée dans la ville. Si l'autre partie de Pézenas est elle même urbanisée c'est irréversible et c'est un enjeu environnemental à anticiper. Quelle ville voulez vous demain, l'architecte du projet parle d'écologie, de logement. Pourquoi ne pas investir dans la réhabilitation des logements vacants de la ville qui sont déjà viabilsés. Ce projet n'est pas adapté au enjeux écologiques, un enième pavillon, c'est tout ce que c'est.
Je sais que la Mairie a déjà engagé des frais et investissements, néanmoins il est encore temps d'abandonner ce projet, pour des raisons écologiques évidentes et porter un projet plus contemporain qui répond mieux aux enjeux d'aujourd'hui. Nous ne sommes pas obligés de construire à tout va, nous pouvons valoriser l'éxistant. Accompagner les agriculteurs vers une sortie de pesticide en bordure d'Hérault, créer des emplois et une production maraîchères sur ces terres qui sont idéales pour celà.
Bien cordialement,
Julia Kozlowski
Cette ville a d’énormes atouts mais ne permet pas à s’y installer d’où une inflation des prix des logements. Nous avons toutes les infrastructures pour accueillir de nouveaux habitants. Concernant le quartier en question, il est anormal de n’avoir aucun commerce de proximité (boulangerie, épicerie, …) sans être obligé de traverser Pézenas. De même pour tout ce qui touche la santé (médecin, pharmacie) les 4 supermarchés sont distants d’1km à l’opposé.
Je suis conscient que l’eau peut être un problème mais 1000 habitants de plus maximum ce chiffre me semble inférieur à la démographie croissante de notre département et région.
La mixité de logements proposés offre un équilibre nécessaire à une ville. L’important est que le projet repose sur un programme urbain maîtrisé en respectant les espaces verts et l’impact carbone. Au niveau de la bétonisation, ce quartier est sur un léger dénivelé permettant un écoulement naturel des eaux de pluie.
J’espère que de tout cœur ce projet voit le jour en espérant que la municipalité se battra auprès de la préfecture pour le défendre.
Je précise être piscenois de naissance et aimer cette ville.
Philippe REUS
Dans une région déjà touchée par des périodes de sécheresse de plus en plus longues et une gestion de l'eau en tension, il est légitime de se demander si les ressources en eau seront suffisantes pour alimenter un tel projet immobilier. Durant l’hiver dernier, plusieurs villages aux alentours ont dû être approvisionnés en eau par camions-citernes. L'ajout de 2 000 habitants supplémentaires à Pézenas risque d'aggraver cette situation. Où trouverons-nous l’eau nécessaire pour assurer les besoins de cette population croissante ?
2. **Impact environnemental sur l’hydrologie locale :**
La bétonisation de 24 hectares de terres agricoles à Saint Christol risque d’avoir un effet délétère sur le cycle de l’eau. En supprimant une zone d’absorption naturelle, le ruissellement des eaux pluviales vers les zones déjà sensibles de la ville pourrait s’intensifier, augmentant le risque d’inondations dans les secteurs vulnérables comme la rue Conti, l’avenue de Castelnau, ou encore les Calquières basses et hautes. De plus, la réduction des surfaces perméables ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique, ressource déjà sous pression.
3. **Perte de terres agricoles fertiles :**
La destruction de ces 24 hectares de terres agricoles, particulièrement fertiles, entraînerait une réduction significative de la production alimentaire locale, affaiblissant ainsi l’approvisionnement en produits agricoles du Piscénois. Alors que l’importance des circuits courts et de l’agriculture locale est de plus en plus reconnue, cette perte de terres arables serait dommageable pour la souveraineté alimentaire locale.
4. **Augmentation du trafic routier :**
L’ajout de 700 nouveaux logements entraînerait une augmentation de 17 % du trafic routier, un chiffre considérable dans une ville comme Pézenas. Comment le réseau routier, notamment le pont de la Peyne, pourrait-il absorber cet afflux sans entraîner des embouteillages, une augmentation de la pollution et des nuisances sonores pour les riverains ? Aucune solution viable n’est actuellement proposée pour gérer cet impact sur la mobilité urbaine.
5. **Équilibre commercial menacé :**
La création d’une Halle Gourmande de 700 m² à Saint Christol pourrait nuire au commerce local, notamment celui du centre-ville de Pézenas. En attirant une partie de la clientèle vers cette nouvelle zone, il y a un risque de désertification commerciale du centre historique, déjà en difficulté. Le projet de nouvelle Halle ne doit pas se faire au détriment des commerces existants.
6. **Capacité des infrastructures scolaires :**
Avec l’arrivée de nombreuses familles, il est nécessaire de se demander si les infrastructures scolaires, notamment les écoles primaires, seront capables d’accueillir tous ces nouveaux élèves. Les investissements scolaires dépendent de la commune, mais aucune garantie ni plan précis n’a été présenté pour la construction de nouvelles écoles ou l’agrandissement des infrastructures existantes. De plus, si des fonds importants sont alloués à ce nouveau quartier, cela pourrait compromettre les budgets destinés à d'autres secteurs, comme la rénovation du centre-ville.
7. **Capacité de la station d'épuration :**
La station d’épuration actuelle est-elle en mesure de traiter les eaux usées supplémentaires générées par ces 2 000 nouveaux habitants ? Si ce n’est pas le cas, des investissements conséquents devront être réalisés, ce qui représenterait un coût supplémentaire pour la commune. Une question cruciale reste sans réponse : comment la commune financera-t-elle ces infrastructures sans alourdir la fiscalité locale ?
8. **Investissements supplémentaires à la charge de la commune :**
La mise en place d’infrastructures supplémentaires, telles que des liaisons piétonnes et cyclables entre Saint Christol et Pézenas, ou la gestion des zones inondables et des routes environnantes (comme celle de Nizas), générera des coûts significatifs pour la commune. Ces dépenses n’ont pas été intégrées dans l’analyse du projet et risquent de grever le budget municipal.
9. **Manque de transparence dans la gestion du projet :**
Enfin, il est inquiétant de constater que l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n’a pas été rendu public ni joint au dossier. Ce manque de transparence nuit à la confiance des citoyens dans le processus de consultation publique et laisse planer des doutes sur les réelles motivations derrière ce projet.
**Conclusion :**
Le projet de création d’un quartier de 700 logements à Pézenas, bien que répondant à des besoins en termes de logements, pose de nombreuses questions quant à sa faisabilité, son impact environnemental et social, ainsi que les coûts pour la commune. Il est essentiel que ces préoccupations soient sérieusement prises en compte avant de poursuivre ce projet.
avec le respect de l’environnement et de la biodiversité.
Les épisodes cévenols de 2019 ont démontré
que les terres à Saint-Christol sont inondables.
La Ville de Pézenas perd des habitants chaque année,
au lieu de créer un nouveau quartier dortoir,
il serait plus judicieux
de redynamiser le cœur de ville
et de renforcer l’attractivité de la commune.
Les difficultés de circulation et de stationnement
seront accrues avec 1500 personnes supplémentaires.
J’émets un avis défavorable.
Le manque de logements à louer ou acheter est criant.
Je le vois tous les jours dans le cadre de mon activité professionnelle, étant donné que je travaille en agence immobilière.
L idée du quartier « vivant » me parle et me semble très intéressante pour la ville.
Dans une région déjà touchée par des périodes de sécheresse de plus en plus longues et une gestion de l'eau en tension, il est légitime de se demander si les ressources en eau seront suffisantes pour alimenter un tel projet immobilier. Durant l’hiver dernier, plusieurs villages aux alentours ont dû être approvisionnés en eau par camions-citernes. L'ajout de 2 000 habitants supplémentaires à Pézenas risque d'aggraver cette situation. Où trouverons-nous l’eau nécessaire pour assurer les besoins de cette population croissante ?
2. **Impact environnemental sur l’hydrologie locale :**
La bétonisation de 24 hectares de terres agricoles à Saint Christol risque d’avoir un effet délétère sur le cycle de l’eau. En supprimant une zone d’absorption naturelle, le ruissellement des eaux pluviales vers les zones déjà sensibles de la ville pourrait s’intensifier, augmentant le risque d’inondations dans les secteurs vulnérables comme la rue Conti, l’avenue de Castelnau, ou encore les Calquières basses et hautes. De plus, la réduction des surfaces perméables ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique, ressource déjà sous pression.
3. **Perte de terres agricoles fertiles :**
La destruction de ces 24 hectares de terres agricoles, particulièrement fertiles, entraînerait une réduction significative de la production alimentaire locale, affaiblissant ainsi l’approvisionnement en produits agricoles du Piscénois. Alors que l’importance des circuits courts et de l’agriculture locale est de plus en plus reconnue, cette perte de terres arables serait dommageable pour la souveraineté alimentaire locale.
4. **Augmentation du trafic routier :**
L’ajout de 700 nouveaux logements entraînerait une augmentation de 17 % du trafic routier, un chiffre considérable dans une ville comme Pézenas. Comment le réseau routier, notamment le pont de la Peyne, pourrait-il absorber cet afflux sans entraîner des embouteillages, une augmentation de la pollution et des nuisances sonores pour les riverains ? Aucune solution viable n’est actuellement proposée pour gérer cet impact sur la mobilité urbaine.
5. **Équilibre commercial menacé :**
La création d’une Halle Gourmande de 700 m² à Saint Christol pourrait nuire au commerce local, notamment celui du centre-ville de Pézenas. En attirant une partie de la clientèle vers cette nouvelle zone, il y a un risque de désertification commerciale du centre historique, déjà en difficulté. Le projet de nouvelle Halle ne doit pas se faire au détriment des commerces existants.
6. **Capacité des infrastructures scolaires :**
Avec l’arrivée de nombreuses familles, il est nécessaire de se demander si les infrastructures scolaires, notamment les écoles primaires, seront capables d’accueillir tous ces nouveaux élèves. Les investissements scolaires dépendent de la commune, mais aucune garantie ni plan précis n’a été présenté pour la construction de nouvelles écoles ou l’agrandissement des infrastructures existantes. De plus, si des fonds importants sont alloués à ce nouveau quartier, cela pourrait compromettre les budgets destinés à d'autres secteurs, comme la rénovation du centre-ville.
7. **Capacité de la station d'épuration :**
La station d’épuration actuelle est-elle en mesure de traiter les eaux usées supplémentaires générées par ces 2 000 nouveaux habitants ? Si ce n’est pas le cas, des investissements conséquents devront être réalisés, ce qui représenterait un coût supplémentaire pour la commune. Une question cruciale reste sans réponse : comment la commune financera-t-elle ces infrastructures sans alourdir la fiscalité locale ?
8. **Investissements supplémentaires à la charge de la commune :**
La mise en place d’infrastructures supplémentaires, telles que des liaisons piétonnes et cyclables entre Saint Christol et Pézenas, ou la gestion des zones inondables et des routes environnantes (comme celle de Nizas), générera des coûts significatifs pour la commune. Ces dépenses n’ont pas été intégrées dans l’analyse du projet et risquent de grever le budget municipal.
9. **Manque de transparence dans la gestion du projet :**
Enfin, il est inquiétant de constater que l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n’a pas été rendu public ni joint au dossier. Ce manque de transparence nuit à la confiance des citoyens dans le processus de consultation publique et laisse planer des doutes sur les réelles motivations derrière ce projet.
**Conclusion :**
Le projet de création d’un quartier de 700 logements à Pézenas, bien que répondant à des besoins en termes de logements, pose de nombreuses questions quant à sa faisabilité, son impact environnemental et social, ainsi que les coûts pour la commune. Il est essentiel que ces préoccupations soient sérieusement prises en compte avant de poursuivre ce projet.
Petite question de fiscalité: faire le choix d’habiter un village voisin (aux impots plus bas) alors qu’on a une situation confortable et que l’on a grandi à Pézenas et que l’on continue à utiliser les services de la ville centre est-ce de l’exil fiscal ?
Petite question de cohérence: posséder des appartements en ville, et le revendiquer dans un post, tout en revendiquant habiter un village voisin, n’est-ce pas de l’arrogance ou se moquer du monde ?
Petite question de suffisance (mais pas d’autosuffisance): habiter ailleurs (pour payer moins d’impôts et être propriétaire pour moins cher), utiliser les services et activités de Pézenas et expliquer aux Piscénois qu’ils devraient payer plus d’impôts, avoir moins de services et voir moins de projets se réaliser, pour payer la dette foncière et juridique de Saint Christol, n’est-ce pas avoir du culot ?
Aujourd'hui, avec les sécheresse que nous affrontons d'année en année, il est essentiel de préserver les terres fertiles. Et avec les intempéries, les nouveaux quartiers modernes ne sont pas efficaces pour l'irrigation des eaux de pluies, de ce fait des inondations peuvent se développer. Les terres deviennent trop imperméabilisée, ce qui provoque plusieurs choses : le réchauffement climatique, les inondations, affaiblissement de la verdure/insectes/animaux,...
La vie est un élément sacré, nous devons la protéger. Les terres fertiles sont une richesse sacrée à protéger.
Saint Christol est un serpent de mer qui agite Pézenas depuis plusieurs années. Le projet qui était porté par l'ancienne municipalité ne correspondait pas aux besoins de la ville. C'était un projet consommateur d'espace, un projet de lotissement comme il s'en est beaucoup réalisé dans les années 1970. Au départ, il était question de 1500 logements.
J'ai participé aux réunions de présentation de ce vieux projet pour en dénoncer les aberrations. J'ai notamment participé, avec environ 70 autres habitants, aux réunions dites de concertation mises en place lorsque l'ancienne équipe municipale a demandé au cabinet d'architecture montpelliérain François Fontès de faire évoluer son projet. Cela n'a débouché sur rien car le cabinet d'architecte a préféré jeter l'éponge. Peut-être parce qu'il a compris que ce que les anciens élus lui demandaient était déraisonnable.
Cela n'a pas empêché l'ancienne équipe municipale de continuer à faire acheter les terrains par l’Établissement Public Foncier Régional, de choisir un aménageur et de créer la SEMOP. Lors de la présentation à la population de cette Société, quelques semaines avant les élections municipales, j'ai personnellement indiqué au Maire sortant, M. Alain Vogel-Singer, que tout était ficelé et que si une nouvelle équipe municipale était élue, elle aurait les pieds et poings liés.
J'avais raison !
L'audit des finances de la commune pour la période 2014-2020 réalisé par Finindev (voir pièce jointe Midi Libre) à la demande de la nouvelle municipalité a démontré que la Ville était très endettée, et que dans cette dette entraient les sommes dues à l’Établissement Public Foncier. Fin 2020, le total de la dette atteignait 18,9 M€, soit 2 191 € par habitant (contre 828 pour la moyenne de strate). « L'objectif de la commune sera d'entamer une démarche de désendettement dès les prochains exercices. » a préconisé le cabinet.
La Chambre Régionale des Comptes d'Occitanie a confirmé les conclusions de cet audit. Sur le projet St Christol, elle a estimé que c'était : « Une opération d'aménagement dont le montage présente de multiples fragilités. » La dette de près de 5 M€ contractée auprès de l'EPF aurait du être honorée depuis avril 2019 et ne l'était toujours pas.
C'est à partir de ce constat que le projet a du être modifié. La Ville allait-elle s'endetter sur les marchés financiers pour l'honorer ? La nouvelle équipe municipale ne l'a pas voulu. L'échelonnement de la dette afin qu'elle puisse être remboursée par la SEMOP a été négocié auprès de l'EPF et c'est tant mieux pour les Piscénoises et les Piscénois.
Le projet tel qu'il a été repensé me convient parfaitement.
Dans le projet repensé, il ne s'agit plus d'un simple lotissement (type années 70). Il y aura de la mixité sociale avec des logements HLM. Au niveau national, les chiffres rendus publics voici deux semaines font état de 2 700 000 demandes de logement social en attente. Au niveau du Département de l'Hérault, le chiffre est de 45 000 demandes en attente. Et Pézenas ne fait pas exception puisque plus de 350 demandes sont en attente. Le besoin est donc grand ! Dans le même ordre d'idées, il est bien qu'une cinquantaine de terrains soient réservés à des primo-accédants. Différents types de logements seront ainsi à la disposition de toutes les catégories de population des plus aisées aux plus en difficulté, de la villa individuelle au logement social, avec également des possibilités d’accession sociale à la propriété.
Ce ne sera pas un quartier dortoir puisque des activités sont prévues : centre thermo-ludique, gendarmerie, maison médicale, résidence autonomie... J'ai personnellement beaucoup regretté que des médecins aient du quitter Pézenas, faute de terrains, pour aller construire une maison médicale à Tourbes. A mon âge (74 ans), il est rassurant de savoir que je pourrai, si besoin, bénéficier d'une résidence autonomie dans ma ville. J'apprécie que, désormais, 45% de la surface du quartier soient réservés à des équipements et des espaces publics, et qu'on puisse y retrouver des parcours de santé et des aires de jeu.
Le projet a été repensé en diminuant de 156 le nombre de logements prévus dans la dernière mouture du programme de l'ancienne équipe municipale. C'est une bonne chose. Sur les 24,90 hectares, il n'y aura que 70 930 mètres carrés de bâtis, soit à peine plus de 26% de l'emprise totale du projet. L'ensemble des espaces verts sera ainsi porté à 5 hectares.
Le projet est considérablement remodelé. C'était une nécessité.
Qui a connu les différentes versions depuis l’an 2000 et l’argent dépensé en études en 20 ans et qui voit le projet final ne peut qu'apprécier les changements.
Robert Rivière
Un lieu de nature qui va se bétonner = risque d'inondation, baisse du confort de vie, pollution,...
Risque d'augmentation de déchets dont des volants dans la nature.
Ce projet tel qu’il est conçu par le Conseil Municipal en place depuis 2020 répond au moins à trois nécessités :
• S’il n’était pas réalisé, il imposerait à la Ville (qui n’a pas de « trésor caché » et dont l’endettement laissé par l’ancienne équipe municipale est conséquent), de contracter un emprunt de plusieurs millions d’euros (pour le paiement des terrains acquis par l’ancienne équipe municipale par l’intermédiaire de la Société Foncière et des indemnités dues à la SEMOP).
La première difficulté résiderait dans le fait qu’aucune institution financière ou banque ne prêterait à la Commune une telle somme pour ... ne rien réaliser ! Quant à faire croire que l’Etat ou la Région pourraient se substituer à la Commune c’est tout simplement impossible. La deuxième difficulté tout aussi évidente, le remboursement de l’emprunt (s’il était, par miracle, obtenu) représenterait une charge supplémentaire de plusieurs centaines de milliers d’euros … par an !
• L’emprunt n’étant pas possible et même s’il l’était, il faudrait recourir à l’augmentation des impôts locaux en l’occurrence la Taxe Foncière et celles payées par les entreprises locales. Or, la taxe foncière est déjà très élevé grâce à l’héritage de l’ancienne Municipalité (l’audit financier réalisé en 2020-2021 prouve les assertions relatives à cet héritage) ; deuxième constat, le taux de chômage sur le bassin d’emploi de Pézenas-Agde est le plus élevé du pays : 14,2% ; enfin beaucoup d’entreprises ne pourraient l’assumer et quitteraient notre territoire.
• Pour éviter la ruine et la désertification de notre ville, le projet Saint-Christol doit être mené à son terme, d’autant qu’il a été travaillé et retravaillé (l’évolution du dossier présenté au cours de réunions publiques notamment, le prouve).
En résumé, plutôt que risquer une catastrophe économique et sociale en refusant obstinément de voir les progrès réalisés dans la mise au point de ce dossier, envisageons au contraire la transformation de cette difficulté en une nouvelle étape de la dynamique de cette ville comme le montrent les plans, les écrits (préservation d’espèces endémiques, limitation de l’artificialisation des sols …) de la dernière mouture du projet.
C est un acte ECOCIDAIRE qui dihne l ignorance qui preside au projet.
Jeune Piscénoise, j’ai dû aller habiter dans un village voisin pour trouver un bien abordable. J’espère que d’autres pourront faire un autre choix avec ce quartier.
Par ailleurs, il favorisera l' équilibre de l ' implantation des construction sur la commune, vers l'est.
Alors oui je soutien le projet de Saint Christol .
J B
Dans une région déjà touchée par des périodes de sécheresse de plus en plus longues et une gestion de l'eau en tension, il est légitime de se demander si les ressources en eau seront suffisantes pour alimenter un tel projet immobilier. Durant l’hiver dernier, plusieurs villages aux alentours ont dû être approvisionnés en eau par camions-citernes. L'ajout de 2 000 habitants supplémentaires à Pézenas risque d'aggraver cette situation. Où trouverons-nous l’eau nécessaire pour assurer les besoins de cette population croissante ?
2. **Impact environnemental sur l’hydrologie locale :**
La bétonisation de 24 hectares de terres agricoles à Saint Christol risque d’avoir un effet délétère sur le cycle de l’eau. En supprimant une zone d’absorption naturelle, le ruissellement des eaux pluviales vers les zones déjà sensibles de la ville pourrait s’intensifier, augmentant le risque d’inondations dans les secteurs vulnérables comme la rue Conti, l’avenue de Castelnau, ou encore les Calquières basses et hautes. De plus, la réduction des surfaces perméables ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique, ressource déjà sous pression.
3. **Perte de terres agricoles fertiles :**
La destruction de ces 24 hectares de terres agricoles, particulièrement fertiles, entraînerait une réduction significative de la production alimentaire locale, affaiblissant ainsi l’approvisionnement en produits agricoles du Piscénois. Alors que l’importance des circuits courts et de l’agriculture locale est de plus en plus reconnue, cette perte de terres arables serait dommageable pour la souveraineté alimentaire locale.
4. **Augmentation du trafic routier :**
L’ajout de 700 nouveaux logements entraînerait une augmentation de 17 % du trafic routier, un chiffre considérable dans une ville comme Pézenas. Comment le réseau routier, notamment le pont de la Peyne, pourrait-il absorber cet afflux sans entraîner des embouteillages, une augmentation de la pollution et des nuisances sonores pour les riverains ? Aucune solution viable n’est actuellement proposée pour gérer cet impact sur la mobilité urbaine.
5. **Équilibre commercial menacé :**
La création d’une Halle Gourmande de 700 m² à Saint Christol pourrait nuire au commerce local, notamment celui du centre-ville de Pézenas. En attirant une partie de la clientèle vers cette nouvelle zone, il y a un risque de désertification commerciale du centre historique, déjà en difficulté. Le projet de nouvelle Halle ne doit pas se faire au détriment des commerces existants.
6. **Capacité des infrastructures scolaires :**
Avec l’arrivée de nombreuses familles, il est nécessaire de se demander si les infrastructures scolaires, notamment les écoles primaires, seront capables d’accueillir tous ces nouveaux élèves. Les investissements scolaires dépendent de la commune, mais aucune garantie ni plan précis n’a été présenté pour la construction de nouvelles écoles ou l’agrandissement des infrastructures existantes. De plus, si des fonds importants sont alloués à ce nouveau quartier, cela pourrait compromettre les budgets destinés à d'autres secteurs, comme la rénovation du centre-ville.
7. **Capacité de la station d'épuration :**
La station d’épuration actuelle est-elle en mesure de traiter les eaux usées supplémentaires générées par ces 2 000 nouveaux habitants ? Si ce n’est pas le cas, des investissements conséquents devront être réalisés, ce qui représenterait un coût supplémentaire pour la commune. Une question cruciale reste sans réponse : comment la commune financera-t-elle ces infrastructures sans alourdir la fiscalité locale ?
8. **Investissements supplémentaires à la charge de la commune :**
La mise en place d’infrastructures supplémentaires, telles que des liaisons piétonnes et cyclables entre Saint Christol et Pézenas, ou la gestion des zones inondables et des routes environnantes (comme celle de Nizas), générera des coûts significatifs pour la commune. Ces dépenses n’ont pas été intégrées dans l’analyse du projet et risquent de grever le budget municipal.
9. **Manque de transparence dans la gestion du projet :**
Enfin, il est inquiétant de constater que l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n’a pas été rendu public ni joint au dossier. Ce manque de transparence nuit à la confiance des citoyens dans le processus de consultation publique et laisse planer des doutes sur les réelles motivations derrière ce projet.
**Conclusion :**
Le projet de création d’un quartier de 700 logements à Pézenas, bien que répondant à des besoins en termes de logements, pose de nombreuses questions quant à sa faisabilité, son impact environnemental et social, ainsi que les coûts pour la commune. Il est essentiel que ces préoccupations soient sérieusement prises en compte avant de poursuivre ce projet.
Il devrait y en avoir d’avantage.
Ce qui nous a attiré à Pezenas c est le l'esprit de village tout en proposant un dynamisme culturelle et une grande variété de commerce.
Je crains que ce nouveau quartier signe la fin du pezenas que l'on a connu pour ressemble de plus en plus au ville nouvelle de la région parisienne dont je suis originaire.
Il y a déjà 20 ans en arriere ce genre d'eco quartier qui n'ont rien d'ecologique fleurissent en banlieue parisienne.
Ce projet est dépassé. La ville rate une occasion de s'inscrire dans le progrès en refusant ce genre de projet.
Problème lié à l'augmentation du traffic déjà saturé le matin et en fin de journée.
Problème lié au manque d'eau dans les année à venir
Problème lié à la délinquance que génére l'augmentation de la population si les infrastructures de la ville ne sont pas adapter pour accueillir notamment les jeunes.
Manque de connection avec le cœur de ville en terme de voie piétonne.
Problème d'inondation. Il y a de cela quelque année d'énorme inondation on eu lieu à pezenas. Les experts ne prévoient pas l'augmentation de episodes meteo a risque.
Pas d'école de prévue dans le nouveau quartier.
Je suis contre car Pezenas est une jolie ville qu il ne d'autres pas denaturer
Dans une région déjà touchée par des périodes de sécheresse de plus en plus longues et une gestion de l'eau en tension, il est légitime de se demander si les ressources en eau seront suffisantes pour alimenter un tel projet immobilier. Durant l’hiver dernier, plusieurs villages aux alentours ont dû être approvisionnés en eau par camions-citernes. L'ajout de 2 000 habitants supplémentaires à Pézenas risque d'aggraver cette situation. Où trouverons-nous l’eau nécessaire pour assurer les besoins de cette population croissante ?
2. **Impact environnemental sur l’hydrologie locale :**
La bétonisation de 24 hectares de terres agricoles à Saint Christol risque d’avoir un effet délétère sur le cycle de l’eau. En supprimant une zone d’absorption naturelle, le ruissellement des eaux pluviales vers les zones déjà sensibles de la ville pourrait s’intensifier, augmentant le risque d’inondations dans les secteurs vulnérables comme la rue Conti, l’avenue de Castelnau, ou encore les Calquières basses et hautes. De plus, la réduction des surfaces perméables ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique, ressource déjà sous pression.
3. **Perte de terres agricoles fertiles :**
La destruction de ces 24 hectares de terres agricoles, particulièrement fertiles, entraînerait une réduction significative de la production alimentaire locale, affaiblissant ainsi l’approvisionnement en produits agricoles du Piscénois. Alors que l’importance des circuits courts et de l’agriculture locale est de plus en plus reconnue, cette perte de terres arables serait dommageable pour la souveraineté alimentaire locale.
4. **Augmentation du trafic routier :**
L’ajout de 700 nouveaux logements entraînerait une augmentation de 17 % du trafic routier, un chiffre considérable dans une ville comme Pézenas. Comment le réseau routier, notamment le pont de la Peyne, pourrait-il absorber cet afflux sans entraîner des embouteillages, une augmentation de la pollution et des nuisances sonores pour les riverains ? Aucune solution viable n’est actuellement proposée pour gérer cet impact sur la mobilité urbaine.
5. **Équilibre commercial menacé :**
La création d’une Halle Gourmande de 700 m² à Saint Christol pourrait nuire au commerce local, notamment celui du centre-ville de Pézenas. En attirant une partie de la clientèle vers cette nouvelle zone, il y a un risque de désertification commerciale du centre historique, déjà en difficulté. Le projet de nouvelle Halle ne doit pas se faire au détriment des commerces existants.
6. **Capacité des infrastructures scolaires :**
Avec l’arrivée de nombreuses familles, il est nécessaire de se demander si les infrastructures scolaires, notamment les écoles primaires, seront capables d’accueillir tous ces nouveaux élèves. Les investissements scolaires dépendent de la commune, mais aucune garantie ni plan précis n’a été présenté pour la construction de nouvelles écoles ou l’agrandissement des infrastructures existantes. De plus, si des fonds importants sont alloués à ce nouveau quartier, cela pourrait compromettre les budgets destinés à d'autres secteurs, comme la rénovation du centre-ville.
7. **Capacité de la station d'épuration :**
La station d’épuration actuelle est-elle en mesure de traiter les eaux usées supplémentaires générées par ces 2 000 nouveaux habitants ? Si ce n’est pas le cas, des investissements conséquents devront être réalisés, ce qui représenterait un coût supplémentaire pour la commune. Une question cruciale reste sans réponse : comment la commune financera-t-elle ces infrastructures sans alourdir la fiscalité locale ?
8. **Investissements supplémentaires à la charge de la commune :**
La mise en place d’infrastructures supplémentaires, telles que des liaisons piétonnes et cyclables entre Saint Christol et Pézenas, ou la gestion des zones inondables et des routes environnantes (comme celle de Nizas), générera des coûts significatifs pour la commune. Ces dépenses n’ont pas été intégrées dans l’analyse du projet et risquent de grever le budget municipal.
9. **Manque de transparence dans la gestion du projet :**
Enfin, il est inquiétant de constater que l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n’a pas été rendu public ni joint au dossier. Ce manque de transparence nuit à la confiance des citoyens dans le processus de consultation publique et laisse planer des doutes sur les réelles motivations derrière ce projet.
**Conclusion :**
Le projet de création d’un quartier de 700 logements à Pézenas, bien que répondant à des besoins en termes de logements, pose de nombreuses questions quant à sa faisabilité, son impact environnemental et social, ainsi que les coûts pour la commune. Il est essentiel que ces préoccupations soient sérieusement prises en compte avant de poursuivre ce projet.
Projet dont l’« objectif est de s’inscrire dans une histoire pour mieux la prolonger ». Permettez-moi d’en douter, nous nous inscrivons dans une ère artificielle et égoïste.
Quel intérêt appart économique pour une petite poignée, la construction d’une ville peinte en vert dont nous n’avons que faire tandis que la ville est en décroissance démographique depuis 2010. Permettez-moi de douter que la construction d’un tel projet soit motivée par une demande de logement alors que 800 logements sont considérés comme inoccupés dans le centre de Pézenas.
C’est une chance pour les piscénois de pouvoir se promener dans les champs bordés de coquelicots au printemps, à quelques minutes à pied du centre-ville. La construction d’un tel projet serait une hérésie pour les habitants privés de cette liberté, pour la ressource en eau qu’on a déjà peine à partager, la circulation qui déjà se densifie, pour les places de parking qui oppressent la ville et des PV à la sortie de la boulangerie, pour les artisans un à un remplacés par des franchises bourgeoises. Une hérésie pour la biodiversité qui souffre de manque de considération et qui nous perdra.
Retrouvons notre sens de l’esthétique, des choses bien faites, l’importance de la qualité de vie et soyons jaloux de la chance qu’on a de vivre à la campagne.
Alice Genieys
Vincent Genieys
Ils veulent construire un quartier de 700 logement juste en face de notre jardin. Si vous avez 5 minute vous pouvez cliquer sur ce lien et emmetre un avis defavorable. Ça peux aider.
Merci et jspr que vous tous passé une bonne rentrée.
Dans le cadre du projet Saint Christol a pezenas voi
1. **Problématique de l’eau dans un contexte de sécheresse croissante :**
Dans une région déjà touchée par des périodes de sécheresse de plus en plus longues et une gestion de l'eau en tension, il est légitime de se demander si les ressources en eau seront suffisantes pour alimenter un tel projet immobilier. Durant l’hiver dernier, plusieurs villages aux alentours ont dû être approvisionnés en eau par camions-citernes. L'ajout de 2 000 habitants supplémentaires à Pézenas risque d'aggraver cette situation. Où trouverons-nous l’eau nécessaire pour assurer les besoins de cette population croissante ?
2. **Impact environnemental sur l’hydrologie locale :**
La bétonisation de 24 hectares de terres agricoles à Saint Christol risque d’avoir un effet délétère sur le cycle de l’eau. En supprimant une zone d’absorption naturelle, le ruissellement des eaux pluviales vers les zones déjà sensibles de la ville pourrait s’intensifier, augmentant le risque d’inondations dans les secteurs vulnérables comme la rue Conti, l’avenue de Castelnau, ou encore les Calquières basses et hautes. De plus, la réduction des surfaces perméables ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique, ressource déjà sous pression.
3. **Perte de terres agricoles fertiles :**
La destruction de ces 24 hectares de terres agricoles, particulièrement fertiles, entraînerait une réduction significative de la production alimentaire locale, affaiblissant ainsi l’approvisionnement en produits agricoles du Piscénois. Alors que l’importance des circuits courts et de l’agriculture locale est de plus en plus reconnue, cette perte de terres arables serait dommageable pour la souveraineté alimentaire locale.
4. **Augmentation du trafic routier :**
L’ajout de 700 nouveaux logements entraînerait une augmentation de 17 % du trafic routier, un chiffre considérable dans une ville comme Pézenas. Comment le réseau routier, notamment le pont de la Peyne, pourrait-il absorber cet afflux sans entraîner des embouteillages, une augmentation de la pollution et des nuisances sonores pour les riverains ? Aucune solution viable n’est actuellement proposée pour gérer cet impact sur la mobilité urbaine.
5. **Équilibre commercial menacé :**
La création d’une Halle Gourmande de 700 m² à Saint Christol pourrait nuire au commerce local, notamment celui du centre-ville de Pézenas. En attirant une partie de la clientèle vers cette nouvelle zone, il y a un risque de désertification commerciale du centre historique, déjà en difficulté. Le projet de nouvelle Halle ne doit pas se faire au détriment des commerces existants.
6. **Capacité des infrastructures scolaires :**
Avec l’arrivée de nombreuses familles, il est nécessaire de se demander si les infrastructures scolaires, notamment les écoles primaires, seront capables d’accueillir tous ces nouveaux élèves. Les investissements scolaires dépendent de la commune, mais aucune garantie ni plan précis n’a été présenté pour la construction de nouvelles écoles ou l’agrandissement des infrastructures existantes. De plus, si des fonds importants sont alloués à ce nouveau quartier, cela pourrait compromettre les budgets destinés à d'autres secteurs, comme la rénovation du centre-ville.
7. **Capacité de la station d'épuration :**
La station d’épuration actuelle est-elle en mesure de traiter les eaux usées supplémentaires générées par ces 2 000 nouveaux habitants ? Si ce n’est pas le cas, des investissements conséquents devront être réalisés, ce qui représenterait un coût supplémentaire pour la commune. Une question cruciale reste sans réponse : comment la commune financera-t-elle ces infrastructures sans alourdir la fiscalité locale ?
8. **Investissements supplémentaires à la charge de la commune :**
La mise en place d’infrastructures supplémentaires, telles que des liaisons piétonnes et cyclables entre Saint Christol et Pézenas, ou la gestion des zones inondables et des routes environnantes (comme celle de Nizas), générera des coûts significatifs pour la commune. Ces dépenses n’ont pas été intégrées dans l’analyse du projet et risquent de grever le budget municipal.
9. **Manque de transparence dans la gestion du projet :**
Enfin, il est inquiétant de constater que l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n’a pas été rendu public ni joint au dossier. Ce manque de transparence nuit à la confiance des citoyens dans le processus de consultation publique et laisse planer des doutes sur les réelles motivations derrière ce projet.
**Conclusion :**
Le projet de création d’un quartier de 700 logements à Pézenas, bien que répondant à des besoins en termes de logements, pose de nombreuses questions quant à sa faisabilité, son impact environnemental et social, ainsi que les coûts pour la commune. Il est essentiel que ces préoccupations soient sérieusement prises en compte avant de poursuivre ce projet.
C’est un projet innovant !!!
Bravo aux architectes et aux autres bureaux d’études
Ce projet risque de détourner l’attention et les ressources de notre centre historique, fragilisant encore davantage les artisans. Comment attirer les visiteurs dans nos échoppes si le cœur de Pézenas est concurrencé par un quartier flambant neuf sans âme, éloigné de notre tradition ?
Pézenas doit rester une ville où l’on valorise l’histoire et le savoir-faire. Ce projet, avec ses constructions modernes et son béton, menace d’effacer l’identité unique de notre ville.
Le centre est déjà fragilisé par les grandes enseignes en périphérie. Ajouter une nouvelle zone commerciale à Saint-Christol pourrait être le coup de grâce pour les artisans locaux. L’afflux de nouveaux habitants et de commerces ne profitera pas à nos ateliers, mais créera une concurrence déloyale.
Je suis contre ce projet.
Olivier Dalhmann
Défavorable contre les projets d'envergure impactant le commerce local
Défavorable envers les projets ecocides et nécessitant de l'eau que nous n'avons plus.
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ? Alors que l'eau en tant que boisson doit être la priorité.
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol entraînerait une baisse de l’absorbtion des précipitations et ainsi accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, alors que partout en France on lutte pour désimperméabiliser les sols pour mieux recharger les nappes phréatiques. Ici, on irait à l'inverse.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%. Alors que l'approvisionnement alimentaire local est une urgence partout face aux coûts de transport, aux risques d'approvisionnement dûs aux conflits mondieux, cela doit aussi être une urgence à Pézenas.
• Comment absorber 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ? Il n'est plus possible de construire sans prendre en compte la problématique du trafic routier comme il a trop souvent été le cas par le passé.
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ? On sait que toute construction d'une zone commerciale en périphérie entraîne la baisse de frequentation des commerces de centre-ville et au final la fermeture de ces commerces, et de la vie qui allait avec.
• Comment seraient scolarisés les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs ? C'est incohérent.
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ? Les habitants doivent être entendus et respectés dans leurs avis.
Bravo pour ce projet qui promet de transformer Pézenas en une métropole bétonnée ! 24 hectares sacrifiés, une biodiversité effacée, et tout ça pour un 'quartier éco-futuriste'. On admire le génie de bétonner des terres fertiles en pleine crise climatique. Un exemple parfait de développement 'durable'. À ce rythme, Pézenas finira par ressembler à n'importe quelle autre ville sans âme. Molière doit se retourner dans sa tombe !
David Mayné
Je suis profondément contre !
Le projet Saint-Christol prévoit 2 000 habitants supplémentaires dans une région souffrant déjà d'un stress hydrique. Comment justifier un tel développement alors que nos nappes phréatiques sont à sec ? Rajouter une telle pression sur les ressources en eau, c’est risquer de condamner Pézenas à des restrictions encore plus sévères. Pensons aux habitants, a ceux a venir : il est encore temps de penser un projet commun, Pézenas le mérite.
Jean-Pierre Menival
De plus, la sécheresse dans notre région est très présente, est-il nécessaire d'accroitre la population qui va nécessiter des besoins en eau supplémentaires.
Bétonner des espaces naturels à cette échelle n'est pas un bon choix dans le contexte actuel
Je suis piscénois de coeur et je suis absolument contre ce projet. Détruire 24 hectares de terres fertiles pour construire un quartier qui mettra des décennies à s’intégrer, c’est sacrifier notre patrimoine au profit d’une urbanisation déconnectée. Pézenas mérite mieux : préservons nos ressources et investissons dans le cœur historique plutôt que de le condamner à l’étouffement. Ce projet est une hérésie écologique et sociale. Refusons-le !
Olivier Sigaud
Je réside à 150 m de la limite du projet de quartier Saint Christol.
Je vis dans le quartier depuis 62 ans.
Je constate la naissance d’un nouveau « village » identique en population (environ 1500 habitants) aux villages voisins encerclant Pézenas : Valros, Lézignan la Cèbe, Tourbes, Castelnau de Guers.
Ce projet est collé comme une verrue à 2 km du centre de Pézenas séparé par une zone de 400 m de large, inondable, interdisant la continuité avec la ville.
Les seules liaisons sont :
- En véhicule par la D913
- En vélo ou à pied par l’ancienne voie « d’intérêt local ».
Inquiétudes sur :
- Un apport supplémentaire de 1400 véhicules,
- La circulation aux abords du quartier, l’utilisation dans les 2 sens des chemins actuellement à 1 voie sur lesquels la courtoisie est la règle.
- Le chemin de Castres, servant déjà aujourd’hui de déviation Nord, comporte des tronçons à une voie ce qui crée souvent des « prises de bec » entre automobilistes. Que va-t-il se passer avec un contingent de véhicules supplémentaires ?
- La fluidité de la circulation sur la D913 est menacée par le système prévu de feux tricolores pour réguler les entrées et sorties du quartier !
- Le point noir autour du pont de la Peyne, la circulation est souvent difficile aux intersections de la D913 avec la route de Nizas et le boulevard Voltaire (D13E18)
Risques :
- En matière d’aménagement hydraulique, je ne vais pas contester les calculs des experts, mais par expérience, lors de gros orages, il suffit de quelques feuilles d’arbres pour boucher les grilles d’entrée du réseau pluvial pour créer la panique.
- Le 23 Octobre 2019, le tènement St Christol est devenu une presqu’île pendant 5 à 6 h. La Peyne, le Tartuguier et le ruisseau d’Arnet étant sortis de leurs lits coupant la D913, route de Nizas, le Chemin de St Christol, le Chemin de Chichery et le Chemin de Castres.
L’unique voie praticable à pied était l’ancienne voie « d’intérêt local ».
La fréquence des épisodes cévenols augmente, est-il normal de continuer dans cette voie ?
- Suite à l’imperméabilisation d’une grande superficie :
Quel va être l’impact sur les puits des riverains du projet ?
Plusieurs puits de nos voisins ce sont taris cet été.
Si soucis de manque d’eau, les riverains seront-ils raccordés au réseau du nouveau quartier ?
Je suis pour la revitalisation du centre de Pézenas et la réhabilitation des centaines de logements vacants comme le font les communes d’Agde et Béziers.
Je suis pour le logement pour tous, mais défavorable à ce projet.
Il serait peut-être préférable de se concentrer sur le stationnement gratuit.
Comment pourrais-je adhérer au projet Saint-Christol ?
On nous parle d’une dette effective de 5 millions d’euros qui le motiverait. Mais au final, à combien va se monter la facture ? Cet argument est donc insidieux. Par contre, la multitude de problèmes qu’il va soulever, eux, seront bien réels. L’eau est naturellement le plus préoccupant : le besoin en eau de 2 000 personnes supplémentaires va incontestablement poser problème à plus ou moins long terme. Et que penser du bétonnage de 24 hectares… encore et encore… Hérésie architecturale à deux pas d’un bâtiment historique, symbole du prince de Conti et de Molière, qu’est la Grange des Prés.
On n'a vraiment rien compris. Ce projet n’apportera rien de plus à la ville de Pézenas, bien au contraire. Ce n’est pas un nouveau quartier, c’est une nouvelle ville flambant neuve.
Henri Genieys
Plus de liens et moins de biens partout
Plus de coopération et moins de compétition entre les humains urbains et/ou ruraux
Les bailleurs privés bénéficient également de cette situation favorable. Face à la demande, les loyers augmentent.
Enfin, les Airbnb se multiplient car plus rentables qu’une location classique. Pezenas, la ville que j’aime c’est avant tout la ville de la mixité, du lien social sans condition d’appartenance de classe, de normalité et ça n'est pas exclusivement une vitrine touristique que seul un happy few peut habiter.
Les classes moyennes dont je fais partie ne peuvent plus se loger à Pézenas.
Quant aux « pauvres », handicapés, sans emploi, ils ne peuvent plus accéder à un logement décent ou sont relégués dans des logements indignes, parfois loués par des marchands de sommeil.
Simple progressiste, je n’ai qu’un souhait, celui de préserver cette belle culture piscénoise et de parier sur ce sacrifice écologique pour ne pas asphyxier cette ville que j'aime tant. Malgré un grand souci de préserver l’environnement, je vote pour que 655 logements soient construits. Tenir compte de la dimension sociale, c’est aussi de l’écologie.
Je connais PEZENAS depuis plus de 66 ans.
Mes grands parents y ont déposé leur valises en venant d Espagne en 1910.
Ils ont eu dix enfants dans cette ville et logeaient au coeur de la ville dans ce que l on appelait la maison des pauvres.
Mon père qui est né en 1925 habite toujours à PEZENAS, au quartier St Christol.
Ma mère est enterrée à PEZENAS depuis le 10 août 2024.Elle avait 96 ans.
Le quartier St Chritol doit être préservé et protéger.
Son sous sol recèle d un réseau d irrigation ancien.
Qui a su défier le temps et la bêtise des hommes.
Puis-il perdurer.
Construire ici est une gigantesque erreur.
Écologique d abord.
Mais aussi il faut penser à l avenir de ces centaines de maisons qui n auront plus d eau dans quelques années.
Et qui connaîtront aussi les inondations.
C est un paradoxe mais il se vérifie régulièrement.
Je suis fondamentalement contre ce projet de Saint-Christol, et ce depuis son origine. Le simple fait d’envisager 2000 personnes de plus est une hérésie.
Osons évoquer ce que seront demain :
les problèmes de circulation et de stationnement, déjà très sensibles aujourd’hui.
L’angoisse liée à la gestion de l’eau est bien présente et se fait chaque année plus perceptible, a-t-on déjà vu la Peyne et le Tartuguier totalement à sec ? Combien de puits de particuliers posent des problèmes alarmants ?
Alors que personne n’ignore que l’Hérault est un des départements les plus pauvres de France, allons nous nous permettre le luxe d’attirer des personnes pour lesquelles nous n’aurons aucun emploi à fournir…
Que dire également du fait de bétonner 24 hectares de terres ? Dans le contexte actuel, où tous, absolument tous les voyants sont au rouge en matière d’environnement… Le manque de logements est un argument fallacieux. Ne serait-il pas plus judicieux de restaurer ces multiples maisons inhabitées du centre qui, pour le même coût, apporteraient de la vie à notre cœur de ville, qui ne vibre que deux mois par an ?
Créer la vie ailleurs et abandonner l’existant, n’est-ce pas absurde ? Où est le bon sens de nos décideurs ?
Merci de m'avoir lue.
Suzanne Matéo
Bouchon, queue, piscine surchargé, activité extra scolaire saturé.
Aucune école supplémentaire n'a été prévue. Les gens qui vont amener leur enfant à l'école le matin vont encore plus surchargé le traffic.
Comment le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus qu’une partie des précipitations, n’accentuerait-il pas grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…) ? Et comment ce bétonnage n’affecterait-il pas le rechargement de la nappe phréatique ?
Comment les 17 % de trafic routier supplémentaires (notamment sur le pont de Peyne) pourraient-ils être absorbés ?
Comment ne pas remarquer l’incohérence entre les 700 logements inoccupés en centre ville et le projet qui prévoit la construction de 655 logements neufs?
Combien d’investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), ainsi que la scolarisation des nouveaux élèves (en particulier ceux du Primaire), etc… ?
Et enfin POURQUOI l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n'a-t-il pas été pris en compte ?
Les bouchons vont devenir un problème au quotidien
L'augmentation de la population va induire plus de délinquance
Problème où ces nouveaux arrivants se feront ils suivre médicalement tous les médecins sont surbooke ....
Où les enfants iront ils à l école ?
Pas de structures pour les accueillir
.....
Les risque de pénurie d'eau du a l'augmentation de la population sont à prendre en compte
Les risque d'inondation du au pluie de plus en plus forte
Notre région souffre d'un déficit de logements adaptés aux besoins des familles, des jeunes actifs et des personnes âgées. Ce projet vise à combler cette lacune et à offrir des solutions durables en matière d’habitat.
Cela fait des années que Pézenas stagne ou régresse économiquement et en population. Je ne jette la pierre politique à personne, mais l'inertie et l'opposition à tout mènent au néant.
Je suis né à Pézenas, dans une clinique qui ne possède plus de maternité depuis des années déjà. Ma famille est ancrée dans la région depuis 300 ans. Il faut proposer un avenir à notre belle région.
Cordialement,
Yannick MOURET
Dans une région déjà touchée par des périodes de sécheresse de plus en plus longues et une gestion de l'eau en tension, il est légitime de se demander si les ressources en eau seront suffisantes pour alimenter un tel projet immobilier. Durant l’hiver dernier, plusieurs villages aux alentours ont dû être approvisionnés en eau par camions-citernes. L'ajout de 2 000 habitants supplémentaires à Pézenas risque d'aggraver cette situation. Où trouverons-nous l’eau nécessaire pour assurer les besoins de cette population croissante ?
2. **Impact environnemental sur l’hydrologie locale :**
La bétonisation de 24 hectares de terres agricoles à Saint Christol risque d’avoir un effet délétère sur le cycle de l’eau. En supprimant une zone d’absorption naturelle, le ruissellement des eaux pluviales vers les zones déjà sensibles de la ville pourrait s’intensifier, augmentant le risque d’inondations dans les secteurs vulnérables comme la rue Conti, l’avenue de Castelnau, ou encore les Calquières basses et hautes. De plus, la réduction des surfaces perméables ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique, ressource déjà sous pression.
3. **Perte de terres agricoles fertiles :**
La destruction de ces 24 hectares de terres agricoles, particulièrement fertiles, entraînerait une réduction significative de la production alimentaire locale, affaiblissant ainsi l’approvisionnement en produits agricoles du Piscénois. Alors que l’importance des circuits courts et de l’agriculture locale est de plus en plus reconnue, cette perte de terres arables serait dommageable pour la souveraineté alimentaire locale.
4. **Augmentation du trafic routier :**
L’ajout de 700 nouveaux logements entraînerait une augmentation de 17 % du trafic routier, un chiffre considérable dans une ville comme Pézenas. Comment le réseau routier, notamment le pont de la Peyne, pourrait-il absorber cet afflux sans entraîner des embouteillages, une augmentation de la pollution et des nuisances sonores pour les riverains ? Aucune solution viable n’est actuellement proposée pour gérer cet impact sur la mobilité urbaine.
5. **Équilibre commercial menacé :**
La création d’une Halle Gourmande de 700 m² à Saint Christol pourrait nuire au commerce local, notamment celui du centre-ville de Pézenas. En attirant une partie de la clientèle vers cette nouvelle zone, il y a un risque de désertification commerciale du centre historique, déjà en difficulté. Le projet de nouvelle Halle ne doit pas se faire au détriment des commerces existants.
6. **Capacité des infrastructures scolaires :**
Avec l’arrivée de nombreuses familles, il est nécessaire de se demander si les infrastructures scolaires, notamment les écoles primaires, seront capables d’accueillir tous ces nouveaux élèves. Les investissements scolaires dépendent de la commune, mais aucune garantie ni plan précis n’a été présenté pour la construction de nouvelles écoles ou l’agrandissement des infrastructures existantes. De plus, si des fonds importants sont alloués à ce nouveau quartier, cela pourrait compromettre les budgets destinés à d'autres secteurs, comme la rénovation du centre-ville.
7. **Capacité de la station d'épuration :**
La station d’épuration actuelle est-elle en mesure de traiter les eaux usées supplémentaires générées par ces 2 000 nouveaux habitants ? Si ce n’est pas le cas, des investissements conséquents devront être réalisés, ce qui représenterait un coût supplémentaire pour la commune. Une question cruciale reste sans réponse : comment la commune financera-t-elle ces infrastructures sans alourdir la fiscalité locale ?
8. **Investissements supplémentaires à la charge de la commune :**
La mise en place d’infrastructures supplémentaires, telles que des liaisons piétonnes et cyclables entre Saint Christol et Pézenas, ou la gestion des zones inondables et des routes environnantes (comme celle de Nizas), générera des coûts significatifs pour la commune. Ces dépenses n’ont pas été intégrées dans l’analyse du projet et risquent de grever le budget municipal.
9. **Manque de transparence dans la gestion du projet :**
Enfin, il est inquiétant de constater que l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n’a pas été rendu public ni joint au dossier. Ce manque de transparence nuit à la confiance des citoyens dans le processus de consultation publique et laisse planer des doutes sur les réelles motivations derrière ce projet.
**Conclusion :**
Le projet de création d’un quartier de 700 logements à Pézenas, bien que répondant à des besoins en termes de logements, pose de nombreuses questions quant à sa faisabilité, son impact environnemental et social, ainsi que les coûts pour la commune. Il est essentiel que ces préoccupations soient sérieusement prises en compte avant de poursuivre ce projet.
Le taux de chômage du bassin d’emploi de Pézenas-Agde est particulièrement élevé.
Le tourisme constitue une des rares activités pourvoyeuse d’emplois sur ce territoire.
Toutefois, cette activité étant essentiellement saisonnière, elle n’induit que des recrutements de courte durée.
Il existe pourtant une ressource insuffisamment exploitée : l’eau chaude du forage Pz2. Cette ressource est, par ailleurs, depuis 2019, autorisée en tant qu’eau minérale naturelle pour une distribution en buvette publique.
Un centre thermoludique a été projeté pour permettre la mise en valeur de cette richesse qui aurait pour avantage l’étalement de la saison touristique et qui proposerait un nouveau loisir aux résidents de l’Agglo Héraut-Méditerranée.
Cet équipement a été conçu d’une taille suffisante pour l’accueil correspondant aux fréquentations estimées et pour être suffisamment visible et attractif pour l’ensemble des visiteurs.
Son implantation dans l’ancien domaine de Saint-Christol a été guidé par deux impératifs :
• disposer d’une surface d’un hectare pour le centre proprement dit
• et offrir sur la ZAC, à proximité dudit centre, des terrains afin que des opérateurs puissent construire un ou plusieurs hébergements touristiques (hôtel ou résidence de tourisme).
Cette activité nouvelle si elle se concrétisait sur le Domaine de Saint-Christol
• favoriserait ainsi la création d’emplois en CDI et stabiliserait les postes d’autres commerces et services.
• permettrait de mutualiser les dépenses nécessaires pour financer réseaux et accès en les réalisant en même temps que ceux du quartier,
• dynamiserait le site et participerait à sa réorientation.
Telle est la genèse d’une activité économique nouvelle et la raison de son implantation sur la ZAC de Saint-Christol.
Marc PEPI
Dans une région déjà touchée par des périodes de sécheresse de plus en plus longues et une gestion de l'eau en tension, il est légitime de se demander si les ressources en eau seront suffisantes pour alimenter un tel projet immobilier. Durant l’hiver dernier, plusieurs villages aux alentours ont dû être approvisionnés en eau par camions-citernes. L'ajout de 2 000 habitants supplémentaires à Pézenas risque d'aggraver cette situation. Où trouverons-nous l’eau nécessaire pour assurer les besoins de cette population croissante ?
2. **Impact environnemental sur l’hydrologie locale :**
La bétonisation de 24 hectares de terres agricoles à Saint Christol risque d’avoir un effet délétère sur le cycle de l’eau. En supprimant une zone d’absorption naturelle, le ruissellement des eaux pluviales vers les zones déjà sensibles de la ville pourrait s’intensifier, augmentant le risque d’inondations dans les secteurs vulnérables comme la rue Conti, l’avenue de Castelnau, ou encore les Calquières basses et hautes. De plus, la réduction des surfaces perméables ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique, ressource déjà sous pression.
3. **Perte de terres agricoles fertiles :**
La destruction de ces 24 hectares de terres agricoles, particulièrement fertiles, entraînerait une réduction significative de la production alimentaire locale, affaiblissant ainsi l’approvisionnement en produits agricoles du Piscénois. Alors que l’importance des circuits courts et de l’agriculture locale est de plus en plus reconnue, cette perte de terres arables serait dommageable pour la souveraineté alimentaire locale.
4. **Augmentation du trafic routier :**
L’ajout de 700 nouveaux logements entraînerait une augmentation de 17 % du trafic routier, un chiffre considérable dans une ville comme Pézenas. Comment le réseau routier, notamment le pont de la Peyne, pourrait-il absorber cet afflux sans entraîner des embouteillages, une augmentation de la pollution et des nuisances sonores pour les riverains ? Aucune solution viable n’est actuellement proposée pour gérer cet impact sur la mobilité urbaine.
5. **Équilibre commercial menacé :**
La création d’une Halle Gourmande de 700 m² à Saint Christol pourrait nuire au commerce local, notamment celui du centre-ville de Pézenas. En attirant une partie de la clientèle vers cette nouvelle zone, il y a un risque de désertification commerciale du centre historique, déjà en difficulté. Le projet de nouvelle Halle ne doit pas se faire au détriment des commerces existants.
6. **Capacité des infrastructures scolaires :**
Avec l’arrivée de nombreuses familles, il est nécessaire de se demander si les infrastructures scolaires, notamment les écoles primaires, seront capables d’accueillir tous ces nouveaux élèves. Les investissements scolaires dépendent de la commune, mais aucune garantie ni plan précis n’a été présenté pour la construction de nouvelles écoles ou l’agrandissement des infrastructures existantes. De plus, si des fonds importants sont alloués à ce nouveau quartier, cela pourrait compromettre les budgets destinés à d'autres secteurs, comme la rénovation du centre-ville.
7. **Capacité de la station d'épuration :**
La station d’épuration actuelle est-elle en mesure de traiter les eaux usées supplémentaires générées par ces 2 000 nouveaux habitants ? Si ce n’est pas le cas, des investissements conséquents devront être réalisés, ce qui représenterait un coût supplémentaire pour la commune. Une question cruciale reste sans réponse : comment la commune financera-t-elle ces infrastructures sans alourdir la fiscalité locale ?
8. **Investissements supplémentaires à la charge de la commune :**
La mise en place d’infrastructures supplémentaires, telles que des liaisons piétonnes et cyclables entre Saint Christol et Pézenas, ou la gestion des zones inondables et des routes environnantes (comme celle de Nizas), générera des coûts significatifs pour la commune. Ces dépenses n’ont pas été intégrées dans l’analyse du projet et risquent de grever le budget municipal.
9. **Manque de transparence dans la gestion du projet :**
Enfin, il est inquiétant de constater que l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n’a pas été rendu public ni joint au dossier. Ce manque de transparence nuit à la confiance des citoyens dans le processus de consultation publique et laisse planer des doutes sur les réelles motivations derrière ce projet.
**Conclusion :**
Le projet de création d’un quartier de 700 logements à Pézenas, bien que répondant à des besoins en termes de logements, pose de nombreuses questions quant à sa faisabilité, son impact environnemental et social, ainsi que les coûts pour la commune. Il est essentiel que ces préoccupations soient sérieusement prises en compte avant de poursuivre ce projet.
Il faudrait revoir la copie en baissant le nombre de logements et donc le nombre d'habitants escompté et proposer plusieurs autres sites pour éviter une aussi forte concentration sur un même site.
Pézenas ne pourra pas accueillir autant de personnes, pour une augmentation de 1600 personnes cela représente une hausse de 20 % de la population, c'est considérable pour une ville comptant actuellement 7800 habitants.
Je souhaite relever différents points en m'adressant aux protagonistes du projet :
. Les infrastructures ne sont pas adaptées.Nous allons subir une hausse trop importante du trafic routier.
Avez vous pensé aux parents qui amèneront leurs enfants à l'école et aux personnes qui devront se rendre en ville pour aller travailler, tous sur un même créneau matinal réduit?
Au nord, actuellement il n'y a que l'entrée de ville par le pont de la Peyne, celle ci sera fortement embouteillée même avec un feux qui tentera de réguler le flux. Cette entrée posera problème; même si vous pensez apporter une solution en créant une entrée par la gare du nord, il y aura un gros problème de trafic sur ces deux zones.
De plus, en fin d'après midi vers 17h, heure de sortie des écoles, quel est le piscénois qui n'a pas attendu, désespérément dans sa voiture, de très longues dizaines de minutes sur le boulevard Voltaire pour atteindre le faubourg des Cordeliers.
De plus , un autre endroit sera impacté ; il s'agit du chemin de Castre. Ce chemin est très étroit , on ne peut pas se croiser à deux voitures; on doit parfois reculer pour céder le passage, de plus en plus de personnes empruntent cette voie(exemple liaison Caux- autoroute , riverains, contournement de Pézenas ....) et ce passage sera très très problématique.
. Les écoles sont elles en capacité d'accueillir une hausse aussi importante d'élèves ?
. Qu'en est il du problème de stationnement?
Ce problème est récurrent à Pézenas. Les parking sont souvent complets même en hiver ( ne parlons pas de l'été). Comment vont faire les personnes venant de St Christol pour stationner en ville pour pouvoir aller à la poste, à la mairie, à la banque, à la médiathèque, dans les commerces du centre ville, au marché du samedi...
. Problème de la station d'épuration.
. Problème de la désertification du centre ville au détriment du commerce de proximité
. Problème de la ressource en eau . Je ne m'étalerai pas sur ce sujet, d'autres l'ont fait et bien fait.
. Pézenas est très sensible concernant la question des précipitations. Par fortes pluies, la zone de St Christol et au delà est une zone à haut risque du fait des eaux de ruissellement venant des hauteurs de Chichery et du fait de la montée des eaux du Tartuguier et de la Peyne.
L'épisode de 2019 est encore dans nos mémoires; celui ci ne sera plus exceptionnel à l'heure du réchauffement climatique.Les risques d'inondation sont bien réels .Une fois la bétonisation faite , nous ne pourrons plus dire " Ah! si on avait su"
. Pézenas et ses alentours ont un fort taux de chômage( plus élevé que la moyenne nationale); en effet la région vit de la viticulture et du tourisme. Il n'y a pas d'industrie et quasiment pas d'offres d'emploi pérennes.
Comment la population active va t -elle pouvoir travailler dans le secteur ? Devra t-elle se déplacer sur de longues distances avec une hausse de la pollution liée à l'usage de l'automobile ?
Pour conclure( car il faut bien terminer mais la liste des points négatifs est encore longue) ,il ne faudrait pas qu'après l'aboutissement de ce projet les habitants de Pézenas, là où naquit Molière, disent:
" Mais , que diable sont ils allés faire dans cette galère !"
Le bétonnage de la campagne Saint Christol ne contribuera plus au rechargement de la nappe phreatique.
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
SOS Lez Environnement est une association citoyenne a-partisane, agréée par le Préfet de l'Hérault au titre de la protection de l'environnement sur le territoire du département.
En tant que président de cette association, et après avoir pris connaissance du dossier de l’enquête publique, je vous soumets les observations suivantes.
- Le projet présenté est en contradiction avec le SCOT du biterrois, qui prévoit deux hectares d'artificialisation pour la commune de Pézenas. Ce seuil serait donc largement dépassé par la réalisation de ce projet, d'autant que plusieurs nouveaux quartiers ont déjà été construits depuis la validation de ce SCOT.
- Nous n'avons pas trouvé, dans le dossier, l'avis du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas. Cet avis devrait pourtant être porté à connaissance des citoyennes et des citoyens qui font l'effort de s'exprimer. Son absence est susceptible de fausser leur appréciation.
- Les considérations hydrauliques (alimentation en eau potable, assainissement, protection contre les inondations) sont trop lacunaires pour que l'on puisse correctement mesurer l'impact de ce nouveau quartier. Des études prospectives sont nécessaires.
- Comment ce nouveau quartier sera relié au centre ville par des moyens alternatifs à l'auto-solisme (équipements cyclables, dessertes en transports en commun, etc)? Ces moyens seront-ils suffisants pour compenser l'arrivée des nouveaux habitants de ce quartier ?
Voici quelques unes des questions qui motivent notre avis défavorable à l'enquête publique unique.
Recevez, Monsieur le Commissaire Enquêteur, l'expression de tpoute notre considération.
La Communauté d'Agglomération Hérault Méditerranée doit nécessairement conforter un pôle d'équilibre au delà de son littoral, à l'intérieur de ses terres.
PÉZENAS joue ce rôle-là.
Il importe, pour le devenir même de la CAHM, que cette centralité de la ville de Pézenas soit accrue. Il y va de l'intérêt intercommunal d'équilibrer son territoire.
Aussi, le projet de Zone d'Aménagement Concerté dit de Saint-Christol tendra à renforcer cet équilibre communautaire.
Le maintien (et non pas le risque de départ) de certains services publics, le renforcement et l'implantation d'activités économiques vont dans ce sens.
L'emploi est une nécessité et son corollaire est l'habitat.
La création d'un habitat favorisant la mixité sociale est capital.
Pézenas a toujours été une ville ouverte et accueillante.
Ce projet en est la continuité.
Il faut des logements qui offrent des prix abordables pour toute bourse.
Sa dynamique économique et, par ricochet, la vitalité de ses activités économiques en sont garanties.
Merci.
L.R.
La nouvelle équipe municipale fait l’effort d’apporter une dimension environnementale et un redimensionnement du projet qui est aujourd’hui rationnellement positionné.
Pézenas a un grand besoin de logements avec des logements sociaux. La rareté et la tension sur le marché immobilier entraine une augmentation du foncier et des loyers. L’accession à la propriété, sans cet apport, par les couches sociales supérieures va entrainer un changement sociologique qui est devenu, aujourd’hui un schéma bien connu par les villes du sud proche de la Méditerranée. Il faut offrir au piscénois et notamment aux jeunes la possibilité de se loger.
Enfin, mais ce n’est pas un détail de l’Histoire du projet, la Ville a une dette de 6 millions, auprès des sociétés chargés du projet (études, acquisitions, …) , héritée du mandat précédent. L’hypothèse d’un abandon va entrainer une charge pour la ville sans commune mesure avec ses moyens, cette charge entrainera mécaniquement une hausse fiscale sans précédent pour les contribuables Piscénois L argument de l’endettement et la perspective de la poursuite de l’opération pour équilibrer l’opération, sont les choix de la raison pour une commune de cette taille.
Je suis donc favorable à la poursuite du projet
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
Il ne s'agit donc pas d'un projet d'intérêt publique mais d'un projet porté par des promoteurs comme la plupart des projets de la région.
- disparition de 24 ha de terres agricoles dans un département, l'Hérault, qui détient déjà le record de leur plus grande consommation.
- artificialisation des terres accentuant les risques d'inondation, alors quee les orages sont de plus en plus violents
- trafic routier amplifié dans un secteur déjà bien impacté
- risque accru de pénurie d'eau dans un environnement où la sécheresse croissante épuise les nappes phréatiques entrainant la rareté de l'eau.
L'eau, les terres agricoles, la qualité de l'air: autant de biens communs détruits pour un projet purement spéculatif.
Ce projet va à l'encontre de toutes les préconisations pour la préservation de l'environnement.
Il n'est pas d'intérêt général, mais va à l'encontre de l'intérêt général.
J'émets donc un avis totalement défavorable.
Huguette Dumoulin
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
La question environnementale est fortement prise en compte dans le projet St Christol.
Cet aspect m'est primordial et donc, j'y suis favorable.
En effet, aujourd'hui, nous déplorons un mitage dû à plusieurs dizaines de villas individuelles, chacune implantée sur un large foncier, qui se sont édifiées au fil du temps.
Certaines habitations, issues de CABANISATION par la transformation ILLÉGALE d'un abri agricole, se situent entre deux eaux au confluent de la rivière Peyne et du ruisseau Tartuguier.
Elles appartiennent à ceux qui refusent le projet de ZAC ... au nom de l'écologie !!!
Quid de leur ressource en eau par des forages individuels ?
Quid de l'évacuation de leurs eaux usées au moyen d'assainissement autonome ... au risque de souiller leur propre eau et, pire, l'eau des autres en polluant la nappe phréatique ?
Leur devise est : "Après moi, plus personne !"
Plutôt que ce mitage irrationnel, disséminé sur des centaines d'hectares au nord/nord-est de la ville, l'intérêt écologique de la ZAC de Saint-Christol réside bien dans sa limitation spacieuse et sa maîtrise opérationnelle. Rien n'est laissé au hasard, tout est posément réfléchi et compensé, tant d'un point de vue environnemental qu'agricole, avec même une innovation qui sera expérimentée par l'éclairage public rouge, limitant ainsi l'agression visuelle sur la faune.
Tant d'études d'impact, d'études agro-environnementales, d'études écologiques de prise en compte faunistique et floristique ont été réalisées depuis 25 ans qu'il serait calamiteux de ne pas les capitaliser.
Sinon, ils disparaîtront rapidement...
Il va dynamiser et développer notre ville qui a besoin de plus d'habitants et de logements modernes pour nos jeunes.
qui paiera la dette si le projet venait à être avorté ?
Merci
béton. Il ne faut pas que ce quartier devienne une verrue de béton alors que la réputation de Pézenas s'est en partie faite sur la qualité de son architecture. Merci de votre attention.
La nappe phréatique en serait impactée. Et pourquoi l'avis négatif du Conseil citoyen de la transition écologique de la ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
Voilà toutes mes questions et mes doutes sur le projet de Saint Christol.
Je suis défavorable à ce projet qui comme beaucoup d'autres sont agressifs envers la biodiversité.
La ville de Pézenas présente un projet de ZAC St Christol auquel je suis favorable.
Elle joue le rôle de bourg centre qui draine les populations des villages voisins y travaillant, venant aux collèges et lycées, aux activités associatives, culturelles, sportives et autres, dans les administrations, ... , et, à ce titre, elle se doit d'offrir accueil, services publics, dessertes et parkings, ... , d'un niveau supérieur à sa seule démographie.
Permettre que de nouveaux habitants s'installent à Pézenas est un gage de pérennité de la capacité financière de la commune, tant par de nouveaux contribuables locaux que par la dynamique économique confortée : commerces de proximité et de centre ville, zones d'activités.
Par ailleurs, si le projet initial porté par la précédente municipalité prévoyait 1.500 habitants supplémentaires, l'actuel projet est réduit de moitié. Il répond à une attente d'appartements car aucun promoteur - aménageur immobilier ne souhaite financer la réhabilitation de logements vieillots et hors normes. Le parc est privé. Les propriétaires individuels ne peuvent pas les réhabiliter.
Aucune mairie n'a pas, non plus, la capacité de se substituer à eux.
Comme dit l'adage : "Quand le bâtiment va, tout va !". Le projet de St Christol pérennise l'attractivité et, partant, l'économie de Pézenas.
Ce projet date de 2019. En 2021, la loi Climat et Résilience a été promulguée, et de nombreuses études, au niveau local, national et planétaire, ont été menées durant ces 5 années, sur les plans environnementaux et sociétaux.
Si une bonne part des connaissances dont nous disposons aujourd'hui était déjà établie en 2019, la prise de conscience n'a cessé de grandir, tant au niveau des citoyens que des instigateurs de ce projet.
Il serait fâcheux de constater que des choix irréversibles puissent être effectués en dépit et à l'encontre de ces connaissances et en pleine conscience des conséquences que cela pourrait avoir sur le long terme.
Respectueusement, BB
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Vous pouvez également puiser dans le document de 46 pages, déposé par le collectif.
Comment être favorable à ce projet en 2024, à l'heure du dérèglement climatique ? L'artificialisation des sols - entrainant ruissellement des eaux, érosion des sols, perte de biodiversité, pollution, etc.-, la diminution des ressources en eaux, l'augmentation du trafic routier entraînant peut-être d'autres bétonnages, sont quelques arguments raisonnables, il me semble, contre ce projet. Pour lutter contre la pénurie de logements ne peut-on pas utiliser les bâtis existants ?
Les arguments pour ce projet me semblent passéistes, il est plus que temps de réduire notre activité humaine écocide.
Cordialement.
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
D'autre part pourquoi envisager la construction de nouveaux quartiers à Pézenas alors qu'il est notoire que 700 logements y sont actuellement inoccupés ? Ne vaudrait-il pas mieux rénover ceux d'entre eux qui en ont besoin et dynamiser ainsi le centre-ville qui en a bien besoin ?
Avant de prendre votre décision concernant un projet purement financier, pouvez-vous répondre sérieusement aux questions et observations suivantes :
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Ce type de réalisation du futur quartier Saint-Christol permet de travailler sur une offre de logements en adéquation avec les enjeux de la transition écologique tout en restant à l'écoute des besoins des citoyens.
La Ville de Pezenas représentée par son Maire, Armand Rivière s'inscrit pleinement dans cette volonté politique de réponse à l'urgence sociale, économique et environnementale afin de répondre aux besoins de sa population et plus globalement de son territoire.
Pezenas joue un rôle d'équilibre entre Montpellier et Béziers au cœur de l'agglomération Hérault Méditerranée.
Frédéric ROIG
Président
Association des Maires de l'Hérault
Sur le fond, je m’associe aux arguments développés, notamment, par MM. Paul Ivorra, Olivier Hébrard, Mathieu Bouchard, Frank Broutin, Jean-Luc Murcia … ainsi qu’aux avis émis par le Conseil Citoyen pour la Transition Écologique.
Sur la forme, je note - et m’interroge sur - la remarque d’un « avis favorable » :
« tous les avis ne sont pas éclairés, loin de là, or l'exercice démocratique met sur le même plan la perception (même biaisée) et la connaissance (basée sur des faits…) » ; soit ... vaste débat.
A moins que ce débat ne soit tranché grâce à l'utile précision d’un élu sur le fonctionnement de cet « exercice démocratique » :
« Rappelons ici les missions du Conseil citoyen de Transition écologique […] : « Cette instance a pour objectifs d’associer les habitants à la vie de la commune, de favoriser le dialogue avec les élus, de faire appel aux compétences de la société civile et plus généralement, de faire vivre la démocratie locale en donnant la parole aux habitants : elle est force de proposition, elle doit être un lieu de débats, d’élaboration de projets, et de reconnaissance de l’expertise d’usage des habitants. Elle participe au débat public, éclaire les élus dans leur prise de décision politique et complète l’expertise technique des services. »
… bien que, plus avant, il soit noté (de la même main) : « Il (le Conseil Citoyen) n’a donc pas été saisi pour avis mais pour information et transparence. (sic) ».
Démocratie active… quoique bien paresseuse.
Et bigrement confuse !
Il est grand temps de revoir nos façons de faire pour protéger la planète et la vie , l’avenir de tous et toutes, de la faune et de la flore.
Nous avons des connaissances techniques, intellectuelles pour ce faire, mobilisons les. Merci de votre attention.
Merci de votre attention
Il est urgent de trouver un compromis entre la construction de logements et le respect de la nature ci souvent martyrisée.
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Cordialement.
Et comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
Creusez pour planter des arbres, pas des immeubles, la planète et ses habitants vous diront merci.
S/B
la demande de logement est en train d exploser due à des faits de société. Séparation familiale ,personne à la rue faute de trouver un logement décent dans des prix raisonnables, logement trop exigu pour certains ,trop grands pour d autres.
L attractivité de la commune avec les services à la personne les services publics, les services de l'Education Nationale, fait exploser la demande de logement.
Il est urgent de répondre à ces demandes pour ne laisser aucun citoyen au bord de la route .
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
La campagne est au bout de nos rues et si j’ai bien compris ce que j’ai toujours entendu , celle-ci n’est pas prête de disparaître sous les constructions car il y a de nombreuses réglementations et notamment les zones inondables qui ne permettent pas de se développer .
Le projet Saint Christol est l’opportunité de la ville d’avoir enfin un vent nouveau et de penser à notre avenir .
Quid de la loi "Climat et résilience" du 22 août 2021 qui a posé un objectif de zéro artificialisation nette (ZAN) ?
Je souhaite attirer votre attention sur une problématique urgente qui concerne notre département de l'Hérault : le manque de logements. Cette situation est de plus en plus préoccupante, tant pour les habitants actuels que pour ceux qui envisagent de s'y installer.
L'Hérault est un département en forte croissance démographique, avec un attrait croissant lié à la qualité de vie, la proximité de la mer, et son dynamisme économique. Cependant, l'offre de logements peine à suivre cette demande croissante. Les tensions sur le marché immobilier s’intensifient, avec une hausse continue des prix d’achat et de location, rendant l’accès au logement difficile pour une large partie de la population, notamment les jeunes, les familles, et les personnes aux revenus modestes.
Le manque de logements a également un impact direct sur le développement économique de notre territoire. Les entreprises locales, qui connaissent souvent des difficultés à recruter, se heurtent à un problème de logement pour leurs salariés. Cela freine leur compétitivité et leur capacité à croître.
Pour faire face à cette pénurie, il est essentiel de mettre en place des projets de construction de logements diversifiés, accessibles à tous, tout en respectant les impératifs écologiques et d’aménagement durable du territoire. Le développement de nouveaux quartiers comme celui de la ZAC de Saint-Christol répond à cette urgence et représente une solution concrète pour combler ce déficit de logements.
Il est donc impératif de poursuivre une politique ambitieuse en matière de logement pour répondre aux besoins actuels et futurs des habitants de l'Hérault, tout en garantissant l’inclusivité et la durabilité de ces projets.
Je vous remercie de l’attention que vous porterez à cet avis.
Cordialement.
Jérôme Parzy
Mieux vaut emménager les 700 logements inhabités du centre ville.
pourquoi l'a vis négatif du conseil ctoyen de la ville n'a pas été pris en compte?
Piscénois de souche c’est en tant que maire de Valros commune proche de Pézenas que je donne un avis relatif au projet d’aménagement de Saint-Christol à Pézenas.
Il demeure incontournable que Pézenas en tant que bourg centre regroupe notamment les services, les commerces nécessaires pour la population piscénoise et des villages voisins.
Pézenas demeure une petite ville agréable qui représente un point d’attraction pour les villages environnants cependant les derniers recensements montrent que le bourg perd régulièrement de la population et doit retrouver un certain dynamisme.
Par-delà les positions partisanes, le projet de Saint Christol mené et retravaillé par les différentes municipalités qui se sont succédées semble démontrer que ce projet a du sens.
Si la considération pécuniaire qu’engendrerait l’abandon du projet pour les finances communales n’est pas à occulter, ce nouveau quartier permettra de redynamiser la vie piscénoise et donnera la possibilité à des personnes de pouvoir se loger dans un lieu qualitatif.
En ce sens je donne un avis favorable.
Ensuite suppression de 20 hectares agricoles.
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
L’analyse critique du projet par la MRAE en 2023 et l’avis défavorable du CNPN (Conseil National de la Protection de la Nature) en disent plus.
Voici selon moi des arguments suffisant pour s'opposer à ce projet:
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Cordialement.
M Raoult gilles
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Avec les sécheresses qui vont devenir habituelles et le manque d'eau à prévoir de manière absolument évidente (des villages proches ont déjà été approvisionnés en eau par camion-citerne), il serait temps d'éviter les concentrations de population sur des territoires déjà en tension sur cette ressource.
Il est grand temps de revoir nos façons de faire pour protéger la planète et la vie , l’avenir de tous et toutes, de la faune et de la flore.
Nous avons des connaissances techniques, intellectuelles pour ce faire, mobilisons les. Merci de votre attention.
Merci de votre attention
Vous avez signé la pétition pour stopper le projet immobilier écocide Saint Christol Pézenas. Une enquête publique est en cours jusqu’à mercredi.
NOUS AVONS BESOIN DE VOUS car la participation (plus de 500 commentaires) rend la bataille féroce.
Merci à ceux qui ont déjà contribué. Et pour ceux, qui ne l'ont pas encore fait merci de votre aide ! Vous
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
La création d'une halle gourmande à Saint Christol contribuerait au déclin des commerces centre-ville.
Pouquoi l'avis du conseil économique pour la transition écologique n'a-t-il pas été pris en compte.
Et tant d'aures questionnements sur l'utilité et les conséquences d'un tel projet.
Compte tenu de la crise climatique, en particulier de la sécheresse croissante, et de l'approvisionnement en eau déjà en tension, ce projet climaticide va artificialiser des terres pour les polluer et les contaminer de façon irréversible. L'eau des nappes souterraines sera inévitablement contaminé également. Cela reviendrait à détruire encore un peu plus le vivant qui nous entour, ainsi que nous-même.
Pourrait-on dans ce cas encore fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camion-citerne ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où iraient les habitants pour chercher de l’eau ?
Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui aujourd'hui est inférieure à 8%. Seriez-vous prêt à faire ce sacrifice pour valider ce projet ?
Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ? Plus de bâtiments veut dire plus de concentration et donc plus de trafic routier.
La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
Comment seraient scolarisés les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
La station d’épuration pour traiter les eaux usées sera-t-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
ET surtout, pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
J'espère sincèrement que ce projet ne verra jamais le jour, et que la parole citoyenne sera entendue et écoutée. Ce projet est trop coûteux pour l'environnement, la faune, la flore, l'eau, la terre. On ne peut plus se permettre aujourd'hui de telles absurdité écocidaires, l'avenir de ces terres dépend de vous et de votre décision.
Merci pour votre attention
Je suis favorable au projet.
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Je suis favorable à ce projet qui va permettre aux Piscenois d’avoir une offre de logement dans un quartier de qualité et intégré au territoire.
Il y a des logements vacants partout en France : soit les propriétaires sont suffisamment bons gestionnaires et la remise aux normes thermiques sera aisé et bien comprise, soit ce sont des marchands de sommeil donc expropriations et revente à près rénovation à prix plafonnés à des familles aux revenus plafonnées ;-).
A nouveau : la terre et le territoire sont des ressources communes : il est temps de les gérer ainsi plutôt que de laisser continuer vénaux et médiocres à proliférer : et je ne mets pas tous les promoteurs ou décideurs dans le même panier : des projets ambitieux et à vrai valeur ajoutée il en existe pléthore...celui ci n'en fait pas parti.
A bon entendeur
De nombreux points s'opposent à ce projet :
1. Il est nécessaire de comprendre et d'anticiper L'EVOLUTION du NOMBRE D'HABITANTS en valorisant les appartements inoccupés du centre-ville et en choisissant une vraie politique d'accompagnement des propriétaires et de preemption des logements pour renover le parc existant et vide par une action volontariste et courageuse.
2. Il est prioritaire aujourd'hui de NE PAS BETONNER de NOUVELLES TERRES AGRICOLES, notamment les terres de St Christol qui sont des terres arables, avec une source d'eau d'eau chaude précieuse. Et qui doivent retrouver leur mission d'origine historique : l'agriculture, prioritaire afin de renforcer l'autonomie alimentaire de Pézenas, par une production de fruits et de légumes de proximité.
l est incroyable aujourdhui D'ARTIFICIALISER des terres qui ont une vocation agricole. St Christol fait partie de l'historique ceinture verte de notre ville.
3. C'est une urgence prioritaire de penser à la REDISTRIBUTION de L'EAU, tant urbaine qu'agricole qui risque d'être de plus en plus difficile. De nombreux exemples locaux montent une réduction drastique de l'eau (assèchement de cours deau, de sources, de lac, tout près de Pezenas, sur les terres de Vailhan, de Gabian ... Et de distribution organisée d'eau en bouteille et par citernes dans certains villages ...)
4. Les problèmes D'INONDATION sont loin d'être anodins. Quand les pluies sont fortes au-dessus de Pézenas, sur le tracés de la Peyne et rejoignent l'Hérault qui déborde notamment par des pluies venant des Cévennes, les inondations sont alors réelles. Depuis 10 ans que j'habite à Pézenas, j'ai déjà vu par deux fois l'eau envahir le centre-ville et les terres environnantes.
5. Il est prioritaire de penser Pezenas comme une ville très particulière avec un équilibre social, économique, très précaire. Et de ne pas suivre l'exemple de développement de cellule urbaine éloignée du centre-ville qui ne feront que paupériser et fragiliser la ville elle-même et ses commerces. Il faut voir et tirer expertise de tous les exemples de développement urbain où des zones extérieures à la cité ont amplifié le déclin du centre-ville en augmentant la surface urbaine par des zones d'habitation ou dite artisanale. Le centre ville historique de Béziers, en autre en est un excellent modèle malheureux
6. Il est également tellement regrettable qu'une équipe municipale élue sur l'opposition à ce projet en soit aujourd'hui porteuse. Les arguments alors développés, pendant la campagne électorale rejoignaient les éléments cites ici.
St Christol est un projet ecocide, dangereux, incohérent et inadapté aux besoins et aux réalités de notre ville, de l'évolution du climat méditerranéen,
En opposition avec un modèle harmonieux de développement economique d'une ville avec son existant et le besoin de valorisation du tissu social et economique de notre cité si précieuse et fragile. L'augmentation de la circulation des voitures entrainé par la construction de ce quartier eloigné de la ville entraînera des desordres (bruit, embouteillage, pollutio, difficultésau quotidien de déplacement, un mal vivre et de vrai changement negatif pour tous.
Le non-respect de notre nature pourtant si importante et indispensable est une aberration en ce début de 21e siècle, relève d'une vision passéiste et non adaptée aux besoins de Pézenas, de sa population et de son avenir.
Si l'on ne veut pas que les impôts locaux augmentent ou bien que les services municipaux baissent, il faut que la population s'accroisse et contribue.
Pendant trop longtemps, Pézenas n'a pas su maintenir sa jeunesse en lui proposant du logement sur place. Beaucoup de ses enfants sont partis vivre dans les communes périphériques.
Je suis favorable au projet de la ZAC de Saint-Christol parce qu'il permet, d'une part, de développer de l'habitat mais surtout, d'autre part, tous types d'habitats.
Le résidentiel "fermé" est source de sclérose sociologique ; la mixité est une réponse au malaise d'une société fracturée. Les âges, les origines socio-économiques, professionnelles, ethniques, culturelles et cultuelles, ... , doivent cohabiter.
C'est le ferment d'une société apaisée et ouverte à autrui.
Mais il serait important d'en faire un nouveau lieu de vie avec des espaces verts,des services publics et des commerces de proximité .
Un plus pour l'apport d'habitants,les établissements scolaires et le commerce
Je suis favorable au projet. Pézénas est une très belle ville. Il manque cependant crucialement de logements.
Le projet est très important pour le dynamisme de la ville.
Bien cordialement
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
ABERRATION irresponsable de greffer une pendeloque sans âme source de nuisances multiples sur ce patrimoine unique. Folie mercantile ....se souvenir des conséquencesd’exemples nombreux et désastreux de constructions de lotissements, de betonisation,d apports d éléments non concernés par la valeur du patrimoine .
Affaire de conscience...
Il convient de réorienter le projet dans le sens d’une amélioration des espaces déjà urbanisés (recommandation du SCOT)
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Compte tenu des évènements catastrophiques tels phénomènes cévennoles comment éviter les inondations avec le bétonnage intensif prévu!
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisés les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
S'il faut créer des logements, il existe d'autres façons de le faire, plus respectueuses de l'environnement. Nous sommes confrontés à une situation de plus en plus dramatique qu'il fautregarder en face . Le trajet de l'eau, la limitation des besoins en eau que les modifications climatiques nous imposent (le ravitaillement en eau des populations par camion citerne n'est pas une solution, tout le monde est d'accord là dessus, je crois)et le respect des terres agricoles doivent en particulier être prises en compte.
Il est bien étrange que l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'ait pas été pris en compte, cet avis étant motivé et documenté.
Monsieur Le commissaire enquêteur,
« Tout acte de construire , quel que soit le projet est un maillage complexe de paramètres multiples : technique, financier, juridique et même subjectif…il faut essayer de décrypter la position et la démarche mise en œuvre par chaque protagoniste lors de la réalisation d’un projet ainsi que la réponse donnée au besoin, exprimé et implicite. Tout l’enjeu est de définir clairement celui-ci, de trouver les solutions en réponse et de les garder comme axes prioritaires malgré les perturbations qui peuvent faire obstacles tout au long du process …. »
Ces quelques lignes de mon mémoire lors de mes études à l’ENSAM me parlaient professionnellement en tant que maître d’œuvre et ont pris une autre dimension avec ce mandat municipal au sein du pôle dont j’ai la délégation car « l’élu doit arbitrer et engage la commune par des décisions d’intérêt général » .
Je ne m’étendrai pas sur la pépite architecturale que représente Pézenas , ses qualités et merveilles qui peuvent être égales à ses contraintes et difficultés. Pour autant, il est nécessaire de rappeler combien sont nombreux les projets que la commune doit refuser faute de foncier mais aussi complexes et longues les opérations en cœur de ville …
Pour autant c’est avec passion que nous prenons à cœur de travailler pour celle-ci et nous évertuons à préserver son patrimoine remarquable tout en construisant avec responsabilité la ville de demain.
C’est dans ce sens, que dès le début du mandat nous avons affiné un schéma directeur des mode doux avec la création de pistes cyclables et d’aménagements plus confortables pour le piéton . L’aménagement crée l’usage, c’est en donnant au citoyen et dès son plus jeune âge la possibilité de se déplacer en sécurité à deux roues ou à pieds qu’il conviendra que la voiture n’est pas seule réponse en terme de mobilité ! C’est avec cette idée que le quartier Saint Christol a été retravaillé, une continuité de la ville reliée par des liens cyclables dont le CAUE 34 ( Conseil en Architecture , Urbanisme et Environnement) est chargé d’ores et déjà d’étudier.
Le département de l’Hérault accueille chaque année 15 000 personnes, étudiants, actifs, retraités … notre territoire attire tant par sa qualité et diversité environnementale, ses infrastructures, son patrimoine culturel … mais aussi par ses emplois . Pour autant, la difficulté de se loger est un frein pour son développement et ne peut répondre aux besoins !
Il est probable que nous n’aurions pas fait le choix de cette orientation et aurions traité le développement de la ville vers un autre axe, mais nous en héritons. Nous avons ces 4 dernières années travaillé ce dossier en pesant les divers enjeux et exigeant des réponses, des solutions pour chaque besoin et interrogation. Nous nous sommes appropriés le projet,les espaces, nous avons exigé la diminution du nombre de logements, une trame végétale, un respect environnemental, acter des services publics, des espaces de rencontres, élaborer une économie et des activités sans faire concurrence aux commerces du centre ville, respecter un cadre architectural, nous avons amorcé l’histoire de l’avenir de notre ville qui n’attend que de s’écrire.
Écologiquement absurde (imperméabilisation des sols, étalement urbain etc...)
700 logements ?!
Pour rappel, les écoles publiques de Pézenas se trouvent toutes dans le même secteur et les rues pour y accéder sont déjà encombrées - surtout le matin. Comment la municipalité compte gérer l'arrivée (pourtant bénéfique) de ces nouveaux élèves? Parce qu'il ne faut pas espérer que tous.es viennent en vélo...
Bref, dommage que ce projet ne soit pas rester dans les cartons!
Je me demande aussi s'il reste de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entraînerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
ayant pris connaissance du projet, j'ai trouvé le dossier et ses argumentaires clairs, il semble bien répondre à des enjeux locaux avec des incidences environmentalists maitrisées. Les planches illustratives et autres plans laisse supposer des interfaces travaillées avec à terme une intégration paysagère plutôt qualitative.
Nous avons besoin de ces 24 hectares de terres agricoles fertiles pour nourrir les populations.
Ce projet est précurseur dans notre région, il a été travaillé, retravaillé pour prendre en compte pas à pas les thématiques environnementales, paysagères, hydrauliques, les risques et bien d’autres thématiques qui sont traduites dans le volume important des pièces administratives et réglementaires. Ce projet a évolué, s’est amélioré, enrichi avec le temps.
Bravo à la municipalité et à la SEMOP qui se sont remises en question, ont continué à améliorer le dossier pour prendre en compte les besoins locaux, les observations des services de l’Etat et proposer aujourd’hui un projet vertueux.
La ville de Pézenas travaille depuis plusieurs années à l’ouverture presque exclusive de ce nouveau quartier sur son territoire à travers ses POS/PLU, le SCOT, le PLHI. Ce quartier est réfléchi, planifié et connu de tous. Il faut également rappeler que le projet a su s’adapter à toutes les évolutions législatives, aux évolutions des politiques d’aménagement. Il a toujours été conçu, retravaillé dans le respect du droit, dans la consultation permanente et l’écoute des services de l’Etat ainsi que dans la concertation avec la population.
Ce sont les préoccupations environnementales, paysagères, techniques qui ont dessiné ce futur quartier et non le simple programme économique et il est essentiel de le rappeler.
Je suis favorable à la création de ce nouveau quartier qui va permettre une véritable mixité sociale telle qu’elle a été imaginée par le législateur avec la loi SRU en mettant en place un véritable « parcours d’habitats » possible pour les piscénois.
On commence déjà à avoir du mal à se garer proche du centre certains jours de vacances ou de marché. J'ai des craintes que Pézenas perde de sa tranquillité, de son côté village, en construisant une sorte de banlieue inutile. La course aux 10000 habitants ? Pour moi aucun intérêt.
Oui au Zéro Artificialisation !
Parisienne, j'ai eu l'occasion de me rendre cet été à Pézenas.
J'y ai fait la découverte d'une magnifique ville pleine de charme, dont le patrimoine est exceptionnel. Un vrai coup de foudre!
A quelques années de la retraite, je me suis dite : "pourquoi ne pas s'y installer?"
Je me suis rendue à la mairie pour questionner sur le futur de la ville. Une charmante personne m'a expliqué le projet de St Christol. J'ai été agréablement surprise de voir que ce quartier serait à taille humaine, avec des espaces verts très importants. J'y ai d'ailleurs appris que ce serait le 1er quartier de France éclairé à la lumière rouge qui préserve les hommes et les animaux et favorise le sommeil. (quand on vieillit c'est important le sommeil...) J'ai pose la question sur les types de logements. On m'a expliqué qu'il y aurait des habitations pour avec tout type (jeune, moins jeune, résidence pour personne âgée), mais ne pouvant pas faire n'importe quoi sur l'environnement et les espaces verts. Il y aura des murs végétalisés, des panneaux photovoltaïques, des récupérateurs d'eau. Et puis, je pourrais faire mes courses à pied ou en vélo et surtout je pourrai accueillir mes petits-enfants. On pourra aller chercher des fruits et des légumes, car il y aura même de la permaculture! Je suis vraiment très favorable à ce projet qui est aussi mon projet d'avenir personnel.
Il existe tellement de priorités concernant la ville dans son état actuel
Désertification du centre ancien au profit de locations saisonnières qui ne sont pas assujetties aux normes récente de l’habitat notamment dans le domaine des travaux li au économies energetiques ,
Ilots insalubres pourtant occupés par une population precaire.
Peu d’équipements collectifs et mobilier urbain sommaire. Manque d’espaces verts ,
La création d’une zone d’habitation et de chalandise excentrée par rapport au centre existant va accentuer les difficultés des commerces et artisans locaux ,
De plus les accès pratiques à cette nouvelle zone n’existent pas, les réseaux assainissement et autres non plus , La question de la ressource en eau va se poser et bien sûr les infrastructures liées à i’arrivée de’un nombre conséquent d’habitants ŕestent à créer. D’autres projets en lien avec la spécificité de cette ville auraient pu être envisagés
: centre de formation aux métiers en lien avec le patrimoine artistique et artisanal. École de la deuxième chance, lieu culturel intergenerationnel , entreprise innovante,ateliers protégés , jardins pédagogiques etc . Ce projet manque cruellement d’ambition et se réduit l’implantation d’un ’lotissement géant’ comme il en a été créés autour des villages de notre région. .
Pourquoi ne pas prendre en compte le problème d'une sécheresse croissante et une ressource en eau en tension, comment fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions citerne, avec 2 000 habitants de plus à Pézenas combien de camions citerne en plus ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus,le bétonnage empêche le rechargement de la nappe phréatique.
24 hectares de terres agricoles fertiles bétonnées, une aberration vu le contexte agricole et écologique actuel.
Sans parler du commerce du centre ville mis en danger par la création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2)
4 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
La loi zan doit être appliquée immédiatement. Nous devons préserver tous les sols qui n ont pas été bétonné.
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
- 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites. On parle sans arrêt de stopper l'artificialisation des terres agricoles. La réalité est loin de ces décisions. Et pourtant, ça urge !
- Il existe à Pézenas un Conseil Citoyen de la Transition Ecologique. Il a donné un avis négatif sur ce projet. Pourquoi cet avis n'a-t-il pas été pris en compte ?
Elu Maire de Lézignan-la-Cèbe depuis 2014, commune très proche en continuité territoriale et appartenant comme Pézenas à la communauté d’agglomération Hérault Méditerranée, je me permets de participer à l’enquête publique relative au projet d’aménagement de la ZAC Saint-Christol à Pézenas.
Pézenas en perte de population depuis quelques années doit engager une nouvelle dynamique démographique afin de maintenir ses structures de services (éducation, santé, administration, activités économiques, libérales, etc…) indispensables pour sa population et celle des nombreux villages de sa proche périphérie.
Je crains que de prolonger encore l’immobilisme ait des conséquences irrémédiables. Pézenas doit conforter son potentiel et son attractivité de centralité urbaine.
De nombreux concitoyens et activités de la ville bénéficient du développement de production de logements dans les communes proches, alors Pézenas doit prendre sa part dans cette amélioration et contribuer à une meilleure qualité de vie qui concerne aussi notre territoire.
Il apparaît que les contraintes financières induites par l’éventuel renoncement à ce projet auraient des conséquences insupportables pour les finances communales.
Ces dernières années les débats ont permis de considérer de nombreux avis sur tous les importants enjeux et, par une plus grande attention ils ont contribué à l’évolution qualitative du projet présenté aujourd’hui.
Parce que l’avenir des communes de notre territoire est aussi lié à la réalisation de la ZAC de St Christol, j’émets un avis favorable.
Je vous prie de croire Monsieur le Commissaire enquêteur à l’expression de mes sincères salutations.
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Et uel impact pour les communes voisines ? Des pénuries ne sont-elle pas à craindre voire même à prévoir ?
• Qu'apportera la création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) au commerce du centre ville ? Et de quelle manière ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
D'une part, il constitue une menace par rapport aux besoins en eau potable vu les pénuries à venir causées par le changement climatique ( sécheresse).
C'est une atteinte à la biodiversité car une part non négligeable de la superficie de la commune sera artificialisee.
Cette artificialisation risque par ailleurs d'aggraver les effets dévastateurs des inondations.
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
De plus, ce projet entrainerait la destruction de terres agricoles. Je trouve que ce projet est néfaste au niveau de l'écologie, Assez de bétonisation !
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
A quoi cela sert il de faire croire que les avis d'experts ont une importance, que les citoyens sont associés dans les débats publics alors que tout ceci n est qu'une pure mascarade, les textes de lois méprisés, le maire méprisé, le citoyen méprisé.
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
- Ressource en eau : Pourra t'on fournir de l'eau potable en quantité suffisante pour toute la population ? J'en doute ... Certaines communes de la région stoppe l'urbanisation par manque d'eau. Il serait raisonnable d'en faire autant...
- Risque d'inondation : à l'heure de grandes sécheresses et de forts épisodes méditerranéens, le risque de ruissellement et d'inondation est il totalement éloigné ? J'en doute aussi...
- 24 hectares de terres agricoles qui seraient bien plus essentielles pour de l'agriculture en circuit court.
D’après l’indicateur CRATer, le taux de couverture théorique global est de loin insuffisant à Pézenas. La commune aurait tout intérêt à développer des activités agricoles en ce sens pour pallier cette carence alimentaire. D’autant que la souveraineté alimentaire est un des objectifs prioritaires de l’action gouvernementale dans le domaine agricole, notamment à l’aune du contexte géopolitique actuel.
Il répond également à des exigences de nature écologique, que soutien par exemple la Région Occitanie, avec le développement de la production alimentaire en circuit court.
- A l'heure où Montbazin est élue capitale française de la biodiversité, Pezenas détruit un puit de biodiversité....
- Comment vont être réalisé les infrastructures nécessaires liées à ce projet d'un autre temps ? Routes, écoles, services publics...
- Les enjeux climatiques et environnementaux d’aujourd’hui n’étant pas les mêmes que ceux d’il y a vingt ans : les acteurs de l’action publique doivent prendre en compte les considérations écologiques nouvelles et impératives (particulièrement la trajectoire vers le zéro artificialisation nette).
En résumé, ce projet d'un autre temps ne peut s'inscrire dans les réalisations actuelles. Un autre Saint Cristol est possible ! Il est temps de mettre fin à celui ci.
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
Cordialement.
Philippe Sauty.
Merci et bravo pour votre résistance!
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Nous comptons sur vous pour améliorer la situation et non l'aggraver.
je suis favorable à ce projet qui pose à beaucoup et cela me parait normal un cas de conscience car effectivement le contexte actuel nous oriente vers la prudence quant il s'agit d'étendre des zones urbaines sur des zones potentiellement agricoles.
c'est pourquoi il m'a semblé opportun de présenter le raisonnement qui m'a conduit à donner un avis favorable :
1/ tout d'abord, je n'aurai pas été favorable au projet tel qu'il avait été imaginé par la précédente municipalité car il n'intégrait pas des critères environnementaux et sociaux suffisants, néanmoins je peux comprendre que la situation financière de la ville à cette époque la, ait pu inciter les élus à vouloir augmenter l'assiette fiscale en installant de nouvelles personnes sur son sol, ceci est d'autant plus vrai que la commune de PEZENAS supporte de nombreux services surdimensionnés par rapport à sa population.
2/ si effectivement, je souscris à la nécessité de favoriser l'implantation de futurs piscénoise et piscénoises sur la zone de ST CHRISTOL, c'est qu'effectivement :
- cette ville a besoin de sang neuf et de nouveaux contribuables car à ce jour? seules les communes avoisinantes voient leur population augmenter et ce, en tirant profit de l'attractivité de PEZENAS et de ses services culturels, sociaux, économiques sans pour autant en payer le vrai prix.
- il serait suicidaire d'un point de vue financier de se rétracter et d'avoir à assumer le remboursement d'une dette sans qu'elle ne finance aucun projet de développement. A ce titre, le niveau d'engagement pris par l'ancienne municipalité n'a pas laissé beaucoup de choix à la nouvelle municipalité qui n'a eu comme unique solution que d'amender le projet pour le rendre environnementalement et socialement acceptable.
- enfin la lecture que j'ai pu faire du dossier (très bien documenté et précis) m'a rassuré car :
* d'un point de vue social, il répond à une demande logements et notamment des logements pour des jeunes (parce qu'il prévoit une mixité sociale intéressante).
* d'un point de vue environnemental, il vise à limiter les impacts de l'urbanisation même si ce n'est pas simple tant pour la faune et la flore qui sont présentent sur ce lieu (le compromis me parait acceptable) et les expérimentations intéressantes (lumière rouge)
* d'un point de vue économique, il est difficile d'apprécier les retombées directes et indirectes mais la présence d'une nouvelle population représente un vrai potentiel pour le commerce local.
pour les équilibres financiers de la Ville, il faudra évaluer correctement les retours sur investissement des infrastructures nouvelles à créer.
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
A l'heure où des événements climatiques de plus en plus violents entraînent des millions d'euros de degâts et ce de plus en plus souvent, je ne comprends pas que ce type de projets se développent encore. Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Par ailleurs, compte tenu du fait que l'eau potable est une ressource déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Il faut en finir avec l'artificialisation des terres agricoles fertiles!
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs.
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Comme tout le littoral languedocien, l'héliotropisme favorise l'arrivée et l'implantation de population nouvelle dont une partie non négligeable est issue du troisième âge.
À Pézenas, il ne faut pas la priver des moyens de santé publique.
En vieillissant, les séniors ont de plus en plus de difficultés à se déplacer dans les villages voisins où ces services de santé ont été créés voilà dix ans faute d'offres à Pézenas.
Il faut donc leur permettre de s'implanter, de se développer voire tout simplement de se maintenir.
St Christol y répond.
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Quid des avis négatifs des conseils "environnementaux" déjà consultés?
Quelle garantie sur les finances de Pézenas?
La logique actuelle limite l'étalement des villes, et nous, au lieu de densifier l'existant, nous allons bétonner en laissant croire que nous "compensons" sur des terres déjà naturelles?
Donc avis négatif
Étant donné que les sécheresses seront plus intenses dans un avenir proche et qu'il y a déjà des problèmes d'alimentation en eau, comment pourra-t-on fournir de l'eau à l'ensemble de la population de Pézenas? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuera le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuera plus au rechargement de la nappe phréatique.
24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueront à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
Comment pourront être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
La station d’épuration pour traiter les eaux usées sera-t-elle suffisante ? Et si elle ne l’est pas, que proposez-vous?
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Je vous remercie de l'attention portée à ma lettre.
Isabelle Kling
e fait savoir de différentes manières! Quand allez vous tenir compte de l'avis de notre planète? Nous sommes en train de scier notre branche sur laquelle nous sommes assis et pour qui? L'argent?!!! Quand l'homme blanc se rendra compte qu'il ne peut manger l'argent, il sera trop tard!...
Lorsque le dernier ruisseau sera pollué, le dernier animal chassé et le dernier arbre coupé, l'homme blanc comprendra que l'argent ne se mange pas (sitting bull).
bétonner des terres agricoles n'est pas une solution à long terme
Les commerces existants subiront une forte concurrence.
Bétonner des terres alors que nous devons tout au contraire favoriser l'absorption des pluies, recharger les nappes phréatiques.
Un non sens que ce projet!
J’ai 13 ans et ma famille veut s’installer à Pézenas mais il n’y a pas de logement disponible…
Je trouve ça incroyable que tous ces adultes qui se disent « responsables » veuillent empêcher la construction de logements !
Pensent-ils aux autres ?
STOP à la bétonnisation sans limite!
En effet, le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
De plus, 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
En résumé ce projet est nocif coûteux et contre la nature.
Je trouve de nombreuses contradictions à ce projet. La création d'un établissement senior lié à des déplacements propres.
Il y a un établissement sénior dans Pézenas. Les personnes âgées ont souvent une mobilité réduite. Le mode de communication reste donc la voiture surtout lorsque le quartier d’habitation est en périphérie comme Saint Christol. Les voies cyclables seront peu utilisées par ces personnes, c’est une évidence.
Ensuite, étant donné mon expérience personnelle dans notre quartier, les personnes âgées ont rapidement une baisse de mobilité et préfèrent être à proximité de tous les commerces : supermarchés, pharmacie, boulangerie, marché. La proposition si éloignée du centre semble très contradictoire.
De la même façon, parents avec enfants en bas âge ou lycéens prendront-ils le vélo pour accéder au centre et aux établissements scolaires ?
Des études ont-elles été faites dans les établissements existants pour connaître la part des mobilités douces selon l’éloignement des personnes ? Le parc à vélo des lycées reflètent-ils cette pratique ?
Il y aura donc déclin de la biodiversité et augmentation des pollutions liées aux déplacements motorisés….
Je suis donc opposée à ce projet.
Cordialement.
Le nombre de logements actuellement inoccupés est supérieur à ceux prévus dans le projet. D'autres dépenses sont plus utiles pour la ville. C'est encore une fois une aberration écologique décidée contre l'avis de très nombreux habitants
24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
L’artificialisation des sols ne permettrait plus l’irrigation en profondeur et l’impact pour la population serait importante: déjà des villages aux alentours ont été approvisionnés en eau, qu’en sera t’il ensuite?
Restera t’il assez d’argent à la commune pour des financements nécessaires?
Cordialement
auprès de l’Etablissement public foncier pour acquérir les terrains.
La population s'inquiète comme certaines autorités mais toujours pas de réponses.
Pourquoi vouloir aller droit dans le mur surtout avec les changements climatiques de notre époque. Ne pourrait on pas réfléchir en commun et surtout pour le bien de notre terre avant de celui ce seulement certains d'entre nous?
Dans le centre ville quelques 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs.
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Au-delà de l'artificialisation des terres, ce projet, s'il se fait, entrainera notamment des problèmes de transport, d'approvisionnement en eau potable et d'accueil pour les nouveaux habitants ainsi que des risques d'inondations. Sans compter que le Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas a émis un avis négatif sur ce projet. Bien cordialement,
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
La bétonisation et le tassement de sols cultivés entrainent des inondations et des ruissellements incontrôlables dans les agglomérations et les villages et une destruction de ces sols.
Les stations d'épurations se retrouvent dans l'incapacité d'absorber les flux démesurés d'eaux polluées et boueuses, les communes n'ont plus les moyens financiers pour la remise en état rapide des dégâts commis.
Le projet Saint Christol est un de ces projets écocides du siècle précédent. La nature n'est plus en mesure d'en absorber de nouveaux. Nous possédons dorénavant tous les élément scientifiques pour démontrer leur inutilité et leur dangerosité. Errare humanum est perseverare diabolicum ! Nul ne peut plus dire aujourd'hui qu'il ne savait pas.
- Où trouverons-nous cette ressource vitale pour tout un chacun, et aussi pour l'environnement ?
- Quelle solution lorsqu'il aura manque d'eau pour les habitants, hormis le recours aux camions citernes, qui n'est en aucun cas une solution pérenne et durable ?
- L'artificialisation des sols à St-Christol, participerait à accentuer le ruissellement des pluies (qui tombent de plus en plus en abondance à cause du réchauffement climatique) vers les zones sensibles de la localité, comme le bas de la rue Conti, l'avenue de Castelnau, l'entrée de Pézenas -route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, entre autres, ce qui aggraverait encore plus les inondations ! Quelles solutions sont envisagées en vue de très fortes inondations, qui seraient catastrophiques pour les habitants ?
- Le béton ne permettant plus l'infiltration des eaux de pluies, la nappe phréatique en pâtirait également, accentuant encore le manque d'eau déjà récurrent ! Qu'avez vous comme solution pour que celle-ci ne soit pas mise à mal plus qu'elle ne l'est déjà ?
- La destruction de 24 hectares de terres agricoles fertiles nuirait grandement à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois, aujourd'hui inférieure à 8%. Quelle réponse pouvez-vous apporter à ce manque qui aurait des conséquences pour les citoyens ?
- Quelles sont les mesures envisagées pour les 17 % du trafic routier supplémentaire qu'induirait un tel projet, s'il voyait le jour, notamment sur le pont de Peyne ?
- Quid de la scolarisation des nouveaux élèves qui arriveraient dans la localité (particulièrement pour ce qui concerne le Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ?
- Au vu des investissements qu'engendrerait ce projet, quel argent resterait disponible pour renouveler et réhabiliter le centre ville où 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs ? Ce projet est-il véritablement une absolue nécessité puisque le bâti existant est à même de pouvoir apporter un nombre de logements un peu supérieur ?
- Quid de la non prise en compte de l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas ? Quels sont les arguments raisonnables de ce refus ?
- Quel est le montant réel des autres investissements qui seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc ?
• Comment peut-on être sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait gravement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisés les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? La municipalité a-t-elle prévu d'en construire une de plus ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas) ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%
pour ne pas ruiner les petits commerces du centre ville. Et les structures administratives, assez Importantes ? et les routes ?
Que devient l'avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas ???
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
Mieux vaudrait investir cet argent pour rénover les 700 logements inoccupés du centre ville que de construire 655 logement neufs.
Le bétonnage de 24 hectares de terres agricoles fertiles me semble contre-indiqué dans la crise climatique que nous subissons tous·tes de plein fouet, avec notamment une tension sur l'eau potable et la nécessité de revenir à une autonomie alimentaire de la région.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
D'un autre côté, comment se fait-il que l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
J'exprime donc un avis défavorable à ce projet, qui vient bétonner des hectares de terre cultivables et engendrera plus de problèmes qu'il n'apportera à la commune !
LA FAMEUSE BALANCE BENEFICES vs RISQUES!
Ce territoire connait des limites qu’il convient de repousser afin de lui accorder toute la place qui doit être la sienne dans l’intérêt, non seulement des piscénois mais des communes limitrophes dont Pézenas est le bourg -centre.
Pour le village de TOURBES dont je suis le Maire, avoir une ville comme PEZENAS avec toutes ses infrastructures, tous ses atouts, sa position géographique, à deux kilomètres de panneau à panneau, présente un avantage certain pour les Tourbaines et les Tourbains. La ville de PEZENAS mérite un développement, qui lui permettra d'exacerber son attractivité, ce qui aura des conséquences favorables pour l'ensemble des villages situés en périphéries.
Ayant travaillé durant 35 ans aux service des Piscénois en tant que responsable de la Police Municipale de la ville de PEZENAS, je suis intimement convaincu que cette petite ville avec son histoire, ses monuments historiques, sa centralité, doit s'émanciper encore et jouer un rôle essentiel au sein de notre territoire.
C'est la raison pour laquelle il faut que l'ensemble des besoins recensés puissent voir le jour pour l'ensemble des habitants de la circonscription.
Le projet de la ZAC de Saint-Christol est à la fois une chance pour PEZENAS, mais également pour le territoire.
1. Répondre à un besoin de logement : Nous les Maires de l'agglomération Hérault Méditerranée nous sommes sollicités quotidiennement, pour trouver des logements.
Croissance démographique : Le projet peut contribuer à répondre à une demande croissante de logements, notamment pour les jeunes ménages, les familles ou les seniors.
Diversification de l'offre : Le projet peut proposer des types de logements variés (maisons individuelles, appartements, etc.) pour s'adapter aux différents besoins des futurs habitants.
2. Développement économique local :
Création d'emplois : La construction du lotissement génère des emplois dans le bâtiment et les secteurs connexes.
Dynamisation du commerce local : L'arrivée de nouveaux habitants peut stimuler l'activité économique des commerces de la ville de PEZENAS.
3. Intégration urbaine et paysagère :
Cohérence avec le plan local d'urbanisme (PLU) : Le projet est en adéquation avec les orientations du PLU en termes de densité, de mixité sociale, de respect des espaces naturels, etc.
Qualité architecturale : Les constructions proposées sont de qualité architecturale et s'intègrent harmonieusement dans le paysage existant.
Aménagements extérieurs : Le lotissement prévoit des aménagements extérieurs de qualité (espaces verts, voies piétonnes, etc.) qui améliorent le cadre de vie des futurs habitants.
4. Développement durable :
Respect de l'environnement : Le projet prend en compte les enjeux environnementaux (gestion des eaux pluviales, gestions des eaux usées (Capacité de la STEP suffisante), choix de matériaux écologiques, etc.).
Mobilités douces : Le lotissement favorise les modes de transport doux (vélo, marche à pied) et est bien desservi par les transports en commun.
5. Amélioration du cadre de vie :
Espaces verts : La présence d'espaces verts contribue à améliorer la qualité de vie des habitants et favorise les échanges sociaux.
Ce projet mérite que l'on s'y intéresse, tant il revêt une importance pour le développement de la ville de PEZENAS et ses environs.
Cela ferait de ce lieu, un pôle d'activité novateur dans le cadre de la transition écologique... Ce ne sont là que des orientations générales, à approfondir.
Il faudra de la concertation et de l'imagination... et y croire?...
Tout comme celle du climat et de la biodiversité, la problématique du logement urbain est complexe,. Cependant, de nombreux architectes et élus plaident aujourd'hui, par exemple, pour une densification plus raisonnée de nos villes et une meilleure utilisation des infrastructures existantes. D'autres solutions existent ; il est temps de mettre fin à la destruction de notre environnement.
Pézenas a véritablement besoin d’un second souffle en matière d’offre de logements : c’est pourquoi je suis favorable à ce projet.
Aujourd'hui, pour pouvoir la conforter et la développer, la Gendarmerie Nationale doit trouver un terrain d'une superficie suffisante, non éloigné des axes de communication (A75).
À défaut, elle quitterait Pézenas. Sa population en pâtirait, alors que sa sécurité est primordiale.
Je suis favorable à l'aménagement du quartier de St Christol car il maintiendra à Pézenas cette activité au service des piscénoises et des piscénois.
Depuis les années 80 , je constate une dégradation continue de la qualité de la vie à Pézenas.
Du fait de la disparition drastique des commerçants en centre ville .Phénomène qui se généralise dans toutes les petites villes, est-il inéluctable ? oui, dans la mesure ou l'on favorise l'habitat pavillonnaire ,ce qui entraîne une augmentation de la circulation et par conséquent de la pollution. Pollution certainement responsable de la destruction de la biodiversité .Au fil des années nous avons assisté à la disparition des criquets ,sauterelles, libellules ,scorpions coccinelles et mantes-religieuses, sans oublier les abeilles .
Monsieur le maire promet la création de haies bocagères et le maintien des murets et bosquets en bon état ,il ne reste presque rien !!!Quand on constate le travail des employés municipaux concernant les bordures de chemins(massacre à la tronçonneuse) ,on est en droit d'être sceptique.
Créer une zone "d'éducation écologique" en détruisant ce qui existe pour le remplacer par du béton!!!???Ce projet est anachronique .Il n'aboutira qu'à la création d'une" ville dortoir" ne redynamisant en aucun cas la ville existante ,bien au contraire .C'est la mort annoncée , dommage vu le potentiel architectural et culturel existant. En souhaitant que les personnes décisionnaires tiendront compte de mes observations.
Il faut cesser ces projets destructeurs de terres agricoles qui nous éloignent de la souveraineté alimentaire indispensable en ces temps de tension extrême, voire de guerre.
Il faut préserver ces espaces de nature pour lutter contre le déclin de la biodiversité.
Il est vrai que les besoins en logements sont réels mais la priorité doit être mise sur les logements vacants. Restaurer les logements existants est plus rapide et plus vertueux que de créer de nouveaux quartiers.
L'agriculture est une économie comme les autres, qui crée de la richesse, des emplois et nous procure un élément vital : nous nourrie.
Préserver nos terres agricoles et naturelles est indispensable.
Avant de bétoniser plus de surfaces sur Pézenas, merci de travailler sur les projets actuels des agriculteurs qui concerne leur résilience économique (agrotourisme, panneaux photovoltaïque au sol pour autosuffisance, hangar agricole photovoltaique orienté plein sud pour autosuffisance, entretien des chemin d'accès) et qui sont systématiquement refusés par le service urbanisme.
Cordialement,
Benoit Gil
C'est une zone avec plein d'anneau et de la végétation qui va disparaitre.
Je trouve que la ville se donne les moyens de réaliser un nouveau quartier de qualité prenant en compte l’ensemble des contraintes en y répondant.
Cela va engendrer le maintien et le développement de l'ensemble des infrastructures locales ( écoles, commerces...)
De plus, les entreprises liées à la filière du bâtiment verront leurs activités s'amplifier.
Pour finir la qualité du projet, issue d'une longue concertation, prend en compte les problématiques liées au respect de la biodiversité en apportant des solutions et innovations.
Résident sur Pézenas depuis 2008 et ayant choisi cette ville pour son cadre de vie je souhaite vous faire part de mes interrogations au sujet de l’urbanisation de Saint Christol.
Travaillant dans la transition écologique je constate chaque jour les conséquences néfastes de l’imperméabilisation des sols sur les risques de ruissellement, l’érosion de la biodiversité, le déficit de recharge des masses d’eau etc. et dans le même temps j’observe, très dubitative, l’énergie, l’ingénierie et l’argent public déployés pour désimperméabiliser, compenser, contourner les projets privés (ou public-privés comme celui de Saint Christol) qui ont été construits en dépit du bon sens et sans prendre en compte suffisamment les effets du changement climatique !
En effet, à la lumière de l’évolution démographique de Pézenas et de son extension urbaine, nous ne pouvons avoir l’assurance qu’un tel projet permettrait à de nouvelles familles de s’installer. En soixante ans l’urbanisation de Pézenas à triplé alors que sa population a stagné.
Loin de vouloir remettre en question le rôle de centralité de Pézenas, souhaitant même le conforter, l’intérêt de la ville réside dans la concentration spatiale de ses nombreux services et la possibilité offerte à chacun de s’y rendre à pied ou à vélo. Le positionnement du projet de Saint Christol, à l’extérieur de sa tâche urbaine (20 min à pied), ne répond nullement à ce besoin de centralité et risque même de diluer sa population au détriment de la vitalité de son centre-ville et de sa mixité.
Consciente de la baisse des ressources des collectivités et constatant tous les jours l’état extrêmement dégradé de sa voirie et de ses réseaux, je suis de plus très dubitative sur la capacité locale des collectivités à investir et entretenir correctement de nouvelles infrastructures. En tant que redevable de la taxe foncière, qui s’avère très élevée sur la commune de Pézenas comparativement à ses voisines, cela m’inquiète d’autant plus !
Projet suicidaire pour les commerces actuels du centre-ville
Projet aberrant compte tenu de l’immobilier piscenois vacant et à rénover, aberrant concernant le nombre de personnes et de voitures qui viendraient former un autre village en périphérie, sans impact positif pour le village existant et avec tellement d’impacts négatifs sur la circulation, l’utilisation des ressources en eau ou de son traitement, etc etc.
La bétonisation des terres, responsable des dégradations monumentales lors des épisodes pluvieux, doit cesser et avec le refus de ce projet, pezenas en sortirait grandie et citée en exemple
L'attractivité de la ville fait que Pézenas doit assumer des fortes charges de centralité.
Il faut de nouveaux projets pour nous aider à assumer cette centralité.
Le projet du quartier Saint-Christol favorisera le développement de la ville tout en offrant des infrastructures modernes.
C'est une chance que l'on ne doit pas laisser passer, car ce projet améliorera la qualité de vie des piscénois.
Je viens de lire les observations sur l'enquête publique et constate que les 3/4 d'avis favorables sont anonymes et souvent non argumentés, cela m'interpelle, pourquoi cacher son identité et ne pas donner de détail ? à mon avis cela fausse l'enquête, on dirait que ces gens ont été dirigés !!!!!!
Je constate aussi que les gens favorables à ce projet s'insurgent sur le fait que la mairie doit rembourser les 5 millions à l'Etablissement foncier mais personne ne parle des frais que ce projet va engendrer qui seront de l'ordre de 30 millions (cf plan projet : la commune doit payer 40 % et la semop 60 % ) soit 12 millions CES MONTANTS N ONT JAMAIS ETES DONNES dans les réunions publiques Pourquoi ??
Il faut que les piscénois sachent que ce projet va geler les finances de la commune pendant des années et que le centre ville en sera autant démuni il n y aura plus d'argent pour l entretien de l'existant !!!!
NON CE PROJET NE DOIT PAS ABOUTIR !!!
La proportion de logements aidés associée à celle des logements seniors est en capacité de garantir une mixité sociale et intergénérationnelle indispensable à la qualité de vie, tout en facilitant l’accession à la propriété de jeunes ménages. La primo accession dans la première phase représente un pourcentage très important de l’ensemble des logements programmés.
L’approche environnementale qui fait une large place à l’innovation, à de nouveaux concepts en matière de préservation de la biodiversité, de sensibilisation aux besoins de protection et de conservation d’éléments patrimoniaux comme les murets en pierre, devrait largement contribuer à la création et à la permanence d’un cadre de vie agréable.
D’autres éléments tels que la forte proportion d’espaces publics, des commerces de proximité et des jardins partagés aptes à faciliter le lien social, l’intégration d’un service de transports en commun doivent contribuer efficacement à faire de Saint-Christol « un quartier plus qu’un simple lotissement ».
Richard Monedero
Ancien élu de la Communauté d’Agglomération Hérault Méditerranée
Ces projets doivent cependant respecter l'environnement en gardant de grands espaces verts et en limitant la perméabilisation.
Je suis pour mais en respectant un cadre stricte.
Il est respectueux à la fois du contexte societal et environnemental.
Le futur quartier est de plus très novateur au regard de l’environnement.
Je souhaite attirer votre attention sur la croissance de la sècheresse et une ressource en eau déjà sous tension. Il semble donc difficile de ne pas envisager de fortes restrictions d'eau potable pour les populations alentour. De plus, le bétonnage des parcelles sera néfaste car il n'y aura plus d'absorption d'une partie des précipitations et cela accentuera le ruissellement.
Avis défavorable
Si le projet de départ de l'Eco-quartier Saint-Christol semblait prometteur, force est de constater que son évolution vers un lotissement bas de gamme au COS non limité et à la bétonisation massive, soit loin de répondre à nos préoccupations éco-responsables.
En outre, quel est notre projet de ville, souhaitons-nous nous inscrire dans une dynamique de ville dortoir en périphérie de pôles d'attractions tels que Béziers et Clermont-L'Hérault, ou, au contraire, souhaitons-nous capitaliser sur notre image, du bien vivre, du temps suspendu, de la consommation locale, de la ruralité hédoniste ?
Laissons les paysages tels qu'ils nous émeuvent, les sols absorber l'eau qui nous fait tant défaut et proposons des logements qui soient fondus dans le décor, plus que d'être les étendards d'une nouvelle pompe à fric aux redistributions inéquitables.
La ville de Pézenas, 2ème ville centre de la Communauté d’Agglomération et centre économique de la partie nord, est particulièrement et sévèrement impactée par ce manque de développement urbain. Le projet d’urbanisation de St Christol par la ville de Pézenas répond à cette nécessité. Il est à noter d’autre part, que ce projet est un modèle d’urbanisation écologique, prenant en compte les contraintes énergétiques de notre époque. Je trouve personnellement qu’il est une nécessité pour le développement harmonieux de la ville de Pézenas, tant sur le plan de l’équilibre de la population que sur celui du développement économique.
Propriétaire d'un bien immobilier à Pézenas, j'y paie les impôts locaux.
La dette de cinq millions d'euros contractée par la précédente municipalité pour le projet Saint-Christol, risque fort d'aggraver les finances de la ville. Il y a un risque énorme de déséquilibre budgétaire pour rembourser ce dû, sans ne rien réaliser.
L'impact serait a minima une hausse de la fiscalité dans des proportions hors normes. Cette augmentation serait insupportable pour les contribuables piscénois.
Je suis donc favorable au projet de ZAC Saint-Christol.
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…) ; de plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois.
Comment pourrait être absorbé 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
Comment la création d’une Halle Gourmande à St Christol (1 700 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville ?
La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était pas ?
Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune ( notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au dessus de la Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas reste-t-il caché à la population et n’est-il pas joint au dossier ?
Beaucoup d'inconvénients donc menacent la qualité de vie des piscénois, voire des villages alentours.
MAIS
Je trouve dommage de prendre encore sur la verdure alors qu'il y a
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?Beaucoup de villes de la Côte d'Azur bloquent toute expansion, en tenant compte de cette nouvelle donne.
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…) ; de plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois.
Comment pourrait être absorbé 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
Comment la création d’une Halle Gourmande à St Christol (1 700 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville ?
La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était pas ?
Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune ( notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au dessus de la Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas reste-t-il caché à la population et n’est-il pas joint au dossier ?
A vous d’agir pour le Bien Commun de Pézenas, de ses habitantes et habitants… mais aussi des villages environnants qui seraient impactés (approvisionnement en eau, inondations,…).
La place réservée aux espaces publics et aux zones non imperméabilisées démontrent bien l’objectif écologique du quartier
Après lecture des différents documents, le projet parait en tout point vertueux et exemplaire sous pas mal d'aspects (mode de vie style éco quartier, liaisons douces et mobilités vertes...)
je vous prie de bien vouloir prendre connaissance de mon avis défavorable à l'aménagement prévu de ce nouveau quartier.
Les arguments négatifs sont nombreux si ce projet voyait le jour : les risques sont divers. Sècheresse, restrictions en eau, coûts engendrés par la connexion vers le centre-ville, terres agricoles consommées, incidences urbanistiques et paysagères, typologie de ces nouveaux résidents et leur fusion dans la population piscénoise, atteinte aux efforts municipaux de transition écologique - voir la conduite actuelle du projet agricole dans le tènement de l'Auribelle, etc.
Comment anticiper le devenir de cette petite ville exploitant sa richesse patrimoniale et son passé historique au travers de la conservation du bien-vivre qu'offrent vie culturelle, artistique, associative, conviviale, etc. et sa qualité de sa gestion municipale. Bien-sûr, la réalité économique locale, mais comme elle l'est aussi aux niveaux départementaux et régionaux, est difficile. Mais qu'apporlerait cette nouvelle population, peut-être pour partie retraitée, étrangère, avec quel niveau de vie et quels comportements sociologiques ? Trop de régions méridionales souffrent d'afflux de population touristique ou permanente sans aucune intégration et qui entraine l'accroissement de la dégradation de la vie locale et du vivre ensemble.
La ville de Pézenas est déjà très endettée.
Or, des investissements obligatoires liées à ce projet devront être entrepris avec une ville qui atteindra les 10 000 habitants;
création de classes supplémentaires, embauche de policiers municipaux, connexion avec la station d'épuration, réfections des ponts et des chaussées reliant le "hameau" de Saint Christol à la ville actuelle, etc etc, au détriment de l'entretien plus que nécessaire des chaussées et trottoirs du centre ville et des lotissements en périphérie.
Avec quel argent?
A cela s'ajoute le risque "inondation" pour Saint Christol mais aussi pour les bas quartiers de la ville avec la problématique de la ressource en eau potable dans les années à venir. La presse régionale nous sonne l'alerte tous les jours.
Si demain nous devions être exposés à ces problématiques, qu'en sera t-il à ce moment là de la responsabilité des élus et des services de l'état.
Faire appel à la solidarité nationale quand une catastrophe non identifiée se produit, c'est le sens même de l'esprit solidaire, mais dans le projet de Saint Christol les risques et les dangers sont déjà identifiés.
Par principe de précaution je suis défavorable à ce projet.
Augmentation importante de la circulation donc de la pollution
Ce projet est une aberration pourquoi ne pas restaurer les logements vides ?
je pense réellement que ce projet sera bénéfique au développement de la vie de Pézenas!!
Un beau projet, qui emmènera a redynamisé la ville!!
Ce projet me semble particulièrement intéressant. La possibilité de créer une zone d'habitation dans ce nouveau quartier permettrait de poursuivre le dynamisme de Pezenas ou le centre ville semble saturé en terme de logement.
J'ai donc un avis très favorable sur ce projet !
D'autre part le bétonnage de la campagne Saint Christol accentuerait le ruissellement vers les zones sensibles de la ville et amplifierait le phénomène d'inondation déjà préoccupant.
Cela ne favoriserait pas le rechargement de la nappe phréatique.
La station d'épuration pour traiter les eaux usées serait elle suffisante, si ce n'était pas le cas quelle solution est envisagée?
Pour quelles raisons valables devrait-on bétonner cette zone préservée tant appréciée par les piscénois, au risque de chasser la multitude d'oiseaux et d'animaux de cette campagne, de priver les générations futures de 24 hectares de terres fertiles et d'accroître les risques d'inondation de la ville ?!
Nous allons devoir vivre avec des restrictions d'eau de plus en plus fréquentes et ce projet va gravement accentuer le problème en empêchant le rechargement des nappes phréatiques.
En outre, les capacités de traitement des eaux usées de Pezenas risquent de ne pas être suffisantes.
Enfin, les chemins alentour déjà en très mauvais état et la route d'accès à la ville pourront-ils supporter un tel accroissement du nombre de voitures ?
Un autre projet raisonnable et respectueux de l'environnement doit être possible.
Intéressée par la petite ville de Pézenas pour sa qualité de vie, son patrimoine du grand siècle, ses traditions et son dynamisme, je souhaite vous faire part de mes observations sur la ZAC Saint-Christol.
Sensible par mon parcours professionnel aux problématiques que rencontrent les personnes en situation de handicap, je perçois ce projet comme un ‘’PARAPROJET’’ particulièrement innovant pour la ville de Pèzenas.
A mes yeux la ZAC Saint Christol offre la possibilité de mettre à disposition des personnes à mobilités réduites des logements adaptés accessibles avec des voies de circulation « douces » qui faciliteront également l’insertion des personnes âgées ou malades.
Un vrai projet citoyen transgénérationnel pour tous !
De plus dans ce quartier dont le développement durable est le maître mot, les personnes
handicapées particulièrement sensibles à leur environnement trouveront un espace à vivre d’une grande sérénité.
L’implantation de commerces de proximité accessibles via un mode de déplacement doux sont gages d’une plus grande autonomie de chacun.
Proches du centre ville de Pèzenas via des accès facilités, les populations vulnérables ne seront pas exclues de la vie économique et culturelle Piscenoise.
Ces quelques points retenus parmi d’autres, plus en lien avec le handicap m’invitent à soutenir cette ZAC Saint-Christol.
• comment se fait-il que l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
Pour toutes ces raisons je suis DFFAVORABLE à ce projet qui est un aberration de plus face à la crise climatique dont il ne fera qu'augmenter les effets.
Ce quartier semble avoir été pensé pour répondre aux enjeux actuels, en prévoyant des espaces publics aménagés et arborés et des équipements de proximité, ce qui évitera que cela devienne un quartier dortoir.
L’apport d’habitants bénéficiera également aux commerces locaux, aux écoles, au tissu associatif, et permettra de donner une nouvelle dynamique à la commune avec un rajeunissement de sa population.
- l'artificialisation de terres agricoles alors qu'il faudrait soutenir l'agriculture locale et développer les circuits courts afin de favoriser l'autonomie alimentaire;
-l'artificialisation de terres alors que le réchauffement climatique accentue la sécheresse ; la betonnisation empêchant l'infiltration des eaux pluviales et entraînant le ruissellement non seulement renforcera la sécheresse mais aussi les risques d'inondation en cas de fortes pluies ce qui est de plus en plus le cas;
- le coût pour la commune, déjà bien endettée, de fortes dépenses de viabilisation et de voirie;
-la perspective d'embouteillages avec une augmentation de 17% du trafic routier
DEPUIS 1992 j'ai eu l'occasion de voir évoluer le quartier, la totalité était des terres agricoles dont la majeure partie des 24 hectares appartenait au même propriétaire.
A cette période ce propriétaire était déjà sous contrat avec un promoteur et bien-sûr on parlait déjà de ce quartier.
Assez rapidement au vu de la faible rentabilité de ce vignoble et avec la promesse que ce projet allait ce réaliser.
La quasi totalité des vignes ont été arrachées, ce qui a pour conséquence l' impossibilité de replanter de la vigne sur ces parcelles.
J' ai eu aussi le temps d'appréhender et de comprendre comment et pourquoi ce quartier s'inonde.
Par très forte pluie l'eau qui ruisselle du causse de l'Arnet vient heurter la ligne du chemin de fer qui fait office de digue, et comme la route nationale est aussi plus haute que les parcelles du quartier et n'ayant aucune structure pour évacuer l'eau, le quartier s'inonde.
Et depuis que j'y habite ce phénomène s'est produit a trois reprises , dont un plus important que les autres en octobre 2019.
Vous allez me dire pourquoi êtes vous favorable au projet de saint Christol.
Tout d'abord contrairement à la plupart des personnes qui ont émis un avis défavorable, moi comme vous l'avez compris j'habite le quartier depuis 33 ans.
Pour accéder chez moi je traverse le champ chaotique du voisin, je n'ai pas l'éclairage public, je n'ai pas le tout a l'égout, je n'ai pas l'eau de la ville , depuis 33 ans quant il arrive la fin aout, il faut que je me rationne drastiquement ,les ressources en eau sont pratiquement vide.
TOUT cela peut paraître charmant au début mais a la longue c'est très pesant.
En ce qui concerne le projet, il n'a plus rien avoir tel qu'on l'a trouvé en 2021.
Sans rentrer dans les détails, nous étions sur un projet qui ne proposait que des barres d'immeuble avec aucune vie de quartier en perspective.
De plus la Mairie, en l'état du dossier n'avait pas la main sur l'évolution possible du projet.
Après d'âpres discussions et ce rendant a l'évidence des problèmes financier induit par ce dossier, la décision d'assumer nos responsabilités a été prise.
Un autre projet a vue le jour totalement différent, après avoir pris la maîtrise, on a pu mettre l'accent sur la mixité, la convivialité avec plus d'espaces verts, d'aires de jeux et des services de proximité et surtout on a pu diviser quasiment par deux le nombre de logement.
la ressource d'eau chaude sera utilisée notamment sur le domaine saint Christol pour une station thermoludique.
Cela va contribuer à sa paupérisation plutôt qu'à son éclat...
1)le bétonnage de st Christol plus le changement climatique risquent d'aggraver les problèmes d'inondation
2)l'augmentation du trafic routier peut poser problème au niveau du pont de Peyne et en ville (donc plus de frais)
3)désertification du centre ville ,et perte de commerces
4)plus de dépenses pour la commune pour absorber toute cette population en plus ,alors que nous sommes déjà une commune pauvre
5)avons nous vraiment besoin de cette population en plus alors que nous avons déjà loti pas mal de terrains (perte de terres agricoles)
6)les taxes foncières déjà très élevées vont -elles pouvoir absorber tout le surcoût que cela va induire ou faudra t il encore les augmenter?
Ce projet est totalement suréaliste surtout s'il est créé sur la zone de St.Christol qui est protégé et est aussi sur zone inondable.
Re créer également une zone commerciale va tuer le centre ville...mais qu'attendent nos élus ??? La mort des commerçants??? Le désert des rues du centre ?? Totalement défavorable !!
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,
Je crains pour l’impact de ce projet sur le ruissellement de l’eau pluviale et aggravant le risque d’inondation de la commune.
Cette « cité » en dehors de la cité ne fait pas sens pour moi. La modernité aujourd’hui pour moi est dans la revalorisation des centre villes, la proximité et le lien social. Saint Christol de répond en rien à cela, sinon artificiellement seulement.
Je suis sensible également à la participation citoyenne sur le sujet qui à mon sens n’a pas été réalisée de manière neutre, ni transparente, au contraire de manière pré convenue et dirigée.
Je suis très défavorable à ce projet.
J'envisage d'habiter à Pezenas et ce projet serait formidable pour ma famille et moi.
J'envisage d'habiter à Pezenas et ce projet serait formidable pour ma famille et moi.
Nous expliquerons à nos enfants qu'avant, là bas, il y avait des coquelicots et qu'il faisait bon aller s'y promener. On leur expliquera aussi qu'on pensait que poursuivre ce projet malgré tout semblait évident parce que l'on avait peur de devoir payer des amendes. Mais l'arrivée massive d'une population génère lui aussi un coût qu'il faut mettre dans la balance. Avant de lancer les travaux, peut-être faut-il clairement chiffrer les coûts en terme matériel et humain : Combien coûtent les créations de nouveaux axes routiers , de places de parking, d'entretien des routes qui devront subir plus de passages? Combien coûte l'arrivée de nouveaux enfants dans les structures scolaires de la ville qui sont déjà avec jusqu'à 36 enfants par classe? Est-il prévu des aménagements en piste cyclables supplémentaires alors que les garages à vélos se réduisent chaque jour comme peau de chagrin pour agrandir les terrasses des cafés? Si ces chiffres existent je ne les ai pas trouvé dans le projet pour comprendre son maintien .
Pézenas est une belle ville, authentique, avec des logements vacants en centre ville qu'il est urgent de rendre salubres pour accueillir cette nouvelle population. Nous avons tout autour de nous des villages qui se développent dans des quartiers neufs pendant que leurs centres se vident. C'est triste. Ils viennent alors chercher ici ce qu'ils ne trouvent plus chez eux. Et nous? où irons-nous chercher le vivre ensemble quand le centre se sera vidé au bénéfice de la périphérie?
La possibilité d’acquérir un terrain viabilisé pourrait me permettre la construction d’une maison.
Si je m’établis dans ce nouveau quartier, je vais m’y installer avec mon épouse et mes enfants.
je suis favorable à ce projet qui permettra un développement de la ville de Pézenas. Je pense vraiment que tout sera fait dans le respect de l'environnement.
Cela permettra aussi de répondre à la demande grandissante de logements et ainsi les retombées économiques seront non négligeables.
Il faut donc que ce projet puisse aboutir.
Le manque de logements sur le Piscenois est réel. Cela répondra à une forte demande.
Le centre ville de Pézenas étant en grande difficulté, il est souhaitable que ces futurs habitants consomment sur place.
Cela pose le gros problème des places de parking qui ne sont pas suffisantes actuellement.
C’est un réel problème.
Les consommateurs fuient le centre ville du fait de cette difficulté à trouver des places
Cela aggravera certainement ce problème, sauf si des navettes ou autres solutions sont prévues.
Les classes dans les écoles primaires, menaçant d’être fermées seront maintenues et de nouvelles classes seront créées. Cela est il possible par rapport aux infrastructures actuelles ?
La cantine du lycée étant déjà trop petite ….
Comment gérer la cantine avec la venue de nouveaux élèves ?
Des élèves en plus qui prendront les bus scolaires.
Des places en chèche déjà pas suffisantes.
D’un autre côté, ce sera une bonne chose pour les subventions allouées aux associations dont le montant peut dépendre du nombre d’habitants.
Il y aura également plus d’incivilités, …
Et bien d’autres préoccupations encore auxquelles je ne pense pas
Donc économiquement, il est inconstatable que c’est une excellente chose, attention à anticiper les problèmes énoncés et à trouver des solutions en amont.
D’un point de vu environnemental, ce n’est pas une bonne chose :
Disparition de terres agricoles et naturelles. Conséquences sur la faune et la flore.
Plus de pollution
Plus de circulation
Plus d’ordures, …
Compte tenu que Pézenas perd des habitants depuis quelques années, c’est un beau projet pour la ville tout de même !
Et enfin, pourquoi l'avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ??????
Il répond à un besoin de logements et permettra l’installation de nouvelles forces vives !! Rajeunissons la ville !
Ce projet, imaginé depuis de très nombreuses années par la municipalité précédente n'est plus adapté aujourd'hui aux perspectives climatiques. En effet, la prise en compte de ces phénomènes par les différentes administrations est postérieure à l'élaboration du projet st christol qui d'une part ne répond plus aux contraintes actuelles du développement urbain et qui , d'autre part, ne va pas du tout dans le sens de l'agravement prévisible et irréversible des conditions climatiques auxquelles les mêmes administrations ne sont pas encore sensibilisées.
Ce projet va donc à contre sens des efforts gouvernementaux, locaux et sociaux, qui veulent préserver notre environnement afin d'offrir aux générations futures un avenir possible. Rien de moins !
Je suis donc défavorable à ce projet !
Cet aménagement a permi de répondre à un besoin et donner à.pezenas la.place de centralité qui était sienne , en parallèle un.plan.de restauration du patrimoine ancien avait été lancé. Cependant nôtre cité riche de son patrimoine et équipement à.vite été rattrapée par une.pression urbaine limitée par son PPRI et des difficultés économique sur un bassin territorial touché par.une précarité forte. L'équipe.municipale à tiré au mieux de Cette héritage pour.proposer un projet cohérent et respectueux de l'équilibre environnemental, pour pezenas et les générations futures le quartier saint cristal.doit se faire.
Pierre Garcin
Architecte retraité honoraire
je ne vois pas la necessité de construire ce futur lotissement, alors qu'il y a des centaines de logements vacants au centre ville
y aurait -il suffisamment d'eau potable pour une telle augmentation de la population?
est-ce que cela ne signifierait pas la mort du centre ancien de Pezenas?
1) Déjà pour commencer par la base de la vie ( pas assez d’eau )
2) Ça fait disparaître des terres fertiles qui permettraient d’augmenter l’autosuffisance alimentaire de Pézenas et de ses alentours.
3) La faune et la flore va encore perdre du terrain et remplacer par du béton et du goudron qui va encore et encore bloquer l’eau à rentrer dans nôtre nappe.
4) Le centre ville actuel va mourrir et bien plus.
5) Les habitants du Saint Christol et alentours vont perdre leurs qualités de vie actuel
Etc….
La liste est longue….
NON NON à ce projet incompatible avec les villages et petites villes comme Pézenas…
Domicilié à Pézenas, adhérent du parti Les Écologistes, je tiens à exprimer mon opposition au projet dit de Saint-Christol.
Il s’agit d’un projet pensé dans les années 90, au siècle dernier. Initié dans une époque qui précède la prise de conscience de l’impact de l’étalement urbain sur l’environnement, le lien social et les finances publiques, il s’agit d’un projet daté mais surtout anachronique et dangereux pour l’avenir de la ville.
Les arguments relatifs aux « évolutions » ou aux « avancées » que la copie aujourd’hui présentée comprendrait par rapport aux premières esquisses ne constituent qu’un vernis qui ne saurait cacher l’essentiel : la bétonisation de 24 hectares de terres à potentiel agricole, la construction d’un quartier situé à l’écart du reste de la ville et une fuite en avant financière.
Ainsi, ce vernis, résultant certainement d’une démarche sincère visant à améliorer le projet autant que faire se peut, est au mieux un arrangement avec le réel qui tend à s’éviter la responsabilité d’une question difficile (comment mettre fin à un projet néfaste mais pour lequel la ville a déjà commencé à s’endetter ?), au pire un leurre ou une tentative de greenwashing pour rendre acceptable un projet dont l’évaluation ne résiste pas à l’examen. Quant à l’idée que ce projet aurait pu être pire, on ne saurait la ranger dans la catégorie des arguments !
Commençons par les effets sur l’environnement.
En soixante ans, l’emprise de la ville de Pézenas s’est fortement étendue au détriment des terres agricoles qui l’entouraient. C’est ce qu’on appelle l’étalement urbain, un phénomène qui conduit en France à la perte d’environ 6 000 km2 de sols tous les dix ans. Le projet de Saint-Christol, avec ou sans vernis, génèrera encore plus d’étalement urbain avec des conséquences à la fois globales et locales. Au niveau global, il entraînera une perte de biodiversité, génèrera des émissions de CO2 en plus et augmentera la consommation énergétique. Au niveau local, il renforcera les risques d’inondation en aggravant les risques de ruissellement dans un territoire soumis aux épisodes dits cévenols, accentuera le phénomène des îlots de chaleur urbains alors que l’espace méditerranéen est l’une des régions dans le monde où l’augmentation des températures sera la plus forte, alourdira les contraintes de déplacement des habitants et causera la destruction de sols à vocation agricole dans une région qui, constituant un étroit couloir entre la mer et les causses calcaires, en manque déjà.
Concernant les effets sur le lien social.
En soixante ans, l’urbanisation de Pézenas a plus que triplé alors que sa population a stagné, voire régressé. 6 530 habitants en 1954, 7 188 en 1962, 9 103 en 1968, 7 519 en 1982, 7 613 en 1990, 7 443 en 1999, 8 251 en 2010, 7 788 en 2021… Autrement dit, en s’étalant, la ville ne s’est pas agrandie, elle s’est plutôt diluée ou réorganisée. Dans l’histoire, les villes ont été des creusets, des lieux de rencontre ou de mixité qui ont permis de favoriser la mise en relation des individus, de créer des formes de cohésion et même d’encourager les idées nouvelles. À Pézenas, l’étalement urbain n’a pas généré de l’urbanité, elle l’a réduite et le projet de Saint-Christol, qui recouvre une zone séparée du reste de ville par des terrains inondables (à plus de 20 minutes à pied du centre-ville, va immanquablement aggraver la dilution spatiale de ville. Ainsi les effets de Saint-Christol ne seront pas limités à ce quartier, ils concerneront toute la ville et notamment le centre-ville qui (au mieux) continuera à se muséifier, la ville se spécialisant par zone (l’habitat et les activités productives dans les périphéries, l’offre de loisir ou touristique – artisanat d’art, restaurants, bars – dans le centre-ville).
Concernant les effets sur les finances publiques.
Pendant six décennies, l’étalement de la ville n’a pas permis de soutenir la démographie quand bien même l’Hérault est l’un des départements de France les plus dynamiques, passant de 471 429 habitants en 1954 à 1 201 883 en 2021. En revanche, les réseaux de la ville – routes, trottoirs, réseaux souterrains – se sont considérablement allongés et avec eux les coûts non seulement de réalisation mais aussi d’entretien ainsi que ceux qui leur sont corrélés (comme le nettoyage ou l’enlèvement des ordures). Les distances s’allongeant, les coûts liés au déplacement automobile se sont eux aussi aggravés : parkings supplémentaires, aménagement de ronds-points. Le projet de Saint-Christol s’apparente donc à une fuite en avant : alors que six décennies d’étalement urbain ont apporté la preuve qu’il ne suffisait pas d’urbaniser des zones périphériques pour augmenter la population, la ville s’oblige à créer et à entretenir de nouveaux réseaux. Or, l’observation montre, à l’évidence, qu’elle n’est déjà pas en capacité d’entretenir les réseaux actuels. Selon un jeu de vases communicants, il est donc à craindre que la création du quartier Saint-Christol ne déplace les moyens, aggravant la situation dans les quartiers aujourd’hui délaissés ou réduisant le niveau de service dans d’autres.
Les problématiques liées au parcours résidentiel et à la taille critique de la ville au regard de sa dimension de centralité sont des problématiques légitimes qui appellent des réponses. Mon propos n’est pas de figer la ville ni ses contours. Au contraire, il vise à dire que la ville, pour se ménager un avenir, ne doit surtout pas s’engager dans un projet venu d’une autre époque, tel que celui de Saint-Christol. Quand on est dans une impasse, il n’y a aucun mal à faire demi-tour, c’est toujours mieux que de foncer dans le mur. Même surmonté d’une jolie couche de vernis, un mur reste un mur.
Dans les observations déjà publiées, je lis, parfois très explicitement, que l’opposition au projet de Saint-Christol relèverait d’une posture dogmatique. Dans le débat public, on sait bien que les dogmatiques sont toujours les autres, et c’est donc une accusation à manier avec une infinie prudence. Si je n’aime pas manier ce terme, il me semble cependant important de préciser, et ce sera ma conclusion, que si dogmatisme il devait y avoir, il serait ici plutôt à chercher du côté de celles et ceux qui font fi de l’expérience et de la connaissance en s’obstinant dans une stratégie d’étalement urbain dont les dégâts sont aujourd’hui connus et documentés.
- augmentation de la population et donc croissance de la ville
- nouveaux terrains et appartements en vente
- projet retravaillé pour ne pas que le quartier soit éloigné de tout.
- en faire des terres d’agricultures serait potentiellement une bonne idée mais le projet de l’auribelle (La ville met à disposition des terrains agricoles pour cultiver) n’est pas complet et n’arrive déjà pas à trouver assez d’agriculteurs pour combler l’entièreté des parcelles.
Face à la gravité de la situation la bétonisation est la pire des choses qu'il puisse être envisagé !
Ce qu'il faut c'est de la végétation pour à la fois maintenir les sols, faire de l'ombre tout en régulant l'arrivage massif de populations ! ... L'accroissement de la population ne fera qu'aggraver un problème déjà existant et resté sans réponses !
Favoriser l'agriculture respective de la nature et de l'environnement, question de santé et fiances publique aussi et de qualité de vie !
C'est donc du gaspillage de l'argent public et la mise en danger de la vie sur cet espace !
Ce projet irrespectueux et aberrant à la fois se doit d'être purement abandonné au profit de solutions durables ...
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
Je suis très favorable à ce projet cohérent.
De plus, une partie de la population piscenoise est contre car l’enjeu environnemental est pour eux une question majeur.
Donc essayons de réaliser un projet d’habitation écologique et naturel, comme sur les plans proposés.
À l’avenir cette zone, pourrait attirer des entreprises ce qui rendrait l’attractivité économique de la ville en phase de reprise.
En effet, ce projet d’habitation permettra de relier la ville avec son centre historique.
Au passage, ce projet pourrait être en réflexion pour optimiser la ZAC du mieux possible. La ville vieillit, il faudra penser aux infrastructures sportives de la ville. Essayons de mettre en place un deal avec le constructeur de se projet. Un exemple: "Vous construisez cette zone mais vous devez faire en sorte de nous construire un nouveau complexe sportif dans Pézenas avec peut être deux terrains de football qui pourrait servir à toutes les associations sportives de la ville et peut être un nouveau gymnase dernière génération."
Le projet d’habitation est pour moi une excellente chose pour la ville.
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Ce n’est pas le manque de logements qui empêche la démographie de progresser (Faut-il vraiment que la population augmente sur notre ville ? Mais c’est un autre débat ???), mais les voies de communication : les rails qui passent à Pézenas et vont jusqu’à Montpellier, bassin d’emploi important pour les piscénois, sont désaffectés, mais sont toujours en place. Toutes les données et études de l’INSEE montrent que les foyers s’installent le long des voies de communication, notamment ferroviaires. En ce qui concerne Montpellier, aucune étoile ferroviaire autour de la métropole, accès très difficile voire impossible en voiture, et c’est très bien pour l’environnement. Mais à la seule condition que la population (travailleurs, personnes à mobilité réduites voulant se rendre dans les services de santé de la métropole par exemple, étudiants, …) ait une alternative : un TER ou RER qui relie Montpellier aux autres villes, notamment Béziers, sous-préfecture, et cela passe par Pézenas puisque les rails existent. Cela déchargerait la LGV (ancienne ou nouvelle).
Bien cordialement
Agnès GIZARD-CARLIN
Agrégée d’écologie
Il existe une large zone agricole dégagée à l'Auribelle et encore disponible pour une agriculture bio et raisonnée.
Ce projet évitera aux finances de la ville héritées du précédent mandat de rembourser une lourde dette et de la contraindre à une augmentation de la fiscalisation déjà lourde et peu attractive par rapport aux villages voisins.
Pour l'avenir, il faut absolument lutter contre le déclin démographique de la ville en attirant une population jeune, familiale qui peut s'y loger ce qui est actuellement impossible dans le centre ancien et qui la fait partir dans des lotissements de villages environnants.
C'est pourquoi je suis défavorable à ce projet.
Ajoutons les impacts financiers sur la santé et notre cadre de vie : trafic routier + impact sur le commerce du centre ville + infrastructures nécessaires (écoles épuration...)
D'autres solutions sont possibles. 900 logements inoccupés selon l'INSEE
Compte-tenu de la refonte de l'ancien projet pour un autre plus conforme aux exigences environnementales.
Ce projet pourrait stopper l'hémorragie des installations dans les lotissements exponentiels dans les villages voisins.
Compte-tenu de la possibilité d'augmenter une population de primo-arrivants qui ne peut être que bénéfique pour les effectifs scolaires et le maintien du fonctionnement des services de la ville.
Je suis favorable à ce projet.
Ce projet vieux de 25 ans, initié par l'ancienne municipalité est repris par la nouvelle, sans aucune concertation citoyenne, alors qu'elle s'y était opposée lorsqu'elle se trouvait dans l'opposition. Modifié à la marge, ce projet prévoit de construire 655 logements sur 24 ha de terres fertiles et d'accueillir 1200 habitants à l'horizon 2032.
Depuis le début, les insoumis-es du Piscénois sont opposés à ce projet d'un autre temps :
- Ecocide (bétonisation des terres, risque d'épuisement de la ressource en eau...)
- Dangereux économiquement (destruction de terres agricoles, perte d'autonomie alimentaire...)
- Dangereux socialement (risque de rupture sociale, paupérisation du centre ville...)
- Dangereux pour le coeur de ville (projet d'une halle commerciale de 2500 m2...)
- Dangereux pour la sécurité de tous les Piscénois (risques accrus d'inondation compte tenu de l'artificialisation des terres et du dérèglement climatique...)
Ce projet ne tient pas compte des enjeux actuels de préservation des terres, d'autonomie alimentaire, et de gestion durable des ressources.
A noter également qu'il est en complète contradiction avec la loi "Climat et Résilience" d'août 2021, qu'il va à l'encontre des recommandations du SCoT du Biterrois, et qu'il a recueilli un avis négatif de la part du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la ville de Pézenas.
Nous avons régulièrement alerté la population piscénoise en développant tous ces arguments dans plusieurs tracts distribués dans les boites aux lettres.
Nous avons transmis une contribution du Groupe Scapin (La France Insoumise du Piscénois) à la commission d'enquête sur la révision du PLU de Pézenas du 15 janvier au 15 février 2021.
Nous avons sollicité une entrevue auprès de Monsieur le Maire de Pézenas lors de laquelle nous avons proposé un moratoire afin de se donner le temps de réfléchir, avec la population, à un autre projet Saint-Christol qui tiendrait compte des aléas climatiques, respectueux de l'environnement, basé économiquement sur l'autosuffisance alimentaire, et socialement sur la solidarité. Un nouveau projet chiffré, tenant compte du montant du rachat des terrains, qui nous permettrait de comparer le différentiel des deux projets, avec in fine le choix des citoyens. Monsieur le Maire nous a répondu que cela était désormais impossible, compte tenu de l'avancement des engagements pris par son conseil municipal. De plus ce projet permettra de réaliser un de ses objectifs prioritaires: atteindre les 10 000 habitants.
Sans parler de l'objectif des 10 000 habitants qui nous semble faire débat, nous refusons évidemment toute forme de fatalité et nous sommes convaincus que rien n'est irrévocable. Il est possible et même nécessaire de construire un nouveau projet qui tienne compte des enjeux climatiques (inondations, dérèglement climatique, ressource en eau), qui garantisse notre autonomie alimentaire en sanctuarisant les terres agricoles, et qui permette le développement social et économique du coeur de ville (habitat, commerces...).
• Destruction d’espaces naturels menaçant la biodiversité locale.
• Artificialisation des terres agricoles dans un contexte où leur préservation est cruciale.
• Architecture du projet incompatible avec le patrimoine historique de Pézenas, risquant de dénaturer l’identité de la ville.
• Risques de saturation des infrastructures publiques (écoles, services, circulation) due à la densification excessive.
• Pression supplémentaire sur les ressources en eau, dans une région déjà soumise à des stress hydriques récurrents.
• Projet ne répondant pas aux véritables besoins locaux en matière de logement.
- Bâtit-on un projet commun pour une ville pour une question d'argent? Est-on prêt à détruire des espaces naturels, riches de biodiversité, nécessaires à l'avenir de nos enfants, dans un contexte de dérèglement climatique majeur, pour rembourser des dettes à une autre collectivité territoriale, la Région Occitanie ?????
- Combien ce projet va-t-il couter aux piscénois en infrastructures nouvelles ? en budget de fonctionnement ? L'exemple du quartier des Mougères à Marseillan est un exemple local de déstructuration d'une commune, engendrant d'énormes surcouts aux contribuables de la ville.
- N'est-il pas plus judicieux de réhabilité des logements vacants du cœur de ville, plutôt que de bétonner et d’imperméabiliser davantage les terres autour de la ville ?
- Depuis 2011, Pézenas a artificialisé plus de 7 hectares de terres pour construire plus de 350 logements. Mais dans le même temps, la population de Pézenas n’a pas augmenté, elle a même parfois légèrement régressé. La densité de population a même diminué de 6 % sur cette période. Aussi, le procédé de construire de nouveaux logements pour augmenter la population n’a pas été efficace hier. Alors pourquoi le serait-il demain ?
- Quand les logements seront inondés, qui sera responsable d'avoir laissé construire des habitations sur ces terres inondées il y a moins d'une décennie, en 2019 ?
- Les infrastructures coûteront très chers aux contribuables avec comme souvent des dépassements.
- Cette zone de Saint Christol serait plus utile pour une utilisation maraîchère, afin d'augmenter les circuits courts et l'approvisionnement des citoyens et des élèves des cantines de la ville en nourriture de qualité.
- Les habitants de ces logements seraient contraints à une utilisation quotidienne de la voiture étant très éloignés du centre ville. L'impact sur l'environnement et la biodiversité serait important. Cela va encombrer un peu plus les routes, et entrainer des pollutions de l'air notamment.
- Si certaines personnes emménagent sur Pézenas, cela est sans aucun doute dû à une attractivité liée à différents points : dynamisme du centre ville (commerçants), qualité de la vie ( bourg central et tranquillité), bâtis historiques, vie associative et culturelle,...
- Favorisez la réhabilitation des logements anciens avant tout.
- Quels impacts sur l'ensemble du commerce du coeur de ville par la création d'une halle gourmande ? ce sera le même impact que celui déjà dénoncé pour le projet Bonneterre.
- Les agriculteurs et particulièrement les jeunes qui veulent s'installer manques de terre. 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
- Je ne suis pas sure que la construction d'un nouveau quartier bétonné, dans une zone inondable, suffise à attirer les jeunes, de plus en plus sensibles aux questions environnementales ?
-Au sujet de la compensation : nous savons démonter et remonter une voiture et la faire fonctionner, mais personne n'a jamais réussi à démonter un lapin, à le remonter et à le refaire fonctionner, ni même un écosystème ...
- Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
- Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
- Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
- Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…) ; de plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
- 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois.
- Comment pourrait être absorbé 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
- La création d’une Halle Gourmande à St Christol (1 700 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
- Comment seraient scolarisés les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
- Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville ?
- La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
- Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune ( notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de la Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
- Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas reste-t-il caché à la population et n’est-il pas joint au dossier ?
- Je cite la contribution à l’enquête publique sur le quartier Saint Christol à Pézenas, déposée par l’association « Pour Un Autre Projet Saint Christol » :
"Le projet prévoit l’artificialisation de 24 hectares de terres agricoles, ce qui est en contradiction avec la loi « Climat et Résilience » d’août 2021. Cette loi impose des restrictions strictes sur la consommation d'espaces naturels, limitant cette consommation à 3,24 hectares entre 2022 et 2031 pour la commune de Pézenas. L’artificialisation de terres agricoles à des fins immobilières va non seulement à l’encontre de cette loi mais également des recommandations du SCOT (Schéma de Cohérence Territoriale) du Biterrois, qui prône la réutilisation des friches urbaines plutôt que l’extension sur des terres non urbanisées. "
Conclusion :
Le projet de création d’un quartier de 700 logements à Pézenas pose de nombreuses questions quant à sa faisabilité, son impact environnemental et social, ainsi que les coûts pour la commune. Pour ces différentes raisons, non exhaustives, je dépose un avis DEFAVORABLE au sujet du projet Saint Christol.
Les habitants de ces logements seraient contraints à une utilisation abusive de la voiture étant très éloignés du centre ville. L'impact sur l'environnement et la biodiversité serait important.
Si certaines personnes emménagent sur Pézenas, cela est sans aucun doute dû à une attractivité liée à différents points : dynamisme du centre ville (commerçants), qualité de la vie ( bourg central et tranquillité), bâtis historiques, vie associative et culturelle,...
Favorisez la réhabilitation des logements anciens avant tout.
Au début du projet initial, j'aurais sans doute émis quelques réserves. Mais après sa révision beaucoup plus raisonnable, j'y deviens favorable.
....
L'arrêt de toute façon serait bien trop coûteux et je ne crois pas qu'économiquement notre belle ville puisse se le permettre. (il suffit de diviser le montant à payer en cas d'arrêt par le nombre de foyers fiscaux imposés pour le comprendre.)
Par ailleurs se loger sur Pézenas n'est pas chose facile, surtout avec une bonne accessibilité pour tous et un logement énergétiquement peu coûteux.
Le problème de l'eau lui est planétaire. Il va juste falloir apprendre à ne pas la gaspiller, y compris en agriculture.
Et puis existe-t-il d'autres alternatives raisonnables à proposer ?
À ce jour j'y suis donc favorable.
Par ailleurs la démographie est en baisse à Pézenas, il ne peut y avoir de renouvellement de population car il n’y a plus de terrain constructible.ce qui implique une désertification de la ville donc une fermeture de classes de l’école primaire, des impôts locaux en baisse donc un entretien moindre de la commune, des commerces du centre ville en difficulté économique.
Une attraction moindre de la ville centre qui est Pézenas avec sa zone de chalandise.
Il y a nécessité absolue de créer un nouvel habitat diversifié avec du locatif, du social et de l’achat pour des primo accédants.
Devant cette carence les habitants se tournent vers les villages alentours qui voient un gonflement exponentiel de leurs lotissements et au détriment de leurs surfaces agricoles qui d’ailleurs ne trouvent pas preneurs .
Je suis donc favorable à ce projet qui ne peut plus être retardé sous peine du déclin de Pézenas
Saint CHRISTOL peu répondre à cela
Le projet d'urbanisation de ce secteur arrive dans sa phase finale après bon nombre d'années d'études.
Celles-ci ont été faites en regard de la règlementation française respectent les procédures.
Ce projet devrait permettre à de nouveaux ménages de pouvoir s'installer sur le commune.
Immanquablement le tissus économique s'en trouvera renforcé et cela devrait permettre de pérenniser les commerces et les services sur la ville.
Cet apport de population complémentaire devrait aussi alimenter les écoles de la commune.
Ce projet me parait en tous points profitable à la commune et à ses habitants.
J'émets un avis favorable à ce dossier.
André BONNET
La création de nouveaux logements, permettra à de jeunes ménages de pouvoir rester sur la commune, mais également à des personnes qui apprécient les offres culturelles de la commune de s'y installer.
La ville de Pézenas s'en trouvera dynamisée.
La ville de Pézenas a toujours été attrayante sur le plan culturel, il faut qu’elle le reste et qu’elle le devienne pour faire plus qu’y passer…
Elle doit donner envie aux gens de s’y installer ou d’y rester … quoi de mieux que ce nouveau quartier, proche de la ville et en même temps de la campagne.
Ce développement entraînera automatiquement un essor économique pour la ville.
Elu Maire de Lézignan-la-Cèbe depuis 2014, commune très proche en continuité territoriale et appartenant comme Pézenas à la communauté d’agglomération Hérault Méditerranée, je me permets de participer à l’enquête publique relative au projet d’aménagement de la ZAC Saint-Christol à Pézenas.
Pézenas en perte de population depuis quelques années doit engager une nouvelle dynamique démographique afin de maintenir ses structures de services (éducation, santé, administration, activités économiques, libérales, etc…) indispensables pour sa population et celle des nombreux villages de sa proche périphérie.
Je crains que de prolonger encore l’immobilisme ait des conséquences irrémédiables. Pézenas doit conforter son potentiel et son attractivité de centralité urbaine.
De nombreux concitoyens et activités de la ville bénéficient du développement de production de logements dans les communes proches, alors Pézenas doit prendre sa part dans cette amélioration et contribuer à une meilleure qualité de vie qui concerne aussi notre territoire.
Il apparaît que les contraintes financières induites par l’éventuel renoncement à ce projet auraient des conséquences insupportables pour les finances communales.
Ces dernières années les débats ont permis de considérer de nombreux avis sur tous les importants enjeux et, par une plus grande attention ils ont contribué à l’évolution qualitative du projet présenté aujourd’hui.
Parce que l’avenir des communes de notre territoire est aussi lié à la réalisation de la ZAC de St Christol, j’émets un avis favorable.
Je vous prie de croire Monsieur le Commissaire enquêteur à l’expression de mes sincères salutations.
Saint CHRISTOL peu répondre à cela
La qualité de ce projet réside dans sa concertation large avec les citoyens de Pezenas, avec les services de l'état. Les urbanistes, les naturalistes, les ingénieurs, les politiques ont fait un travail d'une grande richesse. L'urbanisme d'aujourd'hui réside dans la maitrise de l'étalement urbain, du maintien des terres agricoles arables, de la préservation de la biodiversité. Aucun de ces éléments n'ont été négligé dans ce projet, conçu au profit du citoyen.
La démographie augmente. L'accueil de tous est une priorité. Un toit pour tous est une nécessité. Ce projet respectueux du lieu et des modes de vies locaux doit vivre et faire vire. Il permet de maitriser et de calibrer l'étalement urbain trop longtemps méprisé par simplicité.
Saint Christol doit vivre et faire vivre
La situation géographique est idéale puisque proche du coeur de ville.
Il permettra aux habitants actuels et futurs de la commune, de vivre dans une zone périurbaine agréable, entourée de végétation, entre ville et campagne.
Il permettra aussi l'accès à la propriété à plusieurs familles et favorisera la mixité sociale et générationnelle.
Il favorisera aussi le marché de l'emploi grâce à la résidence senior et à la création de petits commerces de proximité.
Le Conseil citoyen de Transition écologique a été créé par une délibération du 6 décembre 2021 soit après les engagements pris par l’équipe municipale précédente sur le dossier Saint-Christol (convention et avenant avec l’EPF Occitanie en 2011 et 2014, SEMOP en 2019).
A la demande l’équipe municipale actuelle, lorsqu’elle a décidé d’ouvrir une procédure de ZAC pour que le Conseil municipal soit le plus souvent possible saisi du dossier Saint-Christol et gagner en transparence, elle a souhaité que le CCTE ait connaissance du projet et de ses différentes évolutions. Il n’a donc pas été saisi pour avis mais pour information et transparence.
Si les collèges associatifs et citoyens du CCTE ont souhaité formuler cet avis, ils l’ont fait et l’ont adressé, comme ils le voulaient, au Préfet du Département. Pour autant, ça ne rend pas cet avis contraignant (il n’est d’ailleurs pas prévu que le CCTE exprime des avis contraignants) et ça n’en fait pas une pièce obligatoire de l’enquête publique. Les membres de ces collèges pouvaient rendre leur avis publics, ce qu’ils ont fait à en lire les commentaires, souvent identiques, qui y font référence.
Rappelons ici les missions du Conseil citoyen de Transition écologique telles que définies dans son règlement intérieur : « Cette instance a pour objectifs d’associer les habitants à la vie de la commune, de favoriser le dialogue avec les élus, de faire appel aux compétences de la société civile et plus généralement, de faire vivre la démocratie locale en donnant la parole aux habitants :
Elle est force de proposition, elle doit être un lieu de débats, d’élaboration de projets, et de reconnaissance de l’expertise d’usage des habitants. Elle participe au débat public, éclaire les élus dans leur prise de décision politique et complète l’expertise technique des services. Elle joue un rôle consultatif auprès du Conseil municipal qui seul délibère.
Elle pourra être consultée pour toutes questions relatives aux questions de transition écologique sur notre territoire. Elle mobilisera l’expertise requise en son sein ou au travers de partenariats et formulera des avis, propositions ou recommandations qui seront présentés au Maire et aux élus référents dans le but, si besoin est, d’une inscription à l’ordre du jour du Conseil Municipal. »
Il n’y a donc pas à dévoyer le sens du CCTE et son rôle.
Manuel Bourgain
Quand nous avons été confinés à cause de la covid Saint Christol, ses champs, sa nature étaient un des rares endroits accessibles pour les piscénois qui pouvaient venir y prendre l'air et se ressourcer.
J'ai des écureuils, des palombes, des mésanges, des chardonnerets etc....qui viennent dans mon jardin. Qu'en sera t'il quand il n'y aura plus de nature autour de moi?! Et il parait qu'il faut protéger la faune .
Quel besoin a Pézenas de ce type de constructions et de cette accroissement de population ?! Comment et par quelles voies ces nouveaux habitants vont-ils rejoindre Pézenas qui est déjà bien engorgée. Quand on arrive de la route de Nizas il est très, très compliqué de réussir à s'insérer dans la circulation pour aller en ville et encore plus pour aller vers Montagnac. Ne serait t'il pas plus judicieux de se pencher sur ce genre de problème plutôt que d'en rajouter ?!
Comment va t'on fournir aux nouveaux habitants l'eau nécessaire alors que la sécheresse est bien présente depuis plusieurs années et que nos nappes phréatiques ne sont plus jamais remplies ?!
Pourquoi créer une halle gourmande ? A part défavoriser encore une fois les petits commerçants du centre-ville, à quoi cela servira t'il, n'en avons-nous pas assez avec tous les grands magasins de toutes sortes qui se sont ouverts à Pézenas ?!
Combien cela va t'il finalement coûter aux piscénois qui vont très certainement voir leurs impôts augmenter pour financer tous les changements à faire : voirie, traitement des eaux usées, écoles dont le financement dépend de la Mairie etc....
Ne serait-il pas plus judicieux de penser à améliorer la vie quotidienne des Piscénois en repensant les carrefours situés autour du Pont de la Peyne, en favorisant des agriculteurs en agriculture raisonnée sur Saint Christol ou en créant un parc arboré digne de ce nom à l'image de celui du centre-ville, en refaisant les abords de la ville dont rien ne laisse deviner qu'elle est si belle quand on ne fait que la traverser plutôt que de penser à bétonner un lieu si beau et si paisible ? Quelle idée saugrenue, inutile, contre-productive et tout simplement aberrante !
J'ai choisi d'habiter Pézenas il y a trente ans pour sa qualité de vie de petite ville et déjà j'ai du mal à la reconnaître. Quand cet expansionnisme délirant va t'il s'arrêter ?!
Voilà des années que ce projet est dans les tuyaux, il a été retravaillé dans le respect environnemental afin de ne pas créer un nouveau bloc de béton éphémère et impersonnel, il sera une extension de notre si jolie ville car celle-ci a un bel avenir.
Si nous ne voulons pas que Pézenas soit en déclin mais soit pérenne économiquement, il nous faut des projets comme celui-ci pour faire évoluer et grandir notre ville. Nous devons penser au devenir de la ville car avec les nouvelles lois, St Christol est la seule occasion de légèrement se développer et ouvrir un champ économique tout en préservant notre centre ville.
Pézenas deviendra un terrain d’autant plus fertile à la jeunesse, car celle-ci périclite depuis quelques années, par manque de travail, d’immobilier accessible… en mettant à bien ce projet, cela permettra un retour de la jeunesse et une nouvelle dynamique pour cette superbe ville. Il est temps de faire évoluer notre patrimoine. ReFaire de notre Pézenas, le jaune d’œuf que Marcel Pagnol aimait tant, faire rayonner le pouvoir de notre ville.
il ne parait pas judicieux de construire des habitation dans un tel secteur.
Je peux témoigner de notre volonté de reconquérir des terres agricoles. Pour cela, nous avons réalisé, en début de mandat, un diagnostic foncier agricole et nous remettons en culture, en partenariat avec Terre de Liens, 14 hectares à l'Auribelle.
Ce projet s'inscrit d'ailleurs dans le cadre de la compensation agricole liée au projet Saint Christol.
Nous continuons notre travail pour nous associer à la Communauté d'Agglomération Hérault Méditerranée, qui, dans son projet "Cap 2030" a fixé l'objectif ambitieux de reconquérir 200 hectares sur le territoire intercommunal. Il reste toutefois fort difficile de mobiliser de nouveaux agriculteurs vu le contexte climatique, politique (accords de libre échange), économique (revenus des agriculteurs).
Je veux également témoigner du travail accompli depuis 4 ans pour réorienter ce projet:
baisser le nombre de logements et en parallèle trouver un équilibre pour en proposer à ceux qui souhaitent vivre à Pézenas.
amener des activités économiques, nous avons 35% de chômeurs,
renforcer les innovations écologiques,
renforcer la place des espaces verts ou préservés,
prévoir de la mixité sociale et générationnelle,
afin qu'il puisse participer à relever certains enjeux auxquels la ville doit répondre.
Un enjeu de taille est aussi sécuriser la position financière et juridique de la commune par rapport à ce dossier, le coût pour la ville si le projet ne devait pas voir le jour n'est pas envisageable.
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Merci de votre attention
"Le projet prévoit l’artificialisation de 24 hectares de terres agricoles, ce qui est en contradiction avec la loi « Climat et Résilience » d’août 2021. Cette loi impose des restrictions strictes sur la consommation d'espaces naturels, limitant cette consommation à 3,24 hectares entre 2022 et 2031 pour la commune de Pézenas. L’artificialisation de terres agricoles à des fins immobilières va non seulement à l’encontre de cette loi mais également des recommandations du SCOT (Schéma de Cohérence Territoriale) du Biterrois, qui prône la réutilisation des friches urbaines plutôt que l’extension sur des terres non urbanisées. "
j'adore la politique ......
Pourquoi construire de nouveaux logements alors que de nombreux logement du centre ville sont vacants et devraient être rénovés ?
La création de la Halle gourmande portera préjudice aux commerces du centre- ville dont les habitants ont besoin.
Le trafic routier va encore augmenter.
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Pour ne pas mettre en banqueroute la commune, le dossier a été retravaillé de façon à correspondre à des besoins plus adaptés de la ville ( réduction du nombre de logements, réflexion autour de construction plus écologique faisant une large place aux ecomobilite )
La ressource en eau qui est le principal argument des anti st christol a été étudié réfléchi mesurée et calculée ( et pas prédit ou lu dans le marc à cafés comme le prédisent les anti st christol sur des bases inconnus …)
Ceux qui sont contre la construction de nouveaux logements sous prétexte que les gens devraient habiter les logements vacants du centre ville sont les mêmes qui habitent des villas avec jardin dans des lotissements résidentiels non confrontés à ces problèmes et qui n ont sans cesse de se plaindre.
Cela même qui se plaigne Qu il n y a pas assez de pistes cyclables pour relier le centre ville ne se réjouissent même ps qu un quartier puisse être penser avec des éco mobilités ils préfèrent rester contre contre contre
Ceux qui pensent que les terres de st christol doivent être destinées au maraîchage pour nourrir la ville , là encore belle utopie, il s agit de personnes retraités pour la plupart non agriculteurs qui n’ont que des notions théoriques sur l’agriculture
Quand à ceux qui s’opposent au projet qui n’habitent pas Pezenas ceux sont les mêmes qui se plaignent de ne pas pouvoir habiter pezenas faute de logements…
Le serpent qui se mord la queue…
Donc pour une fois , Qu un projet est réfléchi en terme de logements , de mobilité , d installation qui va permettre de palier au manque crucial de logement à Pezenas tous en favorisant les échanges avec le centre ville on ne peut être Qu être pour et donc FAVORABLE
.des espaces vegetalisés,l accent mis sur le bien vivre ensemble dans un environnement apaisé.
Mais quand on veut tuer son chien, on dit qu'il la rage...
Messieurs dames les détracteurs, prenez le temps de lire les dossiers qui représentent plusieurs années de travail et de concertation réalisé par des professionnels.
Ce projet sera exemplaire. J'y suis favorable.
Tous les arguments ont déjà été donné dans les commentaires favorables.
Plusieurs questions me turlupinent quant à ce projet :
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’un stress hydrique majeur dans nos régions, pensez-vous qu'il serait aisé de fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous la chercher ?
• A-t-on la certitude que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui est aujourd'hui inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux·elles élèves (particulièrement du primaire, dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre-ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Dans le cas contraire, que se passerait-il alors ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a-t-il pas été pris en compte ?
Je vous remercie par avance e bien vouloir prendre le temps de chercher à trouver les réponses à toutes ces questions, et à vous assurer que votre décision sera faite en vertu du bien-être de toutes et tous.
Cordialement,
Au delà des clivages politiques, des guerres de clochers, du protectionnisme du cadre de vie, de la frilosité anxiogène, ce projet permettra un développement harmonieux et raisonné de Pézenas en comblant une dent creuse affreuse et en limitant les impacts, nombreuses études à la clé me semble t-il.
Je suis donc clairement favorable à ce programme, le seul ambitieux depuis bien longtemps dans une ville qui dort depuis de trop nombreuses d'année. Bravo à ceux qui se battent pour ce projet!
Christian
La création de ces zones , censées créer de l'emploi se révèlent la plupart du temps des gouffres financiers à long terme lorsque tous les calculs sont faits .: On ne crée pas de richesse en dépensant des millions d'euros pour quelques dizaines d'emplois.
L'endettement des collectivités territoriales est dramatique et ces " investissements " ne sont qu'une fuite en avant de la dépense publique.
Réhabilitons, améliorons ce qui existe déjà: la nature nous le rendra!
Détracteurs passez votre chemin et laissez le territoire bénéficier de cette opportunité.
Bruno !
à l'heure du changement climatique et alors que la population de Pezenas a rendu un avis négatif, il me semble tout à fait inadéquat de réaliser un tel projet!. L'alimentation en eau est déjà très incertaine et des terres agricoles vont être sacrifiées, c'est un peu l'utile et le nécessaire contre le secondaire et le futile qui se joue une fois de plus et contre l'avis des locaux!!
Bref, la population en a marre d'être consultée pour rien et des projets hors contextes actuels sont complètement dépassés. Il nous faut protéger les ressources en eau,en biodiversités et en terres agricoles qui sont notre Avenir commun et changer, enfin, notre accaparement du vivant sous toutes ses formes.
Cordialement
L'avenir de l'économie locale dépend de ce projet.
JE suis favorable.
Ce projet est exemplaire.
Je soutiens pleinement cette initiative pour Pézenas.
Je vous fais part de mon opposition à ce projet que je considère :
- Ecocide (bétonisation des terres, risque d'épuisement de la ressource en eau...)
- Dangereux économiquement (destruction de 24 hectares de terres agricoles, perte d'autonomie alimentaire...)
- Dangereux socialement (risque de rupture sociale, paupérisation du centre ville...)
- Dangereux pour le centre ville (projet d'une halle commerciale de 2500 m2 sur le site...)
- Dangereux pour la sécurité de tous les piscénois (risques accrus d'inondation compte tenu de l'artificialisation des terres et du dérèglement climatique, augmentation de 17% du trafic routier en ville...)
Pour conclure, il s'agit d'un projet d'un autre temps, qui ne tient pas compte des enjeux actuels de préservation des terres, d'autonomie alimentaire, et de gestion durable des ressources. Un projet en complète contradiction avec la loi "Climat et Résilience" d'août 2021, qui va à l'encontre des recommandations du SCoT du Biterrois, et qui a recueilli un avis négatif de la part du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la ville de Pézenas.
Cet hiver, des villages aux alentours de Pézenas ont été approvisionnés en eau par camions-citernes. Il est aberrant compte-tenu du manque d'eau et de la sécheresse d'augmenter la population de Pézenas. Avec une hausse de la population, comment et où se procurerait-on les ressources en eau ? Ce projet pourrait provoquer des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins.
En outre, ce projet entraînerait la destruction de 24 hectares de terres agricoles fertiles, ce qui réduirait l’approvisionnement alimentaire du Piscénois, aujourd'hui inférieur à 8%.
Mais le manque de foncier, et les prix prohibitifs du marché de l’immobilier en lien avec la rareté de l’offre, en font une ville où il est très difficile de s’installer… sauf à jouir de la transmission familiale d’un patrimoine bâti ou à bâtir : faut-il se résigner à cette situation ?
Au-delà de cette injustice sociale qu’on ne peut cautionner, cet état de fait présente un réel danger pour la ville : Pézenas perd des habitants, alors que tous les villages alentour voient leur population augmenter.
Le projet d’urbanisation de Saint Christol, dans sa nouvelle configuration, permet l’accès au logement du plus grand nombre, et garantit à Pézenas le développement qui est indispensable pour lui assurer un devenir qui soit dans la continuité de son rayonnement passé et actuel : je suis favorable à sa réalisation.
critiques, tant du point de vue de la gestion de l’urbanisation que de son impact
environnemental. Pour preuve :
- La lettre du Ministre de la Transition Ecologique et de la Cohésion des
Territoires reçue par le collectif et favorable à nos analyses.
- L’analyse critique du projet par la MRAE en 2023 et l’avis défavorable du CNPN
(Conseil National de la Protection de la Nature)
- Les plus de 4100 signatures recueillies dans la pétition « Stop au projet
d’urbanisation Saint Christol de Pézenas »
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
En conclusion, le projet de la ZAC Saint-Christol est perçu comme mal adapté aux
enjeux actuels de préservation des terres, d’autonomie alimentaire, et de gestion
durable des ressources.
Les habitants et les associations locales demandent une révision profonde de ce
projet pour mieux s’inscrire dans les objectifs de sobriété foncière et de résilience
face aux défis climatiques.
Et dans l’immédiat, une étude sérieuse d’alternative à l’artificialisation de
terres agricoles pour être conforme aux directives en vigueur.
Nos efforts se sont traduits par une volonté de réduire le nombre de logements, d'introduire de nouvelles activités, de renforcer les innovations écologiques et d'accroître la présence d'espaces verts ou préservés.
Face à l'augmentation des demandes de logements sociaux et à la pression exercée sur les classes moyennes, qui se voient poussées vers d'autres villages, comment garantir la centralité de Pézenas dans les années à venir ?
En tant que vigneronne, attachée à la préservation des terres agricoles, je tiens également à préciser face à l'argumentaire de la bétonisation à outrance que nous avons rendu près de 14 hectares à l'agriculture nourricière à l'Auribelle. Par ailleurs, sur les 24 hectares du projet Saint-Christol, 53 % seront des espaces verts.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
- La limitation de la consommation de l’espace et la non artificialisation des sols ;
- La protection et l'intégration de la biodiversité ;
- L’insertion paysagère du projet ;
- La préservation de la ressource en eau et la réduction de l’exposition au risque inondation ;
- La limitation de la production de gaz à effet de serre et de la pollution de l’air par la gestion des déplacements.
A la lecture des propos relatés par toutes les personnes défavorables au dossier mettant en avant la destruction d’espaces naturels et la bétonisation à outrance, je ne peux que m’insurger contre la levée de bouclier des opposants au projet qui, quelque soit le projet ou les mesures de préservation qui leur seraient proposées, seraient toujours contre tout projet d’urbanisation.
J’invite donc toutes personnes qui douteraient du bienfondé du dossier à se pencher sur le dossier d’évaluation environnementale.
Il convient aussi de rappeler que la tension immobilière dans notre région ne permet qu’aux foyers les plus aisés de se loger dignement. Le problème n’est pas près de s’atténuer si tous les nouveaux projets offrant de la mixité sociale sont systématiquement mis à mal avec ce type d’opposition.
Travaillant sur la commune de Florensac en tant que Directeur Général des Services et ayant travaillé à la Communauté d'Agglomération "Hérault Méditerranée" pendant près de 20 ans, je pense être assez légitime pour évoquer ce projet d'aménagement et les enjeux qu'il porte pour le territoire du Piscénois et même au-delà.
Depuis de nombreuses années ce projet a muri, porté par les municipalités successives qui voyaient toutes des points positifs pour le territoire en termes de logements bien évidemment mais aussi d'offre de services pour permettre que Pézenas puisse continuer à jouer ce rôle central dans le territoire du piscénois élargi.
Offrir plus de services à sa population et aux populations environnantes, accueillir de nouveaux habitants et accroitre ainsi les recettes fiscales c’est ce que doit permettre l’émergence d’un tel projet aussi structurant que garant de son attractivité et de son dynamisme.
Le territoire a la possibilité, unique à mes yeux, de construire un espace capable de proposer à une population jeune et en quête d'opportunité foncière un creuset regroupant tout un panel de services adaptés aux attentes des populations du vaste bassin de vie qu'est le piscénois (collégiens, lycéens, travailleurs, retraités, etc.).
J'espère que ce modeste témoignage contribuera, à son niveau, à aider l'émergence de ce projet.
De nombreuses questions se posent:
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…) ; de plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois.
Comment pourrait être absorbé 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
Comment la création d’une Halle Gourmande à St Christol (1 700 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville ?
La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était pas ?
Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune ( notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au dessus de la Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas reste-t-il caché à la population et n’est-il pas joint au dossier ?
C'est un projet innovant et qui ne ressemble pas (de façon positive) à ce qui est proposé depuis une quinzaine d'années sur notamment les lotissements. Projet prometteur qui mérite de voir le jour
En effet, ce projet, contre lequel nous nous sommes battus alors que nous étions dans la minorité municipale, ce projet que la majorité précédente nous a légué en héritage, après l’avoir contractualisé in extrémis, ce projet se présente aujourd’hui sous une forme qui le distingue sensiblement du projet initial, grâce à :
- une saine et fructueuse coopération avec nos partenaires de la SEMOP, avec qui nous avons pu travailler en bonne intelligence,
- de nombreuses concertations, et ateliers participatifs avec les élus pour faire évoluer le projet vers une optique compatible avec les valeurs que nous portons,
A l’issue de ce long travail, dûment consolidé par les services compétents de l’Etat, le projet de Saint Christol mérite d’être reconsidéré en toute objectivité.
Repensé et réajusté de façon plus conforme au respect de nos engagements, il présente aujourd’hui des avancées majeures dans les domaines de l’environnement et du social, en proposant, sur ses 24 ha :
- plus de la moitié de sa superficie (53%) dédiée aux espaces publics (espaces verts, voies piétonnes pour « déplacements doux », corridors écologiques dont un espace pédagogique conçu pour la sensibilisation…),
- près du quart des terrains à bâtir réservé à des primo-accédants,
- une mixité sociale et générationnelle assurée par les logements séniors, et les logements sociaux qui font cruellement défaut sur la commune aujourd’hui,
- un lot, qui, dans ce contexte, ne peut s'afficher comme « lotissement communal », mais pour lequel nous avons pu mettre en place un fonctionnement analogue (commission d’attribution des parcelles où la municipalité sera partie prenante).
- un lot dédié à des équipements et/ou services publics, qui contribue à réduire davantage encore l’emprise des logements privés.
Les évolutions du projet ont été présentées à toutes celles et ceux qui souhaitaient s’en informer.
En dépit d'évolutions notables, demeurent des postures de rejet, souvent fondées sur des positions de principe, sans doute respectables dans une acception généraliste du concept, mais qui ne prennent en considération ni la réalité du contexte local, ni l’évolution du projet largement « revu et corrigé » depuis notre arrivée aux responsabilités. Et malgré tous les amendements réalisés, nous enregistrons toujours les mêmes « inquiétudes », émanant parfois de personnes qui prennent à distance des positions dogmatiques, sans bien connaitre les contraintes du contexte local :
- « inquiétude » quant aux charges nouvelles qui pourraient peser sur la commune en termes d’investissements : cela fait totalement abstraction de ce qu’aurait coûté au contribuable le fait de dénoncer le projet (remboursement de la dette contractée auprès de l’Etablissement Public Foncier pour cette opération + pénalités de rupture des engagements pris dans le cadre de la SEMOP). Par ailleurs, concernant les nouveaux investissements qui seraient à prévoir, il y a tout lieu de compter sur l’accompagnement de nos collectivités, comme dans tout projet d’aménagement du territoire. Alors que s’il s’était agi de rembourser une dette et des pénalités, cela aura pesé exclusivement sur le contribuable piscénois…
- « inquiétude » pour l’appauvrissement en terres agricoles, alors que St Christol n’est plus (ou très peu) cultivé en raison d’un mitage d’habitations individuelles, difficilement compatible avec un projet agricole cohérent. D’autant que la commune dispose d’autres ressources non exploitées et mobilisables (repérage en cours des terres en friche, et des terres sans maitre). Et par ailleurs, le projet de l’Auribelle (14 ha cultivables) en stand-by depuis des années, a pu être réalisé en partie grâce à la prime de compensation agricole du projet Saint Christol… Enfin, faut-il rappeler que Pézenas participe activement au PAT (Programme Alimentaire Territorial) ? Cette implication ne laisse pas de doute quant à l’engagement de la commune dans l’agriculture nourricière et dans la cause du « bien manger pour tous »,
- « inquiétude » pour des « dégâts » environnementaux présumés, en dépit des mesures novatrices qui sont mises en œuvre :
o équipement de tout le quartier en lumières rouges, plus favorables au repos des espèces
o cahier des charges imposé aux constructeurs concernant les préconisations environnementales + signature d’une charte environnementale par chaque acquéreur de terrain. Cette charte va jusqu’au contrôle des espèces végétales plantées par les propriétaires et dont la liste est réduite aux essences peu consommatrices d’eau,
o sécurisation des ressources en eau + valorisation de la source chaude (réseau de chaleur)
- « inquiétudes » pour le commerce de Centre-Ville que d’aucuns prétendent menacé par l’activité économique de ce nouveau quartier sur lequel sont projetées toutes sortes d’informations erronées. Cette objection n’a pas de sens, alors même que la ville, de par son soutien aux commerces de Centre-Ville, enregistre un taux de vacance commerciale atypiquement bas, qui témoigne de la vitalité de nos commerces de proximité et de la grande attractivité de nos métiers d’art.
L’implication de la municipalité dans la vitalité du Centre-Ville se traduit, également, par l’inscription de Pézenas à deux dispositifs de soutien au dynamisme des centres villes : Petites Villes de Demain, et Bourg Centre.
Aussi, afin de rétablir une information objective :
o les métiers d’art, contrairement à la version initiale du projet, ne migreront pas vers Saint Christol : ils demeurent en Centre-Ville dont ils constituent un atout majeur,
o il n’est pas prévu de grande surface à Saint Christol : uniquement des petits commerces de proximité : hormis les commerces de bouche de première nécessité (boulangerie, petite épicerie…) la liste prévisionnelle des activités a été projetée après concertation avec la CCI, dont les études permettent de mettre en évidence ce qui manque sur notre territoire. Ainsi seront favorisés des échanges de flux entre notre CV et ce nouveau quartier.
o le projet d’implantation d’un Centre Thermoludique (en exploitation de l’eau chaude naturelle) ne manquera pas de contribuer à ces échanges de flux…
Pour conclure (même s’il y aurait encore beaucoup à dire) j’évoquerais ma délégation au sein de l’équipe municipale où je suis en charge de l’attractivité économique.
Cette attractivité s’exprime sur deux axes :
- inciter les personnes à consommer à Pézenas, plutôt qu’ailleurs,
- inciter les entreprises à s’installer à Pézenas plutôt qu’ailleurs.
Sur le premier de ces axes, la municipalité met tout en œuvre pour multiplier les évènements et animations qui attirent sur notre ville et la font rayonner… Mais pour ce qui concerne le second, comment attirer de nouvelles installations de professionnels si nous ne pouvons leur garantir un potentiel de chalandise ?
Enfin, les lourdes charges de centralité qui pèsent sur la commune sont en distorsion avec sa Dotation Globale de Fonctionnement (Etat) calculée sur la base des évolutions de population et des ressources fiscales propres : même en ne considérant le problème que sous cet angle strictement budgétaire, il est grand temps de prendre en considération la nécessité d'ouvrir de nouveaux espaces d'habitation, pour le devenir de notre ville.
Or, Pézenas est la seule ville qui voit sa population décroitre, alors que partout ailleurs, elle augmente : le manque de logements en est la cause principale, leur rareté ayant un impact direct sur leur coût, rédhibitoire pour beaucoup.
Investir la zone de Saint Christol n’est certainement pas le choix que nous aurions fait pour résoudre cette pénurie. Mais en l’état actuel, le projet de Saint Christol, dans sa version « 2.0 » profondément retravaillée, répond, hors de tout dogmatisme, au besoin vital de développement de notre ville, et à sa vocation d’accueil, tout en y garantissant l’art de vivre qui la caractérise.
A la lecture et la compréhension de se projet j'affirme être favorable à la création de la ZAC de St Christol du fait des fortes demandes de logement sur la commune de Pézenas. Le projet s'inscrit dans une démarche logique répondant aux problématiques humaines et économiques de notre secteur.
Ce ne sont pas des espaces agricoles « détournés pour être bétonnés ».
La demande de logements est forte sur la Commune qui est attractive et le projet hérité de la précédente municipalité avec une contrainte budgétaire importante à assumer, a été largement revu.
Un cahier des charges environnemental pour les constructeurs et les acquéreurs conditionne l’acquisition des terrains à la signature préalable d’une charte.
En matière commerciale, c’est le SCOT du Biterrois et son document DAAC qui impose les secteurs d’implantation en centralité et en périphérie sur la Ville. Il n’est pas prévu d’implantation de grandes surfaces sur Saint Christol qui est, pour rappel, à vocation d’habitat.
L’apport de population devrait profiter à l’ensemble du tissu commercial actuel, en centre ville et en périphérie.
Premièrement, afin d'éviter une situation budgétaire intenable pour la Ville.
Deuxièmement, ce projet permettra à la Ville d'accueillir de nouveaux arrivants, Pézenas a besoin d'une population jeune et dynamique qui n'a aujourd'hui que trop peu de solutions de logement dans le secteur.
De plus, ce projet n'est pas le même que celui souhaité par l'ancienne majorité : espace vert, mixité sociale, déplacements doux, commerces de proximité... Bref un projet avec une connotation écologique forte pour une Ville encore plus attractive.
Ayant eu l'occasion l'année dernière et encore cette année de visiter votre belle région, je l'ai trouvée dans un état de sécheresse passablement inquiétant. Je me permets de vous rappeler que dans d'autres départements (Alpes maritimes par exemple), les communes n'ayant plus d'eau pour tous refusent maintenant les permis de construire.
Bétonner les terres agricoles est interdit par la loi, il faudra bien que vos descendants aient de la terre pour se nourrir (l'hydroponique ne peut pas tout, notamment cultiver des arbres et des céréales). Ne serait-il pas plus sage de revitaliser le centre ville en aidant les propriétaires à rénover leurs logements, et à le densifier plutôt que de continuer une politique d'étalement, néfaste à la nature, aux terres agricoles, à l'infiltration et à la rétention de l'eau par des moyens naturels (haies, couvertures végétales, entre autres) ?
Espérant de la part des autorités un éclair de lucidité, recevez mes cordiales salutations,
Michèle Ramade
Pourquoi être contre...
Il y a une forte demande logements sur Pézénas c'est un fait et le projet est réfléchi avec un respect environnemental et une pris en compte de toutes les obligations écologique et hydrolique.
Nous arrêterons de perdre de voir partir les jeunes familles.
Alors je ne peux que dire oui à ce projet qui amènera dde la vie en plus à Pézénas.
Docteur en Sciences de l’Eau, hydrologue, hydrogéologue, agronome, et expert reconnu, je profite de l’enquête publique relative au projet d’aménagement de la ZAC Saint-Christol sur la commune Pézenas pour prendre le temps vous transmettre mon avis sur celui-ci. Je me permets par ailleurs de préciser que je connais relativement bien le secteur pour avoir effectué ma thèse de Doctorat sur le bassin versant expérimental de l’Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement (INRAE) qui est situé sur la commune de Roujan.
Je vous avoue être particulièrement surpris de voir que de tels projets soient encore d’actualité en 2024... De la même manière que je l’évoque dans ma dernière tribune dans le Monde « Pour lutter contre les sécheresses, favorisons les solutions inspirées de la nature » datée de mardi 17 septembre 2024 et qui pointe les deux grandes visions qui s’opposent sur les territoires en ce qui concerne la gestion de l’eau, il en va de même pour les projets urbanistes : il y a les projets de la fuite en avant qui se basent principalement sur la philosophie du « toujours plus grand, toujours plus hors sol », qui s’opposent aux projets qui cherchent au maximum à s’appuyer sur les solutions inspirées de la nature. Nous sommes ici clairement dans un projet qui ne fera qu’accentuer les maux de notre temps, en particulier les conséquences des changements climatiques...
J’ai tout d’abord été particulièrement surpris que dans l’étude d’impact, le site soit uniquement caractérisé par une seule année climatique pour la pluviométrie et la température (cf. page 111 du rapport « Autorisation Environnementale Pièce 7 – Étude d’impact sans ses annexes »)… Le climat méditerranéen se caractérise en effet par une forte variabilité inter-annuelle et se baser sur une seule année est pour le moins étrange… Compte tenu des changements climatiques en cours et de leur accélération, et des impacts de plus en plus importants qu’ils risquent d’engendrer sur la végétation, les animaux et les humains, je me suis penché sur l’analyse des valeurs locales de 3 variables climatiques discriminantes à cet égard :
- 1. La pluviométrie : bien connue du grand public, cette variable permet tout simplement d’avoir une idée de la quantité de pluie qui tombe et de sa variabilité dans le temps notamment.
- 2. La moyenne des températures maximales journalières des mois de juin, juillet et août : cette variable permet d’avoir une idée de la dynamique d’augmentation de l’évapotranspiration potentielle (d’autres variables rentre en compte, mais les températures maximales permettent déjà d’avoir une idée des variations), ou dans d’autres termes la demande évaporative globale.
- 3. Le nombre de jours annuels de dépassement des 35°C ; c’est une variable très pertinente pour suivre la dynamique du réchauffement climatique.
La station météorologique de Pézenas-Tourbes est la plus proche station du réseau Météo-France qui dispose d’une série de données intéressantes (30 ans de données). Je me suis donc appuyé sur cette station pour analyser les trois variables évoquées ci-avant. J’ai également regardé les données de la station Météo-France de Béziers-Courtade, qui est située plus loin mais qui dispose d’une plus longue série de données (plus de 50 ans).
Pluviométrie :
Depuis 1993, à la station de Pézenas-Tourbes, la moyenne pluviométrique est de 582,7 mm. Sur cette période, la pluviométrie annuelle maximale relevée est de 1115,2 mm (en 1996), tandis que la pluviométrie minimale relevée est de 271,5 mm (2023). La pluviométrie montre une très forte variabilité inter-annuelle, caractéristique du climat méditerranéen. A noter que les 271,5 mm relevés sur l’année 2023 sont bien évidemment très inquiétants. Comme il est possible de l’observer sur le graphique n°1 du document transmis en pièce jointe avec le présent avis (document : Graphiques_Enquete_Publique_St_Christol_Hebrard240920.pdf), la courbe de tendance indicative (en noir sur le graphique) semble montrer une tendance à la diminution de la pluviométrie. Cette tendance semble se confirmer par la comparaison de la moyenne des pluviométries mesurées sur la période 1994-2008 (627,2 mm) avec celle des pluviométries relevées sur la période 2009-2023 (538,2 mm). Cette tendance locale s’inscrit dans la tendance relevée sur la station Météo-France de Béziers-Courtade (cf. graphique n°2 du document ci-joint), la plus proche station Météo-France disposant de plus de 50 ans de données.
Moyenne des températures journalières maximales des mois de juin, juillet et août:
Sur le graphique n°3 du document joint au présent avis, pour la station de Pézenas-Tourbes j’ai reporté l’évolution de la moyenne des températures journalières maximales des mois de juin, juillet et août sur la période 1997-2023. De manière à lisser les écarts à la moyenne et faciliter la mise en évidence des tendances, j’ai utilisé une moyenne glissante sur 5 ans. Le trait noir représente la courbe de tendance, indicative.
Il n’y a pas besoin d’avoir fait de grandes études pour comprendre ce graphique qui parle de lui-même …. Le résultat est édifiant. La moyenne de ces températures maximales estivales a pris plus de 2,5°C en 30 ans …. Ces résultats corroborent parfaitement les coups de chauds ressentis de plus en plus fréquemment sur le secteur… En observant la pente de la courbe de tendance de ce graphique, rien ne laisse présager qu’elle pourrait s’atténuer voir s’inverser dans les années à venir, mais bien au contraire elle semble laisser présager la poursuite de cette augmentation ; est-il d’ailleurs nécessaire de rappeler le contexte mondial frénétique où l’on continuer à accentuer le réchauffement climatique, de surcroît avec de probables prochains effets de seuils liés notamment à la disparition progressive de l’Amazonie, le réchauffement des océans ainsi qu’à la fonte des glaciers et du permafrost ? Ce graphique montre que le nombre de « coups de chaud » thermiques va très certainement se multiplier et que de multiples impacts devraient se faire ressentir sur la végétation par le franchissement de seuils physiologiques (notamment le phénomène de cavitation : circulation de bulles d’air dans la sève des arbres pouvant entraîner leur mortalité). Cette tendance locale s’inscrit dans la tendance relevée sur la station Météo-France de Béziers-Courtade (cf. graphique n°4), la plus proche station Météo-France disposant de plus de 50 ans de données.
Nombre de journées où la température maximale a dépassé les 35°C :
Le graphique n°5 présente l’évolution du nombre annuel de journées où la température maximale a dépassé les 35°C à la station de Pézenas-Tourbes. On constate qu’il y a clairement une évolution globale très marquée du nombre de jours avec un dépassement des 35°C. Cette tendance locale s’inscrit dans la tendance relevée sur la station Météo-France de Béziers-Courtade (cf. graphique n°6), la plus proche station Météo-France disposant de plus de 50 ans de données.
Par conséquent, à la lumière de ces données il n’y a pas de doute sur le fait que les changements climatiques sont en train de pleinement impacter le territoire du projet ; il ne s’agit pas que d’un ressenti….. Le réchauffement climatique semble s’accélérer comme en témoigne les graphiques. Dans les années à venir, il est très probable que les « coups de chauds » thermiques que l’on a de plus en plus observé ces dernières années soient de plus en plus nombreux, plus longs et plus intenses. La pluviométrie pourraient montrer des variations de plus en plus marquées, avec des pluviométries possiblement inférieures au 271 mm de 2023… Aujourd’hui, les milieux doivent être repensés pour gérer les manques d’eau tout comme les excès... Qu’il s’agissent de milieux urbains ou agricoles, les cycles du carbone et de l’eau doivent être couplés pour amortir au mieux cette accélération du réchauffement climatique, tout comme les variations de la pluviométrie. L’eau et le carbone doivent être intégrés dans les milieux et non pas évacués via du ruissellement (pour l’eau) et de la surchauffe sur des surfaces inertes (pour le soleil). Toute goutte d’eau doit être retenue pour être infiltrée et régénérer les milieux. Les rayonnements solaires doivent être valorisés et non pas gaspillés : le sol doit être recouvert au maximum de végétaux, chaque feuille se comportant comme un véritable panneau solaire permettant de capter le carbone de l’atmosphère pour l’envoyer dans le sol nourrir de nombreux micro-organismes. Dans ce contexte climatique qui fixe implicitement les cahiers des charges sévères que doivent avoir les futurs projets, qu’ils soient urbanistes ou agricoles, il me semble que le projet qui fait l’objet de la présente enquête publique est totalement anachronique à bien des égards…. Il y a beaucoup de points que je ne comprends pas ….
J’ai du mal à comprendre que 750 nouveaux logements vont être construits dans un nouveau quartier, dans une démarche qui ne rentre pas dans le cahier des charges de l’éco-construction, du moins de celui des mouvements qui en portent les valeurs éthiques, alors que, selon l’INSEE, en 2021 il restait plus de 700 logements vacants à Pézenas (https://www.insee.fr/fr/statistiques/1405599?geo=COM-34199). Le terme « éco-construction » n’apparaît nulle part dans le document « Dossier d’enquête publique Aménagement du quartier Saint-Christol » qui accompagne l’enquête publique, ni même dans le document « Autorisation Environnementale - Pièce 7 – Étude d’impact sans ses annexes »…. j’ai du mal à comprendre ??? Par ailleurs, le terme « bioclimatique » n’apparaît nulle part dans le document « Dossier d’enquête publique Aménagement du quartier Saint-Christol » qui accompagne l’enquête publique, et apparaît seulement une fois (à la page 409) dans le document « Autorisation Environnementale - Pièce 7 – Étude d’impact sans ses annexes » dans la phrase « Les dispositifs d’architecture bioclimatique (murs et toitures végétalisés) sont autorisés sous réserve d’une bonne intégration dans le paysage urbain et naturel environnant. »… Compte tenu des changements climatiques en cours et de leurs accélération, j’ai du mal à comprendre que la mise en place de dispositifs d’architecture bioclimatique soit suspendue à «une bonne intégration dans le paysage urbain et naturel environnant » ??? Est-ce que les personnes qui ont écrit cette phrase ont conscience de ce qui est en train de se jouer sur le plan climatique ???? Si le projet avait un véritable engagement dans l’éco-construction et la mise en place de bâtiments bioclimatiques, le terme bioclimatique serait appuyé et argumenté….
J’ai du mal à comprendre que l’on mette encore en place des projets avec plus de 60 % de surfaces imperméables (selon la valeur avancée dans le document « Autorisation Environnementale - Pièce 7 – Étude d’impact sans ses annexes »), de surcroît à de telles échelles. Nous avons vu que sur une année moyenne (sur la base de la moyenne calculée sur la période 1994-2023) il tombe une hauteur d’eau de l’ordre de 582,7 mm. Par mètre carré, cette hauteur d’eau représente 582,7 litres d’eau. Une année avec une pluviométrie exceptionnellement faible comme en 2023 (271,5 mm), il est tombé 271,5 litres d’eau par mètre carré, tandis qu’une année extrêmement pluvieuse comme en 1996 (1115,2 mm) il est tombé 1115,2 litres d’eau par mètre carré. Sachant que la zone centrale concernée par le projet concernée environ 24 hectares (soit 240000 m²), nous pouvons alors considérer que sur une année moyenne il tombe environ 139848 m³ d’eau sur l’emprise du projet. Avec 60 % de surfaces imperméables, une année moyenne c’est environ 83908,8 m³ d’eau qui filent rapidement vers la mer plutôt que de s’être infiltrés et avoir pu rester dans la normalité du cycle de l’eau douce. Un tel volume correspond à l’irrigation de plus de 20 hectares de maraîchage dans une démarche agroécologique...
J’ai du mal à comprendre que plutôt que de concevoir un projet qui se comporte dans son ensemble comme une éponge, on imperméabilise d’un côté et qu’un d’un autre côté on réalise des bassins de rétention… Aujourd’hui, les projets doivent s’inscrire dans une dynamique de « Zéro Artificialisation Nette » (https://www.ecologie.gouv.fr/presse/communique-presse-zero-artificialisation-nette-publication-decrets-dapplication). Tout milieu doit se comporter comme une éponge, de manière à la fois à correctement absorber les précipitations et limiter les inondations, et à redistribuer entre deux pluies cette eau aux différents compartiments des écosystèmes. Aujourd’hui, les projets en phase avec leur temps font appel à l’hydrologie régénérative (aménagement du territoire pour régénérer les milieux via une amélioration du cycle de l’eau douce).
J’ai du mal à comprendre que des systèmes de toilettes sèches et de phyto-épuration ne soient même pas évoqués dans le projet, d’autant plus sachant que le site s’avère opportun pour ce genre de système en raison de la place disponible. Un-e Français-e consomme en moyenne 150 litres d’eau par jour. Pour les 1500 futurs habitant-es cela représente 225 m³ d’eau par jour, soit 82165 m³ d’eau par an. L’installation de toilettes sèches permet d’économiser environ 50 litres d’eau par jour et par personne. Par conséquent, à l’échelle du projet cela permettrait d’économiser 75 m³ par jour ou 27375 m³ sur une année….. C’est un volume d’eau qui correspond à l’irrigation de plus de 5 hectares de maraîchage dans une démarche agroécologique.
J’ai du mal à comprendre que l’on sacrifie des terres agricoles disposant d’un potentiel de fertilité important. Alors que de plus en plus d’agglomérations protègent les terres fertiles de leur ceinture foncière en vue de mettre en place des projets agricoles à la fois nourriciers, créateurs d’emplois, qui permettent de mieux gérer les précipitations et de tamponner le climat, Pézenas fait le choix de supprimer ces terres… difficile à concevoir en 2024. Les terres du projet pourraient permettre l’installation de plusieurs agriculteur-trices. Leur installation selon le cahier des charges de l’agriculture biologique et dans une démarche agroécologique permettraient d’alimenter le territoire et d’avoir un rôle important face aux défis qui nous attendent, notamment dans la gestion de la ressource en eau et de la « climatisation » du territoire.
Par conséquent, en l’état de mes compétences et connaissances et de ce que je comprends du projet, je trouve que celui-ci est complètement anachronique et qu’il ne prend que très peu en compte le défi immense des enjeux climatiques et écologiques auxquels nous allons devoir faire face. Je donne donc un avis clairement défavorable.
Olivier Hébrard
Dr en sciences de l’eau, agroécologiste
St Christol accueillera 1200 habitants à l’horizon 2030 : la livraison des constructions se réalisant de manière échelonnée, la scolarisation de nouveaux enfants sera elle aussi étalée dans le temps.
En tout état de cause, à l’heure actuelle les locaux dédiés aux établissements publics du 1er degré (écoles maternelles R. Desnos et C. Perrault et élémentaires J. Prévert et J. Vallès) sont en mesure d’accueillir près de 200 élèves supplémentaires par rapport aux effectifs actuels.
Ce projet initié par l ancienne municipalité a été favorablement retoqué .mixité sociale,plus d espaces verts,déplacements doux,thermo ludisme,services ,un poumon vert aménagé.
Le bétonnage des campagnes favorise les inondations et limite le remplissage des nappes phréatiques.
Par ailleurs, ce projet ne va t-il pas poser un problème quant à la disponibilité en eau potable pour la région????
Je m’appelle Juliette, j’ai 25 ans et je parle au nom de mes frères et soeurs, parents et pairs et aussi de la nature, qui avons chacun dans l’impuissance l’espoir que les mains qui nous gardent nous sauvent de ce monde en péril.
J’ai l’espoir, si ce n’est le devoir de rendre à ma mort et de mon vivant, à ceux qui resteront et aux nouveaux qui viendront, un monde vivant et vivable, simple et beau : l’image d’un chêne millénaire frissonnant dans la brise du soleil couchant, des coins de paradis à tous les coins de rue donnant sur l’air libre plutôt que sur le béton et les travaux.
À Pezenas le soir des élections municipales de 2020, un souffle de soulagement a rafraîchi les esprits : fini la mairie de Vogel, adieu le projet st Christol, adieu les profits d’une minorité au détriment des pauvres hères que nous sommes tous, soumis et impuissants, nous et cette pauvre Terre.
On croyait en Rivière, avec un nom pareil c’était un cadeau tombé du ciel !
Mais à croire que 5 Millions valent bien plus que la préservation des populations, qui encourent déjà des risques climatologiques dévastateurs ; un facteur pollution considérable (avec des travaux sur plusieurs 10aines d’années, des milliers de voitures, davantage de déchets au sol). Et la mise en péril des biens communs vitaux et épuisables : la réserve d’eau potable ; la qualité de l’air en dégradation par la disparition des puits à carbone : ne serait-ce que quelques 24hectares des terrains en friche et quelques arbres centenaires faisant l’objet d’une destructions au sens strict, qui contribuent énormément à la régulation de la température (notamment en période de canicule). Et dont la demande de dérogation à la loi interdisant la destruction d’espèces protégées à été acceptée par un État coupable, voyant le drame d’un avenir invivable comme un dommage collatéral d’une société utilitariste.
Le dossier du projet St Christol est d’une exhaustivité que le lecteur acharné ne saura nier. Mais, qui de ceux qui ont participé à son écriture sont allé voir un peu plus loin que le fameux quadrilatère bleu ? Loin de remettre en question les longues années d’études pour un inventaire de la biodiversité ou l’élaboration du PPRI, ont-ils payé quelqu’un qui sortirait du cadre et aurait seulement vu l’état de la rivière, témoin essentiel de l’évolution climatique à venir ?
Là où les années précédentes elle coulait encore péniblement, où les poissons nageaient et le héron pataugeait, elle n’est plus qu’une grande flaque verte qui brille par endroit d’une centaine de poissons qui flottent, à côté d’un cadavre de chat séchant au soleil et d’une écrevisse inerte.
Beau tableau, que le projet St Christol a prévu de repeindre en plus sombre encore.
Selon le rapport du Groupe d’expert Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat, nous sommes désormais et de manière irréversible, sujet à un dérèglement climatique provoquant des phénomènes météorologiques extrêmes : de la sécheresse aux inondations, la Peyne se transforme en un fleuve que le Plan de Prévention des Risques naturels d’Inondation de 2010 sur lequel s’est basé le projet, a été établi sur une terre nue, en capacité d’absorption. Il est donc utilisé de manière biaisée car outre les 15 ans d’évolution défavorable du climat dudit PPRI, ne tient pas compte de la potentielle artificialisation de beaucoup plus de 24 hectares (portes ouvertes aux travaux annexes au projet, élargissement des routes, bétonisation) faisant s’étendre les « zones rouges » et disparaître les « zones bleues ».
Ce projet est extrêmement dangereux pour les populations actuelles, les populations futures et la biodiversité en terme de qualités essentielles de vie.
N’oubliez pas les vieux adages, les proverbes et ce qui constitue la mémoire des anciens qui avaient déjà tout compris.
Ne faites pas ce projet de : terrains à bâtir, logements seniors, halles gourmandes, hotel de tourisme, espace thermo-ludique, les 1238 places de parking privées et 213 places publiques, les feux rouges et l’agrandissement des routes, l’abattage des arbres pour faire migrer les espèces en voie de disparition, sous prétexte intouchable qu’il manque des logements sociaux.
Abandonnez-ce projet. La mairie n’a qu’à convaincre l’Etat de rembourser les 5 millions d’euros du contribuable investis pour le démarrage du projet comme elle a convaincu le ministère de la transition écologique de démentir ses propos (cf la lettre du 17 mai 2023, en pièce-jointe) contre le projet St Christol.
Voici le témoignage d’une représentante de la jeunesse qui aimerait bien vivre dans un monde qui n’a pas été complètement détruit par l’hubris des hommes inconscients.
Juliette Genieys
PS : « Nous n’héritons pas de la terre de nos ancêtres, nous l’empruntons à nos enfants. »
il y a déjà trop de bétonisation partout en France et la terre c'est elle qui nous nourrit tous
Tant sur l'aspect de bétonnage de 24 hectares de terres agricoles fertiles qui mettrait en péril la souveraineté alimentaire du Piscénois (aujourd'hui est inférieure à 8%) que sur la gestion de la ressource en eau toujours plus en tension pour les habitants et les effets induits de ruissellement vers les zones sensibles de la ville, inondant encore plus la zone (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…) sans recharger de manière durable la nappe phréatique, révèle la nature catastrophique de ce projet (aberration écologique) contre l'intérêt général et les équilibres écologiques.
Merci de favoriser le respect des écosystèmes !
C. Monfort
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Quelle assurance a t on que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
Sécheresses et inondations de plus en plus fréquentes étant les marqueurs du changement climatique, il serait irresponsable de ne pas tenir compte de ces éléments.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%. L’heure est à la réduction drastique de l’artificialisation des terres agricoles( loi ZAN)
•lLe projet prévoit la construction de 655 logement neufs, alors que 700 logements du centre ville sont inoccupés faute de budget pour les rénover et améliorer ce centre ville. C’est par là qu’il faut commencer.
• Enfin Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Voici pour moi les principaux éléments qui justifient un avis défavorable et l’abandon de ce projet néfaste.
Bétonisation des seuls espaces naturels encore disponibles sur la commune (dégradation de l'écosystème)
Circulation et accessibilité à la commune déjà saturés (nord : pont de la peyne, comme au sud : allée de castelnau ou avenue de verdun)
Manque d'infrastructures pour l'accueil des enfants à scolariser
Capacité de la station d'épuration à recevoir et traiter les eaux usées, capacité de la commune à entretenir de nouveaux espaces....etc
De nombreuses questions restent entières :
- l'artificialisation des sols va entraîner des ruissellements vers des zones sensibles et empêcher le rechargement de la nappe phréatique
- les conséquences de la suppression des terres agricoles ont-elles vraiment été évaluées ?
- le problème de sècheresse récurrente avec les restrictions d'eau consécutives mérite un traitement autre que ce type d'aménagement
- l'argent ici dépensé ne trouverait-il des usages plus bénéfiques à la population ?
Le projet semble cohérent et permettra entre autre enfin une ouverture de la commune de Pezenas.
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique. 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
Certains aspects critiqués dans certaines observations portent sur les thématiques hydrauliques et écologiques alors même que ces thématiques ont été prises en compte dès la conception du projet et n'ont cessé de faire évoluer le projet au fur et à mesure de la réalisation des études et notamment des échanges avec les services de l'Etat spécialisés sur ces thématiques. Ces éléments sont bien développés au sein du dossier.
En ce qui concerne la consommation de terres "fertiles", l'ensemble des études menées ont permis de démontrer le faible potentiel agronomique de l'emprise (étude préalable agricole jointe au dossier). Aussi, plus de 70% de l'emprise correspond à de la friche. Le choix de la localisation permet justement de protéger les espaces agricoles piscénois disposant d'un réel potentiel agricole. De plus, le dossier a été présenté en instance spécialisée (CDPENAF) et a obtenu un avis favorable de cette dernière.
Je souhaite également répondre aux observations qui indiquent qu'il convient de prioriser le réinvestissement urbain. Une analyse du potentiel de réinvestissement a été réalisée et révèle des problématiques techniques et financières qui ne permettent pas de retenir cette option.
J'ajouterai que le projet Saint-Christol est réfléchi depuis plusieurs années en concertation avec de nombreux acteurs dont la population locale !
Ces éléments apportés sont tous extraits du dossier consultable et ne constituent qu'un échantillon des études menées dans le cadre du projet.
Peu de projets sont aussi vertueux que le projet de Quartier Saint-Christol qui, loin de s'orienter vers une un course aux profits, répond aux besoins locaux dont un besoin en logements certains tout en intégrant les enjeux actuels.
Inquiétant de voir qu'aucune différence n'est réalisée entre des projets comme Saint-Christol pour lesquels des moyens importants sont déployés pour répondre aux enjeux environnementaux et pour lesquels il existe une réelle volonté de co-construction et les autres projets.
Dans le cadre d'un mémoire en réponse, l'équipe technique de la SEMOP répondra évidemment point par point aux observations déposées dans le présent registre.
Pour autant, en tant que directeur opérationnel du projet il m'appartient dès aujourd'hui de vous faire part de la multiplication d'inexactitudes distillées auprès des piscénois.
Car il est TOUT SIMPLEMENT FAUX de prétendre :
- que le futur quartier comptera 2000 habitants : Il comptera entre 1100 et 1200 habitants à terme et nous le démontrerons,
- que la ressource en eau potable est menacée : Au contraire, le nouveau réservoir assurera l'alimentation du secteur et la sécurisation de la Commune jusqu'à l'horizon 2045,
- que le nouveau quartier augmentera le risque d'inondation : Au contraire le système hydraulique programmé améliorera la situation du secteur notamment par un surdimensionnement de la rétention hydraulique de plus de 1000 m3,
- que le projet ne respecte pas les normes supérieures : Au contraire, il est établi que le projet est compatible avec le PLU, le SCoT, le SAGE, le SDAGE, la loi ZAN etc... et avec l'ensemble des règlements applicables,
- que le projet détruira 24 ha de terres agricoles : La zone étant partiellement occupée, il ne demeure qu'environ 13ha à "potentiel agricole" de qualité moyenne, ce qui ne représente que 0,88 % de l'espace agricole du territoire communal de Pézenas. De plus le projet participe financièrement à l'activité agricole locale à travers une compensation de 300.000 € !
- que le projet artificialisera 24 ha : Au contraire, plus de 57 % de la surface du projet demeurera perméable,
- que le projet saturera le réseau viaire de la Ville alors que l'étude de trafic réalisée annonce une augmentation de 17 % dudit trafic en heure de pointe. Cette augmentation étant presque imperceptible !
- que le nouveau quartier est écocide alors qu'il comprend un volet environnemental exemplaire et reconnu comme tel par tous ceux qui ont pris la peine de consulter véritablement le dossier...
- que le projet couterait de l'argent à la collectivité en cas de réalisation : c'est le contraire car il est "autoporté" financièrement par ses recettes...
Et il ne s'agit là que de quelques exemples des contre-vérités distillées dans le présent registre dématérialisé.
Il suffirait pourtant simplement de lire le dossier pour que la vérité soit rétablie...
Bien cordialement
En outre, on peut se demander pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte.
Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
► 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
► Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
► La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
→→→Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
On devrait suivre l’exemple de la commune de Montbazin , qui a reçu le 1er prix pour le respect de la biodiversité. Artificialiser des terres agricoles et les bétonner est un contre sens. Pour qui ? Pourquoi ? Bcp de logements du centre ville sont inoccupés.
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
J'ai habité dans la Rue des Chevaliers de St Jean de ma naissance à mes 21 ans et lors des crues de Peyne j'ai vécu l'angoisse de l'eau qui dévalait dans la rue comme une rivière ; nous mettions une tempe pour l'empêcher de rentrer dans le magasin et montions tous les jouets du sol sur la banque qui était très grande. C'est vrai que depuis la creation du lac du Salagou et de son barrage ce problème a disparu.
Je pense avoir une bonne raison d'être pour un autre projet pour St Christol car bétonner 24 ha de terres dont le sol fertile présente une bonne capacité de rétention et d'échange d'eau , ce sol qui présente un potentiel agricole si élevé ne peut pas être raisonnablement stérilisé sous un projet d'urbanisation. Ce secteur à haut potentiel agricole par la qualité de ses sols est un enjeu pour la souveraineté alimentaire.
Ce projet gigantesque et disproportionné va dégrader la vie des residents du secteur durant des années, il aggrave les conditions de circulation dans tout le périmètre urbain alors que la gestion des flux de transports à PEZENAS est déjà dégradée. J'en parle en connaissance de cause car je viens en voiture à PEZENAS tous les jours et fais toutes mes courses en centre ville .
Les structures de la ville ne sont pas adaptées à recevoir 1500 habitants supplémentaires , déjà il manque des parkings et des voies cyclables
Ce quartier est coupé de la ville par la vallée inondable de la Peyne et un seul pont avec une circulation sur 2 voies permet le lien avec la ville et le seul axe de communication pour recevoir le flux de véhicule entre cet eventuel quartier et la ville EST LA NATIONALE. Ce projet cumule toutes les recommandations que le SCOT demande d'éviter , ce qui le rend INACCEPTABLE.
La seule alternative pour avoir une circulation possible serait la réouverture du réseau ferroviaire de la ligne AGDE PEZENAS ce que le CAHM a décidé d'abandonner;
Il y a plus de 700 logements vacants en centre ville (INSEE 2021) pourquoi ne pas réhabiliter ces logements
Il y a des contradictions entre les orientations DOO SCOT - 2040 et le projet d'urbanisation de ST Christol donc un mensonge qur l'accord du SCOT du Biterrois car la consommation d'espaces nouveaux est limité à 3 HA 24 entre 2022 et 2031 et contrevient à la loi votée dans le cadre de l assemblée nationale donc par les élus eux mêmes. C est un projet en totale rupture avec le secteur urbain historique et économique de la ville.
En ce qui concerne l'EAU le SCOT précise qu'il faut conditonnner les nouveaux projets d'aménagement à la disponibilité des ressources en eau . Un calcul
a été effectué sur le niveau des nappes aux conditions climatiques antérieures aux sécheresses enregistrées l'été 2022 et on doit se fier aux données du GIEC du 09/08/2021 qui sont probantes car en Méditerranée le changement climatique sera des plus radicaux au monde.
Il ne faut pas cacher la bétonnisation de ce quartier par le fait que ce sera le premier à favoriser la circulation de la faune et de la flore et la lumière rouge , nous nous voulons garder nos terres arables et ne pas prendre le risque d'inondations car quand 24 HA seront betonnés l'eau ne s'infiltrera plus et entrera dans le vieux centre ville
Dans le projet il n'apparait l'avis négatif du Conseil de la transition écologique pourquoi ????
La mairie dans ce projet bloque tout entretien du centre ville existant vu la dépense pharaonique que va provoquer ce quartier
Le projet d'une halle gourmande va pénaliser les commerçants du centre ville et comme il ne sera pas facile de circuler ces habitants iront vers Clermont l'Hérault et Béziers car le projet sera desservi en priorité par l'A 75
En conclusion, il existe encore dans le secteur Ouest et Sud ouest de la ville des terrains à vendre, des demeures agricoles abandonnées qui peuvent faire l'objet de remises en lotissement en programme de constrtutions sur deux étages. Des solutions existent donc en l'état actuel de la ressource foncière dans le cadre urbain actuel. La seule publicité foncière ne pourra pas être retenue comme une justification acceptable.
Que les déplacemets doux soient réalisés à PEZENAS sur les chaussées existantes car aucun pour le moment n'est discontinu et prévoir la réhabilitation des logemets vacants !!!
Tous les avis ne sont pas éclairés, loin de là, or l'exercice démocratique met sur le même plan la perception (même biaisée) et la connaissance (basée sur des faits...)
Cela aurait voulu dire augmenter de 30% l’annuité annuelle que la ville doit à ses créanciers (car, oui, la ville était endettée à 14 millions d’euros en 2020 auxquels s’ajoutaient ces 5 millions). Cela aurait probablement valu à la ville d’être mise sous tutelle et nous avons été élus pour faire et non pour être mis sous tutelle.
Cela aurait aussi voulu dire d’augmenter de 7% la taxe foncière. Et nous avons été élus avec des engagements de modération fiscale.
Endetter davantage la ville, cela voulu dire aussi renoncer à d’autres investissements ou à des actions portées par la ville.
Pour autant, quelle banque prête aujourd’hui pour dépenser l’argent et ne rien faire ? Les collectivités ont déjà des difficultés à emprunter pour faire !
Pour autant, il y aurait eu aussi les autres frais avancés par la SEMOP à rembourser. Donc de nouvelles dettes ou dépenses sans réalisation pour les Piscénois.
Pour autant, il y aurait eu des suites judiciaires car il s’agissait de défaire les engagements pris par la Ville, vis-à-vis de partenaires privés, lorsqu’elle a créé la SEMOP et octroyé la concession. Nous étions en 2019… et l’opposition municipale d’alors, dont je faisais partie, avait bien expliqué à la majorité municipale et à la population que l’équipe en place venait de lier les pieds et les poings des futures équipes.
Pour autant, qu’aurait dit les propriétaires à qui les terrains avaient été rachetés par l’EPF selon les décisions du Conseil municipal en 2011 et en 2014 ? C’est bien à ce moment-là que le projet devait être contesté ou non.
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
Projet écocide encore une fois.
En effet, cette dernière précise: « Il était bien spécifié dans mon courrier que la trajectoire de réduction de l’artificialisation défendue par le Gouvernement devait être adaptée au contexte local, notamment aux dynamiques démographiques ou économiques, au besoin de revitalisation ou de désenclavement, ainsi qu’aux gisements fonciers artificialisés mobilisables. {…] Elle poursuit plus loin : « Les objectifs ambitieux défendus par la ZAN ne signifient pas l’arrêt de toute construction, et chaque situation doit être appréciée en tenant compte des spécificités de chaque territoire et de chaque projet. »
Parlons donc des spécificités du territoire et du contexte local puisque l’Etat reconnait que ce doit être le point de départ d’évaluation: en tant que cheffe de cabinet du Maire, je me dois de souligner le volume de demandes de rendez-vous individuels sollicités auprès du Maire pour des demandes de logement, lesquelles sont aussi nombreuses que les demandes d’emploi.
N’y aurait-il pas une contradiction pour l’équipe municipale élue que de ne pas répondre à cette demande ?
D’autre part, il est souvent fait mention du détournement de l’usage de ces terres (qui pourraient être rendues à l’agriculture) : est-on conscient que l’espace dont il est question fait l’objet d’un mitage urbain depuis plus de 30 ans ?
Il serait bon d’arrêter d’opposer alimentation et logement car il s’agit, dans les deux cas de besoins fondamentaux : en ce sens, les élus municipaux ont agi pour remettre en culture des terres agricoles avec la fondation Terre de Liens (14ha) et les premiers agriculteurs seront installés à l’automne à l’Auribelle.
Dans le même temps temps, les élus agissent pour permettre aux Piscénois, toutes catégories confondues (et c’est bien là une des forces de projet que de proposer un parcours résidentiel mixte et intergénérationnel) de se loger dignement, au plus proche de la nature tout en la respectant.
Et ce, sans pour autant abandonner la requalification du centre historique, comme certains commentaires le laissent penser.
L’époque n’est malheureusement pas à la nuance ce que pourtant, la complexité des enjeux commande !
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Dans une région déjà touchée par des périodes de sécheresse de plus en plus longues et une gestion de l'eau en tension, il est légitime de se demander si les ressources en eau seront suffisantes pour alimenter un tel projet immobilier. Durant l’hiver dernier, plusieurs villages aux alentours ont dû être approvisionnés en eau par camions-citernes. L'ajout de 2 000 habitants supplémentaires à Pézenas risque d'aggraver cette situation. Où trouverons-nous l’eau nécessaire pour assurer les besoins de cette population croissante ?
2. *Impact environnemental sur l’hydrologie locale :*
La bétonisation de 24 hectares de terres agricoles à Saint Christol risque d’avoir un effet délétère sur le cycle de l’eau. En supprimant une zone d’absorption naturelle, le ruissellement des eaux pluviales vers les zones déjà sensibles de la ville pourrait s’intensifier, augmentant le risque d’inondations dans les secteurs vulnérables comme la rue Conti, l’avenue de Castelnau, ou encore les Calquières basses et hautes. De plus, la réduction des surfaces perméables ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique, ressource déjà sous pression.
3. *Perte de terres agricoles fertiles :*
La destruction de ces 24 hectares de terres agricoles, particulièrement fertiles, entraînerait une réduction significative de la production alimentaire locale, affaiblissant ainsi l’approvisionnement en produits agricoles du Piscénois. Alors que l’importance des circuits courts et de l’agriculture locale est de plus en plus reconnue, cette perte de terres arables serait dommageable pour la souveraineté alimentaire locale.
4. *Augmentation du trafic routier :*
L’ajout de 700 nouveaux logements entraînerait une augmentation de 17 % du trafic routier, un chiffre considérable dans une ville comme Pézenas. Comment le réseau routier, notamment le pont de la Peyne, pourrait-il absorber cet afflux sans entraîner des embouteillages, une augmentation de la pollution et des nuisances sonores pour les riverains ? Aucune solution viable n’est actuellement proposée pour gérer cet impact sur la mobilité urbaine.
5. *Équilibre commercial menacé :*
La création d’une Halle Gourmande de 700 m² à Saint Christol pourrait nuire au commerce local, notamment celui du centre-ville de Pézenas. En attirant une partie de la clientèle vers cette nouvelle zone, il y a un risque de désertification commerciale du centre historique, déjà en difficulté. Le projet de nouvelle Halle ne doit pas se faire au détriment des commerces existants.
6. *Capacité des infrastructures scolaires :*
Avec l’arrivée de nombreuses familles, il est nécessaire de se demander si les infrastructures scolaires, notamment les écoles primaires, seront capables d’accueillir tous ces nouveaux élèves. Les investissements scolaires dépendent de la commune, mais aucune garantie ni plan précis n’a été présenté pour la construction de nouvelles écoles ou l’agrandissement des infrastructures existantes. De plus, si des fonds importants sont alloués à ce nouveau quartier, cela pourrait compromettre les budgets destinés à d'autres secteurs, comme la rénovation du centre-ville.
7. *Capacité de la station d'épuration :*
La station d’épuration actuelle est-elle en mesure de traiter les eaux usées supplémentaires générées par ces 2 000 nouveaux habitants ? Si ce n’est pas le cas, des investissements conséquents devront être réalisés, ce qui représenterait un coût supplémentaire pour la commune. Une question cruciale reste sans réponse : comment la commune financera-t-elle ces infrastructures sans alourdir la fiscalité locale ?
8. *Investissements supplémentaires à la charge de la commune :*
La mise en place d’infrastructures supplémentaires, telles que des liaisons piétonnes et cyclables entre Saint Christol et Pézenas, ou la gestion des zones inondables et des routes environnantes (comme celle de Nizas), générera des coûts significatifs pour la commune. Ces dépenses n’ont pas été intégrées dans l’analyse du projet et risquent de grever le budget municipal.
9. *Manque de transparence dans la gestion du projet :*
Enfin, il est inquiétant de constater que l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n’a pas été rendu public ni joint au dossier. Ce manque de transparence nuit à la confiance des citoyens dans le processus de consultation publique et laisse planer des doutes sur les réelles motivations derrière ce projet.
*Conclusion :*
Le projet de création d’un quartier de 700 logements à Pézenas, bien que répondant à des besoins en termes de logements, pose de nombreuses questions quant à sa faisabilité, son impact environnemental et social, ainsi que les coûts pour la commune. Il est essentiel que ces préoccupations soient sérieusement prises en compte avant de poursuivre ce projet.
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Bien à vous,
La station d'épuration va-t-elle être suffisante ? Il y aura sûrement de la sécheresse à Pézenas et St Christol ? Comment la commune va-t-elle gérer la sécheresse ? Le réchauffement climatique va abaisser la ressource en eau. Bétonner la campagne n'est pas une solution viable. Or, l'être humain ne peut pas se passer d'eau potable. Comment l'homme va-t-il cultiver son jardin pour se nourrir ? Est-il prévu d'interdire la construction de piscines en dur et interdire également d'arroser les golfs dans la région pour préserver la ressource en eau. L'eau potable est indispensable à l'être humain pour survivre. Les femmes et hommes politiques comme les maires ou les députés doivent agir intelligemment pour préserver la ressource en eau.
Donc, je donne un avis défavorable à l'enquête publique du futur quartier de St Christol.
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%. Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Et enfin et surtout : pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Préserver des terres arables pour nourrir la population de façon saine et proche,
Limiter le manque d'eau dans cette zone (qui ne cesse de croitre),
Ne pas construire de nouveaux logements alors que des centaines d'autres sont vacants sur la commune,
Eviter des risques d'inondation du au non ruissellement des pluies si ces terres sont bétonnées
Ce projet est en décalage complet avec les besoins de la population et des évolutions climatiques, il n'est pas pertinent et même dangereux pour le bien être et le bien vivre ensemble des habitants de la commune.
Je suis totalement défavorable à ce projet qui va encore aggraver la situation de la nature en général et dans cette région en particulier.
Je vous remercie de prendre en compte ma position.
Voici mes questions et réflexions sur ce projet auquel je suis totalement opposé :
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Merci de prendre en compte mon avis défavorable
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%
24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueront à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%. D'autre part, compte-tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourra-t-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irons nous chercher l’eau ? Enfin , pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ? Comme partout, une fois les bulletins de vote en poche, vous vous moquez des habitants. Pourquoi vous faites-vous élire, si ce n'est que pour les intérets de quelques-uns et non l'ensemble de la population ? Arrêtez le bétonnage. Merci.
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
Tout projet de bétonisation est néfaste dans le contexte actuel ou le ruissellement des eaux est la cause d'inondations. Si toutes les villes et villages de France se mettent en tête de faire des nouveaux projets urbains pour faire tourner la caisse, nos campagnes n'existeront plus dans 20 ans.
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisés les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Dans ce cas en particulier, dans une région en tension il faut prendre en considération le risque de manque d’eau potable, comme c’est déjá le cas dans des villages voisins.
Il est criminel dans les circonstances actuelles de changements climatique de sacrifier des terres agricoles pour les bétonner. Bétonnage qui á son tour aggrave le manque de recharge des nappes, et le risque d’inondation des parties basses de la ville.
Je demande donc que soit pris en compte l’avis défavorable du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas.
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Souvent les villages grandissent par une succession de lotissements sans cohérence.
Ici, le projet semble pensé globalement avec de nombreuses études pour le construire.
J’espère qu’il permettra à d’autres personnes de trouver un logement à Pézenas, ce qui est loin d’être évident.
Protègeons la nature et les animaux.
- la création d'un nouveau quartier, à l'image des 8 ZAC successives de Montpellier, en tenant compte de l'environnement et de la cohérence de la forme urbaine.
- une offre de logements aux normes actuelles , avec une mixité sociale répondant au deficit criant de logement sur Pézenas.
- un bati densifié évitant l'étalement urbain à l'image des lotissements sauvages des communes voisines.
- une accession abordable à la propriété pour les primo accedants, et pour les personnes agées des logements à taille humaine.
- une maitrise du cout du foncier.
- une intégration de petits commerces de proximité et de services publics ( gendarmerie).
- la création d'espaces verts , de parkingss drainant et de zones écologiques.
Conclusion : avis favorable à cette ZAC. Pézenas, ville centre, ne peut rester un musée sans évolution et sans avenir d'extention
B.LAUGIER Architecte
Le bétonnage de nouvelles zones va accentuer le ruissellement et augmenter les risques d'inondation de certaines zones sensibles.
On ne peut qu'espérer que le bon sens l'emportera
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Il n'y a pas eu d'étude sérieuse sur les alternatives à l’artificialisation de ces 24 hectares de terres agricoles conformément aux directives de la loi "Climat et Résilience". Le projet ne prend pas suffisamment en compte les impératifs d’adaptation au changement climatique. Les propositions des compensations écologiques sont insuffisantes ou mal évaluées. Le projet ne respecte pas la limitation de l'étalement urbain et ne se concentre pas sur l'amélioration des espaces déjà urbanisés. Il n'y a pas eu d'évaluation scientifique rigoureuse sur la mise en place de corridors écologiques alors que c'est indispensable. Le bétonnage accentuerait grandement le ruissellement vers des zones sensibles puisque les végétaux n'absorberaient plus les précipitations et il ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
L’impact sur la ressource en eau n'est pas correctement évalué ce qui est dommageable car il manque de projection et de vision sur le moyen et long terme. Le projet prévoit une consommation supplémentaire de 300 000 m³ d'eau par an, soit une augmentation de 30 % des besoins actuels en eau de la commune. Dans un contexte de pénurie croissante, cet aspect n’est pas abordé de manière réaliste et cohérente.
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
Comment seront absorbés les 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ?
24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
Absence d'étude alternative - Artificialisation des terres agricoles - Impact sur l’autonomie alimentaire - Incohérence avec le changement climatique - Consommation de la ressource en eau - Mauvaise gestion des risques d’inondation - Projet coûteux et disproportionné - Opposition massive de la population locale.
Salutations
- Artificialisation de 34 ha terres agricoles alors que la loi « Climat et Résilience » d’août 2021 limite cette consommation à 3,24 ha entre 2022 et 2031
- Le SCOT recommande de limiter l'étalement urbain et de se concentrer sur l'amélioration des espaces déjà urbanisés, une approche que le projet ne respecte pas.
- Le projet propose 655 nouveaux logements sur cette zone alors que 700 logements sont vacants et donc déjà disponibles dans la commune.
- Le projet prévoit une consommation supplémentaire de 300 000 m³ d'eau par an, soit une augmentation de 30 % des besoins actuels en eau de la commune.
- Pas d'étude alternative
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Ce projet est une aberration à une époque où nous avons plus que jamais besoin de préserver la biosphère de notre planète. Jusqu'à quand les intérêts de quelques-uns resteront prioritaires sur ceux du Vivant dans son ensemble? Faudra-t'il attendre un avenir funeste pour que les décideurs s'en rendent compte? Mais cela les intéresse-t'il seulement?
Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…). De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où trouver l’eau indispensable aux résiden?
De plus,le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
Enfin, cela ne contribuerait plus au rechargement indispensable de la nappe phréatique.
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Je suis DEFAVORABLE au projet.
De nombreuses questions se posent a son sujet. En voici deux :
Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
Il faut CESSER les projets de betonisation, ce n'est pas du développement, c'est de la.destruxtion.
PENSEZ A NOS ENFANTS, A LEUR AVENIR.
Arrêtons avec l'ancien monde. Il est tout abîmé ... Protégeons le peu de nature qui reste.
Merci de votre lecture.
J’habite Pézenas depuis 2021 et j’ai donc pu observer depuis trois ans ,qu’à Pézenas, il manque cruellement de pluie.
De ce fait, si vous multipliez la population, comment allez-vous faire pour pallier à ce manque d’eau ???
Si vous savez créer de l’eau, donnez moi votre secret car j’en aurais besoin pour arroser mes végétaux qui souffrent énormément l’été à cause des températures qui montent jusqu’à 40 degrés.
1-Compte tenu de la sécheresse de + en + importante et d'une ressource en eau déjà en tension, pourra t'on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
2-Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
3-Le bétonnage de la campagne Saint Christol, accentuera gravement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
4-24 hectares de terres agricoles fertiles détruites
5-Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
6-La station d’épuration pour traiter les eaux usées sera-t-elle suffisante ?
7-Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
cordialement
Michel Grellier
Je souhaite déposer un avis défavorable pour les raisons suivantes :
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
En vous remerciant par avance,
Cordialement,
Dominique Hugon
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
- Il occasionnera une augmentation non négligeable de la demande en eau potable, alors que des villages alentours ont déjà été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
- Il augmentera l'imperméabilisation des sols : des problèmes de ruissellement des eaux de pluie ont déjà été constatés, avec des inondations, et cette bétonisation ne pourra que les accentuer, tout en empêchant le rechargement des nappes phréatiques.
- L'arrivée de 2000 nouveaux habitants perturbera le fonctionnement de la ville : augmentation notable du trafic routier, scolarisation d'enfant dans des structures non dimensionnées pour cela, concurrence avec les commerces du centre-ville, sous-dimensionnement de la station d'épuration, etc.
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a-t-il pas été pris en compte ?
Les services de la préfectures et la polices de l'eau savent parfaitement que de préserver de grande surface de terres autour des villes permet de faire "éponge" et d'absorber une part des pluies souvent violents dans notre département.
Le maire qui est garant de la sécurité de ses concitoyens (DICRIM) et Les services de la préfecture DDTM (représentant de l'état) qui avec le (PPRI) se doivent pour la sécurité de toutes et tous les français(es) d'interdire ce genre de projet inepte et de préserver toute la ceinture verte de toute construction et imperméabilisation !
payent les méga structures tout est prévu. Surtout pas d'agriculture que des petits jardins. C'est la destruction de la campagne au détriment de la structure ville.Vous ne pourrez pas mettre sur le nom de la commune "ici les coqs chantes et les cloches sonnes "
Les infrastuctures alentour ne sont pas adaptées à un accroissement de la circulation qui sera forcement induit par une nouvelle zone de commerces. Les petits commerces déjà existants en pâtiront et finiront par fermer. A qui le projet profite-t-il ?
Tout est à revoir, y compris pour une gestion de l'eau perenne ! STOP
Un contestataire parle d'une inondation du quartier en 2019, je suis désolé de démentir mais j'y habite et n'ai jamais connu d'inondation tout au plus des ruissellements sans conséquences.
Quand à l'afflux de population contesté il suffit de se promener sur le cours Jean-Jaurès et de compter les agence immobilières pour comprendre que la demande est forte mais que les réalisation se font dans les villages environnant Caux, St Thibery, Alignan, Nézignan,Tourbes, Mèze dont la population était il y a 10 ans inferieure a celle de Pézenas mais compte aujourd'hui 12000 habitants
et il ne s'agit pas que de dortoirs: Hépad à Caux, Pole médical à Tourbes, Collége à Roujan, laboratoire Médical à St Thibéry, abattoirs à Paulhan et pour autant les centres de ces villages sont toujours animés.
Concernant les logements du centre de Pézenas est-ce que les propriétaires sont disposés à les réhabiliter et les louer et est-ce que des candidats sont disposés à laisser leur voiture sur un parking (payant!) à l'autre bout de la ville et à monter leur pack d'eau et la poussette au troisième étage par un escalier en colimaçon dans un immeuble classé sans clim et dans lequel on n'as pas le droit d'accrocher un tableau?
Il est facile de contester un projet qui doit permettre a des primo-accédant de se loger et à des entreprises d'exister et d'afficher de façon péremptoire sur son balcon "Non à St Christol" quand on à sois même une belle maison avec toutes les commodités à proximité.
Tout le monde critique le manque de logements et prends ouvertement en pitié les sans abris et les réfugiés, mais pas devant chez moi!
Est-ce que toute cette opposition au projet ne serais pas tout simplement de l'idéologie et de l'écologie de comptoir?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Injustifiable, compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension.
De plus, le bétonnage de la campagne Saint Christol ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
• Comment est-on sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui a aujourd'hui est inférieure à 8%.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs. ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Je rejoins pleinement le contenu de ce qui es dit dans le document déposé par le collectif.
Bien à vous,
Sylviane Martin.
En voici les raisons :
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà sous tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentour ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?...
• Comment peut-on être sûr que ce projet n’entraînera pas de restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
• Le bétonnage de la campagne Saint-Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc.).
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois qui est aujourd'hui est inférieure à 8 %.
• Comment pourraient être absorbés 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• La création d’une Halle Gourmande à Saint-Christol (2 500 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
• Comment seraient scolarisés les nouveaux élèves (particulièrement du primaire dont les investissements dépendent de la commune) ? Et où ?
• Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre-ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs ?
• La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était alors pas ?
• Combien d’autres investissements seront à la charge de la commune (notamment la liaison piétonne et vélo entre Saint-Christol et Pézenas au-dessus de Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc. ?
• Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a-t-il pas été pris en compte ?
Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville dans lequel 700 logements sont inoccupés alors que le projet prévoit la construction de 655 logement neufs ?
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas n'a pas été pris en compte ?
Merci
Comment est-on sûr que ce projet n’entrainera pas de restrictions d’eau potable à Pézenas et aux villages voisins ?
Bonne réception.
De plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
C'est pourtant ce que je constate en parcourant les dépositions!
Par contre, dans un cas comme dans l'autre, il faut apporter des arguments solides.
Le futur de l’urbanisme est de dégrossir les villes et de répartir la population sur l’ensemble du territoire. L’attractivité de la région va rapidement devenir problématique avec la décroissance énergétique à venir. Il est urgent de créer du social et de l’économique dans toutes les régions de France.
Il n’y a pas de problème de logements en France mais une mauvaise répartition sur le territoire. Nous créons deux fois plus de logements qu’il y a de création de ménages. Je pense que ce chiffre est assez éloquent.
L’aspect écologique et environnemental ne sont pas en reste. Les inondations sont un problème récurrent dans la région. Bétonner d’avantage de surface est contre productif. Toutes les études scientifiques ou de thinks tanks comme le Shift Project ne cessent de le confirmer.
Il est urgent de réagir.
Merci
Nous avons le plaisir de vous remettre notre contribution en pièce jointe de 45 pages argumentées et sourcées.
Le projet de ZAC Saint-Christol, tel qu'il est proposé, suscite de nombreuses critiques, tant du point de vue de la gestion de l’urbanisation que de son impact environnemental. Pour preuve :
- La lettre du Ministre de la Transition Ecologique et de la Cohésion des Territoires reçue par le collectif et favorable à nos analyses.
- L’analyse critique du projet par la MRAE en 2023 et l’avis défavorable du CNPN (Conseil National de la Protection de la Nature)
- Les plus de 4100 signatures recueillies dans la pétition « Stop au projet d’urbanisation Saint Christol de Pézenas »
- Deux réunions publiques sur Pézenas qui ont réuni plus de 650 piscénois.
- L’avis défavorable du Conseil Citoyen pour la Transition Ecologique de Pézenas (a ce jour non prise en compte)
- Tous les témoignages et analyses recueillis et synthétisés dans ce document.
Notre contribution déposée ce jour a deux objectifs :
1 / Demander de compléter l’étude environnementale par une étude sérieuse d’alternative à l’artificialisation de terres agricoles pour être conforme aux directives de la loi "Climat et Résilience"
2 / Exposer l’ensembles des critiques et témoignages recueillis par le collectif sur ce projet vieux de plus de 20 ans
Notre contribution est une synthèse de témoignages et d’analyses sourcées. Les références sont incluses dans chacune des annexes, les liens consultables en fin de document et les photos des inondations de 2019 du quartier Saint Christol.
Votre expertise est attendue par un grand nombre de citoyens et d’associations territoriales pour être argumentée et conforme aux directives
en vigueur
Nous vous invitons à visualiser les deux films réalisés par le collectif sur notre site : https://pourunautreprojetsaintchristol.org/ regroupant témoignages et analyses.
Respectueusement.
Le bureau de l’association
PS : Pour information, une copie de ce document est adressée à notre conseil.
Mais PAS N’IMPORTE COMMENT !
- Pas 655 logements ramassés en une seule zone externalisée
- Pas en sacrifiant une terre historiquement arable de 24 hectares
- Pas s’en s’assurer que la population pourra devenir autonome d’un point de vue alimentaire local.
- Pas sans avoir défini préalablement une stratégie, un plan, un budget voté pour réhabiliter une bonne partie des 700 logements vacants du centre-ville de Pézenas.
- Pas sans être transparents sur les coûts à venir associés à cette augmentation de population : les infrastructures nécessaires à cet accroissement de population brutal, des routes et des chemins à réhabiliter pour leur permettre de rejoindre le centre-ville, de nouveaux parkings car les anciens sont déjà comblés en saison et le samedi
- Pas s’en s’assurer de recevoir dignement des nouveaux habitants avec des places pour les enfants dans les écoles et des accès voitures aux écoles pour les parents, des gendarmes pour assurer la sécurité, des services médicaux et des médecins traitants disponibles, une fluidité de déplacements vers le centre-ville,
- Pas s’en s’assurer qu’il y aura de l’eau pour tout le monde,
- Pas s’en s’assurer que, si Peyne et l’Hérault débordent en même temps, les quartiers bas de la ville ne soient pas inondés,
- Pas s’en prendre en compte les artificialisations qui ont déjà eu lieu ces dernières années.
Bien cordialement
Nous devons utiliser un forage ou un puits, qui par ailleurs est le meilleur thermomètre de toute notre attention sur l’eau disponible.
Donc :
1) ces nouveaux logements seraient raccordés à l’eau et non l’ensemble des riverains plus éloignés ?
2) …pour disposer d’une eau de plus en plus précieuse?
II) À l’inverse, les très grosses pluies se déversent directement sur ce quartier St Christol, avec des écoulements conséquents, puisque situé juste au pied de collines. Les cours d’eau à sec (et donc entretenus plus qu’aléatoirement ) et l’ensemble des bas-côtés des voies de circulation pour l’évacuation (fauchés 1 voire 2 fois par an seulement ) débordent. C’est l’inondation assurée.
Donc, comment des services « compétents » peuvent songer de manière responsable à gérer les conséquences des inondations, qui ne seront qu’accrues par cette bétonisation !?
Messieurs Dames les politiques, élus et autres décideurs, ne voyez-vous pas que ce projet marche sur la tête?
Avec tous mes respects
J'ai consulté en mairie les détails de ce projet : 500 maisons avec des logement sociaux, des espaces verts importants, moins de la moitié des 24ha constructibles... Ce projet semble équilibré.
En tant que citoyenne défenseuse du vivant, je me sens très concernée par le bétonnage des terres et je viens apporter tout mon soutien à l'opposition à cet énième projet d'artificialisation des terres sur notre territoire. Ce projet ne respecte en rien les directives du SCOT et de l'objectif Zéro Artificialisation Nette préconisée par la Loi Climat et Résilience.
De plus, ce projet sur 24 ha me paraît désastreux pour la biodiversité et va détruire de nombreux écosystèmes, sans compter les terres agricoles fertiles et nourricières dont nous avons tant besoin et qu'il va dévaster.
L'imperméabilisation des sols va accentuer le ruissellement des eaux vers des zones sensibles de la ville et le risque d'inondation n'est pas exclue.^La création de nouvelles infrastructures commerciales et routières va entraîner d'énormes émissions de gaz à effet de serre alors que, rappelons-le, les prairies, les arbres et les champs sont des puits de carbone.
Notre département est inscrit par le GIEC dans les zones fortement impactées par le réchauffement climatique et la ressource en eau risque fort d'être un problème majeur dans les années à venir. La raison voudrait donc que tout soit axé sur la réhabilitation de logements vacants -et je crois qu'ils sont nombreux sur Pézenas- plutôt que de bétonner toujours davantage des zones naturelles importantes pour la biodiversité donc pour nous aussi !
Pour rappel, pour ceux qui seraient tenter de se réfugier derrière une "pseudo-compensation" : on ne "compensera" jamais la destruction d'un écosystème existant à l'identique, ce qui est détruit est détruit !
Merci de votre attention.
je souhaite vous faire part de mon avis défavorable concernant le projet prévu dans la zone excentrée de St Christol.
Nous sommes, depuis des années, de plus en plus sensibilisés aux risques de la bétonisation des espaces naturels et agricoles. Les scientifiques l’expliquent, les médias s’en font l’écho, les collectifs citoyens cherchent à agir, les différentes instances de gouvernance essaient d’impulser des politiques pour limiter l’artificialisation des sols comme le reflète le dernier projet gouvernemental, le plan « Zéro artificialisation Nette » ou encore les résultats de la convention citoyenne pour le climat (2020) dont l’une des propositions vise à «Lutter contre l’artificialisation des sols et l’étalement urbain en rendant attractive la vie dans les villes et les villages», votée pour OUI à 99%.
Je suis donc opposée à ce projet car cette artificialisation de l’espace en friche ou cultivé de Saint Christol va donc :
- réduire la SAU.
- empêcher toute reprise agricole de cette zone alors qu’une politique pourrait être soutenue en ce sens. D’autant que de nombreux habitants de Pézenas ont le souci de consommer local et bio ou en agriculture et élevage raisonné. Le marché existe déjà, il est donc réel et pourrait prendre plus d’ampleur si il était soutenu et rendu plus accessible aux classes moyennes et populaires.
- réduire la biodiversité déjà mise à mal dans un département très attractif et très aménagé. Il parait difficile de faire ce choix de construction sans avoir un regard général sur les alentours de Pézenas et remarquer que tous les villages détruisent leur entrée périphérique pour ce type d'aménagements toujours plus grands....
- réduire les possibilités d’écoulement des eaux dans une zone déjà soumise au risque d’inondation.
« Penser global, agissons local » : il est étonnant d’avoir une municipalité qui semble s’ancrer dans un courant, à l’échelle nationale, de protection de l’environnement et qui propose à ses administrés un tel projet….
On pourrait d’ailleurs se questionner sur la valeur de ces débats politiques à l’échelle nationale, européenne et mondiale si à un tout petit niveau (le notre), les arguments de protection environnementale ne prévalent pas…..
Sur le plan de la commune, la création actuelle d’emplois sur Pézenas ne semble pas nécessiter une telle quantité de logements car nous ne sommes pas un bassin d’emplois très créatif.
Au 4ème trimestre 2023, le taux de chômage en France métropolitaine était de 7,3 %, en Occitanie de 8,9 % et dans la zone d’emploi d’Agde-Pézenas de 14,3 %. On n’a donc pas l’impression que c’est le dynamisme économique qui porte une nécessité de construction de logements. (CF : https://www.observatoire-emploi-occitanie.fr/files_pdfs/CC2_202404_B25.pdf)
Il sera donc très probable qu’une grande partie des habitants (hors seniors et gendarmes) devront profiter de l’accès à l’A75 pour aller travailler dans une autre ville. Les migrations pendulaires vont donc augmenter, ainsi que les émissions de CO2 qui semblent, selon les scientifiques, être responsables du réchauffement climatique actuel et des pollutions en général. Nous allons donc sciemment participer et accentuer ce phénomène.
Cette zone de 700 logements aura forcément de nombreux autres impacts :
- en faisant pression sur des voies de communication pour traverser Pézenas et accéder au centre ville ou aux centres commerciaux extérieurs situés à l’opposé de Saint Christol (plutôt ouest, nord ouest).
On ne peut imaginer que les habitants prennent, pour contourner le coeur de ville, l’A75. Si c’est le cas : on augmente alors la distance, la vitesse et la pollution….
En cas de traversée du centre ville, on augmente la pression sur des axes qui ne peuvent être élargis et on multiplie les embouteillages pour une petite ville. Un comble !
Les habitants de Pézenas ont souvent fait le choix de cette ville à taille humaine car elle permet un certain équilibre. Nous faisons le « sacrifice » d’une vie peut-être plus active dans des villes comme Beziers, Montpellier…. Mais nous trouvons plus de calme, un grand confort, une rapidité d’accès aux espaces naturels en périphérie pour se balader, une facilité d’accès à pied ou en vélo pour les services : commerces, administrations, écoles, professionnels médicaux…. L’augmentation de la population, sans élargissement des voies de communication créera forcément des congestions aux heures de pointe.
- impact évident sur les besoins sociaux, au premier chef les places en crèches. Le site de la municipalité annonce (https://www.ville-pezenas.fr/mon-quotidien/petite-enfance/) :
« Accueils collectifs (EAJE)=> une crèche municipale et deux micros crèches
Une crèche municipale qui accueille 33 enfants/jour : les Pitchounets
Une micro crèche qui accueille 12 enfants/jour : les Petits Souliers
Une micro crèche qui accueille 12 enfants/jour : Clémentine et Alexandre »
places dans les écoles et aux Lycées ( le Lycée GT compte déjà plus de mille élèves. Peut-il avoir une augmentation facilement du nombre d’élèves? ) Quelles ont été les prévisions dans ces domaines ? Des créations d’écoles sont-elles prévues à l’heure où la tendance est plutôt aux fermetures ? Les risquess de surcharge des effectifs ont-ils été pensés ?….
- impact sur l’emploi.
Certains notent que cela dynamisera le secteur de la construction. A l'échelle départementale peut-être (?), mais il parait peu probable que les entreprises choisies pour les aménagements soient de Pézenas....
Plus d’habitants amènera forcément des besoins croissants en centres commerciaux. Certains y sont favorables et pensent encore "que cela dynamisera Pézenas" ?…..
A quel prix ?
Comment ne pas déjà interpréter que ce projet Saint Christol n’est pas le début d’une extension de l’urbanisation vers l’Est de la ville et finalement une croissance continue de l’étalement urbain.
La description du projet p 13 semble d'ailleurs l’indiquer lorsqu’elle note : « Le projet de création du quartier Saint-Christol tire son appellation du domaine de même nom situé en son cœur. Il convient de préciser, toutefois, que ledit domaine est exclu de l’emprise du projet et pourra faire l’objet d’une opération spécifique ultérieurement (….) les premières intentions du programme ont été dessinées, en répondant aux questions suivantes . »
La municipalité met donc une première pierre dans ce qui pourrait apparaître comme un étalement futur plus important.
Si les créations d’emplois ne pré-existent pas et ne légitiment pas ce projet ( pas d’usines installées, pas de centres de production, de recherches, d’exploitations agricoles crées en amont….), les emplois crées feront suite à l’implantation de nouveaux habitants. C’est donc uniquement, le secteur des services, induits par la présence même de nouveaux consommateurs plus nombreux qui se développera….
Les artisans locaux pourront être bénéficiaires.
Pour la santé, les déserts médicaux en France montrent qu’il ne sera pas forcément facile d’avoir une couverture qui couvre les besoins, surtout en augmentant la population de seniors.
Sur le plan systémique : renforcer le tertiaire lié à la consommation et au tourisme, fera encore exploser les flux. Nous allons donc aggraver le cercle vicieux d’une croissance fondée sur les déplacements de personnes et de marchandises pour des produits qui, en plus, pour la majorité seront venus de Chine…. Nous créons donc une logique de croissance qui s’oppose à la logique d’un développement plus régulé et plus responsable que la taille de Pézenas nous permettrait d’avoir.
Pézenas augmentera encore sa dépendance à l’extérieur et à la consommation, sans production in situ… Un choix économique dérivé des 30 Glorieuses et de sa nouvelle forme depuis les crises des années 90-2000.... pas forcément judicieux.
A LIRE : l’étude de Jérôme FOURQUER dans ce domaine : « L’État-guichet, un modèle à bout de souffle dans une France qui a cessé de produire » Le Figaro, 12 mai 2024.
« Tout se passe comme si le modèle économique qui s'était progressivement mis en place dans le pays depuis une quarantaine d'années arrivait aujourd'hui en bout de course et
avait conduit à une impasse. Ce modèle que nous qualifierons d'étato-consumériste ou de stato-consumériste, a résulté de choix collectifs et politiques qui ont été effectués avec constance par les différentes majorités politiques qui se sont succédé au pouvoir. Ce modèle stato-consumériste repose sur deux postulats et piliers que sont, d'une part, l'extension permanente de la dépense et de la sphère publiques (financée par un niveau de prélèvements obligatoires le plus élevé de l'OCDE) et, d'autre part, le primat accordé à la consommation comme principal moteur économique, au détriment de la production. »
On est en plein dans ce schéma : "booster" de façon artificielle et externe le développement économique de Pézenas en faisant venir des gens qui ne travaillent pas sur Pézernas. Mais, plus de besoins créés, demandera plus de services, donc plus de travailleurs, donc plus de nouveaux logements ou plus de migrations pendulaires.
Bref, une spirale... ultra polluante sans aucune production locale de richesse.
La dépendance à l'heure où nous devons réfléchir à l'usage des énergies fossiles...
Dernier point et sans doute pas le moins important : lorsque cette équipe municipale avait fait campagne contre l’ancienne majorité qui portait ce projet, elle s’était engagée à y mettre fin.
L’engagement politique a un sens….
Je suis donc opposée à ce projet porté par la municipalité actuelle et soutient au contraire celui porté par l’association « Pour un autre projet Saint Christol ». La jeune génération doit pouvoir se dire que la protection de l’environnement n’est pas que du discours politicien pour conquérir des fonctions, que des projets alternatifs et locaux sont possibles et réalisables.
Je suis aussi favorable à un référendum local pour donner la parole aux Piscenois.
“Étudiez comment une
société utilise son sol et vous
pourrez tirer des conclusions
assez fiables sur ce que sera
son avenir.“ Ernest Friedrich Schumacher
https://www.urbanisme-puca.gouv.fr/IMG/pdf/livret_phase_1_final_v2.pdf
Respectueusement.
Depuis la conception de ce projet, chacun sait que le monde a totalement changé !!!
Ne pas en tenir compte en reconsidérant totalement ce projet de A à Z jusqu'à envisager de l'annuler serait suicidaire de la part des décideurs.
Bien cordialement.
Comment cautionner un tel projet prévoyant des centaines de nouvelles habitations à construire alors que le centre de la Ville de Pézenas à proximité immédiate compte tout autant d'immeubles déjà construits et ... inoccupés ?
Dès que les possibilités de logement dans la Ville commenceront à s'épuiser, il sera alors temps d'envisager un tel projet.
Cordialement.
A l'heure ou la société dans son ensemble prône la non-artificialisation des sols, ce projet est inadmissible .
J'ai consulté en mairie les détails de ce projet : 500 maisons avec des logement sociaux, des espaces verts importants, moins de la moitié des 24ha constructibles... Ce projet semble équilibré.
Je suis favorable à l'une opération d’aménagement du futur quartier Saint-Christol sur la commune de Pézenas.
En stérilisant les sols, nous perdons l'équivalent de la superficie d'un département tous les 7 à 8 ans. Rajoutons la perte de centaines d'hectares de terres arables pour le tracé du TGV Montpellier-Perpignan.
A cela se rajouterait la stérilisation de 24 hectares de terre pour un projet immobilier obsolète à St Christol.
Risques de pénurie d'eau potable
Je suis opposé à ce projet qui empêche totalement la percolation des eaux de pluies permettant l'alimentation des nappes phréatiques entre autres.
Merci.
Jean-François Buono
Bien à vous.
Ylhame
L’arrivée d’un nouveau quartier résidentiel, comme celui de Saint Christol à Pézenas, apportera des bénéfices significatifs à la ville et à ses habitants.
Ce projet répond à des enjeux essentiels pour Pézenas, liés à la démographie, à l’économie locale, à la gestion des infrastructures et aux défis réglementaires actuels.
A. Plusieurs aspects positifs peuvent être mis en avant :
1. Dynamisme économique accru et opportunités d’emploi
Le quartier de Saint Christol créera des opportunités économiques pour les entreprises locales. En générant des emplois dans les secteurs de la construction et des services, le projet apportera une dynamique économique positive à Pézenas. À terme, l’augmentation de la population viendra soutenir l’activité des commerces de proximité, les entreprises de service et des artisans locaux, renforçant ainsi la vitalité économique de la ville.
2. Correction des problématiques liées aux infrastructures et à l’inondation
Le projet s’inscrit dans une zone pavillonnaire mitée, construite sans cohésion d’ensemble et dépourvue des réseaux publics essentiels :eau potable et assainissement.
Le projet permettra de moderniser les infrastructures publiques. La mise à niveau des réseaux d’eau potable, d’assainissement et de gestion du ruissellement améliorera les problèmes d’inondation rencontré dans cette partie de la ville. La conception du quartier intègre des dispositifs modernes de gestion des eaux pluviales et d’adaptation aux aléas climatiques, contribuant à protéger à long terme les habitants et les infrastructures.
3. Attractivité renforcée pour de nouveaux habitants et de jeunes ménages
L’arrivée de ce nouveau quartier rendra Pézenas encore plus attractive pour les familles et les jeunes actifs à la recherche d'un cadre de vie agréable, à proximité des grandes agglomérations tout en bénéficiant d'un environnement calme. Cela permet d’éviter la gentrification, le vieillissement de la population et de maintenir une population diversifiée dans la ville.
4. Amélioration du cadre social
L’installation de nouvelles familles renforcera la mixité sociale. Cela créera une dynamique plus vivante dans les espaces publics, favorisant les échanges entre anciens et nouveaux habitants, ce qui enrichit la vie sociale et culturelle de Pézenas. Les associations locales bénéficieront également d’une augmentation du nombre d'adhérents et de participants à leurs activités.
5. Opportunités pour des logements durables et accessibles
Ce projet résidentiel promeut une offre de logements variée, incluant des solutions abordables pour les jeunes ménages, tout en intégrant des critères de durabilité. Cela permettrait d’offrir une meilleure accessibilité au logement tout en encourageant des pratiques de construction éco-responsables, ce qui est en phase avec les enjeux environnementaux actuels.
6. Réponse à une demande forte d’installation de jeunes familles
Le nouveau quartier résidentiel de Saint Christol répond à une demande croissante de logements pour les jeunes familles. Pézenas fait face à une pression démographique, avec de nombreuses familles cherchant à s’installer dans la région. Ce projet offre des logements à des prix maîtrisés, permettant ainsi de répondre aux besoins de la population tout en évitant la spéculation foncière. L’objectif est de proposer des habitations accessibles sans compromettre l’équilibre du marché immobilier.
7. Stabilité du nombre d’enfants dans les écoles
L’installation de jeunes familles permettra de maintenir une stabilité, voire une augmentation, du nombre d’enfants dans les écoles locales. Cela est essentiel pour éviter la fermeture de classes et garantir une continuité dans l’offre éducative. Une population jeune favorise également la vitalité des infrastructures communautaires, telles que les centres de loisirs, et encourage le développement de nouvelles activités culturelles et sportives.
8. Maîtrise du coût du foncier et lutte contre la spéculation foncière
En parallèle, le nouveau quartier Saint Christol permet de maîtriser le coût du foncier. En augmentant l’offre de logements, la ville réduit les risques de spéculation qui pourraient rendre l’accès au logement encore plus difficile pour les jeunes familles. Ce contrôle est essentiel pour garantir un marché immobilier équilibré et éviter une flambée des prix, comme cela a pu être observé dans d’autres zones urbaines.
B. Les freins futurs du développement démographique de PEZENAS
1. L’illusion de la création d’une offre de logement par la restauration des bâtiments anciens en centre-ville
Il serait illusoire de penser que le développement démographique de la ville passe par la restauration des bâtiments anciens en cœur de ville.
Plusieurs obstacles majeurs limitent cette possibilité, à court terme, voir à moyen termes, de répondre à la demande de logements accessibles que ce soit en propriété ou en location :
• Inertie des propriétaires : De nombreux propriétaires sont réticents à rénover ou à mettre en location leurs biens, notamment en raison des contraintes réglementaires, financières ou administratives. La situation de gestion en copropriété de nombreux immeubles renforce l’inertie des décisions
• Coût élevé de la mise à niveau : La rénovation des logements anciens est souvent coûteuse, en particulier pour répondre aux normes actuelles de performance énergétique, ce qui limite leur accessibilité pour les jeunes familles.
• Contraintes du secteur patrimonial protégé : Le centre historique de Pézenas est soumis à des règles strictes de protection patrimoniale, rendant les rénovations complexes et souvent onéreuses.
• Inadéquation du PLU (Plan Local d’Urbanisme) : Le PLU actuel impose, pour chaque logement créé, l’obligation de prévoir des places de stationnement. Dans le centre ancien, il est difficile, voire impossible, de répondre à cette exigence, freinant ainsi tout projet de réhabilitation significative.
2. Zéro artificialisation nette (ZAN) et futur du développement urbain
Le projet de Saint Christol doit également être compris dans le cadre des réglementations futures sur la limitation de l’artificialisation des sols. Avec l’objectif de « zéro artificialisation nette » (ZAN) à l’horizon 2050, le développement urbain sera freiné, voire drastiquement limité. Cela rend d’autant plus précieux ce type de projets qui, en s’inscrivant dans une gestion raisonnée du foncier, anticipent ces évolutions tout en répondant aux besoins actuels de logements. Le quartier Saint Christol représente une solution immédiate et durable avant que ces nouvelles réglementations ne viennent restreindre les possibilités de développement futur.
Conclusion
L’arrivée du quartier résidentiel de Saint Christol à Pézenas s’inscrit donc comme une opportunité à saisir pour dynamiser la ville. C’est une réponse concrète aux besoins démographiques, économiques et environnementaux actuels de la ville. Ce quartier représente ainsi une opportunité clé pour la vitalité économique, sociale et environnementale de Pézenas.
En évitant les écueils liés à la reprise des logements anciens, en maîtrisant le coût du foncier, avec une planification adéquate, des infrastructures adaptées, en respectant les enjeux environnementaux, ce projet pourrait devenir un modèle de croissance équilibrée et harmonieuse pour la région.
Nos enfants pourront, enfin, s’installer et vivre dans notre si belle cité.
Le quartier SAINT CHRISTOL s’inscrit dans une démarche de développement raisonné et durable.
N’en déplaise aux détracteurs qui devraient lire avec soin l’Etude d’impact jointe au dossier.
Mais la raison, le savoir ne semblent pas être les priorités de ces personnes qui sont contres parce que…
Qu’elles aillent, donc, expliquer aux 800 familles en attente d’un logement social sur PEZENAS leur déplorable postulat.
Qu’elles aillent également expliquer aux jeunes ménages désireux de devenir propriétaires sur PEZENAS à des prix maitrisés, d’aller s’installer ailleurs, loin de leurs parents et grands-parents.
Qu’elles continuent à insinuer une démarche capitaliste comme objectif alors qu’au contraire ce projet associe la mission de service public aux principes de l’économie de marché.
Cette opération répond à toutes les exigences liées à la création d’un quartier et de logements au 21ème siècle.
Une chose encore, de 2014 à 2019 ,il s’est construit sur PEZENAS 25 logements, soit 3 logements pour 1000 habitants.
SAINT CHRISTOL est un nouveau quartier de PEZENAS, respectueux de son identité, de son histoire et de son avenir.
Je suis FAVORABLE au projet.
Philippe ROCH
I- Argumentaire sol agricole.
II- II- Argumentaire sur la base de l’analyse contradictoire du SCOT du Biterrois
III- III- Argumentaire écologique-préservation de la biodiversité.
IV- IV- Argumentaire : la gestion de la ressource en eau dans le secteur de St Christol-les possibilités d’exploitation de la nappe jurassique profonde pour un objectif agricole (irrigation et chauffage de serres).
V- V- Argumentaire La gestion des risques d’inondation
I/- Le sol agricole de la zone de St Christol Pézenas est installé sur une péninsule de terres de qualité agronomique médiocres, issues de l’évolution en surface de dépôts marins du miocène. Cette péninsule peu valorisable en agriculture s’avance dans un espace fluviatile aux caractéristiques plus fertiles. Doc1 : Extrait de la carte géologique BRGM feuille de Pézenas L’enjeu de la localisation des terres arables, garantes de notre avenir alimentaire, est de préserver de la stérilisation les espaces à haut potentiel agricole. Ce potentiel est certifié de deux manières. La première est empirique et s’appuie sur l’expérience acquise au cours des siècles par celles et ceux qui nous ont précédé. Ici c’est le savoir faire des jardiniers de la ville. Là où ils ont implanté les jardins la terre est fertile : arable et irrigable. La seconde est scientifique. Elle s’appuie sur des analyses agronomiques faites par des gens dont la compétence est reconnue. La carte des sols identifie chaque structure et caractérise le potentiel agronomique des sols de France. C’est un outil libre d’accès, notamment via « Géoportail ». A la lumière de ces données, qui sont vérifiables par tout citoyen, on peut visualiser que l’implantation du futur quartier recoupe deux sols d’intérêts majeurs en matière de potentiel agricole.
Le potentiel agronomique du secteur de St Christol : - A l’Ouest le projet déborde sur les zones de terrasse récentes de Peyne-Tartuguier qui sont les zones des jardins maraichers de la ville. Doc2 : Extrait de la carte d’Etat Major de 1866 montrant le parcellaire des jardins vivriers exploités dans ce secteur de la ville à cette époque. Les Terres alluvionnaires sont enrichies par les limons des crues et un réseau de norias, de puits et d’aqueducs assainit et organise l’irrigation depuis au moins le XIVème siècle
SCOT DU Biterrois
Orientation B5 : Sécuriser l’alimentation en eau potable et économiser la ressource Objectif B5.4 : Engager une réflexion territoriale sur les ressources alternatives pour l’alimentation en eau potable du futur En l’état, si aucun changement sur l’existant n’est opéré, les ressources exploitées pour l’eau potable ne subviendront pas aux besoins à l’horizon 2030-2040 » Page 44 du DOO. Le constat est clairement établi. Certaines communes, dont celle de Caux, située à moins de 10km au Nord de Pézenas, ont vu leurs projets d’urbanisation bloqués faute d’une ressource en eau suffisante. Le projet de St Christol va générer l’implantation de plus de 1500 résidents nouveaux. Dans son objectif antérieur le SCOT précise : Objectif B5.2 : Conditionner les nouveaux projets d’aménagement à la disponibilité des ressources en eau. Le SCoT s’assure que le développement démographique reste compatible avec les capacités d’approvisionnement en eau potable ; l’objectif est de ne pas porter atteinte à la ressource disponible en quantité et en qualité, en adaptant au mieux les objectifs de développement aux capacités d’alimentation en eau potable existantes. Les collectivités devront justifier de la capacité d’alimentation en eau potable au sein des documents d’urbanisme locaux (PLU, PLUi) et des politiques de développement local en lien avec les services publics compétents et les SAGE. Dans les secteurs déficitaires, les collectivités doivent : ▶ Justifier de la disponibilité des ressources en eau potable nécessaires pour toute demande d’urbanisation. Dans son rapport d’étude 2018 de l’exploitation de la ressource géothermale pour alimenter et chauffer le nouveau quartier de St Christol, le BRGM prend pour consommation de base 128m3/h /an. Le programme St Christol présenté par la SEMOP comporte 655 logements (de diverses natures). Vu le taux d’occupation par foyer qui est en moyenne de 2.3 dans le secteur (Sources INSEE 2019), la nouvelle population devrait s’élever aux alentours de 1500 habitants. Le besoin en eau d’alimentation domestique moyen serait vers 192 000 m3/an.
A cette consommation il faut ajouter l’eau d’arrosage (collectif et privé) et celle des piscines individuelles : -D’après les données disponibles sur les sites officiels, en France la moyenne des piscines est de dimension 32m2 (8X4mètres). Ce type de piscine nécessite 48 m3 d’eau au remplissage puis un renouvellement au 1/3 par an: soit une consommation de 64 m3 d’eau par an, dans les conditions climatiques actuelles. Le programme foncier prévoit 230 terrains à bâtir. Dans le midi le taux moyen d’équipement en piscine avoisine les 40%. On peut donc compter sur l’installation de 92 piscines et une consommation annuelle majorée de quelques 6 000 m3 d’eau par an. -Le niveau d’arrosage annuel moyen est évalué à 2 000litres (2m3) d’eau pour un jardin de 100 m2. Le programme privé prévoit 230 terrains à bâtir pour une superficie globale de 33 815 m2. Vu le coefficient de construction, ce sont quelques 20 000 m2 privés qu’il faudra arroser en jardin : soit une consommation de 400 m3 d’eau dans les conditions climatiques actuelles et pour un jardin déjà établi (les premières années d’arrosage sont plus consommatrices et le mode d’irrigation influe fortement sur le rendement et donc la consommation). Ces estimations ne se basent que sur le volet privatif. La consommation d’eau pour l’arrosage public, pour les espaces non résidentiels, n’est pas intégrée ici. On avoisine au final un besoin moyen en eau de 200 000 m3/an pour le volet privatif du quartier de St Christol. A titre de comparaison, le rapport de la régie de l’eau de la CAHM de 2021 indique que le volume d’eau distribué dans le réseau de la ville de Pézenas pour 2021 était de 992 183 m3 d’eau. Le volume d’eau nécessaire au quartier de St Christol représente donc une hausse de près de 20% ▶ Accorder une priorité à l’économie d’eau (amélioration rendements) : A ce titre les travaux de rénovation du réseau sont toujours en cours à Pézenas.
Le SCOT fixe comme objectif d’atteindre le taux de rendement de 75% en zone rurale et de 85 % en zone urbaine (objectif B5.3 du DOO P44). Les données publiées par la régie de d’eau de la CAHM pour 2021 mentionnent un taux de rendement du réseau de Pézenas à hauteur de 65%, soit 10 points en dessous de l’objectif que fixe le SCOT (puisqu’il semble que Pézenas soit considérée comme commune rurale) pour autoriser un projet foncier sur une commune au regard des objectifs de la gestion de la ressource en eau. Dans sa décision de dispense d’évaluation environnementale édité en 2022, la mission régionale d’autorité environnementale d’Occitanie motive la dispense au vu du vu fait que la commune de Pézenas a bien « attesté après une étude fondée sur des données quantitatives, l’adéquation aux besoins de la ressource en eau potable de la commune ». Elle précise en note de bas de page : « La ville a complété le dossier approuvé par une note de calcul datant de juin 2021 et d’une attestation en date du 31 août 2021rédigées et signée par les représentants de la CAHM (gestionnaire du réseau Eau Potable et Eaux Usées). Le programme d’investissement (période de 2018 à 2023) devrait permettre l’atteinte d’un seuil de rendement de 75% à l’échéance 2023 avec une économie d’eau prévue de 161 063 m3/an ». En tant que tel le volume issu de l’économie par réparation des réseaux est du « même ordre » de grandeur que la consommation d’eau par le secteur privatif du futur quartier de St Christol. La création d’un réseau neuf sur le quartier de St Christol va aider à faire augmenter la moyenne de rendement du réseau. Il est nécessaire de poursuivre l’effort de modernisation de l’ancien réseau afin de na plus gaspiller un tel volume, et d’augmenter le rendement bien au-delà des 75% prévus par le cadre réglementaire. De fait, formulé ainsi, il semble qu’il ne s’agisse pas tant d’une adéquation du niveau de la ressource en eau à pomper dans la nappe de l’Hérault au regard de la consommation future mais d’une réduction des pertes sur les réseaux qui prélèvent et distribuent cette même ressource : il ne s’agit donc pas d’un calcul sur la ressource en elle-même. Ce biais de représentation des choses n’intègre pas non plus la totalité des expansions urbaines que les autres communes de la vallée de l’Hérault sont en train d’intégrer dans leurs modifications de PLU. La MRAe s’inquiète d’ailleurs, dossier après dossier, du niveau d’adéquation avec la ressource en eau suite aux projets d’urbanisation de Nézignan-l’Evêque, de celui de Roujan et bien d’autres communes. Ces demandes d’évaluation sont aussi couplées avec des demandes d’études sur la perte de sols agricoles. Mais à s’interroger commune par commune, on se doute bien qu’au niveau global l’effet sur l’aquifère qui alimente ces communes va subir une hausse des prélèvements qui va mettre fausser les calculs d’adéquation qui ont été faits à l’instant T pour pouvoir obtenir un avis positif. De plus, le calcul a été effectué sur la base de niveau de nappes aux conditions climatiques antérieures aux sécheresses enregistrées depuis l’été 2022. Le changement climatique s’accélère de manière plus importante en contexte méditerranéen que partout ailleurs sur la planète. Des données du GIEC sont, à ce titre, probantes : « En Méditerranée, le changement climatique sera l’un des plus radicaux au monde. Ce fait est établi avec un haut niveau de certitude. Tous les types de phénomènes y sont en changement : vagues de chaleur, de froid, inondations, pluies extrêmes, sécheresses, risques de feu, baisse des vents moyens, augmentation des cyclones méditerranéens, phénomènes côtiers… » extrait du rapport du Giec du 9 Août 2021. La nappe du fleuve mesurée sur le secteur de Pézenas se maintient à un niveau d’alerte renforcé depuis le 28 juillet 2022. Aucune recharge de nappe n’est venue alimenter la ressource ni en automne 2022 ni en hiver 2023. Les évaluations doivent donc intégrer l’évolution démographique globale ainsi que le volet climatique, car les nouveaux résidents vont s’installer pour des décennies. L’état de la ressource en eau va se raréfier alors même que les besoins, eux, seront augmentés de manière pérenne. ▶ Rechercher la sécurisation de la ressource (nouvelle ressource, interconnexions, protection des zones d’alimentation potentielles complémentaires). Le SCoT fixe comme objectif la réalisation ou l’actualisation de schémas directeurs d’alimentation en eau potable à l’occasion de toute révision des documents d’urbanisme communaux. L’étude du BRGM 2018 étudie le couplage de l’alimentation de St Christol en eau potable à un chauffage par géothermie en utilisant la ressource d’eau chaude situées à 1000 mètres de profondeur. Il n’a pas été présentée par le projet porté par la SEMOP. La ressource en eau envisagée est donc toujours celle de la nappe alluviale du fleuve, dans les conditions d’épuisement que l’on connait et soumise à divers projets de prélèvements futurs, dont celui du golf de Lavagnac (Commune de Montagnac). Autre projet en total décalage avec les objectifs du SCOT lui-même. En date du 28/02/2023, l’état de recharge des nappes phréatiques est largement déficitaire alors que nous sommes en pleine période de recharge hivernale. Il manque 200 mm d’eau par rapport à la moyenne et les nappes sont à un niveau de mois de Mai/juin. Les autorités nationales envisagent un nouveau plan « eau » d’ampleur nationale. Ce sera le 3ème plan national depuis 2010. Nous ne sommes plus dans une phase d’observation et de recherche pour trouver de nouvelles ressources mais dans une phase d’adaptation de nos sociétés à une réalité qui a changé nos conditions de vie. La notion de finitude des ressources dans un contexte d’aridification dû au changement climatique n’est pas intégrée dans les projets qui sont portés par les élus qui sont dans une démarche de résilience et non dans une démarche de sobriété. Dans la logique de la gestion de la ressource en eau, le SCOT aborde ensuite le volet du traitement des eaux usées. Outre la problématique du réseau de traitement individuel dans le cadre non collectif, le réseau collectif doit répondre aux objectifs de l’orientation B7 suivante
Orientation B7 : Participer à la limitation des pressions polluantes pour préserver les milieux naturels – Maitriser l’impact des activités humaines sur les milieux aquatiques Objectif B7.1 : Maîtriser l’impact de l’urbanisation et de ses rejets dans les milieux aquatiques Les eaux usées et les eaux pluviales doivent faire l’objet d’un traitement respectueux des objectifs d’atteinte du bon état des masses d’eau en recherchant le meilleur compromis technique, environnemental et économique. En complément du respect des objectifs de qualité des rejets fixés par les lois et règlements, des dispositions particulières peuvent s’avérer nécessaires pour la prise en compte d’enjeux locaux : zones protégées telles les captages AEP, réservoirs de biodiversité, zones humides, zones à risques d’infiltration, usages de loisirs, etc. Le Scot fixe comme objectif la réalisation ou l’actualisation de schémas directeurs de gestion des eaux pluviales et la réalisation d’un zonage d’assainissement pluvial à l’occasion de toute révision des documents d’urbanisme communaux. Le schéma traitera à la fois des risques d'inondation et des risques de pollution. Les documents devront comporter une évaluation des flux de polluants apportés par les eaux de ruissellement et les moyens pour réduire ces flux, si les objectifs de bon état ne sont pas respectés. Le problème de l’urbanisation de St Christol est que ce nouveau quartier est implanté sur le versant Est de la Peyne alors que la station d’épuration communale est implantée, quant à elle, sur le versant Ouest. C’est donc tout un système d’adduction qui doit collecter le pluvial, pouvant être pollué lors de sa traversée du quartier, et qui doit franchir le rivière Peyne. A moins de construire une nouvelle station d’épuration en lien avec le futur quartier. L’ouverture à l’urbanisation des sites de développement urbain sera envisagée sous réserve des capacités suffisantes de traitement des eaux usées. Une bonne adéquation sera assurée entre l’ouverture à l’urbanisation d’un nouveau quartier résidentiel ou d’activités et la capacité de la station d’épuration à traiter les effluents supplémentaires correspondants. La station d’épuration de la commune de Pézenas a été construite pour une capacité nominale de 31 850 habitants. Depuis 2015, elle reçoit les eaux usées de Caux et de Tourbes. La dynamique démographique a porté le nombre d’habitants à 8 000 pour Pézenas (2021), 2 537 pour Caux (2021) et 1826 pour Tourbes (2022) : soit 12 363 habitants. Il existe donc une marge opérationnelle en termes de volumes à traiter. Par contre, tout comme le pluvial, le raccordement du futur quartier de St Christol à la station d’épuration communale ne peut se faire sans un important investissement dans la réalisation d’un réseau traversant la rivière Peyne. Ou bien en construisant une nouvelle station d’épuration (sur quels terrains ? aux frais de qui ?).
I- Le quartier St Christol et les enjeux de la gestion des terres arables: Dans ses objectifs de limitation de l’impact de l’urbanisation sur les terres agricoles actuelles ou à potentiel agricole futur, plusieurs objectifs du SCOT entrent en contradiction avec la création d’un nouveau quartier d’urbanisation à St Christol : Orientation B8 : Lutter contre la consommation d’espaces agricoles et naturels Objectif B8.1 : Prioriser et optimiser les espaces au sein de l’enveloppe urbaine Avant tout nouvel aménagement, quelle que soit sa vocation, le principe d’optimisation foncière dans l’espace constituant l’enveloppe urbaine doit être appliqué. Pour la production de logement : Les communes, à travers leur document d’urbanisme doivent analyser la capacité de densification et de mutation dans l’enveloppe urbaine existante (hors enclaves agricoles ou naturelles). Les sources INSEE 2019 recensent sur Pézenas 695 logements vacants. Le programme du quartier de St Christol en prévoie 655. Certes, tous les logements vacants recensés ne correspondent pas aux critères d’habitabilité recherchés dans les conditions de vie actuelle et nombre d’entre eux devraient subir des adaptations pour permettre une mise aux normes. Mais cette donnée montre que, dans le cadre d’un plan urbain volontariste, en opérant les transformations du cadre urbain lui-même, et en permettant l’adaptation des logements, on peut accueillir des populations nouvelles sans étaler l’urbanisme en secteur rural. Par ailleurs, la majorité des implantations de logements neufs se fait, depuis plus de 15 ans, en secteur Ouest et Sud/Ouest de la ville. C’est d’ailleurs le secteur de développement des zones commerciales. Or le quartier de St Christol est positionné en secteur Est, totalement à l’opposé du secteur d’activité. Outre que le secteur Est a conservé un caractère paysager rural en entrée de ville, caractère paysager qui sera sacrifié, l’implantation de ST Christol est un contre-sens total au niveau de l’urbanisme et des équilibres en termes de circulation dans la ville. Il existe encore dans le secteur Ouest et Sud/Ouest de la ville des terrains à vendre, des demeures agricoles abandonnées, qui peuvent faire l’objet de mises en lotissement ou en programmes de constructions sur 2 étages. Des solutions existent donc, en l’état actuel de la ressource foncière, dans le cadre urbain actuel. Doivent être identifiés les secteurs déjà artificialisés qui n’engendrent pas de consommation d’espaces agricoles et naturels : les « dents creuses », friches urbaines et espaces désaffectés ou tout autre espace pouvant faire l’objet d’une densification, par exemple en opération de démolition/reconstruction, possibilité de division parcellaire. Le secteur Sud et Sud/Ouest de l’espace urbain de Pézenas connait un développement et une mutation accélérée. Des espaces de domaines autrefois viticoles, des jardins, des locaux commerciaux ou industriels, sont réaménagés en zones de résidences. Cette mutation, couplée à nombre de logements vacants déjà localisés en centre-ville, offrent des opportunités d’accueil de populations nouvelles. En 2022, la commune de Lézignan-la-Cèbe, voisine à l’Est de celle de Pézenas, comportait 1587 habitants (sources INSEE). Toutes proportions gardées, le projet de ST Christol correspond donc à un projet de type « ville nouvelle » des années 1960, avec son ilôt principal initial, puis, secondairement, son expansion périphérique qui ne manquera pas de s’étendre dans une dynamique centrifuge vers les collines qui surplombent le quartier, quoiqu’en disent les « promesses » de maîtrise du PLU qui n’ont jamais évité le mitage urbain ni la cabanisation en domaine rural. Objectif B8.2 : Principes de continuité et de compacité de l’urbanisation Le développement urbain doit éviter le morcellement de l’urbanisation et le mitage des secteurs non encore urbanisés. Les zones d’urbanisation futures doivent être positionnées en continuité du tissu urbain existant. Afin de lutter contre l’étirement de l’enveloppe urbaine, notamment le long des axes de communication : ▶ Les documents locaux d’urbanisme doivent positionner les zones d’urbanisation futures de façon à maximiser le linéaire de leur périmètre en continuité avec des zones U ou AU ouvertes ; ▶ Pourront être prises en compte les contraintes topographiques, les zones de risques ou de servitudes, les nuisances générées par certains types d’occupations du sol (activités bruyantes, polluantes…), la valeur écologique ou agronomique. La seule opportunité foncière ne pourra pas être retenue comme une justification acceptable; Or c’est bien le cas sur le projet de St Christol ! C’est l’opportunité foncière qui a déterminé le lancement d’une opération d’acquisitions de terres qui sont situées en rupture totale avec le tissu urbain existant. Le quartier est coupé de la ville par la vallée inondable de la rivière Peyne. Un seul pont, avec une circulation sur deux voies, permet le lien avec la ville. ▶ Un aménagement de quartiers structurés et mieux articulés avec l’urbanisation existante doit être envisagé en priorité. L’urbanisation par juxtaposition successive d’opérations le long des axes routiers doit être évitée. Le seul axe de communication calibré pour recevoir un flux de véhicules entre le quartier et la ville est la nationale. Et ce quartier sera justement « le long du seul axe de communication » possible. Ce projet cumule donc toutes les recommandations que le SCOT demande d’éviter. Il en découle que ce projet est, au titre des recommandations d’urbanisme du SCOT lui-même « non acceptable ». Objectif B8.3 : Préserver les espaces productifs (viticoles, agricoles) de l’urbanisation Le SCoT accorde une grande importance au maintien et la préservation des espaces viticoles et agricoles du territoire, tels que les espaces productifs (maintenir ou rétablir le potentiel de production agricole perdu). Dans cette optique, les documents d’urbanisme locaux s’attacheront à : ▶ Intégrer une réflexion relative à la séquence « Eviter Réduire Compenser » appliquée à l’agriculture afin de limiter la consommation d’espace agricole et de limiter ainsi l’impact sur les filières agricoles. Il s’agit en premier lieu de chercher à éviter l’impact sur l’agriculture en positionnant les projets de développement, d’aménagement en dehors des secteurs à enjeu agricole. S’il est démontré que l’évitement est impossible, il s’agit en deuxième lieu de chercher à réduire les effets du projet sur la filière agricole, en cherchant des solutions dans la conception du projet. Si l’impact du projet sur les filières agricoles ne peut ni être évité, ni réduit, les filières impactées et donc à compenser peuvent être définies. Les projets soumis à étude préalable agricole (projets remplissant les conditions édictées par le décret du 31 août 2016) se chargeront de définir précisément les pistes de compensation. ▶ Prioriser l'extension de l’urbanisation sur les espaces agricoles présentant les valeurs agronomiques les plus faibles Le projet de St Christol est localisé sur des terrasses alluviales anciennes du pleistocène moyen. Le secteur Ouest de la zone (plaine de Peyne et Tartuguier) fait partie d’une zone dans laquelle se sont étendus les jardins vivriers de la ville. La terre y est plus sableuse et irriguée par un réseau de canaux souterrains reliés à des norias. Ce système assurait une double fonction de drain et d’irrigation en surface. Le secteur Est de la zone est une zone géologiquement caractérisée par des dépôts alluviaux du pléistocène moyen déposés en discordance sur des sables et argiles marines miocène. Cette dualité stratigraphique confère à ce secteur un rôle de captation des eaux venues des collines qui surplombent St Christol. Ces eaux drainées en surface par le miocène imperméable sont entrainées ensuite, en contrebas des collines, en profondeur, dans l’épaisseur des alluvions anciennes (où alternent les sables et les graviers-galets transportés par le fleuve). Ce contexte de drain et de captation joue un rôle de mise en réserve de l’eau. Situé dans les limites de l’AOP viticole Pézenas, ce type de terrain comporte un potentiel certain pour développer cette viticulture de qualité. Le secteur de St Christol bénéficie donc d’un double potentiel : maraichage à l’Ouest, arboriculture et viticulture à l’Est. ▶ Eviter l’urbanisation des espaces faisant l’objet de périmètres d’appellations Nous sommes dans l’AOP Pézenas Les documents d’urbanisme doivent réaliser un diagnostic agricole leur permettant d’identifier les espaces agricoles, en particulier les espaces agricoles à forts enjeux à préserver durablement. Les friches agricoles sont analysées au même titre que ces espaces cultivés comme réservoir de développement d’activité. La donnée d’occupation du sol permet une analyse diachronique depuis 2001. Nous n’avons pas été destinataires, à titre informatif, de ce genre de diagnostic dans le cadre du projet d’urbanisation. La carte des sols indique que le potentiel agronomique de ce sol est bon. Il est repéré dans la catégorie des « sols évolués » sous la dénomination de « fersiasol ». Actuellement altéré par une pratique agricole intensive et peu respectueuse de la vie microbienne, ce type de substrat peut rapidement, dans le cadre d’un autre mode cultural, donner un sol très intéressant car il a une bonne capacité à retenir et à échanger la ressource en eau ainsi que les éléments minéraux nutritifs. Cette double efficience sera des plus utiles dans le cadre d’une agriculture qui aura à s’adapter à un contexte climatique de plus en plus aride
II- Objectif B8.4 : Limiter la consommation d’espace à vocation résidentielle Suivant les objectifs de réinvestissement urbain (Objectif B8.1), le SCoT prévoit la réalisation de 54% du besoin en logements estimé en extension des enveloppes urbaines existantes. Afin de renforcer l’efficacité du tissu urbain, le SCoT demande le développement de formes urbaines plus denses permettant d’urbaniser de façon plus économe et durable. L’objectif est de réduire le rythme de la consommation d’espaces passé (2011-2021) équivalent à 50% soit 37 ha/an (Objectif B8.5). Concrètement, le SCoT institue les densités moyennes minimales d’habitat suivantes sur le territoire pour la période 2021-2031 puis une majoration de 25% pour la période 2031-2040. Ce phasage est en lien avec l’objectif cyclique décennal de réduction de l’artificialisation de la loi Climat et Résilience1. Dans le cadre de la Loi climat et résilience, le calcul du niveau d’urbanisation de Pézenas à l’échelle 2030 est évalué à 3.4 hectares. D’ici 2040, sur la même dynamique, ce sont 6.8 hectares au total qui pourront être ouvert à l’urbanisme. Le projet de St Christol consomme à lui seul 24 hectares (projet SEMOP). Si le cadre légal devait être respecté, et nous voyons pas comment il ne le serait pas, ce projet d’urbanisation devrait s’étaler sur 7 phases de 10 ans chacune: 70 ans pour réaliser un projet immobilier qui, à lui seul, mobiliserait toute la capacité de création d’espace résidentiel nouveau sur le territoire communal. Ce projet pousse la commune dans une situation où elle ne pourra pas respecter le cadre légal. Les documents locaux d’urbanisme et sectoriels doivent prévoir une densification plus importante sur les secteurs situés à proximité des points d'accès au réseau de transports en commun. Dans le cas présent il n’existe aucun réseau apte à recevoir un réseau de transport en commun car les voiries de la zone sont calibrées pour recevoir une circulation en contexte rural. La seule alternative résidait dans la création d’un arrêt de train ou de tram rural dans le cadre de la réouverture ferroviaire de la ligne Agde-Pézenas. Toutefois, alors que le DOO du SCOT proposait cet aménagement dans une version antérieure, la CAHM a décidé, contre la proposition du SCOT, d’abandonner cette opportunité de liaison ferroviaire au profit d’une voie de circulation à vélo. Ce choix constitue une opportunité manquée de créer un axe de mobilité de qualité entre Agde et Pézenas. Entre l’arrière-pays de la CAHM et les lignes TER/TGV en gare d’Agde. Cette opportunité aurait facilité grandement la vie des résidents du piscénois ainsi que les déplacements depuis la gare d’Agde vers l’arrière-pays dans une vision de tourisme écologique. Ce choix aurait, enfin, créé sur Pézenas, un véritable nœud intermodal : Train/Bus/Voitures/déplacements doux (vélo…) qui aurait irrigué de manière bien plus efficiente notre territoire.
III-
IV- Conclusion :
V- Le choix du soutien à un projet d’urbanisme, initié sous la mandature de M. Vogel, et dont a hérité le maire actuel, relève d’un passage aux forceps d’un projet intégré par la majorité municipale actuelle. Si tant est que l’objectif démographique soit un objectif justifiable dans le contexte actuel (ce qui relève d’un autre débat), d’autres programmes de logements existent dans le zonage urbain déjà délimité. Mais ces alternatives ne sont pas retenues, à priori, car il faut imposer (faute de pouvoir le justifier en lui-même) le programme de St Christol à tout prix. Alors-même que les élus ont adopté à l’unanimité le programme du SCOT 2040 lors de la séance syndicale du 25 Octobre 2022, comment peut-on encore soutenir un tel programme d’urbanisation quand il multiplie les contradictions avec tous les grands enjeux qui guident le SCOT 2040 ? -La préservation de la ressource en eau -Le maintien des terres agricoles -La maîtrise d’un urbanisme qui respecte les zones rurales -La cohérence entre pôles économiques et pôles résidentiels -La cohérences en termes de fluidité des mobilités intra-urbaines et entre les villes du territoire… Toutes ces contradictions conduisent ce projet de Saint-Christol à relever davantage d’un exercice de contorsions ayant pour but de trouver, à priori, des voies pour déroger aux lois et aux règles. Il ne relève pas d’un réel plan en cohérence avec les grands enjeux qui doivent guider les politiques d’aménagement du territoire dans le contexte actuel (raréfaction de la ressource en eaux, besoin de terres arables pour produire en circuits courts…). C’est l’héritage d’une mandature précédente qu’il faut « réussir à caser » par faute de s’être engagé dans le processus financier au point que seule une décision supérieure au niveau communal (au niveau du SCOT, de l’état…) pourrait mettre un terme à ce programme incohérent qui va à l’encore des intérêts mêmes de la commune sur le long terme.
III- le volet écologique
1°- La notion de corridors écologiques pour compenser le morcellement de l’environnement dans le périmètre du secteur anthropisé. Déjà dans les années 1970, devant les premiers résultats d’études menés sur l’avifaune dans les secteurs du littoral méditerranéens, le naturaliste François Hue décrivait la situation démographique des effectifs lors des comptages comme un échec dans la politique de création de réserves isolées. Pourtant les oiseaux peuvent voler et passer d’une zone protégée à une autre. Mais la multiplicité des barrières rendait inopérante cette stratégie. Aux zones de protection intégrale il fallait rajouter des zones de préservation afin de limiter les ruptures écologiques. Ces ruptures sont la conséquence de plusieurs barrières, souvent mal anticipées. On pense aux murs, aux routes à traverser, aux caniveaux…on oublie les sons, les produits chimiques les lumières et autres repères dont la diversité de la faune et de la flore se servent pour établir leurs relations complexes pouvant mener à l’accomplissement de leur cycle de vie complet. Dans le cadre très restreint d’une zone à urbaniser, le développement d’une stratégie de mise en lien des « zones naturelles » (avec toutes les réserves sur l’emploi même de ce terme dans un tel contexte !) relève encore d’études qui n’ont toujours pas fait l’objet de publications acceptées par la communauté scientifique. Nous avons relevé cet exemple dans une étude d’impact afin d’illustrer cette problématique : Efficacité des corridors : qu’en savons-nous vraiment ? 3 octobre 2014 Par : VANPEENE-BRUHIER, Sylvie ; BOURDIL, Chloé ; AMSALLEM, Jennifer DOI : 10.14758/SET-REVUE.2014.14.02 Conclusion: Les connaissances scientifiques relatives aux conditions nécessaires pour qu’un corridor soit efficace ne sont pas suffisantes pour pouvoir conseiller le décideur (élu qui aura à modifier son plan local d’urbanisme, aménageur qui veut planifier une reconnexion de corridor). Il est donc fondamental que ces deux mondes se retrouvent enfin autour de projets concrets d’aménagement qui pourront servir de terrains d’études aux scientifiques. Pour cela, des anticipations sont nécessaires pour monter des programmes de recherche et collaborations permettant de définir des protocoles et de réaliser des états initiaux (avant restauration). Par ailleurs, maintenir un biotope c’est intégrer l’ensemble des contraintes liées à la réalisation du cycle de vie des espèces qui y vivent en interdépendance. Certaines durant l’année complète, d’autres de manière saisonnière. La fragmentation d’un territoire correspond pour certaines espèces à la dégradation de leur espace de vie total, alors que pour d’autres l’impact est sur une portion de son territoire. La préservation des espèces autravers du maintien de corridors « écologiques » relève d’un exercice très difficile sur le long terme. Par exemple, cibler certaines espèces emblématiques dans le cadre d’un plan d’action (les hérissons les crapauds…) ne présente pas un élément bien cohérent en soit. En effet, pour que ces espèces se maintiennent, en plus de ne pas se faire écraser en traversant la chaussée bordée de trottoirs infranchissables ou dévorer par un animal domestique sorti du jardin pour aller faire ses besoins du soir devant le portail des voisins (…), il faut que les espèces dont elles se nourrissent persistent dans l’environnement… Conclusion : Pour relever d’une rigueur scientifique, le programme de gestion écologique du quartier de St Christol devrait s’inscrire dans le cadre général d’une étude écologique en lien avec un sujet de recherche doctoral universitaire. Il y trouverait ainsi son utilité à postériori. Dans le cadre du dossier présenté, le vocabulaire et les concepts manipulés relèvent tout au plus d’une « gesticulation verbale ». 2°- La compensation écologique et le cadre de la protection de l’espèce emblématique que constitue le lézard ocellé. Le lézard ocellé est une espèce territoriale. La dégradation de son milieu de vie dans le secteur de St Christol (par exemple les murets de pierre sèche dans lequel il établit ses refuges) va conduire à ce qu’il quitte le secteur pour monter plus en amont dans les collines. Sur le territoire d’un autre lézard…De fait il mourra faute de ne plus avoir son espace vital. Les lézards qui sont déjà implantés sur les secteurs environnants défendront leur espace vital afin de préserver leurs ressources et assurer leur descendance. Il en est de même pour maintes autres espèces actuellement installées dans ce secteur. La mort d’un individu dans un secteur 1 et le maintien d’un autre déjà présent dans un secteur 2 constituent mathématiquement à la disparition d’un individu. La mise en protection d’un espace qui est déjà peuplé ne constitue donc pas une compensation au sens réel un terme « compensation ». Le programme de compensation, tel qu’il est prévu par la réglementation (et donc pas seulement dans le cadre de ce projet), ne repose sur aucun concept scientifique. Surtout que le cadre légal garantit le maintien de la qualité de l’espace de compensation sur un délais de 30 années…jusqu’à ce qu’un autre projet voit le jour dans cet espace initialement préservé. Espace alors sacrifié et qui nécessitera de trouver une autre zone de compensation…ainsi de suite… Dans cette « manipulation écologique » plusieurs victimes sont à déplorer : -La langue Française qui y perd le sens de l’un des ses mots de vocabulaire (compensation !!). -La logique mathématique car on nous fait croire que 2-1 = 2 -Les effectifs des espèces ciblées et la diversité génétique de leur population (et donc, à terme, la survie de l’espèce). Le projet prévoit la mise en place d’un plan de gestion afin de réguler les activités et les nuisances générées (notamment la divagation des animaux domestiques qui contribuent à l’extermination des espèces dites sauvages)…aucun cadre n’est prévu pour encadrer et gérer ce plan de gestion…il est donc à craindre que ce sujet qui a été placé à l’ordre du jour du projet y demeure inscrit pour longtemps
IV-la gestion de la ressource en eau dans le secteur de St Christol Etude préliminaire sur la Possibilité d’exploiter l’aquifère jurassique supérieur pour l’irrigation et le chauffage de serres de cultures (reprise des travaux publiés dans le cadre similaire de l’usage de cette ressource dans le cadre de l’exploitation agricole du domaine de l’Auribelle à Pézenas). Cadre : SPN-Piscénois, septembre 2023 I- Origine et objectif de cette pré-étude de faisabilité : Lors d’une réunion du CCET décision a été prise d’établir un pré-diagnostic de faisabilité afin d’alimenter la réflexion du conseil municipal. La SPN-P étant souvent intervenue dans le domaine de la ressource en eau, nous avons proposé de rédiger un argumentaire. Le domaine de l’Auribelle s’étend sur 13 hectares. Le domaine agricole de St Christol sur 24 hectares. II- Les ressources utilisées : L’intégralité des études réalisées par le BRGM sont accessibles sur le site INFO-Terre. Nous avons donc compilé le contenu de divers rapports archivés. Trois d’entre eux ont permis d’accéder à des données locales en les actualisant jusqu’au dernier travail réalisé à la demande de la commune en 2018. -Forage géothermique Pézenas 2, examen de l’état de l’ouvrage et des possibilités d’améliorer son exploitation. BRGM-X. Paul-1984. -Description des aquifères du département de l’Hérault, rapport final du BRGM/RP-54849-FR M.Blaise et J-P.Marchal, 2006 -Etude d’opportunité de production couplée de géothermie et d’eau potable pour le quartier de St Christol à Pézenas. Rapport final BRGM/RP-67583-FR C. Maragna et L. André Janvier 2018. -Fiches techniques du BRGM sur les nappes et aquifère du département de l’Hérault.
III- La ressource dans son contexte géologique et les enjeux de conservation qui en découlent : La ressource, atteinte depuis 1949 par le forage pétrolier Pézenas2, exploite une eau qui appartient à un système complexe nommé « nappe des calcaires jurassiques du pli de Montpellier ». Elle est exploitée depuis 1970 par la commune. Le secteur de recharge de cette nappe est situé dans les zones où affleurent les calcaires et dolomies du jurassique supérieur. Si la superficie de la zone d’infiltration est de 863 Km2, il est à relever qu’une grande partie a déjà été rendue imperméable par une urbanisation expansive dans les secteurs du montpellierain et du littoral. Les principales zones de recharge restantes sont le Massif de la Mourre, le Causse d’Aumelas et le secteur haut du Massif de la Gardiole. Avec un niveau de précipitations allant actuellement de 620 à 820 mm/an, le niveau de recharge global de la nappe est estimé à 42 millions de m3/an. Les études récentes fondées sur les zones de prélèvements identifiées et visitables (double impondérable qui fausse grandement le bilan) estiment le niveau de prélèvement moyen à 15 millions de m3/an. Les études de tracéologie chimique permettent d’estimer que le cycle de renouvellement de cette eau au niveau des nappes atteintes actuellement est de 10 ans. C’est donc la période de résilience et donc la marge de sécurité en cas de nécessité de modération dans l’usage de cette nappe, dans les conditions climatiques connues à l’époque des études (années 1990/2000). Il faut donc tenir compte du changement climatique et de son probable effet sur cette période de recharge qui ne pourra qu’augmenter. En tout cas cette ressource profonde n’est pas « sans limites ». Cette moyenne de prélèvement évaluée à 15 millions de m3/an est à pondérer en fonction des secteurs : avec un usage grandissant, les secteurs de la Mosson et du littoral de Thau ont un niveau de prélèvement qualifié de déséquilibré pour le maintien de cette nappe au niveau piézométrique d’équilibre. Toutes les études montrent l’intérêt à porter sur deux plans : -La poursuite des études géologiques afin de bien mieux cerner le cycle hydrologique de cette nappe. -La mise en place d’une politique de gestion au niveau de tout son « bassin versant » depuis les zones de recharge en amont vers les zones aval dont Pézenas constitue le marge Ouest. -la mise en place de pratiques adaptées au maintien de la qualité de l’eau dans les zones d’infiltration. Sans ces éléments de connaissances et de gestion il est à craindre que, dans le contexte climatique d’aridification et d’épuisement des nappes alluviales ou miocènes, une accumulation des prélèvements sur cette nappe très profonde ne se traduise par un assèchement de ce qui constitue une ressource de « sauvegarde ». IV- Les éléments permettant d’envisager une exploitation à finalité agricole : La nappe jurassique est déjà exploitée dans divers domaines d’activités sur le département : -Irrigation agricole et de golf dans le bassin de Villeveyrac. -Géothermie sur le puits Pézenas2 et Castillonne de Montagnac. -Thermalisme sur le secteur de Thau à Balaruc-les-Bains. -Industrie à St Jean de Védas (exploitée par Midi Libre). 1°- Un usage à vocation d’irrigation agricole est possible : L’usage agricole est déjà avéré à Villeveyrac. Les travaux réalisés par le BRGM depuis 1984 montrent que l’eau peut remonter de manière artésienne, sans système de pompage. Le débit mesuré va de 43 m3/heure à 90 m3/heure. Lors de la mise en place des pompes le débit d’exploitation a été porté à un volume régulier de 200 m3/heure. Les besoins en irrigation d’une culture maraichère classiques sont évalués par les sites spécialisée à 3 000 m3/ha/an. Sur la totalité des 6.3 hectares pouvant être mis en culture le volume nécessaire est donc de quelques 20 000 m3/an. Avec un débit de 200 m3/heure ce volume est atteint en seulement 100 heures de fonctionnement de la pompe (4 à 5 jours de fonctionnement). Que cette eau soit directement pompée ou bien qu’elle soit temporairement stockée dans des « bassins » en surface, la ressource est largement suffisante pour couvrir la demande en eau d’irrigation. Dans un contexte d’aridification cette ressource peut aussi garantir un volant d’irrigation de sécurité. Les facteurs limitants : La qualité de l’eau a déjà été évaluée. Sur le forage Pézenas2 les données disponibles révèlent un problème de teneur en Fe++ élevée. Cette concentration génère le développement d’encroutements sur les installations et de possibles obstructions de canalisations de faibles diamètres. Un traitement de cette eau est donc indispensable pour son utilisation dans un réseau géothermique et d’irrigation. 2°- Un usage à vocation géothermique pour chauffer des serres est possible : L’étude 2018 du BRGM montre que le débit de la ressource (200 m3/heure) permet de chauffer une surface de 57 000 m2 (soit 5.7 hectares). Cette prévision, rapportée au site de l’Auribelle, montre que cette ressource permet de chauffer une grande partie des 6.3 hectares prévus pour une exploitation maraichère. Les facteurs limitants : En ce qui concerne la température de sortie, et donc le potentiel géothermique, il faut relever deux éléments : - L’exploitation à 1147 mètres de profondeur de la source de Castillonne à Montagnac a montré que la température n’était que de 26°C alors qu’elle est de 37°C sur le forage Pézenas2 qui a atteint la nappe à « seulement » 735 mètres. La complexité structurale (plis, failles) se traduit par une relative prudence à avoir sur le niveau de chaleur initial de la ressource en fond de puits. Etant plus proche de la captation de Pézenas2, nous supposons que c’est plutôt au-delà de 30°C que se situera ce paramètre. -L’écart entre la température de fond de puits et celle à la sortie d’exploitation varie en fonction de la vitesse de remontée du volume d’eau exploité. La perte a été mesurée de l’ordre de 7°C lors de l’exploitation du puits de Pézenas 2 en simple remontée artésienne (30°C à la sortie contre 37°C en fond de puits). Cette perte a été éliminée lors de l’installation de la station de pompage. 3°- Les éléments financiers Le forage nécessite un investissement lourd. L’évaluation du BRGM pour le système adapté au quartier de St Christol montre que pour un appareillage de 1000 mètres le coût de revient des travaux et de la maîtrise d’ouvrage est de 1 million d’euros. Toutefois, situé dans le prolongement du forage Pézenas 2 qui a atteint la nappe à 735 ;56 mètres on peut supposer que le besoin en financement sera moindre : vers 750 000 euros. L’autre question à porter lors d’une étude technique serait de savoir si l’adduction d’une partie de l’eau chaude depuis le forage Pézenas 2 existant est envisageable pour satisfaire aux besoins en chaleur et en eau du projet. Dans ce cas, le forage sur l’Auribelle serait inutile. L’installation de l’unité de pompage pour St Christol est évaluée à 373 000 euros. Ici encore ce montant est à relativiser pour une unité de pompage à vocation agricole. A ces investissements, il faut ajouter le prix des serres, de l’installation de leur système de chauffage géothermal et le coût de la réalisation d’un éventuel stockage de l’eau (Si tant est qu’il soit judicieux car la nappe représente elle-même un stockage). Par contre un couplage entre l’exploitation de la nappe en voie de secours et d’un système de collecte des eaux de ruissellement peut être envisagé pour soulager l’exploitation de la ressource et diminuer le coût de dépense énergétique lors de la mise en route de la pompe. Sur les sites spécialisés consultés le prix d’investissement du mètre linéaire se serre équipée d’un système de géothermie s’élève à 500 euros HT. Sur un hectare, avec un linéaire de serres espacé tous les 10 mètres le linéaire serait de 1 000 mètres : soit un investissement de 500 000 euros à l’hectare. Si la totalité des 6.3 hectares de terres disponibles étaient couverts de serres géothermiques l’investissement total serait d’environ 3 150 000 euros. Enfin, si la minéralisation, notamment en fer, doit entrainer des problèmes d’entretien des réseaux d’irrigation et de chauffage des serres, il sera nécessaire d’installer une unité de traitement de l’eau avant son utilisation. Le coût d’un déferriseur pour pompage agricole est proposé sur les sites spécialisés à environs 2 000 euros l’unité. Le montant global estimé (mais devant être expertisé de manière plus rigoureuse) s’élève à un investissement financier de l’ordre de 4.3 millions d’euros si l’intégralité des 6.3 hectares et couvert de serres géothermiques. A titre comparatif aux investissements nécessaires pour un tel projet Il faut intégrer le fait que dans son plan d’irrigation 2018/2030, le département de l’Hérault a planifié divers projets pour augmenter l’accès à l’eau dans le cadre agricole (viticulture comprise). Parmi les infrastructures envisagées, la collectivité a planifié des renforcements de réseaux d’adductions ou de prélèvements dans les nappes fluviatiles de surface. Mais également la création de bassins-réservoirs d’eau afin d’alimenter sur 1 à 3 mois en été les cultures. Ces étangs-barrages représentent des hectares de terres englouties pour des rendements effectifs qui vont de 31% pour le barrage d’Adissan à 46% pour celui de Coulobres (car il faut retirer au volume utile la perte par évaporation). Les investissements pour réaliser ces ouvrages se montent entre 3 et 5 millions d’euros ? Il faut y ajouter une charge de fonctionnement annuel de 60 000 à 30 000 euros. En intégrant seulement l’investissement (sans le volet fonctionnement) le ratio de coût financier s’élève entre 5.3 et 6.7 euros/m3 utilisable dans ce type de barrage. Pour idée, le prix moyen du m3 d’eau potable est de 4 euros en France (ce prix intègre l’ensemble des éléments depuis le pompage-traitement de potabilité-retraitement des eaux usées). Si on intègre le très faible rendement de ces zones d’étangs artificiels et les charges de fonctionnement, le prix du m3 de l’eau d’irrigation tel qu’envisagé est très élevé ! Avec un potentiel d’exploitation annuel calculé sur la base du rendement ciblé par de BRGM (200 m3/h), si l’exploitation de la nappe est maintenue sur une année entière, le ratio financier s’élève à 2.45 euros/m3 d’eau exploitée en irrigation et en géothermie. C’est donc un coût annuel moyen de plus de moitié inférieure à celui envisagé dans le cadre du plan d’irrigation départemental pour des infrastructures de type barrage qui ont en plus des taux de perte par évaporation de plus de 50 % IV- Le processus administratif : L’exploitation d’une ressource géothermique à plus de 200 mètres de profondeur et pour une température de moins de 150 °C est soumise au code minier. Elle s’appuie sur le décret N°2015-15 du 8 janvier 2015. Ce projet nécessitera l’obtention d’une autorisation de recherche et un permis d’exploitation. Ces deux démarches peuvent être initiées simultanément. Le préfet lancera alors une enquête publique dans le respect des conditions des articles L 124-6 et L 134-10 du code minier
VI- La gestion des risques d’inondation.
Le cadre du risque majeur dans le secteur de St Christol est celui d’une conjonction de deux phénomènes caractérisés dans le cadre d’une crue centennale : 1-Une crue de l’Hérault conjuguée à un épisode marin de reflux et donc une absence d’écoulement du fleuve au niveau de son embouchure. 2-Un orage violent qui produirait un flux soudain et massif d’eau dans un environnement qui concentre tous les caractères défavorables : *Un relief en forme de théâtre dans lequel la zone à urbaniser correspond à la scène en contrebas. *Une scène surmontée par des collines aux sols imperméables : sols miocènes principalement argileux. Très peu de sol végétal pouvant jouer fonction d’éponge et de retardateur d’écoulement. *Une absence de systèmes de conduction du pluvial sur ces collines : ce sont des chemins-ruisseaux, encadrés par de hauts murs de pierre sèche, qui font office de drain de concentration et d’évacuation. *Un niveau d’imperméabilisation croissant sur les pentes des collines qui encadrent St Christol de part une urbanisation qui n’a jamais été maîtrisée et qui, de fait, ne le sera pas plus demain que ce qu’elle ne l’a pas été dans le passé. *La présence, en bordure Est de la zone de St Christol d’un ruisseau qui fonctionne sur le régime des torrents méditerranéens : le ruisseau de Maldinat autrement nommé ruisseau de l’Arnet.
Le cas particulier des ruisseaux torrents type Maldinat ou Tartiguier : Ce sont des ruisseaux dont les sources multiples se localisent sur le plateau basaltique qui surplombe la topographie du secteur ou bien dans la zone de contact entre le basalte et les roches imperméables qui forment alors des exsurgences temporaires au niveau desquelles se localisent les flux d’eau collectés sur le plateau. Ces volumes sont très importants dans un temps bref. Les flux sont donc surprenants et très mal caractérisés par les modèles de calcul des risques. Les photos ci-dessous illustrent une dynamique de collecte et de restitution des flux depuis le plateau basaltique jusqu’au niveau d’une de ses exsurgences. Ici celle située sur le flanc Sud du Lobe d’exploitation de la carrière CTSO, lors de l’orage d’octobre 2019
Dans le cas des ruisseaux, tels Tartuguier ou Maldinat , le flux ne se concentre pas dans une carrière en fin d’exploitation : il descend vers des zones habitées ! Or, si le tracé de Tartuguier lui fait emprunter deux zones d’expansions qui jouent le rôle de tampon en amont de Pézens-St Christol (vallon de Sallèles puis vallon de St Jean de Bébian), le tracé du ruisseau/torrent de Maldinat est tout autre. Il correspond à celui d’un entonnoir dont la zone évasée est dirigée vers la zone de collecte (les sources torrentielles) et le goulot d’étranglement unique concentre le flux dans une zone très étroite, encaissée (car sur creusée par l’érosion en bordure des reliefs du causse basaltique), et qui débouche brutalement vers une zone d’atterrissement : celle de la bordure Est du futur quartier de St Christol. Ce ruisseau est long de quels 3km. Sa pente moyenne est de 3% Mais dans sa zone évasée de collecte, la pente du ruisseau oscille, suivent les obstacles géologiques rencontrés, entre 4 et 12 %. Ces alternances de zo
06/77/97/29/91 paulivorra@orange.fr
A Monsieur le commissaire enquêteur, responsable de l’enquête publique relative au projet Saint Christol
Monsieur le commissaire enquêteur, j’interviens pour manifester mes plus grandes réserves quant au projet urbanistique concernant le tènement de Saint Christol à Pézenas.
Je participe activement à la vie associative et municipale de Pézenas, ville où je suis né et où j’ai exercé la profession d’enseignant au lycée Jean Moulin. J’exerce d’ailleurs toujours cette activité en tant que professeur de droit de l’environnement au sein de l’UTL, du bas Languedoc (à titre bénévole). Président du CA de la SPNP, société de protection de la nature du piscénois, je représente cette société au sein de plusieurs instances :
COPIL de renaturation de la rivière Peyne
COPIL, Natura 2000 de l’aqueduc souterrain de Tourbes/Pézenas
CCTE, conseil citoyen de transition écologique
CCSPL, commission consultation des services publics locaux, SICTOM.
Depuis 78 ans j’ai pu acquérir une connaissance sérieuse des questions concernant l’environnement de cette ville et de ses environs que je fais visiter pour la SPNP, à des groupes de marcheurs, la SPNP organise des expositions annuelles à la Maison de la Nature, 16 rue de la Foire à Pézenas : faune, flore, géologie, rivières, moulins à eau, plus de 20 expositions depuis 1986.
Je tiens a vous informer que j’ai figuré sur la liste électorale d’Armand Rivière, maire actuel, pour, entre-autre sujet, m’opposer au projet ST Christol soutenu par l’ancienne municipalité. Je sui conscient du lourd héritage que nous a légué l’équipe précédente, mais cela ne justifie pas de continuer dans une voie dangereuse par de nombreux aspects tant humains, environnementaux, paysagers…Et ce, sans tenir compte que nous sommes condamnés à des changements comportementaux inévitables.
A ce titre je me permets de vous soumettre certains arguments qui démontrent les faiblesses de ce projet, hérité de la municipalité précédente, auquel nous étions déjà opposés.
I/ L’émiettement urbain et le mitage du paysage de notre commune.
Pézenas compte environ 8000 habitants et ce depuis des dizaines d’années, à population égale l’urbanisation s’est faite vers les périphéries sud, sud-ouest et même depuis 20 ans environ vers l’est en bordure de la zone dite de l’étang (zone d’expansion des crues du fleuve Hérault). Expansion urbaine depuis le noyau XIIIe siècle, enceinte XVIe, expansion viticole….La ville éclate : HLM, lotissements, immeubles, et ensuite mise en place de zones d’activités économiques en périphéries desquelles les constructions de villas s’insèrent. A population égale la superficie de la ville s’est étendue de façon considérable ; comme pour de nombreuses communes voisines (Caux, Nézignan l’Evêque, Tourbes ? communes qui ont vu cependant leur population croitre notablement).
Notre paysage se déchire et il est victime d’un mitage non contrôlé où l’habitat sauvage aggrave la situation. On a pour projet de créer un quartier totalement excentré, coupé du centre urbain par une zone inondable et relié à lui par une seule voie, la route de Montpellier franchissant la rivière Peyne par un pont bâti aux alentours de 1830, aujourd’hui totalement inadapté aux exigences de la circulation automobile. Un pont à deux vois exigües.
Un quartier de 1500 habitants, voire plus par le fait qu’il est prévu l’implantation de nombreux logements sociaux dont le taux d’occupation est plus élevé que le laisse entendre le coefficient habituel. Nul ne doute, plus de 1500 habitants soit un village nouveau entier artificiellement implanté obligeant à des déplacements intensifs (achats, écoles, administrations, loisirs, médicaux, associatifs…). A titre de comparaison Nézignan l’Evêque comptait en 2021 : 1780 habitants.
Où en sommes-nous avec un tel projet du fameux « zéro artificialisation nette » objectif fixé par la loi de transition ? Objectif combattu par l’association des maires de France et par celle des promoteurs.
Un tel projet va à l’encontre des préconisations du Schéma de cohérence territoriale, SCOT du Biterrois. Lequel préconise une urbanisation basée sur : des constructions immédiatement rattachées au tissus urbain existant, des lotissements économes du milieu naturel, et, la réhabilitation des logements existants avec de plus l’utilisation des opportunités offertes par les « dents creuses ». En matière de réhabilitation de l’existant Pézenas est en retard, les acquisitions immobilières de plus, se font au profit de sociétés qui développent les logements touristiques au détriment des besoins des populations locales. On trouve donc des possibilités de logements lorsque le profit s’en mêle !
Anecdote : Un ancien piscénois comme moi envisage mal comment le fameux carnaval de Pézenas se dérouler à plus de trois kilomètres du centre.
II/ Intensification de la circulation automobile
Comme précisé ci-dessus, une seule pénétrante assurée par le pont sur la Peyne ! Pour le moment les parkings sont situé au-delà de ce pont en centre ville et dans le quartier du cimetière, Supermarché Carrefour. Envisager une pénétrante par un détour A75, sortie Castelnau, place de la Vierge, c’est créer un bouchon depuis cette sortie jusqu’à ladite place aux heures de pointe !
On ne peut obliger les habitants du quartier St Christol à entrer en ville par la sortie Pézenas ouest ! Quel détour ! Quelle erreur environnementale !
Imaginez les cohues de voitures lors des entrées et sorties des établissements scolaires : deux écoles primaires, deux maternelles, trois collèges, un lycée…Une école Calandreta, .Les équipements sportifs : piscine, stades, salles de danse, arts martiaux, pétanque…. Les équipements de loisir et culture : médiathèque, salles de réunion, salle du Peuple…Et les lieux religieux ? Que dire du marché du samedi et des cohues estivales ! Les équipements publics et services : poste, impôts, mairie, maison de justice ; Banques, assurances…La liste serait trop longue à compléter !
Bien entendu on nous parle de déplacements « doux » : l’habitant du quartier ira-t-il « faire ses courses » à pied, en ville, ou en voiture à la périphérie sud ouest là où sont implantés les commerces ?
III/ La problématique de l’eau ! à Plusieurs niveaux
A- Quantitatif : celui de la ressource
B- Qualitatif : celui de l’assainissement et des réseaux
A/ Quantitatif. L’année 2024 a été relativement clémente au niveau de la ressource, mais les projets ou travaux actuels prouvent que l’on envisage un avenir plus incertain : mise en place d’un réseau de prélèvement sur le lac du Salagou au profit du maintien du débit du fleuve et de l’agriculture. Projet départemental de « réservoirs en eau », recherche de ressources nouvelles par le Syndicat des eaux de la vallée de l’Hérault. Extension de la zone d’irrigation du vignoble à partir du barrage des Olivettes à Vailhan et de l’ASA dite de Belles EAUX. Il faut ajouter à cela les projets tels que le golf de Montagnac, les divers projets urbanistiques communaux : Nézignan en cours de réalisation, Caux bloqué par manque d’eau, Roujan…Autant de projets qui vont augmenter la pression sur une ressource commune à toute une aire géographique, sur une nappe dite des calcaires jurassique du pli de Montpellier (voir ci-dessous).
La consommation de base estimée par le BRGM est de 128m3/h /an. Le programme St Christol présenté par la SEMOP comporte 655 logements. Vu le taux d’occupation par foyer qui est en moyenne de 2.3 dans le secteur (Sources INSEE 2019), la nouvelle population devrait s’élever aux alentours de 1500 habitants. Le besoin en eau d’alimentation domestique moyen serait vers 192 000 m3/an.
A cette consommation il faut ajouter l’eau d’arrosage (collectif et privé) et celle des piscines individuelles : d’après les données disponibles sur les sites officiels, en France la moyenne des piscines est de dimension 32m2 (8X4mètres). Ce type de piscine nécessite 48 m3 d’eau au remplissage puis un renouvellement au 1/3 par an: soit une consommation de 64 m3 d’eau par an, dans les conditions climatiques actuelles. Le programme foncier prévoit 230 terrains à bâtir. Dans le midi le taux moyen d’équipement en piscine avoisine les 40%. On peut donc compter sur l’installation de 92 piscines et une consommation annuelle majorée de quelques 6 000 m3 d’eau par an.
Le niveau d’arrosage annuel moyen est évalué à 2 000litres (2m3) d’eau pour un jardin de 100 m2. Le programme privé prévoit 230 terrains à bâtir pour une superficie globale de 33 815 m2. Vu le coefficient de construction, ce sont quelques 20 000 m2 privés qu’il faudra arroser en jardin : soit une consommation de 400 m3 d’eau dans les conditions climatiques actuelles et pour un jardin déjà établi (les premières années d’arrosage sont plus consommatrices et le mode d’irrigation influe fortement sur le rendement et donc la consommation). Ces estimations ne se basent que sur le volet privatif.
La consommation d’eau pour l’arrosage public, pour les espaces non résidentiels, n’est pas intégrée ici. On avoisine au final un besoin moyen en eau de 200 000 m3/an pour le volet privatif du quartier de St Christol. A titre de comparaison, le rapport de la régie de l’eau de la CAHM de 2021 indique que le volume d’eau distribué dans le réseau de la ville de Pézenas pour 2021 était de 992 183 m3 d’eau. Le volume d’eau nécessaire au quartier de St Christol représente donc une hausse de près de 20% (source étude de la SPNP, société de protection de la nature 2024 (enquete-publique-argumentaire.pdf (spn-pezenas.org))
La nappe du fleuve Hérault mesurée sur le secteur de Pézenas se maintient à un niveau d’alerte renforcé depuis le 28 juillet 2022. Aucune recharge de nappe n’est venue alimenter la ressource ni en automne 2022 ni en hiver 2023. Les évaluations doivent donc intégrer l’évolution démographique globale ainsi que le volet climatique, car les nouveaux résidents vont s’installer pour des décennies. L’état de la ressource en eau va se raréfier alors même que les besoins, eux, seront augmentés de manière pérenne.
Pour information l’aqueduc souterrain qui alimentait les fontaines de la ville de Pézenas depuis la fin du quatorzième siècle est « A sec depuis plus de trois ans » ! Notons de plus que le futur quartier de St Christol va perturber l’aqueduc dit des « Cordeliers », lequel permettait d’alimenter un réseau de puits et norias dans cette vaste zone nourricière des jardins de la ville.
La nappe des « calcaires jurassique du pli de Montpellier » la ressource, atteinte depuis 1949 par le forage pétrolier Pézenas2, exploite une eau qui appartient à ce système des calcaires jurassiques du pli de Montpellier. Elle est exploitée depuis 1970 par la commune. Le secteur de recharge de cette nappe est situé dans les zones où affleurent les calcaires et dolomies du jurassique supérieur. Si la superficie de la zone d’infiltration est de 863 Km2, il est à relever qu’une grande partie a déjà été rendue imperméable par une urbanisation expansive dans les secteurs du montpelliérain et du littoral. Les principales zones de recharge restantes sont le Massif de la Mourre, le Causse d’Aumelas et le secteur haut du Massif de la Gardiole. Avec un niveau de précipitations allant actuellement de 620 à 820 mm/an, le niveau de recharge global de la nappe est estimé à 42 millions de m3/an. Les études récentes fondées sur les zones de prélèvements identifiées et visitables (double impondérable qui fausse grandement le bilan) estiment le niveau de prélèvement moyen à 15 millions de m3/an. Les études de tracéologie chimique permettent d’estimer que le cycle de renouvellement de cette eau au niveau des nappes atteintes actuellement est de 10 ans. C’est donc la période de résilience et donc la marge de sécurité en cas de nécessité de modération dans l’usage de cette nappe, dans les conditions climatiques connues à l’époque des études (années 1990/2000). Il faut donc tenir compte du changement climatique et de son probable effet sur cette période de recharge qui ne pourra qu’augmenter. Cette ressource profonde n’est pas « sans limites »
B/ Qualitatif. L’assainissement des eaux usées de notre ville est assuré par une station d’épuration qui accueille de plus les eaux usées de Caux et de Tourbes. Le dimensionnement de la station le permettant largement, MAIS :
Il faudra pour traiter les eaux du nouveau quartier, soit, mettre en place un réseau de collecte et d’acheminement des eaux vers la station actuelle, techniquement c’est faisable, ce qui a été réalisé pour Caux et Tourbes…A quel cout et avec quelles contraintes pour passer sous des zones déjà occupées. Soit construire une nouvelle station sur place compte tenu du fait que les limites ouest de la zone sont inondables.
Eaux pluviales : Bassins de rétention, évacuation…
IV : inondabilité du lieu
La zone est entourée d’un quadrilatère problématique. A l’ouest le fleuve Hérault dont les crues peuvent répétitives, et générer des inondations spectaculaires lorsqu’elles se conjuguent avec celles de la rivière Peyne et un vent de mer ralentissant l’écoulement des eaux. L’inondation peut empêcher toute circulation au niveau du chemin bas de Montagnac, isoler le village de Castelnau de Guers de Pézenas. A l’est et au sud du quartier le ruisseau du Tartuguier et la rivière Peyne coupent toute communication avec le centre ville (Il peut arriver, comme en 2019, que la crue de Peyne elle seule provoque de telles conséquences). Au nord un modeste ruisseau dit « de l’Arnet », alimenté par le débordement de la zone de la carrière du même nom, peut couper pendant une demi-journée tout passage vers l’A75, au niveau de la Grange des Prés. Compte tenu des évolutions climatiques inquiétantes, des évènements du passé (inondations de 1907), on peut s’attendre à des épisodes plus dévastateurs (événements d’Europe centrale et orientale). On a même envisagé une éventuelle rupture du barrage du Salagou et un déversement de ses 10 millions de m3 !
Ajoutons que le lotissement serait situé au bas d’un entonnoir surmonté par une zone en forme d’amphithéâtre Chichéry, Maldinat et Arnet, et quelle subirait les écoulements de cet entonnoir en cas de pluies, et que dire des pluies brutales et torrentielles ? Le secteur étant urbanisé, bétonné, il rejettera ces excédents vers la ville elle-même.
V : l’urbanisation détruit un potentiel agricole important !
Ce fut une zone de jardin, Pézenas occupa jusqu’à plus de 100 jardiniers, horticulteurs, une véritable ceinture maraichère nourricière de la population locale mais aussi exportatrice à partir de la mise en place du réseau ferroviaire. Pour mémoire les fameuses prunes Reine Claude de Pézenas s’exportaient jusqu’en Angleterre Que nous réserve l’avenir en matière d’approvisionnement alimentaire ? La crise de la COVID, la guerre en Ukraine, la croissance non contrôlée de la population mondiale, les disettes et famines….Notre dépendance alimentaire s’accroit, avec la problématique de l’eau c’est là un problème crucial à résoudre. Ce projet est destructeur de terres nourricières, et ce, malgré la recherche de territoires de compensation.
VI : Ecologie
Le losange que constitue le territoire de la commune de Pézenas est dévoré par une urbanisation incontrôlée depuis des décennies. Les bâtis s’étend, le paysage est mité, ça et là une urbanisation sauvage, cabanisation, enlaidit insidieusement la nature : aux abords et dans la zone de l’Etang, Maldinat, l’Arnet, ST Christol, Chichéry, Roustanienque…Les décharges sauvages se multiplient (saluons les efforts du SICTOM et de la commune dans ce domaine). Les ruisseaux sont laissés à l’abandon (l’ASA de l’Etang par exemple, responsable de l’entretien de ce réseau de canaux a été dissoute).
Nous avons là un paysage qui s’est formé autour de la ceinture des jardins et de l’expansion viticole. De nombreux chemins ancestraux, bordés de murs à pierres sèches. Des grangeots (mas), des enclos, norias, haies d’amandiers, grenadiers, figuiers, azeroliers…Un habitat ancien hérité du XIXe siècle, un important domaine qui a donné son nom au lieu, et, en limite la grange des Prés, demeure historique. Au milieu de tout cela cheminait l’ancienne voie ferrée dite de « l’intérêt local ». Un lieu où les piscénois promenaient, certains se rendant à leurs vignes de l’Arnet, LA Roustanienque, Chichéry, les quatre vents. Là on peut encore cheminer à l’abri de la circulation automobile, entre le Tartuguier et le ruisseau de l’Arnet (où, autrefois on pouvait encore pêcher à la carafe !). Le lieu est dominé par des domaines ancestraux : Maldinat, Chichéry ; il recèle aussi les traces d’occupations antiques et préhistoriques. On y trouve l’ancien stade de rugby si cher aux piscénois, et, en bordure le couvent des Cordeliers, ordre auquel on prête la construction de l’aqueduc qui alimente puits et norias du lieu.
Pour toutes ces raisons et j’en oublie certainement je m’oppose à un tel projet, bien qu’ayant soutenu la liste qui gère notre ville actuellement.
je suis donc défavorable à ce projet aberrant, qui ne favorise en rien le développement d'une ville d'art et d'histoire, déjà bien référencée, d'autant qu' en cas d'accident (sécheresse, inondation ou autre) qui sera tenu responsable d'avoir autorisé ce projet ? Il convient d'y réfléchir plus sérieusement !
je suis contre l'artificialisation des sols et en particulier d'un sol qui peut être cultivé dans les années à venir ;il faut garder des sols cultivables pour nos descendants ;il faut aussi que les eaux de pluie puissent s'infiltrer dans les sols .je suis contre l'augmentation du nombre d'habitants à Pezenas , qui signifierait augmentation du nombre de voitures , de la consommation d'eau . nous avons déjà des problèmes de sécheresse ;
j'espère que ce projet n'aboutira pas , d'autant plus que j'ai voté pour cette équipe municipale entre autres parce qu'elle était opposée au projet de déstructionde st christol ;
En effet, le site dispose d'un aqueduc, un patrimoine composé de galeries voûtées, de norias et de puits. Les derniers travaux sur cet ouvrage serait de 1180.
En cette période de sècheresse, et l'avenir incertain concernant les ressources en eau à venir, il semble nécessaire de préserver ce patrimoine hydraulique qui reste aujourd'hui opérationnel pour certain riverain qui ont toujours utiliser cette ressource comme seule alimentation en eau.
Le projet Saint Christol va entrainer des effondrements liés aux passages de nombreux poids lourds, le bétonnage de surface va empêcher le système de drainage de fonctionner.
Dans une région soumise aux conséquences du changement climatique par une hausse de la température et l'assèchement de ses terres, entrainant un manque en eau et obligeant les autorités locales à approvisionner les villages alentours en eau, l'augmentation de la population qui découlera de ce projet entraînera une sècheresse encore plus importante (nappe phréatique sans eau à cause de la bétonisation des sols, perte de la fraicheur apportée par la végétation de ces terres, etc.) et le problème de l'approvisionnement en eau dans la région plus important, pouvant aller jusqu'à causer des problèmes d'approvisionnement en eau pour les habitantes et habitants de la ville.
De plus, la présence d'une zone habitable à Saint Christol entraînera une hausse de la pollution de par l'accès très réduit vers le centre de la ville et les bouchons que cela va engendrer.
Je ne vois donc qu'un projet qui ferme les yeux devant les enjeux climatiques actuels dans un département qui y fait déjà difficilement face (grosses chaleurs, incendies, problème d'alimentation en eau pour de nombreuses communes, nappes phréatiques qui n'arrivent plus à se remplir totalement, etc.) ce qui entraîne déjà de nombreux morts chaque année, en détruisant la flore fertile utile à l'approvisionnement local pour construire des habitats qui engendreront des problèmes d'alimentation en eau et de pollution.
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…) ; de plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois.
Comment pourrait être absorbé 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
Comment la création d’une Halle Gourmande à St Christol (1 700 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville ?
La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était pas ?
Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune ( notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au dessus de la Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas reste-t-il caché à la population et n’est-il pas joint au dossier ?
Je suis pour le développement écologique de la ville, avec la préservation d'espaces naturels, et d'autres dédiés au maraîchage et aux arbres, cessons d'aller dans le sens insensé d'une "économie de marché" qui, avec son béton partout, responsable des risques grandissants d'inondations, ne met pas au premier rang le simple bon sens. Pensons plutôt à sauvegarder notre premier et vrai patrimoine : la Terre. Merci.
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, entrée de Pézenas de la route venant de Montagnac, Calquières basses et Calquières hautes, etc…) ; de plus, cela ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique.
24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois.
Comment pourrait être absorbé 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
Comment la création d’une Halle Gourmande à St Christol (1 700 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
Comment seraient scolarisé·e·s les nouveaux élèves (particulièrement du Primaire dont les investissements dépendent de la Commune) ? Et où ?
Resterait-il de l’argent pour améliorer le centre ville ?
La station d’épuration pour traiter les eaux usées serait-elle suffisante ? Et si elle ne l’était pas ?
Combien d’autres investissements seront à la charge de la Commune ( notamment la liaison piétonne et vélo entre St Christol et Pézenas au dessus de la Peyne, de la zone inondable et de la route de Nizas), etc… ?
Pourquoi l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Ecologique de la Ville de Pézenas reste-t-il caché à la population et n’est-il pas joint au dossier ?
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Dans une région déjà touchée par des périodes de sécheresse de plus en plus longues et une gestion de l'eau en tension, il est légitime de se demander si les ressources en eau seront suffisantes pour alimenter un tel projet immobilier. Durant l’hiver dernier, plusieurs villages aux alentours ont dû être approvisionnés en eau par camions-citernes. L'ajout de 2 000 habitants supplémentaires à Pézenas risque d'aggraver cette situation. Où trouverons-nous l’eau nécessaire pour assurer les besoins de cette population croissante ?
2. **Impact environnemental sur l’hydrologie locale :**
La bétonisation de 24 hectares de terres agricoles à Saint Christol risque d’avoir un effet délétère sur le cycle de l’eau. En supprimant une zone d’absorption naturelle, le ruissellement des eaux pluviales vers les zones déjà sensibles de la ville pourrait s’intensifier, augmentant le risque d’inondations dans les secteurs vulnérables comme la rue Conti, l’avenue de Castelnau, ou encore les Calquières basses et hautes. De plus, la réduction des surfaces perméables ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique, ressource déjà sous pression.
3. **Perte de terres agricoles fertiles :**
La destruction de ces 24 hectares de terres agricoles, particulièrement fertiles, entraînerait une réduction significative de la production alimentaire locale, affaiblissant ainsi l’approvisionnement en produits agricoles du Piscénois. Alors que l’importance des circuits courts et de l’agriculture locale est de plus en plus reconnue, cette perte de terres arables serait dommageable pour la souveraineté alimentaire locale.
4. **Augmentation du trafic routier :**
L’ajout de 700 nouveaux logements entraînerait une augmentation de 17 % du trafic routier, un chiffre considérable dans une ville comme Pézenas. Comment le réseau routier, notamment le pont de la Peyne, pourrait-il absorber cet afflux sans entraîner des embouteillages, une augmentation de la pollution et des nuisances sonores pour les riverains ? Aucune solution viable n’est actuellement proposée pour gérer cet impact sur la mobilité urbaine.
5. **Équilibre commercial menacé :**
La création d’une Halle Gourmande de 700 m² à Saint Christol pourrait nuire au commerce local, notamment celui du centre-ville de Pézenas. En attirant une partie de la clientèle vers cette nouvelle zone, il y a un risque de désertification commerciale du centre historique, déjà en difficulté. Le projet de nouvelle Halle ne doit pas se faire au détriment des commerces existants.
6. **Capacité des infrastructures scolaires :**
Avec l’arrivée de nombreuses familles, il est nécessaire de se demander si les infrastructures scolaires, notamment les écoles primaires, seront capables d’accueillir tous ces nouveaux élèves. Les investissements scolaires dépendent de la commune, mais aucune garantie ni plan précis n’a été présenté pour la construction de nouvelles écoles ou l’agrandissement des infrastructures existantes. De plus, si des fonds importants sont alloués à ce nouveau quartier, cela pourrait compromettre les budgets destinés à d'autres secteurs, comme la rénovation du centre-ville.
7. **Capacité de la station d'épuration :**
La station d’épuration actuelle est-elle en mesure de traiter les eaux usées supplémentaires générées par ces 2 000 nouveaux habitants ? Si ce n’est pas le cas, des investissements conséquents devront être réalisés, ce qui représenterait un coût supplémentaire pour la commune. Une question cruciale reste sans réponse : comment la commune financera-t-elle ces infrastructures sans alourdir la fiscalité locale ?
8. **Investissements supplémentaires à la charge de la commune :**
La mise en place d’infrastructures supplémentaires, telles que des liaisons piétonnes et cyclables entre Saint Christol et Pézenas, ou la gestion des zones inondables et des routes environnantes (comme celle de Nizas), générera des coûts significatifs pour la commune. Ces dépenses n’ont pas été intégrées dans l’analyse du projet et risquent de grever le budget municipal.
9. **Manque de transparence dans la gestion du projet :**
Enfin, il est inquiétant de constater que l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n’a pas été rendu public ni joint au dossier. Ce manque de transparence nuit à la confiance des citoyens dans le processus de consultation publique et laisse planer des doutes sur les réelles motivations derrière ce projet.
**Conclusion :**
Le projet de création d’un quartier de 700 logements à Pézenas, bien que répondant à des besoins en termes de logements, pose de nombreuses questions quant à sa faisabilité, son impact environnemental et social, ainsi que les coûts pour la commune. Il est essentiel que ces préoccupations soient sérieusement prises en compte avant de poursuivre ce projet.
Et finalement, cette municipalité porte ce projet ! ! !
C'est une bétonisation de plus, dans une zone réputée inondable. Incompréhensible et irresponsable !
- Infrastructures onéreuses à construire en même temps que ce nouveau quartier, A LA CHARGE de la commune (ou d'autres collectivités publiques)
- Sacrifice de terres cultivables
- Commerces de Centre-ville qui finiront par être désertés au profit de zones commerciales artificielles
- Quartier qui deviendra "zone dortoir" pour des gens qui travailleront dans les centres urbains proches (Béziers, Montpellier ...)
Sans compter, les pénuries d'eau qu'un tel projet engendreraient.
Je suis contre et j'espère que ce projet ne verra jamais le jour. Que le vivant prendra enfin le pas sur les intérêts de quelques uns !!
Cordialement
Je suis née à Pézenas. Mes parents résident à Pézenas, chemin de Saint Christol. Je y viens très régulièrement. Mon métier m'a amené à parcourir depuis 25 ans le territoire. J'ai pu constater l'urbanisation galopante et ses concéquences tant au niveau de l'altération des paysages avec un impact dramatique sur l'environnement: imperméabilisation des sols, densification de la circulation routière, sans parler du dépérissement économique des centres bourgs.
Aujourd'hui le centre ville de Pézenas n'est plus qu'un décor qu'arpente les touristes. Les zones commerciales et résidentielles existantes ont vidé le centre ville. Accroitre la périphérie de Pézenas par une immence zone dortoire et commerciale finirait de vider le centre bourg de toute vie sociale et commerciale, sans parler de cette vaste zone rurale que beaucoup de piscénois empruntent à pied, avec plaisir pour s'aérer et bénéficier de ce qui fait le charme du Languedoc.
Le projet urbanistique actuel est dénué de sens à l'heure de l'urgence climatique. La sécheresse ne peut que s'accroître si l'on ne crée pas d'ilots de verdure. Toute construction nouvelle devrait être bioclimatique. Le projet actuel n'intègre aucune de ces données. Je m'oppose donc au projet actuel d'urabanisation du site de Saint Christol.
J'espère, Monsieur, que mes considérations citoyennes, bénéficieront de votre aimable attention.
Hélène Bassas
Nous avons besoin, autour de Pézenas, non pas de béton, mais de cultures maraîchères pour nourrir les gens. Je ne veux plus des fruits et légumes importés, je veux des bons légumes produits localement, je veux des terres et des logements pour des jardiniers qui apprennent aux enfants le bon goût des fruits et des légumes cueillis sur place. Je ne veux plus des camions qui polluent nos routes pour apporter des tomates venues de Hollande!
Ce qui manque à Pézenas, ce sont des emplois. Il faut créer de vrais emplois, autour des besoins des gens de bien se nourrir, de se distraire, de se cultiver, de rêver.
Le coeur battant de Pézenas, ce ne sont pas ces hordes de touristes trop cuits au soleil qui déferlent en été pour acheter des produits stéréotypés fabriqués en Inde. L'âme de Pézenas, c'est sa convivialité, petite ville où on s'arrête pour dire bonjour et parler, parce qu'on se connaît.
L'âme de Pézenas, ce n'est pas le béton, mais la pierre. Ce ne sont pas toutes ces extensions qui se sont multipliées autour du coeur de ville, comme dans tous les villages, avec les résultats que l'on connaît aux élections...
Je lis le texte du projet : 700 habitations, tiens c'est le nombre de logements vides dans la ville? Alors il faut en parler, appeler les gens, les enfants des écoles, à dire leurs besoins, à faire des projets pour réhabiliter ces logements, les rues, créer des jardins pour les enfants, il faut "Réparer la ville", des architectes s'y emploient, inventent pour le futur.
Je lis page 33 dans l'analyse du DOG " Lutter contre la consommation d'espaces agricoles et naturels en priorisant l'enveloppe existante" Ben voilà !
Je lis page 29: "Arrêt de l'urbanisation dans les zones à fort risque d'inondation"... Ah bon ?
Page 48 : "Préservation de la mémoire du site"... On pourra mettre des photos de la beauté flamboyante des coquelicots de Saint-Christol au printemps?
Je lis aussi "limitation de la voiture"... Mais "1451 places de parking"... heureusement qu'on les a limitées! J'imagine les heures de pointe déjà saturées sur l'axe principal...
NON, pas de béton, pour que nos enfants et petits enfants ne nous accusent pas, des jardins à Saint-Christol !
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,
Arrêtons de tout bétonner à tout va. Regardons les dégâts dû à une sur construction autour de nous pour commencer
Je pense que beaucoup de gens aimeraient y vivre et apprécieraient de rejoindre notre ville. Notamment tous les mal logés.
On peut cohabiter avec la nature environnante et il faut savoir s'adapter aux aléas climatiques.
Ce n'est pas en s'opposant à tous les projets que nous avancerons.
Après, je comprends que les riverains ne voient d'un bon œil la construction d'un lotissement ou de voies ce circulation passant devant chez eux. Il faudrait donc que l'impact soit le plus minime pour eux.
Les événements climatiques extrêmes vécus en Europe ces derniers temps vont indéniablement être de plus en plus fréquents dans un avenir proche. La zone prévue pour ce projet se situant entre le fleuve Hérault et la rivière Peyne- deux cours d‘eau régulièrement en crue-.
Il me semble absolument inconcevable de bétonner une surface aussi importante dans cette zone délicate.
Mauvaise manipulation
Il suffit de se retourner pour observer les effets de notre activité galopante tout particulièrement sur le plan climatique.
La Peyne est victime d’une sècheresse inédite, tous les poissons sont morts, les algues ont colonisé le lit .
Des restrictions pour l’arrosage agricole ont été mises en place durant l’été.
Le lac du Salagou, dont l’eau était réputée potable il y a quelques années , a été fermé à la baignade en raison de prolifération de cyanobactéries.
Les puits ,dans les quartiers voisins, sont taris.
Chaque été les températures affolent les thermomètres, la campagne est moribonde, les amandiers se meurent.
Qu’en sera-t-il dans 2, 3, 5 10 ans ?
A l’inverse, lorsque les dieux se mettent en colère, c’est un déluge d’eau qui s’abat.
Les épisodes cévenols génèrent des inondations phénoménales.
Le 27 octobre 2019, hier pour ainsi dire, le quartier St Christol et toute la plaine environnante ont été noyés sous les flots conjoints du Tartuguier, la Peyne et l’Hérault, phénomène accentué par le ruissellement des hauteurs de Chichery .
Le chemin de Tartuguier est devenu un torrent déchainé, 80 cm d’eau ont envahi les jardins et par extension les habitations, des habitants ont dû être hélitreuillés.
Qu’en sera-t-il si 24 hectares de terre viennent à être bitumés ?
-Ruissellement aggravé
-Disparition des terres agricoles (qui nous seront précieuses bientôt)
-Disparition de la biodiversité (dérogation permettant d’exterminer le lézard ocellé !! entre autres )
-Liste non exhaustive
Si 650 logements supplémentaires sont construits, soit 1800 /2000 habitants supplémentaires ?
- Pollution (il suffit de constater déjà les déchets sur les chemins et aux abords de la Peyne…)
-Nuisances sonores
-Augmentation du trafic sur place et en ville (les chemins de traverse sont déjà inadaptés au trafic actuel, très fréquemment empruntés compte tenu des grosses difficultés de circulation et de parking en centre -ville , dues aux travaux d’aménagement de l’avenue de Verdun qui a de ce fait « généré » l’abattage de 45 platanes centenaires)
-Liste non exhaustive
Le temps est à l’anticipation. Il faut envisager le futur objectivement, regarder le réalité en face :
L’avenir est sombre et implacable.
Imaginons que notre terre nourricière soit un grand super- marché, lorsque les rayons seront vides et qu’il ne sera plus possible de les approvisionner, ce sera le chao définitif.
Localement, si ce projet aboutit, ce sera une mise à mort de la biodiversité, la mise en danger de la vie d’autrui, la mise en péril de l’harmonie et de la paix.
Chérissons ce que nous avons. Protégeons nos terres, plantons et récoltons en les fruits, préservons notre patrimoine, mettons-le en valeur et soyons en fiers.
La zone est inondable et la betonnisation est aberrante et contraire à toutes les mesures de protection dans un environnement menacé par le réchauffement climatique
L’augmentation subite de la population entraînerait un dysfonctionnement des infrastructures existantes
Notamment des routes les parkings
Les écoles
Et agrandirait la pénurie médicale etc pp
Je m’oppose à ce projet complètement contraire à un développement durable
Va enlever le côté "village" de Pézenas, ce qui est très dommage !
Il est encore temps d'annuler le projet, si on aime vraiment cette ville et si l'on est un vrai patriote...
Malgré les arguties mentionnées dans le DUP du projet faisant état d'un éventuel intérêt touristique et pédagogique et des éléments de langage vantant les aspects écologiques, il y a tout à redouter de ce projet qui vise à créer et isoler des logements sociaux au lieu de les intégrer dans un tissu urbain à restaurer et aura un impact écologique tout à fait négatif.
Ce projet vieux de 25 ans a été relancé afin de retarder l'échéance d'une dette importante par le précédent maire juste avant son remplacement par un maire qui avait eu, en son temps, la lucidité d'y être opposé et qui, par la force des choses, s'y est depuis rallié. Les conséquences écologiques, économiques et sociales de l'implantation de cette verrue résidentielle n’auront donc pas gérées par ceux qui ont engagé ce projet. De plus, la gestion de cette opération de long terme qui donne à la SEMOP la majorité des voix prive pour de nombreuses années à venir la prise de décisions de la mairie. Pourtant, à terme, les conséquences écologiques, économiques et sociales pour la ville seront nombreuses.
Sur le plan écologique
Artificialisation des zones agricoles
Ce projet est aberrent en ce qu'il artificialise des zones agricoles. La destruction de ces 24 hectares de terres agricoles, particulièrement fertiles, privera la ville d'une production alimentaire locale, affaiblissant ainsi l’approvisionnement en produits agricoles du Piscénois. Alors que l’importance des circuits courts et de l’agriculture locale est de plus en plus reconnue, cette perte de terres arables sera dommageable pour la souveraineté alimentaire locale.
Problèmes hydriques
Ce projet ancien ne prend pas suffisamment en compte les impacts du changement climatique qui vont provoquer à la fois la rareté de l'eau et les risques d'inondation lors des épisodes cévenoles susceptibles d'être de plus en plus fréquents et violents. Les restrictions quant à l'utilisation de l'eau se multiplient et la bétonisation de ce vaste territoire va réduire la perméabilité des sols déjà problématique quand on voit la taille des zones inondées dans Pézenas en cas de très fortes pluies.
Adaptation de la station d'épuration
On peut aussi s'interroger sur la capacité de la station d’épuration actuelle. Sera-t-elle en mesure de traiter les eaux usées supplémentaires générées par ces 2 000 nouveaux habitants ? Si des investissements conséquents doivent être réalisés, cela présentera un coût supplémentaire pour la commune.
Banalisation des paysages et dénaturation de l'homogénéité architecturale de la ville
Ce projet banalise les paysages en remplaçant une magnifique zone naturelle par une zone bétonnée de logements et une halle de commerce en plus proposant des îlots de verdure que le manque d’eau ne permettra pas d’arroser ... De plus, avec ce projet, il y aura un cœur de ville à l'architecture exceptionnelle et une zone de logements qui va dénaturer l'homogénéité déjà entachées par les zones commerciales.
Augmentation de la circulation automobile alors que l'infrastructure routière n'est pas adaptée
La réalisation de ce projet augmentera la circulation automobile dans Pézenas qui devient de plus en plus problématique. Au lieu d'apporter des solutions à ce problème qui s'annonce récurent, il est à prévoir une dégradation des conditions de circulation par l'augmentation du trafic routier et de ses conséquences en termes de consommation d'énergie, de pollution et de désagréments sonores. Il ne prévoit pas de modification du réseau routier obligeant les futurs résidents soit à grossir la circulation à l'entrée de Pézenas pour ceux qui arriveront par la route de Montagnac, à emboliser le petit chemin qui arrive au pont de Peyne en passant par le camping ou encore à prendre l'autoroute pour entrer dans Pézenas via la sortie Castelnau-de-Guers et à s'enkyster sur le petit accès qui rejoint le boulevard de Verdun via la rue Camille Guérin.
Il ne semble pas qu’une restauration du pont métallique permettant aux futurs habitants de se rendre rapidement et confortablement au centre ville soit prévue. Si cela devait être envisagé, cela sera, là encore, un coût important à supporter par la ville.
Un impact sociologique majeur
Au lieu d'aménager le centre ville, ce projet va créer une ville bicéphale isolant une partie de la population de la vie culturelle et commerciale de la cité. La paradoxe veut que ce genre de projet risque de vider le centre ville de ses habitants et de son dynamisme en le désertifiant et de nuire au petit commerce du centre ville au profit des grands centres commerciaux. Par ailleurs, il n’est pas certain qu’il permette d’augmenter le nombre d’habitants de Pézenas si ce but était recherché.
Manque de transparence dans la gestion du projet
Il est regrettable de constater que l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n’ait pas été rendu public ni joint au dossier. Ce manque de transparence nuit à la confiance des citoyens dans le processus de consultation publique et laisse planer des doutes sur les réelles motivations derrière ce projet.
De plus, aux dires du maire en exercice, ce projet qui libère momentanément la ville d'une dette importante permet de réaliser le projet de l'aménagement du boulevard de Verdun. Il ne semble pas cependant qu'une hiérarchisation des projets ait été soumise au choix des piscénois.
Au niveau économique
Cette question reste sans réponse : comment la commune financera-t-elle les infrastructures impactées pas ce projet sans alourdir la fiscalité locale ?
Ainsi, le projet de création d’un quartier de 700 logements à Pézenas, bien que répondant à des besoins en termes de logements, pose de nombreuses questions quant à sa faisabilité, son impact environnemental, social et économique ainsi que sur la qualité de la vie des piscénois.
Pour toutes ces raisons, je ne suis pas favorable à ce projet
• 24 hectares de terres agricoles fertiles détruites manqueraient à l’approvisionnement alimentaire du Piscénois.
• Comment pourrait être absorbé 17 % du trafic routier supplémentaire, notamment sur le pont de Peyne ?
• Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ? Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
• La création d’une Halle Gourmande à St Christol (1 700 m2) favoriserait-elle le commerce du centre ville ?
Outre le fait qu’à son arrivée, en 2020, la municipalité nouvellement élue a hérité d’un projet juridiquement ficelé par l’ancienne équipe, et, comme beaucoup de ses projets, confiés clefs en main à des acteurs privés, la majorité actuelle a du trouver une solution idoine à son problème Saint Christol.
N’ayant pas les moyens financiers de rayer d’un trait de plume les contrats signés et la dette des terrains, l’Équipe municipale nouvelle s’attela à revoir complétement le projet et en faire ne véritable réalisation sous maîtrise d’ouvrage publique.
Sans faire une liste à la Prévert, mais sans oublier, non plus, que le stade Louis Trigit, si cher au cœur des piscénoises et des piscénois, est conservé (il devait disparaitre sous l’ancien projet), je vois deux exemples illustrant mes propos ; cette volonté de peser par leur politique publique permet aux élus majoritaires actuels de dégager deux grands axes.
Tout d’abord, le souhait de permettre le maintien et de développer les services publics sur Pézenas (Gendarmerie,….).
Ensuite, la construction de logements accessibles au plus grand nombre. Pézenas, située historiquement à un carrefour routier, subit, bien évidemment, une pression foncière importante ; les prix de l’immobilier s’envolent. Que la puissance publique joue enfin son rôle dans la maîtrise du marché ne peut qu’’être positif pour les familles piscénoises, notamment les familles modestes.
L’arrivée ou le maintien de cette population à Pézenas représente l’avenir pour la ville : vie des écoles, développement du tissus associatif et développement économique, dont les services de proximités.
Arrivée en 2020 en ayant cette épée de Damoclès financière au-dessus de la tête, l’équipe municipale se devait d’agir, et le projet présenté est le meilleur qui puissent être…
Ce serait une grave erreur de passer à la réalisation de ce projet qui priverait Pézenas d'une capacité de produire une part importante de son alimentation, potentiel précieux pour les générations qui se succéderont alors que le Maire actuel, lui sera bien loin....Dans le cadre actuel on ne peut se contenter du présent, il faut se projeter ce dont nous n'avons pas la pratique.
Le coût du projet est par ailleurs démesuré:25 millions d'euros, qui peut entraîner Pézenas dans spirale d'endettement très grave.
Lors de l'appel d'offre, les candidats ne se sont pas bousculés! Le peu de rentabilité du projet les a fait fuir...
La cour des comptes régionale ne dit pas autre chose.
Monsieur le Préfet entendra-t'il les arguments des opposante?..
François Ravenet
Défavorable ou favorable reste un sentiment. Aussi, je souhaite axer ma contribution sur des éléments factuels.
1 / LE PROJET SE BASE SUR LA POSSIBILITÉ D’AUGMENTER LA POPULATION DE PÉZENAS EN CRÉANT DE NOUVELLES OFFRES DE LOGEMENT.
Sur ce point, le passé peut nous éclairer. Depuis 2011, Pézenas a artificialisé plus de 7 hectares de terres pour construire plus de 350 logements. Mais dans le même temps, la population de Pézenas n’a pas augmenté, elle a même parfois légèrement régressé. La densité de population a même diminué de 6 % sur cette période. Aussi, le procédé de construire de nouveaux logements pour augmenter la population n’a pas été efficace hier. Alors pourquoi le serait-il demain ?
De plus, il est probable que cette politique n’ait eu comme conséquences qu’un étalement urbain source de coûts complémentaires et d’impacts environnementaux plus importants et peu en phase avec les directives en vigeur.
Sur ce point, je ne peux pas être favorable à prendre un risque.
2 / ARRÊTER SAINT CHRISTOL COÛTERAIT BEAUCOUP D’ARGENT ET METTRAIT EN PÉRIL LES FINANCES DE LA VILLE.
Sur ce point aussi, il est important d’étudier les chiffres à notre disposition. Dans les documents du dossier de l’enquête publique, un document s’intitule : « Appréciation sommaire des dépenses ».
On y apprend :
- Le coût global du projet Saint Christol est estimé à 30 M €
- L’acquisition des terres agricoles ne représnte que 5 M € (17 %)
- Dans ce coût global, une « taxe » est due pour s’autoriser à détruire la biodiversité d’un montant de 3,5 M € (12 %)
Arrêter le projet engendrera probablement des coûts. Mais le réaliser aussi ! ... et peut-être même beaucoup plus !
D’autant que rien n’est indiqué sur les coûts probables induits et non référencés dans cette estimation (infrastructure pour le trafic et la jonction du quartier avec le centre-ville, éclairage, station d’épuration, décentralisation de services publics, …)
Sur ce point également, il y a à minima un doute à prendre en compte et à estimer !
Aussi, je me positionne comme « défavorable » sur ce projet car des éléments factuels m’y engagent.
Cordialement.
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,
Ce projet est en totale contradiction avec les recommandations de la loi "climat et résilience" ainsi qu 'avec les orientations prises par le SCOT du bitérrois et signées par nos élus.
Nos régions deviennent de plus en plus arides, nos besoins en eau sur ce projet sont estimés à 300.000 m3 par an, folie que de penser que nos nappes phréatiques sont inépuisables ou que le détournement des eaux du Rhône pourront suffire sur le long terme.
Les phénomènes climatiques violents et imprévisibles deviennent la norme : Pézenas est une zone sensible en matière d'inondations, le bas de la ville est souvent inondé : l'impact de la bétonisation de St Christol va aggraver lourdement ce phénomène.
Les inondations de 2019 sont là pour en témoigner : l accès par la Grange des Prés ( seul lieu d'accès dans le futur projet) était impossible.( et dire qu 'on veut y implanter la future gendarmerie !)
Cette zone se trouve enclavée entre la montée des eaux de l Hérault,de la possible transformation du ruisseau de Tartuguet en torrent et du débordement de La Peyne.
La conjonction de ces 3 débordements aurait des conséquences catastrophiques dont nos dirigeants devront porter l entière responsabilité.
Autre impact non négligeable : le trafic routier va augmenter de 17%. Nos infrastructures routières ne sont absolument pas adaptées à ce flot nouveau de véhicules.
On annonce aussi une compensation écologique par la mise en place d'une zone à cet effet, mais celle-ci est déjà une zone naturelle : elle ne peut venir compenser une autre zone naturelle détruite.
Enfin, ce projet global engage la collectivité sur un dépense de 25 millions d'euros : Pour quelle rentrée d'argent ? Sa viabilité économique repose sur la vente effective de tous les lots.Vu les prix annoncés au m2 cela est un énorme pari très risqué.
Je suis donc extremement défavorable à ce projet archaïque, d'un autre temps et en contradiction totale avec les recommandations de nos instances dirigeantes à l échelon national ou départemental.
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau...?
En même temps, il est fait le constat que la ville de Pézenas stagne en matière de développement, depuis de nombreuses années, il suffit de se référer aux enquêtes INSEE sur l'évolution stagnante, voire négative de la population, une rare exception dans le département de l'Hérault.
Il me semble que la voie prise par la municipalité actuelle est une voie médiane : permettre un certain développement de la ville, tout en revisitant entièrement le projet pour prendre en compte de meilleurs conditions de réalisation du projet : impact environnemental en diminuant le nombre de logements, lien avec le bourg centre, activité économique pour éviter le destin des cités "dortoir". Y renoncer serait condamner Pézenas au déclin pour de nombreuse années.
Se fera?, se fera pas?
Sans l'organisation de réunions publiques à grands renforts d'experts en hydrologie, écologie, urbanistes visionnaires, services de l'état en charge des équilibres financiers des communes etc.., à défaut donc d'avoir pu se nourrir de l'avis de ces spécialistes, prendre une décision sur Saint Christol relève de la voyance.
''PLOUM PLOUM'' favorable ou défavorable?
En visionnant les photos de l'inondation du quartier de saint Christol de 2019 (page Facebook ''Pour un autre projet st Christol à Pézenas'' et de ses voies d'accès), comment ne pas s'interroger, avec les phénomènes Cévenols et Méditerranéens, sur les risques pris par les promoteurs de ce projet.
''Saint Christol les pieds dans l'eau'', ce titre pourrait faire la une de la presse régionale dans les années à venir.
Avec une consommation d'eau potable autour de 300 000m3/an et dans une période ou la pénurie de la ressource fait l'objet des préoccupations des Maires de l'Hérault (permis de construire gelés) comment ne pas s'interroger sur le risque de subir des coupures d'eau sur l'ensemble du réseau.
''Pézenas en manque d'eau'', ce titre pourrait faire la une de la presse régionale dans les années à venir.
Dans ma réflexion je prends en compte l'avis des élus locaux qui nous alertent sur la perte d'autonomie financière si le projet ne venait pas à se réaliser (somme déjà engagée - achat des terrains pour une valeur de 5 millions d'euros). Cependant, je n'ai jamais eu connaissance du coût des réalisations à engager, engendrées par l'apport de 1500 habitants:
-construction de classes supplémentaires
-recrutement de policiers municipaux
-construction d'une salle polyvalente pour une jauge de 10 000 habitants
-création et réfection de salles dédiées aux associations déjà à l'étroit en ville
-centre social à redimensionner
-création de pistes cyclables, parkings
-réfection/sécurisation des 3 ponts dédiés aux déplacements doux (pont en fer, pont près du chemin de Castres et pont sur Tartuguier)
-financements récurrents pour animer/soutenir le commerce local qui sera impacté par la réalisation sur le nouveau quartier de saint Christol d'une halle marchande avec commerces de bouches, bistrots, restaurants....
liste non exhaustive.......
Entre-temps Pézenas faute d'argent se délite (endettement antérieur à 2020):
-chemins vicinaux à l'abandon
-trottoirs en périphérie dégradés
-voiries abimées par une fréquentation excessive (déviation chantier avenue de Verdun)
Etc..etc..
Bref, avec le village St Christol il ne faudra pas déshabiller Pierre pour habiller Paul.
Mais le risque avec la réalisation de Saint Christol pourrait venir de la difficulté à commercialiser les 650 logements sur un territoire où le travail n'est pas légion..
Le marché sera t'il porteur, aurons nous la latitude de baisser le prix du M2 sans mettre en péril les finances de la ville ?
On peut s'attendre également, fuyant des conditions de vie insupportables, à un déplacement de la population du centre ville vers Saint Christol à la recherche d'un appartement décent en location. Est-ce le but recherché?
Conclusion: Saint Christol, REUSSITE ou FIASCO ?, devant tant d'interrogations et le sentiment d'avancer sur un terrain miné, je suis défavorable à ce projet
Je tiens à vous faire part de ma profonde désapprobation vis à vis du projet de futur quartier qui, s'il se concrétisait:
- constituerait un aménagement urbain dans un espace agricole, sans continuité urbaine avec la ville. Ceci est en totale contradiction avec l'esprit de la loi ZAN (Zéro Artificialisation Nette). Plutôt que d'être artificialisées, les surfaces concernées pourraient, au moins en partie, contribuer à produire des denrées alimentaires pour la consommation locale.
- accentuerait en raison de l'importance des surfaces imperméabilisées, le risque de ruissellement vers les quartiers en contrebas de la ville, lors des orages.
- ferait courir un risque accru de rupture de l'alimentation en eau potable à l'ensemble des habitants du Piscénois. L'accroissement de la consommation d'eau potable consécutive à l'augmentation de la population prévue pourra-t-elle être assurée dans le contexte de réchauffement climatique et de sècheresses récurrentes que nous connaissons? (2000 h X 150l/jour = 110 000 m3/an, plus l'eau des piscines)
D'une façon générale, de par son importance, ce projet entrainerait, outre les dépenses considérables d'investissement et de fonctionnement, un véritable bouleversement pour la vie des habitants de Pézénas. Il est clairement démesuré et doit être abandonné en l'état.
C'est pourquoi, je vous demande, Monsieur le commissaire enquêteur, d'émettre un avis défavorable au projet de futur quartier de St Christol.
Rémy Coulet, président de l'association St Hilaire Durable, 30560 St Hilaire de Brethmas
Cordialement.
Charlin C.
- En effet, le problème d'alimentation en eau est un vrai soucis. Les restrictions que nous pourront subir dans le futur s'accélèrerai avec ces constructions nouvelles.
- Supprimer une zone importante d'absorbation de l'eau de pluie dans notre région, souvent inondée, n'est pas la meilleur des solutions à apporter.
- 24 hectares de terre agricole supprimer réduirait le développement de circuit court et freinerai le développement de l'agriculture locale.
- La création du nombre de logement en extérieur du centre ville de Pézenas risque fortement de faire partir des habitants du centre sans pour autant faire augmenter le nombre d'habitants mais en désertifiant le centre ville avec évidement un impact sur les commerces.
- Si augmentation de la population il y a, comment absorber la hausse du trafic routier (Sur le pont de Nizas !!) la hausse des enfants à scolariser...
- Il me semble que le Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville a émis un avis négatif mais que peu de personne ne le savent.
Merci de prendre en compte ces arguments et de renoncer à ce projet qui aura un surcout financier et écologique avec de grave conséquences. De plus, même si ce projet a été enclenché avant la loi ZAN (zéro artificialisation nette en aout 2021), si cette loi est passé, il est cohérent d'en tenir compte...
Le projet vise à augmenter la population de Pézenas, mais les données de l'INSEE des 15 dernières années montrent une réalité différente. Bien que le nombre de logements ait augmenté, notamment avec une artificialisation de plus de 7,2 hectares pour des projets immobiliers, la population est restée stable voire a diminué. Ce phénomène met en lumière une contradiction dans la gestion du développement urbain, car malgré l'ajout de logements, aucun impact significatif sur la croissance démographique n’a été observé. Par ailleurs, la densité urbaine a diminué, révélant une tendance à l'étalement urbain, phénomène opposé aux objectifs de la loi "Climat et Résilience" qui prône une densification dans les zones déjà urbanisées afin de réduire les impacts environnementaux liés aux déplacements motorisés.
2 / Logements vacants et création de nouveaux logements, conflit avec la loi "Climat et résilience" et le futur SCoT.
Pézenas compte actuellement plus de 700 logements vacants, représentant un taux de vacance de 13,6 % en 2021, selon l’INSEE. Pourtant, le projet prévoit la construction de 655 nouveaux logements. Ce projet va à l'encontre des recommandations de la loi "Climat et Résilience", qui encourage la réhabilitation des logements vacants avant de construire de nouveaux bâtiments. De plus, la création de nouveaux logements s'oppose aux directives du futur SCOOT du Biterrois, en cours de révision, qui impose des mesures strictes contre l’étalement urbain et encourage une meilleure densification dans les zones déjà urbanisées. Le manque d’étude sérieuse sur l’alternative consistant à réutiliser une partie du parc de logements vacants renforce l’incohérence du projet par rapport aux objectifs nationaux et régionaux de préservation des sols.
Il me semble important et urgent d'en appeler à une démocratie locale et participative sur ce sujet, sachant que même les collèges ‘Citoyens et Associations’ du Conseil Citoyen pour la Transition Écologique de Pézenas (CCTE) se sont prononcés de façon ‘défavorable’ pour le projet dans son état actuel, sans qu’à ce jour, il n’en soit fait état ni dans un conseil municipal ni dans les documents de consultation de cette enquête.
Dans une région déjà touchée par des périodes de sécheresse de plus en plus longues et une gestion de l'eau en tension, il est légitime de se demander si les ressources en eau seront suffisantes pour alimenter un tel projet immobilier. Durant l’hiver dernier, plusieurs villages aux alentours ont dû être approvisionnés en eau par camions-citernes. L'ajout de 2 000 habitants supplémentaires à Pézenas risque d'aggraver cette situation. Où trouverons-nous l’eau nécessaire pour assurer les besoins de cette population croissante ?
2. **Impact environnemental sur l’hydrologie locale :**
La bétonisation de 24 hectares de terres agricoles à Saint Christol risque d’avoir un effet délétère sur le cycle de l’eau. En supprimant une zone d’absorption naturelle, le ruissellement des eaux pluviales vers les zones déjà sensibles de la ville pourrait s’intensifier, augmentant le risque d’inondations dans les secteurs vulnérables comme la rue Conti, l’avenue de Castelnau, ou encore les Calquières basses et hautes. De plus, la réduction des surfaces perméables ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique, ressource déjà sous pression.
3. **Perte de terres agricoles fertiles :**
La destruction de ces 24 hectares de terres agricoles, particulièrement fertiles, entraînerait une réduction significative de la production alimentaire locale, affaiblissant ainsi l’approvisionnement en produits agricoles du Piscénois. Alors que l’importance des circuits courts et de l’agriculture locale est de plus en plus reconnue, cette perte de terres arables serait dommageable pour la souveraineté alimentaire locale.
4. **Augmentation du trafic routier :**
L’ajout de 700 nouveaux logements entraînerait une augmentation de 17 % du trafic routier, un chiffre considérable dans une ville comme Pézenas. Comment le réseau routier, notamment le pont de la Peyne, pourrait-il absorber cet afflux sans entraîner des embouteillages, une augmentation de la pollution et des nuisances sonores pour les riverains ? Aucune solution viable n’est actuellement proposée pour gérer cet impact sur la mobilité urbaine.
5. **Équilibre commercial menacé :**
La création d’une Halle Gourmande de 700 m² à Saint Christol pourrait nuire au commerce local, notamment celui du centre-ville de Pézenas. En attirant une partie de la clientèle vers cette nouvelle zone, il y a un risque de désertification commerciale du centre historique, déjà en difficulté. Le projet de nouvelle Halle ne doit pas se faire au détriment des commerces existants.
6. **Capacité des infrastructures scolaires :**
Avec l’arrivée de nombreuses familles, il est nécessaire de se demander si les infrastructures scolaires, notamment les écoles primaires, seront capables d’accueillir tous ces nouveaux élèves. Les investissements scolaires dépendent de la commune, mais aucune garantie ni plan précis n’a été présenté pour la construction de nouvelles écoles ou l’agrandissement des infrastructures existantes. De plus, si des fonds importants sont alloués à ce nouveau quartier, cela pourrait compromettre les budgets destinés à d'autres secteurs, comme la rénovation du centre-ville.
7. **Capacité de la station d'épuration :**
La station d’épuration actuelle est-elle en mesure de traiter les eaux usées supplémentaires générées par ces 2 000 nouveaux habitants ? Si ce n’est pas le cas, des investissements conséquents devront être réalisés, ce qui représenterait un coût supplémentaire pour la commune. Une question cruciale reste sans réponse : comment la commune financera-t-elle ces infrastructures sans alourdir la fiscalité locale ?
8. **Investissements supplémentaires à la charge de la commune :**
La mise en place d’infrastructures supplémentaires, telles que des liaisons piétonnes et cyclables entre Saint Christol et Pézenas, ou la gestion des zones inondables et des routes environnantes (comme celle de Nizas), générera des coûts significatifs pour la commune. Ces dépenses n’ont pas été intégrées dans l’analyse du projet et risquent de grever le budget municipal.
9. **Manque de transparence dans la gestion du projet :**
Enfin, il est inquiétant de constater que l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n’a pas été rendu public ni joint au dossier. Ce manque de transparence nuit à la confiance des citoyens dans le processus de consultation publique et laisse planer des doutes sur les réelles motivations derrière ce projet.
**Conclusion :**
Le projet de création d’un quartier de 700 logements à Pézenas, bien que répondant à des besoins en termes de logements, pose de nombreuses questions quant à sa faisabilité, son impact environnemental et social, ainsi que les coûts pour la commune. Il est essentiel que ces préoccupations soient sérieusement prises en compte avant de poursuivre ce projet.
La destruction de 24 hectares de terres agricoles réduira la possibilité de produire localement, mais pourrait également aggraver les risques d'inondations dans certaines zones vulnérables de la ville. De plus, l'augmentation prévue du trafic routier et l'absence de solutions pour les infrastructures scolaires et la station d'épuration posent de sérieux problèmes. Enfin, le manque de transparence dans la gestion du projet sème le doute quant à ses véritables motivations.
Dans une région déjà touchée par des périodes de sécheresse de plus en plus longues et une gestion de l'eau en tension, il est légitime de se demander si les ressources en eau seront suffisantes pour alimenter un tel projet immobilier. Durant l’hiver dernier, plusieurs villages aux alentours ont dû être approvisionnés en eau par camions-citernes. L'ajout de 2 000 habitants supplémentaires à Pézenas risque d'aggraver cette situation. Où trouverons-nous l’eau nécessaire pour assurer les besoins de cette population croissante ?
2. **Impact environnemental sur l’hydrologie locale :**
La bétonisation de 24 hectares de terres agricoles à Saint Christol risque d’avoir un effet délétère sur le cycle de l’eau. En supprimant une zone d’absorption naturelle, le ruissellement des eaux pluviales vers les zones déjà sensibles de la ville pourrait s’intensifier, augmentant le risque d’inondations dans les secteurs vulnérables comme la rue Conti, l’avenue de Castelnau, ou encore les Calquières basses et hautes. De plus, la réduction des surfaces perméables ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique, ressource déjà sous pression.
3. **Perte de terres agricoles fertiles :**
La destruction de ces 24 hectares de terres agricoles, particulièrement fertiles, entraînerait une réduction significative de la production alimentaire locale, affaiblissant ainsi l’approvisionnement en produits agricoles du Piscénois. Alors que l’importance des circuits courts et de l’agriculture locale est de plus en plus reconnue, cette perte de terres arables serait dommageable pour la souveraineté alimentaire locale.
4. **Augmentation du trafic routier :**
L’ajout de 700 nouveaux logements entraînerait une augmentation de 17 % du trafic routier, un chiffre considérable dans une ville comme Pézenas. Comment le réseau routier, notamment le pont de la Peyne, pourrait-il absorber cet afflux sans entraîner des embouteillages, une augmentation de la pollution et des nuisances sonores pour les riverains ? Aucune solution viable n’est actuellement proposée pour gérer cet impact sur la mobilité urbaine.
5. **Équilibre commercial menacé :**
La création d’une Halle Gourmande de 700 m² à Saint Christol pourrait nuire au commerce local, notamment celui du centre-ville de Pézenas. En attirant une partie de la clientèle vers cette nouvelle zone, il y a un risque de désertification commerciale du centre historique, déjà en difficulté. Le projet de nouvelle Halle ne doit pas se faire au détriment des commerces existants.
6. **Capacité des infrastructures scolaires :**
Avec l’arrivée de nombreuses familles, il est nécessaire de se demander si les infrastructures scolaires, notamment les écoles primaires, seront capables d’accueillir tous ces nouveaux élèves. Les investissements scolaires dépendent de la commune, mais aucune garantie ni plan précis n’a été présenté pour la construction de nouvelles écoles ou l’agrandissement des infrastructures existantes. De plus, si des fonds importants sont alloués à ce nouveau quartier, cela pourrait compromettre les budgets destinés à d'autres secteurs, comme la rénovation du centre-ville.
7. **Capacité de la station d'épuration :**
La station d’épuration actuelle est-elle en mesure de traiter les eaux usées supplémentaires générées par ces 2 000 nouveaux habitants ? Si ce n’est pas le cas, des investissements conséquents devront être réalisés, ce qui représenterait un coût supplémentaire pour la commune. Une question cruciale reste sans réponse : comment la commune financera-t-elle ces infrastructures sans alourdir la fiscalité locale ?
8. **Investissements supplémentaires à la charge de la commune :**
La mise en place d’infrastructures supplémentaires, telles que des liaisons piétonnes et cyclables entre Saint Christol et Pézenas, ou la gestion des zones inondables et des routes environnantes (comme celle de Nizas), générera des coûts significatifs pour la commune. Ces dépenses n’ont pas été intégrées dans l’analyse du projet et risquent de grever le budget municipal.
9. **Manque de transparence dans la gestion du projet :**
Enfin, il est inquiétant de constater que l’avis négatif du Conseil Citoyen de la Transition Écologique de la Ville de Pézenas n’a pas été rendu public ni joint au dossier. Ce manque de transparence nuit à la confiance des citoyens dans le processus de consultation publique et laisse planer des doutes sur les réelles motivations derrière ce projet.
**Conclusion :**
Le projet de création d’un quartier de 700 logements à Pézenas, bien que répondant à des besoins en termes de logements, pose de nombreuses questions quant à sa faisabilité, son impact environnemental et social, ainsi que les coûts pour la commune. Il est essentiel que ces préoccupations soient sérieusement prises en compte avant de poursuivre ce projet.
Qu'en est-il de la scolarisation des nouveaux élèves. Aucune info !
Des terres fertiles détruites.
Le bétonnage du quartier de St Christol accentuera le ruissellement et les inondations des quartiers bas de la ville et des zones sensibles.
Ce ruissellement contribuera à l'assèchement des nappes phréatiques.
Ne pas oublier que des villages alentours de Pézenas ont été approvisionnés en eau par camion-citerne. Qu'en serait-il de Pézenas si un tel projet aboutissait ? La ressource en eau étant déjà en tension, pourrait-on fournir de l'eau à l'ensemble de la population ?
Pour Toutes ces raisons, je suis entièrement défavorable pour qu'un tel projet, entièrement dommageable et non essentiel, aboutisse.
Monsieur le Commissaire enquêteur,
Bien que n’ayant pas ma résidence principale à Pézenas, je reste très attaché à la ville de mon enfance, ma cité de cœur, dans laquelle demeurent nombre de mes proches que je visite régulièrement. C’est pourquoi, je ne suis pas insensible à l’évolution de Pézenas quel que soit le domaine : politique, économique, culturel, sportif…et surtout environnemental.
J’ai suivi la campagne électorale en 2020, j’ai été ravi de la victoire de la liste pilotée par Armand Rivière parce que, j’avais notamment noté son positionnement défavorable sur le volumineux projet d’urbanisation totalement excentré sur le secteur de St Christol. Aussi son revirement et entêtement, à vouloir porter ce projet aberrant, initié par son concurrent sont d’autant plus surprenants. En semblant malheureusement illustrer la formule politicienne : « les promesses des hommes politiques n’engagent que ceux qui les reçoivent », cette municipalité accentue la défiance des citoyens envers les élus.
Ce projet d’un autre temps, n’a pas sa raison d’être et l’argument principal, souvent avancé par l’équipe municipale , à savoir porter la population de Pézenas à 10.000 habitants au lieu de 8.000 pour peser plus dans l’agglo dirigée par Agde est spécieux, dérisoire voire ridicule. Quand j’étais en CM2 en 1961-62 , Pézenas comptait autour de 8.000 habitants et son territoire urbanisé était 3 fois moins étendu qu’aujourd’hui :pas une construction au-delà du cimetière et de la Faissine. En 60 ans, le centre ville s’est largement vidé, les lotissements ont fleuri partout et la ville compte toujours ….8.000 habitants. Donc ce projet va continuer à vider le cœur de ville et à augmenter sa vacance commerciale. Les rues seront quasiment désertées sauf pendant la période touristique. Un cœur de ville moribond 9 mois sur 12. Il y a matière et urgence à redynamiser le centre ville plutôt que d’accélérer l’hémorragie de la population au profit de la périphérie d’autant que la loi ZAN incite à ne pas artificialiser les surfaces agricoles ou naturelles (comme le secteur de St Christol) mais plutôt à re-naturaliser , à restaurer de vieux quartiers et à « bâtir sur du bâti ». Il ne manque pas de secteurs sur la ville pour appliquer la loi ZAN. Avec ce projet sur St Christol , on s’en affranchit totalement pour faire l’inverse.
La principale justification municipale pour poursuivre ce projet n’est donc pas validée par les données urbanistiques et démographiques. Je pense que les élus le savent bien. La principale raison , non avouée, à cet entêtement qui confine à un déni de démocratie est en réalité financière. La municipalité précédente a engagé des dépenses en particulier en études diverses et cet argent serait donc perdu. Comme il s’agit d’un projet communal et non communautaire, la ville, déjà bien endettée, supporterait seule le coût de ce retrait. Du coup, la municipalité poursuit cette aventure, avec quelques modifications marginales qui ne changent rien sur le fond, en espérant d’illusoires retombées financières. Au passage, si la qualité de vie était tributaire de la hausse du nombre d’habitants, cela se saurait dans toutes les métropoles et mégalopoles.
Je ne m’y attarderai pas - d’autres, plus compétents, le feront mieux que moi - mais sachez que je partage en tout point l’analyse de l’association « Pour un autre projet Saint Christol ». Ses arguments sur : la non artificialisation supplémentaires des sols, le développement de l’activité agricole et la recherche d’une meilleure autonomie alimentaire, le maintien de l’activité commerciale en centre-ville, la gestion de l’eau (risques de sécheresse ou d’inondation), la préservation des paysages et de la biodiversité, les problèmes de circulation …etc, sont particulièrement pertinents et recevables. Ils devraient largement suffire pour invalider ce projet.
Cette enquête publique qui remet entre les mains d’une seule personne étrangère à Pézenas un projet aussi important qui va impacter la vie de 8000 piscénois et le devenir à long terme de la commune, n’aurait jamais dû être diligentée. Puisqu’il s’agit d’un projet communal, il aurait fallu que la municipalité prenne l’initiative d’une consultation citoyenne comme d’autres élus soucieux de l’avis de leurs électeurs sur un projet structurant l’ont déjà fait… parfois tardivement (cf St hilaire de Brethmas dans le Gard pour un projet de golf immobilier) . Il n’est pas trop tard pour le faire. En effet, il ne sert à rien d’évoquer tous les 4 matins son attachement à la démocratie participative, comme le fait régulièrement la municipalité actuelle, si elle se contente d’interroger les citoyens sur des détails, sur l’accessoire tout en les boycottant sur des sujets essentiels. Et ce projet ne relève pas de l’accessoire mais bien de l’essentiel. Dans leur for intérieur, les élus le savent bien.
On gagne toujours à consulter, en amont d’un projet important, les citoyens. On évite ainsi des tensions rudes et des divisions persistantes.
Mon sentiment c’est qu’il vaut mieux continuer à entendre parler de Pézenas pour Molière, Bobby Lapointe, le poulain, les petits pâtés, son équipe de rugby, la qualité de sa démocratie vraiment participative…etc, que pour un conflit écologique durable autour d’une nouvelle ZAD (zone à défendre) dans une petite ville , a priori, dirigée par une équipe qui se dit en plus sensible à la protection de l’environnement.
Avis totalement défavorable à ce projet mais favorable à un référendum local. Que les citoyens tranchent !
Veuillez agréer, Monsieur le commissaire-enquêteur, mes sincères salutations.
Joseph Varéa
C est une course pour éviter l interdit.
Eviter les catastrophes climatiques et pertes humaines me paraissent être une priorité même si un aménagement est fait pour éviter l accident.
De plus cette eau va bien devoir s écouler, n est ce pas au detriment des habitants de certaines rues de Pezenas ??
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau...).
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,etc.).
En bétonnant 24 hectares de terres agricoles, on réduit les surfaces qui absorbent naturellement l’eau de pluie. Cela risque d’aggraver le ruissellement et de provoquer des inondations dans des zones déjà sensibles comme la rue Conti ou l’avenue de Castelnau. Sans ces espaces pour absorber l’eau, les pluies fortes pourraient causer encore plus de dégâts dans ces quartiers.
2. **Trafic saturé :**
Ajouter 700 logements va augmenter le trafic de 17 %, alors que des axes comme le pont de la Peyne sont déjà saturés. Cela signifie plus d’embouteillages, des trajets plus longs pour tout le monde, et plus de pollution et de bruit pour les riverains. Le réseau routier n’est pas prêt à supporter un tel afflux sans gros investissement
1. **Surcharge du réseau routier :**
L’ajout de 700 nouveaux logements entraînera une hausse significative du trafic, estimée à 17 %. Le pont de la Peyne, axe stratégique de circulation, est déjà saturé. Avec ce nouvel afflux de véhicules, les embouteillages deviendront plus fréquents, affectant la fluidité des déplacements dans toute la ville et ses environs.
2. **Impact sur la qualité de vie :**
L'augmentation du trafic entraînera une hausse des nuisances sonores, ainsi qu'une augmentation de la pollution atmosphérique, affectant directement la qualité de vie des habitants. Les zones résidentielles proches des axes routiers risquent d’en pâtir lourdement, sans parler de l’impact sur les trajets quotidiens, qui deviendront plus longs et pénibles.
3. **Absence de solutions adaptées :**
Aucun plan concret n’a été proposé pour moderniser ou élargir les infrastructures routières existantes afin d’absorber cette augmentation. Sans investissements significatifs dans les infrastructures de transport, la ville sera confrontée à un réseau routier de plus en plus saturé
L’arrivée de 700 nouveaux logements générerait une hausse estimée à 17 % du trafic routier. Le réseau actuel, notamment le pont de la Peyne, est déjà saturé aux heures de pointe. Cette augmentation entraînerait des embouteillages fréquents, une aggravation de la pollution atmosphérique et sonore, ainsi que des difficultés de circulation pour les habitants. Aucune solution efficace n’a été proposée pour absorber cette surcharge de trafic.
2. **Tension sur les ressources en eau :**
En pleine crise de sécheresse, la gestion de l’eau est déjà problématique dans la région. Plusieurs villages voisins ont dû être approvisionnés par camions-citernes cet hiver, soulignant la fragilité des ressources disponibles. L’ajout de 2 000 habitants supplémentaires à Pézenas, sans augmentation adéquate des capacités d’approvisionnement, aggraverait cette situation. Il est légitime de se demander où et comment la commune pourra puiser l’eau nécessaire à cette nouvelle population.
1. **Saturation des infrastructures scolaires :**
Avec l’arrivée de nombreux nouveaux habitants, les écoles primaires de la ville risquent d’être rapidement surchargées. Aucun plan clair pour construire de nouvelles écoles ou agrandir les existantes n'a été proposé.
2. **Approvisionnement en eau insuffisant :**
En pleine sécheresse croissante, Pézenas connaît déjà des tensions sur les ressources en eau. Avec 2 000 habitants supplémentaires, l'approvisionnement deviendrait encore plus critique, comme en témoignent les villages alentours approvisionnés par camions-citernes.
3. **Capacité limitée de la station d'épuration :**
La station d’épuration actuelle pourrait ne pas être capable de traiter les eaux usées générées par l’augmentation de la population, ce qui nécessiterait des investissements coûteux pour la commune.
4. **Augmentation du trafic routier :**
La hausse de 17 % du trafic, notamment sur le pont de la Peyne, entraînerait des embouteillages et une dégradation de la qualité de vie des habitants, avec plus de pollution et de nuisances sonores.
5. **Risques environnementaux :**
La destruction de 24 hectares de terres agricoles entraînera une augmentation du ruissellement des eaux de pluie, aggravant les risques d'inondations dans plusieurs zones sensibles de la ville. De plus, le bétonnage empêchera le rechargement de la nappe phréatique, accentuant la pression sur cette ressource vitale.
6. **Impact sur le commerce local :**
La création d’une Halle Gourmande à Saint Christol pourrait détourner la clientèle du centre-ville, mettant en difficulté les commerçants locaux déjà fragilisés.
**Conclusion :**
Le projet présente de nombreuses lacunes en termes d’infrastructures, d’impact environnemental et d’adaptation à la réalité locale. Il nécessite une réflexion plus approfondie avant toute mise en œuvre.
Dans un contexte de sécheresse croissante, les ressources en eau sont déjà sous tension. L’ajout de 2 000 habitants mettrait encore plus à mal l’approvisionnement en eau, alors que certains villages ont déjà été ravitaillés par camions-citernes cet hiver.
2. **Impact environnemental :**
La bétonisation de 24 hectares à Saint Christol réduirait l’absorption des eaux pluviales, aggravant le ruissellement et les risques d’inondations dans certaines zones de Pézenas. De plus, la nappe phréatique ne serait plus correctement rechargée.
3. **Augmentation du trafic :**
L’augmentation de 17 % du trafic routier sur des infrastructures déjà saturées, comme le pont de la Peyne, provoquerait des embouteillages, accentuant pollution et nuisances.
4. **Risques pour le commerce local :**
La création d'une Halle Gourmande à Saint Christol pourrait détourner la clientèle du centre-ville, fragilisant les commerces locaux.
5. **Manque d'infrastructures scolaires :**
Les écoles primaires existantes ne semblent pas prêtes à accueillir les nouveaux élèves. Aucun plan concret n’a été présenté pour adapter ces infrastructures.
6. **Station d'épuration insuffisante :**
La station d’épuration actuelle pourrait ne pas suffire pour traiter les eaux usées supplémentaires, nécessitant des investissements coûteux pour la commune.
**Conclusion :**
Le projet présente de sérieux risques environnementaux, infrastructurels et économiques pour Pézenas. Il est essentiel de revoir ces points avant d’aller plus loin.
Dans une région déjà touchée par des périodes de sécheresse de plus en plus longues et une gestion de l'eau en tension, il est légitime de se demander si les ressources en eau seront suffisantes pour alimenter un tel projet immobilier. Durant l’hiver dernier, plusieurs villages aux alentours ont dû être approvisionnés en eau par camions-citernes. L'ajout de 2 000 habitants supplémentaires à Pézenas risque d'aggraver cette situation. Où trouverons-nous l’eau nécessaire pour assurer les besoins de cette population croissante ?
2. **Impact environnemental sur l’hydrologie locale :**
La bétonisation de 24 hectares de terres agricoles à Saint Christol risque d’avoir un effet délétère sur le cycle de l’eau. En supprimant une zone d’absorption naturelle, le ruissellement des eaux pluviales vers les zones déjà sensibles de la ville pourrait s’intensifier, augmentant le risque d’inondations dans les secteurs vulnérables comme la rue Conti, l’avenue de Castelnau, ou encore les Calquières basses et hautes. De plus, la réduction des surfaces perméables ne contribuerait plus au rechargement de la nappe phréatique, ressource déjà sous pression.
3. **Augmentation du trafic routier :**
L’ajout de 700 nouveaux logements entraînerait une augmentation de 17 % du trafic routier, un chiffre considérable dans une ville comme Pézenas. Comment le réseau routier, notamment le pont de la Peyne, pourrait-il absorber cet afflux sans entraîner des embouteillages, une augmentation de la pollution et des nuisances sonores pour les riverains ? Aucune solution viable n’est actuellement proposée pour gérer cet impact sur la mobilité urbaine.
4. **Équilibre commercial menacé :**
La création d’une Halle Gourmande de 700 m² à Saint Christol pourrait nuire au commerce local, notamment celui du centre-ville de Pézenas. En attirant une partie de la clientèle vers cette nouvelle zone, il y a un risque de désertification commerciale du centre historique, déjà en difficulté. Le projet de nouvelle Halle ne doit pas se faire au détriment des commerces existants.
5. **Capacité des infrastructures scolaires :**
Avec l’arrivée de nombreuses familles, il est nécessaire de se demander si les infrastructures scolaires, notamment les écoles primaires, seront capables d’accueillir tous ces nouveaux élèves. Les investissements scolaires dépendent de la commune, mais aucune garantie ni plan précis n’a été présenté pour la construction de nouvelles écoles ou l’agrandissement des infrastructures existantes. De plus, si des fonds importants sont alloués à ce nouveau quartier, cela pourrait compromettre les budgets destinés à d'autres secteurs, comme la rénovation du centre-ville.
6. **Capacité de la station d'épuration :**
La station d’épuration actuelle est-elle en mesure de traiter les eaux usées supplémentaires générées par ces 2 000 nouveaux habitants ? Si ce n’est pas le cas, des investissements conséquents devront être réalisés, ce qui représenterait un coût supplémentaire pour la commune. Une question cruciale reste sans réponse : comment la commune financera-t-elle ces infrastructures sans alourdir la fiscalité locale ?
**Conclusion :**
Le projet de création d’un quartier de 700 logements à Pézenas, bien que répondant à des besoins en termes de logements, pose de nombreuses questions quant à sa faisabilité, son impact environnemental et social, ainsi que les coûts pour la commune. Il est essentiel que ces préoccupations soient sérieusement prises en compte avant de poursuivre ce projet.
"Elle conforte la lisibilité du caractère public de l’opération (validation par la commune de chaque étape de la procédure)
Elle conforte les conditions de mise en œuvre de l’opération (maîtrise foncière complète non nécessaire à l’obtention des autorisations et à la mise en œuvre du projet)
Elle permet une souplesse en matière de division foncière
J'espère que nous serons nombreux à suivre ce dossier, pour faire d'un très vieux dossier mal fagoté, une belle réalisation pour notre ville, apprécié par les futures générations.
Nous avons souhaité acquérir un bien il y a un peu plus de 3 ans mais le marché sur la commune de Pézenas était trop compliqué et nous avons dû nous rabattre sur un village a proximité de Pézenas.
Ce genre de projet nous aurait sans doute permis de rester dans notre ville de naissance.
Pézenas est une ville qui a un fort rôle de centralité et propose de nombreux services à la population. Dernièrement, en février 2002 une antenne de justice a ouvert ses portes permettant un accès aux droits et une justice de proximité. . Ce service public est un engagement de l'état qui a participé à sa création et qui donne du crédit au rôle de centralité de la ville.
Depuis de nombreuses années la ville perd ses habitants du fait de l' absence de développement du foncier. Natif de Pézenas et ayant grandi dans cette ville j'ai remarqué au fur et à mesure des années que les ménages ( jeunes ou vieux) s'établissaient dans les villages avoisinant malgré leur attachement à la ville. L'impact de l'absence de développement s'est traduit par une augmentation des impôts qui aujourd'hui participent à l' appauvrissement du pouvoir d'achat des ménages et détériorent leur qualité de vie.
Le futur quartier saint christol respecte les points environnementaux et ceux du bâti. Il a été soumis a un contrôle rigoureux des services de l'état.
permettez-moi de vous faire suivre ce message des habitants de St Christol :
"Nous, les oiseaux, les lézards et autres papillons vivant avec bonheur sur les parcelles de St Christol, disons à vous les humains :
Ce n'est pas gentil de couler du béton sur nos prairies, sur nos couleurs, sur nos fleurs; nous sommes fragiles, vous allez nous étouffer, nous allons mourir.
Non, vraiment, ce n'est pas gentil.
Et puis, tout ce bitum, ces autos, ces camions, dans quelques années, ça va vous retomber sur le nez.
Alors, vous regretterez et vous vous direz : nous aurions dû protéger les prairies, les couleurs et les fleurs.
Merci, très sincèrement, de nous écouter".
La question de la ressource en eau est très pertinente mais une commune seule ne peut pas apporter la réponse, elle est par définition pluricommunale voire préfectorale et à ce jour, aucune action sur l'installation de nouveaux habitants n'est envisagée.
Depuis sa prise de fonction en 2020, la nouvelle équipe municipale, héritant de ce projet déjà engagé juridiquement et financièrement, a beaucoup travaillé à sa réorientation et à son rééquilibrage à différents niveaux :
- logements : le projet prévoit aujourd'hui une mixité de logements, qu'ils soient collectifs ou individuels, avec notamment une résidence autonomie et une caserne de gendarmerie, ce qui renforcerait Pézenas dans son rôle de centralité.
- environnement : innovation en terme d'éclairage public, prise en compte des mobilités douces (cheminement piétons, pistes cyclables), recyclage des eaux grises pour l'arrosage, noues paysagères, espace pédagogique, etc.
- commerces : les nouveaux commerces projetés sont réfléchis afin de ne pas concurrencer ceux déjà existants en centre-ville.
Ce projet me semble être une opportunité pour l'avenir de Pézenas en offrant la possibilité aux jeunes et aux moins jeunes d'accéder à la propriété et/ou de se loger à un prix raisonnable, les terrains à bâtir et les maisons à vendre étant de plus en plus rares sur notre commune. Les Piscénois de ma génération ont eu la chance de pouvoir rester vivre à Pézenas, tandis que les générations suivantes faute de foncier disponible, ont été contraintes d'aller faire construire dans les villages environnants.
Enfin, ce projet permettrait une relance démographique et un rajeunissement de la population, dont Pézenas a cruellement besoin pour continuer à jouer son rôle de centralité et conserver des services publics de qualité. Est-il utile de rappeler que Pézenas est l'une des rares communes de l'Hérault à perdre des habitants depuis plusieurs années ?
Il fait tellement bon vivre à Pézenas, donnons la chance à d'autres d'y venir !
Elle a retravaillé le projet saint christol dans une voie moins consommatrice d’espaces, plus écologique et répondant aux enjeux de Pézenas.
Par ailleurs la création de commerce à St Christol nuirait aux commerces de Pézenas entraînant des licenciements et fermetures de commerces en centre ville et aux zones commerciales existantes.
Par ailleurs ce projet priverait les Piscénois de terres pouvant servir à la culture maraîchère pouvant nourrir les habitants de la commune et des environs.
- les commerces du centre ville vont souffrir de la concurrence de ce centre commercial qui va faire de ce quartier un "dortoir"
- le centre ville va devenir encore plus une galerie à touristes
- les terres agricoles sont rares: préservons les!
D’autre part, nous avons toujours souhaité être transparent avec nos concitoyens multipliant ainsi, depuis notre arrivée, les réunions publiques (en dehors des réunions réglementaires) pour expliquer le projet. Nous avons reçu en mairie soit en rendez-vous individuels, soit collectifs.
Globalement la porte est ouverte pour toutes celles et ceux qui souhaitent disposer d’informations sur le projet.
Je sais l’importance des différentes mixités (sociales et générationnnelles) et de la présence d’activités et de services de proximité proches des quartiers, ce qui semble prévu dans le projet Saint-Christol.
Je m’insurge contre un commentaire précédent qui semble lier logements sociaux, désœuvrement et délinquance. La phrase exacte de la personne contribuant étant « Ne tombons pas dans le piège des villes moyennes avec plus de logements sociaux, sans travail pour ceux qui y vivent ,s'ensuit le désoeuvrement source de délinquance... », Pézenas est loin de cette caricature !
- 24 hectares de terres agricoles bétonnées (Objectifs ZAN non atteignables)
- 17 % d’augmentation du trafic routier sur le pont de Peyne non adapté.
- 3500 m2 de commerces déstabilisant un peu plus les commerces du centre ville.
- 150 000 m3 d’eau en plus dans un bassin déjà en stress hydrique.
Il faut a minima, mettre en place un moratoire et demander à la région, au département à l'agglomération de Pézenas d'aider la municipalité actuelle à sortir de ce piège.
Je trouve se projet intéressant car il va favoriser le dynamisme de la ville qui s’essouffle un peu. Créant sûrement des nouvelles opportunités pour les jeunes.
Cordialement
De plus les prix de l'immobilier augmentant de plus en plus je pense que cela sera une bonne chose pour notre ville.
Je suis a 100% pour ce pojet.
Bravo pour cette initiative et cette création dynamique!!!
Ce projet se distingue par son engagement écologique et son respect environnemental, des valeurs fondamentales qui nourrissent chaque étape de sa conception. En étant relié au cœur de Pézenas, ce quartier entend promouvoir un cadre de vie serein, simple et lisible, où les espaces publics partagés favorisent les rencontres et les échanges.
La mixité intergénérationnelle est au cœur de cette initiative, permettant de créer des liens entre les différentes générations grâce à des espaces adaptés, incluant des résidences seniors et des commerces et services de proximité.
Les déplacements doux et sécurisés permettront de garantir un accès aisé et agréable, tout en multipliant les grandes surfaces végétales, les jardins partagés qui enrichiront l'espace écosystémique du quartier.
Le projet de Saint-Christol pourrait recréer un cadre de vie apaisé. La lumière rouge qui fait partie intégrante du projet permettra de diminuer la pollution lumineuse, de nourrir l’écosystème et d’améliorer le confort du sommeil des habitants.
Il faut souligner dans cette étude la volonté de valoriser l’architecture, tout en respectant le patrimoine de l'identité de la ville. En intégrant toutes ces dimensions, Saint-Christol pourrait devenir un véritable quartier intimement relié au cœur de ville en respectant l’esprit piscénois et son environnement et redonnant une dynamique à l’ensemble de la cité.
Il faut remarquer que Pézenas perd de manière continue de la population quand toutes les communes des environs en gagnent. Doit-on ici payer les services des communes qui gagnent des habitants, ont moins de services et ont des impôts moins chers ? Sera-t-on condamné à l’exil fiscal ? Nos enfants devront-ils vivre dans les villages plutôt qu’à Pézenas ?
Il faut voir que l’Hérault gagne chaque année 15 000 habitants. Où vont-ils s’installer ? N’y consommeront-ils pas d’eau ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,
J’ai eu beaucoup de mal à me loger sur Pezenas , les logements vacants étant trop petit ou insalubre ( merci les marchands de sommeil) , st Cristol offrent dans sa proposition une ouverture vers une solution .
J’entends que cela dérange les riverains du quartier existant, mais une ville se doit d’être vivante et attractive et ce projet peut en être le prémisse .
Il est à mon sens temps de ne plus regarder uniquement devant sa porte .
St Christol est « peut être » un souci écologique pour certains mais lorsque la ville sera dépourvu de toute l'attractivité et les services qu’elle a actuellement ,l’écologie sera alors reléguée au second plan .
Il est facile de s’insurger sur un projet « hérité » de mandat passé quand on a chez soit une piscine et une Clim qui dégradent tout autant l’environnement.
Je pense que St Christol peut être raisonné et responsable si il continue à être réfléchi avec intelligence.
S’insurger sur St Christol alors que des quartiers comme celui des pompiers ont été construit sans être inquiété alors qu’ils se trouvent sur des zones insondables ,je trouve cela quand même très mesquin .
L’équipe municipale a pris sa responsabilité et propose un projet cohérent , social , économique et écologique ! La ville a besoin de répondre à un manque incontestable de logements mais aussi de locaux pour professionnel afin de développer et rendre à cette cité remarquable le développement et l’envergure qu’elle mérite !
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,
Bonjour.
En ces temps où la pénurie d'eau frappe tant de régions, y compris celle de Pézenas, je trouve ce projet complètement déraisonnable, sinon pire !
Qui est sûr que les ressources sont suffisantes pour un apport de population si important, alors même que des camions ont déjà ravitaillé des villages dans la région ?
Comment ne pas s'opposer à une artificialisation des sols, que les règlements sont censée interdire par ailleurs, quand on n'arrête pas d'apprendre leurs terribles conséquences, en plaine comme dans les régions plus accidentées ?
Qui donc peut se permettre une telle inconséquence, une telle telle légèreté criminelle, dans ce genre de décision ?
ce projet est gaspilleur de l'espace. Il est d'une conception dépassée : il s'étale le plus possible, privant l'agglomération de terre agricoles propres à une autonomie alimentaire, partielle naturellement, de l'agglomération. Je comprends la nécessité de construire de nouveaux logements, mais pas de cette façon : il s'agit ici encore de l'expression d'un individualisme renforcé, alors que nous devons au contraire rester solidaires.
Je suis opposée à ce projet.
Écologique et moderne à la fois.
De plus,cela peut apporter du travail aux entreprises locales.
Construire tout en préservant notre environnement.
J’adhère
David Carrel
Je ne vais donc pas ici développer ces points qui seront lisibles par toutes et tous.
Ce projet se caractérise par la démesure dans tous ses champs d'incidence: pour la gestion de la ressource en eau, la préservation des terres agricoles, la gestion des flux ainsi que l'équilibre économique et financier entre le centre-ville et ce quartier. Ce sont autant de points qui ancrent mon opposition à ce projet. Le volet environnemental, même s'il cadre avec le contexte légal, ne repose sur aucun point d'appuie scientifique: ni au niveau des aménagements prévus, ni au niveau du suivi de l'efficience de ces aménagements sur le moyen terme (il n'est adossé à aucun laboratoire scientifique d'écologie qui pourrait inclure cette démarche dans une dynamique de recherche, ce qui aurait eu au moins l'intérêt de créer un objet scientifique intéressant à suivre dans le temps). Cette urbanisation, en zone rurale et en rupture avec la ville de part la zone inondable de la vallée de Peyne, va fonder un village nouveau à côté d'un bourg centre. Quelques 1 200 habitants (selon les prévisions...): En quelque sorte on crée un "second Lézignan-la-Cèbe" entre Pézenas et ce même village. Mais on le crée à l'Est de Pézenas, à l'opposé des axes de développement dans lesquels sont inscrites toutes les dynamiques économiques, commerciales et d'urbanisme d'une ville qui se projetait à l'Ouest depuis des décennies.
Ce projet inscrit la commune de Pézenas dans une dynamique de rupture d'équilibres sur le long terme. Il a ceci "d'audacieux" qu'il engage l'avenir de Pézenas sur un pari très risqué. Un pari que prennent les élus de l'actuelle majorité municipale, ceux-là même qui, étant dans l'opposition, manifestaient leur opposition au même pari que prenait, en son temps, l'ancienne municipalité.
Pézenas dispose de zones internes à sa zone urbaine pour développer une forme d'urbanisme apte à maintenir, voire à développer, son rang démographique au niveau départemental. Ces dents creuses, ces zones à réinvestir, demandent un autre projet d'aménagement urbain. Ce manque de perspective est à mettre au passif de l'ancienne municipalité qui, durant 4 mandats successifs, n'a pas su engager les dialogues nécessaires avec les divers partenaires institutionnels pour créer les conditions de cette dynamique. La voie de l'urbanisme des années 1970, par cercles concentriques et centrifuges, a destiné le centre ancien aux locations de courte durée. La voie de l'étalement urbain, sans gain de population depuis plus de 50 ans, a toujours guidé l'ancienne municipalité qui s'est embourbée dans ce logiciel du développement économique "des années Pompidou". C'est bien avec cette voie d'infortune qu'il faut rompre car les réalités climatiques et celles liées à un degré d'autosuffisance alimentaire ont émergé durant ce temps. Ce sont des réalités tellement "radicales" qu'on les avait oublié: Elles se nomment la terre et l'eau...tout simplement... tout fondamentalement.
je me suis exprimé à de multiples reprises en opposition à ce projet. J'ai exprimé cette opposition lors de la dernière campagne électorale départementale pour laquelle j'étais candidat. Je renouvelle ici cette position, non par entêtement imbécile, mais parce que le projet, même "retouché", présente les mêmes faiblesses que celles du projet initial porté par l'ancienne municipalité.
Les faits sont têtus...moi aussi...
Jérôme Ivorra
Jérôme Ivorra
D'autre part 24 hectares de terres agricoles seraient détruites.
D'autre part la station d'épuration pour traiter les eaux usées ne serait sans doute pas suffisante.
D'autre part 17 % du trafic routier supplémentaire qui passerait sur le pont de peyne ne serait pas bienvenue. Et enfin resterait-il assez d'argent pour améliorer le centre-ville?
Commençons par réhabiliter tous les logements vacants du centre ville. Arrêtons cette politique expansionniste en grignotant toujours plus de terres au profit du béton.
Je suis CONTRE
La campagne piscénoise est tellement belle est c'est tellement agréable de venir s'y ressourcer en se promenant à pied, à vélo...
Pourquoi vouloir encore y mettre du béton au détriment d'un écosystème? A l'heure où l'on parle d'une indépendance alimentaire, pourquoi ne pas utiliser tous ces terrains pour y implanter des agriculteurs?
Je ne veux pas d'un énième centre commercial identique à tous les autres: pratique mais économiquement non viable. Les héraultais et les touristes aiment Pézenas justement parce que son centre ville est agréable et que les commerces de proximité sont qualitatifs.
Pas de trafic routier en plus dans cette campagne!
La bétonisation ne sera jamais vertueuse et cela va engendrer des déséquilibres multiples (ressources en eau, écosystème, flaure, faune) maintenant et pour les générations futures.
NON A LA BETONISATION DE 24 HECTARES!
je me prononce CONTRE le projet Saint Christol pour plusieurs raisons
je souhaite que la ville conserve un accès vert (poumon vert) de ce coté de Pézenas, qu'il n'y ai pas comme cela serait certain la construction d'une nouvelle zone commerciale ou simplement de nouveaux commerces.
L'augmentation de la population me parait incertaine par contre un nouveau quartier entrainerait une désertification du coeur de ville avec comme cela l'induit l'abandon de l'entretien et de l'embellissement et un risque de nuisance sonore et visuelle (installation de nouveaux bars et commerces bruyants).
La gestion de l'eau me parait également un élément à prendre en compte car un nouveau quartier entrainerait un déplacement et un accroissement de population lié à l'augmentation la location saisonnière du coeur de ville, moment où justement il faudra gérer l'eau de façon juste.
l'accès par ce coté deviendrait vite compliqué par l'accroissement du nombre de voitures et donc des bouchons et entrainerait des besoins d'élargissement des routes et leur multiplication. La pollution atmosphérique est aussi à prendre en compte. Les travaux de facilitations des accès par ce coté de la ville entrainerait certainement comme cela a été le cas par le coté Béziers à l'arrachage des arbres et donc à un réchauffement climatique certain.
Les arguments que je vais annoncer sont déjà utilisés par d'autres personnes ayant déposé et qui sont eux aussi, très défavorables à ce projet vieux de 25 ans et complètement inadapté au temps présent!!!
Arguments
* Alors que Pézenas s'est beaucoup étendu en utilisant des terres agricoles et privilégiant l'habitat pavillonaire, donc l'emprise urbaine, la population de la cité n'a pas augmenté! Suivant l'insse en 2021 la ville comptait à peine plus de 7700 habitants (elle a même régressé)
Cette volonté de dépasser 10000 Habt a toujours été l'ambition des maires successifs... sans y parvenir!
* A l'époque où le projet est né, même si le changement climatique n'était pas "reconnu"! il faisait son chemin.
les températures en moyenne montaient régulièrement (et les média, chaque été, revenaient sur des épisodes de canicules de plus en plus sévères et
d'hivers sans en montagne ou de glacier qui fondent.)
* Ce projet, du fait notamment de ces nouvelles condition climatiques, vient à contre temps!
* nous ne pouvons plus accepter l'urbanisation de terre agricoles (24 Ha de terres très fertiles)
* Pézenas se priverait de sol productif en matière maraîchère (caractéristique de cette ville dans le passé...un renouveau serait possible.)
* La ressource en eau potable puisée dans la nappe alluviale de l'Hérault, tout au long de son cours, n'est pas inépuisable!
* Comment alors alimenter dans un avenir plus ou moins proches, ces différentes populations, y compris les nouveaux habitants de Saint Christol, à
concurrence de 1500 à 2000 Habitants s'ajoutant à ceux déjà résidents?...
* Nous savons aussi que Pézenas est sensible à l'inondation! la crue du 27 octobre 2019 en est une manifestation sans contestation.
* Ce facteur ne peut être ignoré. L'urbanisation de ce lieu aurait pour conséquence évidente, d'aggraver encore ce risque!!!
Ce ne sont pas les bassins de rétention réglementaires qui vont suffire à absorber le ruissellement venant des collines argileuses en amont et le
surplus d'eau engendré par le lotissement. les points les plus sensibles de Pézenas seront sous l'eau, à des cotes supérieures.
* Le Scott du biterrois prévoit pour Pézenas un cota de cota de surface urbanisable de 3,40 Ha d'ici 2030; ce sont 24 qui sont en jeu!!!
* Les études prévoient aussi un accroissement de la circulation de 17% environ, à une circulation déjà compliquée!
* ce nouveau quartier sera isolé de la ville centre et coupé de celle-ci en cas d'inondation, comme ce fut le cas en 2019, avec une submersion du lieu
évitée, la pluie ayant cessé. L'ancien passage à niveau proche de la Grange des prés était sous un mètre d'eau torrentielle.
* Peut-on prendre un tel risque, sachant que ce type de phénomes MTO violents ne vont faire que croître? La Méditerranée est actuellement dans les
meilleures conditions pour générer ces épisodes cévenols (Cévennes+ Méditerranée: fortes pluies, inondation). voir ce qui vient de se passer en
vallée d'ASPE hier 7 09 24...
* autre élément: la masse budgétaire du projet: 25 millions Euros; la cours de compte dit dans un avis rendu dans les études que le risque financier
ne doit pas être mis sous le tapis. Des communes sont en graves difficulté pour avoir vu trop grand pour des lotissements qui ne se vendent pas.
* Il y a de plus, suivant l'Insee 2021, 910 logements vides à Pézenas. Aucun Maire ne s'est soucié de ce potentiel pour une remise à niveau de ces
logements, sachant, de plus que des lotissements déjà anciens, se vident avec le vieillissement de ses habitants. Un suivi peut être s'envisager.
Ce seront mes derniers mots. François Ravenet courriel: paperave34@gmail.com
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,
Je me promène tres régulièrement comme beaucoup de piscenois sur le pont de la peyne et l'ancienne voie ferrée qui rejoint les terres de saint-christol et je m'alarme de plus en plus de voir comment les chemins se bordent des déchets de passants peu soucieux. Donner suite au projet c'est accepter de vivre dans une poubelle. C'est aussi détruire des espaces verts pour construire des espaces "respectueux de l'environnement" mais nécessitant tout de même une dérogation pour détruire l'habitat d'espèces protégées et impliquant de bétonner des hectares entiers, de détruire la végétation et de compenser avec des petites coulées vertes pleines de plastique et cernées par les immeubles. Les terres Saint christol sont déjà la plus belle des coulées vertes qu'il soit.
Ce projet est dangereux pour les piscenois. Les terres inondables s'elargissent à cause du béton, les commerces déjà existants seront dépossedés d'une partie de leur clientèle, les habitants du quartier subiront des nuisances ( lampadaires, trafic intensif et bruit ). L'aboutissement du projet signifie enlever le confort et la mémoire des habitants qui portent la ville dans leur cœur parfois depuis plusieurs générations pour des potentiels clients !
ET SI ON LAISSAIT AUX PISCENOIS LE CHOIX D'AMÉNAGER LEUR PROPRE VILLE À LEUR GOÛT ET NON PAS À CEUX DE PROMOTEURS QUI NE VOIENT EN PÉZENAS QU'UNE OPPORTUNITÉ ? Le maire, au moment de son élection était un opposant du projet, malgré son revirement, pensez-vous que ses électeurs ont aussi soudainement changés d'avis ?
Je me désole de voir les patrimoines que se soit à Pézenas ou partout en France défigurés par des projets au service de l'argent qui se disent écologiques.
Lucas FRANETICH
un amoureux de Pézenas
Ce projet n’est pas en adéquation avec Pézenas
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau.
M'étant trompé dans mon avis 61 (orus) je souhaite rectifier mon avis en défavorable.
Merci d'en prendre note.
Bonjour
La zone de st christol étant inondable , elle ne devrait servir qu'à un usage agricole qui reste à décider et proposer à un projet servant pour l'alimentation de pezenas.
Il serait préjudiciable à la ville de pézenas de se rendre compte dans quelques années qu'un projet urbain périphérique nuise à l'écoulement des eaux de pluies dans ce secteur.
Qui plus est l'accroissement de la circulation et le nombre de voitures à gérer est un défi quasi ingérable dans l'avenir et il ne faut pas l'oublier.
Pour ces raisons et bien d'autres encore, carla liste est trop longue pour l'écrire ici je suis pour trouver un autre projet pour ce lieu.
Orus
Pourquoi de nouveaux logements? Réhabilitons ceux du centre ville et aidons pour la rénovation des logements vacants.
Pourquoi de nouveaux supermarchés? Il y a des petits producteurs formidables!
Gardons les espaces verts, les terres agricoles, plantons des arbres, installons des ruches ,des pistes cyclables,des sentiers de promenade pédagogiques avec flore méditerranéenne la faune y reviendra et y prospèrera, les personnes s'y ressourceront,le consumérisme n'est pas le bonheur !
Ne tombons pas dans le piège des villes moyennes avec plus de logements sociaux, sans travail pour ceux qui y vivent ,s'ensuit le désoeuvrement source de délinquance...
Que Pézenas reste cette belle ville dans sa spécificité .Sa belle réputation irradie dans toute la France!
Je m'oppose fermement à ce projet de ZAC "Saint Christol". En effet, 24 ha de surfaces bétonnées dans une région n’absorbant plus une partie des précipitations, est totalement inconsidéré.
Nous pouvons imaginer la hausse des ruissellements vers les zones sensibles de la ville, entrainant encore plus d'inondation.
De plus, le changement climatique engendre sécheresse et manque en eau. Cet hiver, des camions citernes ont approvisionné 2'000 habitants à Pézenas. Quid de la nouvelle ZAC ?
Votre réponse retiendra toute mon attention
Guillaume SOLAREK
Contrairement aux Objectifs ZAN , 24 hectares de terres arables seront détruites, atteinte à notre autonomie alimentaire, à la préservation de la ressource en eau et à la protection contre les risques d’inondation, une artificialisation qui augmentera les modifications de circulation des eaux de surface et des nappes, et impactant la ressource en eau potable. On note aussi une absence de prise en compte des enjeux climatiques
Augmentation du trafic routier
Déstabilisant des commerces du centre ville et conduisant vers un centre ville MORT : les 3500 M2 de centre commercial videront les commerces du centre ville.
C’est ce type de projet et de réalisation qui ont conduit à vider de leurs commerces de nombreux « Centre ville »qui deviennent des cités dortoir mal entretenues perdant ainsi tout le flux de touristes : tout un pan de l’économie qui tombe
Sans compter que les nouveaux quartiers éloignés des lieux de culture, nécessitent des moyens de déplacement collectifs pensés pour proposer à la population le plaisir et l’ouverture d’esprit à d’autres types de pensées, d’agir et de vivre,
une forme de culture qui ne se contente pas de « la promenade du dimanche dans les allées couvertes des centres commerciaux » où les humains ne deviennent pas que des sujets de consommation
Au final, ce projet manque de structure et d’articulation globale,
ce qui le montre comme pensé de manière étriquée et avec le seul vecteur consumériste
Le porteur de projet se serait enrichi en s’associant à des acteurs locaux qui ont un vrai regard global vers l’avenir,
prenant en compte toutes les données scientifiques actuellement connues tant en terme de développement économique intégratif et générateur d’emplois, d’hydro-géologue à vision élargie, de connaissance de l’environnement et du respect de ses règles, des enjeux climatiques, de sociologie, de mobilité douces et de dynamique des territoires, etc....
Tout ce qui va dans l'amélioration de la qualité de vie, de la facilité à vivre en habitant dans un environnement agréable et verdoyant, proche du centre ville me paraît favorable au développement (à taille humaine) de Pézenas.
Il serait toutefois bien de prévoir un transport en commun, de type navette bus, pour assurer les déplacements de cette zone vers le centre ville.
Encore mieux, une piste cyclable et/ou piétonnière menant à pied et/ou en vélo (trottinette), à l'écart de la route donc sécurisée serait un plus très apprécié, me semble-t-il.
Cordialement.
De plus, l'avis 52, noté "Favorable", se résume en UN mot : "test"
Il ne s'agit sans doute que d'une simple "distraction" à répétition, la malhonnêteté ne pouvant être bien sûr invoquée...
Quant à mon avis :
Ce projet est tout à fait insensé à une époque où les chaos climatiques, non seulement se multiplient, mais s'intensifient ! En outre, le bétonnage accentuera le phénomène de ruissellement, et l'eau ne pourra bien sûr plus pénétrer dans le sol.
L'eau étant de plus en plus rare, comment pourra-t-elle être distribuée en suffisance si la population augmente ? Il a fallu des camions-citernes cet hiver pour couvrir les besoins de la population actuelle !
Ce projet ne doit pas voir le jour !
Nous peinons à trouver des logements (particulièrement des plain pieds), les prix sont parfois incohérents et nous ne trouvons aucun logement a la location. Ce nouveau quartier pourrait faire bouger les populations piscenoises et créer peut être un souffle. Cela apporterait également plus de pouvoirs d'achat aux commerçants qui parfois tirent la langue ou sont obligés de mettre la clé sous la porte.
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irez vous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau.
L'emplacement géographique de la Commune de PEZENAS 'coche toutes les cases' pour bénéficier des flux démographiques que notre région accueille.
La notion d'intérêt général est le point cardinal de cette opération d'aménagement.
Les études d'impact sur l'environnement sont le socle de l'autorisation unique environnementale et en sécuriseront les conséquences.
Il est essentiel d'intégrer que l'accès au logement est une priorité.
Le volet social de cette ZAC va permettre de satisfaire cette "obligation".
Je suis convaincu que la condition sine qua non pour que notre modèle de société fonctionne est la "justice sociale"
https://www.youtube.com/watch?v=ECppfNbXUUg
Nous avons enfin pu toucher du doigt une période de Concorde Nationale en ce début d'été.
Partant de cet esprit, il est de l'inétérêt de tous de participer à la bonne réalisation de cette "obligation".
La ZAC de Saint Chritol "coche également toutes les cases" pour remplir ce dessein.
Tel un colibiri je me permets donc d'apporter ma goutte à ce bel ouvrage.
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau)
. Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,
Je vous remercie de prendre en compte tous ces critères
Construire 655 lgts à St Christol, c'est surtout se priver de terres agricoles riches abritant des sources d'eaux chaudes.
- Cette zone est inondable. La bétonisation ne résolvera rien, et "déplacera" sans doute les futures crues et débordements.
- Ce projet imposera aussi une revue complète des accès routiers, des infrastructures (écoles, station d'épuration, parkings...) nous imposant des constructions aux
coûts élevés creusant encore notre déficit !
- Le Centre Historique de Pézenas est pourvu de nombreux logements inoccupés. Ce Centre historique n'a pas vocation a devenir un musée. Il doit être vivant et cela passe
par la réhabilitation des appartements vacants.
- Ne pas faire St Christol n'est pas refuser la construction de logements sur la commune, faisons les ailleurs, autrement.
J’incite, les opposants par principe ou idéologie à lire avec attention et application l’étude d’impact fournie.
Cela leur permettra de prendre la mesure du projet, et leur évitera d’affirmer des croyances qu’ils érigent en vertu.
Bravo pour la création du quartier SAINT CHRISTOL
La zone de st christol étant inondable , elle ne devrait servir qu'à un usage agricole qui reste à décider et proposer à un projet servant pour l'alimentation de pezenas.
Il serait préjudiciable à la ville de pézenas de se rendre compte dans quelques années qu'un projet urbain périphérique nuise à l'écoulement des eaux de pluies dans ce secteur.
Qui plus est l'accroissement de la circulation et le nombre de voitures à gérer est un défi quasi ingérable dans l'avenir et il ne faut pas l'oublier.
Pour ces raisons et bien d'autres encore, carla liste est trop longue pour l'écrire ici je suis pour trouver un autre projet pour ce lieu.
Orus
Par ailleurs les eaux de pluie ne pourraient plus s’infiltrer dans les sols pour alimenter les nappes phréatiques, sachant que des pénuries en eau potable sont à craindre l’avenir.
Par ailleurs les eaux de pluie ne pourraient plus s’infiltrer dans les sols pour alimenter les nappes phréatiques, sachant que des pénuries en eau potable sont à craindre l’avenir.
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions citernes, avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainera pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuera grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau).
Réfléchissons ensemble à un projet porteur de solutions les mieux adaptées, faisant vraiment œuvre utile.
Je souhaite manifester mon opposition totale à votre projet mortifère.
J'espère que nous allons être très très nombreux à prendre le temps (et Dieu sait s'il nous en faut pour tenter d'éviter toutes les horreurs décidées au nom du seul profit) de dénoncer ce déni des réalités sur la biodiversité assassinée, le réchauffement climatique induit par toujours plus de bétonisation et la pénurie d'eau récurrente surtout dans votre région. Je ne parle même pas du refus des habitants, premiers concernés, à voir saccager leur territoire.
Gardez raison, vos enfants ou petits enfants auront honte de vous !!!
Cordialement.
Habitant Pézenas depuis maintenant 45 ans, la population de cette ville est toujours restée aux alentours de 10000 habitants malgré la construction de lotissements à l'ouest de l'agglomération. La construction d'un nouveau quartier ne ferait que désertifier encore davantage le centre ville qui aurait besoin d'être revitalisé.
D'autre part, ce futur lotissement ferait disparaître des terres agricoles et réduirait encore plus la biodiversité des espaces péri-urbains.
Bien que non directement impacté par la construction de ce quartier, je soutiens les actuels habitants de ce périmètre qui verraient leur confort de vie affecté par la présence de nombreuses habitations mitoyennes.
Enfin, les dérèglements climatiques ( sècheresse ou au contraire riques d'inondations ) seraient certainement accentués localement par l'aboutissement d'un tel projet.
OUI aux oiseaux ,aux animaux, aux prés, aux forêts, haies, bosquets etc...à un environnement vert et fleuri!
Par ailleurs les eaux de pluie ne pourraient plus s’infiltrer dans les sols pour alimenter les nappes phréatiques, sachant que des pénuries en eau potable sont à craindre l’avenir.
Pour chercher à mettre du béton et bitume partout ?
Il faut préserver et protéger la végétation et la nature.
Ainsi en prenant soin de cette nature, nous prenons soin de sa faune qui elle a besoin de la verdure.
Construire est bien, mais pas à n'importe quel endroit !!!
Les ZAN doivent être respectées et même anticiper en arrêtant de construire sur des zones qui devraient rester en espace vert ou agricole
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau).
Le bon sens serait plutôt de supprimer tout ce béton des villes et laisser la place à plus de nature car, en plus, le bétonnage accentue les épisodes de canicule, qui font se raréfier cette eau à un moment où on en a le plus besoin !
Dans ma ville, on le supprime des cours d'écoles pour le remplacer par des espaces enherbés.
Ce qui m'interpelle, c'est que l'on ait besoin d'une enquête publique pour discuter d'un sujet qui ne devrait plus l'être tant il tombe sous le sens, à une époque où nous sommes confrontés à une crise écologique qui touche l'eau et les sols !
Je suis défavorable à ce projet pour les raisons suivantes :
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population de Pézenas et des alentours ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes. Avec deux mille habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, etc.).
Je vous remercie pour la prise en compte de cet avis.
Le manque d'eau récurrent et alarmiste chaque année nous prévient qu'il est urgent de privilégier des aires naturelles et cultures qui nécessitent peu d'eau ou moins d'eau.
Une urbanisation serait des plus catastrophique tant d'un point de vue écologique, économique , ( réduction de la terre cultivable) et une perte de la biodiversité avec cette espace vert et respirable où chacun peut apprécier de s'y ressourcer grâce à sa proximité du centre de la ville .Préserver cette espace c'est proposer aux générations futures d'entretenir un paysage rural cultivable tout autant qu'un espace de bien vivre et bien être.
Complétement opposée à ce type de projet à contre sens avec les futures volontés générationnelles en recherche de respect écologique
je suis contre ce projet de bétonnisation de la campagne St Christol. Encore une nouvelle atteinte à la nature, alors qu'on en a tant besoin ! Laissez cet espace tranquille, pour le bien être du voisinage.
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau
Une emprise moins important avec de petits collectifs construits en mode Passiv haus, voir mieux , moins de réseaux (moins de coût pour la collectivité à terme), des espaces techniques sous les collectifs, un parking collectif si nécessaire (favoriser les déplacements doux) et la pénétration des eaux de pluies dans les sols etc etc.....Ce monde de médiocres qui utilisent ces dividendes pour pouvoir "se barrer au loin des que cela est possible pour profiter de la nature.....dans de grosses baraques climatisées avec des grosses totomobiles à pile....
Le paradis est ici et maintenant et certains s'évertuent à le foutre en l'air : construire oui mais en respectant un équilibre et sans répondre aux problèmes induits par des solutions technologiquement irresponsables.
Comprendre un écosystème et y intégrer la tribu humaine, avec des cycles respectés, de quoi nourrir localement sans nuire à ce qui existe, avec pour ceux qui souhaitent y habiter, des potentialités d'activités locales et favorisant des déplacements courts et potentiellement en utilisant ce qui existe.
Un projet "hors du temps et hors contexte, typique d'une vision passéiste et sans aucun respect, ni pour les futurs acquéreurs, ni pour les résidents actuels.
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau, etc...). L'eau est un bien précieux, l'eau c'est la vie mais à condition qu'on ne l'empêche pas de s'infiltrer jusqu'en dans les nappes phréatiques. Cordialement
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau).
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,
Surtout, qu'en sera t-il de la ressource en eau pour les habitants des environs ?
Ce problème, des plus graves mérite le plus grand sérieux des décideurs..
Attention à la faute grave et impardonnable.
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau).
Merci de m'avoir lu. Cordialement
Le manque d'eau récurrent et alarmiste chaque année nous prévient qu'il est urgent de privilégier des aires naturelles et cultures qui nécessitent peu d'eau ou moins d'eau.
Une urbanisation serait des plus catastrophique tant d'un point de vue écologique, économique , ( réduction de la tere cultivable) et une perte de la biodiversité avec cette espace vert et respirable où chacun peut apprécier de s'y ressourcergrâce à sa proximité du centre de la ville .Préserver cette espace c'est proposer aux générations futures d'entretenir un paysage rural cultivable tout autant qu'un espace de bien vivre et bien être.
Complétement opposée à ce type de projet à contre sens avec les futures volontés générationnelles en recnerche de respect ecologique
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,
Pourquoi tuer la beauté de la ville (et l'attribution du Label de L'UNESCO "Réserve de Biosphère") qui avec son écrin de verdure fait lien avec le fleuve Hérault ?
Pour nos génération futures, privilégions un bâtit harmonieux et dans des endroits pertinent et non inondable, plutôt que d'engraisser les toupies qui Bétonnent et imperméabilisent nos champs, nos mémoires, notre histoire nos coeurs.
Des villages des alentours ont déjà été approvisionnés en eau par camion cet hiver. Avec 2000 habitants de plus à Pezenas comment ce sera après la bétonisation?
Les écologistes préconisent de supprimer certains revêtements qui imperméabilisent la terre et provoquent le ruissellement de l'eau qui ne pénètre plus dans la terre.
Quelles seront les conséquences, de ce fait, si en plus la campagne de Saint Christol est bétonnée? Soyez réalistes et stoppez ce projet, merci.
Cordialement
D. Cazaban
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,
J'émets un avis défavorable sur la betonisation de zones agricoles.
En effet, la betonisation entraînera forcément un risque accru d'inondation de la zone.
Sans parler du problème de manque d'eau déjà subit les précédentes années sur le lieu, alors comment faire avec 2000 habitants supplémentaires.
C'est un non sens.
Ce projet est inconcevable,nous sommes en 2024, nous devons avancer, non reculer...
Possibilité d'implanter un bois (chênes vert et blanc) sur la colline montant à Chichery?
Il est grand temps de cesser de betonniser nos villes. Je pense que Pézenas a suffisamment grandie ces dernières années. De plus ce secteur particulièrement sensible doit être protégé et non pas détruit. J’ajoute à cet avis des arguments dans lesquels je me retrouve
. Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,
Il faut abandonner ce projet en total décalage avec les besoins actuels et privilégier un autre, plus utile, plus réaliste et profitable à tous !
Des villages alentour ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûr que ce projet n’entraînera pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint-Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,...).
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau.
J’émets donc un avis défavorable.
Cordialement.
Philippe Sauty.
Par ailleurs les eaux de pluie ne pourraient plus s’infiltrer dans les sols pour alimenter les nappes phréatiques, sachant que des pénuries en eau potable sont à craindre l’avenir.
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau.
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau etc...
Ctre le capitalisme économique néolibéral destructeur responsable de cette crise anthropologique !
Merci d'y réfléchir.
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau,
Compte tenu de la sécheresse croissante et d’une ressource en eau déjà en tension, il est indispensable de se poser ces questions :
pourrait-on fournir de l’eau à l’ensemble de la population piscénoise ?
Des villages alentours ont été approvisionnés en eau cet hiver par camions-citernes ; avec 2 000 habitants de plus à Pézenas, où irions nous chercher l’eau ?
Comment est-on sûrs que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Le bétonnage de la campagne Saint Christol, n’absorbant plus une partie des précipitations, accentuerait grandement le ruissellement vers les zones sensibles de la ville, les inondant encore plus (bas de la rue Conti, avenue de Castelnau...)
Moins de béton plus de végétal.
Merci de votre attention .
Et comment être sûr que ce projet n’entrainerait pas des restrictions d’eau potable à Pézenas et dans les villages voisins ?
Elu Maire de Florensac, commune appartenant à la même intercommunalité que Pézenas, en 2008 et Conseiller départemental du Canton de Pézenas en 2015, je me permets de contribuer à l’enquête publique au projet d’aménagement de la ZAC Saint-Christol à Pézenas.
D’abord, en tant que Conseiller départemental, pour témoigner d’une réalité celle de la centralité administrative et économique que représente Pézenas et qui n’est pourtant pas en corrélation avec la démographie et l’évolution démographique de cette commune. Afin, a minima, de maintenir les équilibres territoriaux, voire d’obtenir certains rééquilibrages, il est important que Pézenas puisse continuer à jouer ce rôle et un grand nombre services à sa population et aux populations environnantes. Cela passe notamment par une progression de sa population, gage de nouvelles recettes, tant fiscales qu’émanant de dotations, et de nouvelles possibilités d’attractivité.
Ensuite, en ma qualité de Président d’Hérault Logement, je connais l’importance du parc de logement social présent à Pézenas, dont une grande partie appartenant à Hérault Logement. Je sais aussi le nombre conséquent de demandes qui demeurent en attente notamment de la part de Piscénoises et de Piscénois. Je sais donc l’importance que représente la possibilité de construire de nouveaux logements dans notre Département en général et dans cette commune en particulier. Surtout que ma connaissance de ce dossier me permet d’observer positivement le fait que l’intégralité du parcours résidentiel a été étudiée afin d’intégrer ce projet et qu’un regard bienveillant a été porté pour que ce futur quartier soit celui de la mixité sociale et générationnelle. Aussi, je veux souligner que le fait de libérer des espaces en rez-de-chaussée pour des services peut permettre aux opérateurs sociaux qui seront présents sur ce quartier d’y avoir des bureaux ainsi que de proposer des services publics en lien immédiat avec la population habitant ce quartier, Pézenas ou les environs et c’est toutes ces raisons qui ont conduit Hérault Logement à ouvrir une 5ème agence qui sera implantée sur place en 2025-2026.
Également, en ma qualité de Vice-président de la Communauté d’agglomération délégué à l’eau et à l’assainissement, je sais le travail fait depuis des années par l’intercommunalité afin d’améliorer le rendement des réseaux Piscénois et de faire des économies d’eau. Je sais aussi l’étroite association qui a été celle des porteurs de ce projet afin qu’il réponde aux mieux à nos préconisations.
Enfin, en tant qu’élu sur ce territoire, j’ai pu souvent entendre parler de ce projet de quartier et en connaître différentes moutures. Je veux souligner que certaines évolutions récentes y apportent tant de la cohérence que de la conscience pour répondre aux enjeux environnementaux et sociétaux. Aussi, je veux, en tant qu’élu, témoigner du fait que je reçois régulièrement des personnes qui souhaiteraient acheter à Pézenas et qui ne trouvent pas d’opportunité foncière pour le faire. Un tel projet pourrait donc y contribuer.
Je vous remercie par avance de l’attention que vous porterez à ma demande et vous prie d’agréer, Monsieur le Commissaire enquêteur, l’expression de mes sentiments les plus respectueux et dévoués.
Vincent GAUDY
Maire de Florensac
Conseiller Départemental du Canton de Pézenas
Vice-Président du Conseil Départemental de l’Hérault